Cette métisse d’origine thaïlandaise-coréenne laisse sortir une personnalité bien ordinaire.  Il y a chez elle une facilité qui facilite l’approche et la communication. Bien que Kalaya soit une femme aux traits âgés, sa maturité reste à déterminer. Sa jalousie de la vie est un de ses pires défauts, car bien qu’elle a la beauté et l’argent, il lui manque ce petit ‘,’je ne sais quoi ‘’. Étant la preuve vivante que la beauté ne veut rien dire. Appréciant toute fois son apparence et ne gêne pas pour le montré, cette jeune demoiselle n’a aucune gêne. Étant une femme d’une nature terre-à-terre, ses paroles seront directes. Son franc-parler laisse les gens de glace, mais en aucun moment elles ne deviendront blessantes. Car, bien que son côté réservé soit présent,Shin est une femme au grand cœur. Son entourage ou sa famille passera les premiers. Depuis ses premiers amours, la demoiselle a établi dans sa vie une pyramide qui n’est toujours pas passée à l’histoire. Vous savez monument historique ? Dans ce bâtiment égyptien imaginaire, on retrouve au sommet sa famille suivie de ses amis, son conjoint, ainsi de suite. Cet aspect peut paraitre irréssemblable, mais à tout moment elle vous répondra simplement ‘’ des petits amis, ça se trouve partout ! Mais, des véritables amis non’’. Bien quand en amour, elle ne soit pas la meilleure. Très conservatrice, l’amour est un sentiment secondaire chez elle.  Laya de son surnom, croit que l’amour est un sentiment que deux bons amis ont entre eux. Ce sentiment est infecté par le désir sexuel et le besoin de l’avoir toujours près de nous. Il faut dire cette fausse diva est une femme très peu romantique préférant rester elle-même et ne pas jouer les innocentes. Son corps réagit avec la cellule s’étant développée en elle.  La Coréenne sera chaleureuse, attachante, souriante, une petite joie de vive. Cependant la crainte de se faire tromper ou délaisser la submergera à la première chicane ou parole blessante. Des paroles blessantes qui feront sortir en elle une violence qu’on n’aurait jamais crûrent. Bagarreuse et fêtarde, l’alcool ne lui fait pas un bon mélange. Sa capacité à boire n’a pas de limite, mais sa patiente disparait peu à peu. Une patiente qu’on lui facilite d’avoir normalement.

Malgré ses défauts et qualités, cette frimousse reste quelqu’un ordinaire appréciant les dépenses monstrueuses dans les vêtements de luxe. À ses yeux l’apparence compte énormément. On ne la verra jamais au grand jamais sortir son maquillage ni vêtement griffer. Ce qui lui veut le second surnom de Dash Girl. Comique non ? Ses patrons ne cessent de la critiquer lorsqu’ils la voient arriver de vêtement coûteux.  Acheteuse compulsive, elle a même dû transformer une chambre d’invité en garde de robe ! (Chez ses parents.) Certes, les tissus ne sont pas bons marcher, mais les centres d’entraînements non plus.  Ne supportant pas d’avoir un surpoids, elle s’entraîne quarante-huit heures par semaine, commençant par un jogging à cinq heures le matin. Il faut dire que son alimentation est très stricte. Végétarienne, elle ne mange aucune viande ou substitue, mais elle dévore les friandises sucrées comme un loup devant un steak saignant.

À cheval sur ses principes, la Coréenne ne laisse son travail derrière elle et aime vivre une vie normale avec ses amis. L’avoir auprès de vous est une chance comme une malchance !
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« Kalaya, mon enfant chérie ! Écoute cette tendre histoire et laisse-toi porté par la rivière des rêves. Laisse le courant te prendre en lui pour te transporter vers les lieux divins. Cette histoire ma tendre princesse, commença d’une drôle de manière. Son récit n’a rien de scandaleux, mais cache derrière ses portes recouvertes d’or un conte bien féerique. Tu ne sais peut-être pas encore, mais ce monde ne comporte pas de fées, de sorcières ou de preux chevalier. Lorsque nous naissons, nous ouvrons une nouvelle page à la vie. Cette page n’a ni ne tache d’ancre ni même une image. Ce n’est que lorsque tes paupières s’ouvre pour la première fois qu’une main débutera le récit de la vie et celui-ci ma petite n’appartient cas une personne. Et ce livre qui vient d’ouvrir t’appartient. Tu seras maîtresse de ta destinée. Maintenant, ouvre les yeux et commence à attendre ton histoire une seconde à la fois. »

Je suis ce qu’on appelle un enfant non désiré. On ne m’a jamais vraiment dit que ma venue au monde était le choix de mes parents. Mais il s’agirait d’une aventure maîtresse et époux. Un couple qui n’aurait jamais dû toucher aux désirs de la tendresse. Un simple regard, des paroles charmantes qui s’échangèrent et un lit tentateur. Il n’a fallu qu’un simple frôlement de peau, pour ressentir les frissons pècheresse. Celui qui nous charme en se propageant en nous. Des lèvres exploratrices, des mains chaleureuses et des paroles anguleuses capturas su captiver cette jeune étudiante thaïlandaise. Ne pouvant résister à un tel charme, elle succomba à sa stupidité. Se laissant ainsi capturer par un jeu malicieux. Telle une flèche prête à partir, la femme devient le jouet de cet homme à la carrure importante. Pilier de l’ingénierie sud-coréenne. Se dévouant à l’homme dont le destin empêchait sa tendre épouse de pouvoir fertilisé. Elle vécut ainsi pendant dix longues années, se cachant de tous en ignorant qui elle était. Devant l’esclave d’un homme n’éprouvant qu’un simple désire, une femme différente de la sienne. À ses yeux, elle n’avait rien de bien magnifique. Lamai eu la malchance de laisser dieu lui offrir un cadeau empoisonné. Son ventre grossit, les douleurs apparurent, les émotions divaguaient. Son corps ne lui appartenait plus. Ce n’est qu’au bout de neuf mois qu’elle se libéra de la malédiction. Un mauvais sort qui lui arriva sur bout de papier. En échange d’une somme d’argent, l’Asiatique devait délaisser son enfant et élever le bambin comme nourrice. Comment refuser, il n’y avait rien ni personne pour la soutenir financièrement. D’un mouvement agité, cette pauvre femme signa son arrêt de mort.

Une signature qui me fit refasse à mes seize ans, un bout de papier retrouvé auprès d’un corps soulevé au bout d’une poutre de métal. Son corps se balançait de gauche à droite. Comme-ci rien n’était. Cette femme qui m’avait élevé comme nounou venait de s’enlever la vie, mais venait de me déclarer qu’elle était ma véritable mère. Mon cœur serrait, aucune tristesse ne me vient. La déception m’envahit. Un désespoir qui ne me quitta pas. Ce sentiment naissant me fit grandir et évoluer. Prenant ainsi des chemins peu distingué. Laissant à mes dix-neuf un art me recouvrir, mon corps s’afficher pour le simple plaisir des yeux masculins. Il avait en moi ce plaisir de contrarier les gens. Je voulais être l’image contraire de ce qu’on attendait. Mais, les gamineries ne finesse peut-être pas. Car, aujourd’hui, je suis étudiante et ma vie de jeune adulte  à peine.