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nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre.
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nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 0:26 Citer EditerSupprimer nam junho.
Ton Pseudo
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
pour un pv pris :
▲▼KIM JI WON ( BOBBY, IKON) ✎ nam jun ho.
j'ai pas l'temps. mon esprit, glisse ailleurs.
#AUTONOME | #BAGARREUR | #COMPÉTITIF | #VULGAIRE | #SINCÈRE |
#DIRECT | #DÉSINVOLTE | #INFATIGABLE | #TÊTU | #LOYAL |
NOM : Nam, une dose d'originalité dans ce pays du matin calme, où, réside ces noms de famille tous aussi similaires les uns, que les autres. PRÉNOM : Junho, aussi simple, qu’efficace. Il déplore malgré tout l'idée qu'un bien grand nombre de jeunes hommes portent le même que lui. ÂGE : Vingt ans, encore la fleur de l'âge, oui. ORIGINES : Coréen, d'après les informations qu'il possède. NATIONALITÉ : Il serait purement Coréen, aussi, et ne porte qu'un infime intérêt à cela. CLASSE SOCIALE : Bien mieux depuis que cette jeune femme s'est permis de le prendre sous son aile. ORIENTATION SEXUELLE : Il ne porte qu'un grand intérêt envers la gent féminine. CURSUS UNIVERSITAIRE : STAPS, deuxième année. MÉTIER : Voyez-vous, cet homme muni de ce simple scooter et de cette veste peu agréable visuellement à l’effigie de cette quelconque compagnie de restauration rapide qui ose sonner à votre porter afin de vous apporter votre commande ? Voilà, c'est cela même. Des pizzas, en prime. Code du règlement : Baimax, jtm. TU VEUX T'INVESTIR? : Vendez-moi du rêve.
“ Rumour has it : Il aurait fait de la prison et n'aurait guère apprécié cette expérience, d'après certains. (v ; malgré tout, cette expérience désagréable lui aura permis de reprendre contact avec une personne qu'il avait perdue jusqu'à son entrée au sein de cette cellule. Le hasard fait bien les choses, n'est-ce pas ?) + Ses parents auraient été impliqués au travers d'une situation qu'ils n'auraient guère pu supporter et auraient osés se donner la mort suite à la naissance de leur progéniture. (f ; personne ne connaîtra le fin mot de cette histoire puisque... Personne ne connaît la véritable raison de la venue de Junho au sein de cet orphelinat. Il ne possède aucun souvenir concernant ces simples faits et ne souhaites guère raviver sa mémoire.) + Il aurait une passion cachée pour le basket. Il serait bel et bien capable de fuir à trois heures du matin pour simplement s'adonner à ce sport. C'est d'ailleurs l'une des seules choses qui semblait lui avoir permis de garder la tête droite lorsqu'il perdait peu à peu pied. (v ; il serait même très doué.) + Il aurait déjà frappé l'une de ses ex compagne pour tromperie, celle-ci aurait été, alors, prise sur le fait accomplis. (f ; il ne frappera jamais une femme. C'est un principe.) + Il serait incontrôlable lorsqu'il bois trop d'alcool. Il tient bien, certes, mais tout homme possède ses limites. (v ; il aurait même la mauvaise idée d'embrasser naïvement la première personne qui ose se frayer un chemin sur son champ de vision.) + Il possède une peur bleue des aiguilles en tous genre, et surtout les piqûres de vaccins. C’est quelque chose qu’il souhaite éviter à tout prix, et pourtant, cela et bien obligatoire afin de maintenir une santé de fer face aux multiples virus et microbes de l’air ambiant. (v ; il assume pleinement ce fait.) + Il aurait une collection plutôt impressionnante de mangas en tous genre issus du pays du soleil levant. Ce serait un véritable enfant qui ne pourrait pas partir en cours si son épisode de KUROKO NO BASKET n'est pas terminé. (v ; il possède, environs, plus de trois étagères remplis de ces multiples œuvres qu'il affectionne tant.)
“ Rumour has it : Il aurait fait de la prison et n'aurait guère apprécié cette expérience, d'après certains. (v ; malgré tout, cette expérience désagréable lui aura permis de reprendre contact avec une personne qu'il avait perdue jusqu'à son entrée au sein de cette cellule. Le hasard fait bien les choses, n'est-ce pas ?) + Ses parents auraient été impliqués au travers d'une situation qu'ils n'auraient guère pu supporter et auraient osés se donner la mort suite à la naissance de leur progéniture. (f ; personne ne connaîtra le fin mot de cette histoire puisque... Personne ne connaît la véritable raison de la venue de Junho au sein de cet orphelinat. Il ne possède aucun souvenir concernant ces simples faits et ne souhaites guère raviver sa mémoire.) + Il aurait une passion cachée pour le basket. Il serait bel et bien capable de fuir à trois heures du matin pour simplement s'adonner à ce sport. C'est d'ailleurs l'une des seules choses qui semblait lui avoir permis de garder la tête droite lorsqu'il perdait peu à peu pied. (v ; il serait même très doué.) + Il aurait déjà frappé l'une de ses ex compagne pour tromperie, celle-ci aurait été, alors, prise sur le fait accomplis. (f ; il ne frappera jamais une femme. C'est un principe.) + Il serait incontrôlable lorsqu'il bois trop d'alcool. Il tient bien, certes, mais tout homme possède ses limites. (v ; il aurait même la mauvaise idée d'embrasser naïvement la première personne qui ose se frayer un chemin sur son champ de vision.) + Il possède une peur bleue des aiguilles en tous genre, et surtout les piqûres de vaccins. C’est quelque chose qu’il souhaite éviter à tout prix, et pourtant, cela et bien obligatoire afin de maintenir une santé de fer face aux multiples virus et microbes de l’air ambiant. (v ; il assume pleinement ce fait.) + Il aurait une collection plutôt impressionnante de mangas en tous genre issus du pays du soleil levant. Ce serait un véritable enfant qui ne pourrait pas partir en cours si son épisode de KUROKO NO BASKET n'est pas terminé. (v ; il possède, environs, plus de trois étagères remplis de ces multiples œuvres qu'il affectionne tant.)
“ Caractère :
Mise en place : Junho, c'est ce gamin, oui, ce gamin qui pourra vous rendre la vie aussi compliquée, que simple. Celui qui se contente d'agir comme bon lui semble-t-il sans véritablement réfléchir aux conséquences de ces actes.
Acte un : arborant cet air hautain et cette expression faciale des plus détestable qu'il soit. Une simple bousculade pourrait pousser le jeune homme en venir aux poings afin de laisser aller à cette douce frustration quotidienne qui s'empresse au creux de son esprit. Non, il n'est pas de ce type à vouloir chercher des problèmes au moindre coin de rue. Il est simplement de ceux qui souhaitent se débarrasser de ces sentiments désagréables au travers de ces excès de violence. Aussi irraisonnable, qui, irréfléchie, il s'est peu à peu habitué à agir de la sorte. Et ce, malgré les multiples réprimandes et leçons qu'il s'est vu offrir suite à ces actes, il n'en a que faire. Le seul moyen, pour lui, de soulager ce simple fait ou, d'amincir les « chances » d'agir de la sorte serait d'user d'efforts physiques afin de fatiguer, petit à petit, son esprit combatif et sa volonté de fer. Le basket a toujours eu, alors, un effet positif sur lui. Grâce à qui ? Grâce à elle. Une idée farfelue glissée au travers de l'esprit de cette jeune femme qui permit à ce gamin de cautionner ces folies.
Acte deux : se pavanant naïvement, trouvant le moyen le plus efficace afin d'ennuyer cette jeune femme. Que ce soit simplement au travers du fait de parvenir à lui faire peur, la déconcentrer, ou bien, l'ennuyer ; il serait semblable à ce gamin enfantin qui chercher, par tous les moyens, d'obtenir l'attention de celle-ci au travers d'actions enfantines. Une énième facette de sa personne. Une jeunesse ? Il n'en a pas eu. Il ne le méritait pas. Il dut bien vite apprendre la difficulté de la vie, arborer celle-ci avec une maturité digne d'un jeune homme ayant passé sa majorité. C'est donc, tout naturellement qu'il souhaite rattraper le temps perdu, n'est-ce pas ? Aussi amusant que, désobligeant ou, éprouvant. Il n'aura aucune limite. Aucune retenue.
Acte trois : il n'en est pas moins une personne mature et réfléchie lorsque cela semble nécessaire. Les multiples expériences passées face auxquelles il dut faire face, ont très certainement jouer un rôle majeur sur cette simple facette de sa personne. Et, il n'en est pas moins fier. Après tout, un gamin d'une vingtaine d'années ne sera rien de plus qu'un gamin aux yeux d'un bien grand nombre de personnes peuplant ce pays du matin calme. N'est-ce pas ? Il se fiche de ces stéréotypes bien trop idiots pour certains. Il se contente d'écraser ceux-ci à l'aide de sa propre force mentale et physique afin de briser peu à peu ces chaînes de la société qui le pousse à être cet enfant qu'il ne souhaite pas être.
Dénouement :
« Je te ferai voir, ce que tu n'as jamais vu. Je te ferai croire, en ce que tu n'as jamais cru. »
Mise en place : Junho, c'est ce gamin, oui, ce gamin qui pourra vous rendre la vie aussi compliquée, que simple. Celui qui se contente d'agir comme bon lui semble-t-il sans véritablement réfléchir aux conséquences de ces actes.
Acte un : arborant cet air hautain et cette expression faciale des plus détestable qu'il soit. Une simple bousculade pourrait pousser le jeune homme en venir aux poings afin de laisser aller à cette douce frustration quotidienne qui s'empresse au creux de son esprit. Non, il n'est pas de ce type à vouloir chercher des problèmes au moindre coin de rue. Il est simplement de ceux qui souhaitent se débarrasser de ces sentiments désagréables au travers de ces excès de violence. Aussi irraisonnable, qui, irréfléchie, il s'est peu à peu habitué à agir de la sorte. Et ce, malgré les multiples réprimandes et leçons qu'il s'est vu offrir suite à ces actes, il n'en a que faire. Le seul moyen, pour lui, de soulager ce simple fait ou, d'amincir les « chances » d'agir de la sorte serait d'user d'efforts physiques afin de fatiguer, petit à petit, son esprit combatif et sa volonté de fer. Le basket a toujours eu, alors, un effet positif sur lui. Grâce à qui ? Grâce à elle. Une idée farfelue glissée au travers de l'esprit de cette jeune femme qui permit à ce gamin de cautionner ces folies.
Acte deux : se pavanant naïvement, trouvant le moyen le plus efficace afin d'ennuyer cette jeune femme. Que ce soit simplement au travers du fait de parvenir à lui faire peur, la déconcentrer, ou bien, l'ennuyer ; il serait semblable à ce gamin enfantin qui chercher, par tous les moyens, d'obtenir l'attention de celle-ci au travers d'actions enfantines. Une énième facette de sa personne. Une jeunesse ? Il n'en a pas eu. Il ne le méritait pas. Il dut bien vite apprendre la difficulté de la vie, arborer celle-ci avec une maturité digne d'un jeune homme ayant passé sa majorité. C'est donc, tout naturellement qu'il souhaite rattraper le temps perdu, n'est-ce pas ? Aussi amusant que, désobligeant ou, éprouvant. Il n'aura aucune limite. Aucune retenue.
Acte trois : il n'en est pas moins une personne mature et réfléchie lorsque cela semble nécessaire. Les multiples expériences passées face auxquelles il dut faire face, ont très certainement jouer un rôle majeur sur cette simple facette de sa personne. Et, il n'en est pas moins fier. Après tout, un gamin d'une vingtaine d'années ne sera rien de plus qu'un gamin aux yeux d'un bien grand nombre de personnes peuplant ce pays du matin calme. N'est-ce pas ? Il se fiche de ces stéréotypes bien trop idiots pour certains. Il se contente d'écraser ceux-ci à l'aide de sa propre force mentale et physique afin de briser peu à peu ces chaînes de la société qui le pousse à être cet enfant qu'il ne souhaite pas être.
Dénouement :
“Il faut apprendre pour connaître, connaître pour comprendre, comprendre pour juger.”
“ Once upon a time :
La vie ? Ah. Quelle belle merde, que voilà.
Un simple cahier préalablement ouvert, immaculé de multiples écritures noirâtres se trouvaient face à ce jeune homme. Jeune homme, qui paraissait bien songeur en cet instant présent. Une simple conversation l'avait pourtant poussé à réaliser cette simple réflexion au moins une fois par an, oui, il s'octroyait un travail personnel sur sa propre personne. Y avait-il du mal à cela ? Avait-il toujours fait les bons choix sur sa propre vie ? Hésitant. Il débutait. Une sorte de confession à cœur ouvert, réfléchissant alors, sur ses actes passés.
« La vie ne m'a pas offert grand chose. Si ce n'est le choix d'entrer au sein de la chambre que je désirais parmi celles que pouvait m'offrir ce lieu mal famé qui s'était permis de m'ouvrir ses portes. Oui, ce type lieu, où, résidaient un bon nombre d'enfants possédant une situation similaire à la mienne. Ma situation ? Je ne la connaissais guère, et pourtant, ces femmes ne cessaient de m'assurer que ce n'était qu'une passade. Une étape à franchir afin de parvenir à retrouver ce que je semblais avoir perdu. Qu'avais-je perdu ? Que souhaitais-je retrouver ? Tant de questions. Et pourtant, si peu de réponses. »
Vulgairement, il venait balayer sa propre chevelure vers l’arrière de son crâne avant que, celui-ci, ne puisse heurter la surface plane de cette table basse contre laquelle il était appuyé. Frustration extrême, quand tu nous tiens, alors.
« Un rituel semblable à un véritable train de vie. J'arborais mes journées d'une manière similaire aux précédentes sans me poser de question. Je me contentais de suivre les directives de ces femmes sans émettre la moindre objection. Et ce, malgré l'engouement que je pouvais avoir créé à l'égard de certaines activités telles que ; la peinture, ou encore, le chant. Pourquoi diable avoir mis en place ce calvaire ? Et pourtant... Je ne me plaignais pas. Je ne me plaignais jamais. Je me contentais d'acquiescer. Acceptant mon sort tel un condamné face à la peine de mort.
Mais tout ceci pris bien vite fin.
« Pourquoi ? » ; me direz-vous. Eux. Tout simplement.
Mes modèles, mes mentors, une épaule sur laquelle je pouvais me confier, me réfugier, énoncer mes soucis, mes peines, comme mes emmerdes ; sans obtenir le moindre jugement à l'égard de ces actes. Un soutien, des conseils, de douces réprimandes, et enfin, une entraide morale. Semblables à de véritables « parents » que je n'avais jamais eus, ces personnes semblaient être ces images qui se frayaient un chemin au travers de ces rêves si agréables que mon subconscient osait me transmettre lorsque je me retrouvais au creux des bras de Morphée dans l'espoir de mettre la main sur un repos fort bien mérité.
Années, après années, ce doux rituel que je haïssais tant changea du tout au tout. Me laissant entrevoir cette douce part de bonheur – à mon tour. Oui, ce sentiment que m'avais encore été, jusqu'à présent, si inconnu. Et ce, malgré ces points négatifs qui osaient malgré tout faire leurs apparitions. »
Un soupir, un énième soupir. Une souffrance, une énième souffrance.
« Tout semblait s'être déroulé à une vitesse folle sans que je ne parvienne à comprendre véritablement ce qu'il se trimait au travers de cette vie que j'avais appris à apprécier. Ah, le bon goût de la vie, qui, au final, semble devenir amer et dénié de sens. Imaginez, tout ce que vous avez aimé, apprécier et affectionnez tant semble s'écrouler peu à peu sous vos yeux. Des absences à répétition, des excuses, et bien plus encore. Une aide ? Inutile. Et pourtant... Vous en avez besoin. Vous tentez de vous persuader du contraire. C'est inévitable.
Tout naturellement, vous perdez pied. Tentez de vous accrocher à vos espoirs. En vain.
Et pourtant, c'est grâce à cette simple main tendue que vous allez parvenir à remonter la tête vers la surface. Aussi désobligeant cela peut-il être, vous acceptez aveuglément. Sans véritablement prendre conscience des conséquences. Ce qui, en soi, s'avérait être mon cas. Chacune de ses expériences, je doute de parvenir à le souhaiter à quiconque ose poser un pied contre le sol du pays du matin calme.
C'est donc, au travers de ce renouveau que j'ose à présent arborer ce présent qui s'offre à moi. Un lieu où personne ne me connaîtrait à proprement parler. Un lieu où je parviendrais à devenir cet homme libre. Un lieu où, enfin, mes choix auront un véritable impact sur ce qu'on appelle plus communément : le présent.»
La vie ? Ah. Quelle belle merde, que voilà.
Un simple cahier préalablement ouvert, immaculé de multiples écritures noirâtres se trouvaient face à ce jeune homme. Jeune homme, qui paraissait bien songeur en cet instant présent. Une simple conversation l'avait pourtant poussé à réaliser cette simple réflexion au moins une fois par an, oui, il s'octroyait un travail personnel sur sa propre personne. Y avait-il du mal à cela ? Avait-il toujours fait les bons choix sur sa propre vie ? Hésitant. Il débutait. Une sorte de confession à cœur ouvert, réfléchissant alors, sur ses actes passés.
« La vie ne m'a pas offert grand chose. Si ce n'est le choix d'entrer au sein de la chambre que je désirais parmi celles que pouvait m'offrir ce lieu mal famé qui s'était permis de m'ouvrir ses portes. Oui, ce type lieu, où, résidaient un bon nombre d'enfants possédant une situation similaire à la mienne. Ma situation ? Je ne la connaissais guère, et pourtant, ces femmes ne cessaient de m'assurer que ce n'était qu'une passade. Une étape à franchir afin de parvenir à retrouver ce que je semblais avoir perdu. Qu'avais-je perdu ? Que souhaitais-je retrouver ? Tant de questions. Et pourtant, si peu de réponses. »
Vulgairement, il venait balayer sa propre chevelure vers l’arrière de son crâne avant que, celui-ci, ne puisse heurter la surface plane de cette table basse contre laquelle il était appuyé. Frustration extrême, quand tu nous tiens, alors.
« Un rituel semblable à un véritable train de vie. J'arborais mes journées d'une manière similaire aux précédentes sans me poser de question. Je me contentais de suivre les directives de ces femmes sans émettre la moindre objection. Et ce, malgré l'engouement que je pouvais avoir créé à l'égard de certaines activités telles que ; la peinture, ou encore, le chant. Pourquoi diable avoir mis en place ce calvaire ? Et pourtant... Je ne me plaignais pas. Je ne me plaignais jamais. Je me contentais d'acquiescer. Acceptant mon sort tel un condamné face à la peine de mort.
Mais tout ceci pris bien vite fin.
« Pourquoi ? » ; me direz-vous. Eux. Tout simplement.
Mes modèles, mes mentors, une épaule sur laquelle je pouvais me confier, me réfugier, énoncer mes soucis, mes peines, comme mes emmerdes ; sans obtenir le moindre jugement à l'égard de ces actes. Un soutien, des conseils, de douces réprimandes, et enfin, une entraide morale. Semblables à de véritables « parents » que je n'avais jamais eus, ces personnes semblaient être ces images qui se frayaient un chemin au travers de ces rêves si agréables que mon subconscient osait me transmettre lorsque je me retrouvais au creux des bras de Morphée dans l'espoir de mettre la main sur un repos fort bien mérité.
Années, après années, ce doux rituel que je haïssais tant changea du tout au tout. Me laissant entrevoir cette douce part de bonheur – à mon tour. Oui, ce sentiment que m'avais encore été, jusqu'à présent, si inconnu. Et ce, malgré ces points négatifs qui osaient malgré tout faire leurs apparitions. »
Un soupir, un énième soupir. Une souffrance, une énième souffrance.
« Tout semblait s'être déroulé à une vitesse folle sans que je ne parvienne à comprendre véritablement ce qu'il se trimait au travers de cette vie que j'avais appris à apprécier. Ah, le bon goût de la vie, qui, au final, semble devenir amer et dénié de sens. Imaginez, tout ce que vous avez aimé, apprécier et affectionnez tant semble s'écrouler peu à peu sous vos yeux. Des absences à répétition, des excuses, et bien plus encore. Une aide ? Inutile. Et pourtant... Vous en avez besoin. Vous tentez de vous persuader du contraire. C'est inévitable.
Tout naturellement, vous perdez pied. Tentez de vous accrocher à vos espoirs. En vain.
Et pourtant, c'est grâce à cette simple main tendue que vous allez parvenir à remonter la tête vers la surface. Aussi désobligeant cela peut-il être, vous acceptez aveuglément. Sans véritablement prendre conscience des conséquences. Ce qui, en soi, s'avérait être mon cas. Chacune de ses expériences, je doute de parvenir à le souhaiter à quiconque ose poser un pied contre le sol du pays du matin calme.
C'est donc, au travers de ce renouveau que j'ose à présent arborer ce présent qui s'offre à moi. Un lieu où personne ne me connaîtrait à proprement parler. Un lieu où je parviendrais à devenir cet homme libre. Un lieu où, enfin, mes choix auront un véritable impact sur ce qu'on appelle plus communément : le présent.»
pas l'choix, faut y aller.
pour un pv pris :
▲▼
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u648][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t3305-bobby-ikon-ahn-jamie]▼[/url] <taken>KIM JI WON ( BOBBY, IKON)</taken> ✎ nam jun ho.
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 0:26 Citer EditerSupprimer
FIIIIRST
toi et moi on va avoir bcp de choses à se raconter
Je finis vite ma fiche pour venir te tirer les joues
j'ai hate de lire ta fiche
*fait sa timide, le rouge aux joues* :sunah:
toi et moi on va avoir bcp de choses à se raconter
Je finis vite ma fiche pour venir te tirer les joues
j'ai hate de lire ta fiche
*fait sa timide, le rouge aux joues* :sunah:
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 0:31 Citer EditerSupprimer
OH PUTAIN BBEY J'AI LA TRIQUE DE TE VOIR DC C'EST ABUSEY
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 0:33 Citer EditerSupprimer
...... OK. Merci.
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 0:40 Citer EditerSupprimer
Pwaaaaah bon choix d'avatar
Réserve moi un lie
Rebienvenue et courage pour ta fiche
Réserve moi un lie
Rebienvenue et courage pour ta fiche
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 1:11 Citer EditerSupprimer
apporte moi des pizza ôouiiii !
rebienvenue parmi nous chou
rebienvenue parmi nous chou
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 1:24 Citer EditerSupprimer
@dambi ; so much cuteness, ai pitié de mon âme, oh, làlàlàlà.
TKT BB. TU VA ÊTRE COMBLÉE COMME JAMAIS.
MAIS.
POUR TE FAIRE PATIENTER....
@jihoonbb ; toi + moi = amour fou, until the end bb. (a)
@keleademonkeur ; jtm, comme jamais, tu sais.
@samyong ; of couuuurse, un lien, obligé, sans conteste, je t'attendrais.
@jaeah ; je t'apporterais des pizzas, quand tu veux, où tu veux.
TKT BB. TU VA ÊTRE COMBLÉE COMME JAMAIS.
MAIS.
POUR TE FAIRE PATIENTER....
@jihoonbb ; toi + moi = amour fou, until the end bb. (a)
@keleademonkeur ; jtm, comme jamais, tu sais.
@samyong ; of couuuurse, un lien, obligé, sans conteste, je t'attendrais.
@jaeah ; je t'apporterais des pizzas, quand tu veux, où tu veux.
SINON.
MERCI. OHLALALA.
MERCI. OHLALALA.
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 1:29 Citer EditerSupprimer
ma chambre deviendra ton asile
vas y j'ai mon kokoro et mes oreilles brisés la :crazy:
vas y j'ai mon kokoro et mes oreilles brisés la :crazy:
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 8:21 Citer EditerSupprimer
Hello Hello ! ~
KUROKO NO BASKET !!! il est trop bien ce manga, bon choix (Kiseeee )
Oh oh, alors cette fois ci, tu veux une fraternité ? Intéressant, je me demande qui tu vas avoir ! Il me tarde de lire la suite, surtout le caractère
Fiiighting pour ta fiche !
KUROKO NO BASKET !!! il est trop bien ce manga, bon choix (Kiseeee )
Oh oh, alors cette fois ci, tu veux une fraternité ? Intéressant, je me demande qui tu vas avoir ! Il me tarde de lire la suite, surtout le caractère
Fiiighting pour ta fiche !
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Re: nam junho + ❝ non, je n'ai rien à perdre. | Jeu 10 Déc - 11:20 Citer EditerSupprimer
rebienvenue et fighting pour ta fiche
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