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you're late, b**** ((rhea&rhys))
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you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Ven 22 Sep - 19:17 you're late, b**** @woo rhea 
Mais qu’est-ce qui t’avait pris de dire oui à cette personne que tu ne pouvais pas voir en peinture malgré le sang en commun dans vos veines ? Elle t’avait envoyé un message — qui aurait cru que la sainte ni touche Woo allait faire l’effort ? — et te demander de te poster devant ton dortoir sans plus. Tu t’attendais à tout honnêtement : qu’elle vienne faire un scandale pour se donner encore plus d’image ; qu’elle t’humilie comme elle le fait depuis des années ; qu’elle te rabaisse en disant que tu aurais dû crever quand tu étais gosse… celle-ci, elle l’avait fait qu’une seule fois devant toi et elle te marquait encore. Mais, tes parents te disaient de ne pas prendre en compte, qu’elle était dans une période rebelle… elle était bien longue sa période rebelle à Rhea. Tu disais toujours que tu n’avais qu’une seule sœur et qu’un frère, parce que Rhea n’avait jamais réellement pris le rôle de grande sœur. Est-ce qu’elle avait déjà pensé à venir te voir quand tu avais commencé à faire tes petites compétitions de moto quand tu avais commencé ? Jamais. Tu étais déjà le sujet principal de la famille, elle en avait marre de toi et elle te l’avait dit à plusieurs reprises. Est-ce qu’elle s’était rendu compte de l’effet qu’elle avait eu sur toi, encore aujourd’hui ? Tu n’en savais trop rien, en tout cas, elle venait à t’envoyer un message pour que tu viennes devant ton dortoir, comme si c’était si important.
Tu regardais encore ton téléphone pour voir l’heure, tu n’avais pas envie de rester trop longtemps pour elle, tu étais même persuadé que ce n’était qu’une mauvaise blague de sa part. Tu étais resté assis sur les escaliers pendant un moment, pianotant sur ton téléphone. Tu aurais pu clairement l’envoyer chier comme tu le faisais souvent, même dire à Rohan de venir au cas où tu finirais dans un état lamentable parce qu’elle était capable de tout juste pour être le centre de l’attention. Elle ne t’avait même pas dit joyeux anniversaire, qu’est-ce que tu pouvais espérer de sa part ? Enfin, le seul espoir que tu avais était certainement qu’elle avait eu l’intelligence de le souhaiter à ta jumelle, toi, tu avais compris que tu n’étais rien dans sa vie depuis ta naissance. Alors, au moment où tu allais lever les yeux et surtout lever ton corps de cette marche, une ombre apparaissait devant toi, te faisant lever les yeux pour comprendre que tu avais ta chère grande sœur devant toi. « Tu m’as fait sortir de ma chambre pour quelle raison ? », même pas un bonjour, de toute manière, tu n’étais plus dans la bonne humeur depuis quelques jours. Tu savais pertinemment qu’elle n'allait pas être la plus gentille et adorable. Après tout, c’était bien la garce des Woo à tes yeux.
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Mais qu’est-ce qui t’avait pris de dire oui à cette personne que tu ne pouvais pas voir en peinture malgré le sang en commun dans vos veines ? Elle t’avait envoyé un message — qui aurait cru que la sainte ni touche Woo allait faire l’effort ? — et te demander de te poster devant ton dortoir sans plus. Tu t’attendais à tout honnêtement : qu’elle vienne faire un scandale pour se donner encore plus d’image ; qu’elle t’humilie comme elle le fait depuis des années ; qu’elle te rabaisse en disant que tu aurais dû crever quand tu étais gosse… celle-ci, elle l’avait fait qu’une seule fois devant toi et elle te marquait encore. Mais, tes parents te disaient de ne pas prendre en compte, qu’elle était dans une période rebelle… elle était bien longue sa période rebelle à Rhea. Tu disais toujours que tu n’avais qu’une seule sœur et qu’un frère, parce que Rhea n’avait jamais réellement pris le rôle de grande sœur. Est-ce qu’elle avait déjà pensé à venir te voir quand tu avais commencé à faire tes petites compétitions de moto quand tu avais commencé ? Jamais. Tu étais déjà le sujet principal de la famille, elle en avait marre de toi et elle te l’avait dit à plusieurs reprises. Est-ce qu’elle s’était rendu compte de l’effet qu’elle avait eu sur toi, encore aujourd’hui ? Tu n’en savais trop rien, en tout cas, elle venait à t’envoyer un message pour que tu viennes devant ton dortoir, comme si c’était si important.Tu regardais encore ton téléphone pour voir l’heure, tu n’avais pas envie de rester trop longtemps pour elle, tu étais même persuadé que ce n’était qu’une mauvaise blague de sa part. Tu étais resté assis sur les escaliers pendant un moment, pianotant sur ton téléphone. Tu aurais pu clairement l’envoyer chier comme tu le faisais souvent, même dire à Rohan de venir au cas où tu finirais dans un état lamentable parce qu’elle était capable de tout juste pour être le centre de l’attention. Elle ne t’avait même pas dit joyeux anniversaire, qu’est-ce que tu pouvais espérer de sa part ? Enfin, le seul espoir que tu avais était certainement qu’elle avait eu l’intelligence de le souhaiter à ta jumelle, toi, tu avais compris que tu n’étais rien dans sa vie depuis ta naissance. Alors, au moment où tu allais lever les yeux et surtout lever ton corps de cette marche, une ombre apparaissait devant toi, te faisant lever les yeux pour comprendre que tu avais ta chère grande sœur devant toi. « Tu m’as fait sortir de ma chambre pour quelle raison ? », même pas un bonjour, de toute manière, tu n’étais plus dans la bonne humeur depuis quelques jours. Tu savais pertinemment qu’elle n'allait pas être la plus gentille et adorable. Après tout, c’était bien la garce des Woo à tes yeux.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Sam 14 Oct - 21:07
Vraiment, tu aimerais savoir ce qui t'est passé par la tête... ce n'est pas tous les jours que tu envoies des sms à ton petit frère. En théorie, c'est même... heu... deux à trois fois par an, max ? Et encore, souvent c'est sur la conversation familiale, où tu ne mets les pieds qu'aux fêtes pour lâcher un aussi fade qu'impersonnel "Joyeux Noël" ou autre message pseudo-festif du genre. Le reste de l'année, la conversation est sur mute. Tu ne checkes même pas les réponses. Peut-être que tu envoies dans le vide, peut-être que tu es la seule encore sur cette convo. Tu sais pas. Y a des années où tu envoies des messages à tes frères et ta soeur pour leur anniversaire, même si souvent tu "oublies" ou tu prétexte t'en être rappelée trop tard et étant sur un autre fuseau horaire, ça n'avait plus de sens.
Mais malgré tout ça, ce n'est pas pour autant que tu ne penses pas à eux de temps de temps, te demandant comment ils vont, ce qu'ils font, avant de te rappeler que ça ne changera rien à ta vie et que tu es bien mieux dans ton coin. Tu as déjà bien assez à faire avec ton doctorat et ta catastrophe ambulante de promoteur.
Et pourtant... c'est au détour d'un magasin que tu es tombé sur " l'objet ". Au début, tu n'y avais jeté qu'un vague coup d'oeil, intéressée par d'autres choses dans la boutique, mais tes pas n'avaient fait que te faire tourner autour, et tu avais craqué. Tu t'étais penchée un peu plus précisément sur l'objet. Il s'agissait d'une sorte de lampe de chevet, constituée d'un socle de bois et d'une sorte de boule en verre posée dessus. La boule était gravée au laser à l'intérieur et dans les modèles proposés, il y en avait plusieurs sur le thème des étoiles et des planètes, ce qui t'avait fait penser à Rhys et sa passion pour l'astronomie. Voyant ton intérêt, un vendeur s'était immédiatement approché et tu n'avais pas eu le temps de l'envoyer bouler avec ta gentillesse si caractéristique qu'il t'avait dévoilé la fonction cachée de cette étrange lampe : en mode veilleuse, celle-ci projetait au plafond une carte du ciel. Oh.
Sans trop savoir pourquoi, tu avais fini par acheter la lampe, dans son joli kit avec plusieurs globes de verre interchangeables.
Pourquoi tu as fait ça, vraiment ? Bon, au point où tu en es... le texto part, lui donnant rendez-vous à l'extérieur de son dortoir. À l'heure convenue (enfin, fixée sans autre forme de procès par toi-même), tu sors de chez toi. Ah non, il ne fallait pas espérer que tu sois à l'heure, hein. Pas pour ta famille. Tu pars de chez toi à l'heure où tu es censée arriver, ni plus ni moins.
Tu es accueillie par ton petit frère visiblement très peu ravi de te voir. Au moins c'est réciproque. Devant son impolitesse crasse, tu relèves un sourcil, ton expression à la limite du mépris. « Parle mieux à tes aînés. » La seule chose qu'il ne puisse contrer : le fait que tu es plus âgée que lui. Si tu avais parlé de votre lien familial, tu sais qu'il aurait démenti, et ça ne t'aurait même pas blessée.
Enfin, tu supposes.
Tu lâches la boîte sur ses genoux, absolument pas désolée de drop plusieurs kilos de trucs fragiles sans alerte. « Joyeux anniversaire, tu rajoutes d'une voix agacée. » Comme si on t'avait obligée à lui faire un cadeau. Comme si tu n'avais pas fait l'autruche le jour de son anniversaire pour ne pas le lui souhaiter, alors que tu avais contacté ta petite soeur.
A queen is never late
Vraiment, tu aimerais savoir ce qui t'est passé par la tête... ce n'est pas tous les jours que tu envoies des sms à ton petit frère. En théorie, c'est même... heu... deux à trois fois par an, max ? Et encore, souvent c'est sur la conversation familiale, où tu ne mets les pieds qu'aux fêtes pour lâcher un aussi fade qu'impersonnel "Joyeux Noël" ou autre message pseudo-festif du genre. Le reste de l'année, la conversation est sur mute. Tu ne checkes même pas les réponses. Peut-être que tu envoies dans le vide, peut-être que tu es la seule encore sur cette convo. Tu sais pas. Y a des années où tu envoies des messages à tes frères et ta soeur pour leur anniversaire, même si souvent tu "oublies" ou tu prétexte t'en être rappelée trop tard et étant sur un autre fuseau horaire, ça n'avait plus de sens.Mais malgré tout ça, ce n'est pas pour autant que tu ne penses pas à eux de temps de temps, te demandant comment ils vont, ce qu'ils font, avant de te rappeler que ça ne changera rien à ta vie et que tu es bien mieux dans ton coin. Tu as déjà bien assez à faire avec ton doctorat et ta catastrophe ambulante de promoteur.
Et pourtant... c'est au détour d'un magasin que tu es tombé sur " l'objet ". Au début, tu n'y avais jeté qu'un vague coup d'oeil, intéressée par d'autres choses dans la boutique, mais tes pas n'avaient fait que te faire tourner autour, et tu avais craqué. Tu t'étais penchée un peu plus précisément sur l'objet. Il s'agissait d'une sorte de lampe de chevet, constituée d'un socle de bois et d'une sorte de boule en verre posée dessus. La boule était gravée au laser à l'intérieur et dans les modèles proposés, il y en avait plusieurs sur le thème des étoiles et des planètes, ce qui t'avait fait penser à Rhys et sa passion pour l'astronomie. Voyant ton intérêt, un vendeur s'était immédiatement approché et tu n'avais pas eu le temps de l'envoyer bouler avec ta gentillesse si caractéristique qu'il t'avait dévoilé la fonction cachée de cette étrange lampe : en mode veilleuse, celle-ci projetait au plafond une carte du ciel. Oh.
Sans trop savoir pourquoi, tu avais fini par acheter la lampe, dans son joli kit avec plusieurs globes de verre interchangeables.
Pourquoi tu as fait ça, vraiment ? Bon, au point où tu en es... le texto part, lui donnant rendez-vous à l'extérieur de son dortoir. À l'heure convenue (enfin, fixée sans autre forme de procès par toi-même), tu sors de chez toi. Ah non, il ne fallait pas espérer que tu sois à l'heure, hein. Pas pour ta famille. Tu pars de chez toi à l'heure où tu es censée arriver, ni plus ni moins.
Tu es accueillie par ton petit frère visiblement très peu ravi de te voir. Au moins c'est réciproque. Devant son impolitesse crasse, tu relèves un sourcil, ton expression à la limite du mépris. « Parle mieux à tes aînés. » La seule chose qu'il ne puisse contrer : le fait que tu es plus âgée que lui. Si tu avais parlé de votre lien familial, tu sais qu'il aurait démenti, et ça ne t'aurait même pas blessée.
Enfin, tu supposes.
Tu lâches la boîte sur ses genoux, absolument pas désolée de drop plusieurs kilos de trucs fragiles sans alerte. « Joyeux anniversaire, tu rajoutes d'une voix agacée. » Comme si on t'avait obligée à lui faire un cadeau. Comme si tu n'avais pas fait l'autruche le jour de son anniversaire pour ne pas le lui souhaiter, alors que tu avais contacté ta petite soeur.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Sam 14 Oct - 22:27 you're late, b**** @woo rhea Tu ne savais même pas pourquoi tu avais pris le temps de sortir pour accueillir cette personne qui n'avait plus le rôle de sœur depuis des années dans ta vie. Tes parents te disaient toujours qu'avec le temps, tout allait s'arranger alors que tu t'en fichais grave que ça arrive. Pourquoi te prendre la tête à être le petit frère de quelqu'un qui, à plusieurs reprises, faisait des sous-entendus pour que tu ne survives pas quand tu étais gamin ? Un soupir passait la barrière de tes lèvres alors que tu savais pertinemment que tu n'avais qu'à te relever et à franchir la porte de ton dortoir pour l'ignorer complètement. Mais non, tu voulais faire plaisir à tes parents aussi inconsciemment en acceptant d'attendre le pire de leurs enfants. Alors, quand elle était enfin là, tu laissais échapper un soupir. Un énorme soupir qui pouvait se faire entendre. « Parce que tu penses que je vais faire un effort pour toi ? Évite de dire que tu veux que ton frère crève avant de lui demander son respect. », tes paroles étaient un véritable venin et chaque chose qu'elle pouvait te dire n'avait plus aucun impact. Pas comme avant où tu t'en voulais presque d'avoir survécu, si c'était horrible de t'avoir dans ses pattes. Tu t'étais alors levé dans le seul but de partir, mais bien avant que tu ne puisses le faire, elle lâcha ce qu'elle avait dans les bras sur tes jambes. Heureusement que tu avais de bons réflexes pour attraper tout cela en vol et éviter qu'elle fasse encore plus n'importe quoi, elle avait déjà une magnifique liste depuis sa naissance après tout. Tu pouffais de rire d'un seul coup quand elle venait à dire ce qu'elle disait. « Je ne savais pas que j'étais né aujourd'hui ? Je devrais peut-être prévenir Rylee que notre anniversaire est décalé d'un mois. Ah nan c'est vrai, j'oublie que ton cerveau n'est jamais présent quand il s'agit de mon anniversaire. Je crois qu'il est plus actif quand tu prépares ta prochaine phrase pour m'insulter ou me faire comprendre que je ne suis qu'une petite merde. », tu étais le genre de jeune homme toujours de bonnes humeurs, doux et attentif. Mais, dès qu'elle était devant toi, tu prenais une autre identité et tu finissais par devenir ce que tu ne voulais pas être : une version d'elle. Tu te levais alors en prenant le paquet avant de la regarder. « Tu attends quoi pour te casser maintenant ? Je veux plus te voir avant que les parents veuillent une fête familiale avec tout le monde. »
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Tu ne savais même pas pourquoi tu avais pris le temps de sortir pour accueillir cette personne qui n'avait plus le rôle de sœur depuis des années dans ta vie. Tes parents te disaient toujours qu'avec le temps, tout allait s'arranger alors que tu t'en fichais grave que ça arrive. Pourquoi te prendre la tête à être le petit frère de quelqu'un qui, à plusieurs reprises, faisait des sous-entendus pour que tu ne survives pas quand tu étais gamin ? Un soupir passait la barrière de tes lèvres alors que tu savais pertinemment que tu n'avais qu'à te relever et à franchir la porte de ton dortoir pour l'ignorer complètement. Mais non, tu voulais faire plaisir à tes parents aussi inconsciemment en acceptant d'attendre le pire de leurs enfants. Alors, quand elle était enfin là, tu laissais échapper un soupir. Un énorme soupir qui pouvait se faire entendre. « Parce que tu penses que je vais faire un effort pour toi ? Évite de dire que tu veux que ton frère crève avant de lui demander son respect. », tes paroles étaient un véritable venin et chaque chose qu'elle pouvait te dire n'avait plus aucun impact. Pas comme avant où tu t'en voulais presque d'avoir survécu, si c'était horrible de t'avoir dans ses pattes. Tu t'étais alors levé dans le seul but de partir, mais bien avant que tu ne puisses le faire, elle lâcha ce qu'elle avait dans les bras sur tes jambes. Heureusement que tu avais de bons réflexes pour attraper tout cela en vol et éviter qu'elle fasse encore plus n'importe quoi, elle avait déjà une magnifique liste depuis sa naissance après tout. Tu pouffais de rire d'un seul coup quand elle venait à dire ce qu'elle disait. « Je ne savais pas que j'étais né aujourd'hui ? Je devrais peut-être prévenir Rylee que notre anniversaire est décalé d'un mois. Ah nan c'est vrai, j'oublie que ton cerveau n'est jamais présent quand il s'agit de mon anniversaire. Je crois qu'il est plus actif quand tu prépares ta prochaine phrase pour m'insulter ou me faire comprendre que je ne suis qu'une petite merde. », tu étais le genre de jeune homme toujours de bonnes humeurs, doux et attentif. Mais, dès qu'elle était devant toi, tu prenais une autre identité et tu finissais par devenir ce que tu ne voulais pas être : une version d'elle. Tu te levais alors en prenant le paquet avant de la regarder. « Tu attends quoi pour te casser maintenant ? Je veux plus te voir avant que les parents veuillent une fête familiale avec tout le monde. »code by kerushirei.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Lun 30 Oct - 21:28
Mais il a décidé de jouer avec tes nerfs en plus, ce sale môme ? Tu le toises, clairement peu impressionnée par son tantrum. « T'es encore coincé là-dessus ? Sérieusement ? Grandis un peu. » Quelle maturité venant de ta part ! (Non). Tu es juste incapable, parfaitement incapable de t'excuser pour les mots cruels que tu as autrefois prononcés. Non, ils n'étaient même pas cruels... ils étaient juste inhumains. Et à l'époque, rongée de colère et de jalousie, tu les pensais réellement. Puis de toute manière, même si tu t'excusais... est-ce que ça changerait réellement quelque chose ? Non. Alors pourquoi te rabaisser à ça ?
Le voilà qui rattrape in extremis le cadeau que tu lâches sur ses genoux. Tu ne peux pas t'empêcher de souffler du nez, profondément agacée par les attitudes de gamin de ton petit frère. Ouais, t'es en retard, il est vraiment obligé de le souligner ainsi et d'en faire un drama ? C'est toi la drama queen de cette famille, bon sang ! Désormais libérée de l'encombrante boîte, tu viens croiser les bras, le toisant avec dédain. « C'est bon, tu as fini de faire ton caliméro ? Je sais parfaitement bien quand vous êtes nés, Rylee et toi. » Après tout, on n'oublie jamais le jour où l'on devient grande soeur, après avoir occupé la place de petite soeur de son propre jumeau. Mais, again, aucune excuse de ta part pour ne pas le lui avoir souhaité le bon jour. « Et après tu t'étonnes que tu me donnes envie de t'insulter, quand tu te comportes comme ça ? » Et voilà, tu as perdu ton calme, tu es à deux doigts de le remettre violemment à sa place, à l'aide d'une de ces phrases cruelles dont tu as le secret.
Le voilà qui se lève, ton cadeau dans les bras, et tu relèves un sourcil quand il... te chasse ? Oui, c'est bien ce qu'il est en train de faire. Et après il ose se plaindre que tu le traites comme une merde, hein ? « Mais tu veux que je t'en claques une, toi ? T'es vraiment qu'un ingrat, tu siffles en lui lançant ton regard le plus noir que tu aies en stock. Ouvre cette putain de boîte, Rhys. Je ne partirai pas avant. » Tu t'es fait chier à trimballer ce truc jusqu'ici, et tu as l'intuition que dès que tu seras hors de vue, il jettera la boîte sans même l'ouvrir. Il le fera probablement même après l'avoir ouvert, mais tu auras au moins l'illusion que ça lui fera quelque chose de jeter à la poubelle un truc pareil, parce que tu es absolument certaine d'avoir choisi quelque chose qui aurait pu lui plaire si ça lui avait été offert par n'importe qui d'autre.
À la mention d'une fête de famille, tu fais la grimace. Quand tu es arrivée à Séoul, en sachant pertinemment que tu rejoignais ainsi le reste de ta famille, tu n'avais pas pris en compte ne fait qu'on tenterait de t'attirer à nouveaux dans les réunions. Tu as réussi à les dodger jusqu'à présent, prétextant du travail urgent, des empêchements divers... parfois la vérité, mais souvent des mensonges.
Ton téléphone vibre dans ta poche et tu le sors immédiatement, lâchant ton petit frère des yeux pour les poser sur le message qui s'affiche sur ton écran. Soupirant avec agacement, tu lances un regard en coin. « Tu te dépêches, oui ? J'ai encore du travail, moi ! » Bon, en réalité, tu es en congé mais l'équipe du jour au labo vient de t'informer que les résultats de tes derniers essais viennent de tomber et que c'est prometteur, et tu as très envie d'aller voir ça de tes propres yeux... toi, mariée à tes éprouvettes ? Nah. C'est Jinwoo, ça. T'es pas à ce stade là. Pas encore.
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Mais il a décidé de jouer avec tes nerfs en plus, ce sale môme ? Tu le toises, clairement peu impressionnée par son tantrum. « T'es encore coincé là-dessus ? Sérieusement ? Grandis un peu. » Quelle maturité venant de ta part ! (Non). Tu es juste incapable, parfaitement incapable de t'excuser pour les mots cruels que tu as autrefois prononcés. Non, ils n'étaient même pas cruels... ils étaient juste inhumains. Et à l'époque, rongée de colère et de jalousie, tu les pensais réellement. Puis de toute manière, même si tu t'excusais... est-ce que ça changerait réellement quelque chose ? Non. Alors pourquoi te rabaisser à ça ?Le voilà qui rattrape in extremis le cadeau que tu lâches sur ses genoux. Tu ne peux pas t'empêcher de souffler du nez, profondément agacée par les attitudes de gamin de ton petit frère. Ouais, t'es en retard, il est vraiment obligé de le souligner ainsi et d'en faire un drama ? C'est toi la drama queen de cette famille, bon sang ! Désormais libérée de l'encombrante boîte, tu viens croiser les bras, le toisant avec dédain. « C'est bon, tu as fini de faire ton caliméro ? Je sais parfaitement bien quand vous êtes nés, Rylee et toi. » Après tout, on n'oublie jamais le jour où l'on devient grande soeur, après avoir occupé la place de petite soeur de son propre jumeau. Mais, again, aucune excuse de ta part pour ne pas le lui avoir souhaité le bon jour. « Et après tu t'étonnes que tu me donnes envie de t'insulter, quand tu te comportes comme ça ? » Et voilà, tu as perdu ton calme, tu es à deux doigts de le remettre violemment à sa place, à l'aide d'une de ces phrases cruelles dont tu as le secret.
Le voilà qui se lève, ton cadeau dans les bras, et tu relèves un sourcil quand il... te chasse ? Oui, c'est bien ce qu'il est en train de faire. Et après il ose se plaindre que tu le traites comme une merde, hein ? « Mais tu veux que je t'en claques une, toi ? T'es vraiment qu'un ingrat, tu siffles en lui lançant ton regard le plus noir que tu aies en stock. Ouvre cette putain de boîte, Rhys. Je ne partirai pas avant. » Tu t'es fait chier à trimballer ce truc jusqu'ici, et tu as l'intuition que dès que tu seras hors de vue, il jettera la boîte sans même l'ouvrir. Il le fera probablement même après l'avoir ouvert, mais tu auras au moins l'illusion que ça lui fera quelque chose de jeter à la poubelle un truc pareil, parce que tu es absolument certaine d'avoir choisi quelque chose qui aurait pu lui plaire si ça lui avait été offert par n'importe qui d'autre.
À la mention d'une fête de famille, tu fais la grimace. Quand tu es arrivée à Séoul, en sachant pertinemment que tu rejoignais ainsi le reste de ta famille, tu n'avais pas pris en compte ne fait qu'on tenterait de t'attirer à nouveaux dans les réunions. Tu as réussi à les dodger jusqu'à présent, prétextant du travail urgent, des empêchements divers... parfois la vérité, mais souvent des mensonges.
Ton téléphone vibre dans ta poche et tu le sors immédiatement, lâchant ton petit frère des yeux pour les poser sur le message qui s'affiche sur ton écran. Soupirant avec agacement, tu lances un regard en coin. « Tu te dépêches, oui ? J'ai encore du travail, moi ! » Bon, en réalité, tu es en congé mais l'équipe du jour au labo vient de t'informer que les résultats de tes derniers essais viennent de tomber et que c'est prometteur, et tu as très envie d'aller voir ça de tes propres yeux... toi, mariée à tes éprouvettes ? Nah. C'est Jinwoo, ça. T'es pas à ce stade là. Pas encore.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Sam 4 Nov - 17:00 you're late, b**** @woo rhea « Tu me dis de grandir ? Venant de toi ? La bonne blague, où se trouve la caméra ? », parce qu'elle n'avait rien de mature à tes yeux, et qu'elle n'aurait rien de mature quand elle sera plus vieille, même en étant maman aussi. Tu plaignais déjà la première personne qui aurait une idée de faire sa vie avec cette personne. Tu sifflais presque pour qu'elle termine par te laisser tranquille dans sa sagesse et dans la connerie de sa propre personne. Tu en avais déjà marre, même avec un paquet qui était certainement que des conneries de sa part parce que tu savais pertinemment qu'elle n'aurait jamais fait l'effort de prendre quelque chose qui te corresponde. « Mais va te faire foutre enfaite ? Tu oses me dire que je fais le gamin alors que tu te ramènes devant moi pour je ne sais quelle raison qui t'est venue. Après, tu vas venir dire à tout le monde que tu as fait trop d'effort pour rien et tout le tralala que tu aimes faire parce que la seule chose que tu veux, c'est qu'on vienne te lécher le cul. Donc ouais, je fais ce que je veux et je dis ce que je veux, je m'en contrefiche si ça ne te plait pas. », tu étais toi-même étonné de tout ce que tu pouvais lui dire en ce moment même, cette haine qui était en train de sortir de ta bouche envers cette personne qui devrait être ta grande sœur, pas ta hantise.
Alors qu'elle venait à te sortir qu'elle allait t'en claquer une, tu te retournais pour la regarder pendant un instant. L'expression de ton visage avait complètement changé d'un seul coup à cette simple petite phrase de sa part. Avec le peu de respect que tu avais, tu posais la boite contre le sol dans un coin à côté de l'entrée du bâtiment. Puis, tes pas se rapprochaient de plus en plus vers ta grande sœur, jusqu'à ce que ton front soit presque contre celui de ta sœur. La haine pouvait se lire sur ton visage dans cet instant présent, alors qu'elle s'était plainte qu'elle n'avait pas le temps et qu'elle devait le voir ouvrir la boîte. Mais, autant que tu continues à être le frère chiant qu'elle ne supporte pas non ? « Qu'est-ce que tu attends alors pour m'en mettre une hein, Rhea ? Je suis sûr que tu as rêvé de m'en foutre tellement dans la tronche jusqu'à ce que je ne me réveille plus. Alors vas-y, mets-moi en une si ça te fait si plaisir de le faire. », tu restais là, à la confronter, parce que tu n'en avais rien à faire de sa réputation ou du temps qu'elle n'avait pas. Parce qu'elle n'était plus une grande sœur depuis tout ce qu'elle avait fait, elle était juste cette personne de trop dans une famille aimante.
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« Tu me dis de grandir ? Venant de toi ? La bonne blague, où se trouve la caméra ? », parce qu'elle n'avait rien de mature à tes yeux, et qu'elle n'aurait rien de mature quand elle sera plus vieille, même en étant maman aussi. Tu plaignais déjà la première personne qui aurait une idée de faire sa vie avec cette personne. Tu sifflais presque pour qu'elle termine par te laisser tranquille dans sa sagesse et dans la connerie de sa propre personne. Tu en avais déjà marre, même avec un paquet qui était certainement que des conneries de sa part parce que tu savais pertinemment qu'elle n'aurait jamais fait l'effort de prendre quelque chose qui te corresponde. « Mais va te faire foutre enfaite ? Tu oses me dire que je fais le gamin alors que tu te ramènes devant moi pour je ne sais quelle raison qui t'est venue. Après, tu vas venir dire à tout le monde que tu as fait trop d'effort pour rien et tout le tralala que tu aimes faire parce que la seule chose que tu veux, c'est qu'on vienne te lécher le cul. Donc ouais, je fais ce que je veux et je dis ce que je veux, je m'en contrefiche si ça ne te plait pas. », tu étais toi-même étonné de tout ce que tu pouvais lui dire en ce moment même, cette haine qui était en train de sortir de ta bouche envers cette personne qui devrait être ta grande sœur, pas ta hantise. Alors qu'elle venait à te sortir qu'elle allait t'en claquer une, tu te retournais pour la regarder pendant un instant. L'expression de ton visage avait complètement changé d'un seul coup à cette simple petite phrase de sa part. Avec le peu de respect que tu avais, tu posais la boite contre le sol dans un coin à côté de l'entrée du bâtiment. Puis, tes pas se rapprochaient de plus en plus vers ta grande sœur, jusqu'à ce que ton front soit presque contre celui de ta sœur. La haine pouvait se lire sur ton visage dans cet instant présent, alors qu'elle s'était plainte qu'elle n'avait pas le temps et qu'elle devait le voir ouvrir la boîte. Mais, autant que tu continues à être le frère chiant qu'elle ne supporte pas non ? « Qu'est-ce que tu attends alors pour m'en mettre une hein, Rhea ? Je suis sûr que tu as rêvé de m'en foutre tellement dans la tronche jusqu'à ce que je ne me réveille plus. Alors vas-y, mets-moi en une si ça te fait si plaisir de le faire. », tu restais là, à la confronter, parce que tu n'en avais rien à faire de sa réputation ou du temps qu'elle n'avait pas. Parce qu'elle n'était plus une grande sœur depuis tout ce qu'elle avait fait, elle était juste cette personne de trop dans une famille aimante.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Mer 15 Nov - 20:46
Pourquoi tu t'infliges ça, déjà ? Ah oui, ta culpabilité familiale, ce sentiment insidieux qui te dit que tu devrais tenter de revenir dans le cocon familial, à tes racines, alors que tu as tout fait pour t'en extraire.
Tu restes digne sous la salve de reproches, parce que tu ne peux pas réellement le contredire. Oui, il est certain que tu te plaindras de tes "efforts" gâchés suite à cette désastreuse rencontre, parce que c'est dans ta nature de te draper dans ta fierté pour ignorer tes blessures. Blessures que tu t'infliges toute seule comme une grande, by the way. « Il n'y a que les gamins pour chouiner de la sorte parce qu'ils reçoivent un cadeau d'anniversaire en retard. » Est-ce que tu viens d'ignorer royalement la moitié de son monologue ? Absolument.
Décidément, il n'y a que ton petit frère pour te faire à ce point perdre ton sang-froid, même Jinwoo et ses mots maladroits ne parviennent pas à faire naître une telle colère en toi. Les mots t'échappent et voilà qu'il se retourne. Quelque chose s'est définitivement brisé entre vous, tu le sens, tu le vois. Il se rapproche et tu réprimes ton mouvement de recul instinctif alors qu'il est pratiquement collé à toi. À ses mots, tes yeux s'écarquillent et tu serres les poings à en avoir les jointures complètement blanches. C'est ça ou craquer et lui foutre une tarte, mais tu t'es toujours jurée que jamais, jamais tu ne lèveras la main sur ton frère, ni sur personne d'ailleurs. Mais ton frères est prioritaire dans la liste, parce que tu sais que ce serait irrémédiable et non seulement tu perdrais ton petit frère, mais probablement le reste de ta famille aussi. Et tu restes là, comme une idiote, à le regarder d'un air mi-horrifié, mi-atterré. C'est donc vraiment ça, votre relation aujourd'hui ? Lui, persuadé que tu serais capable de le frapper ?
Finalement, tu laisses échapper un soupir dépité, tes poings se relâchant, et tu lèves la main à hauteur de son front, avant de lui lâcher ta meilleure pichenette. « C'est bon, t'es content ? Je suis l'horrible sœur qui te frappe, tu pourras montrer ta belle marque rouge à tout le monde pour preuve. » Tu recules enfin d'un pas, croisant les bras devant toi, geste nonchalant mais qui est pour toi une protection. Tu as probablement franchi la ligne de non-retour maintenant. Est-ce que tu regrettes ? Oui. Mais tu n'auras plus à te torturer à te demander si votre relation est réparable, parce qu'elle ne l'est plus, désormais. « Je n'ai jamais voulu ta mort, Rhys, tu siffles avec émotion. Mets-toi ça dans le crâne une bonne fois pour toute. » Tu lances un regard amer à la boîte posée au sol, comme si c'était la Boîte de Pandore contenant tous tes maux. Si tu avais su que craquer pour cette lampe vous mènerait à ça, tu te serais peut-être abstenue. « Oublie le cadeau, jette-le, fracasse-le, je m'en fiche. Je pense qu'on s'est tout dit. » Il est temps de partir. Tu déconnecteras ton téléphone privé en rentrant, tu ne veux pas que Rohan t'accable de reproches, ou lire la déception de Rylee.
A queen is never late
Pourquoi tu t'infliges ça, déjà ? Ah oui, ta culpabilité familiale, ce sentiment insidieux qui te dit que tu devrais tenter de revenir dans le cocon familial, à tes racines, alors que tu as tout fait pour t'en extraire.Tu restes digne sous la salve de reproches, parce que tu ne peux pas réellement le contredire. Oui, il est certain que tu te plaindras de tes "efforts" gâchés suite à cette désastreuse rencontre, parce que c'est dans ta nature de te draper dans ta fierté pour ignorer tes blessures. Blessures que tu t'infliges toute seule comme une grande, by the way. « Il n'y a que les gamins pour chouiner de la sorte parce qu'ils reçoivent un cadeau d'anniversaire en retard. » Est-ce que tu viens d'ignorer royalement la moitié de son monologue ? Absolument.
Décidément, il n'y a que ton petit frère pour te faire à ce point perdre ton sang-froid, même Jinwoo et ses mots maladroits ne parviennent pas à faire naître une telle colère en toi. Les mots t'échappent et voilà qu'il se retourne. Quelque chose s'est définitivement brisé entre vous, tu le sens, tu le vois. Il se rapproche et tu réprimes ton mouvement de recul instinctif alors qu'il est pratiquement collé à toi. À ses mots, tes yeux s'écarquillent et tu serres les poings à en avoir les jointures complètement blanches. C'est ça ou craquer et lui foutre une tarte, mais tu t'es toujours jurée que jamais, jamais tu ne lèveras la main sur ton frère, ni sur personne d'ailleurs. Mais ton frères est prioritaire dans la liste, parce que tu sais que ce serait irrémédiable et non seulement tu perdrais ton petit frère, mais probablement le reste de ta famille aussi. Et tu restes là, comme une idiote, à le regarder d'un air mi-horrifié, mi-atterré. C'est donc vraiment ça, votre relation aujourd'hui ? Lui, persuadé que tu serais capable de le frapper ?
Finalement, tu laisses échapper un soupir dépité, tes poings se relâchant, et tu lèves la main à hauteur de son front, avant de lui lâcher ta meilleure pichenette. « C'est bon, t'es content ? Je suis l'horrible sœur qui te frappe, tu pourras montrer ta belle marque rouge à tout le monde pour preuve. » Tu recules enfin d'un pas, croisant les bras devant toi, geste nonchalant mais qui est pour toi une protection. Tu as probablement franchi la ligne de non-retour maintenant. Est-ce que tu regrettes ? Oui. Mais tu n'auras plus à te torturer à te demander si votre relation est réparable, parce qu'elle ne l'est plus, désormais. « Je n'ai jamais voulu ta mort, Rhys, tu siffles avec émotion. Mets-toi ça dans le crâne une bonne fois pour toute. » Tu lances un regard amer à la boîte posée au sol, comme si c'était la Boîte de Pandore contenant tous tes maux. Si tu avais su que craquer pour cette lampe vous mènerait à ça, tu te serais peut-être abstenue. « Oublie le cadeau, jette-le, fracasse-le, je m'en fiche. Je pense qu'on s'est tout dit. » Il est temps de partir. Tu déconnecteras ton téléphone privé en rentrant, tu ne veux pas que Rohan t'accable de reproches, ou lire la déception de Rylee.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Jeu 16 Nov - 17:44 you're late, b**** @woo rhea Tu avais envie de rire, mais rire d'une manière qui ne pouvait pas te ressembler. Il était loin, le Rhys que tout le monde connaissait, celui qui était un ange sur pattes et qui était le plus timide des jeunes gens de son âge. Loin était-il dès que sa grande sœur venait dans son champ de vision et qu'elle venait avec tous les traumatismes d'un jeune garçon qui voulait juste l'amour de sa grande sœur. Tu laissais échapper un soupir de tes lèvres alors que ton regard était dans le sien. « Et malheureusement, sur terre, il existe encore des connes dans ton genre. Faut bien faire de la place pour tout le monde, non ? », tu n'avais plus envie d'être le gentil, celui qui pouvait se dire qu'il pouvait faire un effort pour le plaisir de sa sœur jumelle, de son grand frère et de ses parents. Non, tu n'étais plus celui-ci. Tu avais assez donné à une personne qui ne pouvait pas assumer toutes les choses qu'elle t'avait fait subir. Les traumatismes, les mots, rien ne pouvait s'oublier juste pour le plaisir de quelqu'un.
Cette provocation que tu venais de lui faire, cette manière de faire les choses vers elle, tu n'aurais jamais pensé que tu aurais le courage de le faire. Le peu de lien qu'il y avait encore entre vous deux venait de se briser d'un coup d'épée, tu n'avais même pas voulu que les choses se réparent. Cela ne servait à rien. Elle aurait gagné, on lui aurait pardonné pour tout ce qu'elle t'avait fait. Il était hors de question de laisser cette possibilité. Si elle voulait de ton pardon, elle finirait à genoux sous tes yeux. Tu laissais échapper un rire de tes lèvres, passant tes doigts sur ton front bien qu'aucune douleur n'était présente. Puis, tu posais ton regard nonchalant sur elle, tu avais pu observer le changement d'expression sur son visage à chacune de tes paroles. « Tu veux une médaille ? », tu la regardais reculer, un signe que tu étais en train de gagner cette conversation. Pour une fois que tu étais le gagnant entre vous deux. Ton rire se faisait encore plus présent par la suite, ta main se posant contre ton torse alors que ton rire se faisait presque effrayant. « Oh bordel, qu'est-ce qu'elle est bonne celle-là, je ne savais pas que tu avais de l'humour ma très chère grande sœur, tu te redressais alors avant de la regarder avec un manque d'émotion sur le visage, Je ne pense pas qu'on doit parler le même langage alors, mais bon, pour ta bonne conscience, on va dire que tu n'as pas dit, je cite, "oh faut qu'il arrête de geindre juste parce qu'il a mal" ou encore "vous êtes vraiment obligés de toujours l'emmener à l'hôpital celui-ci ? comme si ça allait changer quelque chose à notre vie.", et plein d'autres choses. », tu passais les mains dans tes poches en la regardant pendant un instant. « Barre-toi. Je ne veux plus te voir. Je fais déjà le strict minimum pour les parents, Rohan et Rylee. Alors vas-y, dégage. », mais, avec le respect que tu as pour les personnes qui ont fait ce paquet, tu ne vas pas le jeter. Tu le laisseras juste prendre la poussière dans un coin de ton armoire.
code by kerushirei.
Tu avais envie de rire, mais rire d'une manière qui ne pouvait pas te ressembler. Il était loin, le Rhys que tout le monde connaissait, celui qui était un ange sur pattes et qui était le plus timide des jeunes gens de son âge. Loin était-il dès que sa grande sœur venait dans son champ de vision et qu'elle venait avec tous les traumatismes d'un jeune garçon qui voulait juste l'amour de sa grande sœur. Tu laissais échapper un soupir de tes lèvres alors que ton regard était dans le sien. « Et malheureusement, sur terre, il existe encore des connes dans ton genre. Faut bien faire de la place pour tout le monde, non ? », tu n'avais plus envie d'être le gentil, celui qui pouvait se dire qu'il pouvait faire un effort pour le plaisir de sa sœur jumelle, de son grand frère et de ses parents. Non, tu n'étais plus celui-ci. Tu avais assez donné à une personne qui ne pouvait pas assumer toutes les choses qu'elle t'avait fait subir. Les traumatismes, les mots, rien ne pouvait s'oublier juste pour le plaisir de quelqu'un. Cette provocation que tu venais de lui faire, cette manière de faire les choses vers elle, tu n'aurais jamais pensé que tu aurais le courage de le faire. Le peu de lien qu'il y avait encore entre vous deux venait de se briser d'un coup d'épée, tu n'avais même pas voulu que les choses se réparent. Cela ne servait à rien. Elle aurait gagné, on lui aurait pardonné pour tout ce qu'elle t'avait fait. Il était hors de question de laisser cette possibilité. Si elle voulait de ton pardon, elle finirait à genoux sous tes yeux. Tu laissais échapper un rire de tes lèvres, passant tes doigts sur ton front bien qu'aucune douleur n'était présente. Puis, tu posais ton regard nonchalant sur elle, tu avais pu observer le changement d'expression sur son visage à chacune de tes paroles. « Tu veux une médaille ? », tu la regardais reculer, un signe que tu étais en train de gagner cette conversation. Pour une fois que tu étais le gagnant entre vous deux. Ton rire se faisait encore plus présent par la suite, ta main se posant contre ton torse alors que ton rire se faisait presque effrayant. « Oh bordel, qu'est-ce qu'elle est bonne celle-là, je ne savais pas que tu avais de l'humour ma très chère grande sœur, tu te redressais alors avant de la regarder avec un manque d'émotion sur le visage, Je ne pense pas qu'on doit parler le même langage alors, mais bon, pour ta bonne conscience, on va dire que tu n'as pas dit, je cite, "oh faut qu'il arrête de geindre juste parce qu'il a mal" ou encore "vous êtes vraiment obligés de toujours l'emmener à l'hôpital celui-ci ? comme si ça allait changer quelque chose à notre vie.", et plein d'autres choses. », tu passais les mains dans tes poches en la regardant pendant un instant. « Barre-toi. Je ne veux plus te voir. Je fais déjà le strict minimum pour les parents, Rohan et Rylee. Alors vas-y, dégage. », mais, avec le respect que tu as pour les personnes qui ont fait ce paquet, tu ne vas pas le jeter. Tu le laisseras juste prendre la poussière dans un coin de ton armoire.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Lun 4 Déc - 21:25
C'est dingue comme même Jinwoo ne te donne pas autant envie d'étriper quelqu'un que Rhys, et quand il te traite haut et fort de conne, tu en oublies presque de respirer. Non mais qui l'a élevé, celui-là ? Vos parents ne laissaient pas passer ce genre de chose. Tu ravales néanmoins tes mots acides. Envenimer la situation, encore et encore, n'aidera en rien. Tu éprouveras peut-être cinq secondes de satisfaction à l'idée d'avoir été la pire connasse de la Terre, avant qu'il ne te rétorque un truc de son cru et que tu te sentes à nouveau comme la pire qui soit. Pas que ça te dérange particulièrement en général, hein. Mais face à Rhys, tu as toujours ce petit pincement au coeur après avoir lâcher ton tout venin.
Mais bref. Ce n'est pas ça qui t'a empêché de lui faire les réflexion les plus dégueulasses que tu aies pu imaginer, à l'époque.
Tu roules des yeux devant sa réaction. Bon, au moins il ne s'est pas mis à chialer comme un môme, à te traiter de tous les noms. Tu détestes juste cette sensation de perte, l'idée d'être en train de t'écraser devant ton asticot de petit frère parce que quoi que tu dises, il te tournera pour faire de toi la vilaine de l'histoire. Nouveau roulement des yeux, tu vas bientôt finir par développer la capacité à faire un 360° avec tes globes oculaires. Ton agacement et ton profond ennui se montrent clairement sur ton visage et tu retiens à grand peine ton envie d'inspecter tes ongles (parfaitement manucurés, n'en déplaise aux règles débiles du laboratoire) pour bien marquer à quel point tu te moques de ce qu'il raconte. Ce serait trop cliché comme attitude. « Je ne reviendrai pas sur les choses que j'ai dites, tu énonces comme si c'était naturel. Cela ne veut pas dire que je les pensais. Ou que je les pense encore. » Tu n'épilogueras pas là-dessus, de toute manière il ne t'écoutera pas.
Un petit reniflement dédaigneux t'échappe alors qu'il te congédie sans la moindre grâce. « T'as survécu jusqu'ici contre toute attente, tâche de ne pas crever lors de ta prochaine compétition, cafard. » Parce que comme les cafards, il semblerait que Rhys soit immunisé à la mort. Et sur ces mots, le seul aveu approximatif que tu suis les exploits de ton petit frère, tu tournes les talons, te drapant dans toute la dignité et la colère qu'il te reste, t'éloignant. Bon, est-il encore trop tôt (ou tard) que pour te réserver un super week-end wellness à Noël ? Parce que là, tu es sûre que tu ne mettras pas les pieds dans la fête familiale.
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C'est dingue comme même Jinwoo ne te donne pas autant envie d'étriper quelqu'un que Rhys, et quand il te traite haut et fort de conne, tu en oublies presque de respirer. Non mais qui l'a élevé, celui-là ? Vos parents ne laissaient pas passer ce genre de chose. Tu ravales néanmoins tes mots acides. Envenimer la situation, encore et encore, n'aidera en rien. Tu éprouveras peut-être cinq secondes de satisfaction à l'idée d'avoir été la pire connasse de la Terre, avant qu'il ne te rétorque un truc de son cru et que tu te sentes à nouveau comme la pire qui soit. Pas que ça te dérange particulièrement en général, hein. Mais face à Rhys, tu as toujours ce petit pincement au coeur après avoir lâcher ton tout venin.Mais bref. Ce n'est pas ça qui t'a empêché de lui faire les réflexion les plus dégueulasses que tu aies pu imaginer, à l'époque.
Tu roules des yeux devant sa réaction. Bon, au moins il ne s'est pas mis à chialer comme un môme, à te traiter de tous les noms. Tu détestes juste cette sensation de perte, l'idée d'être en train de t'écraser devant ton asticot de petit frère parce que quoi que tu dises, il te tournera pour faire de toi la vilaine de l'histoire. Nouveau roulement des yeux, tu vas bientôt finir par développer la capacité à faire un 360° avec tes globes oculaires. Ton agacement et ton profond ennui se montrent clairement sur ton visage et tu retiens à grand peine ton envie d'inspecter tes ongles (parfaitement manucurés, n'en déplaise aux règles débiles du laboratoire) pour bien marquer à quel point tu te moques de ce qu'il raconte. Ce serait trop cliché comme attitude. « Je ne reviendrai pas sur les choses que j'ai dites, tu énonces comme si c'était naturel. Cela ne veut pas dire que je les pensais. Ou que je les pense encore. » Tu n'épilogueras pas là-dessus, de toute manière il ne t'écoutera pas.
Un petit reniflement dédaigneux t'échappe alors qu'il te congédie sans la moindre grâce. « T'as survécu jusqu'ici contre toute attente, tâche de ne pas crever lors de ta prochaine compétition, cafard. » Parce que comme les cafards, il semblerait que Rhys soit immunisé à la mort. Et sur ces mots, le seul aveu approximatif que tu suis les exploits de ton petit frère, tu tournes les talons, te drapant dans toute la dignité et la colère qu'il te reste, t'éloignant. Bon, est-il encore trop tôt (ou tard) que pour te réserver un super week-end wellness à Noël ? Parce que là, tu es sûre que tu ne mettras pas les pieds dans la fête familiale.
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Re: you're late, b**** ((rhea&rhys)) | Dim 10 Déc - 13:35 you're late, b**** @woo rhea Tu ne voulais pas la croire, pas croire qu'elle avait un bon fond malgré tout et qu'elle pouvait devenir une grande sœur pour toi. Après tout, la seule image qu'elle avait à tes yeux était celle qu'aucun petit frère ne voulait avoir. Bien même qu'elle pouvait te prouver le contraire, ou bien que tes parents avaient toujours un moyen de te faire montrer le bon côté de sa personne, tu ne voulais pas y croire. C'était pour cette raison que tu étais aussi froid avec lui, aussi méchant. Alors, après ton fou rire sur ses paroles, tu écoutais d'une oreille ce qu'elle avait à te dire. Elle ne reviendra pas sur ses paroles, celles qui avaient fini par te marquer et qui te marquaient encore à l'heure d'aujourd'hui. Mais, alors, quand elle venait à te dire qu'elle ne les pensait pas forcément, tu ne pouvais que lever les yeux au ciel pour lui faire comprendre que ce n'était qu'un gros sketch qu'elle était en train de te donner. Tu aurais pu y croire, mais la réalité de la vie avait fait que tu n'allais pas croire et qu'elle portera toujours le rôle de la sale garce dans ta vie.
Mais, quand tu venais à lui faire comprendre qu'elle pouvait partir, ses paroles t'avaient totalement surpris. Comment pouvait-elle te dire ce genre de choses si elle ne portait aucun intérêt sur ta personne, au point de te donner un cadeau d'anniversaire bien en retard. À moins que... Tu la regardais partir au loin sans dire un mot de plus, te demandant si c'était bien ta sœur qui venait de sous-entendre qu'elle suivait tes compétitions de moto alors qu'elle était bien la première à dire qu'elle n'en avait aucun intérêt quand tu avais commencé. Puis, quand elle finissait par être assez loin dans ton champ de vision, un moyen de vérifier qu'elle n'allait pas revenir d'embêter pour le reste de la soirée, tu avais pris le chemin en direction de ta chambre. Mais, dans le hall d'entrée, tu avais marqué un temps d'arrêt, réfléchissant au paquet que tu avais laissé dehors. Ce fameux cadeau de sa part. Bien que ce dernier venait de ta grande sœur, tu ne pouvais pas ignorer le travail des personnes derrière l'objet mystère. Tu avais laissé échapper un soupir avant d'aller le récupérer et de monter avec jusqu'à ta chambre. Il avait à présent une place dans ton armoire, parce que tu n'allais pas faire l'effort de l'ouvrir non plus.
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Tu ne voulais pas la croire, pas croire qu'elle avait un bon fond malgré tout et qu'elle pouvait devenir une grande sœur pour toi. Après tout, la seule image qu'elle avait à tes yeux était celle qu'aucun petit frère ne voulait avoir. Bien même qu'elle pouvait te prouver le contraire, ou bien que tes parents avaient toujours un moyen de te faire montrer le bon côté de sa personne, tu ne voulais pas y croire. C'était pour cette raison que tu étais aussi froid avec lui, aussi méchant. Alors, après ton fou rire sur ses paroles, tu écoutais d'une oreille ce qu'elle avait à te dire. Elle ne reviendra pas sur ses paroles, celles qui avaient fini par te marquer et qui te marquaient encore à l'heure d'aujourd'hui. Mais, alors, quand elle venait à te dire qu'elle ne les pensait pas forcément, tu ne pouvais que lever les yeux au ciel pour lui faire comprendre que ce n'était qu'un gros sketch qu'elle était en train de te donner. Tu aurais pu y croire, mais la réalité de la vie avait fait que tu n'allais pas croire et qu'elle portera toujours le rôle de la sale garce dans ta vie.Mais, quand tu venais à lui faire comprendre qu'elle pouvait partir, ses paroles t'avaient totalement surpris. Comment pouvait-elle te dire ce genre de choses si elle ne portait aucun intérêt sur ta personne, au point de te donner un cadeau d'anniversaire bien en retard. À moins que... Tu la regardais partir au loin sans dire un mot de plus, te demandant si c'était bien ta sœur qui venait de sous-entendre qu'elle suivait tes compétitions de moto alors qu'elle était bien la première à dire qu'elle n'en avait aucun intérêt quand tu avais commencé. Puis, quand elle finissait par être assez loin dans ton champ de vision, un moyen de vérifier qu'elle n'allait pas revenir d'embêter pour le reste de la soirée, tu avais pris le chemin en direction de ta chambre. Mais, dans le hall d'entrée, tu avais marqué un temps d'arrêt, réfléchissant au paquet que tu avais laissé dehors. Ce fameux cadeau de sa part. Bien que ce dernier venait de ta grande sœur, tu ne pouvais pas ignorer le travail des personnes derrière l'objet mystère. Tu avais laissé échapper un soupir avant d'aller le récupérer et de monter avec jusqu'à ta chambre. Il avait à présent une place dans ton armoire, parce que tu n'allais pas faire l'effort de l'ouvrir non plus.
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