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kim sian ✿ bittersweet
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kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 17:29 Citer EditerSupprimer kim sian
nightingale
a tiny buttefly flapping its wings today may lead to a devastating hurricane weeks from now
#attachante | #manipulatrice | #tactile | #impulsive | #enjôleuse |
#aventurière | #tête en l’air | #généreuse | #possessive | #party animal |
NOM : kim. rien de plus banal. PRÉNOM : sian. son deuxième prénom est lullaby, souvent réduit à lulla. ÂGE : 23 ans, née le 19 novembre. ORIGINES : papa coréen, maman canado-australienne. NATIONALITÉ : seulement coréenne, puisqu’elle y est née. CLASSE SOCIALE : entre moyenne et aisée. ORIENTATION SEXUELLE : elle se cherche beaucoup. elle ne fait pas de distinction entre les sexes lorsqu’il s’agit d’amour. CURSUS UNIVERSITAIRE : 4e année en médecine. MÉTIER : elle travaille pour une ligne érotique. le nom qu'elle utilise au travail est, justement, lullaby. Code du règlement : baymax ET JE DOIS VOIR CE FILM TU VEUX T'INVESTIR? : je suis un requin
“ Rumour has it : jouer avec le feu, dans tous les sens du termes, serait l'un de ses passe-temps favoris + même si la médecine la passionne, elle s'adonnerait souvent à la musique (piano&violon), mais trouverait également le temps de pratiquer des sports + les docteurs disent qu'elle risque de devenir aveugle avant trente ans + sa plus longue relation aurait durée 2 ans, avec une femme + elle joue souvent de son apparence afin de passer pour plus jeune qu'elle ne l'est, ou tout simplement pour avoir ce qu'elle désire + elle boit comme un trou. sa résistance à l'alcool est si haute qu'elle arrive à surpasser la plupart des gros buveurs, avant de s'affaler quelque part ou de faire un striptease, faisant ainsi honte à ses amis + il ne faut jamais toucher à ses possessions, tant matérielles qu'humaines. madame a des griffes et des dents, et elle mord sauvagement + elle a un chien du nom de ganache, un bear coat sharpei qui vit avec ses parents. elle le traîne parfois au dortoir, en douce, l'accoutrant d'un costume de requin pour qu'il passe inaperçu (c'est ce qu'elle croit).
“ Rumour has it : jouer avec le feu, dans tous les sens du termes, serait l'un de ses passe-temps favoris + même si la médecine la passionne, elle s'adonnerait souvent à la musique (piano&violon), mais trouverait également le temps de pratiquer des sports + les docteurs disent qu'elle risque de devenir aveugle avant trente ans + sa plus longue relation aurait durée 2 ans, avec une femme + elle joue souvent de son apparence afin de passer pour plus jeune qu'elle ne l'est, ou tout simplement pour avoir ce qu'elle désire + elle boit comme un trou. sa résistance à l'alcool est si haute qu'elle arrive à surpasser la plupart des gros buveurs, avant de s'affaler quelque part ou de faire un striptease, faisant ainsi honte à ses amis + il ne faut jamais toucher à ses possessions, tant matérielles qu'humaines. madame a des griffes et des dents, et elle mord sauvagement + elle a un chien du nom de ganache, un bear coat sharpei qui vit avec ses parents. elle le traîne parfois au dortoir, en douce, l'accoutrant d'un costume de requin pour qu'il passe inaperçu (c'est ce qu'elle croit).
“ Caractère : Être Sian n’a rien de flatteur. Ce n’est pas la jeune femme parfaite qui sait bien se conduire. Au contraire. Elle est assez rustre et ne pense jamais avant d’agir, ce qui fait d’elle une éternelle impulsive. Ce n’est pas plus mal, puisque ça mène bien souvent à des situations loufoques. Elle ne se pose jamais de barrière, c’est pourquoi elle adore partir à l’aventure. Essayer quelque chose de nouveau? Sans problème. Elle proposera probablement l’idée d’elle-même, mais même si elle vient d’un autre, elle sautera sur la chance à pieds joints. Elle a le sens de l’humour assez développé. Pas assez pour constamment faire des blagues et des tours à ses amis. Elle est une excellent public, quoi. Si vous arrivez à la faire, vous l’avez dans votre poche, c’est assuré.
Sian est également très intelligente. Elle n’a pas besoin de s’assoir des heures devant ses bouquins pour comprendre la matière, au grand damne de certains. C’est presque mieux ainsi, puisqu’elle est extrêmement tête-en-l’air. Tomber dans le monde imaginaire ou dans ses pensées est chose fréquente. S’endormir un peu n’importe où, aussi, c’est dans ses habitudes. Oublier un peu n’importe quoi, également. Elle prône la ponctualité, mais comme elle oublie, elle sera toujours la première à arriver en retard et à se maudire de cette fâcheuse habitude. Ensuite vient la générosité. Sian a le cœur sur la main, serait prête à n’importe quoi pour aider n’importe qui. D’un autre côté, elle est extrêmement possessive et n’aime pas partager ses choses, ou ses amis, avec qui que ce soit, ce qui vient un peu annuler son effet de générosité.
La jeune demoiselle est assez sociable. Je ne vous dis pas qu’elle irait toujours d’elle-même vers les gens, mais c’est presque le cas. Elle aime rencontrer des gens, se faire des amis. Exercer un peu de manipulation pour avoir ce qu’elle veut, aussi. Non pas qu’elle le fasse systématiquement, au contraire. Elle le fait seulement avec certaines personnes, dans certaines situations. En d’autres temps, elle est extrêmement tactile, attachante et câline, voir enjôleuse à ses heures. Elle n’aime pas particulièrement avoir de l’attention et ne la recherche pas non plus, mais savoir que l’on est aimée, ou même désirée, ne fait pas de mal à personne. Sian est également très fêtarde. Si elle sait qu’une fête est organisée, peu importe la frat, peu importe l’endroit, elle y sera. Elle sera la première à se déhancher sur la piste de danse, la première à avoir prit trois verres alors que tout le monde sirote encore son premier. Elle a l’alcool joyeux – par chance puisqu’elle boit comme un homme – et ne manque jamais une occasion pour mettre de l’action quelque part. Vivre sa vie comme elle l’entend, c’est son motto.
Sian est également très intelligente. Elle n’a pas besoin de s’assoir des heures devant ses bouquins pour comprendre la matière, au grand damne de certains. C’est presque mieux ainsi, puisqu’elle est extrêmement tête-en-l’air. Tomber dans le monde imaginaire ou dans ses pensées est chose fréquente. S’endormir un peu n’importe où, aussi, c’est dans ses habitudes. Oublier un peu n’importe quoi, également. Elle prône la ponctualité, mais comme elle oublie, elle sera toujours la première à arriver en retard et à se maudire de cette fâcheuse habitude. Ensuite vient la générosité. Sian a le cœur sur la main, serait prête à n’importe quoi pour aider n’importe qui. D’un autre côté, elle est extrêmement possessive et n’aime pas partager ses choses, ou ses amis, avec qui que ce soit, ce qui vient un peu annuler son effet de générosité.
La jeune demoiselle est assez sociable. Je ne vous dis pas qu’elle irait toujours d’elle-même vers les gens, mais c’est presque le cas. Elle aime rencontrer des gens, se faire des amis. Exercer un peu de manipulation pour avoir ce qu’elle veut, aussi. Non pas qu’elle le fasse systématiquement, au contraire. Elle le fait seulement avec certaines personnes, dans certaines situations. En d’autres temps, elle est extrêmement tactile, attachante et câline, voir enjôleuse à ses heures. Elle n’aime pas particulièrement avoir de l’attention et ne la recherche pas non plus, mais savoir que l’on est aimée, ou même désirée, ne fait pas de mal à personne. Sian est également très fêtarde. Si elle sait qu’une fête est organisée, peu importe la frat, peu importe l’endroit, elle y sera. Elle sera la première à se déhancher sur la piste de danse, la première à avoir prit trois verres alors que tout le monde sirote encore son premier. Elle a l’alcool joyeux – par chance puisqu’elle boit comme un homme – et ne manque jamais une occasion pour mettre de l’action quelque part. Vivre sa vie comme elle l’entend, c’est son motto.
“ Once upon a time : Vivre chez les Kim n’a jamais été prestigieux. L’histoire d’amour derrière ma famille est, par contre, bien plus intéressante. Un amour d’enfance qui mena au petit noyau familial que nous sommes présentement. Un voyage en Australie, lorsque mon père était encore étudiant. Il tomba amoureux de cette étudiante en éducation, Lilith. De deux ans sa cadette, il ne pensait jamais que ça fonctionnerait. Et pourtant. Dès son échange terminé, elle le suivit en Corée, à son tour, un échange étudiant. Elle voulait devenir professeur d’anglais langue seconde. Quoi de mieux que d’aller étudier dans un pays étranger? Sur un coup de tête, ils décidèrent de se marier avant son retour en Australie. Une promesse, une sécurité appuyant son retour futur en terre asiatique. Retour un peu précipité, puisque, de retour en terre australienne, elle se rendit compte de ma présence en elle. Une grossesse non planifiée chez un couple à peine installée dont la situation était assez bancale. Néanmoins, Lilith plongea à pieds joints dans cette aventure. Elle termina son dernier trimestre à distance, installée avec son mari dans un petit appartement de Séoul. Rien de prestigieux, encore un fois, mais parfait pour y élever un premier enfant.
Je vis le jour en plein novembre. Ma mère n’avait pas de travail, mon père faisait tout pour ramener assez d’argent à la maison pour que nous puissions tous vivre, ou plutôt survivre, dans ce cas-ci. Des heures supplémentaires? Il ne les comptait même plus. Tellement qu’il passa de moins en moins de temps à la maison. Je n’ai qu’un très faible souvenir de sa présence, tout au long de mon enfance. Dès que je fus en âge d’aller à l’école, ma mère se trouva un emploi à titre d’enseignante d’anglais et mon père pu enfin respirer. C’est à ce moment que mes souvenirs de « famille » se précisent. Étant enfant unique, je me souviens avoir été choyée. Pas au point d’en devenir un enfant gâté, au contraire. Choyée sur le plan émotionnel plus que matériel. Pouvoir passer le plus de temps possible avec des parents attentionnés, que demander de plus?
Je fus toujours le genre d’enfant parfait aux yeux de leurs parents et exécrables aux yeux des autres. Pas besoin de vraiment étudier pour avoir de bonnes notes, je me plaisais à en faire à ma tête. Sauter les cours pour aller jouer au parc? Pourquoi pas. Faire la fête plutôt que d’écrire un rapport dû le lendemain? Aucun problème. Je prétexterais la mort de ma grand-mère – que je n’ai soit dit en passant jamais connue – en larmoyant. Ça passerait sans problème. Ce côté manipulateur, je ne sais trop pourquoi il m’est venu. C’était si facile de faire croire ce que je voulais aux gens qui m’entouraient. Bien sûr, certaines personnes étaient immunisées. Je n’étais pas infaillible. Avec la manipulation vint ce que j’appelle communément le syndrome du « touche pas c’est à moi ». Je me mise à piquer des crises lorsqu’on touchait à ce qui m’appartenait, ou lorsqu’on s’approchait des gens que j’aimais. Je crois d’ailleurs que c’est ce qui repoussa certaines personnes, lors de mon adolescence. Même si on me faisait la morale, me disant que je devais me calmer, je n’y arrivais pas. Et même encore.
Tout déboula un peu trop rapidement lorsque les portes de l’université s’ouvrirent à moi. J’aurais pu choisir un cursus plus simple, moins demandant, mais je décidai d’entrer en médecine. Aider mon prochain, c’est ce que je voulais faire. Prouver, surtout, que j’étais capable de me dépasser, que je pouvais montrer à mes proches que je n’étais pas qu’une tête en l’air qui passait son temps à boire de la bière et à traîner un peu partout. J’arrive à être sérieuse et à m’impliquer lorsque c’est nécessaire. Je fus en couple de la moitié de ma première année au premier trimestre de ma troisième année. Une histoire merveilleuse que je n’oublierai jamais, je peux vous le promettre. Il arrive toutefois que les chemins se séparent, que les opinions diverges. C’est principalement ce qui s’est produit. Nous sommes toujours en bons termes. Au deuxième trimestre de ma troisième année, mon ophtalmologiste a décelé une faiblesse dans mes yeux. Faiblesse qui, au fil du temps, peut-être plus rapidement que prévu, se changera en cécité complète. La panique qui m’envahit, en ce jour précis, était indescriptible. Elle me prend parfois, lorsque je me regarde dans le miroir, lorsque ma vision est brouillée pour aucune raison. Je sais que l’inévitable se produira. C’est probablement pourquoi j’agis de façon si insouciante. Je ne veux pas perdre une minute de mon temps. Je veux mordre dans la vie à pleines dents, comme si cette journée était la dernière. Je ne me pose pas de barrières. Personne ne m’en posera. Si c’est le cas, je me ferai un plaisir de les sauter.
Je vis le jour en plein novembre. Ma mère n’avait pas de travail, mon père faisait tout pour ramener assez d’argent à la maison pour que nous puissions tous vivre, ou plutôt survivre, dans ce cas-ci. Des heures supplémentaires? Il ne les comptait même plus. Tellement qu’il passa de moins en moins de temps à la maison. Je n’ai qu’un très faible souvenir de sa présence, tout au long de mon enfance. Dès que je fus en âge d’aller à l’école, ma mère se trouva un emploi à titre d’enseignante d’anglais et mon père pu enfin respirer. C’est à ce moment que mes souvenirs de « famille » se précisent. Étant enfant unique, je me souviens avoir été choyée. Pas au point d’en devenir un enfant gâté, au contraire. Choyée sur le plan émotionnel plus que matériel. Pouvoir passer le plus de temps possible avec des parents attentionnés, que demander de plus?
Je fus toujours le genre d’enfant parfait aux yeux de leurs parents et exécrables aux yeux des autres. Pas besoin de vraiment étudier pour avoir de bonnes notes, je me plaisais à en faire à ma tête. Sauter les cours pour aller jouer au parc? Pourquoi pas. Faire la fête plutôt que d’écrire un rapport dû le lendemain? Aucun problème. Je prétexterais la mort de ma grand-mère – que je n’ai soit dit en passant jamais connue – en larmoyant. Ça passerait sans problème. Ce côté manipulateur, je ne sais trop pourquoi il m’est venu. C’était si facile de faire croire ce que je voulais aux gens qui m’entouraient. Bien sûr, certaines personnes étaient immunisées. Je n’étais pas infaillible. Avec la manipulation vint ce que j’appelle communément le syndrome du « touche pas c’est à moi ». Je me mise à piquer des crises lorsqu’on touchait à ce qui m’appartenait, ou lorsqu’on s’approchait des gens que j’aimais. Je crois d’ailleurs que c’est ce qui repoussa certaines personnes, lors de mon adolescence. Même si on me faisait la morale, me disant que je devais me calmer, je n’y arrivais pas. Et même encore.
Tout déboula un peu trop rapidement lorsque les portes de l’université s’ouvrirent à moi. J’aurais pu choisir un cursus plus simple, moins demandant, mais je décidai d’entrer en médecine. Aider mon prochain, c’est ce que je voulais faire. Prouver, surtout, que j’étais capable de me dépasser, que je pouvais montrer à mes proches que je n’étais pas qu’une tête en l’air qui passait son temps à boire de la bière et à traîner un peu partout. J’arrive à être sérieuse et à m’impliquer lorsque c’est nécessaire. Je fus en couple de la moitié de ma première année au premier trimestre de ma troisième année. Une histoire merveilleuse que je n’oublierai jamais, je peux vous le promettre. Il arrive toutefois que les chemins se séparent, que les opinions diverges. C’est principalement ce qui s’est produit. Nous sommes toujours en bons termes. Au deuxième trimestre de ma troisième année, mon ophtalmologiste a décelé une faiblesse dans mes yeux. Faiblesse qui, au fil du temps, peut-être plus rapidement que prévu, se changera en cécité complète. La panique qui m’envahit, en ce jour précis, était indescriptible. Elle me prend parfois, lorsque je me regarde dans le miroir, lorsque ma vision est brouillée pour aucune raison. Je sais que l’inévitable se produira. C’est probablement pourquoi j’agis de façon si insouciante. Je ne veux pas perdre une minute de mon temps. Je veux mordre dans la vie à pleines dents, comme si cette journée était la dernière. Je ne me pose pas de barrières. Personne ne m’en posera. Si c’est le cas, je me ferai un plaisir de les sauter.
guess who’s back again
je crois que je peux me passer de présentation. voici quelque chose que vous ne verrez que très rarement : moi qui joue une fille profitez, je ne sais pas combien de temps cette folie durera.
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
code pour célébrité prise :
▲▼AHN HEE YEON (HANI, EXID) ✎ kim sian
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 17:33 Citer EditerSupprimer
omg cette beaute
rebienvenue a la casa maru
rebienvenue a la casa maru
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 17:34 Citer EditerSupprimer
et toi hein, beau gosse
merci babe
merci babe
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 17:36 Citer EditerSupprimer
rebienvenue et bonne chance pour cette fiche
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 17:40 Citer EditerSupprimer
ohhhh t'es belle sous cette forme ** J'espère que tu tiendras le coup en jouant une nana.
RE ♥
RE ♥
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 17:46 Citer EditerSupprimer
rew avec cette lady alors!
bon courage pour ta fiche!
bon courage pour ta fiche!
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 18:28 Citer EditerSupprimer
je vois que t'as beaucoup cherché pour le nom de famille à cause de toi je pleure mon dc qui existera jamais.
mais je t'aime quand même
j'espère juste que tu seras moins chiante sous cette forme
mais je t'aime quand même
j'espère juste que tu seras moins chiante sous cette forme
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Re: kim sian ✿ bittersweet | Jeu 3 Sep - 19:49 Citer EditerSupprimer
haniiiiiiiiii
rebienvenue donc, tu as choisi un très bon avatar donc tu ne peux que bien rp avec elle
courage pour ta fiche !
rebienvenue donc, tu as choisi un très bon avatar donc tu ne peux que bien rp avec elle
courage pour ta fiche !
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