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Rumors are (not) true
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
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Rumors are (not) true | Dim 11 Fév - 19:15 Citer EditerSupprimer
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Qu’est-ce qui aurait pu mal ce passer franchement? Tu ne voulais que détendre un peu l’atmosphère alors que tu dînais tranquillement avec ta doctorante. Juste pour la détendre un peu. Forcément quand vous êtes tous les deux, il a fallu que ça parte en cacahuète. Parce que forcément, c’est devenu gênant par moment, alors vous avez bu, un peu trop. Sauf qu’au moment de rentrer Rhéa t’as demandé de la ramener chez elle, sans doute trop émécher pour le faire seul. Tout le début du problème à commencer ici, mais c’est également là que tout devient beaucoup, beaucoup trop flou. Tu te rappelles vaguement que vous avez pris un taxi, et que vous êtes arrivez devant l’immeuble, sauf que pas moyen de trouver son code pour rentrer dans l’immeuble. Vous deviez avoir une sacrée allure, à s’énerver sur le digicode alors qu’aucun de vous deux n’a les yeux en fasse des trous. Ensuite tu ne sais plus trop ce qui c’est passé, où alors l’enchaînement des événements précis. Le trou noir complet, perdu dans l’océan de nourriture et de shooter qui est apparu sur votre table. Oui, c’était sans doute une très, très mauvaise idée de base. Qu’est-ce qui aurait pu mal tourner finalement? A part tout?
C’est la douce caresse du soleil qui vient de tirer des bras de Morphée. La douce chaleur qui vient aussitôt réveiller ton crâne et les excès de la veille. On peut dire que tu vas avoir une gueule de bois carabinée aujourd’hui. Tu as tout une famille de pic-vert qui s’amuse a l’intérieur de ton crâne, et visiblement ils ne trouvent pas vraiment ce qu’ils veulent vu qu’il continue de te torturer comme si ne rien était. Décidément cette soirée avec Rhéa va laisser des traces à tous les points de vue. Bon au moins il ne c’est rien pass… Ce n’est que lorsque tu bouges légèrement en voulant t’étirer que tu remarques deux petites choses qui te figent d’un seul coup. Non seulement tu sens un peu trop tes draps contre toi, signe que tes vêtements ton quitter et que ton pyjama ne ta pas rejoint. En soit ce n’est pas dramatique vous allez me dire, inhabituel certes, mais vus ton état hier compréhensible. Le deuxième problème lié a celui-là et qui le rend beaucoup plus embêtant, c’est que tu sens une présence contre toi dans ce lit. Tu restes quelques secondes encore à fixé le plafond, n’osant pas voir qui est avec toi. Pitié pas Rhea, pas Rhea, sinon ça va rendre les choses encore plus complexes qu’elles ne le sont déjà. Oui, tu en viens presque a espéré que tu as ramener la première fille que tu pus trouver dans la rue. Enfin non pas que trouver Rhea dans ton lit soit horrible, enfin clairement il y aurait plus déplaisant. Sauf que ce serait donner raison aux rumeurs, sauf qu’en plus tu ne t’en rapellerais même pas. Bref c’est pas le sujet.
Tu finis donc par baisser la tête, priant tous les dieux de la Terre pour ne pas avoir fait une grosse bêtise sous influence. Bordel tu savais que s’en remettre a des êtres fictifs ce n’est jamais une bonne idée. Tu tombes sur une Rhea absolument pas habillé blottie contre toi sous les draps. Bon d’accords, tu plaides coupable, tu restes quelques secondes à l’admirer. Oui, j’ai admiré c’est le terme, hypnotiser par la vision de la jeune femme blottie contre toi. Tes yeux glissent où ils ne devraient pas, le rouge te montant alors aux lèvres, avant que tu ne te fasses violence pour les détourner et fixer le plafond. Oh bon sang tu as encore plus mal au crâne d’un seul coup. Tu parcours la chambre des yeux, et les vêtements éparpillé un peu pas partout ne vont sûrement arrangé l’idée de ce qui a pu ce passé. Tu te masses le front avec ta main libre, bon reste calme Jin Woo, c’est juste que vous étiez trop alcoolisé pour posé vos vêtements correctement. Oui c’est ça, vous n’avez absolument pas fait de choses fortement déconseillé. Tu as beau essayé de te souvenir, impossible, seuls quelques flashs semblent te revenir, mais honnêtement tu ne sais pas si c’est ton esprit qui te joue des tours où si c’est la vérité. Pourquoi alors est-ce lorsque tu tournes la tête vers la nymphe dans ton lit tu as soudain l’impression de savoir quel goût à sa peau? Non non non. Tu tournes la tête vers son visage, ne pouvant t’empêcher de sourire alors que tu la regardes dormir. Oui tu la trouves belle, mais qu’est-ce que tu y peu. Tu caresses doucement le dos de la jeune femme, tentant de la réveillé le plus doucement possible. Est-ce que tu as l’impression de réveiller un dragon? Parfaitement, mais il va bien falloir le faire à un moment où un autre. Tu murmures alors doucement pour ne pas, trop, la brusquer. Même si le réveil risque d’être brutal. ”Rhea, réveille toi… Rhea, ouvre les yeux… Je sais que je suis confortable, mais il faut émerger mademoiselle.”
C’est la douce caresse du soleil qui vient de tirer des bras de Morphée. La douce chaleur qui vient aussitôt réveiller ton crâne et les excès de la veille. On peut dire que tu vas avoir une gueule de bois carabinée aujourd’hui. Tu as tout une famille de pic-vert qui s’amuse a l’intérieur de ton crâne, et visiblement ils ne trouvent pas vraiment ce qu’ils veulent vu qu’il continue de te torturer comme si ne rien était. Décidément cette soirée avec Rhéa va laisser des traces à tous les points de vue. Bon au moins il ne c’est rien pass… Ce n’est que lorsque tu bouges légèrement en voulant t’étirer que tu remarques deux petites choses qui te figent d’un seul coup. Non seulement tu sens un peu trop tes draps contre toi, signe que tes vêtements ton quitter et que ton pyjama ne ta pas rejoint. En soit ce n’est pas dramatique vous allez me dire, inhabituel certes, mais vus ton état hier compréhensible. Le deuxième problème lié a celui-là et qui le rend beaucoup plus embêtant, c’est que tu sens une présence contre toi dans ce lit. Tu restes quelques secondes encore à fixé le plafond, n’osant pas voir qui est avec toi. Pitié pas Rhea, pas Rhea, sinon ça va rendre les choses encore plus complexes qu’elles ne le sont déjà. Oui, tu en viens presque a espéré que tu as ramener la première fille que tu pus trouver dans la rue. Enfin non pas que trouver Rhea dans ton lit soit horrible, enfin clairement il y aurait plus déplaisant. Sauf que ce serait donner raison aux rumeurs, sauf qu’en plus tu ne t’en rapellerais même pas. Bref c’est pas le sujet.
Tu finis donc par baisser la tête, priant tous les dieux de la Terre pour ne pas avoir fait une grosse bêtise sous influence. Bordel tu savais que s’en remettre a des êtres fictifs ce n’est jamais une bonne idée. Tu tombes sur une Rhea absolument pas habillé blottie contre toi sous les draps. Bon d’accords, tu plaides coupable, tu restes quelques secondes à l’admirer. Oui, j’ai admiré c’est le terme, hypnotiser par la vision de la jeune femme blottie contre toi. Tes yeux glissent où ils ne devraient pas, le rouge te montant alors aux lèvres, avant que tu ne te fasses violence pour les détourner et fixer le plafond. Oh bon sang tu as encore plus mal au crâne d’un seul coup. Tu parcours la chambre des yeux, et les vêtements éparpillé un peu pas partout ne vont sûrement arrangé l’idée de ce qui a pu ce passé. Tu te masses le front avec ta main libre, bon reste calme Jin Woo, c’est juste que vous étiez trop alcoolisé pour posé vos vêtements correctement. Oui c’est ça, vous n’avez absolument pas fait de choses fortement déconseillé. Tu as beau essayé de te souvenir, impossible, seuls quelques flashs semblent te revenir, mais honnêtement tu ne sais pas si c’est ton esprit qui te joue des tours où si c’est la vérité. Pourquoi alors est-ce lorsque tu tournes la tête vers la nymphe dans ton lit tu as soudain l’impression de savoir quel goût à sa peau? Non non non. Tu tournes la tête vers son visage, ne pouvant t’empêcher de sourire alors que tu la regardes dormir. Oui tu la trouves belle, mais qu’est-ce que tu y peu. Tu caresses doucement le dos de la jeune femme, tentant de la réveillé le plus doucement possible. Est-ce que tu as l’impression de réveiller un dragon? Parfaitement, mais il va bien falloir le faire à un moment où un autre. Tu murmures alors doucement pour ne pas, trop, la brusquer. Même si le réveil risque d’être brutal. ”Rhea, réveille toi… Rhea, ouvre les yeux… Je sais que je suis confortable, mais il faut émerger mademoiselle.”
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Woo Rhea
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Re: Rumors are (not) true | Lun 19 Fév - 10:54 Citer EditerSupprimer
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Tu te sens étrangement bien. Endormie, assoupie, tu n'es consciente que de la douceur des draps contre ta peau, la chaleur qui irradie contre ton corps, le soleil qui caresse ton visage. Pas encore assez éveillée que pour que les excès de la veille ne se rappellent à toi, tu viens te blottir un peu plus contre cette source de chaleur inconnue. Oh si seulement tu savais, pauvre Rhea, si seulement tu pouvais ouvrir les yeux...
Tu geins dans ton sommeil en sentant ta précieuse source de chaleur bouger, s'agiter, ta main cherchant une prise pour le calmer et le ramener à toi. Tu n'as aucune idée de ce que ta main est en train de tâter mais c'est agréable sous tes doigts et un petit soupir d'aise t'échappe. Puis tu commences pratiquement à ronronner de satisfaction quand tu sens une douce caresse le long de ton dos. Oh diable, qu'est-ce que tu aimes ça. Tu te cambres légèrement sous le doux contact, avant de geindre à nouveau quand une voix résonne en bordure de ta conscience, menaçant de faire exploser ta petite bulle de félicité. La voix insiste et tu protestes, mais elle finit par gagner et tu papillonnes des yeux, avant de les refermer violemment. Le soleil agresse ta rétine sensible et le monde vient d'imploser dans ton crâne ; un véritable orchestre en train d'accorder ses instruments dépareillés. Grondant, te tenant la main d'une main, tu te redresses sur un coude, cherchant à faire sens à tout ce qui se passe. Des flashs d'hier te reviennent, la soirée avec Jinwoo au restaurant, les shots qui s'alignent, la brûlure de l'alcool dans ta gorge, la sensation de légèreté. Les flashs se font plus éparses, tu te souviens être arrivée devant ta porte, soutenue par le séduisant biochimiste... puis le blanc. Que s'est-il passé ensuite ? Tu te forces à ouvrir les yeux, et la première chose sur laquelle ton regard tombe n'est autre qu'un torse. Très nu. Très beau aussi. Ton regard remonte le long des abdos pour découvrir le propriétaire de ce corps et tu observes d'un air horrifié... Jinwoo. Te rendant compte que tu es encore à moitié collée à lui, tu recules précipitamment, avant de te rendre compte que tu es quasiment nue. Tu plaques prestement les draps contre ton corps, les rouges rouges de gêne. « Qu'est-ce que... qu'est-ce qui s'est passé ? » Un simple regard suffit à te faire comprendre que tu n'es pas chez toi, mais bien dans une chambre inconnue et indéniablement masculine. « Pourquoi je suis... pourquoi tu... » Parler est étonnamment compliqué tellement c'est le vrac dans ta tête, sans parler de ton état nauséeux et de l'impression d'avoir du sable dans la gorge. « Est-ce qu'on a... » Oh non. Oh noooon. Tu commences à paniquer, inspectant ton corps presque frénétiquement. Tu es aussi dénudée que lui, et vous vous êtes réveillés dans un lit, avec une gueule de bois. Qui sait quelles conneries vous avez pu faire dans votre état d'ébriété avancée ? Tu pries pour que vous n'ayez pas couché ensemble. Premièrement, parce que tu ne veux pas donner raison aux rumeurs ; jusqu'à présent, tu pouvais nier avec confidence, mais maintenant ? Deuxièmement, parce que tu ne te souviens de rien et c'est... c'était... ça aurait été... ta première fois. « Pitié, dis-moi qu'on n'a pas couché ensemble, tu gémis avec désespoir. » Tu ne ressens aucune brûlure entre tes cuisses, aucune gêne due à une possible réaction allergique. Il y a donc des chances que vous n'ayez rien fait... ou que vous ayez skip la capote, ce qui te terrifie encore plus.
La panique commence à refluer, ton mal-être alimentant ta personnalité colérique, et tu finis par poser un regard dur sur Jinwoo. Bon, tu admets qu'il est assez compliqué de te concentrer sur son visage quand l'intégralité de ton champ de vision vacille et qu'il y a ce corps plus que divin à vue. « Qu'est-ce que tu m'as fait ?! tu siffles tel un chat en colère, tes poings se crispant sur le draps. Pourquoi on est chez toi ?! » Tu te souviens parfaitement être arrivée devant ta porte, tu te vois encore pianoter sur le pad numérique... alors pourquoi tu te réveilles dans le lit de Jinwoo ? Et nue, par-dessus le marché ?!
Tu geins dans ton sommeil en sentant ta précieuse source de chaleur bouger, s'agiter, ta main cherchant une prise pour le calmer et le ramener à toi. Tu n'as aucune idée de ce que ta main est en train de tâter mais c'est agréable sous tes doigts et un petit soupir d'aise t'échappe. Puis tu commences pratiquement à ronronner de satisfaction quand tu sens une douce caresse le long de ton dos. Oh diable, qu'est-ce que tu aimes ça. Tu te cambres légèrement sous le doux contact, avant de geindre à nouveau quand une voix résonne en bordure de ta conscience, menaçant de faire exploser ta petite bulle de félicité. La voix insiste et tu protestes, mais elle finit par gagner et tu papillonnes des yeux, avant de les refermer violemment. Le soleil agresse ta rétine sensible et le monde vient d'imploser dans ton crâne ; un véritable orchestre en train d'accorder ses instruments dépareillés. Grondant, te tenant la main d'une main, tu te redresses sur un coude, cherchant à faire sens à tout ce qui se passe. Des flashs d'hier te reviennent, la soirée avec Jinwoo au restaurant, les shots qui s'alignent, la brûlure de l'alcool dans ta gorge, la sensation de légèreté. Les flashs se font plus éparses, tu te souviens être arrivée devant ta porte, soutenue par le séduisant biochimiste... puis le blanc. Que s'est-il passé ensuite ? Tu te forces à ouvrir les yeux, et la première chose sur laquelle ton regard tombe n'est autre qu'un torse. Très nu. Très beau aussi. Ton regard remonte le long des abdos pour découvrir le propriétaire de ce corps et tu observes d'un air horrifié... Jinwoo. Te rendant compte que tu es encore à moitié collée à lui, tu recules précipitamment, avant de te rendre compte que tu es quasiment nue. Tu plaques prestement les draps contre ton corps, les rouges rouges de gêne. « Qu'est-ce que... qu'est-ce qui s'est passé ? » Un simple regard suffit à te faire comprendre que tu n'es pas chez toi, mais bien dans une chambre inconnue et indéniablement masculine. « Pourquoi je suis... pourquoi tu... » Parler est étonnamment compliqué tellement c'est le vrac dans ta tête, sans parler de ton état nauséeux et de l'impression d'avoir du sable dans la gorge. « Est-ce qu'on a... » Oh non. Oh noooon. Tu commences à paniquer, inspectant ton corps presque frénétiquement. Tu es aussi dénudée que lui, et vous vous êtes réveillés dans un lit, avec une gueule de bois. Qui sait quelles conneries vous avez pu faire dans votre état d'ébriété avancée ? Tu pries pour que vous n'ayez pas couché ensemble. Premièrement, parce que tu ne veux pas donner raison aux rumeurs ; jusqu'à présent, tu pouvais nier avec confidence, mais maintenant ? Deuxièmement, parce que tu ne te souviens de rien et c'est... c'était... ça aurait été... ta première fois. « Pitié, dis-moi qu'on n'a pas couché ensemble, tu gémis avec désespoir. » Tu ne ressens aucune brûlure entre tes cuisses, aucune gêne due à une possible réaction allergique. Il y a donc des chances que vous n'ayez rien fait... ou que vous ayez skip la capote, ce qui te terrifie encore plus.
La panique commence à refluer, ton mal-être alimentant ta personnalité colérique, et tu finis par poser un regard dur sur Jinwoo. Bon, tu admets qu'il est assez compliqué de te concentrer sur son visage quand l'intégralité de ton champ de vision vacille et qu'il y a ce corps plus que divin à vue. « Qu'est-ce que tu m'as fait ?! tu siffles tel un chat en colère, tes poings se crispant sur le draps. Pourquoi on est chez toi ?! » Tu te souviens parfaitement être arrivée devant ta porte, tu te vois encore pianoter sur le pad numérique... alors pourquoi tu te réveilles dans le lit de Jinwoo ? Et nue, par-dessus le marché ?!
Sung Jin Woo est sous l'effet d'un philtre d'amour
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Re: Rumors are (not) true | Mer 21 Fév - 9:59 Citer EditerSupprimer
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Il faut avouer que lorsqu’elle dort, elle est belle Rhea. Pas qu’elle ne le soit pas d’habitude, même si tu ne lui diras pas, mais quand elle est sereine comme cela ça n’a pas du tout le même effet. Surtout quand elle a l’air si sereine et reposée, tu hésites presque à la réveillé, parce que tu sais que tu vas tirer la queue d’un dragon. Bon, il y a également un argument, c’est que sans le vouloir tu ne peux t’empêcher de l’admirer. Mais c’est mal, tu le sais, mais la vision de ce corps dénudé contre toi risque de mettre un moment avant de te quitter. Tu ne peux t’empêcher de rire doucement alors que tu tentes de la réveiller en la caressant doucement. Comme un chat qui en réclame plus elle se cambre contre sa main et se plaint de se faire sortir de sa petite bulle. Ton mal de tête reste raisonnable tant que tu ne bouges pas trop, mais à l’instant où elle ouvre les yeux, ton mal de tête s’intensifie soudain. On dirait bien que tu es partie pour un rodéo dés le réveil. Non le mot est mal choisi pas un rodéo dans le sens crapuleux, enfin. Bref. Ton cerveau est un vrac, et à bien du mal a réfléchir correctement alors que Rhea affiche un air digne d’un film d’horreur. ”Je suis si désagréable que ça a regarder?” Pourquoi tu racontes ça toi? Bordel tu en rajoute en plus, ça va encore mal finir toute cette histoire. Tu l’observes dans son état de panique total, alors qu’elle soustrait de ta vue la vision qu’elle t’offrait jusque là. TU es clairement déçu, mais tu ne risques pas de l’admettre. Elle commence alors a paniquer encore plus, et a parler, parler, parler. Tu reposes ta tête contre l’oreiller, te massant les tempes pour tenter de calmer le mal de tête grandissant qui t’assaille. Tu grognes alors qu’elle continue ”Doucement Rhea, une question à la fois s’il te plait.” Sauf que visiblement c’était trop demander alors qu’elle continue dans son état de panique alors qu’elle s’inspecte comme si elle avait été victime d’un viol. Sauf que là si on suit cette logique c’est toi qui aurais été l’agresseur, et ça ne te plait pas du tout. Tu tentes de reconstituer le fil de la soirée, des flashs te reviennent un peu, mais un ordre complètement chaotique. Forcément Rhea continue, en commençant a sérieusement s’énerver et en t’accusant de la situation.
Pardon? Clairement ce n’est pas ton genre et elle a sa part de responsabilité dans cette histoire. Surtout que ton crâne en bouillit te laisse que peu de patience et de réflexion. Ton corps réagit un peu tout seul, tu te relèves, roulant à moitié sur Rhea pour te retrouver au-dessus d’elle sur tes coudes. Tu mets ta main sur ses lèvres, lui faisant signe de se taire quelques secondes? ”Deux secondes Rhea, laisse moi réfléchir juste deux secondes tu veux?” Tu ne te rends même pas compte qu’une de tes mains c’est placé machinalement sur la cuisse de la jeune femme à travers le drap. Vieux réflexe avec ta fiancée sûrement, tu es clairement en autopilote de toute manière. Ta main quitte ses lèves alors que tu te redresses un peu lui laissant de l’espace bien que tu puisses sentir chacun de ses mouvements a travers le draps. ”Je ne me rapelle pas de tout. Tu n’arrivais pas a faire ton digicode, alors je t’ai emmener ici, tu n’allais pas dormir dehors. Je crois que j’ai voulu… Dormir sur le canapé, mais tu ne voulais par dormir toute seule ici….” Tu marques un temps d’arrêt, te massant une nouvelle fois les tempes de ta main libre. Tu ne te rends pas compte de ta main qui colle un peu plus la jeune femme contre toi, la caressant doucement à travers le drap. ” Après tu avais chaud je crois, tu as commencé a retiré tes vêtements. Je crois que je t’ai aidé parce que tu n’y arrivais pas, je ne suis pas sûr… Honnêtement c’est encore flou…” Tu as l’impression de faire un effort surhumain pour remettre en ordre le peu de souvenir que tu as pour le moment. Tu soupir alors que tu fermes les yeux. Puis tu te rends soudain compte de la proximité entre vous deux et le rouge te monte au joues. ”Oh pardon je…” Tu restes pourtant bloquer alors que tu admires encore la jeune fois sous tes yeux, avant de te reculer alors que tu te redresses sur le lit. ”Si je n’ai pas de vêtement c’est que je dors souvent nue. J’admets que là, ça n’était pas un choix très malin” Tu t’étires bruyamment, bon sang tu craques de tous les côtés, tu te demandes ce que vous avez pu faire pour que tu es mal partout de la sorte. ”Avant que tu ne continues l’interrogatoire, je crois qu’on a besoin de manger quelque chose. Reste là, je m’en occupe. Je peux au moins faire ça…” Tu écartes les draps pour sortir du lit et prendre la direction de ta cuisine pour préparer quelque chose. Sauf que tu oublies un léger détail alors que tu marches: tu es nue comme un ver. Une habitude certes, mais tu n’es pas seul ici aujourd’hui, enfin, ce n’est pas comme si elle n’avait pas déjà au moins tout aperçu.
Pardon? Clairement ce n’est pas ton genre et elle a sa part de responsabilité dans cette histoire. Surtout que ton crâne en bouillit te laisse que peu de patience et de réflexion. Ton corps réagit un peu tout seul, tu te relèves, roulant à moitié sur Rhea pour te retrouver au-dessus d’elle sur tes coudes. Tu mets ta main sur ses lèvres, lui faisant signe de se taire quelques secondes? ”Deux secondes Rhea, laisse moi réfléchir juste deux secondes tu veux?” Tu ne te rends même pas compte qu’une de tes mains c’est placé machinalement sur la cuisse de la jeune femme à travers le drap. Vieux réflexe avec ta fiancée sûrement, tu es clairement en autopilote de toute manière. Ta main quitte ses lèves alors que tu te redresses un peu lui laissant de l’espace bien que tu puisses sentir chacun de ses mouvements a travers le draps. ”Je ne me rapelle pas de tout. Tu n’arrivais pas a faire ton digicode, alors je t’ai emmener ici, tu n’allais pas dormir dehors. Je crois que j’ai voulu… Dormir sur le canapé, mais tu ne voulais par dormir toute seule ici….” Tu marques un temps d’arrêt, te massant une nouvelle fois les tempes de ta main libre. Tu ne te rends pas compte de ta main qui colle un peu plus la jeune femme contre toi, la caressant doucement à travers le drap. ” Après tu avais chaud je crois, tu as commencé a retiré tes vêtements. Je crois que je t’ai aidé parce que tu n’y arrivais pas, je ne suis pas sûr… Honnêtement c’est encore flou…” Tu as l’impression de faire un effort surhumain pour remettre en ordre le peu de souvenir que tu as pour le moment. Tu soupir alors que tu fermes les yeux. Puis tu te rends soudain compte de la proximité entre vous deux et le rouge te monte au joues. ”Oh pardon je…” Tu restes pourtant bloquer alors que tu admires encore la jeune fois sous tes yeux, avant de te reculer alors que tu te redresses sur le lit. ”Si je n’ai pas de vêtement c’est que je dors souvent nue. J’admets que là, ça n’était pas un choix très malin” Tu t’étires bruyamment, bon sang tu craques de tous les côtés, tu te demandes ce que vous avez pu faire pour que tu es mal partout de la sorte. ”Avant que tu ne continues l’interrogatoire, je crois qu’on a besoin de manger quelque chose. Reste là, je m’en occupe. Je peux au moins faire ça…” Tu écartes les draps pour sortir du lit et prendre la direction de ta cuisine pour préparer quelque chose. Sauf que tu oublies un léger détail alors que tu marches: tu es nue comme un ver. Une habitude certes, mais tu n’es pas seul ici aujourd’hui, enfin, ce n’est pas comme si elle n’avait pas déjà au moins tout aperçu.
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Re: Rumors are (not) true | Jeu 29 Fév - 11:52 Citer EditerSupprimer
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Il y a des choses, des situations un peu cliché, que tu as toujours vu dans les films, les séries, les livres, mais que tu ne pensais pas un jour vivre. En tête de liste, bien sûr, le fait de te réveiller nue dans le lit d'un mec sexy, sans souvenirs de la veille. Well, voilà une chose que tu vas pouvoir barrer... ce n'était pas réellement dans tes plans, mais puisque tu en es là, autant profiter, hein.
Grimaçant à cause de l'orchestre de violons mal accordés sous tes tempes, l'horreur de la situation s'imprimant enfin dans ton cerveau, immédiatement traduit par ton expression quand tu constates que le corps aussi sexy que dénudé qui s'offre à ta vue appartient à Jinwoo. Il semble passablement vexé, d'ailleurs, ce qui te rend encore plus confuse et donc irritable. « N-non... enfin... je... » Voilà que tu balbuties, prise par surprise par sa remarque. « Mais c'est pas la question, bordel ! tu finis par te reprendre un instant plus tard, avec colère. » Non, la question, c'est de comprendre ce que vous foutez là tous les deux, aussi peu vêtus. On s'en fiche de savoir s'il est désagréable ou non à regarder ! (La réponse étant bien évidemment "non" mais il n'a pas besoin de le savoir. Quoique, tu l'as déjà un peu dit. Aah. Bref.) Et quand il se rallonge, se massant les tempes sous ton flot ininterrompu de questions, tu ne peux t'empêcher de trouver l'image terriblement belle et esthétique. Si tu n'avais pas autant de mal à garder ton focus, tu aurais clairement admiré un peu.
Sauf que tu n'en as pas l'occasion, puisqu'il finit par rouler dans les draps, venant te surplomber comme si c'était la chose la plus normale du monde, ses doigts sur tes lèvres. S'il cherchait un moyen de te faire taire, il a visiblement trouvé le plus efficace. Tu en perds les mots, les yeux écarquillés de surprise, tu en oublies même de t'offusquer de sa proximité, de son manque de tenue (dans tous les sens du terme). Dans de toutes autres circonstances, nul doute que ton genou serait brutalement venu à la rencontre de son entrejambe. Alors tu restes là, un peu en étoile de mer, complètement figée. Tu es bien trop consciente de la proximité de son corps, de la finesse du drap entre vous, seul rempart entre vos peaux dénudées, de sa chaleur corporelle. Une respiration trop profonde et tu es quasiment certaine que tes seins frôleront son torse. Inconsciemment, tu retiens ton souffle, le relâchant quand il s'éloigne, ayant atteint son objectif - te faire taire et interrompre le flot de tes questions paniquées.
Jinwoo semble avoir clairement plus de souvenirs que toi, puisque ta mémoire s'arrête au moment où tu as posé les doigts sur le pad numérique pour composer ton digicode. Digicode que tu n'as visiblement pas réussi à composer. C'est un peu humiliant de te dire que l'alcool ait pu te faire perdre contenance comme ça... mais ce n'est pas ça qui cause les soudaines rougeurs sur tes joues. Tu ne voulais pas dormir seule ? C'est nouveau ça, tiens... c'est également à cet instant que tu prends conscience de sa main sur ta cuisse, de ses doigts qui... te caressent ? Oh god. OH GOD. Alors certes c'est agréable, tellement agréable que tu n'avais même pas réagi jusqu'à présent, mais c'est... c'est Jinwoo... et vous ne devriez pas... réflexe à la con, donc, tu viens brusquement plaquer sa main pour qu'il cesse de bouger. Tu avais le choix entre chasser sa main et l'immobiliser, tu aurais dû prendre la première option, parce que maintenant tu es cruellement consciente de la taille de sa paume contre ta cuisse, la chaleur de sa main... et le fait qu'en réalité, ça ne te dérange pas plus que ça, comme contact. « Arrête ça, tu marmonnes en évitant son regard. »
Tu es encore sous les effets de l'alcool, ça doit être ça...
Par contre, est-ce qu'il serait possible que la terre s'ouvre sous toi et t'avale ? Parce que plus il parle, plus il recolle ses souvenirs, et plus tu as envie de disparaître. Tu avais chaud et il t'a aidée à te déshabiller ? Un gémissement de honte t'échappe alors que tu te caches le visage entre tes mains. Tu ne sais pas si c'est ton imagination qui te joue des tours ou des souvenirs qui remontent à la surface, mais tu as maintenant en tête des images des mains de Jinwoo glissant sur ton corps, le tissu de tes habits entre ses doigts.
Il semble enfin se rendre compte d'à quel point il se tient proche de toi, et il semble soudain aussi gêné que toi. Ah bah enfin une réaction normale ! Tu ne te retiens pas de le fusiller du regard, surtout quand tu surprends le sien posé sur toi. En temps normale tu ne dirais pas non en voyant des yeux admiratifs posés sur toi, mais là ? Non. Tant que tu ne seras pas assurée que vous n'avez rien fait, que vous n'avez franchi aucune limite... tu peux vivre avec le fait d'avoir dormi avec Jinwoo. Mais avoir couché avec lui ? Et surtout, n'en avoir aucun souvenir ? Tu n'es pas sûre de ce que tu ressens à cette pensée. « Je me moque de savoir comment tu dors en général, tu siffles. » Merci, cher promoteur, maintenant tu ne pourras te défaire de l'image de son corps dénudé, lascivement caché par un drap tiré stratégiquement. Tu t'en serais bien passée !
Il se redresse, son corps craquant de manière inquiétante, mais tu détournes vivement le regard. Tu ne veux pas voir les couvertures glisser sur sa peau, tu ne veux pas voir les mouvements de ses muscles alors qu'il se relève. Tu fais cependant l'erreur de reporter ton attention sur lui quand il s'éloigne, tout ça pour te rendre compte que cet idiot n'a toujours pas pris la peine de se rhabiller alors qu'il te propose un petit-déjeuner. « Mais tu vas au moins enfiler un caleçon, oui ?! tu cries presque. » Grossière erreur, ta propre voix résonne au milieu de l'orchestre et tu te replies en petit boule, serrant tes mains sur tes tempes comme si cela allait suffire à étouffer les sons et la douleur. Super, maintenant, en plus de ses abdos, c'est la vision de son fessier qui s'est imprimée dans ta rétine. Même si tu avais des doutes depuis hier, quand il s'est presque collé à toi, maintenant tu es fixée sur la chose : Jinwoo a un corps divin. Tu vas pouvoir remballer ton calendrier des pompiers, ils ne font pas le poids.
Une fois qu'il a disparu, tu essaies d'ignorer ton mal de tête lancinant, cherchant à réveiller tes souvenirs d'hier. Mais tout est flou, et clairement tu ne parviens à te rappeler de rien passé cette histoire de digicode. Les seuls flashs que tu as entre ça et ton réveil concernent le corps du biochimiste.
T'enroulant dans le drap, tu fais une tentative pour sortir du lit : mission récupération de tes sous-vêtements et de ton t-shirt, histoire de te couvrir un peu. Tu n'avais cependant pas prévu la vague de nausée qui t'assaille et te force à te rallonger illico presto. Oh god. Tu n'es clairement pas familière des gueules de bois, mais si c'en est une, tu ne comprends absolument pas l'attrait. Boire, ok, mais savoir que "ça" nous attend au tournant le lendemain ? Merci mais non merci, tu passes ton tour.
C'est donc toujours enroulée dans son drap que tu regardes Jinwoo revenir. Tu n'es même pas sûre de réussir à avaler quoi que ce soit, mais tu ne diras pas non à te faire traiter en princesse avec le petit déjeuner au lit. « Et donc, ça ne te fait rien de plus ? tu demandes, aussi aigre que ton estomac en cet instant précis. Qu'on ait peut-être couché ensemble, je veux dire. » Tu as l'air d'être la seule qui se préoccupe de ça, et ça t'ennuie. « Si on l'a fait, ça n'avait pas l'air particulièrement mémorable en tout cas... tu marmonnes dans ta barbe. » Pourquoi tu ressens le besoin d'être méchante comme ça ?
Grimaçant à cause de l'orchestre de violons mal accordés sous tes tempes, l'horreur de la situation s'imprimant enfin dans ton cerveau, immédiatement traduit par ton expression quand tu constates que le corps aussi sexy que dénudé qui s'offre à ta vue appartient à Jinwoo. Il semble passablement vexé, d'ailleurs, ce qui te rend encore plus confuse et donc irritable. « N-non... enfin... je... » Voilà que tu balbuties, prise par surprise par sa remarque. « Mais c'est pas la question, bordel ! tu finis par te reprendre un instant plus tard, avec colère. » Non, la question, c'est de comprendre ce que vous foutez là tous les deux, aussi peu vêtus. On s'en fiche de savoir s'il est désagréable ou non à regarder ! (La réponse étant bien évidemment "non" mais il n'a pas besoin de le savoir. Quoique, tu l'as déjà un peu dit. Aah. Bref.) Et quand il se rallonge, se massant les tempes sous ton flot ininterrompu de questions, tu ne peux t'empêcher de trouver l'image terriblement belle et esthétique. Si tu n'avais pas autant de mal à garder ton focus, tu aurais clairement admiré un peu.
Sauf que tu n'en as pas l'occasion, puisqu'il finit par rouler dans les draps, venant te surplomber comme si c'était la chose la plus normale du monde, ses doigts sur tes lèvres. S'il cherchait un moyen de te faire taire, il a visiblement trouvé le plus efficace. Tu en perds les mots, les yeux écarquillés de surprise, tu en oublies même de t'offusquer de sa proximité, de son manque de tenue (dans tous les sens du terme). Dans de toutes autres circonstances, nul doute que ton genou serait brutalement venu à la rencontre de son entrejambe. Alors tu restes là, un peu en étoile de mer, complètement figée. Tu es bien trop consciente de la proximité de son corps, de la finesse du drap entre vous, seul rempart entre vos peaux dénudées, de sa chaleur corporelle. Une respiration trop profonde et tu es quasiment certaine que tes seins frôleront son torse. Inconsciemment, tu retiens ton souffle, le relâchant quand il s'éloigne, ayant atteint son objectif - te faire taire et interrompre le flot de tes questions paniquées.
Jinwoo semble avoir clairement plus de souvenirs que toi, puisque ta mémoire s'arrête au moment où tu as posé les doigts sur le pad numérique pour composer ton digicode. Digicode que tu n'as visiblement pas réussi à composer. C'est un peu humiliant de te dire que l'alcool ait pu te faire perdre contenance comme ça... mais ce n'est pas ça qui cause les soudaines rougeurs sur tes joues. Tu ne voulais pas dormir seule ? C'est nouveau ça, tiens... c'est également à cet instant que tu prends conscience de sa main sur ta cuisse, de ses doigts qui... te caressent ? Oh god. OH GOD. Alors certes c'est agréable, tellement agréable que tu n'avais même pas réagi jusqu'à présent, mais c'est... c'est Jinwoo... et vous ne devriez pas... réflexe à la con, donc, tu viens brusquement plaquer sa main pour qu'il cesse de bouger. Tu avais le choix entre chasser sa main et l'immobiliser, tu aurais dû prendre la première option, parce que maintenant tu es cruellement consciente de la taille de sa paume contre ta cuisse, la chaleur de sa main... et le fait qu'en réalité, ça ne te dérange pas plus que ça, comme contact. « Arrête ça, tu marmonnes en évitant son regard. »
Tu es encore sous les effets de l'alcool, ça doit être ça...
Par contre, est-ce qu'il serait possible que la terre s'ouvre sous toi et t'avale ? Parce que plus il parle, plus il recolle ses souvenirs, et plus tu as envie de disparaître. Tu avais chaud et il t'a aidée à te déshabiller ? Un gémissement de honte t'échappe alors que tu te caches le visage entre tes mains. Tu ne sais pas si c'est ton imagination qui te joue des tours ou des souvenirs qui remontent à la surface, mais tu as maintenant en tête des images des mains de Jinwoo glissant sur ton corps, le tissu de tes habits entre ses doigts.
Il semble enfin se rendre compte d'à quel point il se tient proche de toi, et il semble soudain aussi gêné que toi. Ah bah enfin une réaction normale ! Tu ne te retiens pas de le fusiller du regard, surtout quand tu surprends le sien posé sur toi. En temps normale tu ne dirais pas non en voyant des yeux admiratifs posés sur toi, mais là ? Non. Tant que tu ne seras pas assurée que vous n'avez rien fait, que vous n'avez franchi aucune limite... tu peux vivre avec le fait d'avoir dormi avec Jinwoo. Mais avoir couché avec lui ? Et surtout, n'en avoir aucun souvenir ? Tu n'es pas sûre de ce que tu ressens à cette pensée. « Je me moque de savoir comment tu dors en général, tu siffles. » Merci, cher promoteur, maintenant tu ne pourras te défaire de l'image de son corps dénudé, lascivement caché par un drap tiré stratégiquement. Tu t'en serais bien passée !
Il se redresse, son corps craquant de manière inquiétante, mais tu détournes vivement le regard. Tu ne veux pas voir les couvertures glisser sur sa peau, tu ne veux pas voir les mouvements de ses muscles alors qu'il se relève. Tu fais cependant l'erreur de reporter ton attention sur lui quand il s'éloigne, tout ça pour te rendre compte que cet idiot n'a toujours pas pris la peine de se rhabiller alors qu'il te propose un petit-déjeuner. « Mais tu vas au moins enfiler un caleçon, oui ?! tu cries presque. » Grossière erreur, ta propre voix résonne au milieu de l'orchestre et tu te replies en petit boule, serrant tes mains sur tes tempes comme si cela allait suffire à étouffer les sons et la douleur. Super, maintenant, en plus de ses abdos, c'est la vision de son fessier qui s'est imprimée dans ta rétine. Même si tu avais des doutes depuis hier, quand il s'est presque collé à toi, maintenant tu es fixée sur la chose : Jinwoo a un corps divin. Tu vas pouvoir remballer ton calendrier des pompiers, ils ne font pas le poids.
Une fois qu'il a disparu, tu essaies d'ignorer ton mal de tête lancinant, cherchant à réveiller tes souvenirs d'hier. Mais tout est flou, et clairement tu ne parviens à te rappeler de rien passé cette histoire de digicode. Les seuls flashs que tu as entre ça et ton réveil concernent le corps du biochimiste.
T'enroulant dans le drap, tu fais une tentative pour sortir du lit : mission récupération de tes sous-vêtements et de ton t-shirt, histoire de te couvrir un peu. Tu n'avais cependant pas prévu la vague de nausée qui t'assaille et te force à te rallonger illico presto. Oh god. Tu n'es clairement pas familière des gueules de bois, mais si c'en est une, tu ne comprends absolument pas l'attrait. Boire, ok, mais savoir que "ça" nous attend au tournant le lendemain ? Merci mais non merci, tu passes ton tour.
C'est donc toujours enroulée dans son drap que tu regardes Jinwoo revenir. Tu n'es même pas sûre de réussir à avaler quoi que ce soit, mais tu ne diras pas non à te faire traiter en princesse avec le petit déjeuner au lit. « Et donc, ça ne te fait rien de plus ? tu demandes, aussi aigre que ton estomac en cet instant précis. Qu'on ait peut-être couché ensemble, je veux dire. » Tu as l'air d'être la seule qui se préoccupe de ça, et ça t'ennuie. « Si on l'a fait, ça n'avait pas l'air particulièrement mémorable en tout cas... tu marmonnes dans ta barbe. » Pourquoi tu ressens le besoin d'être méchante comme ça ?
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
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Re: Rumors are (not) true | Lun 4 Mar - 13:58 Citer EditerSupprimer
Rumors are (not) true
feat. @Woo Rhea "
Un petit miracle se produit alors que tu surplombes Rhea, tu parviens à lui couper le sifflet. Clairement maintenant que tu connais le truc… Non, mauvaise idée en faite. Si jamais tu fais ce genre de chose au labo ça va encore finir en rumeur. Tu n’as pas besoin de ça en plus. Au moins, ça permet à l’orchestre qu’elle faisait jouer dans ta tête de baisser un peu le volume, et te permet d’analyser un peu plus calmement la situation. Enfin, jusqu’au moment où tu te rends compte de la proximité entre vous deux. Tu la vois retenir son souffle alors que lorsque tes yeux descendent un peu, tu te rends compte que vous être presque l’un contre l’autre. Sa poitrine quasiment contre toi. Bon, joker, mais clairement c’est perturbant, agréable a regardé assurément, très agréable même, mais clairement pas approprié. Quoi qu’en y pensant, rien n’est approprié alors que vous êtes tous les deux nues dans un lit. Clairement cette… Distraction n’aide pas pas recoller le peu de morceaux de la soirée que ton cerveau veut bien te donner. Tu t’écartes un peu d’elle, clairement ton cerveau ne percute pas encore que c’est Rhea qui est nue sous tes draps, sous tes mains.
Tu ne te rends même pas compte que que tu la caresses, ta main étant en mode auto pilote. Ce n’est que lorsqu’elle vient plaquer sa main sur la sienne que tu t’en rends compte. Tu baisses la tête sur sa main contre la tienne, te reprenant un shoot de la vision de la jeune femme dans tes draps au passage. Ton cerveau ne voulant toujours pas comprendre la gravité potentielle de la situation. Sa main contre la sienne, ta main sur sa cuisse, ça devrait te sembler perturbant, mais pas du tout. C’est même un peu trop simple. Tu mets sa sur le coup du taux d’alcoolémie qui doit encore circuler dans tes veines, et sur le fait que tu n’es plus un enfant, tu as déjà connue la proximité avec une femme. Sauf que Rhea n’est pas n’importe qui non plus, et que ça ne devrait pas arriver. ”Désolé je… Une habitude de quand… enfin bref…” Tu ne retires pas ta main tout de suite pour autant, tu la laisses encore quelques secondes, remontant encore un peu le long de son corps avec sa main sur la tienne avant de finalement la retirer. Tu ne comprends la gêne que tu as provoquée seulement quand tu la vois détourner le regard. Tu lèves un sourcil alors que tu tentes de refaire le fil de la soirée et qu’elle semble se cacher de honte. Qu’est-ce que… Oh, oui peut-être que effectivement tu n’aurais pas du dire ça comme ça. Maintenant tu as des flashs qui te reviennent et clairement le rouge te monte au joues. Tu as soudain des visions de toi en train d’aider Rhea a se délester de ses vêtements et c’est… Non non non cerveau ça suffit. Alors que tu te retrouves bien malgré toi a détaillé la jeune femme. Un peu trop pour ton propre bien. Est-ce que d’autres flashs où idées, tu ne sais plus vraiment te traversent l’esprit, alors que tu es toujours au dessus d’elle. Mauvais plan, très mauvais. Tu roules alors sur le côté pour cacher ton malaise (si on peut appelé ça comme ça) alors que tu sens son courroux se diriger de nouveau sur toi.
Tu ne relèves même pas alors qu’elle commence a faire ressortir la Rhea colérique, elle semble un peu oublier que c’est elle qui est dans ton lit. ”Pour quelqu’un qui ne se rappelle de rien, tu es bien bruyante… C’est encore mon lit et pas le notre aux dernières nouvelles.” Pourquoi est-ce qu’immédiatement tu sens que tu vas regretter d’avoir dit ça? Il est l’heure d’un repli stratégique en plus vous avez bien besoin d’éponger un peu. Tu as surtout besoin de calmer tes temps qui te lancent. Il y a bien longtemps que tu n’avais eu une telle gueule de bois. Ce n’est qu’une fois debout que la voie de la jeune femme ne revient enflammer tes tempes. Tu ne peux t’empêcher te te prendre les temps alors que tu te retournes vers elle machinalement. ”Moins fort s’il te pla… Oh” Elle marque un point là, sauf que tu t’ai retourner vers elle. Trop tard. Le rouge te monte un peu aux joues. Tu n’es pas spécialement pudique, mais pas exhibitionniste non plus. Tu t’empresses de cacher ce que tu peux avec tes mains alors que tu te diriges vers le placard pour attraper un bas de survêtement. Bon, il faut peut être aussi dire que la vision et l’idée du corps nue de la jeune femme ne t’aide pas a rester parfaitement calme. Tu te changes devant elle, donc ça ne change pas grand chose. Un fois, un peu plus présentable tu sors en vitesse de la chambre. Jin Woo espèce d’idiot, fait un minimum d’effort bon sang.
Tu finis appuyer contre ton plan de travail, cherchant un moment de calme pour recaser les choses dans le bon sens. Comment est-ce que cette soirée a pu se transformer en… Tu ne sais même pas en quoi. Tout est flou et dans désordre, mais tu ne parviens pas a retirer les images de Rhea en train de déshabiller de ta tête. Tu ne peux pas non plus lui avouer que tu es presque sûr de savoir quel goût a sa peau… Bordel qu’est-ce qu’il c’est passé hier soir…. Tu presses des citrons dans de l’eau chaude, meilleur moyen d’aider le passage de la gueule de bois. Tu découpes comme tu peux des fruits alors que tu tentes de ne pas te couper un doigt et de recoller les morceaux de la soirée. Tout te prend un temps infinie, c’est terrible. En plus tu sais la vision qui t’attend dans ta chambre. Non pas que tu n’aimes pas, c’est justement le contraire et c’est très perturbant. Pas sûr que tu es la volonté nécessaire pour repoussé ces visions qui te reviennent. D’ailleurs alors que tu portes le plateau et que tu passes la porte de la chambre, tu bloques complètement quand ton regard se repose sur Rhea. ”Je sais que ne devrais pas mais… La vue est quand même incroyable…” Tu secoues la tête, t’arrachant une grimace de douleur au passage, histoire de te remettre les idées en places. Pourquoi tu dis ça encore? En même temps, peu de gens seraient insensibles a la vision de Rhea dénudé dans des draps, surtout quand on sait que ce sont les siens… Maintenant que tu y fais plus attention, tu remarques un peu plus les… Avantages que Rhea affiche, clairement gâter par la nature et la génétique. Jin Woo reprend toi bon sang. Tu soupires, si tu n’avais pas le plateau tu te serais mis une baffe.
Tu t’assois a côté de la jeune femme, posant le plateau sur la table de nuit. Tu essaies d’éviter le plus possible de croiser son regard, où même ses formes, encore gêner de ce que tu venais de lui dire. Aussi histoire d’éviter de te refaire des films ou de t’imaginer des choses. Tu soupires de nouveau, avant de lui tendre un verre d’eau chaude citronnée entre deux de ses phrases. ”Bois ça, ce n’est pas franchement bon mais ça aide.” Tu finis par retrouvé son visage du regard bloquant un peu sur ses lèvres, des flashs qui te reviennent, sans savoir si c’était la réalité ou non. Puis tu replonges ton regard dans le sien. Tu remets furtivement une mèche de cheveux qui se balade sur son visage, avant de lui répondre, tentant de maintenir un calme relatif. ”Je ne crois pas qu’on ai… Fait autant que ça. Du moins je m’en rappel pas, de ce que j’ai vus aucun d’entre nous n’a de marque suggérant une activité plus intimes. Il n’y a pas d’emballage de préservatif, juste des vêtements un peu partout.” Tu marques une nouvelle pause, alors que ta main se replace sans que tu ne t’en rendes compte sur la hanche de la jeune femme. ”Disons que ne pas me rappeler de ça serait une grande perte, alors que parle du principe que non. Je ne suis pas un étudiant qui veut juste ton corps. Si je voulais te faire mienne crois moi, je ferais en sorte que tu t’en rappel…” Qu’est-ce que tu racontes encore? Tu détournes le regard, buvant d’une traite ton verre en grimaçant une fois que tu ne le reposes. Tu fuis encore son regard, sa vision. ”Ce n’est pas comme si je n’avais pas déjà dit que... Enfin non laisse tomber. Mais je comprends… Tout est encore si flou.” Tu attrapes une assiette avec des fruits coupés, que tu tends vers la jeune femme, osant affronter son courroux. ”Tu devrais mangé un peu, si tu peux.” Pourquoi soudain elle te semble être devenue la pomme qui te tente sur l’arbre? Les flashs se font de plus en plus présents. Tu es sûr que tes lèvres ont parcourus se corps, d’une façon où d’une autre… ”Tu ne te rappel vraiment de rien?” Si elle pouvait au moins avoir des brides de souvenirs, peut être que vous pourriez enfin recoller les morceaux?
Tu ne te rends même pas compte que que tu la caresses, ta main étant en mode auto pilote. Ce n’est que lorsqu’elle vient plaquer sa main sur la sienne que tu t’en rends compte. Tu baisses la tête sur sa main contre la tienne, te reprenant un shoot de la vision de la jeune femme dans tes draps au passage. Ton cerveau ne voulant toujours pas comprendre la gravité potentielle de la situation. Sa main contre la sienne, ta main sur sa cuisse, ça devrait te sembler perturbant, mais pas du tout. C’est même un peu trop simple. Tu mets sa sur le coup du taux d’alcoolémie qui doit encore circuler dans tes veines, et sur le fait que tu n’es plus un enfant, tu as déjà connue la proximité avec une femme. Sauf que Rhea n’est pas n’importe qui non plus, et que ça ne devrait pas arriver. ”Désolé je… Une habitude de quand… enfin bref…” Tu ne retires pas ta main tout de suite pour autant, tu la laisses encore quelques secondes, remontant encore un peu le long de son corps avec sa main sur la tienne avant de finalement la retirer. Tu ne comprends la gêne que tu as provoquée seulement quand tu la vois détourner le regard. Tu lèves un sourcil alors que tu tentes de refaire le fil de la soirée et qu’elle semble se cacher de honte. Qu’est-ce que… Oh, oui peut-être que effectivement tu n’aurais pas du dire ça comme ça. Maintenant tu as des flashs qui te reviennent et clairement le rouge te monte au joues. Tu as soudain des visions de toi en train d’aider Rhea a se délester de ses vêtements et c’est… Non non non cerveau ça suffit. Alors que tu te retrouves bien malgré toi a détaillé la jeune femme. Un peu trop pour ton propre bien. Est-ce que d’autres flashs où idées, tu ne sais plus vraiment te traversent l’esprit, alors que tu es toujours au dessus d’elle. Mauvais plan, très mauvais. Tu roules alors sur le côté pour cacher ton malaise (si on peut appelé ça comme ça) alors que tu sens son courroux se diriger de nouveau sur toi.
Tu ne relèves même pas alors qu’elle commence a faire ressortir la Rhea colérique, elle semble un peu oublier que c’est elle qui est dans ton lit. ”Pour quelqu’un qui ne se rappelle de rien, tu es bien bruyante… C’est encore mon lit et pas le notre aux dernières nouvelles.” Pourquoi est-ce qu’immédiatement tu sens que tu vas regretter d’avoir dit ça? Il est l’heure d’un repli stratégique en plus vous avez bien besoin d’éponger un peu. Tu as surtout besoin de calmer tes temps qui te lancent. Il y a bien longtemps que tu n’avais eu une telle gueule de bois. Ce n’est qu’une fois debout que la voie de la jeune femme ne revient enflammer tes tempes. Tu ne peux t’empêcher te te prendre les temps alors que tu te retournes vers elle machinalement. ”Moins fort s’il te pla… Oh” Elle marque un point là, sauf que tu t’ai retourner vers elle. Trop tard. Le rouge te monte un peu aux joues. Tu n’es pas spécialement pudique, mais pas exhibitionniste non plus. Tu t’empresses de cacher ce que tu peux avec tes mains alors que tu te diriges vers le placard pour attraper un bas de survêtement. Bon, il faut peut être aussi dire que la vision et l’idée du corps nue de la jeune femme ne t’aide pas a rester parfaitement calme. Tu te changes devant elle, donc ça ne change pas grand chose. Un fois, un peu plus présentable tu sors en vitesse de la chambre. Jin Woo espèce d’idiot, fait un minimum d’effort bon sang.
Tu finis appuyer contre ton plan de travail, cherchant un moment de calme pour recaser les choses dans le bon sens. Comment est-ce que cette soirée a pu se transformer en… Tu ne sais même pas en quoi. Tout est flou et dans désordre, mais tu ne parviens pas a retirer les images de Rhea en train de déshabiller de ta tête. Tu ne peux pas non plus lui avouer que tu es presque sûr de savoir quel goût a sa peau… Bordel qu’est-ce qu’il c’est passé hier soir…. Tu presses des citrons dans de l’eau chaude, meilleur moyen d’aider le passage de la gueule de bois. Tu découpes comme tu peux des fruits alors que tu tentes de ne pas te couper un doigt et de recoller les morceaux de la soirée. Tout te prend un temps infinie, c’est terrible. En plus tu sais la vision qui t’attend dans ta chambre. Non pas que tu n’aimes pas, c’est justement le contraire et c’est très perturbant. Pas sûr que tu es la volonté nécessaire pour repoussé ces visions qui te reviennent. D’ailleurs alors que tu portes le plateau et que tu passes la porte de la chambre, tu bloques complètement quand ton regard se repose sur Rhea. ”Je sais que ne devrais pas mais… La vue est quand même incroyable…” Tu secoues la tête, t’arrachant une grimace de douleur au passage, histoire de te remettre les idées en places. Pourquoi tu dis ça encore? En même temps, peu de gens seraient insensibles a la vision de Rhea dénudé dans des draps, surtout quand on sait que ce sont les siens… Maintenant que tu y fais plus attention, tu remarques un peu plus les… Avantages que Rhea affiche, clairement gâter par la nature et la génétique. Jin Woo reprend toi bon sang. Tu soupires, si tu n’avais pas le plateau tu te serais mis une baffe.
Tu t’assois a côté de la jeune femme, posant le plateau sur la table de nuit. Tu essaies d’éviter le plus possible de croiser son regard, où même ses formes, encore gêner de ce que tu venais de lui dire. Aussi histoire d’éviter de te refaire des films ou de t’imaginer des choses. Tu soupires de nouveau, avant de lui tendre un verre d’eau chaude citronnée entre deux de ses phrases. ”Bois ça, ce n’est pas franchement bon mais ça aide.” Tu finis par retrouvé son visage du regard bloquant un peu sur ses lèvres, des flashs qui te reviennent, sans savoir si c’était la réalité ou non. Puis tu replonges ton regard dans le sien. Tu remets furtivement une mèche de cheveux qui se balade sur son visage, avant de lui répondre, tentant de maintenir un calme relatif. ”Je ne crois pas qu’on ai… Fait autant que ça. Du moins je m’en rappel pas, de ce que j’ai vus aucun d’entre nous n’a de marque suggérant une activité plus intimes. Il n’y a pas d’emballage de préservatif, juste des vêtements un peu partout.” Tu marques une nouvelle pause, alors que ta main se replace sans que tu ne t’en rendes compte sur la hanche de la jeune femme. ”Disons que ne pas me rappeler de ça serait une grande perte, alors que parle du principe que non. Je ne suis pas un étudiant qui veut juste ton corps. Si je voulais te faire mienne crois moi, je ferais en sorte que tu t’en rappel…” Qu’est-ce que tu racontes encore? Tu détournes le regard, buvant d’une traite ton verre en grimaçant une fois que tu ne le reposes. Tu fuis encore son regard, sa vision. ”Ce n’est pas comme si je n’avais pas déjà dit que... Enfin non laisse tomber. Mais je comprends… Tout est encore si flou.” Tu attrapes une assiette avec des fruits coupés, que tu tends vers la jeune femme, osant affronter son courroux. ”Tu devrais mangé un peu, si tu peux.” Pourquoi soudain elle te semble être devenue la pomme qui te tente sur l’arbre? Les flashs se font de plus en plus présents. Tu es sûr que tes lèvres ont parcourus se corps, d’une façon où d’une autre… ”Tu ne te rappel vraiment de rien?” Si elle pouvait au moins avoir des brides de souvenirs, peut être que vous pourriez enfin recoller les morceaux?
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
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Re: Rumors are (not) true | Ven 29 Mar - 13:45 Citer EditerSupprimer
Rumors are (not) true
feat. ♡ @Sung Jin Woo
Les joues rouges, tu interromps ses mouvements, les caresses qu'il te prodigue... honnêtement, tu ne trouves pas ça désagréable, juste... tu ne sais pas. Tu n'arrives même pas à dire que c'est déplacé, alors que ça l'est complètement, vous êtes après tout un promoteur et sa doctorante, pas des amants... mais tu n'y arrives pas. Tu ne parviens pas à forcer ton cerveau à trouver son comportement fautif et déplacé...
Une habitude ? Tu relèves un sourcil dédaigneux alors que tu tentes de chasser sa main de ton corps - presque à regret. « Je me fiche de tes habitudes. » Mais plutôt que de retirer sa main immédiatement, tu sens distinctement sa paume glisser sur ton corps, remonter légèrement, comme s'il voulait avoir un dernier aperçu avant d'abandonner l'exploration, et la teinte rouge de tes joues s'intensifie encore ; traître de corps qui apprécie un peu trop alors que ton esprit, lui, se rebelle. Et quand il recule, tu es à la fois soulagée et déçue. Ta respiration se fait plus légère, plus facile, et tu peux enfin prendre le temps de réfléchir. Enfin, pour ce qu'il te reste de facultés intellectuelles avec le tintamarre dans ton crâne. Vraiment, tu ne comprends pas ceux qui se bourrent la gueule sur base régulière... il n'y a aucun plaisir à tirer de ça, même un masochiste en pleurerait, et tu doutes qu'on puisse s'habituer à un tel mal-être au réveil.
Et voilà qu'il te reproche tes reproches. Tu poses sur lui un regard tueur alors que tu tentes vainement d'effacer de ta mémoire et de ton imaginations les images qu'il a conjurées en parlant de dormir nu. Tu te serais volontiers passé de cette précision, surtout maintenant que tu as une certaine connaissance de à quoi il ressemble sans ses vêtements. « Mais c'est quoi le rapport ?! Quel genre de dépravé tu es, pour penser que c'est ok de dormir à poil en compagnie de quelqu'un avec qui tu n'es pas intime ?! » Ta voix s'élance dans les aigus avant de retomber brutalement quand tes propres hurlements ravivent l'orchestre qui joue entre tes oreilles. Les mains plaquées sur tes tempes, tu gémis de douleur, te recroquevillant presque en petite boule. Et quand tu relèves les yeux, alors qu'il s'éloigne, c'est pour être graciée par le vue de son fessier, ce qui te fait hurler de plus belle. Mais c'est quoi son problème, à la fin ?! Il a une capacité d'attention de moins de trois secondes, à ce stade, pour se lever toujours aussi peu vêtu et ne rien faire pour y remédier. Mais bon, c'est trop tard désormais, cet idiot s'est retourné à cause de tes invectives et maintenant tu peux officiellement dire que tu as eu la vue complète. La totale. L'image ne te quittera pas, tu le sais. Aux bruits qu'il fait, tu comprends qu'il est en train de (enfin) s'habiller et tu résistes à l'envie de zieuter entre tes doigts. Faut dire qu'au stade où tu en es, ça ne fera plus grande différence.
Tu ne sais pas combien de temps s'écoule entre ta tentative de sortie du lit et le retour de Jinwoo avec son plateau. Tu ne sais même pas quelle heure il est... ni quel jour. C'était... vendredi, hier ? Tes pensées ont du mal à s'ordonner, tu espères juste n'avoir rien loupé d'important. Tu passes une main dans tes cheveux, cherchant à leur redonner un peu vie en démêlant tes mèches avec tes doigts. Puis il revient, s'immobilise, et tu poses sur lui un regard interrogateur, ne comprenant pas... jusqu'à ce qu'il parle. Et à nouveau, le rouge te monte aux joues. Il te fait quoi, là, vraiment ? À te dégainer des trucs pareils alors que en cet instant même tu te sens tel un déchet alcoolisé. « Je ne sais pas ce que t'essaies de faire mais arrête ça. » Tu serres un peu plus les draps contre ton corps, encore plus consciente de ta nudité en-dessous. Tu sais que tu es belle, tu sais le regard qu'on pose sur toi... mais là, tu n'es pas en état d'apprécier le compliment à sa juste valeur.
Il s'installe sur le lit avec son plateau et tu fronces le nez devant les effluves citronnées. Tu aimes bien le citron, c'est pas ça, mais y a quelque chose en plus qui est bizarre. Et quand il te tend le verre, tu comprends. « De l'eau chaude ? » Tu ne regardes pas son regard fixé sur tes lèvres alors que fais la moue en observant le verre que tu as en main. De l'au citronnée, ce n'est déjà pas un plaisir à boire... mais de l'eau chaude citronnée ? Il a oublié un ingrédient majeur dans son thé, là. Tu bois une gorgée et fais une franche grimace, relevant les yeux quand tu sens ses doigts frôler ton visage alors qu'il écarte une mèche de cheveux de ton visage. Le geste est doux, presque naturel, et il te perturbe profondément. Pourquoi il met à mal toutes tes défenses comme ça, vraiment ?
Il reprend la parole, et tu te focalises sur le verre que tu tiens entre tes mains, le sirotant lentement alors qu'il parle de vos potentielles activités d'hier soir. Quelque part, tu veux te raccrocher à ses mots, croire que vous n'avez rien fait, et que si tu ne te souviens de rien c'est tout simplement parce qu'il n'y a rien dont te souvenir. Mais tu as ces flashs, et tu es incapable de dire si c'est ton imagination ou des brides de mémoire, et ça t'angoisse. Puis il mentionne d'autres éléments et tu sens comme une pierre tomber dans ton estomac, lourde et écrasante. Pas d'emballage de préservatif ? Certes mais... tu lui as révélé la veille ton allergie, et tu doutes qu'il ait eu par pure coïncidence des protections safes pour toi, donc à tes yeux ce n'est pas un argument valable puisqu'à défaut de ne pas pouvoir utiliser les classiques... vous auriez tout aussi bien pu les skip, tout simplement. Bien trop perdue dans ton maelstrom de pensées, tu ne remarques même pas sa main posée sur ta hanche, si naturellement qu'on pourrait croire que vous en avez l'habitude. Puis il semble avoir décidé de t'achever, à dire des choses comme "tu t'en rappellerais si j'avais voulu te faire mienne", et tu es à la fois profondément outrée mais aussi très... attirée. Malgré toi, tu resserres un peu tes cuisses l'une contre l'autre, comme pour étouffer les effets que ces mots ont sur toi.
Tu fronces les sourcils, perplexe devant ses mots, incapable de relier les éléments, de comprendre ce qu'il veut dire... tu ne sais pas quoi ? Il pourrait faire l'effort de ne pas parler en devinettes quand vous êtes dans cet état, non ? « Dis les choses clairement, bordel, tu maugrées en te massant la tempe. » Tu hésites un instant avant de te saisir d'un fruit coupé, bien que ton estomac proteste vivement à l'idée d'ingérer quoi que ce soit. « Je ne sais pas, tu finis par admettre. J'ai comme des... des flashs ? Mais je ne sais pas si ce sont mes souvenirs ou... » Ou ton imagination débordante, raison pour laquelle tu refermes vivement la bouche avant que les mots ne t'échappent. Jinwoo n'a pas besoin de savoir que tu fantasmes potentiellement sur ce qu'il aurait pu te faire cette nuit. Tu te laisses à nouveau aller contre les oreillers, clairement frustrée. « Combien de temps il faut avant de se sentir mieux ? C'est détestable comme état... » Puis, alors que tu observes les draps, ainsi installée, tu as l'impression qu'un souvenir remonte à la surface... toi, dans cette exacte position, sans le drap pour te couvrir, et Jinwoo qui se glisse entre tes jambes. Tu rougis à nouveau et tu étouffes un petit cri plaintif, invoquant dans ta tête toutes les images possibles pour cacher celle que tu viens d'avoir. « Est-ce que tu pourrais me récupérer mon t-shirt ? Et... non, non, juste le tshirt, ça ira. Je n'ai pas réussi à me lever sans avoir envie de vomir... » Tu n'es pas du tout prête à voir Jinwoo te tendre tes sous-vêtements, raison pour laquelle tu t'es ravisée de lui demander de les récupérer. Ton t-shirt est assez grand pour te servir de mini robe de nuit, ça suffira. Mais tu as beau tenter de parler pour chasser les images, elles s'imposent à toi et fu finis par râler, relevant le drap juste assez pour venir inspecter quelque chose, avant de brusquement l'écarter. « JINWOO ! tu éructes sans crier gare, en pointant une zone rougie au niveau de tes seins. Je jure que si c'est un suçon et que c'est de toi, je... je... » Tu quoi ? Toi qui en plus chouine sur votre nudité depuis le début, tu es presque en train de lui mettre le nez entre tes seins pour vérifier l'origine de la marque.
Une habitude ? Tu relèves un sourcil dédaigneux alors que tu tentes de chasser sa main de ton corps - presque à regret. « Je me fiche de tes habitudes. » Mais plutôt que de retirer sa main immédiatement, tu sens distinctement sa paume glisser sur ton corps, remonter légèrement, comme s'il voulait avoir un dernier aperçu avant d'abandonner l'exploration, et la teinte rouge de tes joues s'intensifie encore ; traître de corps qui apprécie un peu trop alors que ton esprit, lui, se rebelle. Et quand il recule, tu es à la fois soulagée et déçue. Ta respiration se fait plus légère, plus facile, et tu peux enfin prendre le temps de réfléchir. Enfin, pour ce qu'il te reste de facultés intellectuelles avec le tintamarre dans ton crâne. Vraiment, tu ne comprends pas ceux qui se bourrent la gueule sur base régulière... il n'y a aucun plaisir à tirer de ça, même un masochiste en pleurerait, et tu doutes qu'on puisse s'habituer à un tel mal-être au réveil.
Et voilà qu'il te reproche tes reproches. Tu poses sur lui un regard tueur alors que tu tentes vainement d'effacer de ta mémoire et de ton imaginations les images qu'il a conjurées en parlant de dormir nu. Tu te serais volontiers passé de cette précision, surtout maintenant que tu as une certaine connaissance de à quoi il ressemble sans ses vêtements. « Mais c'est quoi le rapport ?! Quel genre de dépravé tu es, pour penser que c'est ok de dormir à poil en compagnie de quelqu'un avec qui tu n'es pas intime ?! » Ta voix s'élance dans les aigus avant de retomber brutalement quand tes propres hurlements ravivent l'orchestre qui joue entre tes oreilles. Les mains plaquées sur tes tempes, tu gémis de douleur, te recroquevillant presque en petite boule. Et quand tu relèves les yeux, alors qu'il s'éloigne, c'est pour être graciée par le vue de son fessier, ce qui te fait hurler de plus belle. Mais c'est quoi son problème, à la fin ?! Il a une capacité d'attention de moins de trois secondes, à ce stade, pour se lever toujours aussi peu vêtu et ne rien faire pour y remédier. Mais bon, c'est trop tard désormais, cet idiot s'est retourné à cause de tes invectives et maintenant tu peux officiellement dire que tu as eu la vue complète. La totale. L'image ne te quittera pas, tu le sais. Aux bruits qu'il fait, tu comprends qu'il est en train de (enfin) s'habiller et tu résistes à l'envie de zieuter entre tes doigts. Faut dire qu'au stade où tu en es, ça ne fera plus grande différence.
Tu ne sais pas combien de temps s'écoule entre ta tentative de sortie du lit et le retour de Jinwoo avec son plateau. Tu ne sais même pas quelle heure il est... ni quel jour. C'était... vendredi, hier ? Tes pensées ont du mal à s'ordonner, tu espères juste n'avoir rien loupé d'important. Tu passes une main dans tes cheveux, cherchant à leur redonner un peu vie en démêlant tes mèches avec tes doigts. Puis il revient, s'immobilise, et tu poses sur lui un regard interrogateur, ne comprenant pas... jusqu'à ce qu'il parle. Et à nouveau, le rouge te monte aux joues. Il te fait quoi, là, vraiment ? À te dégainer des trucs pareils alors que en cet instant même tu te sens tel un déchet alcoolisé. « Je ne sais pas ce que t'essaies de faire mais arrête ça. » Tu serres un peu plus les draps contre ton corps, encore plus consciente de ta nudité en-dessous. Tu sais que tu es belle, tu sais le regard qu'on pose sur toi... mais là, tu n'es pas en état d'apprécier le compliment à sa juste valeur.
Il s'installe sur le lit avec son plateau et tu fronces le nez devant les effluves citronnées. Tu aimes bien le citron, c'est pas ça, mais y a quelque chose en plus qui est bizarre. Et quand il te tend le verre, tu comprends. « De l'eau chaude ? » Tu ne regardes pas son regard fixé sur tes lèvres alors que fais la moue en observant le verre que tu as en main. De l'au citronnée, ce n'est déjà pas un plaisir à boire... mais de l'eau chaude citronnée ? Il a oublié un ingrédient majeur dans son thé, là. Tu bois une gorgée et fais une franche grimace, relevant les yeux quand tu sens ses doigts frôler ton visage alors qu'il écarte une mèche de cheveux de ton visage. Le geste est doux, presque naturel, et il te perturbe profondément. Pourquoi il met à mal toutes tes défenses comme ça, vraiment ?
Il reprend la parole, et tu te focalises sur le verre que tu tiens entre tes mains, le sirotant lentement alors qu'il parle de vos potentielles activités d'hier soir. Quelque part, tu veux te raccrocher à ses mots, croire que vous n'avez rien fait, et que si tu ne te souviens de rien c'est tout simplement parce qu'il n'y a rien dont te souvenir. Mais tu as ces flashs, et tu es incapable de dire si c'est ton imagination ou des brides de mémoire, et ça t'angoisse. Puis il mentionne d'autres éléments et tu sens comme une pierre tomber dans ton estomac, lourde et écrasante. Pas d'emballage de préservatif ? Certes mais... tu lui as révélé la veille ton allergie, et tu doutes qu'il ait eu par pure coïncidence des protections safes pour toi, donc à tes yeux ce n'est pas un argument valable puisqu'à défaut de ne pas pouvoir utiliser les classiques... vous auriez tout aussi bien pu les skip, tout simplement. Bien trop perdue dans ton maelstrom de pensées, tu ne remarques même pas sa main posée sur ta hanche, si naturellement qu'on pourrait croire que vous en avez l'habitude. Puis il semble avoir décidé de t'achever, à dire des choses comme "tu t'en rappellerais si j'avais voulu te faire mienne", et tu es à la fois profondément outrée mais aussi très... attirée. Malgré toi, tu resserres un peu tes cuisses l'une contre l'autre, comme pour étouffer les effets que ces mots ont sur toi.
Tu fronces les sourcils, perplexe devant ses mots, incapable de relier les éléments, de comprendre ce qu'il veut dire... tu ne sais pas quoi ? Il pourrait faire l'effort de ne pas parler en devinettes quand vous êtes dans cet état, non ? « Dis les choses clairement, bordel, tu maugrées en te massant la tempe. » Tu hésites un instant avant de te saisir d'un fruit coupé, bien que ton estomac proteste vivement à l'idée d'ingérer quoi que ce soit. « Je ne sais pas, tu finis par admettre. J'ai comme des... des flashs ? Mais je ne sais pas si ce sont mes souvenirs ou... » Ou ton imagination débordante, raison pour laquelle tu refermes vivement la bouche avant que les mots ne t'échappent. Jinwoo n'a pas besoin de savoir que tu fantasmes potentiellement sur ce qu'il aurait pu te faire cette nuit. Tu te laisses à nouveau aller contre les oreillers, clairement frustrée. « Combien de temps il faut avant de se sentir mieux ? C'est détestable comme état... » Puis, alors que tu observes les draps, ainsi installée, tu as l'impression qu'un souvenir remonte à la surface... toi, dans cette exacte position, sans le drap pour te couvrir, et Jinwoo qui se glisse entre tes jambes. Tu rougis à nouveau et tu étouffes un petit cri plaintif, invoquant dans ta tête toutes les images possibles pour cacher celle que tu viens d'avoir. « Est-ce que tu pourrais me récupérer mon t-shirt ? Et... non, non, juste le tshirt, ça ira. Je n'ai pas réussi à me lever sans avoir envie de vomir... » Tu n'es pas du tout prête à voir Jinwoo te tendre tes sous-vêtements, raison pour laquelle tu t'es ravisée de lui demander de les récupérer. Ton t-shirt est assez grand pour te servir de mini robe de nuit, ça suffira. Mais tu as beau tenter de parler pour chasser les images, elles s'imposent à toi et fu finis par râler, relevant le drap juste assez pour venir inspecter quelque chose, avant de brusquement l'écarter. « JINWOO ! tu éructes sans crier gare, en pointant une zone rougie au niveau de tes seins. Je jure que si c'est un suçon et que c'est de toi, je... je... » Tu quoi ? Toi qui en plus chouine sur votre nudité depuis le début, tu es presque en train de lui mettre le nez entre tes seins pour vérifier l'origine de la marque.
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
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Re: Rumors are (not) true | Mar 9 Avr - 10:58 Citer EditerSupprimer
Rumors are (not) true
feat. @Woo Rhea "
Mais c’est qu’elle ce fout de toi en faite là? C’est elle qui n’arrivait même pas à rentrer chez elle et c’est toi le dépravé? Tu ne prends même pas la peine de répondre, déjà que tu n’as jamais le dernier mot avec elle, alors quand elle est dans cet état? Impossible. Tu préfères alors la laisser s’énerver toute seule, au moins elle se calme toute seule à cause de sa gueule de bois. Tiens peut être que ce serait une solution pour… Non non non mauvais plans, déjà que tu ne te rappelles pas tout ce qui a pu se passer dans cette chambre. Donc mieux vaut éviter de réitérer cette expérience, tu en as sûrement un peu trop appris sur Rhea en quelques heures. Enfin beaucoup plus que ce que la décence voudrait que tu saches. Tu n’es pas supposé savoir à quoi ressemble ton assistante nue maintenant que tu y penses, nie avoir l’impression que tu as exploré la géographie de cette nouvelle région… Non non non, tu te secoues la tête sur le chemin de la cuisine pour te sortir ça de la tête, t’arrachant un grognement de douleur suite aux maux de tête que tu te provoques tout seul. Quand tu reviens vers elle, tu ne peux qu’être frapper par la vision de Rhea dénudé sous tes draps. Malgré toi tu es captivé, ne pouvant t’empêcher de lui faire la remarque. Tu te demandes alors comment qui que ce soi est pu lui coller cette réputation pour une simple histoire d’allergie? Les mots sortent alors tout seul, sans que tu réfléchisses vraiment. Cela ne semble d’ailleurs pas plaire a la jeune femme qui te renvoie une réplique salée immédiatement. C’est un peu la baffe mentale dont tu avais besoin pour reprendre contact avec la réalité. ”Désolé, sûrement des restes d’hier… Je ne devrais pas dire ça…”
Tu t’installes sur le bord du lit, avant de lui tendre un remède de grand-mère. Peut-être que c’est plus un effet placebo qu’autre chose, mais si l’effet est là c’est le principal. TU as encore bien du mal a la quitter des yeux, des souvenirs refaisant surface à chaque fois que tu poses les yeux sur elle. Bordel qu’est-ce qui a bien pu ce passer entre vous hier? Pourquoi tu te vois t’emparer de ses lèvres, parcourir sa peau ainsi? Est-ce ton cerveau qui te joue des tours? Aucuns moyens de le savoir si Rhea ne confirme pas, et tu ne te vois absolument pas lui demander si elle se rappelle tes lèvres a des endroits qu’elles n’auraient pas dû connaître. ”C’est une sorte de remède de grand-mère, il faut te réhydrater pour que la sensation soit moins… Désagréable.” Tu remets le plus naturellement du monde une de ses mèches en place sur son visage. Rien ne va dans cette situation et tu ne t’en rends même pas compte. Tu n’es vraiment pas douée pour ce genre de choses.
Tu tentes alors de rassuré Rhea, et toi aussi au passage. Tentant de te persuadé que rien ne c’est vraiment passé, du moins rien de “grave”. Tu ne remarques pas vraiment ta main sur ses hanches, et encore moins de l’effet que tes mots ont sur elle. Tu tentes alors de savoir de quoi elle se rappelle, pour recoller les morceaux avec ce que ton cerveau tente de te faire croire. Le problème est que Rhea semble être dans la même situation que toi sauf qu’elle n’est pas d’humeur à avoir des demi réponses on dirait. Bon au moins elle essaye de manger un peu, ce qui te rassure un peu. ”JE ne peux pas vraiment t’en dire plus je suis comme toi. J’ai des images en tête mais impossible de savoir si ça vraiment passé où si c’est mon cerveau qui me joue des tours… Mais on dirait bien que quelqu’un s’imagine aussi des choses ici…” Tu affiches un sourire en coin alors que ta main quitte la hanche de Rhea a ses mots. ”Je vais peut être devoir surveiller mes manières si tu commences d’imaginer des choses en pensant a moi.” Tu ris doucement alors que tu finis ton propre verre, détournant ton attention de la jeune femme. Il y a bien longtemps que tu n’avais pas eu une gueule de bois et encore moins un trou noir de la sorte. Rhea se calme un peu, se laissant tomber sur le lit, c’est déjà ça. ”Sa dépend, mais tu risques d’être vaseuse une bonne partie de la journée.” Tu soupires avant d’écoute Rhea grogner et se plaindre, tu mets ça sur le dos de la gueule de bois. ”Bien sur, je vais te retrouver ça… Quelques parts dans la chambre.” Oui parce qu’il y a des vêtements un peu partout dans cette chambre. Indice que vous ne vous êtres clairement pas déshabillé dans le calme et méthodiquement. Mais non non c’est simplement que vous étiez dans un état second. Tu quittes donc le bord du lit, te mettant en quête du précieux vêtement pour Rhea. Une fois qu’elle sera couverte ton cerveau cessera peut être de t’envoyer des images absolument inappropriées. Tu finis pas trouver le vêtement non loin du lit, alors que tu te redresses la voie de Rhea revient frapper tes tympans. Un suçon de quoi est-ce qu’elle te parle?Alors que tu te tournes vers elle, tu ne vois pas qu’elle a écarter les draps, tu te prends alors les pieds dedans tel le docteur catastrophe que tu es. Arrive alors ce qui doit arriver, et tu pars en avant chutant littéralement sur une Rhea nue et sans draps.
Vous vous retrouvez encore une fois peau contre peau, tu peu sentir sa poitrine contre la tienne et sa respiration contre sa peau. Ton visage presque coller contre le sien, quelques centimètres de plus et tu l’embrassais en chutant. Tu ne sais pas quoi faire, complètement bloquer quelques instants. Tu te rappels soudain d’une scène similaire hier soir, mais elle continuait de façon beaucoup plus… Intense… Non Non Jin Woo calme toi, tu t’emballes. ”Tu vas bien je ne t’ai pas fais mal?” Réflexe encore moins approprié, dans ta chute une te des mains c’est glissé sur les côtes de Rhea alors que tu es entre ses jambes. Cette main qui glisse lentement le long de sa peau de façon complètement inconsciente, mémoire musculaire de la soirée d’hier? Ta main qui est alors sur sa cuisse comme pour la garder près de toi un peu plus. Tu te redresses un peu, le rouge aux lèvres. Tu crèves d’envie de reprendre possession de sa peau, comme une drogue a laquelle tu as goûté hier? Ces flashs sont-il vraiment réel au final? Tu commences a le croire maintenant. Tes yeux quittes ceux de Rhea glissant sur ses lèvres et une partie de la soirée d’hier te reviens soudain de façon beaucoup plus clair. ”Je crois que… Ça me revient maintenant…On c’est retrouvé comme ça…” Tu marques un temps d’arrêt, t’approchant de la peau de Rhea, comme un aimant sur du métal. Tu t’arrêtes juste avant que tes lèvres ne touchent les siennes. Jin Woo, qu’est-ce que tu fiches? Qu’est-ce que tu allais faire? Trahis par ton cerveau? Où autre chose de moins glorieux. C’est terrible. Tu t’écartes de nouveau, laissant les doigts de ta main libre effleurer la peau de Rhea, partant de ses lèvres, puis dans son cou. ”Je crois qu’on c’est embrassé… Ensuite mes lèvres ont continuer… Doucement… J’ai pris mon temps… Ton cou, puis j’ai continuer de descendre.” Tes doigts et ton regard suivent le chemin que tu donnes, tu descends en même temps, délivrant son visage de la présence du tien, avant de te retrouver vers sa poitrine, tes doigts arrivant vers le dit suçon. Tu es tellement absorbé par cette… Reconstitution… Que tu ne te rends pas compte de ce que tu fais. Que c’est tout sauf normal et que tu ne devrais pas… Tu parcours la peau rougie, t’en approches, tes lèvres effleurant presque la peau de Rhea. ”Visiblement j’ai fais plus de d’explorer… Je me suis attarder… Ensuite je crois que j’ai continuer….” Perdu dans tes pensés, tes doigts continuent de ce glisser encore vous, quittant sa poitrine pour descendre encore vers son ventre. Tu t’arrêtes soudain, réalisant soudain ce que tu fais. Ta main quitte la peau de la jeune femme qui si elle te brûlait. TU t’écartes un peu plus. ”Je… Je…” A quoi tu joues bon sang? Qu’est-ce que tu fais? Tu ne devrais pas, tu devrais t’écarter tout de suite, t’excuser platement, la supplier d’oublier. Mais non, tu ne parviens pas a bouger luttant contre toi même. Troubler par ses souvenirs? Troubler par ce que vous avez pu faire? Où troubler par Rhea depuis le début bien plus que tu ne veux le dire et que soudain tu le réalises?
Tu t’installes sur le bord du lit, avant de lui tendre un remède de grand-mère. Peut-être que c’est plus un effet placebo qu’autre chose, mais si l’effet est là c’est le principal. TU as encore bien du mal a la quitter des yeux, des souvenirs refaisant surface à chaque fois que tu poses les yeux sur elle. Bordel qu’est-ce qui a bien pu ce passer entre vous hier? Pourquoi tu te vois t’emparer de ses lèvres, parcourir sa peau ainsi? Est-ce ton cerveau qui te joue des tours? Aucuns moyens de le savoir si Rhea ne confirme pas, et tu ne te vois absolument pas lui demander si elle se rappelle tes lèvres a des endroits qu’elles n’auraient pas dû connaître. ”C’est une sorte de remède de grand-mère, il faut te réhydrater pour que la sensation soit moins… Désagréable.” Tu remets le plus naturellement du monde une de ses mèches en place sur son visage. Rien ne va dans cette situation et tu ne t’en rends même pas compte. Tu n’es vraiment pas douée pour ce genre de choses.
Tu tentes alors de rassuré Rhea, et toi aussi au passage. Tentant de te persuadé que rien ne c’est vraiment passé, du moins rien de “grave”. Tu ne remarques pas vraiment ta main sur ses hanches, et encore moins de l’effet que tes mots ont sur elle. Tu tentes alors de savoir de quoi elle se rappelle, pour recoller les morceaux avec ce que ton cerveau tente de te faire croire. Le problème est que Rhea semble être dans la même situation que toi sauf qu’elle n’est pas d’humeur à avoir des demi réponses on dirait. Bon au moins elle essaye de manger un peu, ce qui te rassure un peu. ”JE ne peux pas vraiment t’en dire plus je suis comme toi. J’ai des images en tête mais impossible de savoir si ça vraiment passé où si c’est mon cerveau qui me joue des tours… Mais on dirait bien que quelqu’un s’imagine aussi des choses ici…” Tu affiches un sourire en coin alors que ta main quitte la hanche de Rhea a ses mots. ”Je vais peut être devoir surveiller mes manières si tu commences d’imaginer des choses en pensant a moi.” Tu ris doucement alors que tu finis ton propre verre, détournant ton attention de la jeune femme. Il y a bien longtemps que tu n’avais pas eu une gueule de bois et encore moins un trou noir de la sorte. Rhea se calme un peu, se laissant tomber sur le lit, c’est déjà ça. ”Sa dépend, mais tu risques d’être vaseuse une bonne partie de la journée.” Tu soupires avant d’écoute Rhea grogner et se plaindre, tu mets ça sur le dos de la gueule de bois. ”Bien sur, je vais te retrouver ça… Quelques parts dans la chambre.” Oui parce qu’il y a des vêtements un peu partout dans cette chambre. Indice que vous ne vous êtres clairement pas déshabillé dans le calme et méthodiquement. Mais non non c’est simplement que vous étiez dans un état second. Tu quittes donc le bord du lit, te mettant en quête du précieux vêtement pour Rhea. Une fois qu’elle sera couverte ton cerveau cessera peut être de t’envoyer des images absolument inappropriées. Tu finis pas trouver le vêtement non loin du lit, alors que tu te redresses la voie de Rhea revient frapper tes tympans. Un suçon de quoi est-ce qu’elle te parle?Alors que tu te tournes vers elle, tu ne vois pas qu’elle a écarter les draps, tu te prends alors les pieds dedans tel le docteur catastrophe que tu es. Arrive alors ce qui doit arriver, et tu pars en avant chutant littéralement sur une Rhea nue et sans draps.
Vous vous retrouvez encore une fois peau contre peau, tu peu sentir sa poitrine contre la tienne et sa respiration contre sa peau. Ton visage presque coller contre le sien, quelques centimètres de plus et tu l’embrassais en chutant. Tu ne sais pas quoi faire, complètement bloquer quelques instants. Tu te rappels soudain d’une scène similaire hier soir, mais elle continuait de façon beaucoup plus… Intense… Non Non Jin Woo calme toi, tu t’emballes. ”Tu vas bien je ne t’ai pas fais mal?” Réflexe encore moins approprié, dans ta chute une te des mains c’est glissé sur les côtes de Rhea alors que tu es entre ses jambes. Cette main qui glisse lentement le long de sa peau de façon complètement inconsciente, mémoire musculaire de la soirée d’hier? Ta main qui est alors sur sa cuisse comme pour la garder près de toi un peu plus. Tu te redresses un peu, le rouge aux lèvres. Tu crèves d’envie de reprendre possession de sa peau, comme une drogue a laquelle tu as goûté hier? Ces flashs sont-il vraiment réel au final? Tu commences a le croire maintenant. Tes yeux quittes ceux de Rhea glissant sur ses lèvres et une partie de la soirée d’hier te reviens soudain de façon beaucoup plus clair. ”Je crois que… Ça me revient maintenant…On c’est retrouvé comme ça…” Tu marques un temps d’arrêt, t’approchant de la peau de Rhea, comme un aimant sur du métal. Tu t’arrêtes juste avant que tes lèvres ne touchent les siennes. Jin Woo, qu’est-ce que tu fiches? Qu’est-ce que tu allais faire? Trahis par ton cerveau? Où autre chose de moins glorieux. C’est terrible. Tu t’écartes de nouveau, laissant les doigts de ta main libre effleurer la peau de Rhea, partant de ses lèvres, puis dans son cou. ”Je crois qu’on c’est embrassé… Ensuite mes lèvres ont continuer… Doucement… J’ai pris mon temps… Ton cou, puis j’ai continuer de descendre.” Tes doigts et ton regard suivent le chemin que tu donnes, tu descends en même temps, délivrant son visage de la présence du tien, avant de te retrouver vers sa poitrine, tes doigts arrivant vers le dit suçon. Tu es tellement absorbé par cette… Reconstitution… Que tu ne te rends pas compte de ce que tu fais. Que c’est tout sauf normal et que tu ne devrais pas… Tu parcours la peau rougie, t’en approches, tes lèvres effleurant presque la peau de Rhea. ”Visiblement j’ai fais plus de d’explorer… Je me suis attarder… Ensuite je crois que j’ai continuer….” Perdu dans tes pensés, tes doigts continuent de ce glisser encore vous, quittant sa poitrine pour descendre encore vers son ventre. Tu t’arrêtes soudain, réalisant soudain ce que tu fais. Ta main quitte la peau de la jeune femme qui si elle te brûlait. TU t’écartes un peu plus. ”Je… Je…” A quoi tu joues bon sang? Qu’est-ce que tu fais? Tu ne devrais pas, tu devrais t’écarter tout de suite, t’excuser platement, la supplier d’oublier. Mais non, tu ne parviens pas a bouger luttant contre toi même. Troubler par ses souvenirs? Troubler par ce que vous avez pu faire? Où troubler par Rhea depuis le début bien plus que tu ne veux le dire et que soudain tu le réalises?
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
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Re: Rumors are (not) true | Jeu 16 Mai - 16:20 Citer EditerSupprimer
Rumors are (not) true
feat. ♡ @Sung Jin Woo
Un remède de grand-mère ? Tu lances un regard peu impressionné à Jinwoo, voire presque dédaigneux. Vous êtes des scientifiques et il s'en remet à des solutions de bonnes femmes gâteuses ? « Et tu n'as rien trouvé d'autre que de l'eau tiède et de citron, comme agents réhydratants ? tu ne peux t'empêcher de marmonner. » Trop concentrée sur l'ignoble breuvage, tu ne réagis même pas à cette main qui s'approche de ton visage, écartant délicatement une mèche rebelle.
Malgré toi, tes joues chauffent de honte quand il pointe qu'il n'est pas le seul à avoir une imagination potentiellement débordante en cet instant, et tu te mords la langue pour t'empêcher de l'incendier verbalement. Plus tu nieras plus tu te décrédibiliseras. Tu détestes qu'il te titille sur ça, tu te sens si vulnérable en cet instant précis... Imaginer des choses en pensant à lui ? Tu ne veux pas. Et en même temps, ça a un goût d'interdit, d'illicite, c'est tentant... puis si tu dois être totalement honnête, il y a pire comme personne sur laquelle fantasmer. Sauf que tu travailles avec lui, et ça rend les choses tout de suite plus maladroites.
Tu grognes de dépit en apprenant la terrible durée potentielle de votre gueule de bois. Toute la journée ? Tu n'as pas envie de rester coincée ici toute la sainte journée, bordel ! Surtout à moitié nue dans le lit de ton promoteur. Enfin, ça, c'est si tu parviens à mettre la main sur ton t-shirt dans le maelström de vêtements qui jonchent le sol.
Et là, alors que tu aurais pu admirer le dos musclé de Jinwoo tandis qu'il tente de retrouver tes affaires, tu as plutôt fait le choix d'inspecter ton propre corps, découvrant par la même occasion la marque à hauteur de ta poitrine. Tu vois rouge, aussi rouge que ta peau, hurlant à nouveau sur l'homme, bien que les menaces qui se pressent au bout de ta langue ne disparaissent quand celui-ci se tourne vers toi... se prend les pieds dans tu ne sais quoi... et te chute dessus. Et tu restes là, les yeux écarquillés de stupeur, quelques centimètres à peine séparant vos lèvres, tes seins pressés contre son torse athlétique. Quelques centimètres que chacun de vous pourrait franchir en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Tu prends alors conscience du poids de son corps sur le tien, tes jambes écartées et pressées de part et d'autre des siennes. Tu déglutis, toute pensée cohérente désertant ton esprit alors que sa main glisse sur ta cuisse, t'arrachant de frisson de... contentement ? Même quand il se redresse, le charme dans lequel il te maintient ne se brise pas et tu es plus que consciente de chacun de ses mouvements, de comment son corps frotte et appuie contre le tien alors qu'il s'éloigne un peu. Et ses mots... ô ses mots. Pire qu'une incantation, alors qu'il semble regagner une partie de ses souvenirs de la veille, retraçant le long de ton corps une histoire que tu ne peux qu'écouter et imaginer, ses doigts rendant la chose plus tangible encore alors qu'ils glissent sur tes lèvres, le long de ta gorge, entre tes seins, jusqu'à cette marque qui t'a tant fait rugir d'outrage, et qui maintenant fait naître bien d'autres sentiments en toi. Désir. Envie. Regret. Parce que tu ne te souviens de rien, et que tu dois admettre que la sensation de ses mains sur ton corps te fait frémir. Tu es atrocement consciente de ton corps qui s'éveille sous le sien, de ta respiration qui se fait plus rapide, plus lourde aussi. Et quand il quitte ta poitrine, descendant jusqu'à ton ventre, tu t'humidifies les lèvres, presque hypnotisée, presque curieuse de savoir ce que ça fait d'être touchée, caressée là où il semble se diriger, par d'autres mains que les tiennes. Mais il semble sortir de sa propre transe, sa main quittant ta peau comme si tu l'avais soudain brûlé, et une petite plainte presque suppliante t'échappe.
Tu ne comprends pas ce qu'il t'arrive, et nul doute que tu voudras disparaître quand tes idées se remettront en place, mais en cet instant précis, tu t'en moques, tu n'es que feu et désir. Il a attisé des braises dont tu ignorais l'existence, et tu as terriblement besoin d'apaisement. Dans un état toujours second, tu viens glisser ta main dans sa nuque, l'attirant sans crier gare à toi, à tes lèvres, capturant les siennes dans un baiser aussi fiévreux que maladroit.
Ton premier baiser depuis des années... et tu es en gueule de bois, dans le lit de ton superviseur. On a vu mieux, mais qu'est-ce que c'est bon... enfin, de ton côté. Parce que du sien, avec ta grande inexpérience et l'état dans lequel tu es, ça ne doit pas être fameux. Tes lèvres libèrent finalement les siennes, et le charme se brise, te faisant prendre conscience de ce que tu viens de faire. « N-non... est tout ce que tu parviens à articuler avec horreur. » Tu ne viens pas de faire ça, pas vrai ? Mortifiée, tu viens plaquer tes mains sur ta bouche, si rouge que tu inventerais presque une nouvelle teinte, plus vive encore que la tomate ou l'écrevisse. Le Rouge Rhea, voilà... « P-pourquoi ? » Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi tu es dans un tel état ? Tant de questions pourraient rentrer dans ce simple mot, mais tu es incapable d'en énoncer une seule.
Malgré toi, tes joues chauffent de honte quand il pointe qu'il n'est pas le seul à avoir une imagination potentiellement débordante en cet instant, et tu te mords la langue pour t'empêcher de l'incendier verbalement. Plus tu nieras plus tu te décrédibiliseras. Tu détestes qu'il te titille sur ça, tu te sens si vulnérable en cet instant précis... Imaginer des choses en pensant à lui ? Tu ne veux pas. Et en même temps, ça a un goût d'interdit, d'illicite, c'est tentant... puis si tu dois être totalement honnête, il y a pire comme personne sur laquelle fantasmer. Sauf que tu travailles avec lui, et ça rend les choses tout de suite plus maladroites.
Tu grognes de dépit en apprenant la terrible durée potentielle de votre gueule de bois. Toute la journée ? Tu n'as pas envie de rester coincée ici toute la sainte journée, bordel ! Surtout à moitié nue dans le lit de ton promoteur. Enfin, ça, c'est si tu parviens à mettre la main sur ton t-shirt dans le maelström de vêtements qui jonchent le sol.
Et là, alors que tu aurais pu admirer le dos musclé de Jinwoo tandis qu'il tente de retrouver tes affaires, tu as plutôt fait le choix d'inspecter ton propre corps, découvrant par la même occasion la marque à hauteur de ta poitrine. Tu vois rouge, aussi rouge que ta peau, hurlant à nouveau sur l'homme, bien que les menaces qui se pressent au bout de ta langue ne disparaissent quand celui-ci se tourne vers toi... se prend les pieds dans tu ne sais quoi... et te chute dessus. Et tu restes là, les yeux écarquillés de stupeur, quelques centimètres à peine séparant vos lèvres, tes seins pressés contre son torse athlétique. Quelques centimètres que chacun de vous pourrait franchir en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Tu prends alors conscience du poids de son corps sur le tien, tes jambes écartées et pressées de part et d'autre des siennes. Tu déglutis, toute pensée cohérente désertant ton esprit alors que sa main glisse sur ta cuisse, t'arrachant de frisson de... contentement ? Même quand il se redresse, le charme dans lequel il te maintient ne se brise pas et tu es plus que consciente de chacun de ses mouvements, de comment son corps frotte et appuie contre le tien alors qu'il s'éloigne un peu. Et ses mots... ô ses mots. Pire qu'une incantation, alors qu'il semble regagner une partie de ses souvenirs de la veille, retraçant le long de ton corps une histoire que tu ne peux qu'écouter et imaginer, ses doigts rendant la chose plus tangible encore alors qu'ils glissent sur tes lèvres, le long de ta gorge, entre tes seins, jusqu'à cette marque qui t'a tant fait rugir d'outrage, et qui maintenant fait naître bien d'autres sentiments en toi. Désir. Envie. Regret. Parce que tu ne te souviens de rien, et que tu dois admettre que la sensation de ses mains sur ton corps te fait frémir. Tu es atrocement consciente de ton corps qui s'éveille sous le sien, de ta respiration qui se fait plus rapide, plus lourde aussi. Et quand il quitte ta poitrine, descendant jusqu'à ton ventre, tu t'humidifies les lèvres, presque hypnotisée, presque curieuse de savoir ce que ça fait d'être touchée, caressée là où il semble se diriger, par d'autres mains que les tiennes. Mais il semble sortir de sa propre transe, sa main quittant ta peau comme si tu l'avais soudain brûlé, et une petite plainte presque suppliante t'échappe.
Tu ne comprends pas ce qu'il t'arrive, et nul doute que tu voudras disparaître quand tes idées se remettront en place, mais en cet instant précis, tu t'en moques, tu n'es que feu et désir. Il a attisé des braises dont tu ignorais l'existence, et tu as terriblement besoin d'apaisement. Dans un état toujours second, tu viens glisser ta main dans sa nuque, l'attirant sans crier gare à toi, à tes lèvres, capturant les siennes dans un baiser aussi fiévreux que maladroit.
Ton premier baiser depuis des années... et tu es en gueule de bois, dans le lit de ton superviseur. On a vu mieux, mais qu'est-ce que c'est bon... enfin, de ton côté. Parce que du sien, avec ta grande inexpérience et l'état dans lequel tu es, ça ne doit pas être fameux. Tes lèvres libèrent finalement les siennes, et le charme se brise, te faisant prendre conscience de ce que tu viens de faire. « N-non... est tout ce que tu parviens à articuler avec horreur. » Tu ne viens pas de faire ça, pas vrai ? Mortifiée, tu viens plaquer tes mains sur ta bouche, si rouge que tu inventerais presque une nouvelle teinte, plus vive encore que la tomate ou l'écrevisse. Le Rouge Rhea, voilà... « P-pourquoi ? » Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi tu es dans un tel état ? Tant de questions pourraient rentrer dans ce simple mot, mais tu es incapable d'en énoncer une seule.
Sung Jin Woo
❝ Docteur catastrophe
Pseudo : Vici0usD
Célébrité : Song Joong Ki
Crédits : Jae
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Âge : 39
Re: Rumors are (not) true | Mar 25 Juin - 0:13 Citer EditerSupprimer
Rumors are (not) true
feat. @Woo Rhea "
Qu’est-ce que tu es en train de faire Jin Woo? C’est ce que tu devrais te dire alors que tu es contre le corps nue de ton assistante. Pourtant si tu dois être honnête, tu n’y penses pas le moins du monde. Non, tu es comme dans une transe étrange, enivrer par sa peau, par son odeur, par ses souvenirs alcoolisés qui te revienne soudain. Alors que tes doigts continuent leur descente folle sur la peau de Rhea. Tu ne te rends pas vraiment compte des réactions que tu provoques chez elle. Tu ne te rends pas compte que ce souvenir est littéralement ce qui s’est passé cette soirée. Tu n’as aucune idée du feu que tu es en train d’allumer chez elle. Non, tu es bien trop concentré par ce voyage délicieux sur le corps de la jeune femme. On peut dire qu’il y a pire comme aventure que d’explorer ces monts et des vaux. Tu ne peux pas le nier, ce corps te tient en haleine, le simple touché de sa peau semble brûler la tienne comme rarement tu n’as pu le ressentir. Cette électricité, ce magnétisme, cette envie d’en redécouvrir encore plus. Pourtant, c’est justement cette perte de contrôle, de raison, de jugement qui soudain se rappelle à toi. Tu t’écartes d’elle brusquement, comme si elle t’avait électrocuté à force de la toucher. Pour être honnête tu es un peu bloqué, voir choqué par ce que tu viens de faire, enfin surtout a qui tu étais en train de le faire. Tu ne sais pas trop quoi dire où faire. Sauf que sa plainte lorsque ta main quitte sa peau ne t’aide pas. Cela sonne comme une incitation à continuer, comme une tentation supplémentaire de succomber à cette envie dévorante qui dévore sous ta peau.
Tu n’as pas le temps de réagir alors qu’elle agrippe ta nuque, pas plus que tu ne cherches à lutter contre cette emprise si tu veux être honnête. Alors que tu te demandes encore comment vous en êtes arrivé là tu te retrouves contre ses lèvres. De nouveau collé contre le corps nue de Rhea, tu sens sa respiration erratique, chacun de ses muscles qui se tend contre toi. Pire que sa, tu ne réagis pas vraiment les premiers instants, avant de te laisser couler aussi dans ce baiser. Tu réponds d’abord timidement, puis au fil des secondes pressé contre ses lèvres, tu deviens de plus en plus aventureux dans ce baiser. De plus en plus fougueux alors que tu te presses un peu plus contre elle. Cette fois tu ne pourras pas accuser l’alcool, tout du moins comme excuse. Ta main sur sa cuisse la serre un peu plus contre toi alors que cette fois tu es complètement dans ce baiser. Une pulsion incontrolable, comme si c’était une évidence d’être contre ses lèvres. Ta main sur sa cuisse remonte lentement jusqu’à ses fesses pour les presser un peu plus contre toi. Il y a longtemps que tu ne t’étais pas laisser autant aller avec une femme. Si quelqu’un apprenait cela, dieu sait encore quelle rumeur circulerait encore.
Elle relâche son emprise, libérant tes lèvres, et soudain le moment semble s’être envolé. Elle prend soudain un air horrifié, prenant conscience de ce qui vient de se passer. Toi aussi tu en prends soudain compte, mais seulement lorsque tu te rends compte du choc qu’elle subit. ”Je… Je suis désolé Rhea je… Je vais te…. chercher ton T-shirt tu vas attraper froid.” Tu te rends soudain compte du spectacle qui s’offre à toi alors que tu t’écartes d’elle alors qu’elle est rouge comme une pivoine. Une bien belle fleur certes tu dois l’avouer. Tu n’as pas de mots bienveillants à lui dire, tu ne sais pas quoi lui dire. Tout est soudain devenu encore plus compliqué, et tout un tas de chose te vienne soudain en tête. Certaine complètement inavouable, surtout quand tu la vois nue sous toi. ”Tu es splendide au passage, vraiment incroyable… Je… Divague… Je vais te chercher ton T-shirt.” Tu te relèves alors, délaissant les formes de ton assistante à regret. Alors que tu cherches son T-shirt, tu dois avouer que tu jettes un œil derrière toi pour l’observer de temps à autre. Tu finis par trouver son haut, que tu époussettes et tu secoues pour le défroisser. Tu reviens alors vers elle rougissant un peu à sa vue et aux souvenirs d’événement récent. ”Lève les bras, je vais… T’aider à l’enfiler… se n’est pas comme si j’avais pas tout… enfin bref.” Tu attends un peu qu’elle s’exécute, même si visiblement elle est encore plus génée que toi. ”Lève les bras Rhea aller.” Tu perds peut-être un peu patience et tu finis pas t’imposer pour l’aider à enfiler son haut. Peut-être, je dis bien peut-être que tu laisses tes mains un peu trop contre elle alors que tu fais filer le tissu le long de son corps. Sauf qu’une foi ton méfait accompli, tu te retrouves une fois de plus presque contre le visage de la jeune femme. Ta main reviens effleuré sa joue en délaissant le bas de son t-shirt. Encore. Sauf que ton téléphone sonne. Sauvé par le gong, pourtant ce n’est pas l’envie soudaine de goûter à nouveau à ses lèvres qui te manque soudain. ”Je crois que je devrais… Répondre.”
Tu n’as pas le temps de réagir alors qu’elle agrippe ta nuque, pas plus que tu ne cherches à lutter contre cette emprise si tu veux être honnête. Alors que tu te demandes encore comment vous en êtes arrivé là tu te retrouves contre ses lèvres. De nouveau collé contre le corps nue de Rhea, tu sens sa respiration erratique, chacun de ses muscles qui se tend contre toi. Pire que sa, tu ne réagis pas vraiment les premiers instants, avant de te laisser couler aussi dans ce baiser. Tu réponds d’abord timidement, puis au fil des secondes pressé contre ses lèvres, tu deviens de plus en plus aventureux dans ce baiser. De plus en plus fougueux alors que tu te presses un peu plus contre elle. Cette fois tu ne pourras pas accuser l’alcool, tout du moins comme excuse. Ta main sur sa cuisse la serre un peu plus contre toi alors que cette fois tu es complètement dans ce baiser. Une pulsion incontrolable, comme si c’était une évidence d’être contre ses lèvres. Ta main sur sa cuisse remonte lentement jusqu’à ses fesses pour les presser un peu plus contre toi. Il y a longtemps que tu ne t’étais pas laisser autant aller avec une femme. Si quelqu’un apprenait cela, dieu sait encore quelle rumeur circulerait encore.
Elle relâche son emprise, libérant tes lèvres, et soudain le moment semble s’être envolé. Elle prend soudain un air horrifié, prenant conscience de ce qui vient de se passer. Toi aussi tu en prends soudain compte, mais seulement lorsque tu te rends compte du choc qu’elle subit. ”Je… Je suis désolé Rhea je… Je vais te…. chercher ton T-shirt tu vas attraper froid.” Tu te rends soudain compte du spectacle qui s’offre à toi alors que tu t’écartes d’elle alors qu’elle est rouge comme une pivoine. Une bien belle fleur certes tu dois l’avouer. Tu n’as pas de mots bienveillants à lui dire, tu ne sais pas quoi lui dire. Tout est soudain devenu encore plus compliqué, et tout un tas de chose te vienne soudain en tête. Certaine complètement inavouable, surtout quand tu la vois nue sous toi. ”Tu es splendide au passage, vraiment incroyable… Je… Divague… Je vais te chercher ton T-shirt.” Tu te relèves alors, délaissant les formes de ton assistante à regret. Alors que tu cherches son T-shirt, tu dois avouer que tu jettes un œil derrière toi pour l’observer de temps à autre. Tu finis par trouver son haut, que tu époussettes et tu secoues pour le défroisser. Tu reviens alors vers elle rougissant un peu à sa vue et aux souvenirs d’événement récent. ”Lève les bras, je vais… T’aider à l’enfiler… se n’est pas comme si j’avais pas tout… enfin bref.” Tu attends un peu qu’elle s’exécute, même si visiblement elle est encore plus génée que toi. ”Lève les bras Rhea aller.” Tu perds peut-être un peu patience et tu finis pas t’imposer pour l’aider à enfiler son haut. Peut-être, je dis bien peut-être que tu laisses tes mains un peu trop contre elle alors que tu fais filer le tissu le long de son corps. Sauf qu’une foi ton méfait accompli, tu te retrouves une fois de plus presque contre le visage de la jeune femme. Ta main reviens effleuré sa joue en délaissant le bas de son t-shirt. Encore. Sauf que ton téléphone sonne. Sauvé par le gong, pourtant ce n’est pas l’envie soudaine de goûter à nouveau à ses lèvres qui te manque soudain. ”Je crois que je devrais… Répondre.”
Woo Rhea
☆ ROOKIE SHAKER
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Re: Rumors are (not) true | Ven 12 Juil - 17:14 Citer EditerSupprimer
Rumors are (not) true
feat. ♡ @Sung Jin Woo
Alors que tes lèvres s'emparent des siennes, les premières secondes sont terriblement maladroites, même dans le brouillard de ton esprit. Es-tu vraiment si nulle pour embrasser ? Si peu désirable qu'il préfère rester de marbre ? Puis c'est comme si un interrupteur venait d'être activé chez Jinwoo, et tu sens l'entièreté de son être se réveiller contre toi. La fougue remplace bien vite la timidité et tu fonds complètement dans ce baiser. Tu sens sa main se serrer autour de ta cuisse puis remonter jusqu'à tes fesses, un léger gémissement s'échappant d'entre tes lèvres en réponse quand il t'attire contre lui, plus fermement encore. Un instant, un infime instant, tu oublies ta gueule de bois, ta colère, ton inexpérience, complètement focalisée sur les sensations que Jinwoo ignite en toi.
Et damn, quelles sensations...
Mais la réalité te rattrape au grand galop et voilà que soudain tu t'arraches à l'étreinte que tu as toi-même initiée, horrifiée de tes propres actions. Ton promoteur ne semble pas en mener plus large que toi. Voilà qu'il s'éloigne et un violent frisson te secoue, qu'il prend probablement pour du froid ; ça pourrait, vu que ta source de chaleur principale vient de s'éloigner. Mais non... il a allumé en toi un brasier qui semble réticent à s'éteindre, tu as l'impression d'être brûlante, fiévreuse. Et tu l'écoutes, presque bouche-bée, incapable d'aligner deux pensées cohérentes, exprimer son... admiration pour ton corps ? Cela te fait brutalement redescendre sur terre. « Tu divagues, oui tu réponds, plus sèchement que nécessaire. » Mordre a toujours été ta manière de cacher que tu es troublée, et les mots de Jinwoo font plus que mouche. Oh, tu n'ignores pas ta propre beauté, loin de là, mais c'est différent quand on l'entend de la bouche d'un homme plus que séduisant, dont le contact électrise le corps et l'esprit.
Ayant enfin réussi à récupérer une partie de tes affaires dans le tas de vêtements, tu tends une main impérieuse pour récupérer le précieux morceau de tissu. « Je peux m'habiller toute seule ! tu protestes. » Ce ne doit quand même pas être si compliqué, même avec une gueule de bois comme la tienne, non ? Ceci dit, il a raison... ce n'est pas comme s'il n'avait pas déjà tout vu... et encore, si ça s'était arrêté au fait de voir...
Les joues rouges de honte, de colère et de sentiments que tu ne t'expliques pas, tu finis par obtempérer, comprenant alors pourquoi il insistait : ton corps tout entier te semble courbaturé, et rien que lever les bras t'arrache une grimace d'inconfort. Tu es terriblement consciente de la fraicheur du tissu qui glisse sur ta peau, de ses doigts qui te frôlent dans le geste, s'attardant sans but précis sur ton épiderme rendu sensible par les évènements précédents. Et quand sa main se retrouve sur ta joue, tu es partagée entre l'envie de fuir et l'envie de te laisser aller, de te pencher, de te presser contre lui et de goûter à nouveau à ses baisers. Mais le téléphone sonne, brisant le charme, et tu recules vivement. « Tu devrais... oui... tu réponds avec incertitude. »
Quand Jinwoo s'éloigne pour prendre son appel, tu en profites pour te donner deux légères tapes sur les joues, histoire de reprendre tes esprits. Mais tu fous quoi, franchement, Rhea ?! Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu dois partir. C'est une évidence. Tu dois quitter ce lit, cette chambre, cet appartement, t'éloigner de Jinwoo, recomposer ton persona habituel. D'un pas mal assuré, tel le faon qui vient d'ouvrir les yeux, combattant vaillamment la nausée, tu finis par t'extirper des draps, récoltant tes affaires, te rhabillant avec lenteur, calculant chaque geste pour éviter de rendre le contenu de ton estomac. Quand Jinwoo réapparait, tu es presque habillée, ton soutien-gorge aux abonnés absents -- tu n'es même plus sûre si tu en portais un à l'origine, mais bon, ce n'est pas comme si c'était indispensable avec ton généreux bonnet a. « Je veux rentrer chez moi, tu dis dès qu'il apparait, sans lui laisser le temps d'en placer une. Et qu'on ne reparle plus jamais de... tout ça. » Si vous faites comme si rien de tout ça n'était arrivé, ça devrait aller, pas vrai ? Pas vrai ?
Et damn, quelles sensations...
Mais la réalité te rattrape au grand galop et voilà que soudain tu t'arraches à l'étreinte que tu as toi-même initiée, horrifiée de tes propres actions. Ton promoteur ne semble pas en mener plus large que toi. Voilà qu'il s'éloigne et un violent frisson te secoue, qu'il prend probablement pour du froid ; ça pourrait, vu que ta source de chaleur principale vient de s'éloigner. Mais non... il a allumé en toi un brasier qui semble réticent à s'éteindre, tu as l'impression d'être brûlante, fiévreuse. Et tu l'écoutes, presque bouche-bée, incapable d'aligner deux pensées cohérentes, exprimer son... admiration pour ton corps ? Cela te fait brutalement redescendre sur terre. « Tu divagues, oui tu réponds, plus sèchement que nécessaire. » Mordre a toujours été ta manière de cacher que tu es troublée, et les mots de Jinwoo font plus que mouche. Oh, tu n'ignores pas ta propre beauté, loin de là, mais c'est différent quand on l'entend de la bouche d'un homme plus que séduisant, dont le contact électrise le corps et l'esprit.
Ayant enfin réussi à récupérer une partie de tes affaires dans le tas de vêtements, tu tends une main impérieuse pour récupérer le précieux morceau de tissu. « Je peux m'habiller toute seule ! tu protestes. » Ce ne doit quand même pas être si compliqué, même avec une gueule de bois comme la tienne, non ? Ceci dit, il a raison... ce n'est pas comme s'il n'avait pas déjà tout vu... et encore, si ça s'était arrêté au fait de voir...
Les joues rouges de honte, de colère et de sentiments que tu ne t'expliques pas, tu finis par obtempérer, comprenant alors pourquoi il insistait : ton corps tout entier te semble courbaturé, et rien que lever les bras t'arrache une grimace d'inconfort. Tu es terriblement consciente de la fraicheur du tissu qui glisse sur ta peau, de ses doigts qui te frôlent dans le geste, s'attardant sans but précis sur ton épiderme rendu sensible par les évènements précédents. Et quand sa main se retrouve sur ta joue, tu es partagée entre l'envie de fuir et l'envie de te laisser aller, de te pencher, de te presser contre lui et de goûter à nouveau à ses baisers. Mais le téléphone sonne, brisant le charme, et tu recules vivement. « Tu devrais... oui... tu réponds avec incertitude. »
Quand Jinwoo s'éloigne pour prendre son appel, tu en profites pour te donner deux légères tapes sur les joues, histoire de reprendre tes esprits. Mais tu fous quoi, franchement, Rhea ?! Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu dois partir. C'est une évidence. Tu dois quitter ce lit, cette chambre, cet appartement, t'éloigner de Jinwoo, recomposer ton persona habituel. D'un pas mal assuré, tel le faon qui vient d'ouvrir les yeux, combattant vaillamment la nausée, tu finis par t'extirper des draps, récoltant tes affaires, te rhabillant avec lenteur, calculant chaque geste pour éviter de rendre le contenu de ton estomac. Quand Jinwoo réapparait, tu es presque habillée, ton soutien-gorge aux abonnés absents -- tu n'es même plus sûre si tu en portais un à l'origine, mais bon, ce n'est pas comme si c'était indispensable avec ton généreux bonnet a. « Je veux rentrer chez moi, tu dis dès qu'il apparait, sans lui laisser le temps d'en placer une. Et qu'on ne reparle plus jamais de... tout ça. » Si vous faites comme si rien de tout ça n'était arrivé, ça devrait aller, pas vrai ? Pas vrai ?
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