It's a revolution and we'll make it out tonight

Li Wei & In Ha

Nope, je préférais les vraies blondes d'abord, les étrangères. J'avais toujours eu une faible pour les étrangères... Les coréennes qui se coloraient les cheveux, eh bien, ça n'allait pas à tout le monde, la preuve. Je n'aurais pas dit non à une danse, mais ses gestes plus que suggestifs me prouvaient bel et bien que je n'aurais pas eu beaucoup de mal à la ramener dans mon lit ce soir, ohhhh non ! Li Wei était mignonne, elle était venue me défendre, un peu comme je l'avais fait précédemment avec le mec qui l'ennuyait. Elle grognait, un vrai félin, même si elle restait un chaton à mes yeux qui lançait des éclairs à celle qui n'arrêtait pas de glisser contre moi, les seins en avant. Yep, ok, j'ai bien senti que tu avais deux seins assez voluptueux, j'ai noté, merci. Mais je m'amusais de la situation comme le mec que j'étais, même lorsque la chinoise m'attira à elle pour m'embrasser d'un geste possessif, qui m'avait plus que surpris ! Quelle était cette soudaine audace ? Savait-elle que ça me plaisait assez ? Il ne fallait pas me tenter, pensai-je, un sourire en coin alors que j'intensifiai son baiser qu'elle m'offrait. Ses lèvres pleines, si attrayantes... Pourtant, je m'en détachais, l'entraînant vers moi en direction de l'étage, comme pour prendre une bouffée d'air frais. Nos deux alcools s'étaient mélangés, je le sentais sur ma bouche.

« Tu aurais pu la rejoindre juste après. » me lança Li Wei à propos de la blonde, vers laquelle mon regard glissa, elle m'observait toujours parmi la foule. « T'as raison. Une fois que je t'aurais déposé chez toi, je reviendrais pour lui tenir compagnie. » lui répondis-je d'un air sérieux, plein de sous-entendus, avant de lâcher un petit rire. « ça va, je rigole ! » Si je m'ennuyais avec elle ? « Non, tu me surprends, alors tu ne m'ennuies pas. » rajoutai-je, alors qu'elle m'indiquait que l'escalier était libre. Je m'inclinais vers l'avant d'une révérence théâtrale, pour qu'elle passe en premier. Je la laissais monter, mon regard dérivant quelques secondes sur ses formes mises en valeur par sa robe, le détournant automatiquement. Woaw, on se calme In Ha. Elle a vingt ans, elle a même pas l'âge de ta sœur ! Je levais les yeux au ciel, avant de la suivre à l'étage, un coin VIP où je n'allais pas souvent, mais qui était bien pratique parfois, et où j'avais mes accès, même si je cachais mes allures d'héritier. Des immenses canapés, des coins plus cosy, plus calmes, ornés de bouteilles de champagne sur toutes les tables. La jeune femme choisissait l'endroit où s'installer, alors que je m'appuyais à la barrière qui donnait sur toute la salle. Le monde qui s'agitait en contre bas sur le rythme du DJ, et j'en faisais de même sur place, encore excité par la musique. « On s'ouvre une bouteille de champagne ? » lui lançai-je. « Ah moi, il me faut mon rhum, comme Jack Sparrow, il me faut ma bouteille de rhum ! » scandai-je, en tournoyant sur moi-même. Et comme le fou que j'étais, je lui affirmai que j'allais revenir. Je lui fis un grand sourire, avant de passer mes jambes au-dessus de la rembarde qui donnait sur la salle. « YAH ! » J'agitais mes mains vers le barman, mimant une bouteille que je voulais qu'il m'envoie rapidement. Il se mit à rire, je le voyais, alors que je descendais, me penchant dans le vide alors qu'il me montrait au loin pleins de marques d'alcool avant de trouver la bonne. Il arriva avec, traversa la foule, alors que je me pendais dans le vide, d'une main accrochée à la rembarde en fer. Je souriais comme un idiot, un vrai singe, j'étais pas le président des Wonsungi pour rien ! Il me donnait même un diluant, au cas où la jeune femme ne voulait pas boire le breuvage pur. Je le remerciais, avant de regrimper, levant les deux bras en l'air avec les deux bouteilles. « On est sauvé ! » criai-je, alors que j'avais failli perdre l'équilibre, me rattrapant de justesse à la barrière, en riant. Je repassais de l'autre côté, déposant mon butin sur la table. « Choisis ce que tu veux ! J'ouvre le champagne ou tu sais le faire ? Es-tu un as pour ça ou devrais-je te montrer ? » Allez savoir si je n'allais pas encore faire une connerie, je sentais l'alcool me montait doucement à la tête, et le rhum qui me faisait signe sur la table d'y goûter n'allait pas aider. Je tendais la bouteille de champagne vers la jeune femme, debout devant elle, alors que j'agitais les épaules de droite à gauche, en entendant un morceau que j'aimais bien. Si je continuais comme ça, il allait faire pas mal de bulles le champagne !  
  

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Li Wei & In Ha

J'étais un wonsungi, pur et dur, un véritable cliché à moi tout seul, je devais bien le reconnaître ! Mais pour ma défense, l'alcool coulait doucement dans mon sang, affectant un peu plus ma personnalité, plus particulièrement mon côté fêtard et légèrement intenable. C'était ainsi que je m'étais balancé dans le vide, la main à une barrière, tout cela pour récupérer une bouteille de rhum, encore et toujours, pour mon plus grand plaisir. Comme un idiot, j'avais même manqué de finir dans la foule, me rattrapant de justesse, en faisant le pitre, mes yeux brillants dans les éclairages du club. Li Wei semblait préférer le champagne, on pouvait toujours commencer par remplir les coupes et enchaîner sur la suite. On disait toujours que faire des mélanges n'étaient pas du tout conseillé, mais vous allez me dire, le champagne, sérieusement ? Nonnnn, ça ne faisait pas de mal, pas le moins du monde ! Le champagne, breuvage typiquement français, était reconnu pour sa douceur, et son léger piquant plus qu'agréable. Ses petites bulles s'agitaient déjà à travers le  verre teint de la bouteille que je tendais à la jolie chinoise, la défiant de l'ouvrir. « Tu me prends pour une faible ? Tu vas voir ce que tu vas voir. » Je lâchais un rire en la voyant se rapprocher de la table, se préparant à la tâche. « Exactement, je te prends pour une faible ! Mais ça serait assez sexy si tu savais l'ouvrir, je le reconnais. » lui lançais-je, d'un air aguicheur.

Elle récupéra l'objet de mes mains, et je l'admirais coincer la bouteille entre ses cuisses pour tenter de la caler correctement, pendant qu'elle se débarrassait du bouchon. Je continuais à lâcher des petits rires, debout devant elle, alors qu'elle galérait à enlever l'emballage. « ça commence bien... » la taquinais-je, avant qu'elle finisse par réussir, tendant l'objet comme une arme dans ma direction. « As-tu peur ? » Je levais les mains devant moi. « Moi, non, pas du tout ! » Mais au cas où, je me protégeais, m'amusant à esquiver de droite à gauche, comme si j'étais sûr qu'elle allait finalement m'attaquer avec. Et puis, PAF ! Le bouchon lui échappa enfin, nous faisant sursauter tous les deux en même temps en une brève exclamation joyeuse, on sentait qu'on commençait à être un peu bourrés tout de même là ! Comme un idiot, je m'étais mis à fixer l'immense jet de champagne qui avait jailli en l'air, pour retomber directement sur Li Wei, qui ne s'était certainement pas attendue à cela et moi non plus ! « Oh putain la vache !!! » Un rire incontrôlé s'empara de moi. « Oh putin ! Li Wei, t'en as partout haha ! Mais comment t'as fait sérieux ?! » Je contenais difficilement mon rire, alors que la jeune femme se levait, dégoulinante de partout. « Ne te moque pas ! Je suis sûr que tu l’as fait exprès. C’est toi que j’aurais dû viser. » Je lui débarrassais la bouteille des mains pour la poser sur la table. « Même pas, j'te jure ! Franchement, je ne pensais pas... Haha attends attends ! » Je me dirigeais vers l'une des tables d'à côté pour récupérer quelques petites serviettes en papier qui étaient disposées là, et j'en fis de même en volant celles qu'ils y avaient aux alentours. Heureusement pour nous, il n'y avait personne dans ce recoin de l'étage, Li Wei était tranquille ! Je revenais vers elle en souriant, toujours amusé par la situation, qui ne le serait pas ? « Assis-toi, on va un peu nettoyer ça, après t'iras voir ça aux toilettes si tu veux ! » Je m'asseyais à côté d'elle, toujours ce sourire moqueur aux lèvres alors que je lui tendais une serviette en papier. J'en pris une autre pour tapoter légèrement son cou, le haut de son épaule, avant d'essuyer un peu son bras jusqu'à sa main. « T'as la peau encore plus douce maintenant, c'est assez agréable... » Je l'embêtais encore, mais ma remarque était vraie. C'était tout doux, j'y laissais mes doigts y glisser, au risque de la chatouiller. Je déposais la serviette trempée sur la table, avant d'attraper son poignet. « T'en as vraiment partout ! T'es pas possible... » Des gouttes perlaient au bout de ses doigts, et alors qu'elles allaient tomber, par réflexe, je portais son index à ma bouche. Sans faire vraiment attention à mon geste, je léchais le bout de son doigt, avant de croiser le regard de la chinoise, réalisant à moitié ce que je faisais. Ma langue s'attarda lentement sur sa peau, caressant du bout des lèvres chacun de ses doigts, avec un regard plus que séducteur. Je ne réfléchissais pas vraiment, je ne savais pas si c'était par jeu ou non. Sa bretelle tombait sur son épaule, le champagne la recouvrait, et je me rapprochais avec lenteur, passant le bout de ma langue dans le creux de sa clavicule, un bref instant avant de dériver vers son cou élancé. Mon souffle effleurait doucement sa peau claire. Je laissais finalement échapper un petit rire, gêné, amusé. « On a plus de serviettes en papier ! » scandais-je, comme pour me justifier, me reculant légèrement de Li Wei, souriant, ma langue passant sur ma lèvre inférieure. Le goût du champagne était très attirant. Le champagne ou autre chose... ? 
  

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Li Wei & In Ha

Ouais, ça y est, l'alcool faisait bel et bien son effet, je le sentais clairement. Ma personnalité était encore plus délurée et sans limite, mais au contraire de mon guitariste Jun, cela ne faisait pas vraiment ressortir mes mauvais côtés. Cela accentuait un peu plus mon humeur, quelques qualités et sans aucun doute quelques défauts, surtout celui de l'inconscience et de l'insouciance qui redoublaient à cet instant même ! La maladresse de Li Wei m'avait fait rire, elle était mignonne, collante de partout. On ne se rendait même pas compte du ridicule de la situation, ne faisant que rire, encore et encore ! Les serviettes n'avaient fait qu'un peu éponger les petites bêtises que la chinoise avait provoqué avec le champagne mais ce n'était pas vraiment suffisant. Sans m'en rendre vraiment compte, j'avais porté ses doigts à ma bouche, jouant avec les gouttes d'alcool qui coulaient sur elle, finissant par me pencher vers son cou en riant à nouveau. « Bien sûr. Et cette technique m’a l’air aussi efficace qu’agréable. » Je me reculais, en acquiesçant d'un mouvement de menton, le champagne était mieux qu'une crème !

J'observais la jeune femme remplir une coupe, alors que je passais la main dans mes cheveux blonds, lâchant un soupir, avant de la voir s'avancer pour laissant tomber des gouttes d'alcool dans mon cou. « Mais qu'est-ce que tu fais... ? » murmurais-je, en penchant ma tête en arrière avec un sourire en coin, sourire qui s'étirait peu à peu. Sa langue traçait son chemin sur ma peau, suivi de quelques petits baisers parsemés qui me faisaient ronronner en silence de plaisir. « Copieuse... » lui envoyais-je, alors qu'elle se reculait. « Tu m’aides à trouver les toilettes ? » demandait-elle, presque comme un ordre en se relevant, alors que j'en faisais de même. « Il y en a au bout de l'étage, là-bas. Viens, je vais te montrer. » Je passais nonchalamment mon bras autour de sa taille, l'emmenant avec moi au bout de la salle. « T'es vraiment collante, hein ! » la taquinais-je encore, alors qu'on atteignait la porte en question. Je m'y engouffrais à l'intérieur avec elle, m'assurant de savoir si il y avait quelqu'un d'un « Youhouuuu... Y'a quelqu'un ? » Silence dans la pièce, bon bein ça va. Les toilettes VIP étaient plus grandes que celles du bas : plusieurs cabines longeaient le mur, trois larges lavabos incrustés dans un immense bloc couvert de carreaux noirs et rouges, légèrement tape à l'oeil, mais plutôt cosy. J'étais d'humeur joueuse, je soulevais Li Wei contre moi, la portant avec facilité avant de la poser sur l'un des lavabos, à côté d'un grand miroir qui la surplombait. « Madame est arrivée ! » scandais-je, avant de lui indiquer le robinet pour qu'elle se nettoie un peu, au moins le visage. Pendant ce temps-là, je me penchais au-dessus du lavabo suivant, détaillant mon reflet et mes mèches rebelles blondes, entrouvrant des boutons de mon débardeur, tellement la chaleur commençait à m'envahir. Foutu rhum, et d'autres choses certainement.

Mon regard glissait sur l'étudiante avant de la surprendre en lui versant de l'eau sur ses jambes nues. « C'est une douche qu'il te faut toi ! » Je continuais à lui mettre de l'eau dessus, me plaçant devant elle en riant. Je passais avec attention mes mains sur ses cuisses, veillant un peu trop à la tâche qu'elle ne soit plus collante. Mes doigts glissaient sur sa peau, avec lenteur, passant derrière ses genoux, ses mollets, suivant la ligne parfaite de ses longues jambes que je venais seulement de remarquer, mon regard attentif, mes lèvres entrouvertes. Je m'arrêtais dans ma lancée, mes mains s'aventurant légèrement sous la limite imposée par sa robe, relevant mes yeux vers elle, posant mes bras de part et d'autre du lavabo, de part et d'autre d'elle, posture dominante. Un silence. Je la fixais, un peu sans gêne, encore plus sans gêne dû à l'alcool dans mon sang. Je penchais ma tête sur le côté, remontant mes doigts vers sa mâchoire. « J'aime ta bouche... » Pour ponctuer ma phrase, mon pouce venait caresser sa lèvre inférieure, soulevant un peu plus son menton vers moi. « Si pulpeuses... Puis-je... encore... ? » susurrais-je, en me rapprochant lentement vers elle, cherchant dans son regard un refus, une pointe négative, et puis je reportais mon attention sur ses lèvres que j'embrassais sans hésiter. Ma main gauche venait creuser ses reins pour la coller un peu plus contre mon torse, dévorant avec tentation le souffle de la jeune femme...  
  

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Li Wei & In Ha

J’étais d’une faiblesse à mourir. Mais comment ne pas l’être ? Il faudrait être aveugle. Regardez-la, elle était ravissante, adorable et sa bouche était bien trop tentante… Surtout avec l’alcool dans mon sang qui penchait en ma faveur ! Cela rendait la résistance difficile, inutile et désuète. Ses lèvres étaient mouillées, je sentais le goût du champagne bon marché, un zeste de citron, peut-être une boisson qu’elle avait bu plus tôt. Allez savoir, peu importait… Je l’embrassais simplement, je m’en rendais compte sans être sûr de mes actes à 100%, à l’heure actuelle. Des petits baisers, mélangés au début par quelques sourires, quelques rires car je venais de l’arroser et cette image me restait en tête. Doucement, affectueusement. Mes bras se resserrant autour d’elle, creusant ses reins, se baladant distraitement sur sa taille, cherchant sa chaleur bien agréable que j’avais dû mal à laisser partir. Je déposai des baisers les uns après les autres, d’un air enfantin, les prolongeant peu à peu avec plus d’envie, amusé par le fait qu’elle réponde à mes gestes. D’un air arrogant, mes yeux plongés dans les siens, je glissai ma langue vers la sienne, un désir soudain grondant en contrebas. Assise sur le carrelage du lavabo, je la fis descendre, collée contre moi, ralentissant peu à peu le rythme de notre soudaine attraction. Je relâchai sa bouche avec un sourire, restant à quelques centimètres de celle-ci. « Il s’est passé quoi.. Là… ? Qu’est-ce qu’on est entrain de faire, hm.. ? » murmurai-je, son souffle chaud contre le mien. C’était n’importe quoi, j’en étais certain, si du moins je réfléchissais un minimum à la situation. Mais ce n’était pas le cas. Tout ce que je ressentais, c’était que c’était… bon. Je lâchai un soupir, essayant de me contenir, mais elle était près, bien trop près. Je lorgnais sur sa silhouette vue de dos, à travers le miroir derrière elle, remarquant je ne sais comment que sa fermeture éclair était entrouverte. « Retourne-toi. » lâchai-je d’une voix plus grave, agrémenté de mon éternel sourire pour faire passer la réplique qui sonnait comme un ordre détourné. Je posai mes mains sur ses hanches, l’incitant à suivre le mouvement, afin qu’elle se retrouve dos à moi, et face au miroir. Mes doigts se crispaient le long de sa robe, alors que j’attrapai lentement la fermeture. « Quelle aguicheuse ! » lui lançai-je, d’un air taquin, mon index passant dans l’ouverture, sur sa peau. Je tentais de refermer le tout, mais cela semblait bloqué, et je lâchai un nouveau rire, confirmant que je ne faisais vraiment pas exprès, même si l’alcool pesait légèrement sur mon crâne, donc on pouvait en douter ! Plus que légèrement. Je me rapprochai d’elle, mon souffle dans sa nuque. « Ça me résiste. Il va falloir la descendre, puis la remonter, avec… ta permission bien sûr… » Et c’était ce que je fis, descendre la fermeture avec lenteur, jouant avec le miroir pour regarder Li Wei droit dans les yeux, alors qu’elle devait sentir sa robe peu à peu se détendre. Je jetai un coup d’œil à son dos, la fermeture entrouverte jusqu’au bas de ses reins. Fine silhouette, une jolie cambrure que j’admirais un instant, distrait, la tête penchée sur le côté, laissant un bref silence s’installer. « … Si il y a une chose chez une femme qui est aussi sexy que sa poitrine, ou ses fesses, c’est bel et bien, la cambrure de ses reins. Cette cambrure-là… » murmurai-je, glissant l’une de mes mains sur sa hanche, et l’autre sur son ventre, pour l’attirer contre moi. Je m’abaissai pour embrasser le bas de son dos de quelques baisers, ce creux si bien marqué que je redessinais du bout de la langue, avant de relever mes yeux vers le miroir pour lui sourire, voir sa réaction. Elle avait la peau douce, une vraie torture… Je dégageais ses longs cheveux bruns sur l’une de ses épaules, collant un peu plus mon torse contre son dos, lâchant un énième soupir. « Je devrais te ramener je pense. » Sinon, j’allais la goûter... Non, c’était déjà fait. M’en imprégner davantage, la dévorer… Et les lieux étaient bofbof. Ma voiture était quelque part dehors, et je n’allais pas certainement pas laisser la jolie brune ici dans cet état-là, état qui était aussi atteint que le mien d'ailleurs...   
  

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