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son bo ja - dirty little secrets
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son bo ja - dirty little secrets | Jeu 28 Aoû - 17:20 Citer EditerSupprimer
son bo ja
you don't know anything about anybody
#calme | #perfectionniste | #souriante | #directe | #diplomate |
#compréhensive | #secrète | #naturelle | #têtue | #persévérante |
NOM : son PRÉNOM : bo ja ÂGE & DATE DE NAISSANCE :29 ans, 19 octobre ORIGINES : italiano-coréenne. NATIONALITÉ : double nationalité. CLASSE SOCIALE : riche ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle CURSUS UNIVERSITAIRE : si étudiant. MÉTIER : professeure de danse classique Code du règlement : indila
“ Rumour has it :on dit qu'elle a été une ballerine connue en Italie + on dit qu'elle a failli se battre avec un élève + on dit qu'elle consomme du cannabis à certaine pauses + on dit qu'elle est mariée à un homme peu fréquentable + on dit qu'elle a fait une fausse couche + on dit qu'elle a déjà figuré dans un film + on dit qu'elle a un cancer + on dit qu'elle est une ancienne amante du directeur
“ Rumour has it :on dit qu'elle a été une ballerine connue en Italie + on dit qu'elle a failli se battre avec un élève + on dit qu'elle consomme du cannabis à certaine pauses + on dit qu'elle est mariée à un homme peu fréquentable + on dit qu'elle a fait une fausse couche + on dit qu'elle a déjà figuré dans un film + on dit qu'elle a un cancer + on dit qu'elle est une ancienne amante du directeur
“ Caractère :
Quand tout se fait petit, femmes, vous restez grandes.
En vain, aux murs sanglants accrochant des guirlandes,
Ils ont ouvert le bal et la danse ; ô nos soeurs,
Devant ces scélérats transformés en valseurs
Vous haussez, — châtiment ! — vos charmantes épaules.
Votre divin sourire extermine ces drôles.
En vain leur frac brodé scintille ; en vain, brigands,
Pour vous plaire ils ont mis à leurs griffes des gants,
Et de leur vil tricorne ils ont doré les ganses ;
Vous bafouez ces gants, ces fracs, ces élégances,
Cet empire tout neuf et déjà vermoulu.
Dieu vous a tout donné, femmes ; il a voulu
Que les seuls alcyons tinssent tête à l'orage,
Et qu'étant la beauté, vous fussiez le courage.
Victor H.
En vain, aux murs sanglants accrochant des guirlandes,
Ils ont ouvert le bal et la danse ; ô nos soeurs,
Devant ces scélérats transformés en valseurs
Vous haussez, — châtiment ! — vos charmantes épaules.
Votre divin sourire extermine ces drôles.
En vain leur frac brodé scintille ; en vain, brigands,
Pour vous plaire ils ont mis à leurs griffes des gants,
Et de leur vil tricorne ils ont doré les ganses ;
Vous bafouez ces gants, ces fracs, ces élégances,
Cet empire tout neuf et déjà vermoulu.
Dieu vous a tout donné, femmes ; il a voulu
Que les seuls alcyons tinssent tête à l'orage,
Et qu'étant la beauté, vous fussiez le courage.
Victor H.
“ Once upon a time :
Si je ferme les yeux, toute les images défilent... je m'enferme dans le passé et ressasse tout les souvenirs.
Je n'ai pas peur de mon passé, personne ne devrait d'ailleurs. Un passé, quel qu'il soit, est toujours la racine d'un futur ou d'un présent meilleur.
Je crois que tout ne va pas si mal en réalité. Aujourd'hui, je ne me sens pas si mal. Je devrais ?
________________________________________
Dans la famille Ha, il y a de parfaits connards. Ce n'est pas le genre de famille qui a une histoire banale.
Mais vous vous y faîtes. Mes parents font partis de cette tranche de connards. Je les aime, et ils m'aiment aussi.
Personne n'en doute, même pas moi. Mais ils s'avèrent être des gens parfaitement détestable quand ils le veulent.
J'ai vécu en Italie de ma naissance à mes seize ans, puis de mes dix huit ans à mes 26 ans. Le reste du temps je l'ai passé
en Corée, à Séoul la grande capitale. J'aurais pu habiter à tout les endroits de la terre, papa a des maisons de partout. Quoi qu'on en dise,
l'Italie reste ma terre natale. Je suis très à l'aise avec la Corée : sa culture, sa langue, sa population. Mais mon coeur reste en Europe. J'ai vécu
à Seville, puis à Rome. Mes parents aiment les capitales. Et je les aime aussi.
Dans la famille, nous aimons l'art. Mon père, sait jouer de quatre instruments. Ma mère, est une grande professeure de chant pour opéra. Mon oncle,
maintenant en prison, aimait s'occuper au dessin, et avait un joli coup de crayon. Moi, j'ai préferé m'affairer à la danse. Je voulais faire
de mon corps le sujet d'une oeuvre d'art, je voulais qu'il transporte les émotions, qu'il se meut pour pouvoir être un véritable spectacle à lui
seul.
Je prends des cours depuis ma tendre enfance. Je me souviens de ma cousine, qui des fois m'accompagnait. Elle trouvait ça ennuyeux à souhait,
ça se voyait dans ses yeux. Alors elle se contentait de me dire que j'étais jolie. Et ca me faisait rire. Ma petite Jin Sil...
Ma passion pour la danse classique m'a mené à être repérée par un grand chorégraphe pour ballet, un italien. Quand je revins en Italie à ma majorité,
il me prit sous son aile pour me propulser sous les projecteurs. Je m'entrainais dur, j'enchainais les ballets. J'aimais ça. Terriblement. Vous avez ce
sentiment de jouissance, quand la foule applaudit votre performance. Non par vanité, mais parce que vous vous sentez simplement heureux de voir,
que vous avez du mérite. Qu'après tant d'effort, votre art est reconnu. La danse, j'ai toujours vu ça comme très personnel. Parce que c'est
votre corps, et que chaque corps qui bouge et ondule est unique. Chaque corps, dégage son propre aura.
Ma famille avait soif de mon succès. Trop fiers, trop plein d'espoir... trop cupides. Je peux dire tout le bien du monde les concernant,
ils ont une façon de fonctionner qui ne plait à personne. Pourtant il y a bien quelque chose pour laquelle je me dois de les remercier.
C'était si innatendu.
L'année de mes vingt cinq ans, fut une année éprouvante. Tant émotionellement, que physiquement. J'étais à l'apogée de ce qui aurait pu
être ma carrière. Mais les medecins m'avait déniché un sale truc. Ca fait quatre ans maintenant que je me trimballe
un cancer du rein. Et de mon propre chef, j'ai décidé d'arrêter les ballets qui devenaient dangereux pour
ma santé. On m'avait dit que ce cancer était rare, et pas non plus difficile à soigner. Mais ca fait bien quatre ans.
Et mes parents m'en ont toujours voulu. Ils voyaient ce cancer comme un obstacle à ma réussite, pas au bon déroulement
de mes jours. C'était moi leur cancer. Tout le monde le savait, personne le disait.
J'étais fatiguée... très fatiguée. Il y a eu une période où j'étais très faibles, et je suis restée à l'hôpital pendant
neuf jours. Et quelque chose de bluffant arriva. Quelque chose, d'extraordinairement incroyable.
Mes parents m'avaient organisé un mariage.
Et ils savaient, que je n'étais pas assez forte pur riposter. Que mon état actuel ne me permettait pas de me battre.
A ce moment là, je me suis dis que je leur en voudrai ma vie entière. Qu'ils étaient devenus de vrais salopards.
Mais non. J'ai pu changer d'avis. Chose que je n'aurais jamais envisagé. Chose que je n'ai jamais avoué.
Son Dong Gun. C'est comme ça qu'il s'appelle. Il est le fils d'un grand mafieux en Corée, plus jeune que moi. J'étais stupéfaite,
que mes parents m'aient marriées à un homme comme lui. Bon Dieu, qu'est ce qui leur est passé par la tête?
Ils ont du se dire que j'avais besoin d'être protégée, que dans l'état où j'étais ça allait me permettre de ne rien
faire et pourtant d'être au top de tout... j'avais la rage au ventre, dans cet avion qui m'emmenait à Séoul.
Mais ce n'est pas l'homme que je croyais. Non. Et tant mieux.
Je n'ai pas peur de mon passé, personne ne devrait d'ailleurs. Un passé, quel qu'il soit, est toujours la racine d'un futur ou d'un présent meilleur.
Je crois que tout ne va pas si mal en réalité. Aujourd'hui, je ne me sens pas si mal. Je devrais ?
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Dans la famille Ha, il y a de parfaits connards. Ce n'est pas le genre de famille qui a une histoire banale.
Mais vous vous y faîtes. Mes parents font partis de cette tranche de connards. Je les aime, et ils m'aiment aussi.
Personne n'en doute, même pas moi. Mais ils s'avèrent être des gens parfaitement détestable quand ils le veulent.
J'ai vécu en Italie de ma naissance à mes seize ans, puis de mes dix huit ans à mes 26 ans. Le reste du temps je l'ai passé
en Corée, à Séoul la grande capitale. J'aurais pu habiter à tout les endroits de la terre, papa a des maisons de partout. Quoi qu'on en dise,
l'Italie reste ma terre natale. Je suis très à l'aise avec la Corée : sa culture, sa langue, sa population. Mais mon coeur reste en Europe. J'ai vécu
à Seville, puis à Rome. Mes parents aiment les capitales. Et je les aime aussi.
Dans la famille, nous aimons l'art. Mon père, sait jouer de quatre instruments. Ma mère, est une grande professeure de chant pour opéra. Mon oncle,
maintenant en prison, aimait s'occuper au dessin, et avait un joli coup de crayon. Moi, j'ai préferé m'affairer à la danse. Je voulais faire
de mon corps le sujet d'une oeuvre d'art, je voulais qu'il transporte les émotions, qu'il se meut pour pouvoir être un véritable spectacle à lui
seul.
Je prends des cours depuis ma tendre enfance. Je me souviens de ma cousine, qui des fois m'accompagnait. Elle trouvait ça ennuyeux à souhait,
ça se voyait dans ses yeux. Alors elle se contentait de me dire que j'étais jolie. Et ca me faisait rire. Ma petite Jin Sil...
Ma passion pour la danse classique m'a mené à être repérée par un grand chorégraphe pour ballet, un italien. Quand je revins en Italie à ma majorité,
il me prit sous son aile pour me propulser sous les projecteurs. Je m'entrainais dur, j'enchainais les ballets. J'aimais ça. Terriblement. Vous avez ce
sentiment de jouissance, quand la foule applaudit votre performance. Non par vanité, mais parce que vous vous sentez simplement heureux de voir,
que vous avez du mérite. Qu'après tant d'effort, votre art est reconnu. La danse, j'ai toujours vu ça comme très personnel. Parce que c'est
votre corps, et que chaque corps qui bouge et ondule est unique. Chaque corps, dégage son propre aura.
Ma famille avait soif de mon succès. Trop fiers, trop plein d'espoir... trop cupides. Je peux dire tout le bien du monde les concernant,
ils ont une façon de fonctionner qui ne plait à personne. Pourtant il y a bien quelque chose pour laquelle je me dois de les remercier.
C'était si innatendu.
L'année de mes vingt cinq ans, fut une année éprouvante. Tant émotionellement, que physiquement. J'étais à l'apogée de ce qui aurait pu
être ma carrière. Mais les medecins m'avait déniché un sale truc. Ca fait quatre ans maintenant que je me trimballe
un cancer du rein. Et de mon propre chef, j'ai décidé d'arrêter les ballets qui devenaient dangereux pour
ma santé. On m'avait dit que ce cancer était rare, et pas non plus difficile à soigner. Mais ca fait bien quatre ans.
Et mes parents m'en ont toujours voulu. Ils voyaient ce cancer comme un obstacle à ma réussite, pas au bon déroulement
de mes jours. C'était moi leur cancer. Tout le monde le savait, personne le disait.
J'étais fatiguée... très fatiguée. Il y a eu une période où j'étais très faibles, et je suis restée à l'hôpital pendant
neuf jours. Et quelque chose de bluffant arriva. Quelque chose, d'extraordinairement incroyable.
Mes parents m'avaient organisé un mariage.
Et ils savaient, que je n'étais pas assez forte pur riposter. Que mon état actuel ne me permettait pas de me battre.
A ce moment là, je me suis dis que je leur en voudrai ma vie entière. Qu'ils étaient devenus de vrais salopards.
Mais non. J'ai pu changer d'avis. Chose que je n'aurais jamais envisagé. Chose que je n'ai jamais avoué.
Son Dong Gun. C'est comme ça qu'il s'appelle. Il est le fils d'un grand mafieux en Corée, plus jeune que moi. J'étais stupéfaite,
que mes parents m'aient marriées à un homme comme lui. Bon Dieu, qu'est ce qui leur est passé par la tête?
Ils ont du se dire que j'avais besoin d'être protégée, que dans l'état où j'étais ça allait me permettre de ne rien
faire et pourtant d'être au top de tout... j'avais la rage au ventre, dans cet avion qui m'emmenait à Séoul.
Mais ce n'est pas l'homme que je croyais. Non. Et tant mieux.
lechatnoir
lel
:shujiva:
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼EILEEN FEIGHNY ✎ son bo ja
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- Code:
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Re: son bo ja - dirty little secrets | Jeu 28 Aoû - 18:03 Citer EditerSupprimer
italiano-coréenne, ça déchire, tout comme le métier que tu as choisi d'ailleurs bienvenue sur le forum et courage pour ta fiche
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Re: son bo ja - dirty little secrets | Jeu 28 Aoû - 21:19 Citer EditerSupprimer
bienvenue jolie demoiselle
au plaisir de t'accueillir parmi nous !
au plaisir de t'accueillir parmi nous !
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Re: son bo ja - dirty little secrets | Ven 29 Aoû - 11:32 Citer EditerSupprimer
Coucou :3 bienvenue et fighting
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Re: son bo ja - dirty little secrets | Ven 29 Aoû - 11:55 Citer EditerSupprimer
merci mes kikis, je vous offre pleins de pêches dures.
+ omo seung ri, faisons de grandes choses stp.
+ omo seung ri, faisons de grandes choses stp.
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Re: son bo ja - dirty little secrets | Ven 29 Aoû - 12:16 Citer EditerSupprimer
bienvenue ! et bonne chance pour ta fiche ♥♥♥
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Re: son bo ja - dirty little secrets | Ven 29 Aoû - 12:20 Citer EditerSupprimer
de grandes choses? tu m'intéresses. j'ai hâte de lire ta fiche mais j'ai déjà tout plein de plans pour toi.
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