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o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡)
Lee Beom Ho
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o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Jeu 10 Aoû - 19:04 Citer EditerSupprimer
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que durent les rêves du 2ème étage
feat. @yang yulian #YUH♡
Un air de déjà-vu. La présence de Yang Lei, seul dans le couloir de leur étage sonnant à la porte de son appartement, a des airs de remake. Ce n'est pas au milieu de la journée que se pointe le petit garçon cette fois-ci, mais bien en début de soirée ; Beomho ne peut espérer que ce n'est pas encore une fois parce que sa nounou l'a abandonné. Deux fois en deux semaines – ça fait beaucoup tout de même, même quand on est une mauvaise nourrice. L'étudiant espère que l'ourson est venu lui demander du sucre ou bien le puzzle qu'il n'a pas pu finir la dernière fois… Et bien, non, les espoirs s'envolent par la fênetre quand Lei lui explique calmement que maman est retardée par les avions et nana avait autre chose à faire ; encore cette impression de déjà-vu. Madame Yang semble ne pas avoir de chance avec les avions décidément, un comble pour une hôtesse de l'air. Beomho souffle – il faudrait choisir une babysitter plus sérieuse à l'avenir, surtout avec des imprevénus récurrents. Malheureusement, ce soir, il n'est pas en bonne posture pour accueillir Lei dans son appartement – un intervention de plomberie en attendant rende accessible beaucoup trop de choses dangereuses pour un enfant. « Hm, tu crois que ta maman m'en voudra si je viens chez vous cette fois ? » ; Beom a à peine le temps de finir que Lei secoue déjà vigoureusement la tête, les yeux brillants. L'engouement de l'enfant fait rire l'étudiant qui prend ce geste comme un oui. Il attrape juste un livre de recette ainsi que quelques affaires essentielles avant de fermer son appartement et de suivre le petit garçon jusqu'à la porte voisine. C'est un peu impressionnée par la maturité de Lei qu'il l'observe déverrouiller la porte sécurisée de l'appartement avant de lui lancer un regard qui l'invite à le suivre à l'intérieur. Beomho découvre un salon quelque peu… désordonné, si ce n'est la petite table que Lei semble avoir investi pour dessiner. À croire que le petit brun n'a nullement besoin d'une nounou malgré son jeune âge, il semble parfaitement réussir à s'occuper tout seul. Cependant l'heure avance, et il suppose que le garçon ne peut tout de même pas se faire à manger tout seul – Beomho est content qu'il soit venu le chercher, un accident est très vite arrivé et surtout dans une cuisine. « Ta maman doit avoir de quoi faire à manger dans le frigo… ». Le petit garçon hausse les épaules mais le suit (le colle) tout sourire jusqu'au dit frigo. C'est avec horreur qu'il n'y découvre pas grand chose d'autre que des plats déjà préparés – le genre qu'il voit dans les frigo de ses potes étudiants. Même au dortoir, cela fait bien longtemps que ce genre de choses a été banni du frigidaire. « Ou pas. » ; un coup d'œil dans le congélateur et c'est le même triste constat. Les Yang ont l'air de se nourrir de plats préparés. Pas le choix, le carnet de recette restera fermé aujourd'hui. Beomho attrape des mandu ainsi que des buchimgae, le tout surgelé – bien sûr, qu'il s'affaire à préparer pour le petit garçon. C'est après quelques minutes et une mine un peu déconfite sur la visage qu'il présente l'assiette à Lei. « Désolé, petit ours, c'est tout ce que je peux faire avec ce qu'il y a. ». L'ourson ne semble pas du tout perturbé par le plat, ce qui indique à l'étudiant que l'enfant a malheureusement l'habitude de ce genre de repas rapides, et surtout pas du tout fait maison. Beomho comprend bien que madame Yang est très occupée, mais c'est dommage que Lei ne puisse jamais profiter de repas maison. « Un yaourt, un jeu et dodo ? » propose-t-il à la fin du repas en remarquant l'heure tardive. Beom laisse le petit choisir son yaourt tout seul, alors qu'il cherche un jeu dans le salon. Un chat n'y retrouverait pas ses petits – quand le petit dormira, il fera un brin de ménage en attendant la mère de famille. Finalement, c'est Lei lui-même qui ramène un jeu au brun, avant de le forcer à s'asseoir sur le tapis. Le petit garçon s'installe entre ses jambes pour lui expliquer les règles du jeu. Si l'excitation du petit brun l'emporte sur quelques parties, celui-ci finit par bailler et à s'endormir contre le torse de l'étudiant. L'étudiant n'a pas le cœur à le réveiller de suite, et laisse l'enfant dormir contre lui. Peu de temps après, la fatigue devient contagieuse et l'attrape à son tour. La tête calée contre le canapé et Lei entre ses bras, le brun finit par s'endormir à l'instar du petit garçon.
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Yang Yulian
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Ven 22 Sep - 11:03 Citer EditerSupprimer
que durent les rêves du 2ème étage
feat. @yang yulian #YUH♡
J’y vais
Pas deux fois, en deux semaines.
C’est aussi ce que Yulian pense en allumant son téléphone une fois le dernier passager salué.
C’est impossible. ça lui rajouterait bien au minimum 33 points de catastrophe pour la rapprocher trop certainement de l’obtention du mug de la plus mauvaise mère.
Mais le déni, il a le mérite de ne pas durer longtemps.
Le déni prend en réalité la forme d’un espoir vain qu’un soupçon de réalité vient très vite balayer.
C’est bien pour ça qu’elle prend à peine le temps de saluer ses collègues, bien pour ça que ses talons foulent sur un rythme rapide les couloirs de l’aéroport. Toutes ses compétences en footing sont données quand elle ne fait pas des pauses de dignité pour quelques salutations.
Aucune chute à déplorer.
Pas de catastrophe notable, sa voiture est ouverte puis démarrée.
Comme deux semaines plus tôt, les mêmes infractions sont commises… et aucun cadavre n’est à planquer dans le fossée.
Pas de vie gâchée, une véritable pilote de la route malgré quelques signes grave d’irresponsabilité… que le nouveau voisin jugera ?
Peut-être que cette question a déjà effleuré ses pensées, une ou deux fois, sur le trajet.
Peut-être s’est-elle demandée si Lei choisira, à nouveau, de frapper à la porte du dénommé Beom Ho… qu’il idôlatre.
Difficile d’en douter quand il n’a pas arrêté de parler de lui ces derniers jours. Son fils n’a plus que ce prénom à la bouche. A se demander s’il n’a pas été victime d’un ensorcellement.
Pourtant, quand elle arrive devant la porte de son appartement, pas de petit post-it, rien.
Alors, elle a la folie d’espérer que sa nourrice ne lui a fait qu’une petite frayeur.
Elle ose même soupirer l’innocente qui tape son code. Sa main se décrispe sur la poignée d’une valise qu’elle pousse à l’intérieur.
Une nounou, un peu mieux, elle en trouvera une, elle le promet.
Mais ce soir, elle peut dormir du sommeil du juste.
Remercier la nounou, quelques papouilles à son fils probablement déjà au lit, arroser la victoire pathétique d’un verre de vin qu’elle prendra en compagnie de Poissy auquel elle aura l’air de souffler un “Tu vois, j’te l’avais dit que ce n’était pas si grave”
Triste temps qui lui laisse celui de se réjouir avant que les quelques pas posés sur son sol ne l’amènent à la vision de son échec.
« ... » l’homme endormi sur tapis, avec son gamin à elle.
…
Il ne ressemble pas à la nounou.
Il ressemble au voisin beau gosse d’à côté, au héros de Lei.
…
Même si elle penche un peu la tête, s’offre un autre angle, la vision ne se dissipe pas.
… Yang Yulian, vaincu à nouveau par ses choix de vie…
Pas de petit verre de vin pour elle. Pas de vantardise à Poissy.
Un petit café, dans son mug de diplomée… un café au goût amer de ses échecs, voilà tout ce qu’elle aura.
Plus tard.
Parce que maintenant il s’agirait de voir la stratégie à adopter.
Elle peut défaire un peu ses cheveux, prendre un petit air de femme perdue et fragile, le réveiller et puis s’excuser.
Ou ouvrir un bouton ou deux de son chemisier et le remercier mille fois pour sa disponibilité, son courage, sa bravoure et etc.
Fuir n’est bien évidemment pas une option.
Alors on étudie la situation.
Choix 1. Choix 2.
Ou le 3.
Qui consiste à lui coller un plaid et à prétendre que cette situation n’existe pas avant son réveil.
Pas très mature. On vous l’accorde.
Ceci dit, l’un comme l’autre ont l’air de si bien dormir. Ne sont-ils pas mignons ? Qui oserait troubler leur repos ?
Toi Yulian. Toi tu oses. Tu dois
Il est si tard. Le pauvre a l’air si exténué. Il étudie non ? Ses neurones ont besoin de sommeil.
Le plaid est doux. Le plaid est fluffy. Le plaid est posé avec délicatesse et discrétion sur eux. Ils sont même bordés. Qu’on lui donne un diplôme de douceur, aucune forme de fuite là-dedans, bien entendu.
Pas deux fois, en deux semaines.
C’est aussi ce que Yulian pense en allumant son téléphone une fois le dernier passager salué.
C’est impossible. ça lui rajouterait bien au minimum 33 points de catastrophe pour la rapprocher trop certainement de l’obtention du mug de la plus mauvaise mère.
Mais le déni, il a le mérite de ne pas durer longtemps.
Le déni prend en réalité la forme d’un espoir vain qu’un soupçon de réalité vient très vite balayer.
C’est bien pour ça qu’elle prend à peine le temps de saluer ses collègues, bien pour ça que ses talons foulent sur un rythme rapide les couloirs de l’aéroport. Toutes ses compétences en footing sont données quand elle ne fait pas des pauses de dignité pour quelques salutations.
Aucune chute à déplorer.
Pas de catastrophe notable, sa voiture est ouverte puis démarrée.
Comme deux semaines plus tôt, les mêmes infractions sont commises… et aucun cadavre n’est à planquer dans le fossée.
Pas de vie gâchée, une véritable pilote de la route malgré quelques signes grave d’irresponsabilité… que le nouveau voisin jugera ?
Peut-être que cette question a déjà effleuré ses pensées, une ou deux fois, sur le trajet.
Peut-être s’est-elle demandée si Lei choisira, à nouveau, de frapper à la porte du dénommé Beom Ho… qu’il idôlatre.
Difficile d’en douter quand il n’a pas arrêté de parler de lui ces derniers jours. Son fils n’a plus que ce prénom à la bouche. A se demander s’il n’a pas été victime d’un ensorcellement.
Pourtant, quand elle arrive devant la porte de son appartement, pas de petit post-it, rien.
Alors, elle a la folie d’espérer que sa nourrice ne lui a fait qu’une petite frayeur.
Elle ose même soupirer l’innocente qui tape son code. Sa main se décrispe sur la poignée d’une valise qu’elle pousse à l’intérieur.
Une nounou, un peu mieux, elle en trouvera une, elle le promet.
Mais ce soir, elle peut dormir du sommeil du juste.
Remercier la nounou, quelques papouilles à son fils probablement déjà au lit, arroser la victoire pathétique d’un verre de vin qu’elle prendra en compagnie de Poissy auquel elle aura l’air de souffler un “Tu vois, j’te l’avais dit que ce n’était pas si grave”
Triste temps qui lui laisse celui de se réjouir avant que les quelques pas posés sur son sol ne l’amènent à la vision de son échec.
« ... » l’homme endormi sur tapis, avec son gamin à elle.
…
Il ne ressemble pas à la nounou.
Il ressemble au voisin beau gosse d’à côté, au héros de Lei.
…
Même si elle penche un peu la tête, s’offre un autre angle, la vision ne se dissipe pas.
… Yang Yulian, vaincu à nouveau par ses choix de vie…
Pas de petit verre de vin pour elle. Pas de vantardise à Poissy.
Un petit café, dans son mug de diplomée… un café au goût amer de ses échecs, voilà tout ce qu’elle aura.
Plus tard.
Parce que maintenant il s’agirait de voir la stratégie à adopter.
Elle peut défaire un peu ses cheveux, prendre un petit air de femme perdue et fragile, le réveiller et puis s’excuser.
Ou ouvrir un bouton ou deux de son chemisier et le remercier mille fois pour sa disponibilité, son courage, sa bravoure et etc.
Fuir n’est bien évidemment pas une option.
Alors on étudie la situation.
Choix 1. Choix 2.
Ou le 3.
Qui consiste à lui coller un plaid et à prétendre que cette situation n’existe pas avant son réveil.
Pas très mature. On vous l’accorde.
Ceci dit, l’un comme l’autre ont l’air de si bien dormir. Ne sont-ils pas mignons ? Qui oserait troubler leur repos ?
Toi Yulian. Toi tu oses. Tu dois
Il est si tard. Le pauvre a l’air si exténué. Il étudie non ? Ses neurones ont besoin de sommeil.
Le plaid est doux. Le plaid est fluffy. Le plaid est posé avec délicatesse et discrétion sur eux. Ils sont même bordés. Qu’on lui donne un diplôme de douceur, aucune forme de fuite là-dedans, bien entendu.
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Lun 13 Nov - 13:06 Citer EditerSupprimer
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À croire que le plus fatigué des deux, c’est bien le grand enfant qui a passé la vingtaine et non pas le petit enfant qui en a moins de dix. Ou alors c’est le jeu qui a puisé dans ses dernières ressources. Ou encore le changement de saison. Beomho l’avait bien senti cette humidité nouvelle dans l’air et les petits vents frais qui ne pouvaient que l’épuiser le temps que son corps s’adapte. Voilà l’explication. L’explication de pourquoi et comment, il s’est retrouvé à s’endormir à même le tapis dans un salon étranger dans un appartement qui n’est pas le sien, sans l’accord de la propriétaire. Un moment de faiblesse vraiment. Signe que le temps apaise les maux aussi, ou bien ce sont les enfants – Lei. S’endormir dans le salon d’une femme plus âgée – sans défense. L’adolescent en lui rejette cette idée nauséeuse ; l’adulte qu’il est devenu n’y a même pas pensé. Ni au moment de rentrer dans l’appartement de Madame Yang, ni même au moment où il a fermé les deux yeux sachant pertinemment que la jeune femme rentrerait dans les heures qui suivraient. La peur ne lui traverse pas non plus l’esprit quand il lui semble entendre le digicode dans le brouillard qu’est son sommeil. Le petit bruit électronique ne suffit pas à le réveiller, l’étudiant se contente simplement de serrer un peu plus Lei entre ses bras. Ce n’est que le plaid qui se dépose sur eux qui finit par le faire réagir. La tension est immédiate dans ses épaules, et d’instinct, Beomho ouvre ses paupières à la recherche du potentiel danger. Ses pupilles se posent sur la jeune mère de famille lui semble être la cause de cette attaque à la couverture polaire. Il faut quelques instants à l’étudiant pour se remettre de ses émotions, instants durant lesquelles il fixe bêtement Madame Yang avec un air de chiot effrayé. « Pardon, je- Je ne voulais pas m’endormir ici. » ; il a la bouche encore un peu endormie et pâteuse après cette sieste improvisée. Il se redresse délicatement pour s’extraire d’entre Lei et le canapé, en essayant de ne pas réveiller le petit garçon. Les jambes un peu cotonneuses, il ne peut que s’asseoir sur le canapé, avant de replacer correctement le plaid sur l’enfant. Une fois fait, ses yeux cherchent de nouveau la jeune femme du regard. « Je m’excuse d’être rentré chez vous ainsi et d’avoir pris mes… aises. ». Beom suppose que cela a dû être un peu la surprise aussi pour elle de retrouver son fils endormi dans les bras d’un pseudo inconnu dans son appartement. Peut-être aurait-il dû laisser ce soir aussi un post-it sur la porte d’entrée. « Lei est venu me chercher et mon appartement n’est pas en état pour le moment. » ; Beom lui épargne les détails. Il se doute que Madame Yang sait déjà que la nounou les a de nouveau plantés – deux fois en deux semaines, on frôle l’incompétence et la mise en danger d’autrui… Mais l’étudiant n’a pas envie d’accabler l’hôtesse de l’air de reproches dans l’immédiat, elle-même doit savoir qu’il est nécessaire de changer de babysitter à ce stade. Ou de métier. Ou les deux peut-être. Ce ne sont pas les affaires de Beomho en soit même s’il ne peut s’empêcher d’être inquiet pour Lei dans cette situation. Les jambes un peu plus réveillées, l’étudiant se dirige automatiquement vers la cuisine afin de faire la vaisselle qu’il n’a pas fait avant de s’endormir. Hors de question d’ajouter cela au désordre déjà existant dans cet appartement. « Il a mangé, je lui ai préparé quelque chose de rapide mais je crois que vous êtes sur votre stock d’urgence… Il ne reste presque plus que des choses préparées. » dit-il en jetant un rapide regard vers la jeune maman. Un geste qui se veut gentil, car s’il s’agit vraiment du stock d’urgence et non de l’ordinaire du petit garçon, il vaut mieux en informer la jeune femme qu’elle puisse s’organiser pour remplir leurs provisions.
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Dim 17 Déc - 15:20 Citer EditerSupprimer
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C’est un peu foutu pour le mug de la meilleure mère de l’année.
Dommage, elle avait quelques qualités pour postuler mais là… avec une nounou qui n’est pas sa nounou endormi au sol, un gamin abandonné malgré elle et à nouveau… ça fait au minimum -57 points. Sans compter la pénalité de doublons… définitivement, c’est foutu.
Mais tout n’est pas pour autant perdu.
Un problème peut s’esquiver. Au moins ce soir. On peut laisser un étudiant par terre, prétendre que la situation n’existe pas vraiment… et prendre le temps de préparer son procès.
Ou pas. Parce que soit elle n’est pas ninja couvreuse avec un plaid… soit le voisin a un sommeil trop léger pour les gens qui n’ont pas les moyens de se payer un avocat et doivent organiser seuls leur défense.
« ... » Elle le fixe. Il la fixe. Le silence s’installerait presque trop bien… jusqu’à ses excuses… et puis aux siennes
« Désolée, je ne voulais pas vous réveiller. C’est que vous aviez l’air si fatigué. » rendors toi… rendors toi… pourquoi n'a-t-elle jamais appris l’hypnose ? Les problèmes sont si mignons quand ils dorment.
Il faut cependant se faire une raison, et elle se redresse en retenant par miracle un soupir.
Sa tête se secoue. Un peu un comble qu’il s’excuse. Elle le sait, elle en est certaine à présent ce type n’est pas un dangereux psychopathe. C’est le nouveau voisin, un mec sympa… celui par lequel Lei ne fait que de jurer. Un véritable coup de foudre à ce stade. Tiens, c’est lui qu’elle aurait dû embaucher en nanny, certain qu’elle ne serait pas dans cette situation maintenant !
« Non, c’est gentil d’avoir veillé sur lui. Vraiment. » aucun questionnement sur l’état de son appartement. Il aurait pu ressembler à un cirque qu’elle était interdite de jugement de toute manière.
Alors elle préfère le suivre à la cuisine, doucement sur la pointe des pieds, en prenant garde de ne pas réveiller son fils qu’elle borde. Instant d’affection pour se donner du courage.
Un pas de fait dans le temple du surgelé, et elle pousse doucement le dévoué « ah non laissez, vous en avez assez fait. » allez Yulian, t’as déjà bien abusé, un peu plus un peu moins.
Pourtant, elle refuse de céder sa place devant l’évier… malgré le bien aimé surgelé qualifié de stock d’urgence ?
…
…
Sans le surgelé, le monde serait en plein chaos. Le malheureux ne s’en rend pas compte, il tire sur l’ambulance et dénonce les héros.
« Ah oui ? C’est curieux… » … normal, c’est normal. Vas-tu oser mentir à ton Peter Parker ? Ou Clark Kent ? Lequel voulait être Beom Ho ?
« … » c’est moche jeune fille, tu ne regagneras pas des points en jouant les mères parfaites qui souffrent de malchance et font pourtant les lasagnes mieux que personne « En réalité… je ne sais pas tellement cuisiner. Du coup, notre stock d’urgence à nous ce serait plus ce qu’on mange dans the walking dead. Bon, je ne parle pas non plus de cannibalisme hein. » on t’as dit de dire la vérité, pas de lui faire peur « Mais en général j’évite d’atteindre le stock d’urgence, même si c’est pour faire un jeu de rôle post apo. » et il est ravi de le savoir « Mais je fais bien le café. Vous voulez un café ? J’vous fais un café. » trop tard de toute façon, elle le fait déjà. Le type a la tête de celui qui n’a pas dormi depuis 3 jours, c’est un minimum.
Dommage, elle avait quelques qualités pour postuler mais là… avec une nounou qui n’est pas sa nounou endormi au sol, un gamin abandonné malgré elle et à nouveau… ça fait au minimum -57 points. Sans compter la pénalité de doublons… définitivement, c’est foutu.
Mais tout n’est pas pour autant perdu.
Un problème peut s’esquiver. Au moins ce soir. On peut laisser un étudiant par terre, prétendre que la situation n’existe pas vraiment… et prendre le temps de préparer son procès.
Ou pas. Parce que soit elle n’est pas ninja couvreuse avec un plaid… soit le voisin a un sommeil trop léger pour les gens qui n’ont pas les moyens de se payer un avocat et doivent organiser seuls leur défense.
« ... » Elle le fixe. Il la fixe. Le silence s’installerait presque trop bien… jusqu’à ses excuses… et puis aux siennes
« Désolée, je ne voulais pas vous réveiller. C’est que vous aviez l’air si fatigué. » rendors toi… rendors toi… pourquoi n'a-t-elle jamais appris l’hypnose ? Les problèmes sont si mignons quand ils dorment.
Il faut cependant se faire une raison, et elle se redresse en retenant par miracle un soupir.
Sa tête se secoue. Un peu un comble qu’il s’excuse. Elle le sait, elle en est certaine à présent ce type n’est pas un dangereux psychopathe. C’est le nouveau voisin, un mec sympa… celui par lequel Lei ne fait que de jurer. Un véritable coup de foudre à ce stade. Tiens, c’est lui qu’elle aurait dû embaucher en nanny, certain qu’elle ne serait pas dans cette situation maintenant !
« Non, c’est gentil d’avoir veillé sur lui. Vraiment. » aucun questionnement sur l’état de son appartement. Il aurait pu ressembler à un cirque qu’elle était interdite de jugement de toute manière.
Alors elle préfère le suivre à la cuisine, doucement sur la pointe des pieds, en prenant garde de ne pas réveiller son fils qu’elle borde. Instant d’affection pour se donner du courage.
Un pas de fait dans le temple du surgelé, et elle pousse doucement le dévoué « ah non laissez, vous en avez assez fait. » allez Yulian, t’as déjà bien abusé, un peu plus un peu moins.
Pourtant, elle refuse de céder sa place devant l’évier… malgré le bien aimé surgelé qualifié de stock d’urgence ?
…
…
Sans le surgelé, le monde serait en plein chaos. Le malheureux ne s’en rend pas compte, il tire sur l’ambulance et dénonce les héros.
« Ah oui ? C’est curieux… » … normal, c’est normal. Vas-tu oser mentir à ton Peter Parker ? Ou Clark Kent ? Lequel voulait être Beom Ho ?
« … » c’est moche jeune fille, tu ne regagneras pas des points en jouant les mères parfaites qui souffrent de malchance et font pourtant les lasagnes mieux que personne « En réalité… je ne sais pas tellement cuisiner. Du coup, notre stock d’urgence à nous ce serait plus ce qu’on mange dans the walking dead. Bon, je ne parle pas non plus de cannibalisme hein. » on t’as dit de dire la vérité, pas de lui faire peur « Mais en général j’évite d’atteindre le stock d’urgence, même si c’est pour faire un jeu de rôle post apo. » et il est ravi de le savoir « Mais je fais bien le café. Vous voulez un café ? J’vous fais un café. » trop tard de toute façon, elle le fait déjà. Le type a la tête de celui qui n’a pas dormi depuis 3 jours, c’est un minimum.
Lee Beom Ho est sous l'effet d'un philtre d'amour
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Mer 17 Jan - 13:13 Citer EditerSupprimer
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Fatigué – peut-être bien, sûr même. Au point de s’endormir chez quelqu’un qu’il connait à peine, c’est presque inquiétant. Certes de ces observations et du temps qu’il a pu partager avec Lei, il n’a pas vraiment de raisons de se méfier de Madame Yang – ou de se sentir en insécurité chez elle. Pour autant, ce n’est pas le genre de Beomho… pour des raisons qui lui sont évidentes. À croire que l’appréhension a été gommée par la présence de son nouvel ourson favori. Bonne ou mauvaise nouvelle – il se questionne. S’il se contente simplement de hocher la tête quand Madame Yang le remercie, c’est principalement parce qu’il a l’esprit encore un peu endormi. Puis que répondre… ? Lei est venu le cherche – pas que cela l’embête – mais il ne pouvait pas vraiment refuser et virer le petit garçon du pas de sa porte, si ? D’autres voisins ne seraient sûrement pas gênés, mais il se doute que l’ourson n’a pas choisi sa porte au hasard. Puis au finalement, cela ne lui a demandé beaucoup d’effort – encore une fois, Lei a été adorable et agréable. Il ne retient pas un petit rire embarrassé. « Comme vous pouvez le voir, je n’ai pas eu grand-chose à faire… » dit-il en laissant traîner un regard attendri sur l’enfant endormi. Par habitude et pour éviter que le moment se prolonge trop, Beomho se dirige vers la cuisine. Il se très vite interrompre par la jeune maman. « Ca me dérange pas, je– d’accord, pardon je vous laisse faire. » finit-il en s’écartant. Peut-être que Madame Yang n’aime pas qu’on touche à sa cuisine ? Ou bien elle aime particulièrement faire la vaisselle ? Cela-dit quand il observe d’un œil qu’il essaie d’être neutre l’appartement, il a un gros doute ; non, la mère de famille n’a pas l’air d’être le genre de personne qui se détend en faisant la vaisselle ou le ménage tout court. Ou alors, elle n’a que très peu le temps de se détendre… Peut-être… Non, l’étudiant suppose plutôt qu’elle est embarrassée par sa présence dans son cocoon, et il peut la comprendre. Beomho a envahi son espace non prévenir, et certainement pas dans les conditions qu’elle aurait aimé. C’est principalement pour cette raison qu’il ne veut pas juger l’état de l’appartement ou encore l’absence totale de légumes frais dans le réfrigérateur. Le jeune homme ne veut pas enfoncer la jeune maman alors il choisit ses mots avec précaution. Madame Yang semble aux premiers instants étonnés par ses paroles, ce qui rassure l’étudiant qui hoche à nouveau la tête en souriant. Puis la vérité tombe, les paroles s’enchainent et il reste impassible. Ne pas juger. Ne pas juger. Il est lui-même loin d’être un cuisinier expérimenté après tout. Masi tout de même, au point de se nourrir uniquement de plats surgelés… Hm, c’est un niveau de compétente inédit à ses yeux – sans jugement aucun, bien sûr. « Je comprends. » - non, c’est faux il ne comprend pas vraiment. Trois carottes, du riz au cuiseur – cela lui semble abordable pour le commun des mortels. « Non, ça- » ; il est trop tard pour lui dire qu’il ne boit pas de café et qu’il n’aime pas cela. Beomho n’a pas le courage de continuer, de lui dire qu’il préférerait un thé ou un chocolat chaud, surtout à l’heure qu’il est. Alors quand il se retrouve une tasse fumante dans les mains, il remercie simplement la jeune femme. Rien que l’odeur lui irrite les narines, mais il boit tout de même le liquide amer du bout des lèvres - absolument dégoutant mais il entend souvent que le café est du courage liquide. Ou bien est-ce l’alcool ? Il aurait bien besoin d’un verre de soju pour continuer cette conversation ; s’il peut appeler cela une conversation… « Ce n’est peut-être pas ma place, désolé, mais je pense que vous devriez envisager de trouver une nounou plus fiable dans le futur… Ce que je veux dire c’est que ça fait deux fois en peu de temps qu’elle laisse votre fils seul chez vous… Je pense que c’est deux fois de trop… ».» ; waouh, monsieur donne des conseils maintenant. Ce n’est pas son fils, de quoi il se mêle déjà ? Ok, sur le fin fond, il se dit qu’il a raison et qu’il fait bien de le souligner. Peut-être même qu’il pourra aider Madame Yang a trouvé une solution. Mais il met un peu le nez dans ce qui ne le regarde pas, et il n’a pas envie que la maman se sente attaquer. « Je veux dire, hm, je peux continuer de vous dépanner ainsi bien sûr ! J’aime bien passer du temps avec Lei et je suis moi-même babysitter ! Ca ne me dérange pas ! » - ou pas vraiment en tout cas. Mais il n’est pas toujours présent, il a des cours et il doit lui-même babysitter d’autres enfants un certain nombreux d’heures dans la semaine. Lei semble compter sur lui pour le moment, il n’a pas envie de le décevoir mais pour la sécurité de l’enfant, il n’est pas sûr que ce soit une solution viable.
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Yang Yulian
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Mar 9 Avr - 8:19 Citer EditerSupprimer
que durent les rêves du 2ème étage
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C’est que ça commence à devenir une habitude. C’est comme avoir recruté un héros à temps complet à défaut d’avoir su embaucher la bonne nounou.
C’est trop compter sur sa chance et, dans le fond, elle le sait.
Mais un problème à la fois. Pour l’instant, c’est l’heure de sauver un peu les apparences pour ne pas passer pour la pire mère du monde.
Les apparences. Toujours les apparences. L’image a trop d’importance.
Alors que dans le fond, elle pourrait afficher une assurance désinvolte et se moquer de l’avis des autres sur sa façon de gérer les choses.
ça compte trop. Et bien souvent, elle ne s’en rend même plus compte.
Alors, quand ils vont vers la cuisine, elle cherche déjà sa meilleure défense pour ne pas être à ses yeux la mauvaise maman même pas foutu de sortir le cv correct du lot.
Manquerait plus qu’elle le laisse frotter sa vaisselle pour se caler avec son mug favori.
Produit déposé côté grattant de son éponge, elle regarde le Super Nanny Boy un instant.
Elle se demande ce qu’il a dans la tête à cet instant précis.
Lire dans les pensées, ce serait un pouvoir si cool… et en même temps celui qu’elle redouterait le plus de posséder.
Apprendre que le voisin du premier étage qui lui fait toujours de grands sourires pense en réalité à elle comme la pimbêche d’hôtesse de l’air qui se fait probablement entretenir par un mec qui roule seulement en audi… ouais, plus si évident de donner le change ensuite.
Et pourtant… à quoi il pense Lee Beom Ho maintenant ?
A ses plats surgelés, à priori.
« ... » un instant, elle ressent le besoin d’ajouter quelque chose… pour au final lâcher l’éponge et lui faire un café sans vraiment trop attendre un avis.
Sa propre tasse à côté de l’évier, elle frotte enfin la première assiette.
Elle n’est pas si à l’aise que ça finalement… rapport au fait qu’elle s’est essayée à la télépathie et que ça n’a pas marché.
C’est sûr, il pense qu’elle est une mère horrible. Dans sa tête, il a fait un classement et il vient de détrôner la pire qu’il connaissait jusque là pour la mettre à cette place.
Et comme pour confirmer ses doutes, voilà qu’il la conseille maintenant.
Oh doux goût de culpabilité qui vient remplacer celui de la caféine.
Il a raison.
Elle sait qu’il a raison, évidemment.
Mais les premiers mots qui sortent sont des excuses… parce qu’elle a définitivement planté une potentielle carrière d’avocate.
« Je sais… mais ce n’est pas si évident avec mon emploi du temps. En général, quand je dis que je suis hôtesse de l’air, on part en courant avant même d’entendre parler de rémunérations. » … du coup on prend ce qu’on trouve et on tarde à remplacer ?
Ce n’est pas une vraie excuse. Sa priorité c’est Lei, et compter sur sa débrouillardise à son âge, ce n’est pas bien.
L’assiette brille, mais elle se fait encore frotter tandis que son regard se perd sur le voisin héroïque.
« C’est vraiment très gentil… » il a le droit de la juger s’il reste son héros le bab… quoi ? « Vous êtes babysitter ? » et merde… après le café imposé, ça va être l’heure du contrat. En même temps, l’homme n’a aucun instinct de survie et ses oreilles à elle marchent un peu trop bien « Non parce que Lei vous adore et il est clair que je mets votre cv en haut de la pile. Il est plus doué que moi pour les entretiens d’embauche à priori. » sans avoir vu son cv ? C’est clair qu’en recrutant comme ça, on embauche pas des nounou de folie « Vous n’avez pas de casier judiciaire hein ? » marrant, vraiment très amusant. Qu’est-ce que t’as pas compris dans “depanner” Yulian ?
Rien. Mais dans la vie, faut savoir piquer à la concurrence. Les autres parents n’avaient qu’à aller voir ailleurs.
C’est trop compter sur sa chance et, dans le fond, elle le sait.
Mais un problème à la fois. Pour l’instant, c’est l’heure de sauver un peu les apparences pour ne pas passer pour la pire mère du monde.
Les apparences. Toujours les apparences. L’image a trop d’importance.
Alors que dans le fond, elle pourrait afficher une assurance désinvolte et se moquer de l’avis des autres sur sa façon de gérer les choses.
ça compte trop. Et bien souvent, elle ne s’en rend même plus compte.
Alors, quand ils vont vers la cuisine, elle cherche déjà sa meilleure défense pour ne pas être à ses yeux la mauvaise maman même pas foutu de sortir le cv correct du lot.
Manquerait plus qu’elle le laisse frotter sa vaisselle pour se caler avec son mug favori.
Produit déposé côté grattant de son éponge, elle regarde le Super Nanny Boy un instant.
Elle se demande ce qu’il a dans la tête à cet instant précis.
Lire dans les pensées, ce serait un pouvoir si cool… et en même temps celui qu’elle redouterait le plus de posséder.
Apprendre que le voisin du premier étage qui lui fait toujours de grands sourires pense en réalité à elle comme la pimbêche d’hôtesse de l’air qui se fait probablement entretenir par un mec qui roule seulement en audi… ouais, plus si évident de donner le change ensuite.
Et pourtant… à quoi il pense Lee Beom Ho maintenant ?
A ses plats surgelés, à priori.
« ... » un instant, elle ressent le besoin d’ajouter quelque chose… pour au final lâcher l’éponge et lui faire un café sans vraiment trop attendre un avis.
Sa propre tasse à côté de l’évier, elle frotte enfin la première assiette.
Elle n’est pas si à l’aise que ça finalement… rapport au fait qu’elle s’est essayée à la télépathie et que ça n’a pas marché.
C’est sûr, il pense qu’elle est une mère horrible. Dans sa tête, il a fait un classement et il vient de détrôner la pire qu’il connaissait jusque là pour la mettre à cette place.
Et comme pour confirmer ses doutes, voilà qu’il la conseille maintenant.
Oh doux goût de culpabilité qui vient remplacer celui de la caféine.
Il a raison.
Elle sait qu’il a raison, évidemment.
Mais les premiers mots qui sortent sont des excuses… parce qu’elle a définitivement planté une potentielle carrière d’avocate.
« Je sais… mais ce n’est pas si évident avec mon emploi du temps. En général, quand je dis que je suis hôtesse de l’air, on part en courant avant même d’entendre parler de rémunérations. » … du coup on prend ce qu’on trouve et on tarde à remplacer ?
Ce n’est pas une vraie excuse. Sa priorité c’est Lei, et compter sur sa débrouillardise à son âge, ce n’est pas bien.
L’assiette brille, mais elle se fait encore frotter tandis que son regard se perd sur le voisin héroïque.
« C’est vraiment très gentil… » il a le droit de la juger s’il reste son héros le bab… quoi ? « Vous êtes babysitter ? » et merde… après le café imposé, ça va être l’heure du contrat. En même temps, l’homme n’a aucun instinct de survie et ses oreilles à elle marchent un peu trop bien « Non parce que Lei vous adore et il est clair que je mets votre cv en haut de la pile. Il est plus doué que moi pour les entretiens d’embauche à priori. » sans avoir vu son cv ? C’est clair qu’en recrutant comme ça, on embauche pas des nounou de folie « Vous n’avez pas de casier judiciaire hein ? » marrant, vraiment très amusant. Qu’est-ce que t’as pas compris dans “depanner” Yulian ?
Rien. Mais dans la vie, faut savoir piquer à la concurrence. Les autres parents n’avaient qu’à aller voir ailleurs.
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Lun 20 Mai - 16:54 Citer EditerSupprimer
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Beomho comprend la problématique. Qui dit hôtesse de l’air, dit longues absences. Surtout qu’il se souvient que Madame Yang est mobilisée par les vols longs courriers. Effectivement, ce n’est pas une question de rémunération mais de disponibilité. « Hm, il faut avouer que cela vaut dire une sacrée charge de travail… La plupart sont étudiants alors c’est presque impossible. ». Quel étudiant a autant de temps libre à consacrer à son job à temps partiel ? Aucun étudiant de yonsei en tout cas, surtout si les horaires ne sont pas flexibles, ou adaptées. Le jeune homme ne voit pas d’autres moyens que de chercher parmi les rares nourrices à temps plein, sans autre obligation. Mais cela ne court pas les rues, la rémunération n’est pas non plus la même… Il proposerait bien une aide à domicile, mais cela reste peu accessible, malgré les aides de l’état – surtout pour une mère célibataire. Ou alors, il faut que la mère de famille trouve plusieurs babysitters qui tournent afin d’absorber la charge temporelle que la garde Lei représente. Mais Beomho est conscient que ce n’est pas l’idéal pour la stabilité et le développement émotionnel du petit ours. Bien sûr, les premiers temps, le jeune silla peut aider sa voisine – la dépanner, le temps qu’elle trouve une solution fixe – mais il ne peut pas se proposer comme babysitter pour Lei. Lui-même ne remplit pas les conditions minimales. Mais si Madame Yang a l’air très enthousiasme à la perceptive qu’il soit le nouveau babysitter du garçon. « Euh oui mais– ». Il aimerait beaucoup, c’est sûr – Lei est un garçon intelligent et agréable, mais il n’a pas le temps nécessaire. « Non aucun antécédent judiciaire mais… » ; il souffle nerveusement. Certes, il n’aime pas l’idée de décevoir sa voisine mais c’est impossible de répondre positivement. « Madame Yang, je suis encore étudiant également… Je ne suis pas sûr de pouvoir m’occuper de Lei autant que nécessaire. ». Beomho en est même certain, pas avec les deux petits Kim qui occupent déjà une grosse partie de son temps libre la semaine, pas avec ces dernières années d’université qui ne pardonneront pas la moindre erreur. « Et j’ai déjà un contrat en cours avec une famille pour les deux enfants pour 3 soirs par semaine… ». C’est peu techniquement, mais déjà beaucoup finalement quand on a déjà une trentaine heure de cours ou de travaux pratiques ou de projets à faire. « Mais je pourrais vous aider à trouver quelqu’un si cela vous rassure… ? » ; il ne sait pas où ni comment mais il peut tout faire pour que le petit Lei ne se retrouve pas de nouveau seul chez lui. Dans sa promo peut-être ou bien dans celle d’en-dessous. En posant des affiches à l’université et même au dortoir, il fera facilement confiance à un silla – plus qu’à quiconque d’autre. « Et compléter sur les heures où la personne ne sera pas disponible si besoin ? » - ou il pourrait laisser son contrat avec les Kims à quelqu’un d’autre et s’occuper à temps plein de Lei ? Après tout, ce serait plus pratique pour lui : le petit est dans l’appartement d’à côté, plus d’aller-retours à faire et Lei est quand même bien plus calme que les enfants Kim… Non, non. Il n’est pas du genre à abandonner des enfants qu’il a en garde ainsi, il s’est promis de les accompagner jusqu’à l’obtention de son diplôme au moins. Oui, mais Madame Yang a quand même l’air plus souple que les parents des petits, et Lei est vraiment adorable… Peut-être que… « Lei va à l’école ? » ; ce serait plus simple quand même. Et s’il est inscrit en garderie aussi. Et s’il prend ses repas à l’école le midi aussi. Ainsi, Beomho pourrait s’organiser plus simplement entre ses cours et le petit ours... Peut-être.
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Ven 19 Juil - 10:16 Citer EditerSupprimer
que durent les rêves du 2ème étage
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Qu’est-ce que les études quand on peut prendre soin d’un gamin comme Lei ?
Pas sûr que ça fasse un bon argumentaire… n’empêche qu’il marquerait quelques points.
N’empêche qu’il faudrait aussi en trouver un plus solide histoire de trouver une personne davantage digne de confiance pour prendre soin de son fils.
Ou elle peut sauter sur le voisin et essayer de le débaucher… dans le sens pro du terme bien sûr.
C’est mal, oui.
Mais elle n’est pas sourde, elle ne perd pas le nord, et ce genre de choses qui font que Lee Beom Ho devient la proie chassée d’une chasseuse de tête.
Il a le profil parfait, qu’on lui pardonne.
Lei l’adore, ça fait 80 % de son profil parfait ça.
D’accord, il n’est pas très surgelés.
Ok, il risque de la juger par moment et avoir envie de lui coller un procès à tout moment. Assez gênant quand on vit à côté mais là, sur le moment, il a simplement le profil parfait.
Un profil qui semble embêté, c’est vrai…
Un profil qui lui dit non.
La déception se marque sur le visage de l’hôtesse de l’air.
Elle n’a pas eu une enfance qu’on pourrait dire gâtée, pour autant, elle ne prend pas toujours le non comme un point final.
« Oh... » ça explique la petite moue ?
… tentative de le prendre par les sentiments en affichant une très nette déception.
On la force un peu plus, en France on aurait fait les cours Florent, quand il parle d’un autre contrat.
« Je suis sûre que ces deux-là ne vous aiment pas autant que Lei… » soupir, regard qui se baisse vers un point vague.
C’est très moche ce que tu fais Yulian… « Pardon… je ne devrais pas dire ça, ça vous regarde mais c’est que… Lei va être tellement déçu… il vous aime tellement… » comment peut il être déçu d’une demande qu’il ignore ?
Si on lui demande, elle peut inventer une histoire fantastique d’un voeu qu’il fait en guettant les étoiles filantes dans le ciel.
…
Peut-être qu’elle brûlera en enfer après sa mort.
C’est une fin envisageable.
Mais Lee Beom Ho est le candidat parfait.
Pas le genre qu’on laisse filer.
Même s’il propose des alternatives.
Allez, peut-être qu’ils ne seront pas si mal ses candidats…
D’accord, mais son coeur a décidé, celui de Lei aussi elle le sait, c’est le voisin qu’il leur faut. ça ne peut être que lui. C’est lui l’élu. Il est supposé ramener l’équilibre dans la force dans un univers, buter Voldemort dans un autre, garder Lei dans le leur. C’est écrit, avec ou sans cicatrice en forme d’éclair sur son front.
« Hum… » alors évidemment, sa proposition ne l’emballe pas vraiment.
Mais s’il refuse vraiment, ce sera toujours mieux que rien ?
Faut qu’elle lui colle le visage de Lei devant les yeux.
Comment refuser devant cette bouille incroyablement mignonne ? Qui peut dire non à cet être de toute évidence supérieur et haut de trois pommes.
« J’imagine… oui…. » nouveau soupir…
D’un autre côté, s’il le garde un peu… il sombrera doucement, voir très rapidement, non ?
Comment ne pas s’attacher à Lei ?
« Oui, ses notes sont excellentes et il est très débrouillard. » elle imagine qu’il dresse un profil d’embauche. Sinon, bien sûr, elle aurait sauté sur le levier de pression.
« Même pour ses devoirs, il est autonome. » il aimerait sans doute avoir quelqu’un pour l’épauler ceci dit… mais il s’accomode, ce n’est pas comme s’il avait tellement le choix.
Pas sûr que ça fasse un bon argumentaire… n’empêche qu’il marquerait quelques points.
N’empêche qu’il faudrait aussi en trouver un plus solide histoire de trouver une personne davantage digne de confiance pour prendre soin de son fils.
Ou elle peut sauter sur le voisin et essayer de le débaucher… dans le sens pro du terme bien sûr.
C’est mal, oui.
Mais elle n’est pas sourde, elle ne perd pas le nord, et ce genre de choses qui font que Lee Beom Ho devient la proie chassée d’une chasseuse de tête.
Il a le profil parfait, qu’on lui pardonne.
Lei l’adore, ça fait 80 % de son profil parfait ça.
D’accord, il n’est pas très surgelés.
Ok, il risque de la juger par moment et avoir envie de lui coller un procès à tout moment. Assez gênant quand on vit à côté mais là, sur le moment, il a simplement le profil parfait.
Un profil qui semble embêté, c’est vrai…
Un profil qui lui dit non.
La déception se marque sur le visage de l’hôtesse de l’air.
Elle n’a pas eu une enfance qu’on pourrait dire gâtée, pour autant, elle ne prend pas toujours le non comme un point final.
« Oh... » ça explique la petite moue ?
… tentative de le prendre par les sentiments en affichant une très nette déception.
On la force un peu plus, en France on aurait fait les cours Florent, quand il parle d’un autre contrat.
« Je suis sûre que ces deux-là ne vous aiment pas autant que Lei… » soupir, regard qui se baisse vers un point vague.
C’est très moche ce que tu fais Yulian… « Pardon… je ne devrais pas dire ça, ça vous regarde mais c’est que… Lei va être tellement déçu… il vous aime tellement… » comment peut il être déçu d’une demande qu’il ignore ?
Si on lui demande, elle peut inventer une histoire fantastique d’un voeu qu’il fait en guettant les étoiles filantes dans le ciel.
…
Peut-être qu’elle brûlera en enfer après sa mort.
C’est une fin envisageable.
Mais Lee Beom Ho est le candidat parfait.
Pas le genre qu’on laisse filer.
Même s’il propose des alternatives.
Allez, peut-être qu’ils ne seront pas si mal ses candidats…
D’accord, mais son coeur a décidé, celui de Lei aussi elle le sait, c’est le voisin qu’il leur faut. ça ne peut être que lui. C’est lui l’élu. Il est supposé ramener l’équilibre dans la force dans un univers, buter Voldemort dans un autre, garder Lei dans le leur. C’est écrit, avec ou sans cicatrice en forme d’éclair sur son front.
« Hum… » alors évidemment, sa proposition ne l’emballe pas vraiment.
Mais s’il refuse vraiment, ce sera toujours mieux que rien ?
Faut qu’elle lui colle le visage de Lei devant les yeux.
Comment refuser devant cette bouille incroyablement mignonne ? Qui peut dire non à cet être de toute évidence supérieur et haut de trois pommes.
« J’imagine… oui…. » nouveau soupir…
D’un autre côté, s’il le garde un peu… il sombrera doucement, voir très rapidement, non ?
Comment ne pas s’attacher à Lei ?
« Oui, ses notes sont excellentes et il est très débrouillard. » elle imagine qu’il dresse un profil d’embauche. Sinon, bien sûr, elle aurait sauté sur le levier de pression.
« Même pour ses devoirs, il est autonome. » il aimerait sans doute avoir quelqu’un pour l’épauler ceci dit… mais il s’accomode, ce n’est pas comme s’il avait tellement le choix.
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Re: o2. que durent les rêves du 2ème étage (yuh♡) | Sam 12 Oct - 13:09 Citer EditerSupprimer
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Si on lui demande, Beomho vous répondra que non – il n’y réféchit pas. Il a pleine conscience de son temps libre aka vraiment pas grand-chose, et de l’ampleur de la tâche qui est attendue. À moins de quitter la fac à quelques mois de son diplôme, et donc de passer à côté du métier dont il rêve depuis des années, il ne voit pas comment intégrer la garde de l’adorable Lei dans sa routine hebdomadaire. Surtout quand il se remémore les retards répétés de Madame Yang. Ce ne serait une bonne chose ni pour lui, ni pour Lei. Et qu’il ne se laisse pas avoir pas la mine déçue de la jeune maman, la culpabilité ne l’aura pas. Pas cette fois. … Ou il n’espère pas tout du moins. Pas facile quand il porte très clairement le petit ours dans son cœur, et que maman ours semble aussi désemparée. Et s’il est honnête avec lui-même, le voilà déjà entrain d’arranger son emploi du temps pour que cela passe – mais impossible. Même avec des journées d’une trentaine d’heures cela lui semble… compliqué. Et il a déjà un boulot après tout, il les aime bien les petits Kim et ils occupent une bonne partie de ses soirées déjà. Hm. Mais il est vrai que Lei est absol– Non, Lee Beomho – on ne compare pas les enfants entre eux, chacun leur mode de fonctionnement, chacun leur vitesse de développement. Une autre solution, une autre solution. VITE. Avant que les yeux tristes de la jeune maman l’atteignent en plein cœur et qu’il se vide de sa volonté à même le sol. Lei va être tellement déçu… un tel coup bas c’est inadmissible. « Je suis désolé, ce ne serait pas raisonnable. Je ne pourrais pas lui toute l’attention dont il a besoin… » - pourquoi il a l’impression d’être un criminel en prononçant ces mots ? Non assistance à personne en danger ; ça y ressemble. Ou négligence envers un être sensible. Car l’étudiant a presque l’impression de refuser d’aider un chaton trouvé dans la rue sous la pluie livré à lui-même. La culpabilité lui filerait presque la nausée. Alors Beomho tente de trouver des solutions, d’aider à trouver des solutions – même si techniquement, il n’est pas plus concerné que cela par le problème. Il se sent concerné par le problème à présent, comme si c’était lui qui avait abandonné son poste de babysitter. Ce n’est pas le cas mais c’est tout comme. Le silla absorbe d’autant plus la culpabilité que Lei est l’enfant parfait, probablement incroyable à garder et qu’il ne mérite pas de changer de nounou toutes les deux semaines… Beomho espère qu’il trouvera le babysitter adapté – quelqu’un comme lui finalement. Ah. « Ah. » - le grand brun sait à quoi cela ressemble et ce n’est pas une bonne nouvelle. Oui maaaaaaaaaaais si le petit garçon va à l’école, il arrivera plus facilement à – Non, stop. « Hm. ». Oui maaaaaaais s’il est aussi autonome sur tout comme il est sur ses puzzles, ce serait plus facile de – Non, non et non. « Peut-être provisoirement… ». Il capitule, il rend les armes et s’assurer une vie de fatigue et de stress pour les prochaines semaines. Mais le bonheur et le bien-être des enfants avant le sien, c’est ainsi. « Je pourrais dépanner. Temporairement bien sûr ! Le temps que vous trouviez quelqu’un de fiable ! » ; Oui, oui, voilà, il suffit d’être ferme sur le fait qu’il s’agit d’une solution provisoire, un dépannage. « Si la famille Kim accepte que Lei soit avec moi les soirs de garde quelques fois, je suppose que ça peut se faire… » ; la condition numéro un et d’ailleurs, le seule qui importe. Sauf l’accord de la famille, cela fait déjà trois soirs où Madame Yang devra trouver une autre solution. Les Kim sont des gens gentils mais un peu strictes et ils auraient tout à fait raison de refuser la présence d’un enfant qu’ils ne connaissent pas chez eux. Ils font confiance à leur babysitter cela dit, et d’un point de vu objectif, Beomho a plus peur de l’influence des deux enfants Kim sur Lei que l’inverse… Toujours est-il que c’est possible de faire ainsi, si tout le temps y met du sien et qu’il sacrifie quelques heures de sommeil. Enfin, possible… « Provisoirement… » - il ne sait pas pourquoi il insiste sur ce mot. Est-ce pour être sûr que Madame Yang enregistre cette information et qu’elle prenne ses précautions de son côté ? Ou bien est-ce pour s’auto-convaincre ? Se rassurer peut-être aussi. Car certes, le petit ours brun est un enfant parfait d’après son observation et les dires de sa voisine, mais cela signifie faire une croix sur son temps libre, car il ne peut pas en faire sur son temps d’étude. Dieu sait combien de temps le jeune silla pourra tenir avec un emploi du temps aussi rempli.
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