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ahn yue - march now or die.
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ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 14:50 Citer EditerSupprimer Yue Ahn
néa.
take those broken wings
and learn how to fly
and learn how to fly
#DRÔLE | #POSSESSIVE | #DOUCE | #TÊTUE | #MINUTIEUSE |
#ATTENTIVE | #VIOLENTE | #FRANCHE | #HAUTAINE | #DÉTERMINÉE |
NOM : Ahn. PRÉNOM : Yue. ÂGE : vingt-deux, bientôt vingt-trois. ORIGINES : nippo-coréennes. NATIONALITÉ : japonaise. CLASSE SOCIALE : rich girl, nananana. ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle. CURSUS UNIVERSITAIRE : 2ème année master en staps MÉTIER : Égérie de l'entreprise de mannequinat du père adoptif de Shin au Japon et ensuite travaillant avec Shin dans sa propre entreprise. Code du règlement : baymax? TU VEUX T'INVESTIR? : naye, sir. pas envie de me mêler à une foule qui ne me conviendra pas.
“ Rumour has it : paraîtrait qu'elle aurait couché pour avoir sa place d'égérie. + elle aurait un casier judiciaire plus ou moins rempli + elle serait dealeuse de drogue + les rumeurs de chirurgie esthétique fusent à son visage + elle serait allergique au latex + elle ne serait qu'une grande gueule sans courage + son père travaillerait dans la mafia + elle ne supporterait pas la vue du pauvre
“ Rumour has it : paraîtrait qu'elle aurait couché pour avoir sa place d'égérie. + elle aurait un casier judiciaire plus ou moins rempli + elle serait dealeuse de drogue + les rumeurs de chirurgie esthétique fusent à son visage + elle serait allergique au latex + elle ne serait qu'une grande gueule sans courage + son père travaillerait dans la mafia + elle ne supporterait pas la vue du pauvre
“ Caractère : une poupée de porcelaine sortie tout droit d'un film d'horreur. elle fascine par ses longues jambes, son corps sublime, sa peau blanche - mais son aura est noire, sombre. eri n'est pas une fille bien comme on aimerait qu'elle le soit, elle est sinistre. elle n'est rien autre que froideur et mélancolie, cache ses sentiments par habitude et ressort sa gentillesse et sa manière d'exprimer son inquiétude à travers des paroles acides et du sarcasme. la réalité résidant dans le fait qu'elle n'a jamais reçu assez d'amour pour être capable d'en transmettre à son tour, elle n'a eu que des regards hautains et froids, quelques mots bas amères adressés à son sujet - de ce fait, elle a enfermé son cœur à double tour. si on veut tolérer sa présence, il faut réussir à percevoir entre le flot de remarques acerbes - pas nécessairement sorties à but négatifs, mais souvent prises comme telles. extrêmement solitaire et indépendante, elle n'a peur de rien et de personne. ajoutant au tableau déjà peu flatteur, une violence et une provocation infinie, justifié par cette tendance complètement autodestructrice dont elle ne se rend qu'à moitié compte. c'était comme si elle ne s'autorisait pas le bonheur, tout en courant constamment après. eri a désespérément envie d'une vie calme, posée et d'être en paix avec elle-même. avoir un happy ending, et être heureuse. cela dit, elle finit toujours par s'enchaîner à quelque chose qui va la blesser à répétition.
une fois que l'on est entré - difficilement - dans les bonnes grâces de la jeune femme, elle devient un allié de poids. loyale, et extrêmement protectrice, elle est capable de se mettre quelqu'un à dos pour le simple bon vouloir de celui qu'elle porte en haute estime. elle peut également s'atteler très minutieusement à pourrir sa vie jusqu'à ce qu'elle obtienne satisfaction - et ce n'est pas un problème si elle se blesse au passage. eri part du principe qu'elle préfère descendre jusqu'aux tréfonds des enfers avec cette personne et à l'y laisser, s'assurant que son vis-à-vis est dévasté, plutôt que sauver sa peau et ne pas être certaine qu'il en ai réellement souffert. sa possessivité est à double tranchant. dans tous les cas, elle y laisse un peu plus de son cœur meurtri à chaque fois, aussi bien quand elle s'enfonce dans les ténèbres en détruisant des vies, que quand elle se force à aimer des personnes appréciées par ceux dans son cœur. elle les hait. mais elle détesterait encore plus les perdre à cause de son caractère trop maladroit, trop manche, incapable d'expliciter ses sentiments.
une fois que l'on est entré - difficilement - dans les bonnes grâces de la jeune femme, elle devient un allié de poids. loyale, et extrêmement protectrice, elle est capable de se mettre quelqu'un à dos pour le simple bon vouloir de celui qu'elle porte en haute estime. elle peut également s'atteler très minutieusement à pourrir sa vie jusqu'à ce qu'elle obtienne satisfaction - et ce n'est pas un problème si elle se blesse au passage. eri part du principe qu'elle préfère descendre jusqu'aux tréfonds des enfers avec cette personne et à l'y laisser, s'assurant que son vis-à-vis est dévasté, plutôt que sauver sa peau et ne pas être certaine qu'il en ai réellement souffert. sa possessivité est à double tranchant. dans tous les cas, elle y laisse un peu plus de son cœur meurtri à chaque fois, aussi bien quand elle s'enfonce dans les ténèbres en détruisant des vies, que quand elle se force à aimer des personnes appréciées par ceux dans son cœur. elle les hait. mais elle détesterait encore plus les perdre à cause de son caractère trop maladroit, trop manche, incapable d'expliciter ses sentiments.
“ Once upon a time : Elle voit flou et cligne des yeux. Une fois, deux fois, dix. Rien ne s'améliore. Sa vision s'amoindrit, ses jambes menacent de lâcher. Elle est faible. Incroyablement faible. Il semble qu'on aspire son énergie vitale. Ses paupières sont lourdes. Elle cligne encore. Une voix gronde, et elle fuit. Elle n'est pas bien sûre de ce qu'elle fuit – ce qui lui fait peur – tout ce dont elle est sûre c'est qu'elle doit courir. Vite et loin. Pourtant, elle a l'impression de reculer. Sa gorge est sèche. Ses yeux brûlent. Elle va pleurer. Crier. Et dès qu'elle ouvre la bouche, une main l'empêche de produire un son. En un rien de temps, elle est rabattue sur le sol. Vêtements arrachés. Des hommes dont elle ne distingue pas le visage sont autour d'elle – et elle peut sentir leurs mains sales sur son corps. Elle ferme les yeux. Hurle malgré la main sur sa bouche. Tout brûle. Son corps entier. Elle se déteste. Elle les déteste. Elle aimerait voir ce monde brûler dans les flammes de l'enfer. Elle souhaite la destruction de toute existence – de tout.
Une grande inspiration se fit entendre et ses yeux s'ouvrirent en grand. Elle s'était relevée assise sur son lit, en sueur, le cœur tapant contre sa cage thoracique. Elle passa ses doigts dans ses cheveux collés par la transpiration et prit quelques minutes avant de se calmer. Encore ce cauchemar. Toujours le même, depuis cinq ans maintenant. Ahn Yue avait seize ans dans quatre jours et elle ne parvenait pas à se débarrasser de cette pensée oppressante qui l'étouffait depuis que la vérité avait éclaté au grand jour. Sa mère n'était rien de plus qu'une escort-girl. Sa réelle mère, bien entendu. Pas celle qui agissait comme tel tous les trente-six de chaque mois devant le gratin. La jeune fille avait compris très rapidement qu'elle n'avait pas été voulue et qu'elle n'était qu'un poids pour sa famille – cela dit, c'était un léger choc que d'apprendre que sa mère n'était pas réellement sa mère. Et qu'en plus de cela, elle faisait partie de ces femmes qui ne se respectaient pas comme ils disaient tous. Yue n'avait jamais eu de mal avec les prostituées en tout genre. Voire même, elle estimait ces femmes qui ne faisaient du mal qu'à elles-même et leur propre corps, bien plus que tous ces hommes qui gagnaient un argent immense grâce à du trafic d'arme ou tous ces politiciens qui s'enrichissaient sur le dos d'autres personnes innocentes. Néanmoins, quand on avait osé lui cracher au visage qu'elle méritait de se faire violer parce qu'elle était l'enfant d'une femme qui ne méritait aucun respect, la gamine l'avait eu en travers de la gorge. Et même si elle se savait assez forte pour se défendre seule, et assez effrayante pour que personne n'ose lui faire du tort : cette pensée s'était encrée en elle depuis toutes ces années sans jamais la quitter. Il valait mieux en rêve qu'en réalité. Cela dit, la torture psychologique toutes les nuits la rendaient folle, et elle usait de substances licites (ou non) pour se garder un maximum éveillée jusqu'à ce que son corps tombe littéralement d'épuisement sur le sol. Ainsi était-elle devenue insomniaque – et un déchet humain. Ses joues étaient creuses, ses cernes évidentes, son teint blanc à n'en plus faire la différence à côte d'une feuille. Sa folie avait pris le dessus sur sa conscience et elle se retrouvait à repousser tout le monde, à provoquer tout le monde, et à agir de manière tout sauf féminine. Être attirante était devenu sa hantise – pensant bêtement qu'il suffisait de l'être pour qu'un autre déchet de son espèce ai envie de s'envoyer en l'air avec elle, contre son accord. Pourtant, en plus de l'être malgré elle, cela ne suffisait pas. Elle n'était déjà pas la plus aimable et chaleureuse des enfants depuis sa naissance, mais c'était de pire en pire. Elle se renfermait, vouait une haine incomparable pour le monde entier sans aucune raison. Ne laissait personne entrer dans son monde. Garder ces yeux hautains et méprisants, vide de lumière et de vie.
Tu saignes. Lui dit-on, comme si elle n'était pas au courant. Et je t'emmerde répondit-elle du tac au tac en poussant cette bimbo contre le mur. Elle ne comprenait pas pourquoi les gens s'acharnaient à l'approcher. À se faire voir pour ses beaux yeux. Ce n'était pas comme si elle était la reine du lycée devant qui tout le monde devait se mettre à genoux sous peine de se faire tabasser. On la remarquait toujours, où qu'elle allait – et elle ne supportait plus cela. Assise au fond de la salle, la tête enfouie entre ses bras. Vêtue d'un jogging et de tout ce qu'on pouvait trouver de plus repoussant. Ses cheveux emmêlés et pas spécialement lavés. Elle attirait toujours les regards – et c'était rarement les moqueries. À dix-huit ans elle lâcha prise quand un professeur sous-entendit qu'elle pouvait améliorer ses notes sur la pente descendante grâce à une gâterie. Elle se retrouva virée du lycée pour coups et blessures sur un professeur.
Je t'aime et elle manqua l'arrêt cardiaque. Cet homme qui ne posait ses yeux sur elle que quand il fallait trouver une fautive venait de lui dire ces trois mots magique. Elle plissa le regard. Peut-être était-ce son départ imminent pour la Corée du Sud qui rendait son père émotif. Mais elle n'avait pas envie de se casser la tête avec ses états d'âmes. Toute sa vie elle avait vécu seule et elle ne s'en était sortie que grâce à sa nourrice qui avait bien voulu la nourrir et la bercer le soir – et voilà qu'il se réveillait subitement ? Qu'il ne pouvait pas montrer ses sentiments parce que sa femme ne supportait pas la vue d'une enfant qui n'était pas d'elle ? Qu'il était désolé de la souffrance qu'il avait pu lui causer ? Ahn Yue serra les poings pour finir par lui cracher au visage.
Comme si être désolé suffisait.
Une grande inspiration se fit entendre et ses yeux s'ouvrirent en grand. Elle s'était relevée assise sur son lit, en sueur, le cœur tapant contre sa cage thoracique. Elle passa ses doigts dans ses cheveux collés par la transpiration et prit quelques minutes avant de se calmer. Encore ce cauchemar. Toujours le même, depuis cinq ans maintenant. Ahn Yue avait seize ans dans quatre jours et elle ne parvenait pas à se débarrasser de cette pensée oppressante qui l'étouffait depuis que la vérité avait éclaté au grand jour. Sa mère n'était rien de plus qu'une escort-girl. Sa réelle mère, bien entendu. Pas celle qui agissait comme tel tous les trente-six de chaque mois devant le gratin. La jeune fille avait compris très rapidement qu'elle n'avait pas été voulue et qu'elle n'était qu'un poids pour sa famille – cela dit, c'était un léger choc que d'apprendre que sa mère n'était pas réellement sa mère. Et qu'en plus de cela, elle faisait partie de ces femmes qui ne se respectaient pas comme ils disaient tous. Yue n'avait jamais eu de mal avec les prostituées en tout genre. Voire même, elle estimait ces femmes qui ne faisaient du mal qu'à elles-même et leur propre corps, bien plus que tous ces hommes qui gagnaient un argent immense grâce à du trafic d'arme ou tous ces politiciens qui s'enrichissaient sur le dos d'autres personnes innocentes. Néanmoins, quand on avait osé lui cracher au visage qu'elle méritait de se faire violer parce qu'elle était l'enfant d'une femme qui ne méritait aucun respect, la gamine l'avait eu en travers de la gorge. Et même si elle se savait assez forte pour se défendre seule, et assez effrayante pour que personne n'ose lui faire du tort : cette pensée s'était encrée en elle depuis toutes ces années sans jamais la quitter. Il valait mieux en rêve qu'en réalité. Cela dit, la torture psychologique toutes les nuits la rendaient folle, et elle usait de substances licites (ou non) pour se garder un maximum éveillée jusqu'à ce que son corps tombe littéralement d'épuisement sur le sol. Ainsi était-elle devenue insomniaque – et un déchet humain. Ses joues étaient creuses, ses cernes évidentes, son teint blanc à n'en plus faire la différence à côte d'une feuille. Sa folie avait pris le dessus sur sa conscience et elle se retrouvait à repousser tout le monde, à provoquer tout le monde, et à agir de manière tout sauf féminine. Être attirante était devenu sa hantise – pensant bêtement qu'il suffisait de l'être pour qu'un autre déchet de son espèce ai envie de s'envoyer en l'air avec elle, contre son accord. Pourtant, en plus de l'être malgré elle, cela ne suffisait pas. Elle n'était déjà pas la plus aimable et chaleureuse des enfants depuis sa naissance, mais c'était de pire en pire. Elle se renfermait, vouait une haine incomparable pour le monde entier sans aucune raison. Ne laissait personne entrer dans son monde. Garder ces yeux hautains et méprisants, vide de lumière et de vie.
Tu saignes. Lui dit-on, comme si elle n'était pas au courant. Et je t'emmerde répondit-elle du tac au tac en poussant cette bimbo contre le mur. Elle ne comprenait pas pourquoi les gens s'acharnaient à l'approcher. À se faire voir pour ses beaux yeux. Ce n'était pas comme si elle était la reine du lycée devant qui tout le monde devait se mettre à genoux sous peine de se faire tabasser. On la remarquait toujours, où qu'elle allait – et elle ne supportait plus cela. Assise au fond de la salle, la tête enfouie entre ses bras. Vêtue d'un jogging et de tout ce qu'on pouvait trouver de plus repoussant. Ses cheveux emmêlés et pas spécialement lavés. Elle attirait toujours les regards – et c'était rarement les moqueries. À dix-huit ans elle lâcha prise quand un professeur sous-entendit qu'elle pouvait améliorer ses notes sur la pente descendante grâce à une gâterie. Elle se retrouva virée du lycée pour coups et blessures sur un professeur.
Je t'aime et elle manqua l'arrêt cardiaque. Cet homme qui ne posait ses yeux sur elle que quand il fallait trouver une fautive venait de lui dire ces trois mots magique. Elle plissa le regard. Peut-être était-ce son départ imminent pour la Corée du Sud qui rendait son père émotif. Mais elle n'avait pas envie de se casser la tête avec ses états d'âmes. Toute sa vie elle avait vécu seule et elle ne s'en était sortie que grâce à sa nourrice qui avait bien voulu la nourrir et la bercer le soir – et voilà qu'il se réveillait subitement ? Qu'il ne pouvait pas montrer ses sentiments parce que sa femme ne supportait pas la vue d'une enfant qui n'était pas d'elle ? Qu'il était désolé de la souffrance qu'il avait pu lui causer ? Ahn Yue serra les poings pour finir par lui cracher au visage.
Comme si être désolé suffisait.
stop complaining, woman up.
je voulais kim woobin, vu que ça a besoin de mâles hétéros, mais, well. je vais tenter ma chance avec ce petit bijou.
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
pour un pv pris :
▲▼PARK KYUNGRI ( NINE MUSE) ✎ ahn yue
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
pour un pv pris :
▲▼
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u581][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t4461-park-kyung-ri-nine-muses-ahn-eri]▼[/url] <taken>PARK KYUNGRI ( NINE MUSE)</taken> ✎ ahn yue
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 14:56 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous Bon choix de vava
Je te souhaite bon courage pour ta fiche
Je te souhaite bon courage pour ta fiche
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 14:56 Citer EditerSupprimer
OMG Bienvenue à toi !! Je pensais pas qu'il allait être repris aussi vite ce pv xDDD Faudra que t'aille parler à la créa ahah (ICI LIM BOBAE ) tu sais la fille avec qui tu vas te battre
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 14:58 Citer EditerSupprimer
Bienvenue sur STW et bon choix de pv
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 15:01 Citer EditerSupprimer
KYUNGRI. Cette beauté divine
bienvenue parmi nous
bienvenue parmi nous
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 15:03 Citer EditerSupprimer
Hello Hello ! ~
La canonnnnnnnnnnnnnn... Elle a ce regard de chat à tomber, complètement obsédant ma chère Il me tarde d'en savoir plus, écris-nous vite tout ça
Fighting pour ta fiche
PS: entre gens riches, on a dû déjà se croiser
La canonnnnnnnnnnnnnn... Elle a ce regard de chat à tomber, complètement obsédant ma chère Il me tarde d'en savoir plus, écris-nous vite tout ça
Fighting pour ta fiche
PS: entre gens riches, on a dû déjà se croiser
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 15:06 Citer EditerSupprimer
- uhlala. les bienvenu/s rapides, qu'est-ce donc que ceci.
merci bien à tout le monde. ♥ c'est fort aimable, ça fait plaisir, aha. j'espère que je vais pas trop me foirer sur cette enfant. +kelea; oh, bien, je vais aller check la créatrice de ce pas alors. :D *lui lance des cailloux dessus* +inha; c'est une quémendation indirecte de petit lien, si je ne m'abuse. :o (ça me va, jonghyun c'est touuuute ma vie.)
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 15:07 Citer EditerSupprimer
mon ancien moi
bienvenue bella, bon courage pour ta fiche
bienvenue bella, bon courage pour ta fiche
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Re: ahn yue - march now or die. | Dim 18 Oct - 15:33 Citer EditerSupprimer
- nathys; ça fait quel effet de se rencontrer soi-même?
merci. :D
linyao; t toi-même, I guess. :(
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