nu ju won •• nomade.
Invité
Invité
nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 18:53 Citer EditerSupprimer
rumour has it
#PENSIF #DISTANT #INSATISFAIT #CRÉATIF #IMPULSIF
#SARCASTIQUE #SENSIBLE #MENTEUR #PROTECTEUR #RATIONALISTE
caractère
POUR UN PERSONNAGE INVENTÉ :
▲▼NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE) ✎ pseudo personnage
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE) ✎ pseudo personnage
nu ju won
CARTE D'IDENTITÉ DATE + ÂGE : 23/03/90, 25 ans ORIENTATION + STATUT : Indécis, célibataire ÉTUDES/MÉTIER : Master en Arts du spectacle dans les mains, pour finir comme serveur au café du coin TU VEUX T'INVESTIR ? : / |
rumour has it
Il oublie la réalité pour se plonger dans ses pensées, se noyer dans un monde imaginaire. Un monde qu’il contrôle, qu’il aime, qu’il admire. Le vent n’est plus froid, mais doux. C’est ainsi qu’il se perd. Oubliant toute temporalité. + S’abandonnant entre les notes, il s’évade. C’est son antidépresseur, sa bouée de sauvetage. On ne peut pas lui arracher cette passion, ce serait comme dérober son coeur, l’écraser, et le laisser pour mort. + Les règles et le monde commun, cela n’a jamais été pour lui. Il était mieux d’être une bizarrie, une chose étrange sans aucun sens, bien trop compliqué à définir. + Il aime les hommes, ces hommes indescriptibles. Depuis longtemps. Il l’a embrassé cette fille, il a couché avec cette fille, sans rien ressentir, sans rien aimer. Pis il l’a embrassé ce gars, il n'a pas couché avec ce gars, mais en un baiser il a ressenti plus d’émotions qu’elle n’aurait pu l'imaginer. C’était mal. Trop mal. On t’a brisé pour ta faute, on t’a battu pour ta faute. T'as saigné. Mais aujourd’hui encore, il se persuade que ce n’est qu’une fascination passagère. + Ju Won c’’est quelqu’un qui souffre, quelqu’un qui sourit, pour sourire, mais qui n’arrive même pas à s’en convaincre soi-même. Ce n'est pas de la tristesse. C’est de la haine. De la haine envers autrui, envers ceux qui l’ont détruite, et envers ce monde qui l’étouffe. + Il déteste les jeunes de nos jours, ces jeunes qui se baladent plus dans les réseaux sociaux que dans la rue. Ces jeunes qui jouent constamment un rôle pour suivre le troupeau. Ces jeunes qui pensent que vivre ce n’est qu’exister aux yeux des autres. + On le remarque souvent à cause de son physique, mais on fini bêtement par l'oublie, par sa transparence. + Il est strait edge, c'est à dire qu'il ne fume pas, qu'il ne boit pas, qu'il ne se drogue pas, et qu'il ne pratique pas d'acte sexuel sans sentiment.
caractère
La tête penché, le regard perdu et les pensées qui divagues, t’es là. T’attends que la mélodie quotidienne continue son rythme sans interruption. Elle est lassante cette mélodie, c’est toujours la même cette mélodie. Mais tu l’écoutes quand même, sans vraiment y faire attention.
Le monde tourne, t’es pas en son centre, tu le regarde, tu vois ces contons blancs dans le ciel, ce ciel bleu, parfois gris, parfois noir. Les lumières hautes que tu contemples, ton dos contre le tronc d’un arbre, c’est camles et le vent souffle. Pourtant…
Toi tu bouillones de l’interrieure, t’as ces envies, ces désires qui te démanges, le besoin d’hurler, d’ouvrir ton coeurs. Tu voudrais te défouler, sauter, ne plus imaginer l’interdit mais comaitre l’inderdit. Sauter par la fenêtre sans faire attention à la chute, embrasser cette fille tout en pansant à ce gars, et embrasser ce gars en pansant à cette fille. Parce qu’on s’en fout, parce que tu t’en fous, t’es jeune et t’as besoin de te sentir vivre à travers le risque.
Mais non.
Il doit y avoir cette façade, neutre, cet air posé sur ce visage qui n’est pas le tien
Le monde tourne, t’es pas en son centre, tu le regarde, tu vois ces contons blancs dans le ciel, ce ciel bleu, parfois gris, parfois noir. Les lumières hautes que tu contemples, ton dos contre le tronc d’un arbre, c’est camles et le vent souffle. Pourtant…
Toi tu bouillones de l’interrieure, t’as ces envies, ces désires qui te démanges, le besoin d’hurler, d’ouvrir ton coeurs. Tu voudrais te défouler, sauter, ne plus imaginer l’interdit mais comaitre l’inderdit. Sauter par la fenêtre sans faire attention à la chute, embrasser cette fille tout en pansant à ce gars, et embrasser ce gars en pansant à cette fille. Parce qu’on s’en fout, parce que tu t’en fous, t’es jeune et t’as besoin de te sentir vivre à travers le risque.
Mais non.
Il doit y avoir cette façade, neutre, cet air posé sur ce visage qui n’est pas le tien
One upon a time
CITATION × 4:30, la main dans le froc, les pensées divergent, le plaisir se dissipe. La tête penchée sur la nuit sombre, cherchant une once de clarté, mais ne pouvant y parvenir. Parce que le soleil a disparu, il ne paraîtra à nouveau que plus tard, comme à son habitude. Rien ne change, le quotidien reste le même. Et il se demande, si son plaisir ne peut qu’être que solitaire. Les jeunes baisent aussi facilement qu’ils respirent, les jeunes jouissent aussi facilement qu’ils chient. Mais pas lui. Pourtant, il pourrai aller dans ce bar dont il a déjà oublié le nom. Il pourrait y entrer et y réclamer un coup d’un soir. Comme ils le font tous. Mais pas lui. Pas lui parce que c’est pas comme ça qu’on couche. Coucher c’est transmettre. C’est pas comme ça qu’on aime. Il ne veut pas coucher, il ne veut pas aimer.
“ [...] Le premier jour, lorsque Dieu créa le ciel et la Terre ainsi que le soleil pour illuminer son univers, Satan créa le vide entre la Terre et les étoiles puis il plongea le monde dans les ténèbres.
Le deuxième jour, lorsque Dieu créa les océans et les rivières, Satan leur donna le pouvoir de se soulever pour engloutir la création de Dieu.
Le troisième jour, lorsque Dieu créa les arbres et les forêts, Satan créa le vent pour les abattre, et lorsque Dieu créa les plantes qui guérissent et qui apaisent, Satan en créa d’autres vénéneuses et armées de piquants.
Le quatrième jour, Dieu créa l’oiseau et Satan créa le serpent. Puis Dieu créa l’abeille et Satan le frelon. Et pour chaque espèce que Dieu créa, Satan créa un prédateur pour anéantir cette espèce. Puis lorsque Dieu dispersa ses animaux à la surface du ciel et de la Terre pour qu’ils s’y multiplient, Satan donna des griffes et des dents à ses créatures et il leur ordonna de tuer les animaux de Dieu.
Le sixième jour, lorsque Dieu décida que son univers était prêt à engendrer la vie, il créa deux esprits à l’image du sien qu’il appela homme et femme.
En réponse de ce crime des crimes contre l’ordonnancement des univers, Satan jeta un sortilège sur les âmes immortelles. Puis il sema le doute et le désespoir dans leur coeur et, volant à Dieu la destinée de sa création, il condamna à l’humanité qui allait naître de leur union. [...] “ l’évangile selon Satan.
Le regard sur ces quelques lignes il se demande, il se demande si son existence n’est que la suite d’une lutte. Si un quelconque destin le guide, le privant alors de toute liberté. Ne devenant qu’un pantin suivant un chemin écrit. Et si ses joies n’étaient provoquées que par Dieu, ses colères que par Satan, ses rires que par Dieu, ses larmes que par Satan. Sa vie ne devient alors qu’inutile. Le doux ne croit pas au paradis, en une terre sainte, où les anges chantent la tendresse, hurlent le bonheur. Mais il croît à l’enfer, en une terre damnée, où les hommes chantent le péché, hurlent le désir. Il y vit. Il vit dans ce monde de flammes et de cendres. Les paysages n’étant que brûlures, le vent, un souffle hardant, propageant sa douleur.
Le corps a l’aspect démembré, il pense à son enfance, faisant ressurgir les souvenirs enterrés. Seul. Seul sur ce banc, les autres autour, jouant, riant, ne daignant pas la regarder sous peine de cécité. Les amis c’est futile, on s’en lasse, on en change comme on change les rouleaux de pécu. Il était préférable de ne pas exister, au lieu d’exister aux yeux des autres. Papa, il aimait pas maman. Papa il trompait Maman, il écartait les cuisses des bonnes femmes qui le voulaient bien. Maman elle buvait, pensant que ça pouvait éteindre ses souffrances. Mais elle se trompait. Cela en faisait naître d’autres. Alors un jour, Ju Won, l’a vu partir, loin. Sans savoir où il allait, sans comprendre pourquoi il le laissait, lui qui disait l’aimer. Mais il lui a donné cette envie de musique, ce besoin de crier sa haine au monde entier, cette basse source de nostalgie. C’est sans doute cela qui l’a poussé, encore, et encore vers les cordes vibrantes et plus tard vers l’impact des caisses. Papa a disparu, en traversant la route il n’est jamais revenu. Edelweiss, il faisait des dessins pour lui quand il était gosse, puis il a écrit pour lui. Parce que Papa, il l’aimait.
Admirant ses bras recouverts d’encre il songe à ses peines. Quand Ju Won a grandi, il a commencé à aimer. Mais aimer c’était mal. Faut pas regarder les poitrines des filles, faut pas regarder les fesses des garçons, faut pas rougir devant le corps délicat des filles, faut pas rougir devant le corps dur des garçon. Il devait pas désirer les êtres d’Adam, parce qu’un pénis ça va avec un vagin, seulement un vagin. C’est maman qui le disait. C’est les autres qui le disait. Mais il comprenait pas. Alors il devait subir, être puni, parce qu’il n’était pas normale. Sa peau crème, recouverte d’un beau bleu violine, sa bouche marquée d’un rouge profond, ses yeux transpirant l’eau de son corps. Oh, douce violence, tu as fait de lui ton enfant.
Le monde n’était pas beau, il ne l’est toujours pas. Comme Papa il devait partir, découvrir l’horizon qui se cachait derrière sa fenêtre. Les mains dans les poches, les pieds sur la route, le regard porté vers la recherche du sens de sa vie. Il était temps. Temps d’abandonner, de virer le beau monde pour en découvrir un autre, un inconnu.
Mais ce n’était qu’un rêve.
La réalité en est autrement.
u Won avait une obligation, une obligation qui raisonnait amèrement dans sa bouche. A l’école il était loin d’être le dernier de la classe, et ce tout en contemplant les tables usées du fond de la salle. Rien, il ne faisait rien, ou du moins rien de nécessaire, rien ne l'intéressait, et pourtant ses capacités n’étaient pas à discuter.
Sa vie, en sortant du lycée il la voyait comme une vagabond sur la route, sans ordre. Maman elle voulait pas, sans doute trop orgueilleuse pour laisser son fils passer devant ses facilités. L’université ou la boutique familiale.
C’est ainsi qu’il quitta le domicile pour poursuivre de prestigieuses et inutiles études.
Il y songe à cette décision qu’il a pris il y a déjà quelque temps. Il aurait dû dire non, il aurait dû partir du jour au lendemain, laissant l'obscurité entourer sa génitrice.
Aujourd’hui, ses diplômes ne lui servent pas, il continue sa misérable vie quotidienne, servant tantôt des cappuccino, tantôt des pâtisseries trop sucrées. L’esprit coincé dans un corps trop souriant, dévoilant un air aimable aux allures hypocrites. Ce n’est pas de cette manière qu’il voulait vivre.
Ju Won voulait juste être nomade.
“ [...] Le premier jour, lorsque Dieu créa le ciel et la Terre ainsi que le soleil pour illuminer son univers, Satan créa le vide entre la Terre et les étoiles puis il plongea le monde dans les ténèbres.
Le deuxième jour, lorsque Dieu créa les océans et les rivières, Satan leur donna le pouvoir de se soulever pour engloutir la création de Dieu.
Le troisième jour, lorsque Dieu créa les arbres et les forêts, Satan créa le vent pour les abattre, et lorsque Dieu créa les plantes qui guérissent et qui apaisent, Satan en créa d’autres vénéneuses et armées de piquants.
Le quatrième jour, Dieu créa l’oiseau et Satan créa le serpent. Puis Dieu créa l’abeille et Satan le frelon. Et pour chaque espèce que Dieu créa, Satan créa un prédateur pour anéantir cette espèce. Puis lorsque Dieu dispersa ses animaux à la surface du ciel et de la Terre pour qu’ils s’y multiplient, Satan donna des griffes et des dents à ses créatures et il leur ordonna de tuer les animaux de Dieu.
Le sixième jour, lorsque Dieu décida que son univers était prêt à engendrer la vie, il créa deux esprits à l’image du sien qu’il appela homme et femme.
En réponse de ce crime des crimes contre l’ordonnancement des univers, Satan jeta un sortilège sur les âmes immortelles. Puis il sema le doute et le désespoir dans leur coeur et, volant à Dieu la destinée de sa création, il condamna à l’humanité qui allait naître de leur union. [...] “ l’évangile selon Satan.
Le regard sur ces quelques lignes il se demande, il se demande si son existence n’est que la suite d’une lutte. Si un quelconque destin le guide, le privant alors de toute liberté. Ne devenant qu’un pantin suivant un chemin écrit. Et si ses joies n’étaient provoquées que par Dieu, ses colères que par Satan, ses rires que par Dieu, ses larmes que par Satan. Sa vie ne devient alors qu’inutile. Le doux ne croit pas au paradis, en une terre sainte, où les anges chantent la tendresse, hurlent le bonheur. Mais il croît à l’enfer, en une terre damnée, où les hommes chantent le péché, hurlent le désir. Il y vit. Il vit dans ce monde de flammes et de cendres. Les paysages n’étant que brûlures, le vent, un souffle hardant, propageant sa douleur.
Le corps a l’aspect démembré, il pense à son enfance, faisant ressurgir les souvenirs enterrés. Seul. Seul sur ce banc, les autres autour, jouant, riant, ne daignant pas la regarder sous peine de cécité. Les amis c’est futile, on s’en lasse, on en change comme on change les rouleaux de pécu. Il était préférable de ne pas exister, au lieu d’exister aux yeux des autres. Papa, il aimait pas maman. Papa il trompait Maman, il écartait les cuisses des bonnes femmes qui le voulaient bien. Maman elle buvait, pensant que ça pouvait éteindre ses souffrances. Mais elle se trompait. Cela en faisait naître d’autres. Alors un jour, Ju Won, l’a vu partir, loin. Sans savoir où il allait, sans comprendre pourquoi il le laissait, lui qui disait l’aimer. Mais il lui a donné cette envie de musique, ce besoin de crier sa haine au monde entier, cette basse source de nostalgie. C’est sans doute cela qui l’a poussé, encore, et encore vers les cordes vibrantes et plus tard vers l’impact des caisses. Papa a disparu, en traversant la route il n’est jamais revenu. Edelweiss, il faisait des dessins pour lui quand il était gosse, puis il a écrit pour lui. Parce que Papa, il l’aimait.
Admirant ses bras recouverts d’encre il songe à ses peines. Quand Ju Won a grandi, il a commencé à aimer. Mais aimer c’était mal. Faut pas regarder les poitrines des filles, faut pas regarder les fesses des garçons, faut pas rougir devant le corps délicat des filles, faut pas rougir devant le corps dur des garçon. Il devait pas désirer les êtres d’Adam, parce qu’un pénis ça va avec un vagin, seulement un vagin. C’est maman qui le disait. C’est les autres qui le disait. Mais il comprenait pas. Alors il devait subir, être puni, parce qu’il n’était pas normale. Sa peau crème, recouverte d’un beau bleu violine, sa bouche marquée d’un rouge profond, ses yeux transpirant l’eau de son corps. Oh, douce violence, tu as fait de lui ton enfant.
Le monde n’était pas beau, il ne l’est toujours pas. Comme Papa il devait partir, découvrir l’horizon qui se cachait derrière sa fenêtre. Les mains dans les poches, les pieds sur la route, le regard porté vers la recherche du sens de sa vie. Il était temps. Temps d’abandonner, de virer le beau monde pour en découvrir un autre, un inconnu.
Mais ce n’était qu’un rêve.
La réalité en est autrement.
u Won avait une obligation, une obligation qui raisonnait amèrement dans sa bouche. A l’école il était loin d’être le dernier de la classe, et ce tout en contemplant les tables usées du fond de la salle. Rien, il ne faisait rien, ou du moins rien de nécessaire, rien ne l'intéressait, et pourtant ses capacités n’étaient pas à discuter.
Sa vie, en sortant du lycée il la voyait comme une vagabond sur la route, sans ordre. Maman elle voulait pas, sans doute trop orgueilleuse pour laisser son fils passer devant ses facilités. L’université ou la boutique familiale.
C’est ainsi qu’il quitta le domicile pour poursuivre de prestigieuses et inutiles études.
Il y songe à cette décision qu’il a pris il y a déjà quelque temps. Il aurait dû dire non, il aurait dû partir du jour au lendemain, laissant l'obscurité entourer sa génitrice.
Aujourd’hui, ses diplômes ne lui servent pas, il continue sa misérable vie quotidienne, servant tantôt des cappuccino, tantôt des pâtisseries trop sucrées. L’esprit coincé dans un corps trop souriant, dévoilant un air aimable aux allures hypocrites. Ce n’est pas de cette manière qu’il voulait vivre.
Ju Won voulait juste être nomade.
scarecrow … J’aime pas cette partie je sais jamais quoi dire. Bon, j’aime la pizza, je trouve que c’est important ça en fait. Eu. Ouais! Si je suis là c’est à cause, ouais à cause et pas grâce (hehe de l’amour ♥), à.. Rokuhara Miharu, donc Miharu, ou Mimi, ou comme vous voulez. Comme je le disais je suis pas douée, et je suis Batman donc dévoiler mon identité c’est pas le top. PS : et j’aime bien les canards unijambistes si ça intéresse quelqu’un. PS2 (comme la console) : Non je me suis pas lavée sous les bras, le savon c’est trop politiquement incorrecte. |
▲▼
- Code:
[url=http://LIENVERSTONPROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</taken> ✎ pseudo personnage
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼
- Code:
[url=http://LIENVERSTONPROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://LIENVERSLEPVPRIS]▼[/url] <taken>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</taken> ✎ pseudo personnage
MADE BY LIGHTLESS.TCHI
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 18:54 Citer EditerSupprimer
t'avais dcd, j'ai faillis pleurer ma vie :((
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 19:00 Citer EditerSupprimer
ROCK'N'ROLL MEEEEEEEEEEEC !!!
T'es revenu d'entre les morts, c'est classe
T'es revenu d'entre les morts, c'est classe
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 19:00 Citer EditerSupprimer
OH MON DIEU EST-CE QUE JE VIENS JUSTE DE TE SUPPRIMER ? JE SUIS TELLEMENT DESOLEEEEE OMG OMG OMG OMG JE VOULAIS TE METTRE TON RANG ET ... J'AI DU TE SUPPRIMER A LA PLACE PTN MAIS J'SUIS TROP CONNE JE SUIS TELLEMENT DESOLEE
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 19:03 Citer EditerSupprimer
Bah en fait..
Le joker a essayé de se débarrasser de moi,
mais Batman est immortelle
...
Nana, t'excuse pas, c'est une erreur comme une autre
Pis je suis de retour hehehehehe
Le joker a essayé de se débarrasser de moi,
mais Batman est immortelle
...
Nana, t'excuse pas, c'est une erreur comme une autre
Pis je suis de retour hehehehehe
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 19:05 Citer EditerSupprimer
je te donne 50pts parce que j'suis trop une bouse
welcome back * fait comme si de rien n'était :04: *
welcome back * fait comme si de rien n'était :04: *
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 19:10 Citer EditerSupprimer
Arrête de t'excuser c'est vraiment pas grave euuuu ><
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 19:15 Citer EditerSupprimer
C'est moi qui me suis fait grugé, cette fois ..
Enfin bienvenue
Invité
Invité
Re: nu ju won •• nomade. | Jeu 23 Juil - 20:04 Citer EditerSupprimer
J'ai pas tout pigé ... mais rebienvenue !!!
Contenu sponsorisé