NOM : Kwon PRÉNOM : Shin ÂGE : 24 ans. ORIGINES : coréennes NATIONALITÉ : Japonaise et coréenne. CLASSE SOCIALE : pauvre, puis, suite à son adoption, riche. ORIENTATION SEXUELLE : Un pur hétero. CURSUS UNIVERSITAIRE : Il a obtenu son diplome en commerce internationale au Japon. MÉTIER : Jeune directeur du département design de son père adoptif  Code du règlement : texte ici. TU VEUX T'INVESTIR? : nop, ca reste un citiz.  

“ Rumour has it : dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage + dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage.

“ Caractère :
Shin est un garçon qui n’a pas connu ses parents et qui a pour seule famille, une petite orpheline. Il se découvrira protecteur, doux et attentionné pour elle. Ce qui fait aujourd’hui ce qu’il éprouve envers ceux qu’il aime de tout cœur. C’est un jeune homme bienveillant qui prend soin de ses proches, voyant le moindre détail d’eux. Il verra immédiatement ce qui ne va pas comme ce qui rend heureux. Il les adore et les aime, voir même un peu trop. Quand il aime quelqu’un, il donne tout sans compter, quitte à ce que  ça soit lui qui soit blessé. Cet amour inconditionnel qu’il a avec ses proches vient sans doute de celui qu’il n’a jamais su donner à ses parents. Il a peur de perdre les personnes qu’il aime alors il s’accroche à eux comme il le peut, et pas toujours de la meilleure des façons. Il est loyal et fidèle envers eux, mais se montre parfois excessivement jaloux et possessif. Ce qui peut parfois l’amener à se bruler les ailes.

Lors de son adolescence, il a eu du mal à contrôler ses émotions. Il les exprimait maladroitement. Par exemple, quand quelque chose le blessait, au lieu d’en parler avec la personne, il cherche la merde où il le pouvait. Il se bagarrait et pouvait devenir violent, sans le vouloir avec ses proches pour le regretter immédiatement après. Il était plutôt impulsif aussi. Il ne pensait pas avant d’agir et fonçait dans le tas, tête baissée. Avec le temps, ce côté-là de sa personnalité, c’est amélioré. Il arrive mieux à gérer ses émotions, même à la perfection. Il suffit de voir quel homme d’affaire il est devenu en trois ans. Souriant, charmant, calme, confiant. Une image qu’il a su se construire pour son travail et la vie de tous les jours. Sans doute est-il devenu un peu manipulateur, comprenant à ses dépens comment survivre dans ce monde-là, bien loin de celui de l’orphelinat où il a grandi. Il a appris aussi à utiliser son instinct pour survivre. Une arme puissante, vu qu’elle se trompe rarement dans son cas. Peu de gens le connaissent hors de ce masque, connaissent le vrai Shin. On pourrait croire que cette image est parfaite, sans faille, et pourtant, il se retrouve comme le gamin qu’il était auparavant face à celle qui l’aime. San défense, toutes ses barrières baissées, ses émotions redeviennent incontrôlables.

Méfiez-vous de son côté mielleux, beau parleur et belle gueule. Il n’est pas devenu directeur de la section publicité juste parce que son père adoptif l’a décidé comme beaucoup le pense. Il en a dans la tête et pas qu’un peu. L’intelligence, c’est une qualité qu’il s’est découvert quand il s’est décidé de ne plus bâcler l’école.

“ Once upon a time :
Je n’étais plus ce petit garçon apeuré par le monde extérieur. J’avais grandis. Je m’étais endurci. J’avais appris à encaisser et à souffrir en silence. Pleurer de servait à rien me disait souvent mon père adoptif, que si je continuais à gindre de la sorte, on finirait par se lasser de moi. Il connaissait mes plus grandes faiblesses et ne se cachait pas pour en jouer pour me tenir en laisse, pour me brider et éviter que je fasse une nouvelle connerie. On avait chacun notre méthode. Douce ou violente. La sienne était du second genre, mais elle avait l’air de marcher, alors je m’étais tenu docile. Il avait fallu le temps, mais il avait réussi à me dresser.  Enfin, de ce qu’il croyait. J’avais juste appris à me faire discret. C’était donc à genou, torse nu, dos tourné à la porte, je fixais le feu de la cheminée, seul lumière de la pièce qui éclairait mon visage impassible. J’attendais ma correction patiemment, comme ça avait été le cas pour ces six dernières années. Je ne sursautais même pas quand la porte claqua derrière moi, des pas se faisant entendre. « Tu es déjà là ? » C’était mon bourreau. Celui qui m’avait adopté. Je restais silencieux, redressant le dos avec une certaine fierté, lui montrant que je n’avais pas peur de lui, que je n’aurais jamais peur. « Je suis fatigué aujourd’hui, je me contenterais  de me servir de toi comme cendrier. » Je l’entendis rire doucement, comme le ferait un père bienveillant face à son fils. La pièce sentait déjà la cigarette. Signe qu’il était déjà entrain de fumer et qu’il n’allait pas tarder à écraser sa première sur ma peau déjà bien amochée par ses coups. Je serrais des poings sur mes genoux, fermant les yeux, je me préparais à recevoir la première brulure. Je grimaçais de douleur, quand la clope s’éteignit sur mon corps. Batard. Il avait choisi une zone sensible. Le creux de ma nuque. Je sentais ce sentiment sombre et sadique qui naissait en moi chaque fois que j’avais cette pulsion meurtrière qui prenait possession de moi. Mon envie de tuer. C’était pour la brider qu’il me frappait. Il disait que ca permettait de me contrôler, de ne pas perdre le contrôle. Pourtant, tout ce dont j’avais envie là, toute de suite, n’avait rien de très angélique. La blessure me brulait encore alors qu’il jetait son arme inutilisable sur le sol. Ca allait sans doute encore piquer un moment avant que ca ne cicatrice complètement. Sans un bruit, je l’écoutais se rallumer une nouvelle cigarette, se versant un verre de whisky dans le bar avant d’aller se poser dans le fauteuil situé juste à mes côtés. A chaque fois qu’il devait jeter ses cendres, il les laissait tomber sur mon dos, lisant le journal tranquillement. Une scène des plus habituelles chez les Kwon. Quand il écrasait sa énième cigarette sur mon dos, je ne pus continuer de me retenir plus longtemps. Cette envie était trop omniprésente, ayant grandi avec chaque cendre qu’il me faisait don, elle avait envie de s’exprimer et quand elle prenait le contrôle de moi, je n’étais qu’un pantin entre ses mains. Me redressant subitement, je me retournais vers lui, l’attrapant à la gorge. Ses yeux s’écarquillèrent de surprise avant de revenir normal, comme un éclair de lucidité, comme si il avait tout compris. Il soutient mon regard, aucunement apeuré, prenant la parole. « Tu l’as revu. » Silence. Il parlait de Bo bae. Je le savais.  « Qu’est-ce que ça peut te foutre ? » demandais-je agressivement, le regard fou. Il m’avait interdit de la revoir pour quelconques raisons. « Tu m’as désobéi. » continuait-il sur le même ton alors qu’il était en position de faiblesse, mes doigts toujours autour de son cou. « Elle va te détruire. » Je crois qu’à ce moment précis, j’aurais pu le tuer. J’en avais envie. Vraiment. Pourtant, je ne l’ai pas fait. « La ferme ! » me suis-je contenter de hurler, resserrant ma prise alors que je l’observais manquer d’air peu à peu. Ce n’est que grâce à l’intervention de sa femme, qui joue les mères poules pour ma personne s’il est encore en vie à l’heure d’aujourd’hui. Je la laissais me repousser, me rendant compte de ce que je m’apprêtais à faire. Paniqué, je pris la fuite…