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Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Ven 20 Nov - 12:17 Citer EditerSupprimer
i am the monster under your bed
Masque & Tenue
Elle cède, si faible entre mes bras. Elle se laisse aller, si facilement. C’est à la fois jouissif et frustrant de la voir craquer autant, mais qui pourrait la blâmer quand je suis le premier à être dans cet état. Entre nous ce n’est que pulsion et désir. On atteint le paroxysme de la patience, j’ai le corps qui boue, rageusement je retire ce masque qui me couvre le visage et attrape ses lèvres avec une passion débordante. Je craque. Je l’écoute même plus me répondre aussi misérablement. Elle n’a plus aucune conviction, si ce n’est celle que je la possède. La façon qu’elle a d’ouvrir ma chemise me rend dingue. Peu importe qu’elle vienne de l’arracher, que ma chemise est foutue, peu importe tant la rage de ce moment rendent chacun de ses gestes envoutant et terriblement sexy. Je ricane en la soulevant brusquement du sol pour la plaquer au mur d’en face. Je lui arrache sa culotte qui tombe en lambeaux à ses pieds. J’ai le souffle court, je lutte pour ne pas céder trop rapidement, je lutte pour ne pas tout gâcher. Mes lèvres reviennent à l’attaque des siennes et c’est sans pudeur, sans gêne, sans honte que je me jette sur son corps. Ce corps qui appartient à mon frère, ce corps qui porte encore son parfum, ce corps qui ce soir, se donne à moi. Elle aura beau se trouver l’excuse, moi je sais qu’elle ne veut que moi. Que moi. Au moins à cet instant. Des bruits de pas lointain me parviennent difficilement dans notre folie et sans attendre je l’entraine dans une alcôve du couloir et la plaque contre le mur en la soulevant assez haut pour qu’elle puisse s’asseoir sur mon bassin. En un rien de temps je retire mon pantalon que j’ouvre juste assez pour faire passer mon membre gonflé de plaisir. Sous les volants de sa robe que je vire, je cherche le bonheur. Je le trouve en un rien de temps. Plantant mon regard dans le sien je me glisse en elle d’un seul coup de bassin, la remplissant rapidement. Pour résister à la tentation d’y aller trop vite je presse nos bassins l’un contre l’autre et respire avant de venir goûter à son cou à nouveau. Je me mets à bouger en elle lentement, si lentement que s’en est frustrant. J’embrasse sa peau délicatement. J’attends de la sentir prête, énervée, frustrée, assez pour qu’elle ne puisse retenir un cri dès l’instant où je m’occuperais d’elle. Et avant qu’elle n’ait pu me jeter une phrase assassine je me mets à bouger en elle rapidement et je plante mes crocs dans son cou douloureusement. Assez pour que ça en devienne jouissif. Serrée dans le creux de mes bras elle subit mes coups de bassin et perds la tête sous ce sang que je lui prends. Je vais lui montrer le plaisir ce soir encore … un plaisir qu’elle est venu réclamer.
Elle cède, si faible entre mes bras. Elle se laisse aller, si facilement. C’est à la fois jouissif et frustrant de la voir craquer autant, mais qui pourrait la blâmer quand je suis le premier à être dans cet état. Entre nous ce n’est que pulsion et désir. On atteint le paroxysme de la patience, j’ai le corps qui boue, rageusement je retire ce masque qui me couvre le visage et attrape ses lèvres avec une passion débordante. Je craque. Je l’écoute même plus me répondre aussi misérablement. Elle n’a plus aucune conviction, si ce n’est celle que je la possède. La façon qu’elle a d’ouvrir ma chemise me rend dingue. Peu importe qu’elle vienne de l’arracher, que ma chemise est foutue, peu importe tant la rage de ce moment rendent chacun de ses gestes envoutant et terriblement sexy. Je ricane en la soulevant brusquement du sol pour la plaquer au mur d’en face. Je lui arrache sa culotte qui tombe en lambeaux à ses pieds. J’ai le souffle court, je lutte pour ne pas céder trop rapidement, je lutte pour ne pas tout gâcher. Mes lèvres reviennent à l’attaque des siennes et c’est sans pudeur, sans gêne, sans honte que je me jette sur son corps. Ce corps qui appartient à mon frère, ce corps qui porte encore son parfum, ce corps qui ce soir, se donne à moi. Elle aura beau se trouver l’excuse, moi je sais qu’elle ne veut que moi. Que moi. Au moins à cet instant. Des bruits de pas lointain me parviennent difficilement dans notre folie et sans attendre je l’entraine dans une alcôve du couloir et la plaque contre le mur en la soulevant assez haut pour qu’elle puisse s’asseoir sur mon bassin. En un rien de temps je retire mon pantalon que j’ouvre juste assez pour faire passer mon membre gonflé de plaisir. Sous les volants de sa robe que je vire, je cherche le bonheur. Je le trouve en un rien de temps. Plantant mon regard dans le sien je me glisse en elle d’un seul coup de bassin, la remplissant rapidement. Pour résister à la tentation d’y aller trop vite je presse nos bassins l’un contre l’autre et respire avant de venir goûter à son cou à nouveau. Je me mets à bouger en elle lentement, si lentement que s’en est frustrant. J’embrasse sa peau délicatement. J’attends de la sentir prête, énervée, frustrée, assez pour qu’elle ne puisse retenir un cri dès l’instant où je m’occuperais d’elle. Et avant qu’elle n’ait pu me jeter une phrase assassine je me mets à bouger en elle rapidement et je plante mes crocs dans son cou douloureusement. Assez pour que ça en devienne jouissif. Serrée dans le creux de mes bras elle subit mes coups de bassin et perds la tête sous ce sang que je lui prends. Je vais lui montrer le plaisir ce soir encore … un plaisir qu’elle est venu réclamer.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Sam 21 Nov - 0:20 Citer EditerSupprimer
This is Halloween
TENUE + MASQUE Que pouvais-je faire d’autres à part lu ceder ? J’étais si vulnérable aux creux de ses bras, au sein de son pouvoir qui prenait possession de mon être, et le mien qui se mêlait au sien, arrêtant de se débattre depuis longtemps maintenant. Il ne pensait qu’à se nourrir, il voulait faire de ce vampire, sien. Et que pouvais-je y faire ? Si je luttais plus, je pouvais y laisser des séquelles, je pouvais me perdre entre amour et simple attirance. J’étais la tentatrice de bien des luxures, mais si je ne prenais pas garde, mon don pouvait se retourner contre moi, me trahissant. Je perdais patience, et je le voulais. Maintenant. Je voulais le déguster. Je voulais le faire jouir comme il ne l’avait encore jamais fait. Parce qu’il était bien beau avec ses morsures qui me faisait perdre le contrôle avec violence, mais mon aura, quand il s’abattra sur lui pour le déguster quand il arrivera à son paroxysme, il verra. Il comprendra. Et il deviendrait accroc au point d’en redemander encore et encore. Et à côté, ses pitoyable tentative de séduction parait bien pâle comme son visage, quand il s’en rendra compte. Car au final, c’est moi le monstre qui offrait du plaisir ici, et même si il n’était plus un débutant, il devra l’admettre. J’étais prête à le mettre à genou pour le faire avouer. J’écarquillais les yeux alors qu’il m’arrachait ma culotte, si vite, si violemment sans prendre la patience de l’enlever comme un gentleman. Il en avait l’allure, mais il n’en avait point le comportement. Ce qui pouvait qu’il perdait le contrôle tout autant que moi, même si il le montrait moins. Il n’y a plus aucune retenue entre lui et moi, plus aucune barrière. Je lui caressais le torse alors qu’il me dévorait de ses lèvres pulpeuses et dangereusement sexy avec ses deux canines qui dépassaient légèrement due à l’excitation probablement. Dans notre folie, je me fichais bien qu’un des étudiants pouvaient bien nous entendre, il était de toute manière trop tard pour cela. Au pire, il irait répandre une rumeur que l’on éteindra vite et au mieux, il passera assez près de nous pour que mon pouvoir le happe et qu’il se joigne à nous. Un casse-croute en plus, je ne disais jamais non. Je gémis imperceptiblement quand il me plaquait à nouveau contre un mur, plus violement dans sa précipitation. Instinctivement, j’enroulais mes jambes autour de sa taille, et plaquais ma poitrine à sa peau. Et son membre que je vis sortir de son pantalon si gorgée de sang me donnait envie de le sentir en moi, tout de suite et maintenant. Sans un mot, je le suppliais du regard de le faire sans ménagement. Quand il me pénétrait enfin, c’était comme une libération. Un gémissement de bien être s’échappait à travers mes lèvres, malgré moi, mais ses mouvements si lents étaient une vraie torture. Je voulais plus que cela. Je voulais qu’il aille plus vite, qu’il aille à cette vitesse dont seuls les vampires étaient capable d’aller. Cette vitesse qui me faisait jouir si vite, si souvent, qui me faisait perdre le contrôle. Je voulais ne plus penser à rien, me perdre entre nos deux corps. Je donnais quelques coups de bassin pour lui faire comprendre ce que je voulais, ce qui ne se fit pas attendre. Je le sentis aller et venir de coups rapides, me labourant profondément, m’arrachant un cri empreint de douleur et de plaisir. Les deux s’entremêlait dans un si doux et bon mélange que l’on en mangerait sans retenue. Je lui griffais le torse alors qu’il me faisait grimper au plafond et que je ne savais comment faire sortir toutes cette tension sexuelle entre nous. Et la réponse me vint comme une évidence, comme si le temps d’un instant, il avait réussi à me faire oublier ma véritable nature. Sans la retenir, je laissais mon pouvoir déferler sur lui, me nourrissant du plaisir qu’il me procurait, mais aussi du sien. Un sourire désarticuler prenait place sur mon visage telle le plaisir était intense. « Tu le sens ? Tu le sens tout ce pouvoir ? » Arrivais-je à articuler, le souffle court. « goutes-y ! » lui ordonnais-je alors que je l’attrapais par les cheveux, poussant sa tête sans ménagement contre mon cou pour qu’il me mord une nouvelle fois. « Jamais tu n’auras gouté tel nectar… » Ni un plaisir si intense. Dévores-le, bois-le, et tu seras à ma merci, incapable de répliquer à un tel déferloir de déchéance. Et seulement à ce moment-là, tu seras à moi…
(c) AMIANTE
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Sam 21 Nov - 1:42 Citer EditerSupprimer
i am the monster under your bed
Masque & Tenue
C’était presque douloureux de ressentir autant de désire pour elle, c’était la sensation d’être en elle, de pouvoir assouvir cette sensation, sans jamais réussir complètement. C’est comme être en manque d’elle alors qu’elle est dans mes bras. C’est comme avoir tellement, mais tellement envie d’elle qu’elle ne pourrait me suffire, qu’une simple étreinte ne saurait pas me suffire. Elle va me faire crever. J’ai du mal à supporter autant de son envie de moi. Et c’est un jeu dans lequel je me suis perdue. Elle a la douceur, elle a la rage qui font chavirer mon cœur. Elle a la peau, qui, quand elle glisse sous mes doigts, a le don de me rendre accroc. Ce parfum si entêtant depuis tant d’année. Elle ne sait même pas que je suis à ses genoux depuis autant de temps. Pauvre homme bien faible face à la beauté de cette femme. Mes envies, ma rage, ma tempête détruit tout sur son passage ; mes coups de bassin. Mon désir, ma douleur, mon envie me réduit à rien face à elle. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi je perds mon assurance, pourquoi je la laisse gagner. Si facilement. C’est déroutant. C’est grisant aussi. La laisser avoir le contrôle. Je me perds dans son étreinte. Et putain, c’est tellement bon. Je donne des coups plus forts, perdant tout contrôle et lâche un râle si violent quand je jouis qu’on aurait dit celui d’un animal blessé. Mon poing s’enfonce dans le mur quand mes crocs la morde si violement que le plaisir qui la submerge n’en est que plus puissant et pour me venger de ce qu’elle me fait je lui renvoie en écho avec une vague déferlante. Essoufflé, le corps couvert de sueur, je grogne de plaisir dans le creux de son cou et reprends mes esprits alors que je suis toujours en elle. Je ne bouge pas, le bassin pressé contre le sien, je retire doucement mes crocs de son épaule. Son corps est marqué par tellement de morsure … je ricane en soufflant contre sa joue. Je me retire doucement d’elle. Je dégage son visage de quelques mèches de cheveux qui lui colle à la peau et vient chercher ses lèvres pour la faire davantage rager. Les pans de sa robe retombent à ses pieds alors que je l’encadre de mes deux bras que j’appuie contre le mur. Je la fixe, de mon regard brûlant, sentant dans le creux de mon bas ventre que ce n’était que le premier round, qu’elle succombera au deuxième tout aussi vite et qu’elle n’avait qu’à me laisser quelques minutes. Je me glisse contre elle enjôleur et murmure contre elle « mais qu’avons-nous fait là … ? » moqueur et insolent comme toujours.
C’était presque douloureux de ressentir autant de désire pour elle, c’était la sensation d’être en elle, de pouvoir assouvir cette sensation, sans jamais réussir complètement. C’est comme être en manque d’elle alors qu’elle est dans mes bras. C’est comme avoir tellement, mais tellement envie d’elle qu’elle ne pourrait me suffire, qu’une simple étreinte ne saurait pas me suffire. Elle va me faire crever. J’ai du mal à supporter autant de son envie de moi. Et c’est un jeu dans lequel je me suis perdue. Elle a la douceur, elle a la rage qui font chavirer mon cœur. Elle a la peau, qui, quand elle glisse sous mes doigts, a le don de me rendre accroc. Ce parfum si entêtant depuis tant d’année. Elle ne sait même pas que je suis à ses genoux depuis autant de temps. Pauvre homme bien faible face à la beauté de cette femme. Mes envies, ma rage, ma tempête détruit tout sur son passage ; mes coups de bassin. Mon désir, ma douleur, mon envie me réduit à rien face à elle. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi je perds mon assurance, pourquoi je la laisse gagner. Si facilement. C’est déroutant. C’est grisant aussi. La laisser avoir le contrôle. Je me perds dans son étreinte. Et putain, c’est tellement bon. Je donne des coups plus forts, perdant tout contrôle et lâche un râle si violent quand je jouis qu’on aurait dit celui d’un animal blessé. Mon poing s’enfonce dans le mur quand mes crocs la morde si violement que le plaisir qui la submerge n’en est que plus puissant et pour me venger de ce qu’elle me fait je lui renvoie en écho avec une vague déferlante. Essoufflé, le corps couvert de sueur, je grogne de plaisir dans le creux de son cou et reprends mes esprits alors que je suis toujours en elle. Je ne bouge pas, le bassin pressé contre le sien, je retire doucement mes crocs de son épaule. Son corps est marqué par tellement de morsure … je ricane en soufflant contre sa joue. Je me retire doucement d’elle. Je dégage son visage de quelques mèches de cheveux qui lui colle à la peau et vient chercher ses lèvres pour la faire davantage rager. Les pans de sa robe retombent à ses pieds alors que je l’encadre de mes deux bras que j’appuie contre le mur. Je la fixe, de mon regard brûlant, sentant dans le creux de mon bas ventre que ce n’était que le premier round, qu’elle succombera au deuxième tout aussi vite et qu’elle n’avait qu’à me laisser quelques minutes. Je me glisse contre elle enjôleur et murmure contre elle « mais qu’avons-nous fait là … ? » moqueur et insolent comme toujours.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Sam 21 Nov - 4:03 Citer EditerSupprimer
This is Halloween
TENUE + MASQUE J’avais repris le dessus. Le contrôle au creux de mes mains, je jouissais en ricanant alors qu’il me ruait de coups de reins si rapide que ca en devenait suffoquant, mais même si mon corps souffrait, c’était ce que mon pouvoir voulait, et il m’aidait à tenir le coup. Je rejetais la tête en arrière alors qu’il me mordait sous mon ordre, si violemment il ne cherchait même plus de ne pas me blesser. Un sourire mauvais étirait mes lèvres. J’avais gagné au final. J’étais euphorique alors que je le marquais le corps de mes griffes, parfois en sang, sous la violence de l’orgasme qu’il me procurait. Je me nourrissais de lui, et mon don aimait cela. Il était plus que rassasier, plus qu’il ne l’avait jamais été. C’était ca. Mords-moi. Goutes-moi. Dévores-moi. Laisses moi m’introduire dans le plus profond de ton être et trouver ton point faible, celui qui me permettrait de te mettre au tapis une bonne fois pour toute. Je fouillais son esprit de fond en comble, mais il protegeait ses souvenirs comme si sa vie en dépendait. L avait construit une telle barrière autour de ceux-ci qu’il était impossible pour moi de trouver quoi que ce soit. Je grimaçais de frustration avant de gémir de douleur en le sentant décoller ses crocs de mon cou. Je n’avais rien trouvé, mais j’avais toute la soirée pour faire baisser ses limites. Je frémis fermant les yeux alors qu’il se retire, laissant glisser mes pieds le long de mon corps pour rejoindre le sol. La douceur à laquelle il fait preuve tout d’un coup me semble cacher quelque chose. Alors qu’il rattrape mes lèvres, je le repoussais, reprenant à mon tour mes esprits, lui mordant la lèvre inférieure pour le faire reculer. Je souris détournant le visage pour éviter qu’il ne me vole un énième baiser. « J’ai juste remarqué que tu avais succombé le premier ! » ricanais-je en le faisant remarquer qu’il avait jouit bien avant moi. « Moi qui te pensais plus endurant que cela ! Franchement, tu me déçois pour un vampire de ta trempe ! » Je le provoquais, car je savais qu’il n’y avait que ce langage qu’il comprenait. Même un instant, je me pris au jeu, acceptant ma nature de succube, et mon besoin de me nourrir, acceptant que Jae ne me suffise pas si je voulais être au top de ma forme. Je me libérais de toutes chaines le temps d’une soirée, le temps d’halloween, le temps de la fête des monstres que nous étions. « Même Jae est moins précoce que cela. » Ca c’était la cerise sur le gâteau. Ce qui allait probablement libérer sa colère et c’était exactement ce que je cherchais.. Le blessé dans son égo de mâle, c’était tout ce dont il méritait.
(c) AMIANTE
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Sam 21 Nov - 14:58 Citer EditerSupprimer
i am the monster under your bed
Masque & Tenue
Elle joue, elle provoque, elle affiche cette moue insolente sur ses lèvres qui me donne envie de lui faire du mal. Elle ne sait pas, elle ne se rend pas compte de ce que je suis capable. Elle joue les femmes fière, ce genre de femme qui n’a peur de rien, ni de personne. Pourtant elle a fini par abandonner sa vie, ses valeurs, ce qu’elle aimait. Elle n’est qu’une devenu pantin qui se donne le droit de croire qu’avec moi ça sera différent, qu’avec moi elle a le droit de me marcher dessus. Est-elle idiote ? Si sa sensualité me plait et que son corps me rend dingue, ce qu’elle a dans la tête me donne la nausée. Moi qui la pensais toujours si parfaite, je venais de dégringoler. Elle n’était qu’une immondice de plus. De celles qui se croit supérieure aux autres, de celles qui s’amusent à heurter mon égo de mâle, ma fierté et mon honneur. Celle qui me fait passer pour un être inexpérimenté. Qui me rabaisse et qui me dénigre avec un rire qui me rend fou. Pense-t-elle pouvoir me cracher sa frustration au visage. Pense-t-elle pouvoir agir comme si j’étais Jae. Comme si j’étais celui qui lui faisais le plus de mal. Elle n’était qu’un jouet entre les mains de mon frère et la voilà, à vouloir prouver le contraire de la façon la plus pathétique qui soit. La rage qui éclate dans mon cœur me rend fou. Ses mots je veux lui faire ravaler. J’attrape son visage en lâchant un ricanement glacé. « Succombé le premier ? Je trouve ça drôle venant d’une femme qui laisse son fiancé lui retirer ce qu’elle a de plus cher. » douloureusement je fais passer mon doigt sur le dernier tatouage qu’elle a été obligé de retirer. J’ai un sourire carnassier aux lèvres et le regard si sombre, si orage, qu’elle pourrait perdre pied rien qu’en le croisant. J’ai toute la tension sexuelle qui tend sur mon bas ventre et j’ai du mal à ma retenir. Elle fait la fière, celle qui contrôle la situation parce qu’elle a su me faire perdre pied avec son pouvoir. Croit-elle avoir vaincu ?! Croit-elle avoir gagné la guerre ? Ce n’est qu’une pauvre bataille. « Jae … » Je murmure ce prénom avec une pointe de dégoût et beaucoup d’insolence. Il est pathétique. Aussi pathétique que puisse être leur couple. J’attrape ses cheveux que je tire en arrière. Je la décoiffe avec un certain plaisir, la rendant plus sauvage, mais aussi plus docile, à ma merci, je peux en faire ce que je veux. Je viens grogner contre sa mâchoire dans une souffle rauque « C’est tout ce que t’as pour me mettre en rogne Lin. Me provoquer de façon pathétique avec mon frère ? Ce Jae moins précoce qui n’est même pas foutu de te donner un orgasme, ce même Jae qui t’a réduit à l’état de vulgaire pantin qu’il peut baiser après une réunion trop longue. Une succube, devenue le jouet d’un vampire si minable. » Je ricane en tirant un peu plus ses cheveux alors que j’attrape un pan de sa robe que j’arrache dévoilant ainsi sa cuisse. « Ca fait quoi Lin ? De n’être bonne qu’à être baiser ? » Vulgairement je la plaque face au mur avec force, blessant sûrement sa pommette alors que d’un coup de genoux sévère je lui écarte les jambes. Je soulève les pans de sa robe à moitié déchiré et la pénètre d’un coup sec. L’appétit sexuel qu’elle abat sur nous est tellement féroce qu’il est difficile de pouvoir lutter contre. Je la pilonne rapidement de coupe de bassin meurtrier et délicieux. Ma main se perd entre ses cuisses alors que je cherche son intimité humide que je caresse rapidement pour la faire succomber sur le plaisir. Ma main libre s’entoure autour de son cou que je serre dangereusement à mesure que je fais claquer nos peaux sans plus aucune pudeur, me moquant bien qu’on puisse nous entendre. « Mais c’est ce que t’a toujours aimé pas vrai ?! » rallais-je en plantant mes crocs dans sa nuque pour lui boire un peu plus de sang. J’allais m’enivré d’elle, au sens premier du terme. J’allais devenir ivre de son sang. L’alcool ne pourrait jamais me faire autant d’effet. Et cruel, pilonnant son intimité pour lui donner du plaisir, je n’ai pas pu m’empêcher de retenir une allusion à son ex. elle ne le comprendrait sûrement pas, mais la violence de nos ébats lui feront certainement écho. Son passé que je fais éclater avec délice et rancœur. Je garde mes pensées pour moi, les cachant avec hargne … mais mon plaisir brutal et brulant, je lui renvoi comme un reflet. La violence de nos ébats n’est que l’image de l’orage qu’elle a su faire naitre en moi. Moi qui était mort depuis trop longtemps. J’en avais oublié ce que c’était de … ressentir.
Elle joue, elle provoque, elle affiche cette moue insolente sur ses lèvres qui me donne envie de lui faire du mal. Elle ne sait pas, elle ne se rend pas compte de ce que je suis capable. Elle joue les femmes fière, ce genre de femme qui n’a peur de rien, ni de personne. Pourtant elle a fini par abandonner sa vie, ses valeurs, ce qu’elle aimait. Elle n’est qu’une devenu pantin qui se donne le droit de croire qu’avec moi ça sera différent, qu’avec moi elle a le droit de me marcher dessus. Est-elle idiote ? Si sa sensualité me plait et que son corps me rend dingue, ce qu’elle a dans la tête me donne la nausée. Moi qui la pensais toujours si parfaite, je venais de dégringoler. Elle n’était qu’une immondice de plus. De celles qui se croit supérieure aux autres, de celles qui s’amusent à heurter mon égo de mâle, ma fierté et mon honneur. Celle qui me fait passer pour un être inexpérimenté. Qui me rabaisse et qui me dénigre avec un rire qui me rend fou. Pense-t-elle pouvoir me cracher sa frustration au visage. Pense-t-elle pouvoir agir comme si j’étais Jae. Comme si j’étais celui qui lui faisais le plus de mal. Elle n’était qu’un jouet entre les mains de mon frère et la voilà, à vouloir prouver le contraire de la façon la plus pathétique qui soit. La rage qui éclate dans mon cœur me rend fou. Ses mots je veux lui faire ravaler. J’attrape son visage en lâchant un ricanement glacé. « Succombé le premier ? Je trouve ça drôle venant d’une femme qui laisse son fiancé lui retirer ce qu’elle a de plus cher. » douloureusement je fais passer mon doigt sur le dernier tatouage qu’elle a été obligé de retirer. J’ai un sourire carnassier aux lèvres et le regard si sombre, si orage, qu’elle pourrait perdre pied rien qu’en le croisant. J’ai toute la tension sexuelle qui tend sur mon bas ventre et j’ai du mal à ma retenir. Elle fait la fière, celle qui contrôle la situation parce qu’elle a su me faire perdre pied avec son pouvoir. Croit-elle avoir vaincu ?! Croit-elle avoir gagné la guerre ? Ce n’est qu’une pauvre bataille. « Jae … » Je murmure ce prénom avec une pointe de dégoût et beaucoup d’insolence. Il est pathétique. Aussi pathétique que puisse être leur couple. J’attrape ses cheveux que je tire en arrière. Je la décoiffe avec un certain plaisir, la rendant plus sauvage, mais aussi plus docile, à ma merci, je peux en faire ce que je veux. Je viens grogner contre sa mâchoire dans une souffle rauque « C’est tout ce que t’as pour me mettre en rogne Lin. Me provoquer de façon pathétique avec mon frère ? Ce Jae moins précoce qui n’est même pas foutu de te donner un orgasme, ce même Jae qui t’a réduit à l’état de vulgaire pantin qu’il peut baiser après une réunion trop longue. Une succube, devenue le jouet d’un vampire si minable. » Je ricane en tirant un peu plus ses cheveux alors que j’attrape un pan de sa robe que j’arrache dévoilant ainsi sa cuisse. « Ca fait quoi Lin ? De n’être bonne qu’à être baiser ? » Vulgairement je la plaque face au mur avec force, blessant sûrement sa pommette alors que d’un coup de genoux sévère je lui écarte les jambes. Je soulève les pans de sa robe à moitié déchiré et la pénètre d’un coup sec. L’appétit sexuel qu’elle abat sur nous est tellement féroce qu’il est difficile de pouvoir lutter contre. Je la pilonne rapidement de coupe de bassin meurtrier et délicieux. Ma main se perd entre ses cuisses alors que je cherche son intimité humide que je caresse rapidement pour la faire succomber sur le plaisir. Ma main libre s’entoure autour de son cou que je serre dangereusement à mesure que je fais claquer nos peaux sans plus aucune pudeur, me moquant bien qu’on puisse nous entendre. « Mais c’est ce que t’a toujours aimé pas vrai ?! » rallais-je en plantant mes crocs dans sa nuque pour lui boire un peu plus de sang. J’allais m’enivré d’elle, au sens premier du terme. J’allais devenir ivre de son sang. L’alcool ne pourrait jamais me faire autant d’effet. Et cruel, pilonnant son intimité pour lui donner du plaisir, je n’ai pas pu m’empêcher de retenir une allusion à son ex. elle ne le comprendrait sûrement pas, mais la violence de nos ébats lui feront certainement écho. Son passé que je fais éclater avec délice et rancœur. Je garde mes pensées pour moi, les cachant avec hargne … mais mon plaisir brutal et brulant, je lui renvoi comme un reflet. La violence de nos ébats n’est que l’image de l’orage qu’elle a su faire naitre en moi. Moi qui était mort depuis trop longtemps. J’en avais oublié ce que c’était de … ressentir.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Mar 24 Nov - 1:13 Citer EditerSupprimer
This is Halloween
TENUE + MASQUE
Je l’avais touche dans droit dans son égo de mâle. Je le savais, je le sentais. Il ne tardait pas à me donner raison m’attrapant le visage avec rage. Je continuais de sourire tout en soutenant son regard menaçant. Pensait-il que j’avais peur de lui ? Il en fallait plus que cela pour me faire flancher. Il est blessé. Il est touché. Un animal blessé. Voilà ce qu’il est. Et comme de fait, il se défend par l’offensive, m’attaquant à son tour, cherchant à me briser pour récupérer ne serait-ce qu’un petit bout de territoire. « Je ne vois pas en quoi ce qui se passe entre ton frère et moi te regarde. » Je ponctuais ma phrase en lui crachant au visage, dans le sens premier du mot. Je le foudroyais du regard avant qu’il ne m’attrape par les cheveux, m’arrachant un couinement de surprise. Ses gestes sont si rapides que j’ai parfois du mal à les voir et les anticiper. Je savais déjà à la seconde où il avait jeté son dévolu sur moi que mon cas était perdu, alors quitte à ce qu’il gagne autant que ce soit avec des bâtons dans les roues. J’aurais au moins fait ce que j’aurais pu. Je l’écoutais déverser sa colère sur moi, critiquant son frère. « La différence entre toi et ton frère, Bom Chan, c’est que tu auras beau être meilleur que lui au lit ou dans tous les domaines, je reviendrais toujours vers lui, quoi que tu fasses. Et tu sais pourquoi ? Parce que j’en suis amoureuse. Je l’aime, malgré tout ce qu’il m’a fait. Au fond, je ne sais pas pourquoi je parle de ca avec toi, tu ne sais sans doute pas ce que veut dire aimer. » J’essayais de répliquer comme je le pouvais, quand bien même il trouvait cela pathétique ou minable. Je n’étais pas assez forte pour me battre contre lui physiquement, alors il ne restait que les mots. Et les mots pouvaient parfois blessé bien plus que les gestes. Ma joue s’érase violemment sur le mur, l’égratignant au visage. Alors qu’il contre-attaque en disant être bonne qu’à baiser. « Va te faire foutre Bom Chan. J’ai connu pire que toi. Tu es loin de me faire peur. » Il y avait du vrai. Je n’avais pas peur de lui faire face et lui tenir tête quitte à me ramasser des baffes. Ce don j’avais vraiment peur, c’était de revivre la même chose qu’avec mon ex. Et une boule se formait dans mon ventre alors que j’avais bien l’impression que c’était ce qui était entrain de se passer, mais je ne lui donnerais pas le plaisir de lui demander pardon ou de le supplier d’arrêter. Je ferais front jusqu’au bout, lui tenant tête, quitte à en avoir de nouveaux des séquelles à terme. Je gémis de douleur alors qu’il me pénètre sans préparation, mais heureusement mon pouvoir est là pour le remplacer par le plaisir, m’évitant de mauvais souvenirs. Je couinais alors qu’il se mit à me pilonner à une de ses vitesses, ma respiration devenant bien vite saccadée. Sans que je m’en rende compte, l’air commençait à me manquer alors que je m’aperçois qu’il avait refermé ses doigts que mon cou. Subitement paniquée, je n’entends qu’à demi-mot ce qu’il me dit, griffant le mur à la recherche d’air. Mes poumons me brulaient, me renvoyant à des souvenirs lointains qui ne me plaisaient guère. A l’époque où je n’étais prise que pour une vulgaire poupée de chiffon par un homme que j’avais aimé, qui se moquait bien de mes envies, me traitant le plus mal qui soit pour assouvir ses pulsions. J’ouvris la bouche en O alors que ses crocs s’enfonçaient dans mon cou pour la eneme fois de la soirée. A ce rythme il allait me vider complément de mon sang en plus de mon énergie. J’étais une succube, de ce fait, je me régénérais plus vite en sang qu’un simple être humain, mais il était aussi plus enivrant pour les vampires et donc plus dure de s’arrêter. Je tapais d’un poing peu convaincu et sans force contre le mur, résigner alors qu’il me vidait de mon énergie vitale, de mon nectar de vie et qu’il me privait d’air. J’allais finir par succomber au plaisir, et m’évanouir dans ses bras.
Je l’avais touche dans droit dans son égo de mâle. Je le savais, je le sentais. Il ne tardait pas à me donner raison m’attrapant le visage avec rage. Je continuais de sourire tout en soutenant son regard menaçant. Pensait-il que j’avais peur de lui ? Il en fallait plus que cela pour me faire flancher. Il est blessé. Il est touché. Un animal blessé. Voilà ce qu’il est. Et comme de fait, il se défend par l’offensive, m’attaquant à son tour, cherchant à me briser pour récupérer ne serait-ce qu’un petit bout de territoire. « Je ne vois pas en quoi ce qui se passe entre ton frère et moi te regarde. » Je ponctuais ma phrase en lui crachant au visage, dans le sens premier du mot. Je le foudroyais du regard avant qu’il ne m’attrape par les cheveux, m’arrachant un couinement de surprise. Ses gestes sont si rapides que j’ai parfois du mal à les voir et les anticiper. Je savais déjà à la seconde où il avait jeté son dévolu sur moi que mon cas était perdu, alors quitte à ce qu’il gagne autant que ce soit avec des bâtons dans les roues. J’aurais au moins fait ce que j’aurais pu. Je l’écoutais déverser sa colère sur moi, critiquant son frère. « La différence entre toi et ton frère, Bom Chan, c’est que tu auras beau être meilleur que lui au lit ou dans tous les domaines, je reviendrais toujours vers lui, quoi que tu fasses. Et tu sais pourquoi ? Parce que j’en suis amoureuse. Je l’aime, malgré tout ce qu’il m’a fait. Au fond, je ne sais pas pourquoi je parle de ca avec toi, tu ne sais sans doute pas ce que veut dire aimer. » J’essayais de répliquer comme je le pouvais, quand bien même il trouvait cela pathétique ou minable. Je n’étais pas assez forte pour me battre contre lui physiquement, alors il ne restait que les mots. Et les mots pouvaient parfois blessé bien plus que les gestes. Ma joue s’érase violemment sur le mur, l’égratignant au visage. Alors qu’il contre-attaque en disant être bonne qu’à baiser. « Va te faire foutre Bom Chan. J’ai connu pire que toi. Tu es loin de me faire peur. » Il y avait du vrai. Je n’avais pas peur de lui faire face et lui tenir tête quitte à me ramasser des baffes. Ce don j’avais vraiment peur, c’était de revivre la même chose qu’avec mon ex. Et une boule se formait dans mon ventre alors que j’avais bien l’impression que c’était ce qui était entrain de se passer, mais je ne lui donnerais pas le plaisir de lui demander pardon ou de le supplier d’arrêter. Je ferais front jusqu’au bout, lui tenant tête, quitte à en avoir de nouveaux des séquelles à terme. Je gémis de douleur alors qu’il me pénètre sans préparation, mais heureusement mon pouvoir est là pour le remplacer par le plaisir, m’évitant de mauvais souvenirs. Je couinais alors qu’il se mit à me pilonner à une de ses vitesses, ma respiration devenant bien vite saccadée. Sans que je m’en rende compte, l’air commençait à me manquer alors que je m’aperçois qu’il avait refermé ses doigts que mon cou. Subitement paniquée, je n’entends qu’à demi-mot ce qu’il me dit, griffant le mur à la recherche d’air. Mes poumons me brulaient, me renvoyant à des souvenirs lointains qui ne me plaisaient guère. A l’époque où je n’étais prise que pour une vulgaire poupée de chiffon par un homme que j’avais aimé, qui se moquait bien de mes envies, me traitant le plus mal qui soit pour assouvir ses pulsions. J’ouvris la bouche en O alors que ses crocs s’enfonçaient dans mon cou pour la eneme fois de la soirée. A ce rythme il allait me vider complément de mon sang en plus de mon énergie. J’étais une succube, de ce fait, je me régénérais plus vite en sang qu’un simple être humain, mais il était aussi plus enivrant pour les vampires et donc plus dure de s’arrêter. Je tapais d’un poing peu convaincu et sans force contre le mur, résigner alors qu’il me vidait de mon énergie vitale, de mon nectar de vie et qu’il me privait d’air. J’allais finir par succomber au plaisir, et m’évanouir dans ses bras.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Mar 24 Nov - 1:53 Citer EditerSupprimer
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Je reprends en assurance, et peu importe si elle m’a craché au visage. Ce n’est qu’une vaine tentative pathétique de garder la tête haute. Laisse-moi rire Lin. Tu feules. Tu feules bien. Mais tu n’effraie pas. Ton plaisir tu me l’offres et tu le réclames. Tu es contre moi, serrée dans mon étau, prisonnière de mon étau. Tu es dans mes bras sans ne savoir quoi faire pour t’en échapper. J’en oublie Jae. J’en oublie mon frère. J’en oublie ton fiancé. Parce qu’à cet instant il n’y a que moi, moi et ton corps que je malmène avec délice. Il n’y a que moi, qui draine ton sang avec une avidité abondante. Il n’y a que moi, qui puise ton énergie pour devenir, plus fort, plus vigoureux. Je serre de ma main ton sein que je suis allée chercher sous le tissu de ta robe. Je rétracte mes crocs. Ton sang coule le long de mon menton et ce n’est pas ce qui m’arrête. D’un souffle je dégage les mèches qui me gênent avant de venir embrasser ta nuque avec une tendresse étrangère à la situation. Je peux sentir son corps devenir plus lourd, je peux sentir son cœur ralentir. Les battements qui se fanent sous mes doigts m’arrachent un frisson de plaisir. Son pouvoir de succube aussi, qui explose pourtant encore avec force. Je relâche mon étreinte quand je la sens sur le point de perdre connaissance et la tourne face à moi en la soutenant entre mes bras. Mon sourire mauvais est la preuve que je connais mes limites, mais qu’elles peuvent facilement être franchissable. Elle n’est que sur un fil tendu au-dessus du vide et si je le désire elle peut chuter. Longtemps. Et s’écraser. Douloureusement. Je caresse son visage avec douceur, plongeant mon regard dans le sien, brillant et hagard. Je viens lui voler un baiser à ses lèvres dociles. Elle ne tardera pas à reprendre ses esprits suffisamment pour me repousser. Alors j’en profite, je pose mon regard orage sur cette chatte féline qui reprend son souffle. Ça fait mal, pas vrai ? Cette sensation d’air qui brule tes poumons. Et cette délivrance de braise quand l’air franchit tes lèvres. Je la soulève pour la déposer sur le rebord de la lucarne. Je remonte les jupons de sa robe pour dévoiler une peau blanc, et fine. Une peau douce qui manque de caractère. A genoux devant ma dame à qui je laisse un brin de répit, je viens croquer d’abord une cuisse, puis l’autre. Remontant jusqu’à son intimité. Je sème des traces de morsures avant de venir donner quelques coups de langues bien placés pour la ramener bien plus vite à elle. Me redressant, son nectar sur les lèvres, je viens l’embrasser, me glissant en elle à nouveau d’une simplement pression du bassin. Si humide. Si pleine de désire. Mes mains se crispent sur ses cuisses alors que je l’assène de va et vient langoureux. Sensuels. Lents. Profonds. Soulevant ses jambes pour entrer en elle le plus profondément possible. Je savoure l’expression de son visage avant de lui susurrer tout bas contre ses lèvres « Ça m’est égale que tu retournes sans cesse vers lui … puisque je finis toujours par t’avoir … Lin. » Une simple vérité qui meurt sur sa bouche rosie. Je l’embrasse, à lui faire goûter son sang. Son nectar. Sa vie. J’attrape sa lèvre inférieure que je mordille et tire entre mes dents. Elle peut bien être amoureuse de lui, c’est même là tout ce que je veux, puisqu’elle ne résiste pas à l’appelle de mon corps … et je sais que ce soir … ce n’est ni une erreur. Ni une fin. C’est le début. Le début de tout.
Je reprends en assurance, et peu importe si elle m’a craché au visage. Ce n’est qu’une vaine tentative pathétique de garder la tête haute. Laisse-moi rire Lin. Tu feules. Tu feules bien. Mais tu n’effraie pas. Ton plaisir tu me l’offres et tu le réclames. Tu es contre moi, serrée dans mon étau, prisonnière de mon étau. Tu es dans mes bras sans ne savoir quoi faire pour t’en échapper. J’en oublie Jae. J’en oublie mon frère. J’en oublie ton fiancé. Parce qu’à cet instant il n’y a que moi, moi et ton corps que je malmène avec délice. Il n’y a que moi, qui draine ton sang avec une avidité abondante. Il n’y a que moi, qui puise ton énergie pour devenir, plus fort, plus vigoureux. Je serre de ma main ton sein que je suis allée chercher sous le tissu de ta robe. Je rétracte mes crocs. Ton sang coule le long de mon menton et ce n’est pas ce qui m’arrête. D’un souffle je dégage les mèches qui me gênent avant de venir embrasser ta nuque avec une tendresse étrangère à la situation. Je peux sentir son corps devenir plus lourd, je peux sentir son cœur ralentir. Les battements qui se fanent sous mes doigts m’arrachent un frisson de plaisir. Son pouvoir de succube aussi, qui explose pourtant encore avec force. Je relâche mon étreinte quand je la sens sur le point de perdre connaissance et la tourne face à moi en la soutenant entre mes bras. Mon sourire mauvais est la preuve que je connais mes limites, mais qu’elles peuvent facilement être franchissable. Elle n’est que sur un fil tendu au-dessus du vide et si je le désire elle peut chuter. Longtemps. Et s’écraser. Douloureusement. Je caresse son visage avec douceur, plongeant mon regard dans le sien, brillant et hagard. Je viens lui voler un baiser à ses lèvres dociles. Elle ne tardera pas à reprendre ses esprits suffisamment pour me repousser. Alors j’en profite, je pose mon regard orage sur cette chatte féline qui reprend son souffle. Ça fait mal, pas vrai ? Cette sensation d’air qui brule tes poumons. Et cette délivrance de braise quand l’air franchit tes lèvres. Je la soulève pour la déposer sur le rebord de la lucarne. Je remonte les jupons de sa robe pour dévoiler une peau blanc, et fine. Une peau douce qui manque de caractère. A genoux devant ma dame à qui je laisse un brin de répit, je viens croquer d’abord une cuisse, puis l’autre. Remontant jusqu’à son intimité. Je sème des traces de morsures avant de venir donner quelques coups de langues bien placés pour la ramener bien plus vite à elle. Me redressant, son nectar sur les lèvres, je viens l’embrasser, me glissant en elle à nouveau d’une simplement pression du bassin. Si humide. Si pleine de désire. Mes mains se crispent sur ses cuisses alors que je l’assène de va et vient langoureux. Sensuels. Lents. Profonds. Soulevant ses jambes pour entrer en elle le plus profondément possible. Je savoure l’expression de son visage avant de lui susurrer tout bas contre ses lèvres « Ça m’est égale que tu retournes sans cesse vers lui … puisque je finis toujours par t’avoir … Lin. » Une simple vérité qui meurt sur sa bouche rosie. Je l’embrasse, à lui faire goûter son sang. Son nectar. Sa vie. J’attrape sa lèvre inférieure que je mordille et tire entre mes dents. Elle peut bien être amoureuse de lui, c’est même là tout ce que je veux, puisqu’elle ne résiste pas à l’appelle de mon corps … et je sais que ce soir … ce n’est ni une erreur. Ni une fin. C’est le début. Le début de tout.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Mar 24 Nov - 3:08 Citer EditerSupprimer
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Il me possédait pleinement, et je n’étais plus maitrise de mon corps. Il savait comment me priver du contrôle comme si ce n’était pas la première fois qu’il faisait cela. Il se nourrissait de moi, devenant plus fort à chaque seconde qu’il s’abreuvait de mon sang. Alors que je m’apprêtais à perdre connaissance, il relâchait sa prise, permettant mes poumons d’enfin recevoir de l’air dont ils étaient privés. Malheureusement, j’avais l’impression d’étoffer une deuxième sous la brulure que l’air insufflait aux parois de mes poumons. J’écarquillais les yeux le fixant incapables de dire un mot, les lèvres entrouvertes. Sa douceur me tord l’estomac de dégout. Comment pouvait-il faire preuve d’une telle tendresse après une telle violence. J’avais envie de le repousser, qu’il me laisse tranquille, mais à la place, il revenait à la charge, me volant un baiser. J’avais le regard fuyant, reprenant doucement mes esprits, mais assez pour comprendre ce qu’il s’apprêtait à faire. Pas assez pour le repousser. J’eus eu sursaut quand il mordit la premier cuisse. Puis un deuxième, alors qu’il s’attaquait à la deuxième. Je fermais les yeux, me laissant aller contre la vitre fraiche, à bout de force. J’étais pleine d’énergie quand mon pouvoir c’était nourrit, mais ce pauvre imbécile s’en délectait à force que je me nourrissais, revenant à dire que j’étais à la diète. Il était tel un joaillier qui privait sa prisonnière de nourriture. Et malgré tout, il arrivait encore à me faire gémir d’envie avec ses coups de langues, me faisant vaciller dans un océan de plaisir et de douleur. J’étais couverte de mon sang. J’en étais couverte aussi bien dans mon cou que sur mes jambes. Ma robe était surement foutu et c’était bien le cadet de mes soucis. Et je gémis à nouveau entre ses lèvres alors qu’il me pénétrait à nouveau alors que j’étais telle une poupée de chiffon entre ses bras, faisant de moi ce que bon lui semblait. Et malgré la violence qu’il m’avait infligée, il parvint à me faire jouir, m’arrachant un cri de jouissance de mes lèvres rougis par mon sang. « Tu n’es qu’un batard de première ! Tu ne sais que prendre sans te soucier de ce que veulent les autres ! » Je lui mis une gifle de basse intensité. Encore trop faible pour lui en donner une de ce nom. « Qu’est ce que tu cherches à faire ? Pourquoi tu t’acharnes sur moi alors que je ne te connais ni d’Eve, ni d’Adam ? »lui demandais-je du voix pitoyable, le regard fous sous mes meches rebelles.
Il me possédait pleinement, et je n’étais plus maitrise de mon corps. Il savait comment me priver du contrôle comme si ce n’était pas la première fois qu’il faisait cela. Il se nourrissait de moi, devenant plus fort à chaque seconde qu’il s’abreuvait de mon sang. Alors que je m’apprêtais à perdre connaissance, il relâchait sa prise, permettant mes poumons d’enfin recevoir de l’air dont ils étaient privés. Malheureusement, j’avais l’impression d’étoffer une deuxième sous la brulure que l’air insufflait aux parois de mes poumons. J’écarquillais les yeux le fixant incapables de dire un mot, les lèvres entrouvertes. Sa douceur me tord l’estomac de dégout. Comment pouvait-il faire preuve d’une telle tendresse après une telle violence. J’avais envie de le repousser, qu’il me laisse tranquille, mais à la place, il revenait à la charge, me volant un baiser. J’avais le regard fuyant, reprenant doucement mes esprits, mais assez pour comprendre ce qu’il s’apprêtait à faire. Pas assez pour le repousser. J’eus eu sursaut quand il mordit la premier cuisse. Puis un deuxième, alors qu’il s’attaquait à la deuxième. Je fermais les yeux, me laissant aller contre la vitre fraiche, à bout de force. J’étais pleine d’énergie quand mon pouvoir c’était nourrit, mais ce pauvre imbécile s’en délectait à force que je me nourrissais, revenant à dire que j’étais à la diète. Il était tel un joaillier qui privait sa prisonnière de nourriture. Et malgré tout, il arrivait encore à me faire gémir d’envie avec ses coups de langues, me faisant vaciller dans un océan de plaisir et de douleur. J’étais couverte de mon sang. J’en étais couverte aussi bien dans mon cou que sur mes jambes. Ma robe était surement foutu et c’était bien le cadet de mes soucis. Et je gémis à nouveau entre ses lèvres alors qu’il me pénétrait à nouveau alors que j’étais telle une poupée de chiffon entre ses bras, faisant de moi ce que bon lui semblait. Et malgré la violence qu’il m’avait infligée, il parvint à me faire jouir, m’arrachant un cri de jouissance de mes lèvres rougis par mon sang. « Tu n’es qu’un batard de première ! Tu ne sais que prendre sans te soucier de ce que veulent les autres ! » Je lui mis une gifle de basse intensité. Encore trop faible pour lui en donner une de ce nom. « Qu’est ce que tu cherches à faire ? Pourquoi tu t’acharnes sur moi alors que je ne te connais ni d’Eve, ni d’Adam ? »lui demandais-je du voix pitoyable, le regard fous sous mes meches rebelles.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Mar 24 Nov - 4:13 Citer EditerSupprimer
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Si mes gestes sont devenu tendre, et mes mouvements de bassins plus lents et sensuel, c’est pour l’atteindre à ma façon. La violence, elle l’encaisse, la violence, elle la supporte. C’est ce qu’elle cherche. La rage et le plaisir. Mais la tendresse. La tendresse c’est réservé à son frère. Et entre mes bras elle ne devient pas qu’une vulgaire poupée de chiffon que l’on baise. Elle n’est plus rabaissée à ce genre de fille que l’on prend sauvagement au détour d’un couloir. Loin de là. Et c’est bien là ma victoire. Parce qu’elle n’est plus maltraité par mon bassin, bien contraire, je suis doux, tendre. J’y vais doucement, assez pour la faire jouir en douceur. Tout ce qui m’est interdit, tout ce que je n’aurais pas le droit de faire. L’embrasser, la caresser. Pourtant je le prends, sans rien demander, je lui vole. Aussi savamment qu’elle me réclamait ma violence. Que cherchait-elle ? A fuir la culpabilité. Cet homme qu’elle clamait si fort aimé n’était pas celui à qui elle se donnait ce soir. Il était loin, probablement à bosser, jusqu’à oublier la présence de se fiancée qu’il délaissait. Et les rares fois où il se retrouvait avec elle c’était pour l’inspecter, lui dire combien ses tatouages étaient déplaisants qu’il fallait qu’elle les retire. Lui interdire de fumée, lui interdire de peindre, de s’amuser, de vivre sa vie … Rester dans le moule de cette perfection qu’il veut lui faire atteindre. Sa perfection à lui, celle qui me débecte et qui me donne la nausée. Je la fixe si intensément en passant un doigt sur ses lèvres que je me perds dans son regard. Quand je la sens jouir je ralenti encore plus la cadence pour finalement me retirer d’elle. Ce n’est pas une question de plaisir. Ce n’est pas juste une question de baise. C’est une question de domination. C’est une question de pouvoir, à celui qui saurait faire craquer l’autre. Je n’ai pas besoin de sexe, je saurais vivre sans quand bien même j’en suis accroc. Mais ce soir … non, rien que cet instant, c’était juste une question de saveur. La gifle qu’elle me met m’arrache un sourire. Je lèche mes lèvres et essuie mon menton d’un revers de manche. « Ni d’Adam, ni d’Eve ? » répétais-je en la regardant soudain si frêle, si fragile entre mes bras. « C’est ce qu’il t’a dit ? » murmurais-je en gardant mon regard au sien. Je pourrais lui envoyer des images d’elle, celle que j’avais d’elle, surement mieux que la réalité. Je pourrais lui prouver, maintenant, tout de suite, que l’on qu’elle aime n’est que mensonge. Il aurait dû lui dire qui j’étais, ce que j’avais fait, mais à croire que même dans sa tête à lui, la réalité a changé. Je reboutonne mon pantalon et coince ma chemise sous la ceinture. Je me recule légèrement, tentant piteusement de cacher son corps sous les lambeaux de sa robe. Je retire ma veste, elle n’en voudra certainement pas mais elle appartient à Jae, alors peut-être qu’elle acceptera de la garder sur les épaules. Je lui glisse d’ailleurs, doucement, replaçant quelques mèches sur son visage. Et simplement, à fixer ses lèvres que j’essuie doucement je lui dis simplement avec un calme troublant « Ne te trompe pas de monstre Lin Yao. On a tous nos raisons d’agir comme on le fait. » Je m’adosse au mur en face d’elle et passe une main dans mes cheveux. J’ai besoin d’une pause, ce n’est que maintenant que je me rends compte à quel point je suis crevé. Je me sens pourtant vivifié et repus, mais son pouvoir, aussi exaltant soit-il possède une retombée lourde. Comme une gueule de bois. Comme une montée d’adrénaline qui nous arrache la moindre de nos forces. « C’est un truc de succube … ? Ce que tu m’as fait. » À sous-entendre que j’ai adoré et que je suis même impressionné. Mon sourire, sous le charme, le prouve bien.
Si mes gestes sont devenu tendre, et mes mouvements de bassins plus lents et sensuel, c’est pour l’atteindre à ma façon. La violence, elle l’encaisse, la violence, elle la supporte. C’est ce qu’elle cherche. La rage et le plaisir. Mais la tendresse. La tendresse c’est réservé à son frère. Et entre mes bras elle ne devient pas qu’une vulgaire poupée de chiffon que l’on baise. Elle n’est plus rabaissée à ce genre de fille que l’on prend sauvagement au détour d’un couloir. Loin de là. Et c’est bien là ma victoire. Parce qu’elle n’est plus maltraité par mon bassin, bien contraire, je suis doux, tendre. J’y vais doucement, assez pour la faire jouir en douceur. Tout ce qui m’est interdit, tout ce que je n’aurais pas le droit de faire. L’embrasser, la caresser. Pourtant je le prends, sans rien demander, je lui vole. Aussi savamment qu’elle me réclamait ma violence. Que cherchait-elle ? A fuir la culpabilité. Cet homme qu’elle clamait si fort aimé n’était pas celui à qui elle se donnait ce soir. Il était loin, probablement à bosser, jusqu’à oublier la présence de se fiancée qu’il délaissait. Et les rares fois où il se retrouvait avec elle c’était pour l’inspecter, lui dire combien ses tatouages étaient déplaisants qu’il fallait qu’elle les retire. Lui interdire de fumée, lui interdire de peindre, de s’amuser, de vivre sa vie … Rester dans le moule de cette perfection qu’il veut lui faire atteindre. Sa perfection à lui, celle qui me débecte et qui me donne la nausée. Je la fixe si intensément en passant un doigt sur ses lèvres que je me perds dans son regard. Quand je la sens jouir je ralenti encore plus la cadence pour finalement me retirer d’elle. Ce n’est pas une question de plaisir. Ce n’est pas juste une question de baise. C’est une question de domination. C’est une question de pouvoir, à celui qui saurait faire craquer l’autre. Je n’ai pas besoin de sexe, je saurais vivre sans quand bien même j’en suis accroc. Mais ce soir … non, rien que cet instant, c’était juste une question de saveur. La gifle qu’elle me met m’arrache un sourire. Je lèche mes lèvres et essuie mon menton d’un revers de manche. « Ni d’Adam, ni d’Eve ? » répétais-je en la regardant soudain si frêle, si fragile entre mes bras. « C’est ce qu’il t’a dit ? » murmurais-je en gardant mon regard au sien. Je pourrais lui envoyer des images d’elle, celle que j’avais d’elle, surement mieux que la réalité. Je pourrais lui prouver, maintenant, tout de suite, que l’on qu’elle aime n’est que mensonge. Il aurait dû lui dire qui j’étais, ce que j’avais fait, mais à croire que même dans sa tête à lui, la réalité a changé. Je reboutonne mon pantalon et coince ma chemise sous la ceinture. Je me recule légèrement, tentant piteusement de cacher son corps sous les lambeaux de sa robe. Je retire ma veste, elle n’en voudra certainement pas mais elle appartient à Jae, alors peut-être qu’elle acceptera de la garder sur les épaules. Je lui glisse d’ailleurs, doucement, replaçant quelques mèches sur son visage. Et simplement, à fixer ses lèvres que j’essuie doucement je lui dis simplement avec un calme troublant « Ne te trompe pas de monstre Lin Yao. On a tous nos raisons d’agir comme on le fait. » Je m’adosse au mur en face d’elle et passe une main dans mes cheveux. J’ai besoin d’une pause, ce n’est que maintenant que je me rends compte à quel point je suis crevé. Je me sens pourtant vivifié et repus, mais son pouvoir, aussi exaltant soit-il possède une retombée lourde. Comme une gueule de bois. Comme une montée d’adrénaline qui nous arrache la moindre de nos forces. « C’est un truc de succube … ? Ce que tu m’as fait. » À sous-entendre que j’ai adoré et que je suis même impressionné. Mon sourire, sous le charme, le prouve bien.
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Re: Bolin ♥ All your senses are lost in mine +18 | Mar 24 Nov - 12:09 Citer EditerSupprimer
This is Halloween
TENUE + MASQUE Quelle image pathétique je devais rejeter. Ma robe déchirée, des morsures encore fraiches sur le corps, du sang partout, les cheveux rebelles, le regard fou, à bout d’épuisement. Je restais encore assise sur le rebord, affaissée contre la fenêtre alors qu’il se rhabillait, ou essayait plutôt de mettre un semblant d’ordre. Il s’était vengé de mon audace d’avoir osé le mettre à genou au premier round. Il n’acceptait pas de simplement perdre. Il devait me rendre ce que je lui faisais subir en puissance triple, quitte à tout détruire et humilier sur son passage. Il ne savait faire autrement. Il était trop mauvais perdant pour cela, je l’avais bien compris. « ce n’est pas ce qu’il m’a dit… c’est un simple fait. » répliquais-je faiblement. Je baissais les yeux vers cette robe qu’il tente de remettre tant bien que mal, cachant mon corps de ses crimes. « Elle est fichue. » constatais-je ironiquement, un sourire désabusé sur le visage. « Je l’aimais bien. » J’avais si peu de robe qui ne faisait pas grand-mère comme Bom Chan disait. Elle en faisait partie. Une de moins. Qu’est ce que ca pouvait bien faire au finale ? Mon avis ne comptait pas. Et il aura beau dire le contraire. Il était comme Jae. Il essayait de me faire ouvrir soit disant les yeux sur la situation alors qu’il me poussait simplement à vouloir penser comme lui, car il était incapable d’entendre ma version et encore moins, d’essayer de la comprendre. Il finissait toujours pas me couper, ou me faire comprendre d’une façon ou d’une autre qu’il aurait le dernier mot. La manière qu’il avait subitement de m’occuper de moi, comme si il avait face à lui une enfant apeuré, me faisait me tordre de dégout. Je le fixais tout le long de sa petite mise en scène alors qu’il réparait d’une main habille ce qu’il avait cassé. « Tu as une raison de me pourrir l’existence alors ? » Autant bien même qu’il ne voudrait que mon bien, dans l’état dans lequel je me trouvais, après ce qu’il m’avait fait, c’était déplacé. J’étais tel un animal blessé qui ne cherchait qu’à se protéger, se mettre à l’abri. Je resserrais les pans de sa veste autour de moi comme si j’avais subitement froid. Ayant un peu récupéré de force, je me redressais, le fixant alors qu’il posait sa question. « En temps normal, le partenaire ne subit pas autant mon pouvoir. Il ne fait que traverser son corps, possède son aura le temps qu’il faut pour l’ébat et ca suffit à faire succomber quiconque. Mais tu t’es abreuvé plus que nécessaire, jusqu’à t’enivrer de mon énergie vitale, tu as pris la part qui m’était du. Alors je suppose que c’est du en partie à cela que tu sois aussi claqué. » Je regarde le sang qui coulait encore vers ma poitrine laissant une trainée rouge derrière lui. J’attrapais la goutte de mon doigt, le léchant d’un coup de langue. « Tu aurais pu au moins avoir la décence de refermer tes marques. Pour un vieux vampire, tu n’as aucune classe. » je sautais du rebord de la fenetre, atterrissant péniblement sur mes talons, manquant de m’écrouler, mes jambes pas encore tout à fait aptes à me porter de nouveau de suite.
(c) AMIANTE
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