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Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile.
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Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 0:42 Citer EditerSupprimer Xin Lin Yao
Inu/Pingu
Il est ma part de lumière, tu es ma part d'ombre.
#Aventureuse | #Curieuse | #Patiente | #Sauvageonne | #Docile |
#Impulsive | #Têtue | #Perfectionniste | #Forte | #Provocatrice |
NOM : Xin PRÉNOM : Lin Yao ÂGE : 26 ans. ORIGINES : Chinoise . NATIONALITÉ : Coréenne CLASSE SOCIALE : Riche par alliance, mais venant du famille pauvre. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro, mais il lui est arrivé d'être attirée pas des femmes. CURSUS UNIVERSITAIRE : /. MÉTIER : professeur de chinois-anglais-japonais Code du règlement : baimaxTU VEUX T'INVESTIR? : pas cette fois
“ Rumour has it : Elle est couverte de tatouage. (Vrai et Faux. Autrefois elle en avait sur une grande partie du corps, mais son copain le lui a fait retirer plus d'un au lazer, voulant la conformiser à ses normes. Aujourd'hui, elle n'en a plus que sur la cuisse, le bras, le dos et les reins. Le tout du côté gauche.)+Elle s'est fait refaire le corps à plusieurs endroits (Faux. Malgré tout ce que l'on dit, tout est vrai.) + Elle a un casier judiciaire bien rempli pour détention de stupéfiant. (Vrai. Et pour consommation aussi. Elle a aussi eu quelques cas de vols. Bien entendu, ce n'est plus le cas, maintenant et elle est clean depuis cinq ans. ce qui n'était pas le cas lors de son adolescence.) + Elle aurait déjà couché avec le proviseur Shim Sang Hoon (Faux. Elle est dans une relation amoureuse depuis cinq ans avec le même homme et en est raide dingue amoureuse.) +un sextape d'elle trainerait sur internet. (Vrai et faux. Un de ses ex lors de ses années folles avaient filmé leurs ébats à son insu, et avait menacé de le mettre sur internet si elle le quittait. Elle essaya de retrouver la video, mais n'y parvint pas.) + Elle resterait souvent apres les cours pour aider les élèves en difficulté. (Vrai. Elle prend son métier très à coeur.) + Elle voulait devenir mannequin. (Vrai. C'est sans doute pour cela que sa vie à mal tourné, ayant arrêter les études bien trop tôt, se lançant dans un monde trop grand pour elle.)+ Elle adorerait danser sur les musiques de groupes d’idoles féminines dans sa cuisine ou son salon, et baverait même sur quelques idoles de Kpop masculins. (Vrai. C'est encore une adolescente dans sa tête au fond.) .+ Elle cacherait ses sous-vêtements sexy au fond de son armoire pour ne pas que son fiancé ne tombe dessus (Vrai. Il trouve cela trop indécent à son gout. Selon lui, c'était bon que pour les traînées.) +Elle adorerait les soins pour la peau. (Vrai. Elle est coquette et aime prendre soin de son corps.) + Elle fait des courses de motos.(Faux. Elle ne sait pas conduire, mais elle adorerait apprendre à en conduire.) + Sa coque de telephone serait un rikkaluma géant. (Vrai, mais elle ne le met pas souvent, car son fiancé n'aime pas ca.) + Elle n'a vu sa belle-mère qu'une seule fois dans sa vie. (Vrai, et elle n'avais pas l'air de l’apprécier.) +Elle aime le karaoké (Vrai. Elle chante même pas trop mal.) + Elle a une collection impressionnante de chaussures. (Vrai. Elle possède un dressing de la taille d'une piece simplement pour eux. alors que ces vêtements tiennent dans une penderie.) + Elle est tres souple et a un bon équilibre. (Vrai. C'est du au sport qu'elle faisait étant petite.) + Elle se damnerait pour des beignets, ce qui lui a valu le surnom de Homer quand elle était au lycée (Vrai. C'est une vrai gourmande quand il s'agit de pâtisserie.) + elle se serait fait elle même certain de ses tatouages. (Vrai. Elle a tout un équipement qu'ellel cache sous les planches du plancher pour que son copain ne les trouve pas. )+ Elle a une véritable passion pour la peinture. (Vrai. C'est son monde à elle quand ne rien ne va, elle s'évade à travers cette fenetre qu'est la toile.)
“ Rumour has it : Elle est couverte de tatouage. (Vrai et Faux. Autrefois elle en avait sur une grande partie du corps, mais son copain le lui a fait retirer plus d'un au lazer, voulant la conformiser à ses normes. Aujourd'hui, elle n'en a plus que sur la cuisse, le bras, le dos et les reins. Le tout du côté gauche.)+Elle s'est fait refaire le corps à plusieurs endroits (Faux. Malgré tout ce que l'on dit, tout est vrai.) + Elle a un casier judiciaire bien rempli pour détention de stupéfiant. (Vrai. Et pour consommation aussi. Elle a aussi eu quelques cas de vols. Bien entendu, ce n'est plus le cas, maintenant et elle est clean depuis cinq ans. ce qui n'était pas le cas lors de son adolescence.) + Elle aurait déjà couché avec le proviseur Shim Sang Hoon (Faux. Elle est dans une relation amoureuse depuis cinq ans avec le même homme et en est raide dingue amoureuse.) +un sextape d'elle trainerait sur internet. (Vrai et faux. Un de ses ex lors de ses années folles avaient filmé leurs ébats à son insu, et avait menacé de le mettre sur internet si elle le quittait. Elle essaya de retrouver la video, mais n'y parvint pas.) + Elle resterait souvent apres les cours pour aider les élèves en difficulté. (Vrai. Elle prend son métier très à coeur.) + Elle voulait devenir mannequin. (Vrai. C'est sans doute pour cela que sa vie à mal tourné, ayant arrêter les études bien trop tôt, se lançant dans un monde trop grand pour elle.)+ Elle adorerait danser sur les musiques de groupes d’idoles féminines dans sa cuisine ou son salon, et baverait même sur quelques idoles de Kpop masculins. (Vrai. C'est encore une adolescente dans sa tête au fond.) .+ Elle cacherait ses sous-vêtements sexy au fond de son armoire pour ne pas que son fiancé ne tombe dessus (Vrai. Il trouve cela trop indécent à son gout. Selon lui, c'était bon que pour les traînées.) +Elle adorerait les soins pour la peau. (Vrai. Elle est coquette et aime prendre soin de son corps.) + Elle fait des courses de motos.(Faux. Elle ne sait pas conduire, mais elle adorerait apprendre à en conduire.) + Sa coque de telephone serait un rikkaluma géant. (Vrai, mais elle ne le met pas souvent, car son fiancé n'aime pas ca.) + Elle n'a vu sa belle-mère qu'une seule fois dans sa vie. (Vrai, et elle n'avais pas l'air de l’apprécier.) +Elle aime le karaoké (Vrai. Elle chante même pas trop mal.) + Elle a une collection impressionnante de chaussures. (Vrai. Elle possède un dressing de la taille d'une piece simplement pour eux. alors que ces vêtements tiennent dans une penderie.) + Elle est tres souple et a un bon équilibre. (Vrai. C'est du au sport qu'elle faisait étant petite.) + Elle se damnerait pour des beignets, ce qui lui a valu le surnom de Homer quand elle était au lycée (Vrai. C'est une vrai gourmande quand il s'agit de pâtisserie.) + elle se serait fait elle même certain de ses tatouages. (Vrai. Elle a tout un équipement qu'ellel cache sous les planches du plancher pour que son copain ne les trouve pas. )+ Elle a une véritable passion pour la peinture. (Vrai. C'est son monde à elle quand ne rien ne va, elle s'évade à travers cette fenetre qu'est la toile.)
“ Caractère :
UNE FEMME FATALE, UNE EPOUSE PARFAITE :
Lin Yao, ca a toujours été le genre de femme qui s’assume, qui n’a jamais eu honte de son corps, sachant le mettre en valeur. Déjà lors de son adolescente, elle savait comment faire mouche dans le cœur des garçons, les harponnant à sa guise. Elle avait ce côté sauvage et indomptable qui les faisait craquer. Ce petit air malicieux dans les yeux qui disait « Attrapes-moi si tu peux. », mais elle courait si vite, qu’on n’arrivait jamais à la piéger. Elle était telle une féline sauvage, faisant de chaque lieu, son nouveau territoire de jeux. Elle savait jouer de la provocation sans tomber dans la vulgarité. Elle avait le don de pousser les gens à bout, les mettant au défi de faire mieux qu’elle et de toujours en sortir vainqueur. Ayant ce côté impulsif qui la poussait à faire parfois des choses dont elle ne se doutait pas capable de faire. Un petit bout de femme indépendante qui n’avait peur de rien, des rêves fous pleins la tête et vivant de liberté. Elle croquait la vie à pleine dent sans se soucier du lendemain.
Sauf qu’un jour, la belle colombe qui volait en toute liberté s’est faite attrapé et mise dans une belle cage dorée. Son comportement fut contrôlé et conformés aux normes de la haute société. Elle aimait l’homme qui partageait sa vie, au point de lui accorder tout ce dont il demandait. Elle devint docile, obéissant aux moindres de ses ordres, même quand elle n’en avait pas vraiment envie. Elle est aux petits soins avec lui, faisant le ménage pendant qu’il est au travail, sachant cuisiner comme personne. Petit à petit, elle cachait son corps de rêve sous de grandes robes ou des tailleurs bien taillés. Elle prenait l’image de la femme que son aimé voulait qu’elle ait. Par amour, elle était capable de changer de tout au tout pour plaire à cet homme qui la détruisait à petit feu sans qu’elle ne s’en rende compte. Elle était devenue l’image que toute femme rêvait d’être, mais elle n’était pas plus heureuse pour autant. Elle était devenue une femme douce, docile, un peu soumise, qui répondait au caprice de son homme.
Deux personnalités presque totalement opposées pour une même personne, et pourtant, le tout la composait. On pensait la première partie effacé, disparue à jamais. Mais elle était simplement endormie. Comme la belle au bois dormant, il suffisait du baiser d’un prince pour la réveiller.
UN PROFESSEUR DE CHOC AU CARACTERE BIEN TREMPE :
Lin Yao, c’est un jeune professeur qui s’est fait sa petite place au sein des élèves. Ce ne fut pas facile au début. Elle se revoyait à leur âge, telle une jument indomptable. Toujours prête à montrer qu’elle savait tenir tête à l’autorité. Elle se revoyait en eux. C’était sans doute la raison pour laquelle elle comprenait mieux que quiconque leur façon de penser, car au fond, elle était toujours resté la même. Ca a commencé par une espèce de bizutage de bienvenue auquel elle prit part avec le sourire, ripostant même par moment, retournant la supposée blague contre son concepteur. Elle était patiente avec eux et savait comment faire pour les rendre docile. Il avait fallu le temps, mais elle a su gagné leur confiance et aujourd’hui, elle était plus qu’un professeur, c’était une amie, une grande sœur, une maman pour certains. Elle savait être à l’écoute quand ils en avaient besoin, prendre leur défense quand ils l’appelaient à l’aide. Elle ne refermait jamais la porte quand ils avaient besoin d’elle. Elle était douce et posée, les conseillant parfois, prenant exemple sur son vécu, se souvenant de son lourd passé. Elle était bienveillante avec eux, les considérant comme ses propres enfants. Pourtant, ce n’était pas pour autant qu’elle se laissait chahuter. Il n’y avait pas intérêt à ce qu’on perturbe son cours où c’était la lionne en elle qui était libérée. Elle n’avait pas peur de remettre un étudiant trop arrogant à sa place, hurler sur un dur à cuir ou lancer un frotteur sur étudiant trop beau parleur. Et n’essayez pas de l’avoir par l’usure, elle est aussi têtue que vous. C’est un long périple que vous vous apprêtez à entreprendre là. Surtout que vous étiez certains d’en ressortir perdant.
UNE FEMME FATALE, UNE EPOUSE PARFAITE :
Lin Yao, ca a toujours été le genre de femme qui s’assume, qui n’a jamais eu honte de son corps, sachant le mettre en valeur. Déjà lors de son adolescente, elle savait comment faire mouche dans le cœur des garçons, les harponnant à sa guise. Elle avait ce côté sauvage et indomptable qui les faisait craquer. Ce petit air malicieux dans les yeux qui disait « Attrapes-moi si tu peux. », mais elle courait si vite, qu’on n’arrivait jamais à la piéger. Elle était telle une féline sauvage, faisant de chaque lieu, son nouveau territoire de jeux. Elle savait jouer de la provocation sans tomber dans la vulgarité. Elle avait le don de pousser les gens à bout, les mettant au défi de faire mieux qu’elle et de toujours en sortir vainqueur. Ayant ce côté impulsif qui la poussait à faire parfois des choses dont elle ne se doutait pas capable de faire. Un petit bout de femme indépendante qui n’avait peur de rien, des rêves fous pleins la tête et vivant de liberté. Elle croquait la vie à pleine dent sans se soucier du lendemain.
Sauf qu’un jour, la belle colombe qui volait en toute liberté s’est faite attrapé et mise dans une belle cage dorée. Son comportement fut contrôlé et conformés aux normes de la haute société. Elle aimait l’homme qui partageait sa vie, au point de lui accorder tout ce dont il demandait. Elle devint docile, obéissant aux moindres de ses ordres, même quand elle n’en avait pas vraiment envie. Elle est aux petits soins avec lui, faisant le ménage pendant qu’il est au travail, sachant cuisiner comme personne. Petit à petit, elle cachait son corps de rêve sous de grandes robes ou des tailleurs bien taillés. Elle prenait l’image de la femme que son aimé voulait qu’elle ait. Par amour, elle était capable de changer de tout au tout pour plaire à cet homme qui la détruisait à petit feu sans qu’elle ne s’en rende compte. Elle était devenue l’image que toute femme rêvait d’être, mais elle n’était pas plus heureuse pour autant. Elle était devenue une femme douce, docile, un peu soumise, qui répondait au caprice de son homme.
Deux personnalités presque totalement opposées pour une même personne, et pourtant, le tout la composait. On pensait la première partie effacé, disparue à jamais. Mais elle était simplement endormie. Comme la belle au bois dormant, il suffisait du baiser d’un prince pour la réveiller.
UN PROFESSEUR DE CHOC AU CARACTERE BIEN TREMPE :
Lin Yao, c’est un jeune professeur qui s’est fait sa petite place au sein des élèves. Ce ne fut pas facile au début. Elle se revoyait à leur âge, telle une jument indomptable. Toujours prête à montrer qu’elle savait tenir tête à l’autorité. Elle se revoyait en eux. C’était sans doute la raison pour laquelle elle comprenait mieux que quiconque leur façon de penser, car au fond, elle était toujours resté la même. Ca a commencé par une espèce de bizutage de bienvenue auquel elle prit part avec le sourire, ripostant même par moment, retournant la supposée blague contre son concepteur. Elle était patiente avec eux et savait comment faire pour les rendre docile. Il avait fallu le temps, mais elle a su gagné leur confiance et aujourd’hui, elle était plus qu’un professeur, c’était une amie, une grande sœur, une maman pour certains. Elle savait être à l’écoute quand ils en avaient besoin, prendre leur défense quand ils l’appelaient à l’aide. Elle ne refermait jamais la porte quand ils avaient besoin d’elle. Elle était douce et posée, les conseillant parfois, prenant exemple sur son vécu, se souvenant de son lourd passé. Elle était bienveillante avec eux, les considérant comme ses propres enfants. Pourtant, ce n’était pas pour autant qu’elle se laissait chahuter. Il n’y avait pas intérêt à ce qu’on perturbe son cours où c’était la lionne en elle qui était libérée. Elle n’avait pas peur de remettre un étudiant trop arrogant à sa place, hurler sur un dur à cuir ou lancer un frotteur sur étudiant trop beau parleur. Et n’essayez pas de l’avoir par l’usure, elle est aussi têtue que vous. C’est un long périple que vous vous apprêtez à entreprendre là. Surtout que vous étiez certains d’en ressortir perdant.
“ Once upon a time :Son corps collé à mon dos nu, sa main remontait sur ma cuisse avec une douceur presque douloureuse contournant mes nombreux tatouages. Je le regardais faire, une lueur de tristesse voilant mes yeux, sachant que j’allais dire adieu à une partie de mon passé. Je sursautais presque quand il s’arrêtait sur l’un d’entre eux, appuyant un peu plus fort sur ma peau. « Et si on commençait par celui-là ? Je n’ai jamais été vraiment fan des têtes de mort. » Il sourit tendrement, comme si il attendait mon accord, mais lui comme moi, nous savions qu’il n’en avait pas besoin. Il reprit son chemin, caressant le creux de mes reins, passant par mon dos pour revenir le long de mon bras en redescendant. Il eut une moue désapprobatrice, fronçant les sourcils. « Il y en a tellement. Ca va prendre un temps fou de les faire enlever un à un. » Il cherchait sa prochaine cible pour s’arrêter sur un tatouage d’une épée protégée par des ailes. Pris d’un sentiment de panique, j’attrapais son poignet. « Non. Pas celui-là. » commençais-je sur un ton rapide, le suppliant du regard, avant de vite le baisser. « S’il te plait, il est important pour moi. » Je l’entendis soupirer dans un silence qui me parut une éternité, avant de me sourire, bienveillant. « D’accord. On va y aller doucement, un par un. Celui-là sera le dernier. » Il … Quoi que je puisse dire, il aura toujours le dernier mot. J’avais beau le supplier de ne pas vouloir me changer de la sorte, il s’entêtait à faire disparaitre toute trace de mon passée. Que ça me plaise ou non. Et sa première mission, était de faire disparaître mes tatouages au lazer.
Un ange est tombé du ciel...
Mon histoire, elle commence en Chine, là où je suis née. Dans une petite famille de paysans, aux faibles revenus, j’étais devenu comme un petit ange sur lequel on veillait, comme tomber du ciel pour faire le bonheur alors que ne m’attendait plus. Vu l’âge de ma mère, mon père ne pensait plus avoir d’enfant, mais le ciel entendit ses prières, et il fut le plus heureux des hommes. Il se pliait en quatre pour moi, voulant combler le moindre de mes caprices d’enfants. Pas une seule fois, il n’éleva la voix sur moi. Pas une seule fois, il ne leva la main sur moi. Je dois avoir eu l’enfance la plus heureuse qu’il ait pu exister un jour sur cette terre. J’étais une petite fille heureuse, avec des rêves plein la tête, qui regardait le monde à travers ses yeux d’enfants qui rendaient tout plus magique qu’il ne l’était vraiment. L’un d’eux, était de devenir mannequin. J’aimais ces femmes aux longues jambes à la taille de guêpe qui défilaient avec des parures plus jolies les unes que les autres. Je voulais être comme elles quand je serais plus grande. Je m’entrainais dans ma chambre, un livre sur la tête, à déambuler, droite dans ma tenue, prenant des pauses pour des photographes fictifs qui applaudissaient ma beauté. Je me prenais au jeu. Peut-être un peu de trop ? Je collectionnais des photos de publicité come Dior, Armani ou bien d’autres encore. Ceux que je trouvais ou que mes amis gardaient pour moi et je les placardais dans ma chambre. Personne ne pouvait fermer les yeux sur ce rêve qui me tenait tant à cœur, et encore moins mes parents. Sans que je ne leur demande, ils m’inscrivirent dans une école spécialisée qui devait faire de moi une des meilleures, me préparant au mieux. J’étais conquise. J’étais heureuse.
Le début d'une longue et lente descente aux enfers...
Je recommençais tout à zéro. Pour accomplir mon rêve, j’avais été arraché à mes amis, arrêtant les études basiques, et catapulté dans la capitale. Loin du confort de mon chez moi, de mon petit village natale pour la grande ville, pour avoir un maximum de chance de mon côté pour apprendre et percer dans le métier. Les débuts furent difficiles. La petite campagnarde était pas des mieux accueillis au milieu de citadins, et la vie active avait encore de quoi me perturbée. J’habitais chez ma tante le temps de finir mes études. Un logement qui avait de quoi me dérouter. Elle n’était jamais là. L’appartement était toujours vide. Je me sentais seule. Et quand elle daignait se montrer, c’était pour étaler ses ébats avec son nouvel amant. Je passais mon temps enfermé dans ma chambre, regrettant presque qu’elle ait montré le bout de son nez. J’avais à peine treize ans que je dus apprendre à me débrouiller seule.. J’avais à peine treize ans que je dus apprendre à me débrouiller seule. C’est sans doute à cette époque que je me découvris des dons pour la cuisine. J’arrivais à faire quelque chose de mangeable et bon avec les restes du frigo. Parfois rien. Ca relevait presque du miracle.
Cette situation dura un peu pres deux années, avant que quelqu’un ne me découvre et décide de me donner une chance comme jeune mannequin. J’étais heureuse dans un premier temps. J’avais subit pas mal de chose, mais j’avais pris sur moi et ca payait enfin. Mes parents qui se démenaient comme des forcenées pour me payer ces études hors de prix pour leur petit salaire de paysan furent quelque peu soulagé d’apprendre la nouvelle. Ils étaient un peu réticent de me laisser partir pour Séoul si jeune. J’étais plus une enfant et pas encore tout à fait une femme. Mais l’agence avait réussi à les convaincre en leur exposant que je serais bien entourée et prise en charge et puis, mon enthousiasme avait fini par les achever.
LES ENFERS, C’EST PAS SI MAL QUAND ON AIME…
On n’aurait pu croire qu’une fois mon rêve réalisé, tout irait bien. Je m’étais imaginé beaucoup de chose, mais ce que j’ai vécu tenait plus du cauchemar que du rêve. Une fois installée à Séoul, j’eus mon petit moment de gloire. On me donnait le surnom de beauté prodige. J’étais fière de porter ce nom et que les personnes me trouvent belle comme ces femmes que je regardais défiler sur les podiums quand j’étais encore une enfant. Je n’avais que quinze ans et j’étais promu à une belle carrière. Cependant, le destin en avait voulu autrement. Je m’étais épris d’un jeune apprenti photographe. Une belle histoire d’amour comme tant d’autres qui tourna au vinaigre. Il se droguait. Et il m’a fait tomber dans sa descente. C’était un véritable junkie et par amour, je l’ai suivi dans sa folie. Je faisais passer cet amour avant tout le reste. Les médias se lassèrent de moi. Les stylistes ne voulaient pas d’un mannequin à scandale. L’agence me vira. J’étais trop honteuse pour faire face à mes parents après tout ce qu’ils avaient fait pour moi et je finis par couper les ponts, squattant chez mon nouveau copain. Il savait tatouer. Il a d’ailleurs tatoué une partie de mon corps. Et il m’apprit. Peut-être la seule chose qui me reste de lui dont je le remercie de m’avoir confié. Cette folie délirant et psychédélique dura jusqu’à mes vingt ans. J’étais devenue une camé, choutée pour la plupart du temps, ma mémoire ne me revenant que par bride. Mais pour ce dont je me souvenais, je préférais oublier. J’ai fait des horreurs quand j’étais sous l’emprise de la drogue au point que je préfère ne pas vous en faire part. Un jour, peut-être. Un jour je serais prête à me confier, mais ce n’est pas encore le cas…
LA FIN DES JOURS NOIRS, UN ANGE EST APPARU …
Je crois que le summum que j’ai pu supporter, c’était à l’âge de vingt ans. Je me trouvais dans le squat de mon copain et son meilleur ami, prenant notre dose quotidienne quand mon chéri du moment fit une overdose. Je me souvenais avoir hurlé son nom à la mort, le giflant, essayant de lui faire ouvrir les yeux. Je n’eus pas le temps de comprendre qu’il était mort que son meilleur ami se jeta sur moi. Il disait avoir attendu un moment pareil depuis des années. Il voulait juste me prendre comme une vulgaire poupée de chiffon. Il ricanait, me surplombant. Je me souvenais m’être débattu et avoir hurlé comme une procédées en espérant que quelqu’un m’entende. J’avais peu d’espoir et pourtant… un jeune homme bien habillé vint frapper mon agresseur. Une fois que je vis son visage, je m’évanouis comme si j’étais certaine d’être en sécurité maintenant…
UN BONHEUR EN PERDITION …
Six ans. Six depuis cette nuit où il m’a retrouvé. Six ans que je vis avec lui. Six ans qu’il m’aime. On pourrait dire que c’est un miracle, mais pouvait-on le dire dans le cas où une personne essaye de changer l’autre pour la former à son image ? C’est mon sauveur. Je lui dois la vie. Tout. Je lui serais reconnaissante jusqu’à la fin de mes jours. Et pour couronner le tout, je l’aimais comme une dingue. Sans doute que beaucoup diront que je suis maso d’aimer de la sorte, d’aimer au point de laisser mon aimé me changer pour que je ressemble à la femme parfaite qu’il veut que je sois. En même temps, il n’était pas n’importe qui. C’était le fils d’une famille riche. Et j’étais un peu le vilain petit canard de la famille. Et pour que ses parents m’acceptent, il faisait ce qu’il avait à faire. Il cachait mes tatouages qui était plutôt mal vu. Quand il ne prenait pas rendez-vous dans un centre pour me les enlever un à un, il surveillait à ce que je suive bien mon traitement de désintox. Il m’interdit de fumer, alors que parfois je ne peux vraiment pas m’en passer. Il a troqué mes jeans troués et mes t-shirt trop court pour des longues robes de marques ou des tailleurs bien coupés. Il m’offre des cadeaux hors de prix. Il m’a offert une formation de professeur et trouvé un boulot à Yonsei. En gros, il m’a enfermé dans une cage dorée pour etre certain que jamais je n’enfuis. Et moi, je l’aime tellement que je craque au moindre de ses caprices, même si pour cela, je dois étouffer celle que je suis vraiment. Jusqu’à ce qu’il entre dans ma vie…
QUAND UN DEMON DECIDE DE VENIR TOUT CHAMBOULER…
Un ange est tombé du ciel...
Mon histoire, elle commence en Chine, là où je suis née. Dans une petite famille de paysans, aux faibles revenus, j’étais devenu comme un petit ange sur lequel on veillait, comme tomber du ciel pour faire le bonheur alors que ne m’attendait plus. Vu l’âge de ma mère, mon père ne pensait plus avoir d’enfant, mais le ciel entendit ses prières, et il fut le plus heureux des hommes. Il se pliait en quatre pour moi, voulant combler le moindre de mes caprices d’enfants. Pas une seule fois, il n’éleva la voix sur moi. Pas une seule fois, il ne leva la main sur moi. Je dois avoir eu l’enfance la plus heureuse qu’il ait pu exister un jour sur cette terre. J’étais une petite fille heureuse, avec des rêves plein la tête, qui regardait le monde à travers ses yeux d’enfants qui rendaient tout plus magique qu’il ne l’était vraiment. L’un d’eux, était de devenir mannequin. J’aimais ces femmes aux longues jambes à la taille de guêpe qui défilaient avec des parures plus jolies les unes que les autres. Je voulais être comme elles quand je serais plus grande. Je m’entrainais dans ma chambre, un livre sur la tête, à déambuler, droite dans ma tenue, prenant des pauses pour des photographes fictifs qui applaudissaient ma beauté. Je me prenais au jeu. Peut-être un peu de trop ? Je collectionnais des photos de publicité come Dior, Armani ou bien d’autres encore. Ceux que je trouvais ou que mes amis gardaient pour moi et je les placardais dans ma chambre. Personne ne pouvait fermer les yeux sur ce rêve qui me tenait tant à cœur, et encore moins mes parents. Sans que je ne leur demande, ils m’inscrivirent dans une école spécialisée qui devait faire de moi une des meilleures, me préparant au mieux. J’étais conquise. J’étais heureuse.
Le début d'une longue et lente descente aux enfers...
Je recommençais tout à zéro. Pour accomplir mon rêve, j’avais été arraché à mes amis, arrêtant les études basiques, et catapulté dans la capitale. Loin du confort de mon chez moi, de mon petit village natale pour la grande ville, pour avoir un maximum de chance de mon côté pour apprendre et percer dans le métier. Les débuts furent difficiles. La petite campagnarde était pas des mieux accueillis au milieu de citadins, et la vie active avait encore de quoi me perturbée. J’habitais chez ma tante le temps de finir mes études. Un logement qui avait de quoi me dérouter. Elle n’était jamais là. L’appartement était toujours vide. Je me sentais seule. Et quand elle daignait se montrer, c’était pour étaler ses ébats avec son nouvel amant. Je passais mon temps enfermé dans ma chambre, regrettant presque qu’elle ait montré le bout de son nez. J’avais à peine treize ans que je dus apprendre à me débrouiller seule.. J’avais à peine treize ans que je dus apprendre à me débrouiller seule. C’est sans doute à cette époque que je me découvris des dons pour la cuisine. J’arrivais à faire quelque chose de mangeable et bon avec les restes du frigo. Parfois rien. Ca relevait presque du miracle.
Cette situation dura un peu pres deux années, avant que quelqu’un ne me découvre et décide de me donner une chance comme jeune mannequin. J’étais heureuse dans un premier temps. J’avais subit pas mal de chose, mais j’avais pris sur moi et ca payait enfin. Mes parents qui se démenaient comme des forcenées pour me payer ces études hors de prix pour leur petit salaire de paysan furent quelque peu soulagé d’apprendre la nouvelle. Ils étaient un peu réticent de me laisser partir pour Séoul si jeune. J’étais plus une enfant et pas encore tout à fait une femme. Mais l’agence avait réussi à les convaincre en leur exposant que je serais bien entourée et prise en charge et puis, mon enthousiasme avait fini par les achever.
LES ENFERS, C’EST PAS SI MAL QUAND ON AIME…
On n’aurait pu croire qu’une fois mon rêve réalisé, tout irait bien. Je m’étais imaginé beaucoup de chose, mais ce que j’ai vécu tenait plus du cauchemar que du rêve. Une fois installée à Séoul, j’eus mon petit moment de gloire. On me donnait le surnom de beauté prodige. J’étais fière de porter ce nom et que les personnes me trouvent belle comme ces femmes que je regardais défiler sur les podiums quand j’étais encore une enfant. Je n’avais que quinze ans et j’étais promu à une belle carrière. Cependant, le destin en avait voulu autrement. Je m’étais épris d’un jeune apprenti photographe. Une belle histoire d’amour comme tant d’autres qui tourna au vinaigre. Il se droguait. Et il m’a fait tomber dans sa descente. C’était un véritable junkie et par amour, je l’ai suivi dans sa folie. Je faisais passer cet amour avant tout le reste. Les médias se lassèrent de moi. Les stylistes ne voulaient pas d’un mannequin à scandale. L’agence me vira. J’étais trop honteuse pour faire face à mes parents après tout ce qu’ils avaient fait pour moi et je finis par couper les ponts, squattant chez mon nouveau copain. Il savait tatouer. Il a d’ailleurs tatoué une partie de mon corps. Et il m’apprit. Peut-être la seule chose qui me reste de lui dont je le remercie de m’avoir confié. Cette folie délirant et psychédélique dura jusqu’à mes vingt ans. J’étais devenue une camé, choutée pour la plupart du temps, ma mémoire ne me revenant que par bride. Mais pour ce dont je me souvenais, je préférais oublier. J’ai fait des horreurs quand j’étais sous l’emprise de la drogue au point que je préfère ne pas vous en faire part. Un jour, peut-être. Un jour je serais prête à me confier, mais ce n’est pas encore le cas…
LA FIN DES JOURS NOIRS, UN ANGE EST APPARU …
Je crois que le summum que j’ai pu supporter, c’était à l’âge de vingt ans. Je me trouvais dans le squat de mon copain et son meilleur ami, prenant notre dose quotidienne quand mon chéri du moment fit une overdose. Je me souvenais avoir hurlé son nom à la mort, le giflant, essayant de lui faire ouvrir les yeux. Je n’eus pas le temps de comprendre qu’il était mort que son meilleur ami se jeta sur moi. Il disait avoir attendu un moment pareil depuis des années. Il voulait juste me prendre comme une vulgaire poupée de chiffon. Il ricanait, me surplombant. Je me souvenais m’être débattu et avoir hurlé comme une procédées en espérant que quelqu’un m’entende. J’avais peu d’espoir et pourtant… un jeune homme bien habillé vint frapper mon agresseur. Une fois que je vis son visage, je m’évanouis comme si j’étais certaine d’être en sécurité maintenant…
UN BONHEUR EN PERDITION …
Six ans. Six depuis cette nuit où il m’a retrouvé. Six ans que je vis avec lui. Six ans qu’il m’aime. On pourrait dire que c’est un miracle, mais pouvait-on le dire dans le cas où une personne essaye de changer l’autre pour la former à son image ? C’est mon sauveur. Je lui dois la vie. Tout. Je lui serais reconnaissante jusqu’à la fin de mes jours. Et pour couronner le tout, je l’aimais comme une dingue. Sans doute que beaucoup diront que je suis maso d’aimer de la sorte, d’aimer au point de laisser mon aimé me changer pour que je ressemble à la femme parfaite qu’il veut que je sois. En même temps, il n’était pas n’importe qui. C’était le fils d’une famille riche. Et j’étais un peu le vilain petit canard de la famille. Et pour que ses parents m’acceptent, il faisait ce qu’il avait à faire. Il cachait mes tatouages qui était plutôt mal vu. Quand il ne prenait pas rendez-vous dans un centre pour me les enlever un à un, il surveillait à ce que je suive bien mon traitement de désintox. Il m’interdit de fumer, alors que parfois je ne peux vraiment pas m’en passer. Il a troqué mes jeans troués et mes t-shirt trop court pour des longues robes de marques ou des tailleurs bien coupés. Il m’offre des cadeaux hors de prix. Il m’a offert une formation de professeur et trouvé un boulot à Yonsei. En gros, il m’a enfermé dans une cage dorée pour etre certain que jamais je n’enfuis. Et moi, je l’aime tellement que je craque au moindre de ses caprices, même si pour cela, je dois étouffer celle que je suis vraiment. Jusqu’à ce qu’il entre dans ma vie…
QUAND UN DEMON DECIDE DE VENIR TOUT CHAMBOULER…
case une citation de ton choix juste ici
Ca va, on va pas se la refaire encore une fois, vous me connaissez depuis le temps maintenant
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
code pour célébrité prise :
▲▼WANG XI RAN ✎ xin lin yao
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Invité
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Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 0:43 Citer EditerSupprimer
MON BB.
MA FEMME.
MA REINE SI BELLE.
TA PERFECTION M'ÉBLOUI.
ET TON CORPS ME FAIS RÊVER.
SI JE N'AI ATTENDU QUUNE FEMME DANS MA VIE?
SACHE QUE CEST TOI.
JE VEUX ETRE LE YING DE TON YANG.
LE LIN DE TON YAO.
SOIT LE BOM DE MON CHAN.
MA BEAUTE SAUVAGE.
MON OISEAU EMPRISONNE DANS SA CAGE DOREE.
JE SAURAIS TE DELIVRER.
JE SAURAIS TAIMER.
JE SAURAIS TE B... FAIRE LAMOUR. OUI.
avecousanssyu.
SOIT A MOI ET JE FERAIS DE TA VIE LE PLUS BEAU DES ENFERS OU TU SERAS REINE.
Je vais t'apprendre à voler.
Tu vas m'apprendre à t'aimer.
Mon bébé de moi
Attends moi
MA FEMME.
MA REINE SI BELLE.
TA PERFECTION M'ÉBLOUI.
ET TON CORPS ME FAIS RÊVER.
SI JE N'AI ATTENDU QUUNE FEMME DANS MA VIE?
SACHE QUE CEST TOI.
JE VEUX ETRE LE YING DE TON YANG.
LE LIN DE TON YAO.
SOIT LE BOM DE MON CHAN.
MA BEAUTE SAUVAGE.
MON OISEAU EMPRISONNE DANS SA CAGE DOREE.
JE SAURAIS TE DELIVRER.
JE SAURAIS TAIMER.
JE SAURAIS TE B... FAIRE LAMOUR. OUI.
avecousanssyu.
SOIT A MOI ET JE FERAIS DE TA VIE LE PLUS BEAU DES ENFERS OU TU SERAS REINE.
Je vais t'apprendre à voler.
Tu vas m'apprendre à t'aimer.
Mon bébé de moi
Attends moi
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Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 0:46 Citer EditerSupprimer
VEUX TU DIVORCER CAR FEMME RICHE PAR ALLIANCE C'EST TOTALEMENT DANS MES CORDES PIS STP 26 ANS VIENS PAS DIRE AHLALA DIEU TU ES FAITE POUR LE RÉSERVER UN LIEN;
Invité
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Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 1:03 Citer EditerSupprimer
vous êtes des tarées. pire que moi.
poutou doux
poutou doux
Invité
Invité
Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 1:09 Citer EditerSupprimer
bb a eu sa premiere place
Shirong : forcément que je te garde une place, un homme viril comme toi dans mes éleves, ca va etre dur de le dresser
Nina : je sais, on est faible :( mais on le vaut bien
Shirong : forcément que je te garde une place, un homme viril comme toi dans mes éleves, ca va etre dur de le dresser
Nina : je sais, on est faible :( mais on le vaut bien
Invité
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Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 1:12 Citer EditerSupprimer
Scandaleux.
Invité
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Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 1:37 Citer EditerSupprimer
Bande folles ! Mais t'es grave sexy !
Invité
Invité
Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 11:14 Citer EditerSupprimer
LA SEXITUDE
Invité
Invité
Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 11:18 Citer EditerSupprimer
OHPUTAIN j'vaisfaireunesyncope
Comme t'es grave sexy, ma biche. J'vais pas m'en r'mettre :sunmi:
Comme t'es grave sexy, ma biche. J'vais pas m'en r'mettre :sunmi:
Invité
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Re: Xin Lin Yao - Entre ombre et lumiere, la nuance est parfois difficile. | Mar 29 Sep - 11:49 Citer EditerSupprimer
Tragie
Merci Yunna
Reeva
Kwangho, va à l'infirmerie, je veux pas que mon cours soit perturbe
Merci Yunna
Reeva
Kwangho, va à l'infirmerie, je veux pas que mon cours soit perturbe
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