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ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet...

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ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 19:35
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Ishihara Sora
... but is waiting for the right time to.

#COLERIQUE
#JOUEUSE
#PROVOCATRICE
#IMPULSIVE
#AVENTURIERE
#ENFANTINE
#IMPLIQUEE
#LUNATIQUE
#DEDAIGNEUSE
#DUAL

NOM : ishihara. PRÉNOM : sora. ÂGE : 26 ans.  ORIGINES : japonaise. NATIONALITÉ : japonaise. CLASSE SOCIALE : très aisée. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle CURSUS UNIVERSITAIRE : étudiante en journalisme. MÉTIER : les riches, ça ne travaille pas!Code du règlement : :cute: TU VEUX T'INVESTIR? : les verts ont déjà pris mon coeur :heart:

“ Rumour has it : elle souffrirait de troubles bipolaires + elle s'intéresse au journalisme et tout particulièrement le journalisme d'investigation + elle aurait réalisé un reportage dans une prison en se faisant passer pour une détenue + elle serait venue en Corée pour fuir les accusations qui portaient sur sa famille + elle aurait peur de se déplacer dans des véhicules à moteur. + elle aurait encore des progrès à faire pour être plus à l'aise en coréen + elle serait nostalgique du Japon + elle serait d'une telle maniaquerie qu'elle aurait du mal à laisser qui que ce soit toucher à quoi que ce soit dans son appartement + il serait inconcevable pour elle de finir caser +

“ Caractère :
Les gens pensent toujours bien vous connaître, et pensent être capable à vous décrire de la meilleure des façons. Pourtant, je reste convaincue que la personne la plus apte à me décrire, c’est moi et moi seule. Certains prendront mes qualités pour des défauts et d’autres, mes défauts pour des qualités. Moi, je pense tout simplement que ce sont des traits de caractères que les gens perçoivent différemment en fonction de leur sensibilité. Par exemple, certains ont tendance à dire que je suis caractérielle. Oui, je suis difficile, j’ai des exigences et il s’avère que je tiens à ce que ces exigences soient respectées. Pourtant, ce défaut pour certains se révèlera être une qualité pour d’autres. On y verra une force de caractère et une détermination à tout épreuve. Je me suis toujours défoncée à 200% dans ce que je faisais, et j’en ai toujours exigé autant de la part des gens qui m’entouraient. Que se passe-t-il lors que je ne suis pas satisfaite ? Il m’arrive de me mettre des états sans précédents. J’ai déjà piqué des crises de colère telles qu’il m’ait arrivé de ruiner une pièce entière. C’est un aspect de ma personnalité difficile à appréhender chez moi, et qui a fait que je me suis rapidement isolée pour ne pas blesser les gens que j’aime. Si j’ai essayé de faire des efforts ? Quelle question... J’en ai fais, j’en fais, et j’en ferai toujours. Mais ces crises ne sont pas plus vraiment de mon ressort ; c’est plutôt du ressort de troubles bipolaires m’ont-ils dit. A cause de cela, il m’arrive donc d’être impulsive, agressive, sans même m’en rendre compte. Et voulant au maximum éviter d’avoir à me retrouver dans de tels états face à des gens que je ne connais pas, je me forge une carapace pour ne pas être approchée. Qui pourrait supporter une fille qui dans ses phases maniaques est des plus insupportable? Qui dans ses phases de dépression se sous-estime au plus bas point et se sent persécutée par tous? Qui choisit un coupable prédéfini qu'elle persécute pour tous les malheurs du monde ? Ou qui encore dans ses phases d'euphorie totale se paie des crises de fou rire incontrôlées et inexpliquées ? Personne. Heureusement, je ne vis pas ce genre d'épisode tous les jours, bien au contraire, ils sont même rares. Mais je me permets d'afficher un certain dédainà l'égard des autres pour les dégouter, les repousser, afin de ne pas avoir à m'expliquer et les faire subir mes agissements le moment venu.

Pour ceux qui se risquent à tenter de mieux me connaître, c’est une autre histoire. Je me plais à tester leur résistance, à voir jusqu’où ils peuvent aller avant de regretter de ne pas avoir fait demi-tour plus tôt. Oui, j’aime jouer, parfois même un peu trop. Ce côté joueur s’accompagne aussi d’une âme un peu manipulatrice et provocatrice, l’un ne pouvant aller sans l’autre. J’aime outrepasser les limites pour voir les réactions des autres. J’aime faire croire aux gens qu’ils peuvent me cerner alors qu’ils en sont bien loin. Aventurière, je n’hésite pas à aller hors des sentiers battus, à aller vers l’inconnu, à tester mes limites pour voir dans quels situations je peux contrôler ma nature . Mais ce côté aventurier s’apparente surtout à une méconnaissance du danger qui est dû à une certaine candeur chez moi. J’ai ce côté gamine insouciante qui ne se préoccupe pas des conséquences de ses actes, et qui aura une hiérarchie des priorités bien différente de celle de la majorité. Bref, je suis une gamine dans l’âme qui a pour activités principales de tester les gens pour voir jusqu’où sont leurs limites, et qui se bat pour ne pas faire souffrir les gens autour d’elle à cause d’une maladie qu’elle a bien du mal à gérer. Une envie d'en savoir encore plus ?


“ Once upon a time :
Ils ne me comprennent pas. Ils ne savent pas ce que je ressens, et ils sont à mille lieux de l’imaginer. Personne ne sait ce que j’endure tous les jours et à quel point il est difficile de vivre avec cette tare. Nombreux sont ceux qui ont cru pouvoir me venir en aide, et tout aussi nombreux sont ceux qui ont subit un échec. Je me souviens encore du nombre de consultations et de thérapies que j’ai du passer étant petite. Mon père, toujours convaincu que l’argent était la solution à tout, m’avait fait consulté tous les plus grand docteurs japonais et même étrangers, pour tenter de remédier à mon « problème ». Malheureusement, la solution ne pouvait être trouvée. Je continuais à être une peste envers mes camarades, à être une terreur avec les professeurs qui rédigeaient rapports sur rapports à l’intension de mes parents, menaçant à chaque fois de me faire virer des établissements dans lesquels j’étais inscrite. Mais le privée japonais étant ce qu’il était, l’argent de mon père me permis de rester scolariser dans un cursus normal.  

L’argent de mon père a toujours été un facteur décisif dans le cadre familial. A vrai dire, ma mère n’a jamais eu un mot à dire en ce qui concernait mon éducation. En effet, mon père a hérité d’une des plus grandes chaines de salon de thé du pays, ainsi que de la fortune qui allait avec. Autant dire que c’était un homme respecté et respectable et que tout le monde attendait qu’il en soit de même pour sa famille. Cependant, l’attitude de sa fille détonnait avec l’image qu’il voulait instaurer. Combien de crises ai-je fait lors de réceptions importantes que l’on organisait à la maison ? Combien de plats ai-je brisés ? De couverts ai-je tordus ? Combien de nappes ai-je renversés ? Le nombre de fois où mon père a eu honte de moi ne se compte même plus. Et j’ai beau eu lui expliquer que ce n’était pas moi, que c’était indépendant de ma volonté, que si j’avais pu j’aurai été la fille modèle qu’il avait espéré... il ne m’a jamais vraiment cru. Et pourtant, j’ai toujours rêvé faire de la fierté de mon père. Mais à chaque fois, à chaque fois... cette facette incontrôlable prend le dessus, et je ne peux me maitriser. Pendant longtemps j’ai été noyée dans l’inconnu, ne comprenant pas l’origine du problème. A chaque fois que j’arrivai à me faire des amis, je me surprenais à tout gâcher. Pendant mes périodes d’humeur normale, tout se passait bien ; mais dès que j’entrai dans une phase de dépression ou d’irritabilité aigu, ils n’arrivaient pas à faire avec, à me comprendre, à me soutenir. Bienheureusement, force est de constater que la médecine moderne a évolué et on trouva enfin un médecin qui su mettre des mots sur mon mal-être périodique. Selon lui, je souffrais de troubles bipolaires. Ceci expliquait l’alternance entre des états d’euphorie, d’irritabilité, de dépression, sur lesquels je n’avais aucune emprise. Sous le coup d'un trop gros stress, d'une trop grosse angoisse ou d'un quelconque changement trop brusque de mon environnement, je risquai de sombrer dans des états dépressifs, agressifs ou euphoriques. Lequel de ces états est le pire ? Je ne le savais pas moi-même. Je dois dire que les personnes qui ont assistés à mes phases euphoriques se sont senties gênées. En même temps, que faire face à une personne qui rit aux éclats des minutes durant sans prendre en compte la moindre de vos remarques ? Mais est-ce pire qu'une personne qui excédée n'hésitera pas à s'en prendre à vous parce qu'elle est énervée (pour des motifs futiles) ? Ou encore une personne qui se dévalorise totalement parce qu'elle se sent menacée par tout ceux qui l'entourent ? Elles sont toutes moi et bien que gênantes, les gens qui me côtoient doivent s'attendre à faire face à l'une d'elle à un moment ou un autre de notre relation.
Mais maintenant qu’on avait su mettre un nom sur ce handicap, je savais que j’allais devoir vivre avec, et assister à des thérapies pour partager mon expérience avec d’autres.

Plus je grandissais et plus j’apprenais à faire avec. Je n’allais toujours pas plus vers les gens, mais le peu d’amitié que j’avais su forger m’avait permis d'avoir une autre vision du regard des autres. Et puis, je vouais une énergie folle à mes études et à mes ambitions de devenir journaliste dans un des plus grand journal d’investigation japonais. Cependant, tout fut remis en cause lorsqu’un scandale d’adultère sur mon père éclata. Les japonais sont friands de ce genre d’histoire et la notre ne fit pas exception. C’est pour cela que d’un commun accord avec ma famille, on m’envoya en Corée pour que je finisse mes études, le temps de faire taire l’histoire. J'étais anxieuse à l'idée de quitter un environnement dans lequel j'avais mis tant de temps à m'acclimater, et j'avais l'impression que mon adaptation en Corée du Sud serait tout aussi laborieuse. Heureusement, pour commencer, j'eus la chance d'emménager chez Shin... Le seul -en dehors de ma famille- qui avait connaissance de ma maladie et de ses désagréments, et qui avait accepté de m'héberger pendant quelques semaines... qui se sont prolongés finalement en mois. Je me sentais à l'aise avec lui et chez lui, et même si au vu de mon âge j'étais celle censée le rassurer et le protéger, -comme je l'ai fait lorsque nous vivions encore au Japon- il a su le faire pendant toute cette période difficile pour moi. L'acclimation à la vie coréenne m'a perturbé et m'a fait entrer dans une phase de dépression plus longue que toutes les précédentes, à tel point que je dû être alité pendant deux semaines. En tout instant, c'est Shin qui s'est occupé de moi et qui m'a aidé bien que je fus peu coopérative... sans lui, j'en aurai surement fini depuis longtemps. Cette phrase difficile passée, bien que je commençai enfin à m'habituer à la vie coréenne j’espérais de tout cœur pouvoir revenir au Japon au plus vite, mais mon séjour en Corée semblait  devoir se rallonger de quelques années, au vu de la situation qui ne s'arrangeait pas au Japon et des nouveaux liens que j'avais tissé ici.


aeri.
case une citation de ton choix juste ici
quand on commence on ne s'arrête plus :heart:

“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.

code pour célébrité prise :
SON GA IN ( BROWN EYED GIRLS) ✎ ishihara sora.

Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u583][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>SON GA IN ( BROWN EYED GIRLS)</taken> ✎ ishihara sora.

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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 19:40
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Rebienvenue :y:
Bon courage pour cette nouvelle fiche :cute:
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 19:47
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gosh gain :heart:
japonaise & 26ans, ça sent le lien à plein nez ! :hehe:
rebienvenue ma jolie ! :hug:
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 19:49
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Hello Hello ! ~

Déjà, j'approuve la sublime Gain, tellement sexy cette fille :bave: Et le perso bipolaire, je suis plutôt curieuse de l'histoire du coup :hot:
Va pas falloir nous confondre avec nos même prénoms ! XD

Fiiighting pour ta fiche :heart:
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 19:52
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NOOOOONAAAAAAAAAAAA
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 19:58
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GAIN :hot:
tu fais toujours des bons choix :y:
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 20:18
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jihoon; merci bien :heart:

kôbei; ça sera avec plaisir pour le lien :cute:  :02:
& merci :heart:

so ra; haaan oui, en plus j'ai tendance à supprimer les espaces dans les prénoms coréens... je vais faire super attention haha.
& oui j'ai tenté un truc, j'espère que ça va bien se retranscrire dans l'histoire *fingerscrossed*

shin;  :06: (je suis là pour te surveiller si tu fais des bêtises maintenant :y:)

eunhye; je le sais bien :emo: haha.
j'ai pas pu résister à la tentation de jouer gain en la voyant tous les jours sur le header... et puis pour une fois que je prends pas un PV :y:
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 20:28
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je suis un vilain garcon je fais que ca :( :cry: :plz:
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 21:54
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♥♥♥
Oui c'est tout. :D
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | Dim 18 Oct - 22:02
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:russe:
je ne te souhaiterais pas la bienvenue.
je ne t'aime pas.
et shin ... :finger:

Cordialement.
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Re: ishihara sora ; a flower that hasn't bloomed yet... | 
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