NOM : Zhang, parce que oui, Monsieur est d’origine Chinoise, une grande fierté. D’après lui.  PRÉNOM : Jiro, on plonge directement dans l’originalité, certes, mais ainsi, vous comprendrez que c’est de lui dont on parle lorsque celui-ci est cité. ÂGE : Vingt-six ans. ORIGINES : Un fort beau mélange. Chinois, au travers de son paternel, et Coréen, lorsque cela concerne la femme qui a daigné le mettre au monde. NATIONALITÉ : Coréen, malgré tout. CLASSE SOCIALE : En toute sincérité ? Au-dessus de vous. ORIENTATION SEXUELLE : Les femmes, et ce, malgré les déceptions et le manque de temps.MÉTIER : Officiellement, vendeur au sein d'une quelconque boutique de luxe, souhaitant simplement se mêler à la populace sans véritablement attirer l'attention sur sa personne. Officieusement, héritier du domaine du patriarche. Code du règlement : C'est le meilleur. TU VEUX T'INVESTIR? : La vieillesse pointe le bout de son nez pour moi, suffis les enfantillages, battez-vous entre vous, les enfants. Je vous observerais à distance, malgré tout.

“ Rumour has it : Il semblerait que le jeune homme aurait des attirances d'autant plus détourner vers la gent masculine. (F, ce qui, en soit, s'avère être un fait issu des esprits détraqués d'un bon nombre d'inconnus. La seule et unique raison pour lui, de favoriser le fait de se retrouver en compagnie masculine serait la simple et unique idée qu'ils ne lui apportent guère de problème. Bien au contraire, ils sont sembles à une bouchée de crème glacée lorsque vous semblez au plus bas.) + Il serait un féru des modifications corporelles, dont, surtout, les tatouages. Jusqu'à ce jour, il en posséderait aux environs d'une dizaine, jonchant sur son échine de part et d'autre, certains n'auraient d'ailleurs, jamais été vu d'un regard autre que le sien, et le tatoueur ayant réalisé ceux-ci. (V, il en affectionnerais un en particulier, d'ailleurs, le long de sa colonne vertébrale. Des inscriptions issues de l'Empire céleste qui signifierait – apparemment – «  laver le sang, par le sang ».  Un grand « proverbe » que sa famille affectionnerais particulièrement et dont ils feraient bien souvent usage au sein de leur quotidien.) + Il aurait pris un abonnement premium aux offres d'un site pornographie dédié aux ménages semblables à n'importe quel inconnu que vous parvenez à croiser dans la rue, amateurs, en soit. (V, et f. C'est l'un de ses proches amis qui s'est vu lui offrir ce grand « présent » lors de l'un de ses précédents anniversaires. Ajoutant à cela les simples propos concernant l'idée qu'il serait peut-être temps, pour Jiro, de se trouver une petite-amie, plutôt que de jouer à l'homme indécis, ou, irresponsable.) + Il aurait une faiblesse inavouable. Ce genre de faiblesse qui ne se laisse pas facilement découvrir, oui, ce genre de faiblesse que vous vous contentez de garder pour vous. Il serait atteint d'aquaphobie. Qui en soit est une peur irraisonnée et chronique de l'eau. (V, étant plus jeune. Son paternel n'a eu d'autre idée que de pousser dans le grand bassin sa progéniture afin de connaître les réactions de celui-ci. Les réactions, alors ? Mauvaises, très, mauvaises.) + Il serait membre d'une secte fort bien connue aux yeux du monde entier, et qui, en soit, n'aurait rien de bien valorisant pour le jeune homme. (F, la simple et unique vue de multiples hommes de main se trouvant à ses côtés ou, daignant entrer au sein de son antre a très certainement pu porter à confusion. Très certainement.) + Au travers de son éducation fort stricte, ont lui aurait diagnostiqué le simple fait d'être un élève surdoué. Les raisons ? Uniquement l'idée que son paternel daigne faire de son propre fils une personne aux côtés de la perfection. (V, le fait que son paternel s'est permis d'engager un bon nombre de professeurs à domicile a très certainement joué un rôle majeur sur l'avancée qu'il s'est permis d'avoir.) + Il serait le fils d'une richissime magna des affaires louches. (V, vous savez, ce type d'affaires qui se déroulent uniquement dans la nuit, la pénombre, dans les sous-sols, où les lieux mal famés.)

“ Caractère : Menant une vie à double facette, il n'en est pas moins humain. Possédant des qualités, comme des défauts. Il favorise l'idée de démontrer une image de lui-même forte, et parfois dure, mais qu'importe. Il se contente de masquer ses véritables idéaux au travers de ce jeu au sein duquel il semble plongé depuis sa plus tendre enfance, déjà. Vivant au jour le jour sans véritablement penser au lendemain. Les conséquences, oui. Il n'en as que faire. Aussi détestable, qu'adorable. Il saura être votre allié, ou, votre ennemi. À vous de voir, serez-vous simplement un caillou sur son chemin, ou bien, une personne qu'il affectionnera tout particulièrement et daignera maintenir à ses côtés ?

“ Once upon a time :


Face à son propre reflet différé par ce miroir qui se trouvait face à lui, le jeune homme osait se remettre en question. Après tout, tout homme est construit au travers de ses expériences passées, et pourtant, il ne semblait pas être un homme ‘accomplis’ en tout point. Que ce soit, au sein de sa vie personnelle, professionnelle ou bien sentimentale. Un capharnaüm à l’état pur au sein duquel il ne parvenait guère à remettre un certain ordre. À son plus grand désespoir, par ailleurs. « Vingt-six ans, bordel. Vingt-six ans, et je suis toujours là à me lamenter sur mon sort. Bordel, quelle ironie. » ; se contenta-t-il d’ajouter avant que l’une de ses mains ne puisse, vulgairement, s’écraser contre son faciès. Un sentiment de fraîcheur parcourait alors, son échine, face à ce simple contact humide que cet acte pouvait lui offrir. L’eau avait toujours utile lorsqu’il daignait remettre ses idées en place.


« Né au sein d’une famille aux ethnies différées, Jiro fus l’enfant désiré et tant aimé de ces deux jeunes tourtereaux férus d’histoires d’amour impossibles. Une coréenne, un chinois. Un enfant transporté dans ce rythme de vie effréné que menaient ses géniteurs. Poussé à suivre ce qu’avait créé sa propre famille afin de leur offrir un certain contentement, il se devait de suivre les traces de ses géniteurs sans avoir son propre mot à dire, rien à ajouter, simplement suivre. Après tout, il était la fierté de la famille Zhang.

« Tais-toi, suis, simplement. » Furent donc, les maîtres-mots de la famille Zhang lors de l'enfance du jeune homme. Fils unique, il ne sera que l'ombre de son paternel au travers de ces longues années, suivant alors, les moindres faits et gestes de celui-ci au sein de la demeure familiale. Favorisant l'idée de prendre, à son tour, cet homme comme simple et unique modèle. Ce n'est que lorsque celui-ci quittais le domaine familial afin de s'adonner aux multiples responsabilité que, chacun vaquait à ses occupations respectives. Aussi « protecteur » que buté sur ses propres opinions, le grand patriarche ne voyait qu'un inconvénient à pousser sa progéniture à devoir se mêler à la simple vie active au sein de l'une des grandes villes du pays du matin calme. Favorisant l'idée qu'une simple horde d'homme ou de femmes spécialisés au sein de multiples domaines éducatifs apporteraient la culture et les connaissances nécessaire à l’obtention d'un diplôme quelconque. Emploi du temps millimétré à la perfection, chaque activité possédait sa place. Ne laissant à présent, à cet enfant, le choix que, de suivre celui-ci à la lettre.

Règle numéro une : tu ne sortiras pas seul, sans l'autorisation d'une personne possédant un statut supérieur à ta personne en ces lieux. Règle numéro deux : sortir de ta chambre après vingt-deux heures se verra un acte de rébellion qui pourra être sévèrement puni. Règle numéro trois : tu ne dois pas prendre de décisions importantes, seul. Celles-ci doivent être toujours prises sous la direction du paternel. Règle numéro quatre : toujours faire utilisation des termes honorifiques lorsque tu t'adresse à une personne possédant un statut supérieur au tien. Règle numéro cinq : tu prendra soin de cette femme qui a osé t'offrir la vie.  » Souhaitez-vous en entendre d'avantage ? Pas lui, non. Cela suffisait amplement.

Ce n’est alors, qu’après cela, qu’un vulgaire soupir osait traverser les lippes du jeune homme tandis qu’il osait briser la moindre lumière qui éclairait son être d’un simple coup de main contre l’interrupteur. Une douce mélodie classique et le noir complet l’aidait à oublier tout ce qui semblait assombrir son esprit depuis bien des années. 





« Années, après années. Le caractère du jeune homme se forgeas et celui-ci se fis bien vite une idée sur ce que ce tableau si idyllique qu'osait renvoyer la famille Zhang envers autrui n'était qu'une simple et unique façade. Façade, fort utile. Apparemment. Puisque celle-ci ne semblait aucunement faillir, et ce, malgré les fautes accumulées dont ils pouvaient faire part.

Et ce n'est que lorsqu'il parvint à atteindre la majorité au sein de la communauté du pays du matin calme qu'il parvint à mettre la main sur ce sentiment tant idéalisé qu'est : la liberté. Ou tout du moins, un avant-goût de celui-ci. Il parvenait à consolider études, multiples entraînements et cours personnels avec une vie sociable. Une sorte de... Parcours du combattant, en soit. Mais qu'importe. Il acceptait l'essor de ses actes, sans conteste. Et ce, malgré les multiples réprimandes qu'il pouvait récolter suite à cela, il réalisait tout, à la perfection. Sous le regard avisé et averti de son paternel. Après tout. Il n'avait aucun droit à l'erreur. Aucune fausse note ne serait tolérée. Rien ne serait accepté. Aucun laxisme sur les règles.

Il prit, donc, l'initiative de prendre sa propre vie en main. Gérer celle-ci au travers d'une manière des plus déterminée qu'il soit. Entrant à l'université afin de parfaire l'image du jeune homme studieux, intelligent et tout aussi commun que ces quelconques inconnus qu'il daigne croiser dans la rue. Jonglant entre les connaissances du milieu de son paternel qu'il se devait de connaître et que celui-ci osait lui insuffler depuis sa plus tendre enfance. Usant de multiples stratagèmes afin de réaliser ses obligations au travers du cercle familial. »

Une énième réflexion, une énième souffrance.


« Perfectionnant ses connaissances au sein du domaine commercial afin de rendre cet homme qui avait osé lui offrir la vie, heureux, mais aussi, d'ajouter une corde à son arc. Il n'a fallu que quelques années pour le jeune homme en question parviennent à obtenir le diplôme tant espéré. Diplôme, qui, quant à lui parvint à rejoindre une multitude d'autres sur ce fameux mur blanchâtre placardé d'un bon nombre d'entre eux. Une fierté de plus. Et c'est, bel et bien grâce à cela qu'il parvint finalement à quitter le domicile familial. Un contrat de travail au creux de ses mains, les clés d'un appartement quelconque, tirant une simple valise emplie de ses affaires personnelles. Enfin, ce véritable sentiment de liberté s'offrait à lui. »