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armani noam ▬ no cure, no rehab.
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armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 0:43 Citer EditerSupprimer armani noam
aeri.
let the time heal everything.
#JOUEUR | #FAINEANT | #INTELLIGENT | #INCONSCIENT | #DRÔLE |
#MANIAQUE | #IMMATURE | #REALISTE | #TAQUIN | #NONCHALENT |
NOM : armani. PRÉNOM : noam. ÂGE : 26 ▬ (15.05.89) ORIGINES : sicilienne & vietnamienne. NATIONALITÉ : ancien américain, puis nouvellement coréen. CLASSE SOCIALE : classe moyenne. ça paie plutôt pas mal de faire des sites sur le net. sa famille est aisée mais il préfère rester indépendant, et se faire ses propres thunes. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel, les meufs y'a que ça de vrai. CURSUS UNIVERSITAIRE : il a obtenu un bachelor en informatique. MÉTIER : professeur à l'université et il a lancé depuis un moment sa boîte de webdesign. Code du règlement : code ok . TU VEUX T'INVESTIR? : xx
“ Rumour has it : + il parait qu'il a vécu illégalement en Corée du Sud pendant un certain moment. + il aurait fait un mariage blanc avec une Coréenne juste pour avoir la nationalité coréenne et donc être en règle. + il aurait fait un tour du monde (f, juste un long road trip en Amérique Latine) + on ne sait jamais quand il est sérieux et quand il ne l'est pas. + sa boîte de websesign a failli faire faillite dès son lancement. + il ne serait pas pris au sérieux par ses élèves + il lui arrive de prendre un verre et faire des soirées avec ses élèves. + il est allergique à l'autorité. + c'est un maniaque compulsif. + il parlerait espagnol (hola, que tal, muy bien, toussa).
“ Rumour has it : + il parait qu'il a vécu illégalement en Corée du Sud pendant un certain moment. + il aurait fait un mariage blanc avec une Coréenne juste pour avoir la nationalité coréenne et donc être en règle. + il aurait fait un tour du monde (f, juste un long road trip en Amérique Latine) + on ne sait jamais quand il est sérieux et quand il ne l'est pas. + sa boîte de websesign a failli faire faillite dès son lancement. + il ne serait pas pris au sérieux par ses élèves + il lui arrive de prendre un verre et faire des soirées avec ses élèves. + il est allergique à l'autorité. + c'est un maniaque compulsif. + il parlerait espagnol (hola, que tal, muy bien, toussa).
“ Caractère :
Tu vois ce mec qui te passe devant dans la queue ? 95% des gens s’embrouillerait avec lui, parce qu’il aurait pris leur place. Moi, c’est différent. Je m’en fouetterai un peu à vrai dire. Qu’ils soient 1 ou 10, ça ne me ferait ni chaud, ni froid. Pourquoi ? Surement d’abord à cause de ma nonchalance naturelle. On dit souvent que je manque d’énergie ou d’entrain. Je suis plutôt du genre à prendre mon temps dans tout ce que je fais. A quoi ça sert de s’activer dans tous les sens, pour finalement arriver au même résultat ? C’est un peu l’histoire du lièvre et de la tortue quoi, je vais pas te faire de dessin. Je déteste les gens hyper-actifs, ça me stress ; peace les gars. Ca peut être associé à du je-m'en-fouttisme, mais que dire... je m'en fou de ce que l'on peut penser de moi ? Et puis en plus de ma nonchalance, il m’arrive aussi d’être fainéant. Ouais, tu vois le genre de mec qui reporte tout au lendemain et qui va tout faire pour attraper la télécommande posée à l’autre bout de la pièce, sans se lever ? C’est moi. Pourtant, je sais aussi m’activer quand il le faut, pour les « choses importantes », disons (la famille, les amis proches et tout le tralala). Enfin bon, jamais personne ne me décrira comme un adulte mûr et responsable. Je suis plutôt du genre à déconner et faire des blagues (jusqu'à même en devenir lourd), sans vraiment me soucier de si oui ou non ma victime est gavée par mon attitude. Quand j’ai une cible, je ne la lâche pas. Taquin, j’aime avoir les gens à l’usure, quitte à parfois m’attiser leurs foudres en retour. Je suis encore un gamin dans ma tête, et je l’assume. D’ailleurs, il en faut beaucoup pour m’énerver ; je suis d’un calme olympien, et je te mets même au défi de réussir à me faire perdre mon self-control, c'est presque impossible.
Alors tu dois te demander, qu’est-ce que ce mec a d’adulte à part son âge, qui est inscrit sur sa carte d’identité ? Pas grand chose, je le conçois. Néanmoins, tous les gens qui me côtoient savent que je suis assez maniaque. Par exemple dans mon appart, j’ai une organisation spéciale où chaque chose est à sa place, et je déteste qu’on touche à mes affaires sans les remettre dans leur position initiale. Il m’arrive aussi d’être assez réaliste. Avec l’expérience (ouais, j’suis un vieux) j’arrive un peu à analyser les situations plus rapidement et à en sortir les avantages et les inconvénients. Du coup, si tu as besoin de conseils, l’vieux Noam sera toujours là pour t'en prodiguer quelques uns. J’ai tendance à pas mal aider les autres quand je me sens d’humeur à le faire. Ca pourrait être un inconnu comme quelqu’un de ma famille, si j'ai décidé de venir en aide à une personne, je le fais totalement. Et puis... qu’est-ce que je pourrais encore te dire ? Je suis assez sociable et j’ai le contact facile. Ca doit être pour cela que j'ai un carnet d'adresse aussi long que celui d'un ministre. Après, j'ai toujours fait une distinction entre mes connaissances et mes amis proches ; malgré le contact que j'arrive à établir facilement, j'ai tendance à m'attacher beaucoup plus difficilement. J'évite de m'encombrer avec des relations trop prises de tête qui en fin de compte ne feront que m'accorder trop de problèmes. Donc si tu cherches un mec avec qui jouer et sortir sans trop d'engagement... je suis ton homme.
Alors tu dois te demander, qu’est-ce que ce mec a d’adulte à part son âge, qui est inscrit sur sa carte d’identité ? Pas grand chose, je le conçois. Néanmoins, tous les gens qui me côtoient savent que je suis assez maniaque. Par exemple dans mon appart, j’ai une organisation spéciale où chaque chose est à sa place, et je déteste qu’on touche à mes affaires sans les remettre dans leur position initiale. Il m’arrive aussi d’être assez réaliste. Avec l’expérience (ouais, j’suis un vieux) j’arrive un peu à analyser les situations plus rapidement et à en sortir les avantages et les inconvénients. Du coup, si tu as besoin de conseils, l’vieux Noam sera toujours là pour t'en prodiguer quelques uns. J’ai tendance à pas mal aider les autres quand je me sens d’humeur à le faire. Ca pourrait être un inconnu comme quelqu’un de ma famille, si j'ai décidé de venir en aide à une personne, je le fais totalement. Et puis... qu’est-ce que je pourrais encore te dire ? Je suis assez sociable et j’ai le contact facile. Ca doit être pour cela que j'ai un carnet d'adresse aussi long que celui d'un ministre. Après, j'ai toujours fait une distinction entre mes connaissances et mes amis proches ; malgré le contact que j'arrive à établir facilement, j'ai tendance à m'attacher beaucoup plus difficilement. J'évite de m'encombrer avec des relations trop prises de tête qui en fin de compte ne feront que m'accorder trop de problèmes. Donc si tu cherches un mec avec qui jouer et sortir sans trop d'engagement... je suis ton homme.
“ Once upon a time :
Le soleil, la plage, le sable fin, les filles en bikini... bref, je ne vais pas vous faire de dessin, la Californie, c’est le paradis sur Terre. Si je devais conseiller à quelqu’un un endroit où vivre, ce serait cet Etat américain sans aucune hésitation. La Californie, c’est ma maison. C’est la où j’ai grandi, là où j’ai vécu avec ma sœur Nina et mes parents. On a toujours été très peace chez moi. Vivre un peu au jour le jour, faire avec ce qu’on a... bref, vivre simplement quoi. C’est une idéologie de vie qui me marque encore beaucoup aujourd’hui. Alors vous devez surement vous dire « il nous vente les mérites de son Etat chéri, alors pourquoi il n’y vit pas ? ». J’avoue, ça a l’air un peu contradictoire de faire les louanges de la Californie alors que moi-même je n’y suis plus. Mais disons qu’un concours de circonstance a fait que je me retrouve ici, en Corée du Sud. C’est le parcours d’un gosse un peu paumé dans sa tête.
J’ai toujours eu un problème avec l’autorité et à cause de ça, je n’ai jamais été une flèche en cours. Je faisais le strict minimum pour passer en classe supérieur, et le reste du temps, je chillais sur la plage avec mes amis Américains. Aux US, à leurs 16 ans, les adolescents se plaisent à demander des cadeaux extraordinaires, comme des voitures ou même des apparts dans les quartiers hype de la capitale. Moi, à mes 16 ans, j’ai fait un choix encore plus audacieux : partir de la maison. Avec mes amis, on avait un projet qui a commencé à germer depuis des années : aller en sac à dos en Amérique Latine pendant un an, pour essayer de se découvrir et rompre avec les idéaux préconçus. Après avoir eu mon diplôme, je ne voulais pas m’enfermer dans une université pendant 6 ans pour finir par croupir dans un bureau. Les chemins classiques ? Très peu pour moi. J’adorais l’idée de me lancer dans l’inconnu même si devoir laisser derrière moi mes parents et ma petite Nina. Mais je savais que cette expérience serait inoubliable.
L’arrivée en Amérique Latine fut plus que folle. 5 Américains en sac à dos, avec à peine de quoi vivre... je vous rassure, c’était beaucoup plus fun que ça en avait l’air. Oui, on a galéré, oui, il y a des journées où on ne mangeait pas grand chose, voire rien, mais c’est une expérience que je ne regrette pas. Ce fut une année pleine et intense. Du Pérou à la Bolivie en passant par la Colombie et le Venezuela... on a tout vu, tout fait. Mais à la fin de cette année riche, j’ai décidé que j’en voulais plus. Je me plaisais dans ce continent de tous les dangers, et je ne voulais pas en partir. Alors, je décidai de m’inscrire dans une université colombienne pour un an, pour poursuivre mon rêve sud-américain.
J’y restai donc avec mon meilleur ami, où nous avons vécu une année encore plus folle que la première. Pour seul témoignage, je dirais juste que les latinos sont les filles les plus chaudes que j’ai jamais rencontré... Enfin bref. La seule chose qui vint briser le rêve fut les problèmes familiaux. On choisit pas sa famille, n’est-ce pas ? L'annonce de la mort de ma mère fut un événement qui m’affecta énormément. J’avais l’impression d’avoir été un salop égoïste, qui a vécu dans le farniente pendant 2 ans, et qui n’a même pas eu l’occasion de dire au revoir proprement à sa mère, et qui a laissé sa famille derrière lui en ne pensant qu'à sa gueule. Un salop qui a, par la même occasion, laissé sa sœur dans ce merdier. Nina... c’est la seule personne qui aurait pu me faire revenir aux US après la fuite imprévue de mon père. Ca n’aurait pas été pratique de la faire venir avec moi en Colombie et de toute façon, elle aurait été plus à l’aise en Corée du Sud... Elle allait être entre de bonne main, avec le reste de la famille. J'ai tout de même assez mal vécu ce moment de ma vie où ma famille est partie en vrille et où je ne pouvais rien faire du haut de mon Amérique Latine adorée. J’avais 18 ans, et plus aucun repère réel. Mon meilleur ami avait décidé de rentrer aux US sous la pression de ses parents, et je me retrouvais comme un con, là, sans personne. Bien qu'ayant enchainé emmerdes sur emmerdes, j’ai décidé d’y rester 2 ans de plus, pour obtenir mon diplôme et ensuite rejoindre le reste de la meute en Corée, histoire de ne pas y arriver en étant un poids pour tout le monde. Je détestais avoir l'impression d'être une gêne pour les autres. Ce fut 2 ans où j’ai accumulé les taffs les plus farfelus, pour payer mes études et vivre un peu à gauche à droite. Entre autre, j'ai même dû être l’escorte de ma propriétaire colombienne pendant près de 6 mois, pour pouvoir payer mon appart. Bref, j’en ai fais des choses dont je ne suis pas fier, mais ça fait toujours des trucs à raconter autour d'une bonne pinte non? Je ne réalisais pas vraiment la portée de mes actes auparavant, et je ne le fais toujours pas aujourd'hui d'ailleurs...
En somme, je n’oublierai jamais mes 4 ans en Amérique du Sud. C’est un peu une seconde maison pour moi, même si j’y ai énormément trimé. Cependant, il fallait que je passe à autre chose, sachant que je n’y avais vraiment aucun avenir, et j’avais même commencé à me lasser des latinos –qui l’aurait cru. Bref, la Corée annonçait pour moi un nouveau grand départ. Un départ où j'allais enfin renouer avec la famille. Et 6 ans après, je ne me vois pas en bouger.
J’ai toujours eu un problème avec l’autorité et à cause de ça, je n’ai jamais été une flèche en cours. Je faisais le strict minimum pour passer en classe supérieur, et le reste du temps, je chillais sur la plage avec mes amis Américains. Aux US, à leurs 16 ans, les adolescents se plaisent à demander des cadeaux extraordinaires, comme des voitures ou même des apparts dans les quartiers hype de la capitale. Moi, à mes 16 ans, j’ai fait un choix encore plus audacieux : partir de la maison. Avec mes amis, on avait un projet qui a commencé à germer depuis des années : aller en sac à dos en Amérique Latine pendant un an, pour essayer de se découvrir et rompre avec les idéaux préconçus. Après avoir eu mon diplôme, je ne voulais pas m’enfermer dans une université pendant 6 ans pour finir par croupir dans un bureau. Les chemins classiques ? Très peu pour moi. J’adorais l’idée de me lancer dans l’inconnu même si devoir laisser derrière moi mes parents et ma petite Nina. Mais je savais que cette expérience serait inoubliable.
L’arrivée en Amérique Latine fut plus que folle. 5 Américains en sac à dos, avec à peine de quoi vivre... je vous rassure, c’était beaucoup plus fun que ça en avait l’air. Oui, on a galéré, oui, il y a des journées où on ne mangeait pas grand chose, voire rien, mais c’est une expérience que je ne regrette pas. Ce fut une année pleine et intense. Du Pérou à la Bolivie en passant par la Colombie et le Venezuela... on a tout vu, tout fait. Mais à la fin de cette année riche, j’ai décidé que j’en voulais plus. Je me plaisais dans ce continent de tous les dangers, et je ne voulais pas en partir. Alors, je décidai de m’inscrire dans une université colombienne pour un an, pour poursuivre mon rêve sud-américain.
J’y restai donc avec mon meilleur ami, où nous avons vécu une année encore plus folle que la première. Pour seul témoignage, je dirais juste que les latinos sont les filles les plus chaudes que j’ai jamais rencontré... Enfin bref. La seule chose qui vint briser le rêve fut les problèmes familiaux. On choisit pas sa famille, n’est-ce pas ? L'annonce de la mort de ma mère fut un événement qui m’affecta énormément. J’avais l’impression d’avoir été un salop égoïste, qui a vécu dans le farniente pendant 2 ans, et qui n’a même pas eu l’occasion de dire au revoir proprement à sa mère, et qui a laissé sa famille derrière lui en ne pensant qu'à sa gueule. Un salop qui a, par la même occasion, laissé sa sœur dans ce merdier. Nina... c’est la seule personne qui aurait pu me faire revenir aux US après la fuite imprévue de mon père. Ca n’aurait pas été pratique de la faire venir avec moi en Colombie et de toute façon, elle aurait été plus à l’aise en Corée du Sud... Elle allait être entre de bonne main, avec le reste de la famille. J'ai tout de même assez mal vécu ce moment de ma vie où ma famille est partie en vrille et où je ne pouvais rien faire du haut de mon Amérique Latine adorée. J’avais 18 ans, et plus aucun repère réel. Mon meilleur ami avait décidé de rentrer aux US sous la pression de ses parents, et je me retrouvais comme un con, là, sans personne. Bien qu'ayant enchainé emmerdes sur emmerdes, j’ai décidé d’y rester 2 ans de plus, pour obtenir mon diplôme et ensuite rejoindre le reste de la meute en Corée, histoire de ne pas y arriver en étant un poids pour tout le monde. Je détestais avoir l'impression d'être une gêne pour les autres. Ce fut 2 ans où j’ai accumulé les taffs les plus farfelus, pour payer mes études et vivre un peu à gauche à droite. Entre autre, j'ai même dû être l’escorte de ma propriétaire colombienne pendant près de 6 mois, pour pouvoir payer mon appart. Bref, j’en ai fais des choses dont je ne suis pas fier, mais ça fait toujours des trucs à raconter autour d'une bonne pinte non? Je ne réalisais pas vraiment la portée de mes actes auparavant, et je ne le fais toujours pas aujourd'hui d'ailleurs...
En somme, je n’oublierai jamais mes 4 ans en Amérique du Sud. C’est un peu une seconde maison pour moi, même si j’y ai énormément trimé. Cependant, il fallait que je passe à autre chose, sachant que je n’y avais vraiment aucun avenir, et j’avais même commencé à me lasser des latinos –qui l’aurait cru. Bref, la Corée annonçait pour moi un nouveau grand départ. Un départ où j'allais enfin renouer avec la famille. Et 6 ans après, je ne me vois pas en bouger.
des bisous tout doux
on devient vite accroc
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼Jang Ki Yong ✎ Armani Noam
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 0:46 Citer EditerSupprimer
J SUIS TROP CONTENTE JE SUIS SUR TELEPHONE MAIS JE T'AIME TELLEMENT U KNOW THAT RIGHT. Poutou Poutou Poutou Poutou Poutou
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 0:46 Citer EditerSupprimer
Tu mérite même un triple post.
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 0:53 Citer EditerSupprimer
OMO CA Y EST LA FAMILLE EST AU COMPLET
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 1:07 Citer EditerSupprimer
nina; LIL' SIIIIIIS
des bisous, des poutous tout plein tout partout -jetelâcheplusmaintenant-
jihoon;
je t'éblouis tellement que t'as plus de mot c'est ça ? /pan
reira; yeees.
& le meilleur pour la fin en plus .
des bisous, des poutous tout plein tout partout -jetelâcheplusmaintenant-
jihoon;
je t'éblouis tellement que t'as plus de mot c'est ça ? /pan
reira; yeees.
& le meilleur pour la fin en plus .
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 1:11 Citer EditerSupprimer
te la pète pas trop non plus
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 1:25 Citer EditerSupprimer
T'es juste un thug :bago:
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Re: armani noam ▬ no cure, no rehab. | Lun 7 Sep - 1:32 Citer EditerSupprimer
MON POTTTTTTTTTTOOOOOOO COUCOU
on se connait pas encore mais je suis le bbf de ta ptite soeur
on se connait pas encore mais je suis le bbf de ta ptite soeur
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