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Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back
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Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 3:15 Citer EditerSupprimer
Bae Bo Won
Tu es trop belle pour être gentille. C'est pourquoi tu détruis tout ce que tu touches.
#INGENIEUSE | #HAUTAINE | #CAPTIVANTE | #PIQUANTE | #SENSIBLE |
#ARROGANTE | #INDEPENDANTE | #IMPITOYABLE | #AUDACIEUSE | #IRONIQUE |
NOM : Bae. PRÉNOM : Bo Won. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 22 ans, née le 17 Mai 1992. ORIGINES : Coréennes. NATIONALITÉ : Coréenne. CLASSE SOCIALE : Au dessus, c'est l'soleil ♫. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle jusqu'à nouvel ordre, on peut toujours avoir une surprise. CURSUS UNIVERSITAIRE : 2ème année de Master en Sciences Politiques MÉTIER : Réceptionniste au Sheraton Cube City Hotel. Code du règlement : on change pas une équipe qui gagne
TU VEUX T'INVESTIR? :Hear me roaaar
“ Rumour has it : il paraît qu'elle s'est fait refaire les seins (f, c'est 100% naturel) + il paraît qu'elle est une "bâtarde", à savoir née d'une relation extra-conjugale (v) + il paraît qu'elle aime coucher à droite à gauche (f et va falloir être persévérant pour l'avoir au pieu) + on dit qu'elle est très proche de son père (v) + askip c'est une ancienne bully qui a traumatisé plusieurs filles de son ancien lycée (v) + il paraît que sa mère était une prostituée (f) et qu'elle l'a abandonné (f, on lui a retiré Bowon de force) + on dit qu'elle figure parmi les élèves les plus brillants de sa génération grâce à son Q.I élevé (v) + On dit d'elle qu'il vaut mieux l'avoir en amie qu'en ennemie (v). + il paraît que son père lui a appris à se battre à l'adolescence (v, ça sert d'avoir un papa boxeur)
TU VEUX T'INVESTIR? :
“ Rumour has it : il paraît qu'elle s'est fait refaire les seins (f, c'est 100% naturel) + il paraît qu'elle est une "bâtarde", à savoir née d'une relation extra-conjugale (v) + il paraît qu'elle aime coucher à droite à gauche (f et va falloir être persévérant pour l'avoir au pieu) + on dit qu'elle est très proche de son père (v) + askip c'est une ancienne bully qui a traumatisé plusieurs filles de son ancien lycée (v) + il paraît que sa mère était une prostituée (f) et qu'elle l'a abandonné (f, on lui a retiré Bowon de force) + on dit qu'elle figure parmi les élèves les plus brillants de sa génération grâce à son Q.I élevé (v) + On dit d'elle qu'il vaut mieux l'avoir en amie qu'en ennemie (v). + il paraît que son père lui a appris à se battre à l'adolescence (v, ça sert d'avoir un papa boxeur)
“ Caractère :
La fille plongée dans ses bouquins mais qui n'a rien de l'intello typique: Ah oui, Bo Won a un gros Q.I, mais elle n'a pas les grosses lunettes qui vont avec ou les chemisiers de mémé qui datent des années 60. Bo Won passe le plus clair de son temps entre les bouquins et les soirées. Deux extrêmes qu'il est encore difficile d'allier et pourtant miss Bae y arrive très bien. Fêtarde, mais studieuse. Vous me direz, comment elle fait pour aller en cours alors qu'elle s'est couchée à 5h du mat? On va dire qu'elle a la chance d'avoir un corps assez costaud pour survivre au rythme qu'elle lui fait subir. On se demande encore comment elle fait pour tenir... En tout cas, s'il y a bien une chose qu'on ne peut pas lui reprocher, c'est son côté bourreau de travail. Elle pourrait passer des jours entiers à bosser sur un dossier à rendre tant la miss est perfectionniste et intransigeante avec elle-même.
Une lady qui ne manque pas d'impulsivité pour castagner: ce qui est marrant chez Bowon, c'est le paradoxe qu'elle est à elle toute seule. Féministe pure et dure, elle aime prendre soin d'elle, s'habiller correctement et s'entretenir en faisant du sport. Une vraie femme quoi. Pourtant, elle perd vite son côté féminin quand il s'agit de se défendre ou de protéger quelqu'un. Peut-être parce qu'elle a longtemps été influencée par un père boxeur, Bo Won a un côté garçon manqué qui lui permet de ne reculer devant rien. Avec sa franchise légendaire et son côté ironique qui peut vous planter en deux secondes, elle représente une cible coriace et à abattre de toute urgence. Bobo se bat, n'a pas peur de dire ce qu'elle pense et peut aller jusqu'à parler mal, et c'est exactement pour ça que les gens préfèrent de loin l'avoir pour alliée que pour ennemie.
La surnommée "poison du diable" au lycée qui est devenue une fille posée: bon, faut savoir qu'avant tout, BBW c'était une plaie au lycée. Un enfer pour les professeurs et les élèves. Logiquement, les filles de son genre finissent à la rue parce qu'elles sont pas assez fut-fut pour aller plus loin dans leurs études. Pas Bo Won, elle était parmi les meilleurs élèves de son bahut sauf qu'elle était peut-être trop attachée à sa liberté et du coup elle se gênait pas pour écarter de son passage les têtes qu'elle n'aimait pas. Le poison du diable, c'est le surnom que lui donnaient les élèves qui la détestaient et qui ne se gênaient pas pour la critiquer ouvertement. En gros, personne ne l'aimait, elle n'aimait personne et tout le monde s'en contentait. Et le pire c'est qu'elle s'en foutait. Heureusement, la maturité a du bien et aujourd'hui, même si Bo Won garde ce côté impitoyable guidé par une certaine audace et son gros cerveau d'Einstein, elle est devenue une jeune femme sérieuse, qui sait où elle veut aller et comment s'y prendre. Une jeune femme mature, quoi. Il ne faut juste pas la titiller.
La menkiller à la sensibilité exquise qui fait craquer à peu près tous les mecs: étonnant n'est-ce pas! Pour une fille qui sait utiliser ses poings, elle ne manque pas de prétendants. Alors comment une fille comme elle peut avoir autant de succès? Ses gros seins? Ses belles jambes? Sûrement en fait. Mais ya aussi quelque chose que les garçons aiment chez elle: le fait qu'elle soit difficile, et qu'elle cache une sensibilité insoupçonnée sous ce caractère tout feu tout flamme. Il suffit de parler des sujets qui fâchent pour la voir péter un câble avant de finalement craquer. Les nerfs, c'est bien beau, mais au bout d'un moment, ça fait pleurer d'épuisement, et bien ça arrive souvent à BBW ça. Evidemment elle se débrouillera pour être cachée de tous à ce moment-là mais sachez qu'elle reste humaine et que comme tout être humain (et féminin) elle est fragile.
Ce qui pouvait vous arriver de pire dans votre vie, comme de meilleur: parce qu'il ne faut pas reculer en voyant ses airs hautains. Elle a autant de défauts que de qualités. Si elle est si difficile, c'est parce qu'elle a des vertues à protéger. Entrainez la dans vos délires sans avoir peur qu'elle vous regarde du genre "tu fais quoi là? Tu crois que je vais te suivre?", vous verrez qu'en fait, elle s'adapte bien et elle aime bien délirer. Elle n'est pas aigrie, loin de là, elle reste une fille de 22 ans, (bientôt 23) qui aime profiter de la vie et de ce que ça lui donne. Elle est là pour ses amis, c'est la vice présidente qui prend à coeur tout ce qui se passe au sein de sa fraternité et qui se fait appeler "Maman Pyo", donc bon, ce n'est pas pour rien... Elle a un petit côté protecteur qu'on aime et qu'on aime encore plus quand elle nous prend dans ses bras pour nous réconforter.
Une lady qui ne manque pas d'impulsivité pour castagner: ce qui est marrant chez Bowon, c'est le paradoxe qu'elle est à elle toute seule. Féministe pure et dure, elle aime prendre soin d'elle, s'habiller correctement et s'entretenir en faisant du sport. Une vraie femme quoi. Pourtant, elle perd vite son côté féminin quand il s'agit de se défendre ou de protéger quelqu'un. Peut-être parce qu'elle a longtemps été influencée par un père boxeur, Bo Won a un côté garçon manqué qui lui permet de ne reculer devant rien. Avec sa franchise légendaire et son côté ironique qui peut vous planter en deux secondes, elle représente une cible coriace et à abattre de toute urgence. Bobo se bat, n'a pas peur de dire ce qu'elle pense et peut aller jusqu'à parler mal, et c'est exactement pour ça que les gens préfèrent de loin l'avoir pour alliée que pour ennemie.
La surnommée "poison du diable" au lycée qui est devenue une fille posée: bon, faut savoir qu'avant tout, BBW c'était une plaie au lycée. Un enfer pour les professeurs et les élèves. Logiquement, les filles de son genre finissent à la rue parce qu'elles sont pas assez fut-fut pour aller plus loin dans leurs études. Pas Bo Won, elle était parmi les meilleurs élèves de son bahut sauf qu'elle était peut-être trop attachée à sa liberté et du coup elle se gênait pas pour écarter de son passage les têtes qu'elle n'aimait pas. Le poison du diable, c'est le surnom que lui donnaient les élèves qui la détestaient et qui ne se gênaient pas pour la critiquer ouvertement. En gros, personne ne l'aimait, elle n'aimait personne et tout le monde s'en contentait. Et le pire c'est qu'elle s'en foutait. Heureusement, la maturité a du bien et aujourd'hui, même si Bo Won garde ce côté impitoyable guidé par une certaine audace et son gros cerveau d'Einstein, elle est devenue une jeune femme sérieuse, qui sait où elle veut aller et comment s'y prendre. Une jeune femme mature, quoi. Il ne faut juste pas la titiller.
La menkiller à la sensibilité exquise qui fait craquer à peu près tous les mecs: étonnant n'est-ce pas! Pour une fille qui sait utiliser ses poings, elle ne manque pas de prétendants. Alors comment une fille comme elle peut avoir autant de succès? Ses gros seins? Ses belles jambes? Sûrement en fait. Mais ya aussi quelque chose que les garçons aiment chez elle: le fait qu'elle soit difficile, et qu'elle cache une sensibilité insoupçonnée sous ce caractère tout feu tout flamme. Il suffit de parler des sujets qui fâchent pour la voir péter un câble avant de finalement craquer. Les nerfs, c'est bien beau, mais au bout d'un moment, ça fait pleurer d'épuisement, et bien ça arrive souvent à BBW ça. Evidemment elle se débrouillera pour être cachée de tous à ce moment-là mais sachez qu'elle reste humaine et que comme tout être humain (et féminin) elle est fragile.
Ce qui pouvait vous arriver de pire dans votre vie, comme de meilleur: parce qu'il ne faut pas reculer en voyant ses airs hautains. Elle a autant de défauts que de qualités. Si elle est si difficile, c'est parce qu'elle a des vertues à protéger. Entrainez la dans vos délires sans avoir peur qu'elle vous regarde du genre "tu fais quoi là? Tu crois que je vais te suivre?", vous verrez qu'en fait, elle s'adapte bien et elle aime bien délirer. Elle n'est pas aigrie, loin de là, elle reste une fille de 22 ans, (bientôt 23) qui aime profiter de la vie et de ce que ça lui donne. Elle est là pour ses amis, c'est la vice présidente qui prend à coeur tout ce qui se passe au sein de sa fraternité et qui se fait appeler "Maman Pyo", donc bon, ce n'est pas pour rien... Elle a un petit côté protecteur qu'on aime et qu'on aime encore plus quand elle nous prend dans ses bras pour nous réconforter.
“ Once upon a time :
Bien démarrer dans la vie n'est pas donné à tous. Déjà, parce que ça ne dépend pas de vous. Vous n'êtes qu'un nourisson à ce moment là, qu'est-ce que vous pouvez changer de votre vie à cet instant? Ce sont vos parents qui donnent le ton et la couleur à votre vie à venir. Ainsi on peut déjà à peu près savoir si vous allez en baver ou si vous allez vous en sortir. J'aurais aimé vous dire que dès ma naissance, le soleil brillait sur mes horizons et que la vie me souriait. Mais ce n'était pas le cas.
Je m'appelle Bae Bo Won et je suis née le 17 Mai 1992 d'un accident survenu entre une jeune femme de 17 ans et un boxeur professionnel de 28 ans, fraîchement marié à une icone de la mode. Une tromperie, un scandale qui a été à l'origine de ma création. Ne me demandez pas comment il avait fait pour en arriver à mettre enceinte une fille de 17 ans, je n'ai jamais voulu le savoir. Et donc... Me voilà. Dans les bras de ma jeune mère, mais pas pour longtemps. Je pousse des cris si forts qui ma mère, si jeune, s'en inquiète. Elle est si naïve, elle ne comprend pas ce qui se passe et a encore du mal à réaliser qu'elle est mère. Même si les secondes en tant que mère lui sont comptées.
Mon père aurait aimé que ma mère puisse profiter de moi mais c'était sans compter sur mes grands-parents côté maternel qui avaient fermement refusé qu'elle me garde. Parce qu'elle avait encore la vie devant elle, ses études à terminer. Alors que mon père, de son côté, subissait une telle pression par sa femme et sa belle-famille qu'il était prêt à me renier histoire d'avoir la paix. J'avais seulement quelques heures, et j'étais déjà au coeur d'un problème. Personne ne voulait de moi. Sauf peut-être ma mère mais elle était mineure, alors elle était forcée d'écouter les ordres de ses parents.
L'issue fut simple. L'épouse de mon père accepta de m'élever, à contre coeur, et ainsi, je pus grandir dans un environnement que tout le monde m'enviera plus tard. Une magnifique villa dans la banlieue chic de Séoul avec un jardin et une belle chambre pour moi toute seule. Pourrie gâtée? A un détail près. Cette femme me détestait. Je n'étais qu'une bambine mais elle réussissait à agir tel le diable avec moi. Elle me privait de beaucoup de choses, comme de m'amuser avec des copines, ou de dessiner pendant que je n'avais rien d'autre à faire. Parfois, quand mon père n'était pas là et que j'étais seule avec elle, elle faisait exprès de ne pas me donner à manger histoire que je comprenne bien que ça la faisait chier de devoir élever l'enfant qui, à chaque fois qu'elle regardait dans ses yeux, lui rappelait qu'elle n'avait pas choisi le plus fidèle des maris. Quelle vie de merde quand j'y pense... Et le pire dans tout ça, c'est que deux ans après mon arrivée dans le foyer, elle tomba enceinte de mon père. C'était une fille, une petite soeur pour moi même si plus les années passaient, plus je me sentais loin d'elle parce que sa mère me faisait clairement comprendre que je n'avais rien à faire dans ce foyer.
Alors forcément, j'étais souvent l'objet de discordes entre mon père et cette mégère. Quand mon père se rendait compte des choses, il pétait les plombs sur elle. Il lui parlait comme un chien, l'envoyait chier. Puis m'embarquait avec lui et me menait manger dans un fast-food pour me faire plaisir. C'était pas une enfance exemplaire mais je n'étais pas malheureuse non plus, parce que j'avais mon père à mes côtés. Et ma petite sœur, de deux ans de moins que moi, qui m'aimait beaucoup.
Jusqu'à mes 12 ans, j'ai vécu dans ce que j'appelle une merde de situation familiale. Ma belle-mère me méprisait et ne s'en cachait plus. Quand nous sortions ensemble, elle ne me présentait pas comme étant sa fille ni la fille de son mari, mais plutôt comme une gamine égarée qu'elle avait recueilli par pitié. Un rejeton qu'elle détestait. Mon père le savait, et c'est ce qui les faisait se disputer à chaque fois. Une chance pour elle que j'étais encore innocente à cette époque, sinon, je l'aurais déjà mise plus bas que Terre. Enfin, j'étais déjà bien contente de savoir que c'était à cause de moi qu'ils ont fini par divorcer. Rien de plus jouissif que ça, maintenant que j'y pense.
Après le divorce, mon père et moi sommes partis vivre en centre-ville dans un grand appartement. Une vie de rêve, clairement. Je l'avais pour moi toute seule et j'étais la plus heureuse des filles. Même si son emploi du temps de boxeur professionnel lui prenait du temps... Je le voyais tous les week-end, sauf le Samedi soir où il partait disputer des matchs. Enfin il y avait des périodes entières de compétition où je ne le voyais pas beaucoup parce qu'il passait son temps à s'entraîner, et pendant ce temps là, je ne me rendais pas compte encore, mais je changeais. En mal.
Je crois qu'au fond, je lui en ai toujours voulu de ne pas avoir su m'élever comme un papa normal et disponible pour sa fille. Je lui en ai aussi voulu pour ma mère, car il avait jugé bon de m'expliquer ENFIN la vérité quand j'ai eu l'âge de comprendre. Et je pense que ça été un déclic pour moi. J'étais devenue le pire cauchemar de mon père et des élèves de mon école. Je suis passée du stade "victime" (parce que forcément, comme tous les intellos, j'étais mise de côté et moquée) au titre de bourreau officiel. Et ce, dès ma première année de lycée. Si mes années collège ont été pire que l'Enfer pour moi à cause du harcèlement donc j'avais été victime, le lycée fut, par dontre, ma période de reigne.Et quel règne!
Personne ne m'aimait et je n'aimais personne. Je n'avais besoin d'aucun de ces gens à mes côtés parce que j'étais en pleine crise d'ado. Une petite conne exécrable quoi. Je voulais être la meilleure et je voulais le rester, alors pour ça, j'avais fait en sorte de me débarrasser des meilleurs élèves du lycée en montant un gros canular contre eux. Et le pire, c'est que personne ne se doutait que j'étais derrière tout ça. Cela dit, personne ne venait me chercher des mouises, ils le savaient tous: il ne fallait pas se frotter à moi au risque de se retrouver pris dans une tourmente.
Des ennuis, j'en ai eu, et j'en ai causé aussi. Assez pour que mon père soit convoqué presque toutes les semaines. Au début, ça avait été difficile de le voir, il était toujours occupé, mais jusqu'au jour où le principal de mon lycée l'a appelé sous mes yeux et lui a dit ces quelques mots qui l'ont forcé à se bouger: "si vous ne venez pas à ce rendez-vous, alors l'avenir de votre fille est ruiné". Et mon père était venu. Pourquoi le principal avait dit ça? Parce que c'était maintenant ou jamais, mon père devait oublier un peu la boxe, ou du moins, me boxer moi. Me mettre un peu des baffes, histoire que je comprenne que je n'étais pas en terrain conquis ici. Et c'est ce qu'il a fait. Du coup, en faisant ça, il m'a permis d'apprendre à me battre, à me défendre, et à encaisser. C'est grâce à lui que je suis devenue une dure à cuire, une fille qui ne se laisse pas marcher sur les pieds mais qui, pire encore, rend les coups.
S'il savait seulement que de mes 16 ans à mes 18 ans, j'ai fréquenté des gens plus vieux que moi qui n'étaient pas très nets... Pour dire vrai, j'ai même fréquenté un garçon de 4 ans de plus que moi, qui était membre d'un gang et qui n'avait presque pas de "maison". Sa maison, c'était la rue. Du matin tôt au soir tard, il errait dans les rues de Séoul et c'est de cette façon qu'on s'est rencontré. Il venait de se battre juste devant mon lycée. Affalé sur un banc, j'étais venue m'asseoir pour attendre mon bus, et il m'avait demandé de partir. Pour une première rencontre, elle s'était faite sur une dispute. Nous ne sommes jamais sortis ensemble mais nous avions un lien particulier. Il était ma première fois, j'étais amoureuse, mais il m'a toujours rejeté, peut-être parce qu'il souhaitait me protéger de toutes ces affaires louches dans lesquelles il baignait. J'ai même, par curiosité, touché à la drogue pendant plusieurs mois, ce qui m'avait notamment coûté ma place dans le club de tennis que je fréquentais depuis mes 9 ans. Je m'en mords encore les doigts aujourd'hui.
J'ai cessé de voir ce garçon à la fin de mes années lycée. Quand tout est rentré dans l'ordre, et que je me suis rangé. J'ai obtenu mon diplôme, et j'ai monté un dossier pour entrer à la prestigieuse université de Yonsei, là où je voulais entamer des études de sciences politiques. C'est à cette même époque que mon père avait choisi de me laisser rechercher ma mère, car pour lui, il était normal, et naturel, que je la retrouve. Depuis mes 19 ans, je jongle entre les études et les recherches. Ma mère est en vie, quelque part dans le monde, mais je ne sais où. Le tort qu'a eu mon père fut de la laisser partir à l'étranger, de disparaître du pays sans laisser de traces et de ne pas demander de ses nouvelles à qui que ce soit. Dès le moment où lui et ma belle-mère m'ont accueilli chez eux, il y a eu une rupture entre eux. Ils ne se sont plus jamais revu ni même parlé. Il me répète encore aujourd'hui que s'il n'avait pas eu toute cette pression sur les épaules, il serait sûrement parti avec elle et moi, loin d'ici, car il était certain d'être amoureux de ma mère et certain de vouloir fonder une famille avec elle.
Quel gâchi...
Me voilà aujourd'hui, 22 ans, en deuxième année de master sciences politiques à Yonsei. Vice présidente d'une fraternité de petits beaux gosses appelés les Pyobeom. A la recherche de ma mère. De retour d'un voyage d'un mois aux Etats-Unis, poussée par l'envie de la retrouver. Je sais qu'un jour, j'y arriverai. Et ce jour-là, je serai comblée.
Je m'appelle Bae Bo Won et je suis née le 17 Mai 1992 d'un accident survenu entre une jeune femme de 17 ans et un boxeur professionnel de 28 ans, fraîchement marié à une icone de la mode. Une tromperie, un scandale qui a été à l'origine de ma création. Ne me demandez pas comment il avait fait pour en arriver à mettre enceinte une fille de 17 ans, je n'ai jamais voulu le savoir. Et donc... Me voilà. Dans les bras de ma jeune mère, mais pas pour longtemps. Je pousse des cris si forts qui ma mère, si jeune, s'en inquiète. Elle est si naïve, elle ne comprend pas ce qui se passe et a encore du mal à réaliser qu'elle est mère. Même si les secondes en tant que mère lui sont comptées.
Mon père aurait aimé que ma mère puisse profiter de moi mais c'était sans compter sur mes grands-parents côté maternel qui avaient fermement refusé qu'elle me garde. Parce qu'elle avait encore la vie devant elle, ses études à terminer. Alors que mon père, de son côté, subissait une telle pression par sa femme et sa belle-famille qu'il était prêt à me renier histoire d'avoir la paix. J'avais seulement quelques heures, et j'étais déjà au coeur d'un problème. Personne ne voulait de moi. Sauf peut-être ma mère mais elle était mineure, alors elle était forcée d'écouter les ordres de ses parents.
L'issue fut simple. L'épouse de mon père accepta de m'élever, à contre coeur, et ainsi, je pus grandir dans un environnement que tout le monde m'enviera plus tard. Une magnifique villa dans la banlieue chic de Séoul avec un jardin et une belle chambre pour moi toute seule. Pourrie gâtée? A un détail près. Cette femme me détestait. Je n'étais qu'une bambine mais elle réussissait à agir tel le diable avec moi. Elle me privait de beaucoup de choses, comme de m'amuser avec des copines, ou de dessiner pendant que je n'avais rien d'autre à faire. Parfois, quand mon père n'était pas là et que j'étais seule avec elle, elle faisait exprès de ne pas me donner à manger histoire que je comprenne bien que ça la faisait chier de devoir élever l'enfant qui, à chaque fois qu'elle regardait dans ses yeux, lui rappelait qu'elle n'avait pas choisi le plus fidèle des maris. Quelle vie de merde quand j'y pense... Et le pire dans tout ça, c'est que deux ans après mon arrivée dans le foyer, elle tomba enceinte de mon père. C'était une fille, une petite soeur pour moi même si plus les années passaient, plus je me sentais loin d'elle parce que sa mère me faisait clairement comprendre que je n'avais rien à faire dans ce foyer.
Alors forcément, j'étais souvent l'objet de discordes entre mon père et cette mégère. Quand mon père se rendait compte des choses, il pétait les plombs sur elle. Il lui parlait comme un chien, l'envoyait chier. Puis m'embarquait avec lui et me menait manger dans un fast-food pour me faire plaisir. C'était pas une enfance exemplaire mais je n'étais pas malheureuse non plus, parce que j'avais mon père à mes côtés. Et ma petite sœur, de deux ans de moins que moi, qui m'aimait beaucoup.
Jusqu'à mes 12 ans, j'ai vécu dans ce que j'appelle une merde de situation familiale. Ma belle-mère me méprisait et ne s'en cachait plus. Quand nous sortions ensemble, elle ne me présentait pas comme étant sa fille ni la fille de son mari, mais plutôt comme une gamine égarée qu'elle avait recueilli par pitié. Un rejeton qu'elle détestait. Mon père le savait, et c'est ce qui les faisait se disputer à chaque fois. Une chance pour elle que j'étais encore innocente à cette époque, sinon, je l'aurais déjà mise plus bas que Terre. Enfin, j'étais déjà bien contente de savoir que c'était à cause de moi qu'ils ont fini par divorcer. Rien de plus jouissif que ça, maintenant que j'y pense.
Après le divorce, mon père et moi sommes partis vivre en centre-ville dans un grand appartement. Une vie de rêve, clairement. Je l'avais pour moi toute seule et j'étais la plus heureuse des filles. Même si son emploi du temps de boxeur professionnel lui prenait du temps... Je le voyais tous les week-end, sauf le Samedi soir où il partait disputer des matchs. Enfin il y avait des périodes entières de compétition où je ne le voyais pas beaucoup parce qu'il passait son temps à s'entraîner, et pendant ce temps là, je ne me rendais pas compte encore, mais je changeais. En mal.
Je crois qu'au fond, je lui en ai toujours voulu de ne pas avoir su m'élever comme un papa normal et disponible pour sa fille. Je lui en ai aussi voulu pour ma mère, car il avait jugé bon de m'expliquer ENFIN la vérité quand j'ai eu l'âge de comprendre. Et je pense que ça été un déclic pour moi. J'étais devenue le pire cauchemar de mon père et des élèves de mon école. Je suis passée du stade "victime" (parce que forcément, comme tous les intellos, j'étais mise de côté et moquée) au titre de bourreau officiel. Et ce, dès ma première année de lycée. Si mes années collège ont été pire que l'Enfer pour moi à cause du harcèlement donc j'avais été victime, le lycée fut, par dontre, ma période de reigne.Et quel règne!
Personne ne m'aimait et je n'aimais personne. Je n'avais besoin d'aucun de ces gens à mes côtés parce que j'étais en pleine crise d'ado. Une petite conne exécrable quoi. Je voulais être la meilleure et je voulais le rester, alors pour ça, j'avais fait en sorte de me débarrasser des meilleurs élèves du lycée en montant un gros canular contre eux. Et le pire, c'est que personne ne se doutait que j'étais derrière tout ça. Cela dit, personne ne venait me chercher des mouises, ils le savaient tous: il ne fallait pas se frotter à moi au risque de se retrouver pris dans une tourmente.
Des ennuis, j'en ai eu, et j'en ai causé aussi. Assez pour que mon père soit convoqué presque toutes les semaines. Au début, ça avait été difficile de le voir, il était toujours occupé, mais jusqu'au jour où le principal de mon lycée l'a appelé sous mes yeux et lui a dit ces quelques mots qui l'ont forcé à se bouger: "si vous ne venez pas à ce rendez-vous, alors l'avenir de votre fille est ruiné". Et mon père était venu. Pourquoi le principal avait dit ça? Parce que c'était maintenant ou jamais, mon père devait oublier un peu la boxe, ou du moins, me boxer moi. Me mettre un peu des baffes, histoire que je comprenne que je n'étais pas en terrain conquis ici. Et c'est ce qu'il a fait. Du coup, en faisant ça, il m'a permis d'apprendre à me battre, à me défendre, et à encaisser. C'est grâce à lui que je suis devenue une dure à cuire, une fille qui ne se laisse pas marcher sur les pieds mais qui, pire encore, rend les coups.
S'il savait seulement que de mes 16 ans à mes 18 ans, j'ai fréquenté des gens plus vieux que moi qui n'étaient pas très nets... Pour dire vrai, j'ai même fréquenté un garçon de 4 ans de plus que moi, qui était membre d'un gang et qui n'avait presque pas de "maison". Sa maison, c'était la rue. Du matin tôt au soir tard, il errait dans les rues de Séoul et c'est de cette façon qu'on s'est rencontré. Il venait de se battre juste devant mon lycée. Affalé sur un banc, j'étais venue m'asseoir pour attendre mon bus, et il m'avait demandé de partir. Pour une première rencontre, elle s'était faite sur une dispute. Nous ne sommes jamais sortis ensemble mais nous avions un lien particulier. Il était ma première fois, j'étais amoureuse, mais il m'a toujours rejeté, peut-être parce qu'il souhaitait me protéger de toutes ces affaires louches dans lesquelles il baignait. J'ai même, par curiosité, touché à la drogue pendant plusieurs mois, ce qui m'avait notamment coûté ma place dans le club de tennis que je fréquentais depuis mes 9 ans. Je m'en mords encore les doigts aujourd'hui.
J'ai cessé de voir ce garçon à la fin de mes années lycée. Quand tout est rentré dans l'ordre, et que je me suis rangé. J'ai obtenu mon diplôme, et j'ai monté un dossier pour entrer à la prestigieuse université de Yonsei, là où je voulais entamer des études de sciences politiques. C'est à cette même époque que mon père avait choisi de me laisser rechercher ma mère, car pour lui, il était normal, et naturel, que je la retrouve. Depuis mes 19 ans, je jongle entre les études et les recherches. Ma mère est en vie, quelque part dans le monde, mais je ne sais où. Le tort qu'a eu mon père fut de la laisser partir à l'étranger, de disparaître du pays sans laisser de traces et de ne pas demander de ses nouvelles à qui que ce soit. Dès le moment où lui et ma belle-mère m'ont accueilli chez eux, il y a eu une rupture entre eux. Ils ne se sont plus jamais revu ni même parlé. Il me répète encore aujourd'hui que s'il n'avait pas eu toute cette pression sur les épaules, il serait sûrement parti avec elle et moi, loin d'ici, car il était certain d'être amoureux de ma mère et certain de vouloir fonder une famille avec elle.
Quel gâchi...
Me voilà aujourd'hui, 22 ans, en deuxième année de master sciences politiques à Yonsei. Vice présidente d'une fraternité de petits beaux gosses appelés les Pyobeom. A la recherche de ma mère. De retour d'un voyage d'un mois aux Etats-Unis, poussée par l'envie de la retrouver. Je sais qu'un jour, j'y arriverai. Et ce jour-là, je serai comblée.
Falco
laisse moi zoom zoom zen, dans ta benz benz benz
On peut s'passer des présentations quand même non? On ne me présente plus! Justine, 22 ans, grande gueule marseillaise et voilà
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼KIM AH YEONG (YURA, GIRL'S DAY) ✎ Bae Bo Won
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u191][b]▲[/b][/url]▼ <taken>KIM AH YEONG (YURA, GIRL'S DAY)</taken> ✎ Bae Bo Won
Invité
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 3:15 Citer EditerSupprimer
MOI D'ABORD
Jeon Min Ju
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (MODO)
Pseudo : kerushirei / she.
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 3:18 Citer EditerSupprimer
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graine de rockstar
won't pretend to be someone i'm not
i’ll be stayingtrue
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 3:40 Citer EditerSupprimer
JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM JTM
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 3:48 Citer EditerSupprimer
rebienvenue femme
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 4:16 Citer EditerSupprimer
QUEEN WONNIE THE MOST PERFECT AND FABULOUS. Je t'aime.
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 4:21 Citer EditerSupprimer
Reeeee à toi !
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 5:03 Citer EditerSupprimer
ahhhhh
re
re
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Re: Bae Bo Won v. 2 ► tell jesus the bitch is back | Jeu 9 Avr - 5:38 Citer EditerSupprimer
soeur t'envoie du paté
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+ GG tmtc tu sais les bails :$
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