NOM : Nakamura. PRÉNOM : Kazuya. ÂGE : 23 ans. ORIGINES : Australienne de ma mère et Japonaise de mon père. NATIONALITÉ : Japonaise. CLASSE SOCIALE : Aisée. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. CURSUS UNIVERSITAIRE : Master en biologie et doctorat en pharmacie et recherche. MÉTIER : aide bénévolement dans la pharmacie du  coin. Code du règlement : baymax TU VEUX T'INVESTIR? : Toujours mes petits bleus

“ Rumour has it :J’ai assassiné quelqu’un (Faux, J'ai peut etre une tête de truand ou celle des mauvais jour, mais je n'ai encore tué personne) + j'ai un casier judiciaire. (Vrai. Je deviens facilement violent quand j'ai bu et je me suis déjà retrouvé plusieurs fois impliqué dans des bagarres, sans parler les insultes à agent.) +Je me suis déjà tapé une prostituée. (Faux. J'ai assez d'argent pour faire tomber n'importe quelle femme à mes pieds. Je n'ai pas besoin de m’abaisser aux prostituées.) + je fais peur à certain avec mon regard de tueur, au point qu'ils se sentent menacé de mort. (Vrai et faux. Je leur lance mon regard pour qu'on me foute la paix, mais j'ai autre chose à foutre qu'aller leur botter le cul.)+ma passion est la moto et j'en ai toute une collection dans mon garage (Vrai. J'aime bossé sur ces machines, ca a le don de me calmer)+j'aurais déjà gagné une course de motocross quand j'étais plus jeune. (Vrai. J'adorais cette liberté, mais depuis que je suis en Corée, mon père m'a confisqué mes bécanes de course, car je lui ai fait perdre une somme astronomique à la bourse. Ce qu'il ne sait pas, c'est que j'ai continue mes courses clandestinement en ville, la nuit.) + j'adore les films et les jeux vidéos (Vrai, surtout les marvel ) + Je ne quitte jamais la maison sans une tonne de sucreries (Faux. Mais ne toucher pas à mes cookies et à ma barre de milka bien rangée dans mon sac ou je fais un scandale. Et vous avez pas envie ! croyez-moi! ) + J'aurais des tatouages cachés sur tout le corps. (Faux. J'en ai un dans le cou et un dans le dos.)+ Je fumes tout et n'importe quoi. (Faux. Je fume comme un dragon, c'est vrai, mais que des cigarettes. Et il m'arrive de toucher à la drogue, mais de bonne qualité.) + Je serais un fils à papa. (Vrai. Et je n'ai pas peur de jeter l'argent facilement par les fenêtres.)+ J'ai une photo de ma mère biologique quand elle avait mon âge dans mon portefeuille. On croit souvent que c'est ma petite amie.

“ Caractère :
TEMERAIRE. Il fonce facilement dans le tas, sans parfois trop réfléchir. Ce qui est contradictoire, car le jeune homme à une intelligence au-dessus de la moyenne, lui permettant d’avoir des notes excellentes aux études sans aucune difficulté. Peut-être que ce trait de caractère est une façon pour lui de décompresser et de se déconnecter de ce qu’il est vraiment et ce dont on attend de lui. Il n’est pas rare de le voir se mettre en danger en commettant certains actes par simple pulsion.

MANIPULATEUR et JOUEUR. Il aime jouer avec les gens, que ce soit de pousser une personne à faire ce don il a envie, ou parce qu’il s’ennuie à mourir et cherche une distraction ou encore, que ce soit de faire tomber une personne amoureuse de lui, dans tous les cas, il aime faire tourner son entourage en bourrique. Et quand il a décidé quelque chose, il arrive toujours à ses fins. Quitte à se faire passer pour un goujat ou un enfoiré, ce genre de situation l’amuse au plus haut point.

VIOLENT ET DESTRUCTEUR. Il ne lève pas la main sur les gens aussi facilement que l’on pourrait le croire. Il faut pour cela qu’on l’ait déjà bien énervé. Et il est souvent sous l’effet de l’alcool quand cela se passe, se laissant emporter facilement, alors mieux vaut ne pas trop le chercher. Par contre, si on l’analyse bien, on comprendra qu’il se met lui-même des bâtons dans les roues quand il est trop heureux, comme si quelque chose l’empêchait de l’être complétement, ayant déjà mis plus d’une fois une histoire d’amour en péril pour la réduire à néant. Il se reproche quelque chose dont il n’a jamais parlé à personne. Ce qui le pousse à détruire son propre bonheur…

SEDUCTEUR. Il aime le plaisir de la chair, c’est indéniable. Souvent, il prend et il jette. Bien qu’il y a de rares exceptions quand il s’agit d’une personne à qui il tient un minimum et qu’il ne veut pas voir disparaitre de sa vie aussi vite.

FETARD, RIEUR, et TOUCHE A TOUT. C’est un esprit vif, qui n’a pas de passion proprement dite à par les motos peut être. Il aime toucher un peu à tout. Son esprit a besoin d’apprendre de nouvelles choses sans arrêt. Il pourrait se trouver un jour une envie irrésistible pour la vie occidentale, le lendemain pour la poterie et le surlendemain, pour la voyance. Il est ouvert à tout, ne laissant rien de côté. Il ne le fait qu’une fois y avoir jeté un coup d’œil et voir si ca lui plait ou non. Il a aussi le rire facile. Raconter lui une bonne blague ou tomber dans la rue, et le voilà à rire aux éclats, sans aucune retenue, sans se cacher. C’est aussi un fêtard. Il aime sortir. On ne lui enlèvera pas cette particularité.  

GRAND GARÇON, PROTECTEUR, FRAGILE, TACTILE, et DOUX. Ce genre de comportement lui doit une mauvaise réputation et par ce fait, il a peu d’amis qui l’entourent. Pourtant, quand on le connait bien, le jeune homme peut être une toute autre personne. Bien plus fragile, il a besoin d’affection. Celle qui n’a jamais eu par ses parents. Il cherche là où il peut en trouver, mais ce n’est pas toujours évidemment. Il a beaucoup de défauts qui le rendent maladroit dans l’affirmation de ses sentiments et émotions. S’il vous fait souffrir, il ne le fera sans doute pas intentionnellement, culpabilisant à la seconde même où les mots auront franchis ses lèvres. Et par ce fait, il ne donne pas facilement sa confiance à autrui, mais une fois qu’on l’a acquis, il n’y a pas plus fidèle et loyal ami que lui. Il devient aussi doux qu’un agneau, presque comme un petit enfant perdu dans le pays de Peter Pan. A cet instant, il deviendra tactile, réclamant une grande partie de votre attention, nuit et jour, allant jusqu’à vous faire chier pour que vous cédiez sous ses caprices. Il deviendra aussi protecteur avec vous sans que vous n’ayez rien demandé à personne. Enlevé lui une personne à qui il tient et tout son monde est dépeuplé. Il peut passer du gentil chien domestique à Cerbere en un éclair avec une même personne. Alors réfléchissez bien avant de lui faire un coup bat. Tout cela fait de lui qui il est, un grand enfant dans le fond.

“ Once upon a time :Ma vie n’a rien d’exceptionnelle. Enfin, ca dépend des points de vue. Si je devais commencer par quelque part, sans doute serait-ce par ma naissance, comme toute histoire. Pas très original n’est ce pas ? Je ne cherche pas à l’être non plus. C’est donc le 27 octobre 1992 au Japon que j’ai vu le jour. Cela aurait pu être un jour heureux, mais c’était loin de l’être. Surtout pour mon père. Il avait eu un fils, pourquoi serait-il triste ? Car ma mère avait donné ses dernières forces pour me donner naissance, peut-être ? Il avait troqué la femme de sa vie pour un enfant qu’il connaissait à peine. Une vie contre une mort. Comme si le destin avait décidé de reprendre ses règles universelles à cet instant précis. C’est dans cette ambiance un peu morbide que je vécus mes premiers jours. Entre enterrement et baptême, la famille ne s’était jamais réunie aussi souvent en si peu de temps. A l’époque, j’étais encore bien trop jeune pour me rendre compte de quoi que ce soit. Et c’était sans doute mieux ainsi.

Jusqu’à cinq ans, j’avais grandis avec l’habitude de ne voir ni mon père, ni ma mère. L’un étant toujours au travail ou en voyage d’affaire et l’autre veillant sur moi du ciel. Je pensais que c’était normal pour un enfant de vivre loin de ses parents. Je compris que ce n’était pas le cas quand les enfants de maternel me traitaient différemment, car je n’avais personne. Je les enviais parfois, les observant de sous le préau, attendant que mon père passe me chercher à mon tour. Ils couraient vers leur famille, qui les prenait dans leur bras. C’est à partir de cet instant que je compris. Je compris que je n’étais pas comme eux. Et que je me mis à penser que mon père ne m’aimait peut-être pas. La seule personne qui s’occupait de moi et qui veillait sur moi, me faisant mes plats préférées, me lisait une histoire avant de m’endormir, me bordait, me berçait … et c’était une étrangère que je considérais comme ma seule famille : une jeune gouvernante que je surnommais Nana. Elle était comme ma mère et je me souviendrais toujours le jour où on m’arracha à elle. Mon père avait décidé de se remarier. Il me disait que j’allais enfin avoir une vraie maman, qui prendrait soin de moi. Mais je n’en voulais pas. Je hurlais, pleurais apres Nana. On essayait de me faire taire avec des fessées qui ne faisaient qu’amplifier mes pleures. Ca dura des jours avant que je ne comprenne qu’on ne me la rendrait pas. Plus calme, je pris conscience de la nouvelle famille qui m’entourait. J’avais une petite sœur plus jeune que moi, une femme se faisait passée pour ma mère aux habitudes et manies bien étranges, et un frère dont je ne vis pas le visage. J’étais perdu et pris difficilement mes marques dans cette nouvelle maison, passant le plus clair de mon temps enfermé dans ma chambre.

En grandissant, je trouvais cette nouvelle mère de plus en plus bizarre, et la fille, n’était parfois pas beaucoup mieux, mais avait l’art d’attiser ma curiosité. A l’école, j’étais bon élève pour ne pas dire le meilleur de la classe. Pourtant, j’étais aussi le plus turbulent. Il m’arrivait souvent de me bagarrer ou d’insulter mes camarades de classe lors de l’adolescence, manquant royalement de respect envers mes professeurs. Je me retrouvais souvent coller après les cours, sans que ca ne change quoi que ce soit. Je me faisais réprimander par ma pseudo-mère, alors que mon père s’en fichait comme de l’an quarante. Elle avait beau me dire ce qu’elle voulait, sa fille ne valait pas mieux dans le genre, peut-être était-ce qui me poussait aussi à agir de la sorte. Bien qu’au fond de moi, je savais pertinemment pourquoi j’agissais ainsi, je voulais juste attirer l’attention de mon père qui n’en avait rien à faire de son fils. Juste avant d’entrer à l’université, je décidais de changer de tactique. Vu que la rébellion de marchait pas, je me mis à étudier comme un dingue, pétants les scores encore jamais atteints par ma personne. Je voulais qu’il soit fier de moi à défaut de ne pas me donner son affection. Je rentrais donc à Todaï sans trop de difficulté, entamant un cursus en biologie. Ma réussite n’avait pas eu les effets escomptés sur mon père. J’étais plus que déçu, mais je décidais de ne pas mettre mon avenir en péril pour lui. Bien que les vieilles habitudes reviennent bien vite, commençant à sortir avec plusieurs femmes à la fois,  j’eus mon master en biologie.

A peine mon diplôme en poche, je me fis expatrier par la famille à Séoul sans trop comprendre le comment du pourquoi. Je les suivis docilement. Un exploit pour moi. Et je décidais de commencer un doctorat en pharmacie et recherche. Ma vie commençait à peine. J’avais encore tant de choses à découvrir…