Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
Pseudo : Harmoney ♡ elle
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Mer 28 Juin 2023 - 20:00 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Sung Jin Woo
outfit ⏤ Qu'est-ce que tu fiches ici, déjà ? Non, la vraie question, c'est qu'est-ce que vous faites ici. Jinwoo et toi. Tu regardes d'un air dubitatif le bâtiment des sports devant lequel il t'a amenée.
La journée avait pourtant commencé sur une note très peu sportive. Arrivée au laboratoire en sifflotant, un thé en main, habillée de manière comfy pour une journée de tests sur tes échantillons, tu avais à peine eu le temps de poser ton sac que ton regard avait été attiré par une grosse lettre cartonnée adressée à l'équipe. Comme tu en faisais partie, et que tu avais pris l'habitude de lire le courrier du labo avant que Jinwoo ne le fasse brûler par on ne sait quel tour de passe-passe maladroit, tu l'avais ouverte, avant de littéralement t'étouffer avec ta propre salive. « SUNG JIN WOO ! tu avais vociféré comme si ça allait suffire pour le faire se matérialiser devant toi. » C'était une nouvelle notification vous annonçant (une fois de plus) qu'en raison des importantes dépenses liées au remplacement du matériel et autre mineures réparations, une partie du budget alloué à votre laboratoire allait être redirigée dans ces frais.
Votre budget, bordel de méduse rose. À ce rythme là, il ne restera pas grand chose pour financer tes recherches de thèse, et tu refuses catégoriquement d'utiliser ton propre salaire pour ça. Et il est hors de question pour toi de changer ton sujet de thèse sous prétexte que c'est trop onéreux.
L'objet de ton ire n'étant pas dans les parages, tu passes donc ta journée à fulminer dans ton coin, incapable de t'attabler plus de quelques dizaines de minutes à une même tâche. On dirait une puce, à passer d'une chose à l'autre, et ta frustration grandit à mesure que tu ne parviens pas à finir quoi que ce soit. Alors forcément, quand enfin il montre le bout de son nez, tu es littéralement au bout du rouleau, tremblante de colère et de frustration. « Jinwoo, t'es un homme mort ! » Oui, tu sais, tu devrais être plus polie avec ton aîné et, qui plus est, ton promoteur de thèse, mais on va dire que c'est parce que tu as grandi à Manchester, d'accord ? Les règles de politesse, le langage formel, tout ça, ce sont des trucs que tu oublies bien rapidement quand ça t'arrange. Toujours aussi furieuse, tu brandis la lettre, la secouant littéralement sous son nez, sans même lui laisser le temps de comprendre ce qu'il se passe ou de te réprimander pour tes menaces. « Tu as cassé quoi encore ? Je t'ai dit de pas toucher au matériel du labo B quand je ne suis pas là ! »
Tu finis par te laisser tomber sur un siège avec un immense soupir de lassitude, ta colère retombant. « J'ai envie de frapper dans un truc. Quitte à ce que notre budget disparaisse dans des trucs débiles, je vais finir par commander un punching-ball. » Vu que t'aimes pas les gens, ce serait compliqué d'aller t'inscrire dans un club de boxe. Surtout que tu veux être la seule à donner des coups. T'en prendre en retour est vraiment très peu séduisant comme idée.
Suite à ça, tu n'as pas trop suivi le pourquoi du comment, mais tu t'es laissée emenée par ton très frustrant mais tout aussi séduisant professeur jusqu'au bâtiment des sports. Pourquoi ? Shrug. « Et donc on fait quoi là, exactement ? » Tu ne fais rien pour cacher l'incompréhension dans ta voix.
La journée avait pourtant commencé sur une note très peu sportive. Arrivée au laboratoire en sifflotant, un thé en main, habillée de manière comfy pour une journée de tests sur tes échantillons, tu avais à peine eu le temps de poser ton sac que ton regard avait été attiré par une grosse lettre cartonnée adressée à l'équipe. Comme tu en faisais partie, et que tu avais pris l'habitude de lire le courrier du labo avant que Jinwoo ne le fasse brûler par on ne sait quel tour de passe-passe maladroit, tu l'avais ouverte, avant de littéralement t'étouffer avec ta propre salive. « SUNG JIN WOO ! tu avais vociféré comme si ça allait suffire pour le faire se matérialiser devant toi. » C'était une nouvelle notification vous annonçant (une fois de plus) qu'en raison des importantes dépenses liées au remplacement du matériel et autre mineures réparations, une partie du budget alloué à votre laboratoire allait être redirigée dans ces frais.
Votre budget, bordel de méduse rose. À ce rythme là, il ne restera pas grand chose pour financer tes recherches de thèse, et tu refuses catégoriquement d'utiliser ton propre salaire pour ça. Et il est hors de question pour toi de changer ton sujet de thèse sous prétexte que c'est trop onéreux.
L'objet de ton ire n'étant pas dans les parages, tu passes donc ta journée à fulminer dans ton coin, incapable de t'attabler plus de quelques dizaines de minutes à une même tâche. On dirait une puce, à passer d'une chose à l'autre, et ta frustration grandit à mesure que tu ne parviens pas à finir quoi que ce soit. Alors forcément, quand enfin il montre le bout de son nez, tu es littéralement au bout du rouleau, tremblante de colère et de frustration. « Jinwoo, t'es un homme mort ! » Oui, tu sais, tu devrais être plus polie avec ton aîné et, qui plus est, ton promoteur de thèse, mais on va dire que c'est parce que tu as grandi à Manchester, d'accord ? Les règles de politesse, le langage formel, tout ça, ce sont des trucs que tu oublies bien rapidement quand ça t'arrange. Toujours aussi furieuse, tu brandis la lettre, la secouant littéralement sous son nez, sans même lui laisser le temps de comprendre ce qu'il se passe ou de te réprimander pour tes menaces. « Tu as cassé quoi encore ? Je t'ai dit de pas toucher au matériel du labo B quand je ne suis pas là ! »
Tu finis par te laisser tomber sur un siège avec un immense soupir de lassitude, ta colère retombant. « J'ai envie de frapper dans un truc. Quitte à ce que notre budget disparaisse dans des trucs débiles, je vais finir par commander un punching-ball. » Vu que t'aimes pas les gens, ce serait compliqué d'aller t'inscrire dans un club de boxe. Surtout que tu veux être la seule à donner des coups. T'en prendre en retour est vraiment très peu séduisant comme idée.
Suite à ça, tu n'as pas trop suivi le pourquoi du comment, mais tu t'es laissée emenée par ton très frustrant mais tout aussi séduisant professeur jusqu'au bâtiment des sports. Pourquoi ? Shrug. « Et donc on fait quoi là, exactement ? » Tu ne fais rien pour cacher l'incompréhension dans ta voix.
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
Messages : 111
Âge : 39
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Dim 2 Juil 2023 - 16:16 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Woo Rhea
outfit ⏤ Tu n’as clairement aucune notion du temps, hier on t’a apporté des échantillons recueillis sur des spécimens tout juste découverts en Chine. Clairement c’est encore plus excitant qu’un matin de Noël pour toi. Tant de possibilités, tant d'inconnues, tu en frissonne d'excitation alors qu’on te livre le précieux paquet au labo B. Autre motif de réjouissance, Rhéa donne cours cette après-midi, alors tu ne l’aura pas sur le dos. Enfin, plutôt à tes baskets parce que soit disant “tu brises tout et n’importe quoi dans le labo”. D’accord il est possible que tu sois un tant soit peu plus maladroit que la moyenne, mais ce n’est pas comme si c’était volontaire.
Bon d’accord tu as peut être encore briser quelques éprouvettes et bécher, et aussi fait tomber un microscope hors de prix… Ce mois-ci. De toute façon a chaque fois tu essaye de rembourser personnellement, quand on te laisse faire. Bref, tu es absorbé par tes recherches. Chaque nouvel échantillon est un casse-tout incroyable pour toi, la nature est une merveilleuse tueuse, à créer tant de choses, tant de beauté et de complexité dans ce qui peut vous anéantir. Tu remplis des pages de notes, pendues au microscope et à tes éprouvettes. Au point que tu en as oublié que tu étais censé rentrer chez toi au bout d’un moment. Tu ne te rends compte de l’heure qu’il est seulement quand les rayons de l’aube presse à nouveau les fenêtres du laboratoire. Alors tu rentre, tu ne reviendras que plus tard dans la journée, après tout ils peuvent bien se passer de toi une petite journée.
En fin de journée, alors que tu te rends dans le complexe sportif de l’Université, tu décides pourtant de faire un détour par le labo. Non pas que tu ne fasse pas confiance au personnel, c’est juste par principe, c’est plutôt que c’est un peu ton rôle de vérifier que tout va bien. Pourtant tu n’as pas le temps de faire grand chose que Rhéa te saute dessus pour hurler. Qu’est-ce qu’elle a encore aujourd’hui? Elle est brillante, mais honnêtement elle arrive parfois à te faire regretter de l’avoir pris sous ta tutelle.
“Descend d’un ton Rhéa, sinon tu vas devoir trouver un autre endroit pour faire ton doctorat.”
Tu restes d’un calme olympien, le ton est calme. Tu sais pertinemment que ça ne sert à rien de t’énerver, tu ne pourras jamais rivaliser avec elle sur ce terrain. Tu l’observe, alors qu’elle se calme enfin un minimum alors qu’elle tombe sur le siège. Tu en profite pour attraper le sujet de son courroux en poussant un soupir. Tu parcours la lettre en diagonale en relevant un sourcil. Sérieusement? Elle se met dans un état pareil pour ça?
“Je m’en suis déjà chargé, je leur ai rembourser une partie sur mes fonds personnels, ils envoie la lettre par principe alors calme toi. Jusqu’à preuve du contraire tu n’étais pas avec moi cette nuit, alors je ne peux pas passer ma vie à t’attendre”
Tu jette la lettre sur un bureau avant de reporter ton attention sur la jeune femme, les maisns sur les hanches. Si seulement elle n’avait pas un caractère aussi désagréable, elle aurait la vie bien plus facile. Elle aurait tout au creux de la main.
“En plus si on besoin de budget, je suis sûr qu’en te sortant dans un des galas de charité de l’université, j’arriverais à trouver du budget auprès de ces vieux mécènes immondes. Ce sont des porcs, mais facile à comprendre.”
Alors que tu relève la tête, tu te rends compte que, comme d’habitude tout le monde vous regarde. Vous êtes encore une fois les attractions du labo. Ce que tu peux avoir horreur de ça. Bref, c’est l’heure de revenir au plans initial, et ça tombe bien ça rejoint les envie de la jeune femme.
“Suis moi, j’ai la solution a ton problème, avant que tout ça ne m’emmène encore dans le bureau des DRH.”
De toute façon tu comptais tu rendre dans les cages de frappes, donc si elle vient avec toi, ce n’est pas comme si ça changeait tes plans. Si en plus ça pouvait être un moyen qu’elle se calme, c’est un bonus appréciable. Quand elle t’interroge, tu te contente de lever les bras, en signe d’incompréhension.
”C’est toi qui a dit que tu voulais frapper dans quelque chose non?”
Tu rentre dans le bâtiment sans vraiment vérifier si Rhéa te suis, tu connais le chemin par cœur. Tu traverses le premier bâtiment, ne prêtant même pas attention aux gens qui s'affairent dans les salles de musculations. Vous finissez par arriver aux des cages de frappes, tu bénies l’université d’avoir une équipe de baseball. Tu attrape une batte sur un présentoir, en faisant tomber deux au passages avec tes deux mains gauches. Tu grogne quelque chose d’inaudible en ramassant ton désordre, avant de te relever et de tendre la batte ainsi qu’un casque a Rhea.
”Et si tu me montrais comment tu frappes?.... Les balles, je précise, hors de question que je te serve de punching ball”
Tu attends qu’elle ne s’empare de son équipement avant de lui ouvrir la porte de la cage de frappe. Tu règle la machine au minium, histoire qu’elle ne se prenne pas un boulet de canon en pleine poire. Ça pourrait être amusant, sur le coup, mais tu en écoutes parler pendant des mois.
”Le point derrière toi tu le grillage c’est l’endroit où la balle arrive. Tu vas t’en sortir où tu veux que je te montre.”
Bon d’accord tu as peut être encore briser quelques éprouvettes et bécher, et aussi fait tomber un microscope hors de prix… Ce mois-ci. De toute façon a chaque fois tu essaye de rembourser personnellement, quand on te laisse faire. Bref, tu es absorbé par tes recherches. Chaque nouvel échantillon est un casse-tout incroyable pour toi, la nature est une merveilleuse tueuse, à créer tant de choses, tant de beauté et de complexité dans ce qui peut vous anéantir. Tu remplis des pages de notes, pendues au microscope et à tes éprouvettes. Au point que tu en as oublié que tu étais censé rentrer chez toi au bout d’un moment. Tu ne te rends compte de l’heure qu’il est seulement quand les rayons de l’aube presse à nouveau les fenêtres du laboratoire. Alors tu rentre, tu ne reviendras que plus tard dans la journée, après tout ils peuvent bien se passer de toi une petite journée.
En fin de journée, alors que tu te rends dans le complexe sportif de l’Université, tu décides pourtant de faire un détour par le labo. Non pas que tu ne fasse pas confiance au personnel, c’est juste par principe, c’est plutôt que c’est un peu ton rôle de vérifier que tout va bien. Pourtant tu n’as pas le temps de faire grand chose que Rhéa te saute dessus pour hurler. Qu’est-ce qu’elle a encore aujourd’hui? Elle est brillante, mais honnêtement elle arrive parfois à te faire regretter de l’avoir pris sous ta tutelle.
“Descend d’un ton Rhéa, sinon tu vas devoir trouver un autre endroit pour faire ton doctorat.”
Tu restes d’un calme olympien, le ton est calme. Tu sais pertinemment que ça ne sert à rien de t’énerver, tu ne pourras jamais rivaliser avec elle sur ce terrain. Tu l’observe, alors qu’elle se calme enfin un minimum alors qu’elle tombe sur le siège. Tu en profite pour attraper le sujet de son courroux en poussant un soupir. Tu parcours la lettre en diagonale en relevant un sourcil. Sérieusement? Elle se met dans un état pareil pour ça?
“Je m’en suis déjà chargé, je leur ai rembourser une partie sur mes fonds personnels, ils envoie la lettre par principe alors calme toi. Jusqu’à preuve du contraire tu n’étais pas avec moi cette nuit, alors je ne peux pas passer ma vie à t’attendre”
Tu jette la lettre sur un bureau avant de reporter ton attention sur la jeune femme, les maisns sur les hanches. Si seulement elle n’avait pas un caractère aussi désagréable, elle aurait la vie bien plus facile. Elle aurait tout au creux de la main.
“En plus si on besoin de budget, je suis sûr qu’en te sortant dans un des galas de charité de l’université, j’arriverais à trouver du budget auprès de ces vieux mécènes immondes. Ce sont des porcs, mais facile à comprendre.”
Alors que tu relève la tête, tu te rends compte que, comme d’habitude tout le monde vous regarde. Vous êtes encore une fois les attractions du labo. Ce que tu peux avoir horreur de ça. Bref, c’est l’heure de revenir au plans initial, et ça tombe bien ça rejoint les envie de la jeune femme.
“Suis moi, j’ai la solution a ton problème, avant que tout ça ne m’emmène encore dans le bureau des DRH.”
De toute façon tu comptais tu rendre dans les cages de frappes, donc si elle vient avec toi, ce n’est pas comme si ça changeait tes plans. Si en plus ça pouvait être un moyen qu’elle se calme, c’est un bonus appréciable. Quand elle t’interroge, tu te contente de lever les bras, en signe d’incompréhension.
”C’est toi qui a dit que tu voulais frapper dans quelque chose non?”
Tu rentre dans le bâtiment sans vraiment vérifier si Rhéa te suis, tu connais le chemin par cœur. Tu traverses le premier bâtiment, ne prêtant même pas attention aux gens qui s'affairent dans les salles de musculations. Vous finissez par arriver aux des cages de frappes, tu bénies l’université d’avoir une équipe de baseball. Tu attrape une batte sur un présentoir, en faisant tomber deux au passages avec tes deux mains gauches. Tu grogne quelque chose d’inaudible en ramassant ton désordre, avant de te relever et de tendre la batte ainsi qu’un casque a Rhea.
”Et si tu me montrais comment tu frappes?.... Les balles, je précise, hors de question que je te serve de punching ball”
Tu attends qu’elle ne s’empare de son équipement avant de lui ouvrir la porte de la cage de frappe. Tu règle la machine au minium, histoire qu’elle ne se prenne pas un boulet de canon en pleine poire. Ça pourrait être amusant, sur le coup, mais tu en écoutes parler pendant des mois.
”Le point derrière toi tu le grillage c’est l’endroit où la balle arrive. Tu vas t’en sortir où tu veux que je te montre.”
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
Pseudo : Harmoney ♡ elle
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Jeu 6 Juil 2023 - 21:48 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Sung Jin Woo
outfit ⏤ Il a beau être maladroit, Jinwoo sait comment te gérer et surtout, comment te calmer d'un coup quand tu dépasses les bornes. Pas de claque comme Rohan mais des mots durs, qui te stoppent net à mi-crise. Toujours aussi furieuse et tremblante de rage, tu viens pincer les lèvres dans une moue furibonde. Tu ne veux pas perdre ton doctorat, pas après avoir tant insisté pour qu'il accepte de te superviser, et tu n'es pas assez confiante en Jinwoo que pour être sûre qu'il ne mette pas ses menaces à exécution. L'homme est certes brillant mais ses compétences sociales sont proches du néant absolu (comme si tu étais mieux, hein) et il serait bien capable de se détacher de toi sans se rendre compte de l'excellent élément qu'il a dans son équipe.
Tu l'observes alors qu'il parcourt la lettre du regard, t'étouffant presque devant sa nonchalance. Il a payé de sa poche, okay, mais la lettre dit quand même que votre budget va être réduit. Tu n'as cependant pas le temps de clarifier la chose qu'il continue à parler et tu t'étouffes réellement, cette fois. Tu n'étais pas avec moi cette nuit, non mais il le fait exprès ou quoi ? Il y a déjà des rumeurs selon lesquelles vous couchez ensemble, il ne fait que les alimenter là. Les joues roses, tu finis par décoller tes mains de son visage avant de reculer d'un pas précautionneux. Est-ce que tu te rends compte que tu alimentes ces fameuses rumeurs tout autant que lui à force de te jeter sur lui pour l'empêcher de faire tomber des choses ou le faire taire ? Non. Ceci dit, trop bouche bée par les énormités qu'il te sort, tu ne bouges pas. Ce n'est que quand il enchaîne sur les galas que tu récupères tes capacités de réaction et cette fois tu sautes littéralement de ton siège, montée sur ressorts, pour plaquer tes mains sur sa bouche. « Mais ça va pas de dire des trucs pareils ?! Je ne suis pas un bout de viande ! Et je refuse de me prostituer pour du budget ! » Bouffon, va. Tu es outrée, c'est le moins que l'on puisse dire, et ta voix qui monte rapidement dans les aigus en est une preuve formelle. Ton regard se charge de mépris. Ce sont des sales porcs, clairement, mais il en est tout autant un s'il ose dire comme ça qu'il suffit de, tu cites, te sortir à un gala pour ramener de la thune.
Et comme d'habitude, vous faites le spectacle du labo, tu entends déjà les gens chuchoter entre eux. Okay. La prochaine fois tu le coinceras dans son bureau si tu as des reproches à lui faire. Aah. Tu as envie de hurler ta frustration, vraiment.
Forcément, quand il te demande de le suivre en parlant de "solution à ton problème", tu te méfies. « Je suis sûre que les DRH vont adorer apprendre que tu parles de prostituer ta doctorante, tu ne peux t'empêcher de persiffler. » Néanmoins tu te lèves, ignorant royalement tes collègues laborantins et chercheurs, avant de suivre ton professeur dehors. Et c'est ainsi que vous vous retrouvez face au bâtiment des sports. Certes, tu as dit ça oui, mais c'était impulsif, sous le coup de la colère... Intriguée, tu le suis tout de même dans les couloirs, le nez levé pour déchiffrer les panneaux. Tu as appris le coréen depuis petite mais ce n'était pas ta langue maternelle, tu dois parfois te concentrer pour déchiffrer le hangeul. Mais pas besoin de savoir lire quand tu découvres l'endroit où il te mène, et une grimace franche vient déformer ton visage de poupée. Si ça ne ressemble pas à des trucs de baseball, ça... sans avoir particulièrement suivi les péripéties de ton jumeau pendant vos années de séparation, tu sais qu'il avait rejoint un club de baseball, et comme toute chose que fait ton jumeau : tu détestes par principe.
Dubitative, tu regardes Jinwoo se battre avec le présentoir de battes, et tu croises les bras, refusant de bouger le petit doigt pour l'aider. Tu le babysittes déjà assez au boulot, tu vas pas non plus continuer sur ton temps libre. Et quand il te tend une batte et un casque, tu ne peux pas t'empêcher de le regarder avec un sourcil relevé, clairement dédaigneuse. « Parce que j'ai l'air de savoir comment ça s'utilise ? » Inspectant le casque avec une forme de dégoût (qui a utilisé ça avant toi ? a-t-il été nettoyé ? stérilisé ? non mais c'est important hein !), tu finis par l'enfiler. Tu sais même pas pourquoi tu restes là. « Pas besoin, je trouverai bien toute seule ! » Et sur ce, tu rentres dans la cage, ta batte en main. Tout ça pour que, la faute à la maladresse crasse de Jinwoo ou au système de lancer automatique, une balle te frôle et tu sautes sur le côté en glapissant de surprise. « MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE ? Tu pouvais pas prévenir ?! » On peut dire que tu as eu une sacré frayeur sur ce coup.
Il ne faut cependant pas bien longtemps pour que tu finisses par admettre (enfin, seulement intérieurement) que tu n'as strictement aucune idée de la position à prendre, le timing, comment bien tenir la batte pour frapper, toutes ces choses. Tu trépignes, clairement frustrée, à deux doigts de taper du pied comme une gamine en colère. Avec un petit reniflement dédaigneux, tu finis par te tourner vers Jinwoo. Le menton légèrement relevé, les mains sur les hanches, tu lui lances ton regard signature, à savoir le "j'ai besoin d'aide mais je ne le dirai pas donc comprends-le avec ce regard et ramène ton cul". « Tu ne vas pas me faire croire qu'avec ta maladresse tu parviens à toucher les balles ? »
Tu l'observes alors qu'il parcourt la lettre du regard, t'étouffant presque devant sa nonchalance. Il a payé de sa poche, okay, mais la lettre dit quand même que votre budget va être réduit. Tu n'as cependant pas le temps de clarifier la chose qu'il continue à parler et tu t'étouffes réellement, cette fois. Tu n'étais pas avec moi cette nuit, non mais il le fait exprès ou quoi ? Il y a déjà des rumeurs selon lesquelles vous couchez ensemble, il ne fait que les alimenter là. Les joues roses, tu finis par décoller tes mains de son visage avant de reculer d'un pas précautionneux. Est-ce que tu te rends compte que tu alimentes ces fameuses rumeurs tout autant que lui à force de te jeter sur lui pour l'empêcher de faire tomber des choses ou le faire taire ? Non. Ceci dit, trop bouche bée par les énormités qu'il te sort, tu ne bouges pas. Ce n'est que quand il enchaîne sur les galas que tu récupères tes capacités de réaction et cette fois tu sautes littéralement de ton siège, montée sur ressorts, pour plaquer tes mains sur sa bouche. « Mais ça va pas de dire des trucs pareils ?! Je ne suis pas un bout de viande ! Et je refuse de me prostituer pour du budget ! » Bouffon, va. Tu es outrée, c'est le moins que l'on puisse dire, et ta voix qui monte rapidement dans les aigus en est une preuve formelle. Ton regard se charge de mépris. Ce sont des sales porcs, clairement, mais il en est tout autant un s'il ose dire comme ça qu'il suffit de, tu cites, te sortir à un gala pour ramener de la thune.
Et comme d'habitude, vous faites le spectacle du labo, tu entends déjà les gens chuchoter entre eux. Okay. La prochaine fois tu le coinceras dans son bureau si tu as des reproches à lui faire. Aah. Tu as envie de hurler ta frustration, vraiment.
Forcément, quand il te demande de le suivre en parlant de "solution à ton problème", tu te méfies. « Je suis sûre que les DRH vont adorer apprendre que tu parles de prostituer ta doctorante, tu ne peux t'empêcher de persiffler. » Néanmoins tu te lèves, ignorant royalement tes collègues laborantins et chercheurs, avant de suivre ton professeur dehors. Et c'est ainsi que vous vous retrouvez face au bâtiment des sports. Certes, tu as dit ça oui, mais c'était impulsif, sous le coup de la colère... Intriguée, tu le suis tout de même dans les couloirs, le nez levé pour déchiffrer les panneaux. Tu as appris le coréen depuis petite mais ce n'était pas ta langue maternelle, tu dois parfois te concentrer pour déchiffrer le hangeul. Mais pas besoin de savoir lire quand tu découvres l'endroit où il te mène, et une grimace franche vient déformer ton visage de poupée. Si ça ne ressemble pas à des trucs de baseball, ça... sans avoir particulièrement suivi les péripéties de ton jumeau pendant vos années de séparation, tu sais qu'il avait rejoint un club de baseball, et comme toute chose que fait ton jumeau : tu détestes par principe.
Dubitative, tu regardes Jinwoo se battre avec le présentoir de battes, et tu croises les bras, refusant de bouger le petit doigt pour l'aider. Tu le babysittes déjà assez au boulot, tu vas pas non plus continuer sur ton temps libre. Et quand il te tend une batte et un casque, tu ne peux pas t'empêcher de le regarder avec un sourcil relevé, clairement dédaigneuse. « Parce que j'ai l'air de savoir comment ça s'utilise ? » Inspectant le casque avec une forme de dégoût (qui a utilisé ça avant toi ? a-t-il été nettoyé ? stérilisé ? non mais c'est important hein !), tu finis par l'enfiler. Tu sais même pas pourquoi tu restes là. « Pas besoin, je trouverai bien toute seule ! » Et sur ce, tu rentres dans la cage, ta batte en main. Tout ça pour que, la faute à la maladresse crasse de Jinwoo ou au système de lancer automatique, une balle te frôle et tu sautes sur le côté en glapissant de surprise. « MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE ? Tu pouvais pas prévenir ?! » On peut dire que tu as eu une sacré frayeur sur ce coup.
Il ne faut cependant pas bien longtemps pour que tu finisses par admettre (enfin, seulement intérieurement) que tu n'as strictement aucune idée de la position à prendre, le timing, comment bien tenir la batte pour frapper, toutes ces choses. Tu trépignes, clairement frustrée, à deux doigts de taper du pied comme une gamine en colère. Avec un petit reniflement dédaigneux, tu finis par te tourner vers Jinwoo. Le menton légèrement relevé, les mains sur les hanches, tu lui lances ton regard signature, à savoir le "j'ai besoin d'aide mais je ne le dirai pas donc comprends-le avec ce regard et ramène ton cul". « Tu ne vas pas me faire croire qu'avec ta maladresse tu parviens à toucher les balles ? »
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
Messages : 111
Âge : 39
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Sam 15 Juil 2023 - 10:22 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Woo Rhea
outfit ⏤Tu lève un sourcil un peu interloqué par sa réaction. Tu n’as même pas conscience de rajouter de l’huile sur le feu des rumeurs qui vous concerne. Honnêtement tu t’en moques un peu, ce qui a le don de mettre en rogne la DRH d’ailleurs. Tu ne comprends décidément pas toutes les règles que tout le monde se donne. Résultat, Rhéa fait encore la gêner et finis par te coller les mains sur la bouche pour ne pas que tu en dise plus? A quoi elle joue encore? Tu attends quelques secondes, un peu interloquée qu’elle te laisse de nouveau en placer une.
“Tout le monde ici sait que j’ai passé la nuit au labo sur les nouveaux échantillons, arrête de t’imaginer des choses. Je vais finir par croire que c’est toi qui alimente ces rumeurs.”
Tu n'as pas le temps de fermer la bouche que tu déclenche une nouvelle fois la fureur de dame Rhéa. Bon tu dois admettre que maintenant qu’elle le tourne de cette façon, tu te rends compte que ça pouvait effectivement être mal interprété. Justement comme elle vient de le faire. A l’heure actuelle, ton cerveau tourne au maximum de ses capacités pour trouver comment te sortir de cette situation. Clairement il y a un GROS, mais alors très gros malentendu, parce que tu insinuais clairement pas ça. Du moins pas consciemment.
”Attends, attends calmes-toi, ce n’est pas ce que je voulais dire! Je voulais juste dire qu’en te montrant à ce genre d’évènement, il serait plus enclin à nous donner du budget, pas en te vendant. Tu me prends vraiment pour un monstre ou quoi?”
Tu pousses un soupir alors que tu te passes une main dans les cheveux. Comme d’habitude vous vous donnez en spectacle, aucun doute que le labo va avoir de quoi discuter pour le reste de la journée. Même avec ta fiancée ce n’était pas aussi intense tout le temps. Non, ça ne l’était jamais, c’était peut être même là le problème de toute façon.
”Moi qui croyais que tu adorais ce genre de soirée où tu es le centre de l’attention. Dire qu’à l’époque même ma fiancé était jalouse parce que je faisais des pieds et des mains pour avoir le budget pour ton doctorat. Par moment je jure que tu me fais regretter mes choix.”
Au moins le reste du trajet se déroule dans un calme apparent, tu en es le premier étonné. Tu étais à peu près sur qu’elle allait se plaindre à un moment où un autre mais non, elle est restée d’un calme olympien, ce que pour Rhéa, et suffisamment rare pour qu’on le signale. Mais chassez le naturel il revient au galop, à peine arrivée elle commence à se plaindre. Etonnant hein? Tu perçois le dégoût dans son regard, bon tu peux au moins lui accorder le bénéfice du doute.
”Quelqu’un d’aussi brillant que toi ne devrais pas avoir de mal à comprendre comment taper une balle non? Ne t’inquiète pas, le matériel est nettoyé après chaque utilisation. Normalement.”
Alors que madame ne daigne pas enfiler la seule chose qui peut l’empêcher de finir avec un trauma crânien parce qu’elle se sera rater, tu utilises l’écran de la machine pour la régler au minimum. Pas besoin de lui envoyer un boulet de canon, même ça pourrait être une vengeance utile, ça risquerait de mal finir. Par contre, est-ce que tu a déclencher la machine sans la prévenir? Oups, quel maladroit je fais, c’est gênant… Tu ne peux t’empêcher de te moquer d’elle, si elle avait pu se jeter au plafond elle l’aurait fait. il faut bien que tu puisses te moquer un peu de ta protégée de temps à autre non?
“Oups, je suis d’une maladresse”
Pourtant elle te donne toute la puissance de son attitude, tu connais ce regard par cœur. Elle ne te le fait pas souvent mais quand elle est coincé et qu’elle ne veut pas admettre qu’elle a besoin d’aide. Rhéa dans toute sa splendeur, admettre qu’elle ne sait pas et sans doute trop compliqué. On ne peut pas dire que tu es quelqu’un d’orgueilleux en général, pourtant, elle t’a piqué au vif sans le vouloir, en insinuant que tu ne pourrais pas attraper ces balles. Tant pis pour toi Rhéa, mais la chercher. Tu plisses les, peinant clairement à garder ton calme alors que tu ouvre la porte de la cage de lancer.
”Pousse toi je vais te monter, mais reste bien contre le grillage derrière moi.”
Tu lui prends la batte des mains avant de te retourner sans vraiment porter attention à ta doctorante lorsque tu tournes le bouton de réglage de la vitesse de lancé à fond. Parfois l’excitation du stade te manque, les cris puis le silence assourdissant et à nouveau les cris. C’est grisant, même pour quelqu’un comme toi. Tu te mets en place, tranquillement, t'assurant au passage de ne pas pouvoir mettre un coup de batte magistral a Rhéa. Les vieilles manies, superstition reviennent vite, tu comptes les secondes, t’assure de la position de tes pieds au moins 1à fois avant d’appuyer sur les plaque qui libère la balle. C’est la que la mémoire musculaire entre en jeu, tu sais a quel moment tu doit entamer le mouvement, tu libère tes épaules dans une respiration pour renvoyer cette balle dans le grillage dans un bruit si caractéristique.
”Il ne faut pas penser à tout mettre dans les bras, il faut juste renvoyer en utilisant tout ton corps. Comme si tu voulais renvoyer toute la frustration que tu accumule d’un coup. Je te montre encore.”
Tu te remets en place pour renvoyer une nouvelle balles, et encore une autre. Tu ne sais pas vraiment combien tu en retournes en fait. Tu perd vite le compte pour être honnête, c’est un peu comme être dans une thérapie, une fois que l’on commence c’est difficile d’arrêter. Pour être honnête tu t’arrête lorsque la machine de lancé n’a plus de balle à renvoyer. Tu pousse un soupir alors qu tu t’appuis sur la batte quelques secondes. Puis tu te retournes avec un air victorieux vers Rhéa.
”Il y a tellement de chose que tu ne sais pas sur moi, si tu savais a quelle point ça peut être jouissif de te clouer le bec. Alors je te montre comment on fait ou tu te débrouilles toute seul?”
Tu lui tend la batte alors que tu vas ensuite ramassé tes balles pour les remettre dans la machine. Sauf que lorsque tu reviens, rien ne va dans la façon dont elle se tient. Tu pousse un soupir avant de venir vers elle après avoir descendu au minimum la puissance du lanceur.
”Ta position n'est pas bonne, ne bouge pas je vais te mettre en place.”
Tu ne te poses pas vraiment de question alors que tu te colles littéralement dans son dos pour repositionner ses chambres et corriger sa position. Est-ce que tu te rends compte de la situation? Alors pas du tout, et encore moins du fait que cela puisse la mettre mal à l'aise. Tes mains se baladent sur elle mais sans aucune arrière pensée.
”Positionne tes jambes comme ça, ça rend le swing plus simple, et détend toi, tu es tendu comme un arc. Ensuite, quand la balle arrive,frappe avec tout le haut de ton corps en même temps que la batte. Le reste ça dépend de toi.”
“Tout le monde ici sait que j’ai passé la nuit au labo sur les nouveaux échantillons, arrête de t’imaginer des choses. Je vais finir par croire que c’est toi qui alimente ces rumeurs.”
Tu n'as pas le temps de fermer la bouche que tu déclenche une nouvelle fois la fureur de dame Rhéa. Bon tu dois admettre que maintenant qu’elle le tourne de cette façon, tu te rends compte que ça pouvait effectivement être mal interprété. Justement comme elle vient de le faire. A l’heure actuelle, ton cerveau tourne au maximum de ses capacités pour trouver comment te sortir de cette situation. Clairement il y a un GROS, mais alors très gros malentendu, parce que tu insinuais clairement pas ça. Du moins pas consciemment.
”Attends, attends calmes-toi, ce n’est pas ce que je voulais dire! Je voulais juste dire qu’en te montrant à ce genre d’évènement, il serait plus enclin à nous donner du budget, pas en te vendant. Tu me prends vraiment pour un monstre ou quoi?”
Tu pousses un soupir alors que tu te passes une main dans les cheveux. Comme d’habitude vous vous donnez en spectacle, aucun doute que le labo va avoir de quoi discuter pour le reste de la journée. Même avec ta fiancée ce n’était pas aussi intense tout le temps. Non, ça ne l’était jamais, c’était peut être même là le problème de toute façon.
”Moi qui croyais que tu adorais ce genre de soirée où tu es le centre de l’attention. Dire qu’à l’époque même ma fiancé était jalouse parce que je faisais des pieds et des mains pour avoir le budget pour ton doctorat. Par moment je jure que tu me fais regretter mes choix.”
Au moins le reste du trajet se déroule dans un calme apparent, tu en es le premier étonné. Tu étais à peu près sur qu’elle allait se plaindre à un moment où un autre mais non, elle est restée d’un calme olympien, ce que pour Rhéa, et suffisamment rare pour qu’on le signale. Mais chassez le naturel il revient au galop, à peine arrivée elle commence à se plaindre. Etonnant hein? Tu perçois le dégoût dans son regard, bon tu peux au moins lui accorder le bénéfice du doute.
”Quelqu’un d’aussi brillant que toi ne devrais pas avoir de mal à comprendre comment taper une balle non? Ne t’inquiète pas, le matériel est nettoyé après chaque utilisation. Normalement.”
Alors que madame ne daigne pas enfiler la seule chose qui peut l’empêcher de finir avec un trauma crânien parce qu’elle se sera rater, tu utilises l’écran de la machine pour la régler au minimum. Pas besoin de lui envoyer un boulet de canon, même ça pourrait être une vengeance utile, ça risquerait de mal finir. Par contre, est-ce que tu a déclencher la machine sans la prévenir? Oups, quel maladroit je fais, c’est gênant… Tu ne peux t’empêcher de te moquer d’elle, si elle avait pu se jeter au plafond elle l’aurait fait. il faut bien que tu puisses te moquer un peu de ta protégée de temps à autre non?
“Oups, je suis d’une maladresse”
Pourtant elle te donne toute la puissance de son attitude, tu connais ce regard par cœur. Elle ne te le fait pas souvent mais quand elle est coincé et qu’elle ne veut pas admettre qu’elle a besoin d’aide. Rhéa dans toute sa splendeur, admettre qu’elle ne sait pas et sans doute trop compliqué. On ne peut pas dire que tu es quelqu’un d’orgueilleux en général, pourtant, elle t’a piqué au vif sans le vouloir, en insinuant que tu ne pourrais pas attraper ces balles. Tant pis pour toi Rhéa, mais la chercher. Tu plisses les, peinant clairement à garder ton calme alors que tu ouvre la porte de la cage de lancer.
”Pousse toi je vais te monter, mais reste bien contre le grillage derrière moi.”
Tu lui prends la batte des mains avant de te retourner sans vraiment porter attention à ta doctorante lorsque tu tournes le bouton de réglage de la vitesse de lancé à fond. Parfois l’excitation du stade te manque, les cris puis le silence assourdissant et à nouveau les cris. C’est grisant, même pour quelqu’un comme toi. Tu te mets en place, tranquillement, t'assurant au passage de ne pas pouvoir mettre un coup de batte magistral a Rhéa. Les vieilles manies, superstition reviennent vite, tu comptes les secondes, t’assure de la position de tes pieds au moins 1à fois avant d’appuyer sur les plaque qui libère la balle. C’est la que la mémoire musculaire entre en jeu, tu sais a quel moment tu doit entamer le mouvement, tu libère tes épaules dans une respiration pour renvoyer cette balle dans le grillage dans un bruit si caractéristique.
”Il ne faut pas penser à tout mettre dans les bras, il faut juste renvoyer en utilisant tout ton corps. Comme si tu voulais renvoyer toute la frustration que tu accumule d’un coup. Je te montre encore.”
Tu te remets en place pour renvoyer une nouvelle balles, et encore une autre. Tu ne sais pas vraiment combien tu en retournes en fait. Tu perd vite le compte pour être honnête, c’est un peu comme être dans une thérapie, une fois que l’on commence c’est difficile d’arrêter. Pour être honnête tu t’arrête lorsque la machine de lancé n’a plus de balle à renvoyer. Tu pousse un soupir alors qu tu t’appuis sur la batte quelques secondes. Puis tu te retournes avec un air victorieux vers Rhéa.
”Il y a tellement de chose que tu ne sais pas sur moi, si tu savais a quelle point ça peut être jouissif de te clouer le bec. Alors je te montre comment on fait ou tu te débrouilles toute seul?”
Tu lui tend la batte alors que tu vas ensuite ramassé tes balles pour les remettre dans la machine. Sauf que lorsque tu reviens, rien ne va dans la façon dont elle se tient. Tu pousse un soupir avant de venir vers elle après avoir descendu au minimum la puissance du lanceur.
”Ta position n'est pas bonne, ne bouge pas je vais te mettre en place.”
Tu ne te poses pas vraiment de question alors que tu te colles littéralement dans son dos pour repositionner ses chambres et corriger sa position. Est-ce que tu te rends compte de la situation? Alors pas du tout, et encore moins du fait que cela puisse la mettre mal à l'aise. Tes mains se baladent sur elle mais sans aucune arrière pensée.
”Positionne tes jambes comme ça, ça rend le swing plus simple, et détend toi, tu es tendu comme un arc. Ensuite, quand la balle arrive,frappe avec tout le haut de ton corps en même temps que la batte. Le reste ça dépend de toi.”
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
Pseudo : Harmoney ♡ elle
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Lun 24 Juil 2023 - 22:16 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Sung Jin Woo
outfit ⏤ Il... il a passé la nuit au labo. Oh le con. Tu vas l'étouffer avec ta blouse de laborantine s'il continue à balancer des "tu n'étais pas avec moi cette nuit" pour parler d'une nuit de BOULOT. « Mais c'est ta faute ! Pourquoi tu dis des trucs aussi ambigus aussi ? tu répliques, les joues rouges de colère et de honte. »
Tu es réellement à deux doigts de piquer une colère comme tu sais si bien le faire, face à ses propos concernant les galas. Son explication n'apaise pas réellement ta colère, tu es toujours aussi outrée, et ton regard noir est clairement rempli de colère mal dissimulée. Est-ce que tu le prends pour un monstre ? En cet instant, oui. Tu as réellement eu l'impression de te faire traiter de bout de viande à secouer sous le nez des vieux chiens friqués pour financer tes recherches. C'est vexant. C'est rabaissant. Et sa maladresse que tu connais pourtant si bien ne peut pas tout excuser.
À la mention de sa fiancée, tu hausses un sourcil. « Toi, fiancé ? » Qu'on te laisse rire. D'où ça sort cette histoire ? Tu n'en as jamais rien su, mais tu admets intérieurement que c'est passablement plaisant et satisfaisant de savoir que tu suscitais la jalousie d'une autre femme sans rien faire. « Crois-moi, c'est réciproque, tu réponds avec acidité quand il te dit qu'il regrette parfois ses décisions te concernant. »
Mais c'est qu'il te cherche en plus ! Alors que tu fais mille simagrées devant le matériel, c'est à grand peine que tu te retiens de lui faire bouffer le casque qu'il t'a mis entre les mains. Un compliment suivi d'une pique, ça empire le tout. Un jour, tu vas craquer. Un jour, tu vas lui faire avaler le contenu d'une éprouvette. Tant pis pour ton doctorat, tu n'en auras pas besoin au fin fond du Pôle Nord, où tu fuiras pour ne pas finir en prison. « "Normalement", ça signifie qu'en réalité on n'en sait rien, tu marmonnes en réponse. » Et quand la balle part, tu le sais, c'est définitif, il bouffera ta batte avant de sortir d'ici. « Ta maladresse crasse n'excuse pas tout, tu siffles. » Une main posée sur ton cœur en panique, tu le fusilles ouvertement du regard.
Et il semblerait que tu l'ai vexé. Tu le sens à la manière dont il se tient, la raideur de ses gestes, comment il te parle. Un sourire narquois sur les lèvres, tu lui obéis néanmoins, venant appuyer ton dos contre le grillage. Les bras croisés, les mains libérées de la batte qu'il récupère, tu le regardes se mettre en position. Et ton sourire fond immédiatement quand la balle arrive, bien plus vite que celle qu'il a "malencontreusement" relâchée quand tu étais dans la cage (tu en es certaine), et que non seulement il arrive à frapper dedans, mais en plus ça ne semble lui poser aucune difficulté. Et le voilà qui t'explique le mouvement à faire comme si de rien n'était. Tu ne dis rien, bien trop éberluée par ce que tu viens de voir, les yeux bien arrondis comme il faut.
Tu es incapable de le lâcher du regard alors qu'il se remet à frapper les balles, les unes après les autres sans sourciller, comme si ce n'était qu'une simple formalité. Tu admets que ton regard se perd de temps en temps sur son corps. Quoi ? Tu n'es qu'une femme et il y a un mec pas dégueulasse en train de faire de très beaux mouvements de corps devant toi. Tu vas clairement pas cracher sur le spectacle. Cependant, quand il cesse de faire mumuse avec sa batte et se tourne vers toi, son sourire victorieux te fait regretter de t'être laissée aller à l'admirer, rien que le temps d'un instant. Ses mots ravivent les braises de ton déplaisir, et tu pinces les lèvres pour retenir des mots acides, relevant le menton avec un regard de défi. « Il y a beaucoup de choses que je ne suis pas censées savoir sur vous, professeur, tu réponds entre tes dents serrées, lui rappelant vos statuts respectifs. Et tant d'autres que je ne suis pas intéressée de savoir. » Te décollant du grillage contre lequel tu t'étais appuyée, et tu avances vers lui d'un pas décidé pour lui prendre la batte des mains. « Ça ira, j'ai assez vu ta petite démonstration. »
Alors qu'il chipote à la machine, tu te mets en position, cherchant à imiter celle qu'il tenait précédemment. Songeuse, tu regardes tes pieds, cherchant à les mettre comme lui, mais tu n'es pas certaine de ton coup. Et vu le soupir que tu entends derrière toi, tu es bien dans le faux. Tu n'as pas le temps de comprendre ce qu'il te dit que tu le sens se placer dans ton dos. Enfin, "se placer", si seulement ! Non, il se colle à toi et tu te figes, complètement prise par surprise. Tu es tellement ahurie que tu te laisses faire telle une poupée entre ses bras. Tu sens le feu qui se met à flamber sous tes joues, surtout quand tu sens ses mains se promener sur ton corps. Tu fais la belle, tu fais la dure, mais il n'empêche que la dernière fois que tu as eu un homme aussi physiquement proche de toi (sans parler du métro que tu prends tous les matins), c'était il y a dix ans. « J-Jinwoo, tu finis par articuler d'une voix légèrement chevrotante, est-ce que tu pourrais reculer ? » Tu es un poil trop perturbée à ton goût, et trop de pensées s'agitent dans ta tête. Est-ce qu'il se rend compte de ce qu'il fait ? Est-ce voulu ? Tu connais la rumeur selon laquelle il aurait dit à la DHR que ça ne le dérangerait pas que quelque chose se passe avec toi, mais tu avais laissé ça à ce stade : une rumeur. Tu attends qu'il recule, évitant soigneusement qu'il puisse voir ton visage et tes joues en feu alors que tu essaies de garder la pose dans laquelle il t'a placée. Mais quand la première balle part, tu es tellement perturbée encore que tu réagis littéralement trois secondes après que le projectile t'ai dépassée. Whoa. La loose totale. Tu rougis encore plus, de honte et de frustration cette fois. Mais ton côté compétitif et sportif t'empêche de balancer la batte dans un coin. Il était satisfait de te clouer le bec, hein ? Et bien il va voir ! Tu ne te laisseras pas distancer par un rat de laboratoire, foi de Rhea. « Relance une balle, je n'étais pas prête. » C'est toi qui va lui clouer le bec. Et qu'importe le nombre de balles qu'il faudra.
Enfin, un minimum si possible. Tu aimerais garder un peu de dignité quand même.
Tu es réellement à deux doigts de piquer une colère comme tu sais si bien le faire, face à ses propos concernant les galas. Son explication n'apaise pas réellement ta colère, tu es toujours aussi outrée, et ton regard noir est clairement rempli de colère mal dissimulée. Est-ce que tu le prends pour un monstre ? En cet instant, oui. Tu as réellement eu l'impression de te faire traiter de bout de viande à secouer sous le nez des vieux chiens friqués pour financer tes recherches. C'est vexant. C'est rabaissant. Et sa maladresse que tu connais pourtant si bien ne peut pas tout excuser.
À la mention de sa fiancée, tu hausses un sourcil. « Toi, fiancé ? » Qu'on te laisse rire. D'où ça sort cette histoire ? Tu n'en as jamais rien su, mais tu admets intérieurement que c'est passablement plaisant et satisfaisant de savoir que tu suscitais la jalousie d'une autre femme sans rien faire. « Crois-moi, c'est réciproque, tu réponds avec acidité quand il te dit qu'il regrette parfois ses décisions te concernant. »
Mais c'est qu'il te cherche en plus ! Alors que tu fais mille simagrées devant le matériel, c'est à grand peine que tu te retiens de lui faire bouffer le casque qu'il t'a mis entre les mains. Un compliment suivi d'une pique, ça empire le tout. Un jour, tu vas craquer. Un jour, tu vas lui faire avaler le contenu d'une éprouvette. Tant pis pour ton doctorat, tu n'en auras pas besoin au fin fond du Pôle Nord, où tu fuiras pour ne pas finir en prison. « "Normalement", ça signifie qu'en réalité on n'en sait rien, tu marmonnes en réponse. » Et quand la balle part, tu le sais, c'est définitif, il bouffera ta batte avant de sortir d'ici. « Ta maladresse crasse n'excuse pas tout, tu siffles. » Une main posée sur ton cœur en panique, tu le fusilles ouvertement du regard.
Et il semblerait que tu l'ai vexé. Tu le sens à la manière dont il se tient, la raideur de ses gestes, comment il te parle. Un sourire narquois sur les lèvres, tu lui obéis néanmoins, venant appuyer ton dos contre le grillage. Les bras croisés, les mains libérées de la batte qu'il récupère, tu le regardes se mettre en position. Et ton sourire fond immédiatement quand la balle arrive, bien plus vite que celle qu'il a "malencontreusement" relâchée quand tu étais dans la cage (tu en es certaine), et que non seulement il arrive à frapper dedans, mais en plus ça ne semble lui poser aucune difficulté. Et le voilà qui t'explique le mouvement à faire comme si de rien n'était. Tu ne dis rien, bien trop éberluée par ce que tu viens de voir, les yeux bien arrondis comme il faut.
Tu es incapable de le lâcher du regard alors qu'il se remet à frapper les balles, les unes après les autres sans sourciller, comme si ce n'était qu'une simple formalité. Tu admets que ton regard se perd de temps en temps sur son corps. Quoi ? Tu n'es qu'une femme et il y a un mec pas dégueulasse en train de faire de très beaux mouvements de corps devant toi. Tu vas clairement pas cracher sur le spectacle. Cependant, quand il cesse de faire mumuse avec sa batte et se tourne vers toi, son sourire victorieux te fait regretter de t'être laissée aller à l'admirer, rien que le temps d'un instant. Ses mots ravivent les braises de ton déplaisir, et tu pinces les lèvres pour retenir des mots acides, relevant le menton avec un regard de défi. « Il y a beaucoup de choses que je ne suis pas censées savoir sur vous, professeur, tu réponds entre tes dents serrées, lui rappelant vos statuts respectifs. Et tant d'autres que je ne suis pas intéressée de savoir. » Te décollant du grillage contre lequel tu t'étais appuyée, et tu avances vers lui d'un pas décidé pour lui prendre la batte des mains. « Ça ira, j'ai assez vu ta petite démonstration. »
Alors qu'il chipote à la machine, tu te mets en position, cherchant à imiter celle qu'il tenait précédemment. Songeuse, tu regardes tes pieds, cherchant à les mettre comme lui, mais tu n'es pas certaine de ton coup. Et vu le soupir que tu entends derrière toi, tu es bien dans le faux. Tu n'as pas le temps de comprendre ce qu'il te dit que tu le sens se placer dans ton dos. Enfin, "se placer", si seulement ! Non, il se colle à toi et tu te figes, complètement prise par surprise. Tu es tellement ahurie que tu te laisses faire telle une poupée entre ses bras. Tu sens le feu qui se met à flamber sous tes joues, surtout quand tu sens ses mains se promener sur ton corps. Tu fais la belle, tu fais la dure, mais il n'empêche que la dernière fois que tu as eu un homme aussi physiquement proche de toi (sans parler du métro que tu prends tous les matins), c'était il y a dix ans. « J-Jinwoo, tu finis par articuler d'une voix légèrement chevrotante, est-ce que tu pourrais reculer ? » Tu es un poil trop perturbée à ton goût, et trop de pensées s'agitent dans ta tête. Est-ce qu'il se rend compte de ce qu'il fait ? Est-ce voulu ? Tu connais la rumeur selon laquelle il aurait dit à la DHR que ça ne le dérangerait pas que quelque chose se passe avec toi, mais tu avais laissé ça à ce stade : une rumeur. Tu attends qu'il recule, évitant soigneusement qu'il puisse voir ton visage et tes joues en feu alors que tu essaies de garder la pose dans laquelle il t'a placée. Mais quand la première balle part, tu es tellement perturbée encore que tu réagis littéralement trois secondes après que le projectile t'ai dépassée. Whoa. La loose totale. Tu rougis encore plus, de honte et de frustration cette fois. Mais ton côté compétitif et sportif t'empêche de balancer la batte dans un coin. Il était satisfait de te clouer le bec, hein ? Et bien il va voir ! Tu ne te laisseras pas distancer par un rat de laboratoire, foi de Rhea. « Relance une balle, je n'étais pas prête. » C'est toi qui va lui clouer le bec. Et qu'importe le nombre de balles qu'il faudra.
Enfin, un minimum si possible. Tu aimerais garder un peu de dignité quand même.
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
Messages : 111
Âge : 39
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Dim 13 Aoû 2023 - 15:35 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Woo Rhea
outfit ⏤Tu lèves un sourcil lorsque s'étonne que tu ai pu être fiancé. Tu ne peux pas vraiment lui en vouloir, tu penses que c’est la réaction que beaucoup de gens ont eu en l'apprenant. C’est même plutôt compréhensible, tu n’es pas vraiment le genre d’homme a que l’on voit en mari dévoué. Non, même en mari tout court. Il faut aussi dire que dans toute cette histoire, tu n’avais pas vraiment eu ton mot à dire au départ. Vos deux familles ayant plus ou moins tout arrangé avant même que vous vous rencontriez. Enfin, c’est de l’histoire ancienne maintenant, et on ne va pas vraiment dire que ça t’a profondément attristé. Tu étais resté un peu indifférent lorsque vous avez décidé d’annuler ses fiançailles. La situation était du pareil au même pour toi.
”Je suis sûr que tu l’as déjà croisé, elle est aussi professeur ici. Enfin, tout ça est une autre histoire maintenant.”
Tu ne relèves pas la pique qu’elle te retourne avec joie, depuis que tu l’as engagé, tu as bien vite appris à ne pas jouer a ce petit jeu avec elle. Premièrement parce qu’elle est beaucoup plus douée que toi a ce petit jeu, et deuxièmement parce qu’elle ne voudra pas te lâcher tant qu’elle ne te fera pas admettre qu’elle a raison. Clairement, il est beaucoup trop tard pour ça, tu n'auras pas la patience. Elle continue d’ailleurs, sûrement vexée de ne pas avoir réussi a attrapé cette balle. Un peu dire que le baseball est simple en apparence, mais en pratique tout ce complique facilement. Bref ce n’est pas le sujet de ce soir, c’est plutôt de trouver un moyen de calmer les nerfs d’une démone avant qu’elle n’utilise le labo pour invoquer son maître et que tu ne sois obligé de contacter le Vatican.
Tu ne réfléchis pas tellement à ce que tu fais lorsque tu l’aide à se mettre dans une position correcte. Tu n’es pas vraiment familier avec les notions d’espace personnel dans ce genre de situation. L’idée que tu puisses la mettre mal à l'aise ne te traverse même pas l’esprit, enfin pas avant qu’elle ne te le fasse remarquer. Déjà que tu as parfois du mal a te comprendre, alors comprendre ce que les autres ressentent, il ne faut pas trop en demander. Pourtant tu reste quelques secondes complètement pris par surprise devant la voix chevrotante de Rhéa, visiblement embarrassé par la situation. Si tu t’attendais à ça, ta doctorante d’habitude si sûr d’elle et pleine d’attitude prise de court. Tu pourrais te réjouir de la situation, mais pas vraiment, c’est plutôt le contraire. Tu n’aime pas vraiment mettre les gens mal à l'aise, surtout quand ils travaillent pour toi. Bref, tu te recules immédiatement, un peu honteux, le regard toujours posé sur elle.
”Excuse moi je voulais pas… enfin… bref, a toi de jouer.”
Tu pousses un soupir, tu n’es vraiment pas à l'aise dans ce genre de situation. Encore une fois la situation t'échappe complètement. De toute façon a chaque fois qu’elle s’implique avec toi tu ne sais pas quand, mais tu sais que ça risque de partir de travers à un moment où un autre. Tu n’as pas le temps de sortir de la cage qu’elle fait partir une balle… Mais rate son timing lamentablement. Elle nous fait quoi là? Honnêtement elle te frustre un peu, tu as quand même tout fait pour qu’elle réussisse, mais là tu ne peux pas faire grand chose de plus.
”Au moins la position est bonne, on va dire que je t’ai perturbé sur celle là. Pour lancer une balle il faut juste que tu appuie sur la plaque à côté de ton pied.”
Tu prends le temps de sortir rapidement de la cage, avant de te prendre une batte en pleine figure. Parce que, à n’en pas douter, l’idée va forcément traverser la tête de ton étudiante, et tu n’as franchement pas envie de voir comment elle va faire. Tu reste là, assis à l'extérieur de la cage, simplement à l'observer. Tu es admiratif de sa ténacité depuis qu’elle t'as littéralement forcé à la prendre en doctorat, elle ne semble pas supporter l’échec, non, elle ne semble même pas l’envisager comme une option. Tu l’admire un peu pour ça, non pas que tu abandonnes vite, mais tu n’es pas du genre à persévérer une fois que tout te semble être en échec. D’accord, un petit sourire amusé c’est peut affiché alors que tu la vois se débattre avec son timing pour attraper cette belle. Tu en profite un peu, ce n’est pas tous les jours que tu as une occasion pareille.
”Ton mouvement est bon, il faut juste que tu sentes le bo…”
Ton téléphone l'interrompt, tu n’as même pas besoin de regarder, les seules personnes qui t'appellent à cette heure sont le labo et ta mère, or, la deuxième a renoncé depuis un moment, où pas. En tout cas c’est le labo qui t’appelle, donc tu réponds immédiatement, lâchant ton attention de Rhéa.
”Oui, tout va bien? Non elle est encore avec moi, elle n’a encore tué personne… Non, je ne sais pas…. D’accord envoie moi les résultats, je vais jeter un oeil, rentre il est assez tard.”
Chasser le naturel et il revient au galop, ton équipe, une fois libérée de Rhéa semble avoir fini d’analyser ton travail de la nuit. Tu ne peux pas résister a cette idée et tu oublie complétement la jeune femme qui pourtant a une arme dans les mains. Tu sors une tablette de ton sac avant de t'asseoir sur le banc attenant à la cage. Tu en oublie où tu es et au bruit la machine de lancer, tu te fais complètement absorber par la tablette, analysant chaque chiffre, chaque lettre attentivement. Tu peine à cacher ton mécontentement sur ce que tu vois, c’est toi qui a lancé ses tests, tu es sur de ton protocole, alors tu ne peux le blâmer. Tout semble parti pour un nouvel espoir perdu pour tes recherches. Tu ne vas pas faire de grande découverte a chaque fois, mais la découverte de nouvelle espèces et de nouvel échantillon te fait bien trop souvent espérer un peu trop. Encore une fois le travail a prit le pas sur le présent, alors que ton doigt continue de faire défiler le document au rythme de tes grimaces de mécontentement.
”Je suis sûr que tu l’as déjà croisé, elle est aussi professeur ici. Enfin, tout ça est une autre histoire maintenant.”
Tu ne relèves pas la pique qu’elle te retourne avec joie, depuis que tu l’as engagé, tu as bien vite appris à ne pas jouer a ce petit jeu avec elle. Premièrement parce qu’elle est beaucoup plus douée que toi a ce petit jeu, et deuxièmement parce qu’elle ne voudra pas te lâcher tant qu’elle ne te fera pas admettre qu’elle a raison. Clairement, il est beaucoup trop tard pour ça, tu n'auras pas la patience. Elle continue d’ailleurs, sûrement vexée de ne pas avoir réussi a attrapé cette balle. Un peu dire que le baseball est simple en apparence, mais en pratique tout ce complique facilement. Bref ce n’est pas le sujet de ce soir, c’est plutôt de trouver un moyen de calmer les nerfs d’une démone avant qu’elle n’utilise le labo pour invoquer son maître et que tu ne sois obligé de contacter le Vatican.
Tu ne réfléchis pas tellement à ce que tu fais lorsque tu l’aide à se mettre dans une position correcte. Tu n’es pas vraiment familier avec les notions d’espace personnel dans ce genre de situation. L’idée que tu puisses la mettre mal à l'aise ne te traverse même pas l’esprit, enfin pas avant qu’elle ne te le fasse remarquer. Déjà que tu as parfois du mal a te comprendre, alors comprendre ce que les autres ressentent, il ne faut pas trop en demander. Pourtant tu reste quelques secondes complètement pris par surprise devant la voix chevrotante de Rhéa, visiblement embarrassé par la situation. Si tu t’attendais à ça, ta doctorante d’habitude si sûr d’elle et pleine d’attitude prise de court. Tu pourrais te réjouir de la situation, mais pas vraiment, c’est plutôt le contraire. Tu n’aime pas vraiment mettre les gens mal à l'aise, surtout quand ils travaillent pour toi. Bref, tu te recules immédiatement, un peu honteux, le regard toujours posé sur elle.
”Excuse moi je voulais pas… enfin… bref, a toi de jouer.”
Tu pousses un soupir, tu n’es vraiment pas à l'aise dans ce genre de situation. Encore une fois la situation t'échappe complètement. De toute façon a chaque fois qu’elle s’implique avec toi tu ne sais pas quand, mais tu sais que ça risque de partir de travers à un moment où un autre. Tu n’as pas le temps de sortir de la cage qu’elle fait partir une balle… Mais rate son timing lamentablement. Elle nous fait quoi là? Honnêtement elle te frustre un peu, tu as quand même tout fait pour qu’elle réussisse, mais là tu ne peux pas faire grand chose de plus.
”Au moins la position est bonne, on va dire que je t’ai perturbé sur celle là. Pour lancer une balle il faut juste que tu appuie sur la plaque à côté de ton pied.”
Tu prends le temps de sortir rapidement de la cage, avant de te prendre une batte en pleine figure. Parce que, à n’en pas douter, l’idée va forcément traverser la tête de ton étudiante, et tu n’as franchement pas envie de voir comment elle va faire. Tu reste là, assis à l'extérieur de la cage, simplement à l'observer. Tu es admiratif de sa ténacité depuis qu’elle t'as littéralement forcé à la prendre en doctorat, elle ne semble pas supporter l’échec, non, elle ne semble même pas l’envisager comme une option. Tu l’admire un peu pour ça, non pas que tu abandonnes vite, mais tu n’es pas du genre à persévérer une fois que tout te semble être en échec. D’accord, un petit sourire amusé c’est peut affiché alors que tu la vois se débattre avec son timing pour attraper cette belle. Tu en profite un peu, ce n’est pas tous les jours que tu as une occasion pareille.
”Ton mouvement est bon, il faut juste que tu sentes le bo…”
Ton téléphone l'interrompt, tu n’as même pas besoin de regarder, les seules personnes qui t'appellent à cette heure sont le labo et ta mère, or, la deuxième a renoncé depuis un moment, où pas. En tout cas c’est le labo qui t’appelle, donc tu réponds immédiatement, lâchant ton attention de Rhéa.
”Oui, tout va bien? Non elle est encore avec moi, elle n’a encore tué personne… Non, je ne sais pas…. D’accord envoie moi les résultats, je vais jeter un oeil, rentre il est assez tard.”
Chasser le naturel et il revient au galop, ton équipe, une fois libérée de Rhéa semble avoir fini d’analyser ton travail de la nuit. Tu ne peux pas résister a cette idée et tu oublie complétement la jeune femme qui pourtant a une arme dans les mains. Tu sors une tablette de ton sac avant de t'asseoir sur le banc attenant à la cage. Tu en oublie où tu es et au bruit la machine de lancer, tu te fais complètement absorber par la tablette, analysant chaque chiffre, chaque lettre attentivement. Tu peine à cacher ton mécontentement sur ce que tu vois, c’est toi qui a lancé ses tests, tu es sur de ton protocole, alors tu ne peux le blâmer. Tout semble parti pour un nouvel espoir perdu pour tes recherches. Tu ne vas pas faire de grande découverte a chaque fois, mais la découverte de nouvelle espèces et de nouvel échantillon te fait bien trop souvent espérer un peu trop. Encore une fois le travail a prit le pas sur le présent, alors que ton doigt continue de faire défiler le document au rythme de tes grimaces de mécontentement.
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
Pseudo : Harmoney ♡ elle
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Jeu 24 Aoû 2023 - 18:42 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Sung Jin Woo
outfit ⏤ Bon, maintenant que tu sais ça, tu ne pourras pas t'empêcher de te demander si chaque femme qui te fusille du regarde ne serait pas l'ex-fiancée de Jinwoo. Oh, tu sens que tu ne pourras pas t'empêcher de tirer sur la corde,titiller ces dames.
Mais d'abord, il faudrait que le corps de Jinwoo pressé contre le tien cesse de titiller ton imagination, ça serait un bon début. Il serait peut-être temps pour toi de te tourner vers les sites de rencontres s'il suffit de ça pour te mettre le feu aux joues. Tu n'es pas une ado, zut quoi ! Tu n'as certes pas d'expérience dans le domaine mais... enfin... tu es adulte... ça ne suffit pas ? Il se recule et tu laisses échapper une petite expiration étranglée. Et d'une certaine manière, tu es presque soulagée de voir qu'il n'en mène pas plus large que toi. Sans affronter son regard (hors de question qu'il voie tes joues rouges et en tire des conclusions aussi hâtives que fausses !), tu relèves donc la batte, gardant la position dans laquelle il t'a placée. Mais quand tu loupes lamentablement la première balle, bougeant alors qu'elle t'a déjà dépassée, tu réagis au quart de tour devant son commentaire, pivotant sur tes pieds pour le fusiller du regard. « Tu ne m'as pas perturbée ! tu réfutes avec feu. Je n'étais pas prête, c'est tout ! » La mauvaise foi à son apogée. Tu lances un regard à tes pieds, repérant la plaque dont il parle. Est-ce que tu auras le temps de faire partir une balle avant qu'il ne parvienne à sortir de la cage ? C'est tentant. Mais il est plus rapide que ton idée. Dommage.
Alors tu fais face au... truc qui lance les balles, qu'importe comment ça s'appelle, la rage de vaincre dans les yeux et ta batte maintenue un poil trop haut que pour ne pas ressembler à une menace. Et tu t'obstines. Tu t'obstines comme quand tu asharcelé demandé avec insistance à Jinwoo de te prendre en doctorat. Mais tu as beau t'obstiner, ton ratio balles touchées-ratées touche le néant, ce qui a le don de t'énerver profondément. Et quand il commence à commenter tes compétences, tu es presque ravie qu'il soit interrompu par la sonnerie de son téléphone. Sentir le bon moment ? No shit Sherlock. Cependant ton attention est naturellement attirée quand tu comprends à demi mot que l'on parle de toi au téléphone. Tu n'as tué encore personne ? « MAIS ÇA RISQUE DE NE PAS TARDER ! tu cries assez fort que pour être entendue à l'autre bout du fil. » Et sur ces belles paroles, tu retournes à ton duel à mort avec la machine des enfers qui lance des balles que tu ne parviens pas à renvoyer.
Il te faut un moment avant de comprendre que tu n'as plus du tout l'attention de Jinwoo focalisée sur toi et tes désastreux essais. Tu t'en rends compte quand, après avoir ENFIN réussi à frapper dans une balle, il n'y a que le silence qui succède à ton exclamation victorieuse. Te retournant pour voir pourquoi tu n'as pas droit à la moindre félicitation, tu le découvres le nez plongé sur sa tablette. Neuf chances sur dix qu'il soit en train de bosser. Vexée de ne pas être félicitée (bien que tu aurais juste haussé les épaules sans accepter les louanges parce que, après tout, tu réussis toujours ce que tu entreprends), tu quittes la cage, y laissant la batte histoire de ne pas être tentée de l'utiliser sur lui, et viens te planter face à ton professeur, les bras croisés. « Irrécupérable, tu lâches sur un ton agacé. Tu ne peux vraiment pas lâcher le boulot deux secondes ? » Et sans lui laisser le temps de répondre, tu lui prends la tablette des mains. Bon, oui, ce n'est pas avec ton petit gabarit que tu réussiras à l'empêcher de la récupérer, hein, c'est juste pour le geste. Absolument pas gênée de fourrer ton nez dans ce qui ne te regarde pas, tu te permets de regarder ce qui le faisait tirer de telles grimaces. « Oh, ce sont les résultats des derniers échantillons ? Anyway. T'es pas au labo, alors tu ranges le boulot. Comment tu veux que je me détende et n'étrangle personne si tu le stresses comme ça ? Ah, et interdiction de filer au labo avant lundi, c'est compris ? » Sinon tu jures que tu changeras ces fichues serrures.
« Bon. Il y a un café, un truc où boire quelque chose ? J'ai mal aux épaules et la gorge sèche maintenant. Et comme tu as préféré regarder tes rapports au lieu de me féliciter, c'est toi qui offre. » Il peut bien te faire ce cadeau, hein. Puis tu as bien vu que les résultats ne lui plaisaient pas, mais si tu le laisses ruminer là-dessus maintenant, vous êtes repartis pour une nuit de boulot. Et t'as pas envie. Mais alors là, pas du tout.
Mais d'abord, il faudrait que le corps de Jinwoo pressé contre le tien cesse de titiller ton imagination, ça serait un bon début. Il serait peut-être temps pour toi de te tourner vers les sites de rencontres s'il suffit de ça pour te mettre le feu aux joues. Tu n'es pas une ado, zut quoi ! Tu n'as certes pas d'expérience dans le domaine mais... enfin... tu es adulte... ça ne suffit pas ? Il se recule et tu laisses échapper une petite expiration étranglée. Et d'une certaine manière, tu es presque soulagée de voir qu'il n'en mène pas plus large que toi. Sans affronter son regard (hors de question qu'il voie tes joues rouges et en tire des conclusions aussi hâtives que fausses !), tu relèves donc la batte, gardant la position dans laquelle il t'a placée. Mais quand tu loupes lamentablement la première balle, bougeant alors qu'elle t'a déjà dépassée, tu réagis au quart de tour devant son commentaire, pivotant sur tes pieds pour le fusiller du regard. « Tu ne m'as pas perturbée ! tu réfutes avec feu. Je n'étais pas prête, c'est tout ! » La mauvaise foi à son apogée. Tu lances un regard à tes pieds, repérant la plaque dont il parle. Est-ce que tu auras le temps de faire partir une balle avant qu'il ne parvienne à sortir de la cage ? C'est tentant. Mais il est plus rapide que ton idée. Dommage.
Alors tu fais face au... truc qui lance les balles, qu'importe comment ça s'appelle, la rage de vaincre dans les yeux et ta batte maintenue un poil trop haut que pour ne pas ressembler à une menace. Et tu t'obstines. Tu t'obstines comme quand tu as
Il te faut un moment avant de comprendre que tu n'as plus du tout l'attention de Jinwoo focalisée sur toi et tes désastreux essais. Tu t'en rends compte quand, après avoir ENFIN réussi à frapper dans une balle, il n'y a que le silence qui succède à ton exclamation victorieuse. Te retournant pour voir pourquoi tu n'as pas droit à la moindre félicitation, tu le découvres le nez plongé sur sa tablette. Neuf chances sur dix qu'il soit en train de bosser. Vexée de ne pas être félicitée (bien que tu aurais juste haussé les épaules sans accepter les louanges parce que, après tout, tu réussis toujours ce que tu entreprends), tu quittes la cage, y laissant la batte histoire de ne pas être tentée de l'utiliser sur lui, et viens te planter face à ton professeur, les bras croisés. « Irrécupérable, tu lâches sur un ton agacé. Tu ne peux vraiment pas lâcher le boulot deux secondes ? » Et sans lui laisser le temps de répondre, tu lui prends la tablette des mains. Bon, oui, ce n'est pas avec ton petit gabarit que tu réussiras à l'empêcher de la récupérer, hein, c'est juste pour le geste. Absolument pas gênée de fourrer ton nez dans ce qui ne te regarde pas, tu te permets de regarder ce qui le faisait tirer de telles grimaces. « Oh, ce sont les résultats des derniers échantillons ? Anyway. T'es pas au labo, alors tu ranges le boulot. Comment tu veux que je me détende et n'étrangle personne si tu le stresses comme ça ? Ah, et interdiction de filer au labo avant lundi, c'est compris ? » Sinon tu jures que tu changeras ces fichues serrures.
« Bon. Il y a un café, un truc où boire quelque chose ? J'ai mal aux épaules et la gorge sèche maintenant. Et comme tu as préféré regarder tes rapports au lieu de me féliciter, c'est toi qui offre. » Il peut bien te faire ce cadeau, hein. Puis tu as bien vu que les résultats ne lui plaisaient pas, mais si tu le laisses ruminer là-dessus maintenant, vous êtes repartis pour une nuit de boulot. Et t'as pas envie. Mais alors là, pas du tout.
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
Messages : 111
Âge : 39
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Mar 5 Sep 2023 - 11:26 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Woo Rhea
outfit ⏤ Est-ce que tu crois Rhéa lorsqu’elle te dit ne pas être perturbé? Seulement à moitié, ce n’est pas la première fois que tu te rends de ce genre “d’incident” avec elle. Tu ne cherche pas à la perturbé volontairement, c’est juste que parfois ça arrive, lorsque tu échappes quelque chose ou que tu as besoin de matériel qui est à côté d'elle et que tu ne veux pas la déranger en la poussant. Tu te contente d'acquiescer de manière très peu crédible. Si elle veut garder ça pour elle, qui es-tu pour juger? C’est juste qu’une fille comme elle, qui veut toujours jouer a la plus forte et en faire des tonnes, qui soudain se transforme en princesse perturbée, c’est un peu bizarre. Tu sors de la cage le plus vite possible, avant qu’elle ne décide de prouver son argument a coup de batte.
Tu ne peux pas lui enlever son obstination, tu l’observe, amusé, en train de s’acharner pour pouvoir taper une balle. C’est quelque chose qui t'a toujours impressionnée chez elle, le fait de ne jamais rien lâcher. Bon d’accord, c’est aussi très pénible dans certains cas, surtout quand tu veux lui faire comprendre qu’elle part droit dans le mur. Question d’habitude sans doute. Mais Rhéa revient dans toute sa splendeur lorsque le téléphone sonne. Tu ne peux t’empêcher de lui jeter un regard en coin, elle prend décidément de plus en plus de liberté pour s'immiscer dans tout ce que tu fais et tu ne sais plus vraiment comment le prendre. Visiblement sa remarque est arrivée jusqu’à l’autre bout du fil, puisque tu entends juste un ”Bon courage chef!” avant la sonnerie de fin de conversation.
”Rhéa il va falloir arrêter de t’immiscer dans tout ce que je fais, même en dehors du labo, après tu t'étonnes que les gens du labo se font des idées.”
Bon, ça, tu n’aurais peut-être pas dû le dire à haute voix, elle risque de mal le prendre, et ça va encore partir en grand n’importe quoi. Trop tard, il va falloir gérer les répercussions, ce n’est pas comme si tu n’avais pas l’habitude. Tu oublie pourtant bien vite les risques de guerre atomique lorsque tu commences à te plonger dans les résultats de test. Comme d’habitude tu te fais happer par le travail en un rien de temps et tu oublie complètement ce qui se passe autour de toi. Tu ne réagis même pas au bruit sourd que produit la balle lorsque ta doctorante finit enfin par le toucher, trop obnubilé par les résultats décevant que tu parcours du bout des doigts. C’est Rhéa qui te sort de ta transe lorsque tu te rends compte qu’elle est plantée devant toi, visiblement agacée de ne plus être le centre d’attention. Tu n’as même pas le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’elle te prend la tablette des mains. C’est officiel, tu n’as absolument aucun contrôle sur elle de quelque façon que ce soit, ça a le mérite d’être clair.
Tu ne sais pas trop pourquoi mais elle te pique dans le peu d'orgueil que tu as, où c’est juste l’accumulation de remarques désagréables qu’elle t'envoie qui finit par arriver à un certain point. Tu lève un sourcil interrogateur à ses remarques, elle est vraiment en train de te faire la leçon là? Elle n’est pas vraiment mieux que toi dans ce domaine. ”Je te signale que si je t’ai sortie du labo, c’est justement pour éviter que tu passes tes nerfs sur tout le monde AU BOULOT, donc que les autres puissent travailler en paix.”
Tu es plus sec que tu ne le voudrais, ce n’est pas vraiment volontaire, mais on est clairement dans le genre de situation où tu n’es pas armé pour réagir convenablement. Son attitude te déplait un peu plus, elle oublie un peu à qui elle parle, bien que vous ne soyez pas au labo. Tu te lève te rapprohant de la jeune femme, sans doute un peu trop, pour lui reprendre la tablette des mains. Tu n’es pas vraiment en colère, mais tu ne la lâches pas, renforçant un peu plus la proximité entre vous deux, histoire de la mettre un minimum à mal à l'aise. ”Pourquoi est-ce que tu ressens le besoin de toujours être impliqué dans ce que je fais où je vais faire au labo? Après tu te plains des rumeurs qui cours, mais je te signale que tu les alimentes plus que moi. Je jure que par moment je me demande si tu es ma doctorante où ma petite amie à me faire ce genre de réflexion.”
Tu ne l’as pas lâcher du regard, tu es juste à quelques centimètres d’elle, mais tu finis par reculer, ne voulant pas non plus la mettre plus mal à l'aise que nécessaire. Tu n’as pas pour but non plus de faire tout un foin de cette histoire. Tu retournes ranger ta tablette dans ton sac tournant le dos a Rhéa quelques instants. Ok, tu admets, tu parcours une nouvelle fois les résultats en diagonal avant de ranger l’appareil, mais c’était juste au cas où, vous comprenez.
Tu pousses un soupir en te relevant, tu en as peut-être un peu trop fait cette fois. Honnêtement tu t’en veux un peu, tu te passes une main dans les cheveux avant de te retourner vers Rhéa. ”Excuse moi j’aurais pas pas du te dire ça, c’était déplacer.” Tu jette un coup d'œil a ta montre, vu l’heure, il n’y a quasiment plus rien d’ouvert sur a proximité, à part les distributeurs automatiques. Tu n’as pas vraiment sûr que ce soit suffisant pour Rhéa, après tout elle est sans doute habituée à un peu mieux. Mais tu sens bien le reproche pour ne pas l’avoir félicité. Elle toujours ainsi, ça t’a étonné depuis le départ. Elle semble toujours être à la recherche de l’attention, peut être que c’est ainsi quand on grandit dans une famille normale, tu ne sais pas vraiment. ”A cette heure-ce, il ne doit rester que les distributeurs automatiques qui sont à l'extérieur. Je ne sais pas si ça te va. Sinon je peux toujours te proposer un petit pari, je vais te chercher ce que tu veux au distributeur, et si jamais quand je reviens tu arrives à toucher une autre balle, je t’invite où tu veux.”
Est-ce que tu joues avec son instinct de compétition? Complètement. En même temps tu lui donne sur un plateau d’argent, elle est sûr de gagner, tu n’as fixé aucune limite de temps où de balle. Disons que c’est un moyen de l’encourager et en plus de te faire un peu pardonner ton attitude précédente. Quoi que maintenant que tu y penses, ça ne risque pas d’arranger les rumeurs si on vous voit quelque part tous les deux. Tu t’en moques un peu pour être honnête, ce n’est pas de ta faute si les gens voient le mal partout. Ce n’est quand même pas interdit d’inviter quelqu’un sans arrière pensée? Enfin tu ne crois pas.
Tu ne peux pas lui enlever son obstination, tu l’observe, amusé, en train de s’acharner pour pouvoir taper une balle. C’est quelque chose qui t'a toujours impressionnée chez elle, le fait de ne jamais rien lâcher. Bon d’accord, c’est aussi très pénible dans certains cas, surtout quand tu veux lui faire comprendre qu’elle part droit dans le mur. Question d’habitude sans doute. Mais Rhéa revient dans toute sa splendeur lorsque le téléphone sonne. Tu ne peux t’empêcher de lui jeter un regard en coin, elle prend décidément de plus en plus de liberté pour s'immiscer dans tout ce que tu fais et tu ne sais plus vraiment comment le prendre. Visiblement sa remarque est arrivée jusqu’à l’autre bout du fil, puisque tu entends juste un ”Bon courage chef!” avant la sonnerie de fin de conversation.
”Rhéa il va falloir arrêter de t’immiscer dans tout ce que je fais, même en dehors du labo, après tu t'étonnes que les gens du labo se font des idées.”
Bon, ça, tu n’aurais peut-être pas dû le dire à haute voix, elle risque de mal le prendre, et ça va encore partir en grand n’importe quoi. Trop tard, il va falloir gérer les répercussions, ce n’est pas comme si tu n’avais pas l’habitude. Tu oublie pourtant bien vite les risques de guerre atomique lorsque tu commences à te plonger dans les résultats de test. Comme d’habitude tu te fais happer par le travail en un rien de temps et tu oublie complètement ce qui se passe autour de toi. Tu ne réagis même pas au bruit sourd que produit la balle lorsque ta doctorante finit enfin par le toucher, trop obnubilé par les résultats décevant que tu parcours du bout des doigts. C’est Rhéa qui te sort de ta transe lorsque tu te rends compte qu’elle est plantée devant toi, visiblement agacée de ne plus être le centre d’attention. Tu n’as même pas le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’elle te prend la tablette des mains. C’est officiel, tu n’as absolument aucun contrôle sur elle de quelque façon que ce soit, ça a le mérite d’être clair.
Tu ne sais pas trop pourquoi mais elle te pique dans le peu d'orgueil que tu as, où c’est juste l’accumulation de remarques désagréables qu’elle t'envoie qui finit par arriver à un certain point. Tu lève un sourcil interrogateur à ses remarques, elle est vraiment en train de te faire la leçon là? Elle n’est pas vraiment mieux que toi dans ce domaine. ”Je te signale que si je t’ai sortie du labo, c’est justement pour éviter que tu passes tes nerfs sur tout le monde AU BOULOT, donc que les autres puissent travailler en paix.”
Tu es plus sec que tu ne le voudrais, ce n’est pas vraiment volontaire, mais on est clairement dans le genre de situation où tu n’es pas armé pour réagir convenablement. Son attitude te déplait un peu plus, elle oublie un peu à qui elle parle, bien que vous ne soyez pas au labo. Tu te lève te rapprohant de la jeune femme, sans doute un peu trop, pour lui reprendre la tablette des mains. Tu n’es pas vraiment en colère, mais tu ne la lâches pas, renforçant un peu plus la proximité entre vous deux, histoire de la mettre un minimum à mal à l'aise. ”Pourquoi est-ce que tu ressens le besoin de toujours être impliqué dans ce que je fais où je vais faire au labo? Après tu te plains des rumeurs qui cours, mais je te signale que tu les alimentes plus que moi. Je jure que par moment je me demande si tu es ma doctorante où ma petite amie à me faire ce genre de réflexion.”
Tu ne l’as pas lâcher du regard, tu es juste à quelques centimètres d’elle, mais tu finis par reculer, ne voulant pas non plus la mettre plus mal à l'aise que nécessaire. Tu n’as pas pour but non plus de faire tout un foin de cette histoire. Tu retournes ranger ta tablette dans ton sac tournant le dos a Rhéa quelques instants. Ok, tu admets, tu parcours une nouvelle fois les résultats en diagonal avant de ranger l’appareil, mais c’était juste au cas où, vous comprenez.
Tu pousses un soupir en te relevant, tu en as peut-être un peu trop fait cette fois. Honnêtement tu t’en veux un peu, tu te passes une main dans les cheveux avant de te retourner vers Rhéa. ”Excuse moi j’aurais pas pas du te dire ça, c’était déplacer.” Tu jette un coup d'œil a ta montre, vu l’heure, il n’y a quasiment plus rien d’ouvert sur a proximité, à part les distributeurs automatiques. Tu n’as pas vraiment sûr que ce soit suffisant pour Rhéa, après tout elle est sans doute habituée à un peu mieux. Mais tu sens bien le reproche pour ne pas l’avoir félicité. Elle toujours ainsi, ça t’a étonné depuis le départ. Elle semble toujours être à la recherche de l’attention, peut être que c’est ainsi quand on grandit dans une famille normale, tu ne sais pas vraiment. ”A cette heure-ce, il ne doit rester que les distributeurs automatiques qui sont à l'extérieur. Je ne sais pas si ça te va. Sinon je peux toujours te proposer un petit pari, je vais te chercher ce que tu veux au distributeur, et si jamais quand je reviens tu arrives à toucher une autre balle, je t’invite où tu veux.”
Est-ce que tu joues avec son instinct de compétition? Complètement. En même temps tu lui donne sur un plateau d’argent, elle est sûr de gagner, tu n’as fixé aucune limite de temps où de balle. Disons que c’est un moyen de l’encourager et en plus de te faire un peu pardonner ton attitude précédente. Quoi que maintenant que tu y penses, ça ne risque pas d’arranger les rumeurs si on vous voit quelque part tous les deux. Tu t’en moques un peu pour être honnête, ce n’est pas de ta faute si les gens voient le mal partout. Ce n’est quand même pas interdit d’inviter quelqu’un sans arrière pensée? Enfin tu ne crois pas.
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
Pseudo : Harmoney ♡ elle
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Célébrité : Im Nayeon (Twice)
Crédits : avatar @lullaby(e)
Messages : 70
Âge : 31
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Mer 20 Sep 2023 - 22:04 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Sung Jin Woo
outfit ⏤ Face à ses remontrances, tu croises les bras, haussant un sourcil tout sauf impressionné. « Tu parlais de moi, tu pointes sans sourciller. C'est normal que je réagisse, non ? » C'est dans ces moments-là que l'on voit à quel point tes normes sociales sont aux fraises. Non, ce n'est pas parce que l'on parle de toi que la discussion te concerne à un niveau personnel. Tu te retiens de justesse de lui rétorquer que si les gens du labo se font des idées, c'est parce qu'il répond nonchalamment aux RH que "ça ne l'aurait pas dérangé" que les rumeurs courant sur vous soient vraies.
Et comme souvent avec toi... la discussion finit par s'envenimer. Alors que tu consultes le rapport qu'il t'aurait très certainement partagé par la suite. Tu es comme frappée par la foudre, ses mots d'une violence inouïe par rapport à son calme habituel. Tu te figes, ouvrant de grands yeux surpris alors que tu manques presque de faire tomber la tablette. Mais comme souvent, tu te reprends rapidement, pinçant les lèvres alors que tes doigts se serrent sur l'objet que tu tiens dans les mains, les jointures blanches. Tu pensais qu'il s'arrêterait là mais non, voilà qu'il se lève et rentre dans ton espace vital. Ce qui, surtout après sa démonstration de baseball d'il y a quelques temps, te mets légèrement mal à l'aise. Mais ton mal-être est rapidement remplacée par la colère face aux mots qu'il te lancent en pleine figure. Sa doctorante ou sa copine ? Ah, c'est fin de la part de quelqu'un qui n'a même pas été foutu de maintenir ses fiançailles parce qu'il est littéralement marié à son travail. Et du coup, étant son assistante... ouais, c'est un peu comme si tu étais sa work girlfriend, on pourrait dire. « Je suis plus que ta doctorante, je suis ton assistante, et tu mérites ces réflexions, professeur ! tu t'insurges, bien décidée à ne pas te laisser faire. Avoue-le, tu comptais retourner au labo après ça et relancer une batterie d'analyse ! » Tu es quasi sûre d'avoir raison. Absolument furieuse d'avoir été réprimandée ainsi, tu te détournes de lui, commençant à rassembler tes affaires. Pas question que tu restes ici si c'est pour t'engueuler avec lui et perdre tous les bienfaits de l'exercice physique auquel tu viens de t'adonner, ça ne rime à rien.
Tu es cependant interrompue en plein empaquetage par ses excuses, et tu fais la moue, refusant de te tourner pour affronter son regard. Quand il commence à te parler des distributeurs automatiques, tu tournes la tête vers lui, prête à l'envoyer balader. « Ça n'a plus d'imp... » Oh. Une invitation. Où tu veux ? Est-ce que ça inclut un resto ? Parce que ton estomac se rappelle à toi, tu n'as rien mangé de la soirée et t'esquinter sur ces balles t'a ouvert l'appétit. Alors tu hésites. Tu es toujours vexée, ébranlée par ses remontrances que tu estimes injustifiées (mais qui ne l'étaient pas, n'importe qui te le dirait) mais en même temps... « Un jus de pêche, tu finis par dire. Fais-vite... j'ai faim. » Le "s'il te plaît" est clairement en option. Tu lui adresses un petit sourire faussement angélique, comme si tu ne venais pas du tout de l'envoyer sur une quête impossible puisqu'aucun distributeur du campus n'a de jus de pêche à ta connaissance, avant d'attendre qu'il ait quitté la salle pour retourner dans la cage. Ton désir de vaincre ayant été titillé, tu recommences à t'acharner contre le système et la gravité, mais rien n'y fait, tu es trop lente, trop fébrile, trop impatiente.
Stratégie, tu dois penser stratégie. Tu n'as touché qu'une balle sur tout ce temps, tu ne vas pas parier un resto offert sur ça. D'ordinaire, tu es une sportive assidue qui refuse les shortcuts. Mais cette fois, rien que cette fois... tu l'as bien mérité ton petit shortcut, non ? Puis tu en as touché une et tu n'as eu comme récompense qu'une engueulade.
Attrapant une balle au sol, tu te contentes de la lancer devant toi et de (tenter de) la taper avec la batte. Eh, il a dit que tu devais réussir à toucher une balle, pas comment ni d'où elle devait venir, pas vrai ? Tu recommences ce petit manège jusqu'à réussir à toucher la balle et l'envoyer avec suffisamment de force contre le grillage que pour que ça t'enregistre un point. Levant ta batte en signe de victoire, tu laisses échapper un petit gloussement victorieux. « À moi le restaurant ! » Oh comme tu as hâte qu'il revienne et remarque le point supplémentaire affiché au compteur. Tu prends le temps de te recomposer un visage neutre, bien qu'incapable de gommer la satisfaction de ton petit sourire en coin, alors que tu attends le retour de Jinwoo. « Et toc ! tu lances en relevant le menton quand il apparait dans ton champ de vision. Alors, cette invitation ? »
Et comme souvent avec toi... la discussion finit par s'envenimer. Alors que tu consultes le rapport qu'il t'aurait très certainement partagé par la suite. Tu es comme frappée par la foudre, ses mots d'une violence inouïe par rapport à son calme habituel. Tu te figes, ouvrant de grands yeux surpris alors que tu manques presque de faire tomber la tablette. Mais comme souvent, tu te reprends rapidement, pinçant les lèvres alors que tes doigts se serrent sur l'objet que tu tiens dans les mains, les jointures blanches. Tu pensais qu'il s'arrêterait là mais non, voilà qu'il se lève et rentre dans ton espace vital. Ce qui, surtout après sa démonstration de baseball d'il y a quelques temps, te mets légèrement mal à l'aise. Mais ton mal-être est rapidement remplacée par la colère face aux mots qu'il te lancent en pleine figure. Sa doctorante ou sa copine ? Ah, c'est fin de la part de quelqu'un qui n'a même pas été foutu de maintenir ses fiançailles parce qu'il est littéralement marié à son travail. Et du coup, étant son assistante... ouais, c'est un peu comme si tu étais sa work girlfriend, on pourrait dire. « Je suis plus que ta doctorante, je suis ton assistante, et tu mérites ces réflexions, professeur ! tu t'insurges, bien décidée à ne pas te laisser faire. Avoue-le, tu comptais retourner au labo après ça et relancer une batterie d'analyse ! » Tu es quasi sûre d'avoir raison. Absolument furieuse d'avoir été réprimandée ainsi, tu te détournes de lui, commençant à rassembler tes affaires. Pas question que tu restes ici si c'est pour t'engueuler avec lui et perdre tous les bienfaits de l'exercice physique auquel tu viens de t'adonner, ça ne rime à rien.
Tu es cependant interrompue en plein empaquetage par ses excuses, et tu fais la moue, refusant de te tourner pour affronter son regard. Quand il commence à te parler des distributeurs automatiques, tu tournes la tête vers lui, prête à l'envoyer balader. « Ça n'a plus d'imp... » Oh. Une invitation. Où tu veux ? Est-ce que ça inclut un resto ? Parce que ton estomac se rappelle à toi, tu n'as rien mangé de la soirée et t'esquinter sur ces balles t'a ouvert l'appétit. Alors tu hésites. Tu es toujours vexée, ébranlée par ses remontrances que tu estimes injustifiées (mais qui ne l'étaient pas, n'importe qui te le dirait) mais en même temps... « Un jus de pêche, tu finis par dire. Fais-vite... j'ai faim. » Le "s'il te plaît" est clairement en option. Tu lui adresses un petit sourire faussement angélique, comme si tu ne venais pas du tout de l'envoyer sur une quête impossible puisqu'aucun distributeur du campus n'a de jus de pêche à ta connaissance, avant d'attendre qu'il ait quitté la salle pour retourner dans la cage. Ton désir de vaincre ayant été titillé, tu recommences à t'acharner contre le système et la gravité, mais rien n'y fait, tu es trop lente, trop fébrile, trop impatiente.
Stratégie, tu dois penser stratégie. Tu n'as touché qu'une balle sur tout ce temps, tu ne vas pas parier un resto offert sur ça. D'ordinaire, tu es une sportive assidue qui refuse les shortcuts. Mais cette fois, rien que cette fois... tu l'as bien mérité ton petit shortcut, non ? Puis tu en as touché une et tu n'as eu comme récompense qu'une engueulade.
Attrapant une balle au sol, tu te contentes de la lancer devant toi et de (tenter de) la taper avec la batte. Eh, il a dit que tu devais réussir à toucher une balle, pas comment ni d'où elle devait venir, pas vrai ? Tu recommences ce petit manège jusqu'à réussir à toucher la balle et l'envoyer avec suffisamment de force contre le grillage que pour que ça t'enregistre un point. Levant ta batte en signe de victoire, tu laisses échapper un petit gloussement victorieux. « À moi le restaurant ! » Oh comme tu as hâte qu'il revienne et remarque le point supplémentaire affiché au compteur. Tu prends le temps de te recomposer un visage neutre, bien qu'incapable de gommer la satisfaction de ton petit sourire en coin, alors que tu attends le retour de Jinwoo. « Et toc ! tu lances en relevant le menton quand il apparait dans ton champ de vision. Alors, cette invitation ? »
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
Messages : 111
Âge : 39
Re: I WANNA HIT (ON) YOU SO BAD ♡ Jinwoo & Rhea | Sam 7 Oct 2023 - 18:03 Citer EditerSupprimer
I wanna hit (on) you so bad
feat. @Woo Rhea
outfit ⏤ Clairement, tu es dans un de ces moment où te demande ce que tu fais encore là. Rhéa commence à sérieusement dévorer le quota de patience qui t'était attribué pour une vie entière. Alors qu’elle s’insurge sur le fait de pouvoir répondre, tu te contente simplement de lui lancer un ”Non” sec et catégorique. Elle a décidément un peu trop tendance à se prendre pour le centre du monde.
D’ailleurs elle prend très mal le fait que tu l’as remette en place, enfin que tu essayes, parce qu’elle repart au quart de tours. D’ordinaire tu as tendance à la laisser faire, dans tous les cas elle finit par se calmer. Pourtant ce soir tu n’es pas vraiment d’humeur, il est temps qu’elle apprenne un peu. Oui tu empiètes sur son espace vital, oui tu veux la mettre mal à l'aise, mais tu n’as pas envie de lui faire de cadeau alors qu’elle ne se gène pas pour te marcher dessus.
” Je crois que tu oublies que dans ASSISSTANTE, il y a le mot ASSISTER, et pas DÉCIDER. Ce que je comptais faire ou ne pas faire, ce ne te regarde pas, tu as déjà fait ta journée au labo. Sinon c’est quoi la prochaine étape? Tu installes une puce GPS pour vérifier ce que je fais?”
Toute cette situation commence à te donner mal au crâne, pourquoi rien ne se passe simplement et calmement quand vous êtes dans la même pièce. Il y a surtout une autre question: c’est pourtant tu t’en veux autant de lui avoir dit ce que tu pensais aussi brutalement? Il est trop tard pour réfléchir à ça. Surtout tu ne peux pas vraiment te permettre d’avoir une Rhéa remonter comme un réveil au labo toute la journée demain. Tu fais donc un pas vers elle en t’excuser et en proposant une porte de sortie à cette situation beaucoup plus calme. Bizarrement quand on parle d’invitation, tout de suite tu réveilles son intérêt, étonnant. Pourquoi est-ce que tu étais sûr que ça marcherait?
Tu te méfies soudain lorsqu’elle t’envoi chercher un jus de pêche, elle ne peut pas boire de l’eau comme tout le monde? C’est bien trop précis pour être innocent, tu sens le coup fourré presque instantanément. Pourtant tu reste planter là alors qu’elle arbore un sourire angélique. ”Je crois que tu as oublié quelque chose en demandant.” Oui tu vas lui faire la misère pour un s’il te plait, c’est par principe, et ça n’a jamais tué personne. Ce n’est qu’une fois la formule de politesse clairement énoncée que tu pars dans une quête qui risque d’être périlleuse. Surtout que lorsque tu passes la porte tu t'entraves comme un nigaud dans une batte mal rangée. Ça commence. Tu te relèves en grognant avant de faire le tour des distributeurs automatiques. Comme tu pouvais l’imaginer, il n’y a pas de fichu jus de pêche dans les appareils. Tu te disais bien que c’était trop précis pour être innocent, sinon elle aurait juste demandé un jus de fruit. Tu te maudis intérieurement, mais tu sais pertinemment que si tu lui apporte autre chose, elle va en profiter pour t’en remettre une couche, et tu n’es pas d’humeur. C’est là qu’un éclair de génie se profile et que tu dégaines une arme secrète: ton téléphone et la facilité déconcertante pour se faire livrer tout et n’importe quoi en Corée. Oui vous comprenez bien, tu préfères payer ce fichu jus de fruit deux fois plus cher que de donner raison a Rhéa sur ce coup là.
Tu attends donc un moment devant le bâtiment, une fois le livreur parti, tu retournes en direction de la cage de lancer, ta précieuse boisson à la main. Est-ce tu jette le sac en passant et enlève l’étiquette. Oui, on ne réalise pas un crime sans maquiller un minimum les preuves. Est-ce que tu surveilles chacun de tes pas pour éviter de gaspiller tant d'efforts, clairement si tu fais une Jinwoo maintenant, tu vas te maudir. Alors que tu tends le précieux breuvage a la jeune femme, tu lance un regard inquisiteur au tableau de score. Il y a bien un point supplémentaire, mais étrangement tu sens que l’histoire n’est pas tout à fait claire. ”Mmmmh, je suppose que c’est ma faute, je n’ai pas précisé que je devais te voir marquer le point.”
Tu as un peu l’impression de t’être fait avoir, mais tu ne peux pas vraiment le prouver. Tu ne peux pas non plus juste revenir sur ta parole, c’est juste que tu as mis la barre bien trop basse du départ, tu ne peux t’en prendre qu’à toi. Tu te passes une main dans les cheveux en soupirant, plus question de reculer maintenant.
”Je t’ai dit que je t’invitais où tu veux, donc a toi de me dire où tu veux aller. Ce n’est pas comme si j’avais l’habitude de revenir sur ma parole. Par contre, on ne va pas dire que j’ai une tenue spécialement appropriée pour aller dans des lieux guindés, donc si tu veux aller dans un vrai restaurant il faut que je me change.”
Si jamais ta mère apprend que tu as été dans un lieux public dans cette tenue, tu es bon pour un savon dont tu te passerais volontiers. On ne pas vraiment dire que tu es ce que l’on appelle une tenue appropriée. Il semblerait que tu aies été un poil trop bien élevé pour faire des folies de ce genre. Chasser le naturel, il revient au galop non?
”Alors où est-ce qu’on va?”
D’ailleurs elle prend très mal le fait que tu l’as remette en place, enfin que tu essayes, parce qu’elle repart au quart de tours. D’ordinaire tu as tendance à la laisser faire, dans tous les cas elle finit par se calmer. Pourtant ce soir tu n’es pas vraiment d’humeur, il est temps qu’elle apprenne un peu. Oui tu empiètes sur son espace vital, oui tu veux la mettre mal à l'aise, mais tu n’as pas envie de lui faire de cadeau alors qu’elle ne se gène pas pour te marcher dessus.
” Je crois que tu oublies que dans ASSISSTANTE, il y a le mot ASSISTER, et pas DÉCIDER. Ce que je comptais faire ou ne pas faire, ce ne te regarde pas, tu as déjà fait ta journée au labo. Sinon c’est quoi la prochaine étape? Tu installes une puce GPS pour vérifier ce que je fais?”
Toute cette situation commence à te donner mal au crâne, pourquoi rien ne se passe simplement et calmement quand vous êtes dans la même pièce. Il y a surtout une autre question: c’est pourtant tu t’en veux autant de lui avoir dit ce que tu pensais aussi brutalement? Il est trop tard pour réfléchir à ça. Surtout tu ne peux pas vraiment te permettre d’avoir une Rhéa remonter comme un réveil au labo toute la journée demain. Tu fais donc un pas vers elle en t’excuser et en proposant une porte de sortie à cette situation beaucoup plus calme. Bizarrement quand on parle d’invitation, tout de suite tu réveilles son intérêt, étonnant. Pourquoi est-ce que tu étais sûr que ça marcherait?
Tu te méfies soudain lorsqu’elle t’envoi chercher un jus de pêche, elle ne peut pas boire de l’eau comme tout le monde? C’est bien trop précis pour être innocent, tu sens le coup fourré presque instantanément. Pourtant tu reste planter là alors qu’elle arbore un sourire angélique. ”Je crois que tu as oublié quelque chose en demandant.” Oui tu vas lui faire la misère pour un s’il te plait, c’est par principe, et ça n’a jamais tué personne. Ce n’est qu’une fois la formule de politesse clairement énoncée que tu pars dans une quête qui risque d’être périlleuse. Surtout que lorsque tu passes la porte tu t'entraves comme un nigaud dans une batte mal rangée. Ça commence. Tu te relèves en grognant avant de faire le tour des distributeurs automatiques. Comme tu pouvais l’imaginer, il n’y a pas de fichu jus de pêche dans les appareils. Tu te disais bien que c’était trop précis pour être innocent, sinon elle aurait juste demandé un jus de fruit. Tu te maudis intérieurement, mais tu sais pertinemment que si tu lui apporte autre chose, elle va en profiter pour t’en remettre une couche, et tu n’es pas d’humeur. C’est là qu’un éclair de génie se profile et que tu dégaines une arme secrète: ton téléphone et la facilité déconcertante pour se faire livrer tout et n’importe quoi en Corée. Oui vous comprenez bien, tu préfères payer ce fichu jus de fruit deux fois plus cher que de donner raison a Rhéa sur ce coup là.
Tu attends donc un moment devant le bâtiment, une fois le livreur parti, tu retournes en direction de la cage de lancer, ta précieuse boisson à la main. Est-ce tu jette le sac en passant et enlève l’étiquette. Oui, on ne réalise pas un crime sans maquiller un minimum les preuves. Est-ce que tu surveilles chacun de tes pas pour éviter de gaspiller tant d'efforts, clairement si tu fais une Jinwoo maintenant, tu vas te maudir. Alors que tu tends le précieux breuvage a la jeune femme, tu lance un regard inquisiteur au tableau de score. Il y a bien un point supplémentaire, mais étrangement tu sens que l’histoire n’est pas tout à fait claire. ”Mmmmh, je suppose que c’est ma faute, je n’ai pas précisé que je devais te voir marquer le point.”
Tu as un peu l’impression de t’être fait avoir, mais tu ne peux pas vraiment le prouver. Tu ne peux pas non plus juste revenir sur ta parole, c’est juste que tu as mis la barre bien trop basse du départ, tu ne peux t’en prendre qu’à toi. Tu te passes une main dans les cheveux en soupirant, plus question de reculer maintenant.
”Je t’ai dit que je t’invitais où tu veux, donc a toi de me dire où tu veux aller. Ce n’est pas comme si j’avais l’habitude de revenir sur ma parole. Par contre, on ne va pas dire que j’ai une tenue spécialement appropriée pour aller dans des lieux guindés, donc si tu veux aller dans un vrai restaurant il faut que je me change.”
Si jamais ta mère apprend que tu as été dans un lieux public dans cette tenue, tu es bon pour un savon dont tu te passerais volontiers. On ne pas vraiment dire que tu es ce que l’on appelle une tenue appropriée. Il semblerait que tu aies été un poil trop bien élevé pour faire des folies de ce genre. Chasser le naturel, il revient au galop non?
”Alors où est-ce qu’on va?”
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3