NOM : Bang PRÉNOM : San ÂGE : 21 ans ORIGINES : chinois NATIONALITÉ : coréen CLASSE SOCIALE : moyenne ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel CURSUS UNIVERSITAIRE :  art appliqué MÉTIER : vendeur Code du règlement : baymax TU VEUX T'INVESTIR? : je suis déjà rose !

    “ Rumour has it : Sa mère est partie à ses 5 ans (vrai, il pense que c’est une poufiasse) +  Son père est militaire et trop sévère (vrai, un super chieur comme il le dit) + Son frère et lui s’adorent (faux, San déteste son frère trop borné) + Il avait un chien du nom de Bat (faux, il s’appelait Spider) + Il parle chinois et anglais couramment (vrai, monsieur est trilingue) + Sa mère est une chanteuse connue (ça se pourrait bien…) + Il aurait tenté de se suicider (vrai, à ses 18 ans) + Il aurait fugué (vrai, à ses 15 ans) + Il a suivis sa thérapie pendant 3 ans (faux, il est parti au bout de deux mois et fait croire à tout le monde qu’il y a été) + Il joue du violon (archi faux ! San joue de la guitare et chante) + Il pense que le rap c’est de la merde (faux, y’a que la pop pour vous faire saigner les oreilles) + Il adore manger des légumes (encore faux, San aime les fastfood) + Il passe son temps chez son voisin (vrai, ce vieil américain a tout apprit à San) + Il serait amoureux de sa meilleure amie (archi vrai, mais elle le voit comme son frère… triste non ?) + Il collectionne les filles (vrai, il couche pour coucher) + Il se drogue (vrai, malgré qu’il fait croire le contraire) + Il déteste les tatouages (faux, il en a sur le torse, les bras et la nuque) + Son pêché mignon serait la crème chantilly (vrai et il adore en tartiner sur la peau des filles) + Il serait collectionneur (vrai, il collectionne les médiateurs) + Lui un gros fan ? (carrément, San adore Hollywood Undead. Il rêve de les suivre une tournée entière) + Fan des USA (encore vrai, il y a d’ailleurs passé plusieurs mois) + Il a de mauvaises fréquentations (vrai) + Son groupe se nomme MA (Faux, il se nomme LA) + Il veut être artiste peintre (faux, il fait du dessin pour passer le temps)

“ Caractère : Fuck everyone else, I'm a party by myself
Je ne suis pas ici pour être gentil. Je n’ai jamais appris à sourire et dire merci seulement parce-que ça « fait bien ». J’ai été éduqué, pas la peine de s’offusquer je change de sous vêtement tous les jours et prend ma douche tous les matins. Par contre pour ce qui est de se tenir, disons que je fais comme bon me semble. Si je décide de mettre mes pieds sur la table ils y seront et je me fiche pas mal de l’avis des autres. Je fais ce que je veux ! Je me pose rarement des questions pour savoir si ce que je fais est bien ou mal. Je me contente d’aller où j’ai envie sans jamais regarder autour de moi. Je suis d’un naturel solitaire surtout quand je suis plongé dans ma musique. Un tantinet obsessionnel quand j’ai une idée en tête je ne peux jamais m’en défaire. Entêté je suis, je ne lâche jamais si je n’ai pas eut ce que je voulais. Un poil impulsif il m’arrive de me bagarrer pour une simple bousculade au détour d’un couloir. Tout dépend de mon humeur, qui disons le est souvent changeante. Je dois être un peu lunatique ! Je dis oui quand je pense non. Baratineur, je crois que c’est le mot qui convient le mieux. On dit de moi que je suis nonchalant et insolent ? Vrai ! J’ai l’impression de pouvoir faire une liste énorme de mes défauts, mais avouons le je les considère comme des qualités. A coté de ça je suis tout de même attentionné avec les gens que j’aime, j’adore m’amuser, sortir et trainer. Je ne m’investi dans rien hormis ma passion : la musique.  

“ Once upon a time :«Lettre à ma mère,

Tu te souviens de moi ? San… Bang San, ton fils que tu as laissé à ses cinq ans. Tu sais j’ai beaucoup pensé à cette lettre. A ce que je te dirais, à ce que je t’expliquerais. Est-ce que tu aimerais lire que tu me manques ? Que j’aimerais avoir de tes nouvelles ? Tu as raison, le gamin de sept ans te l’aurais surement dit, mais aujourd’hui j’ai grandit. Tu sais quel âge j’ai ? Vingt ans ! ça fait exactement quinze ans que tu t’es barrée.

Alors je suis là, assit à mon bureau pour te dire quelques mots…

Je te hais !

Je n’ai jamais autant détesté une personne de toute ma vie. Ne souris pas en regardant ton reflet le matin dans la glace. Ne ris pas aux blagues des autres, ne te sens pas heureuse parce-que ici dans ce monde il y a quelqu’un qui te méprise. Mes mots ne te font pas peur, mais ma haine est profonde.

Alors tu sais quoi maman, tu es parti de ma vie mais je vais te la raconter. Pour que tu saches ! Pour que quelques part la pétasse qui est en toi s’en rappelle. Qu’elle se sente mal à l’aise ! Je veux que le poid de ton abandon pèse sur ta conscience. Que tu penses à moi en ayant cette crainte qui grandit au fond de toi. Parce-que tu sais maman, quand je te retrouverais… quand je te retrouverais tu comprendras le mal que tu m’as fais !

Qu’est-ce que tu croyais ? Qu’en me laissant à mes cinq ans je serais un gamin équilibré ? Pfff laisse moi rire ! est-ce que tu sais que je suis parti à quinze ans de la maison parce-que je n’en pouvais plus de vivre sous le même toit que mon père. Lui aussi il m’énerve, lui aussi il ne m’a jamais compris, mais tu sais au fond il souffrait juste de ton absence. Il n’a pas cherché à me rassurer quand tu es partie, il m’a juste dit « t’inquiètes pas, elle reviendra ». Mais tu n’es jamais revenu maman ! J’ai vécu toute mon enfance chez notre voisin parce qu’il était le seul sur cette terre à se soucier de moi. Il m’a tout apprit. Grâce à lui j’ai avancé, j’ai tenté de me construire et pourtant il reste des failles. Des fissures que je n’arrive pas à combler. Tout est ta faute !

Tu sais quoi ? ce qui me fait marrer c’est qu’on se ressemble. J’ai les mêmes yeux que toi, le même petit sourire au coin qui soulève mes lèvres quand je ris… et j’adore la musique maman. Bordel, je suis doué pour ça ! Je joue de la guitare depuis gamin, j’ai même un groupe… et attends c’est pas finis, moi aussi je suis parti. Moi aussi j’ai laissé ton mari et ton autre fils. J’ai vécu la belle aventure, comme toi en Amérique. Est-ce que j’ai cherché à te retrouver ? Si seulement j’avais pu, je t’aurais cracher mes insultes à la figure pour que tu te souviennes de moi et ne m’oublies plus jamais. Mais rien… alors je suis rentré et devine quoi ? Je me suis retrouvé seul…

Et ça fait mal putain ! Un mal de chien qui te cloue au sol. Ça te prend aux tripes, ça t’arrache le cœur et tu suffoques. J’avais besoin d’air, d’une main pour me rattraper mais la tienne n’était pas là. Alors à quoi bon attendre que tu reviennes ? à quoi bon tenter de me souvenir de ton visage si tu ne te souviens plus du mien.

Tu sais ce qu’on dit les psys ? J’ai des tas de problèmes à régler. Et alors ? Je les emmerde putain ! Parce-que tout est ta faute ! Parce-que si tu n’étais pas parti j’aurais eut une meilleure vie. Alors j’écris cette lettre sans adresse, seulement pour te dire :

je t’emmerde !

San, ton fils. »