CHEERS. w/ dambi♥.
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CHEERS. w/ dambi♥. | Sam 12 Déc - 19:45 Citer EditerSupprimer
L'une de mes mains heurtant alors, violemment la surface de cette table basse se trouvant face à nous, c'est soutenu par une nouvelle présence masculine qu'ils allaient devoir déguerpir. Des actes, et non des paroles. Il était inutile de s’époumoner à vouloir agir de la manière la plus saine qu'il soit avec cette espèce de la gent masculine. C'est au travers d'un regard fixe à l'égard de l'une d'entre vous que je me permettais de démontrer un autre coin de cette grande bâtisse afin de les inciter à quitter nos côtés. Persuasion, quand tu nous tiens alors. « Calme frère, on f'sait que discuter. » Frère ? Un ricanement traversait alors, mes lippes. Amusé par cette expression si haïssable qu'ils avaient osé énoncer à l'égard de ma personne. Quel calvaire. Et, bien heureusement pour moi... Ce calvaire prit rapidement fin. Laissant ainsi de nouveau place à cette ambiance agréable, ces discussions échangés, mais aussi, ces attentions glissées à l'égard de l'une des jeunes femmes présente en ces lieux. No Dambi, vous connaissez ? Non ? Tant mieux. Oserais-je répliquer si la question se posait véritablement.
Un sourire lancé à l'intention de cette jeune femme en question. Une main posée contre l'une de ses cuisses ; il était bel et bien rare de parvenir à maintenir son attention hors de ces multiples produits issus de la nouvelle technologie, ou bien encore, ces bouquins. J'étais parvenu à l'inciter à me suivre, et, enfin, je parvenais à mettre la main sur ce sourire que j'affectionnais tant. « Dambi, il va falloir que tu lèves, un jour, ce cul de ce foutus canapé. Tu sais. Histoire de bouger un petit peu. Non ? »
“ dambi&junho ♦ drink to that, babe. „
Tenue + Une douce chaleur ambiante. Une mélodie assourdissante. Le tout, mélangé au travers de ce flot d'alcool et de ce sentiment d'adrénaline qui parcourt nos corps entremêlés au travers de cette situation fort agréable. Ces lieux, je m'y rends depuis plusieurs mois, déjà. Et ce, à de multiples reprises. Un moyen efficace enfin de parvenir à ôter de mon esprit les tracas du quotidien, mais aussi, une façon de profiter d'avantage de ce que la vie pourrait m'offrir. C'est donc au travers d'une énième sensualité que mon corps daignait se mouvoir au simple rythme de ces notes lancées à tout bout de champ. Un verre reclus au creux de l'une de mes mains relevées vers le ciel afin de ne victimiser aucune jeune femme concernant le simple fait de déverser le liquide alcoolisé contre son être, tâchant, par la même occasion ses vêtements fétiches. Très peu pour moi, je l'avouais, sans véritable difficulté. Et c'est par ailleurs, après m'être permis d'engloutir à nouveau le contenu de ce verre – à présent vide – que j'osais quitter cette piste de danse bien trop occupée, d'après mon avis. Rejoignant ainsi, cette simple table. Table où se trouvaient la plupart de mes connaissances, mais aussi de quelconques inconnus qui avaient trouvés bon de s'y installer afin de parvenir à « faire connaissance ». Ce monde est très certainement empli d'idiots, mais. Ceux-ci en tiennent une bonne couche, apparemment. Des ricanements, accompagnés à cette tendre lourdeur qu'un bien grand nombre de jeunes femmes n'affectionne guère. Et pourtant, les voilà, là, à croire qu'ils parviendraient à mettre la main sur l'une de ces jeunes femmes confortablement installées sur ces banquettes de couleur rougeâtres. Balivernes. Une main glissée sur l'une des épaules de l'une des jeunes femmes timidement installée, j'osais porter mon visage aux côtés du sein avant qu'un simple murmure ne puisse traverser mes lippes. Afin que, elle, et uniquement elle, puisse entendre ce que j'osais énoncer face à cette situation déplaisante. « Tu veux que je m'occupe de ces cons ? » Une simple question, qui sous-entendait l'inutilité d'une véritable réponse. Puisque, de toute évidence, j'allais agir de manière instinctive.L'une de mes mains heurtant alors, violemment la surface de cette table basse se trouvant face à nous, c'est soutenu par une nouvelle présence masculine qu'ils allaient devoir déguerpir. Des actes, et non des paroles. Il était inutile de s’époumoner à vouloir agir de la manière la plus saine qu'il soit avec cette espèce de la gent masculine. C'est au travers d'un regard fixe à l'égard de l'une d'entre vous que je me permettais de démontrer un autre coin de cette grande bâtisse afin de les inciter à quitter nos côtés. Persuasion, quand tu nous tiens alors. « Calme frère, on f'sait que discuter. » Frère ? Un ricanement traversait alors, mes lippes. Amusé par cette expression si haïssable qu'ils avaient osé énoncer à l'égard de ma personne. Quel calvaire. Et, bien heureusement pour moi... Ce calvaire prit rapidement fin. Laissant ainsi de nouveau place à cette ambiance agréable, ces discussions échangés, mais aussi, ces attentions glissées à l'égard de l'une des jeunes femmes présente en ces lieux. No Dambi, vous connaissez ? Non ? Tant mieux. Oserais-je répliquer si la question se posait véritablement.
Un sourire lancé à l'intention de cette jeune femme en question. Une main posée contre l'une de ses cuisses ; il était bel et bien rare de parvenir à maintenir son attention hors de ces multiples produits issus de la nouvelle technologie, ou bien encore, ces bouquins. J'étais parvenu à l'inciter à me suivre, et, enfin, je parvenais à mettre la main sur ce sourire que j'affectionnais tant. « Dambi, il va falloir que tu lèves, un jour, ce cul de ce foutus canapé. Tu sais. Histoire de bouger un petit peu. Non ? »
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Re: CHEERS. w/ dambi♥. | Mar 15 Déc - 17:39 Citer EditerSupprimer
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DambOh ~ Drink to that, babe.
TENUE + J’étais assise à cette table, dans un coin de cette banquette, coincée entre une jeune femme dont le rire pour crispait les oreilles malgré la bruit ambiant, et un jeune homme qui tentait de …. De quoi d’ailleurs ? de me draguer ? Dans tous les cas, il avait un vocabulaire bien peu enrichi et conversait très bien tout seul. Je n’avais ouvert la bouche qu’une ou deux fois pour émettre quelques syllabes ou secouer ma tête de gauche à droite ou de bas en haut. Mais le pire, ca devait être son haleine. Elle empestait l’alcool au point que ca me donnait l’envie de vomir. Au point que j’avais moi-même commander une vodka, alors que je détestais cela, en espérant que ca pourrait noyer cette odeur dans une autre senteur plus forte. Sans succès. Il avait aussi les mains quelque peu baladeuses. J’avais reculée plus d’une fois dans le fond de mon siège, mais je pouvais guère allez plus loin. J’avais senti sa main se poser sur la fine peau nacré de ma cuisse, dénudé par une simple robe dont j’avais fait l’effort de mettre pour une fois, quittant le confort de mes pulls épais, et ses doigts qui s’étaient furtivement introduit sous le tissu, continuant de caresser ma cuisse de son pouce, montant peu à peu. Il n’avait lâché prise que parce que j’avais attrapé le bout de mon vêtement pour tirer dessus, et surtout, parce qu’un jeune homme venait de frapper du poing sur la table basse, attirant l’attention de ces étrangers. Je relevais les yeux, moi aussi, croissant son regard. On pouvait y lire cette lueur de soulagement. C’était sa faute si j’étais ici. Il avait réussi à me convaincre par je ne sais quel moyen de me faire sortir de ma grotte. Il y arrivait toujours. Il avait toujours les mots justes pour me faire réagir. Il pouvait jongler sans aucune difficulté avec mes envies et mes émotions comme on jouerait avec un des entres ses doigts. C’était sa faute. Alors qu’il me sorte de là. Il le savait. Et j’avais parfois l’impression qu’il en jouait, aimant se faire passer pour le héros. Il m’avait tiré ici pour me laisser seule et s’amuser avec d’autres femmes sur la piste de dance. Je n’avais rien contre, j’étais une piètre danseuse, mais si c’était pour que cela finisse ainsi, il n’avait pas besoin de moi. Et me voilà a la merci d’un inconnu. Je n’imaginais ce qu’il aurait pu faire si Jun Ho n’était pas intervenu. Il n’en fallut pas plus pour que l’autre homme dégage, la queue entre les jambes, mon meilleur ami prenant sa place. Je me détendis, soupirant comme si j’avais retenu mon souffle pendant tout ce temps. Sa main prit, sans même qu’il ne s’en rende compte, j’en étais certaine, le même chemin que son prédécesseur. Sauf que de celle-ci, j’étais loin d’en avoir peur. Elle avait même une aura rassurante, comme bienveillante envers ma personne. Mon visage se décrispait et un sourire prit place sur les lèvres, les étirant alors qu’il me parlait. Un sourire qui n’était reservé que pour lui, car il était le seul à pouvoir me l’arracher. Je chuchotais sur le même ton sur lui. « Qu’est ce qui pourrait bien me faire bouger d’ici ? Maintenant que tu es là, je n’ai plus vraiment envie se soulever mon postérieur. Donnes-moi une bonne raison et j’y repenserais. » le taquinais-je. Apres tous, c’était lui qui m’avait promis mondes et merveilles en dehors de mon monde virtuel. J’attrapais le verre, buvant une gorgée avant de faire la grimace, oubliant qu’il s’agissait d’alcool fort. Je repoussais le verre au loin comme si il m’avait brulée ma langue. Ce qui n’était pas faux au fond. « Il faut vraiment que je prenne autre chose. C’est infect ce liquide blanc pur. Comment vous pouvez boire cela ? » lui demandais-je, sincèrement choquée. Il n’y avait qu’avec lui que je me permettais d’être aussi familière. Avec un autre, je n’aurais même pas osé ouvrir mes lèvres.
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Re: CHEERS. w/ dambi♥. | Mar 15 Déc - 21:45 Citer EditerSupprimer
T'entraînant ainsi, en ces lieux emplis d'un bon nombre d'inconnus, je me contentais de te pousser à te joindre à moi au travers d'un échange qui s'en voulait – malgré tout – plutôt tendre. Une main éprise de la tienne tandis que l'autre empoignait délicatement l'une de tes hanches, je jetais un vague regard à l'intention de ce qu'il semblait nous entourer en l'instant présent. Le topo habituel : des jeunes femmes s'adonnant à de multiples exhibitions, le tout, ponctué de multiples déhanchés qui s'en voulaient... « Aguicheurs ». Ajoutant à cela, ces hommes cherchant, à tout prix, à mettre la main sur une jeune femme. Peu importe, laquelle. Et enfin, ces couples, ces groupes d'amis, mais aussi, les organisateurs qui se donnaient à cœur joie afin d'offrir une ambiance des plus estivales.
Une musique entraînante, laissant ainsi place à de multiples pas de danse, le tout, ponctué par ces propos lancés à l'égard de nous, peuple de jeunes alcoolisés souhaitant entendre bien plus fort cette mélodie. « Vous êtes prêts ?! » Des cris se faisaient entendre, certains en venaient même, à se jeter à corps perdu non loin de la scène principale, sautant et heurtant quiconque osait se frayer un chemin entre ces idées peu judicieuses et, ces inconnus. Un bras alors, levé vers le ciel ; je délaissais la tienne afin d'agir d'une manière quelque peu... Délurée. L'alcool, jouait très certainement sur mes réactions actuelles, mais... Devais-je véritablement me justifier ? Je me contentais d'afficher ce large sourire communicatif à l'égard de ta personne tandis que j'essayais – avec tant bien que mal – de te pousser à me suivre, et ce, malgré ce caractère peu extravertis que tu possède. J'avais confiance en toi, en tes capacités d'adaptation. Tu devais, alors, toi aussi, m’offrir ta confiance. « Aller, chou. Laisse-toi aller, va. Tu ne connais personne, ici, voyons. » Haussant la voix au travers de ces paroles, je me contentais d'accentuer une légère moue afin de démontrer mon « mécontentement » face à cette inactivité de ta part.
“ dambi&junho ♦ drink to that, babe. „
Tenue + Quelle idiote faisais-tu là. Un ricanement osait trahir cet air sérieux scotché à mon faciès tandis que cette image peu valorisante de ta personne persistait au sein de mon esprit. Cette mine horrifiée et dégoûtée face à la simple et unique gorgée avalée de cet alcool fort que tu t'étais permis de commander. Mais, pourquoi diable l'avoir fait, alors que tu ne semblais guère apprécie le goût de celui-ci ? Quelque peu surpris, mais aussi, amusé, je me contentais de prendre possession de ce même et unique verre que tu t'étais empressée de dénigrer. Le portant ainsi, contre mes lippes, je m'empressais d'avaler le contenu de celui-ci. Sans ménagement, ni même retenue. L'alcool m'offrait ce doux sentiment de liberté que me manquais tant en ces jours derniers. Ce sentiment qu'au fond.. Tout paraît possible si vous possédez les capacités. C'est donc, tout naturellement que je pris moi-même l'initiative de t'inciter à me suivre, et ce, tandis que je me redressais afin de parvenir à rejoindre – à nouveau – cette piste de danse qui ne désemplissait pas. Bien au contraire. « La raison... Moi, moi, et encore moi. Éventuellement, moi, aussi. Enfin. Tu es bien trop sage pour connaître la véritable signification du « pourquoi, du comment » nous avalons cet alcool Dambi. » Et, tandis qu'un fin sourire se permit de clore ces propos, je me contentais d'agir comme bon me semblait-il sans véritablement quémander ton avis. Peu m'importe. Je souhaitais uniquement t'offrir cet amusement que tu ne semblais pas avoir obtenu depuis l'instant où nous nous étions permis de pénétrer en ces lieux. Je ne pouvais en aucun cas rester stoïque face à une telle situation. Je souhaitais te faire découvrir ce monde, ces bons aspects, comme les mauvais afin que tu parviennes à accepter – plus souvent – mes demandes concernant l'idée de m'accompagner en ces lieux. « Fais-moi simplement confiance. Est-ce bien trop demandé ? » Une question rhétorique, en soi. Je connaissais pertinemment la réponse que tu daignerais m'offrir. Mais, qu'importe.T'entraînant ainsi, en ces lieux emplis d'un bon nombre d'inconnus, je me contentais de te pousser à te joindre à moi au travers d'un échange qui s'en voulait – malgré tout – plutôt tendre. Une main éprise de la tienne tandis que l'autre empoignait délicatement l'une de tes hanches, je jetais un vague regard à l'intention de ce qu'il semblait nous entourer en l'instant présent. Le topo habituel : des jeunes femmes s'adonnant à de multiples exhibitions, le tout, ponctué de multiples déhanchés qui s'en voulaient... « Aguicheurs ». Ajoutant à cela, ces hommes cherchant, à tout prix, à mettre la main sur une jeune femme. Peu importe, laquelle. Et enfin, ces couples, ces groupes d'amis, mais aussi, les organisateurs qui se donnaient à cœur joie afin d'offrir une ambiance des plus estivales.
Une musique entraînante, laissant ainsi place à de multiples pas de danse, le tout, ponctué par ces propos lancés à l'égard de nous, peuple de jeunes alcoolisés souhaitant entendre bien plus fort cette mélodie. « Vous êtes prêts ?! » Des cris se faisaient entendre, certains en venaient même, à se jeter à corps perdu non loin de la scène principale, sautant et heurtant quiconque osait se frayer un chemin entre ces idées peu judicieuses et, ces inconnus. Un bras alors, levé vers le ciel ; je délaissais la tienne afin d'agir d'une manière quelque peu... Délurée. L'alcool, jouait très certainement sur mes réactions actuelles, mais... Devais-je véritablement me justifier ? Je me contentais d'afficher ce large sourire communicatif à l'égard de ta personne tandis que j'essayais – avec tant bien que mal – de te pousser à me suivre, et ce, malgré ce caractère peu extravertis que tu possède. J'avais confiance en toi, en tes capacités d'adaptation. Tu devais, alors, toi aussi, m’offrir ta confiance. « Aller, chou. Laisse-toi aller, va. Tu ne connais personne, ici, voyons. » Haussant la voix au travers de ces paroles, je me contentais d'accentuer une légère moue afin de démontrer mon « mécontentement » face à cette inactivité de ta part.
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Re: CHEERS. w/ dambi♥. | Mer 30 Déc - 2:55 Citer EditerSupprimer
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TENUE + Je te regardais, choquée, alors que tu m’arrachais mon verre des mains pour le boire cul sec. Regardez-moi ce vaurien qui ne se gêner pas pour un saoul. « Hé, c’est à moi ! » Même si je trouvais que ca avait un gout infect. Même si ca me soulageait de ne pas devoir l’achever. Même si ca ne me dérangeait pas au fond. C’était moi qui me l’étais payé, avec mon propre argent. Alors oui, plusieurs jeunes hommes m’avaient proposés de m’offrir un verre, mais que j’avais gracieusement refusé, ne voulant pas tomber dans le même piège que toutes les autres. Se laisser draguer comme une greluche, j’en étais incapable et pourtant, je rougissais comme une pivoine dès qu’un homme m’adressait la parole. Alors au final, je me faisais quand même avoir. Je ne pus rien ajouté de plus. Il m’emmenait déjà à sa suite sans attendre mon accord sur cette piste de danse. Ce lieu où les corps se touchaient au rythme de la musique. Symbole de débauche ou plus aucune limite n’est permise. Je n’aimais pas être aussi prêt d’étrangers alors qu’ils trémoussaient le derrière aussi près du mien. Je ris doucement alors qu’il me donnait seulement sa personne comme raison de le suivre dans ses folies. « Quel narcissisme ! » Un narcissisme que tu pouvais bien te permettre. Je fis une moue quelque peu boudeuse quand il me demandait de lui faire juste un peu confiance. Comment pouvait-il me poser ce genre de question alors qu’il savait pertinemment bien qu’il était sans doute une des seules personnes à qui je faisais assez confiance pour faire faire un peu pres n’importe quoi, même si je n’étais pas toujours d’accord. « Tu sais que je te fais confiance. » Mon murmure se perdit dans le bruit ambiant comme un souvenir déjà oublié et lointain. Je me rapprochais de lui alors qu’il tirait sur ma main délicatement, mais surtout pour éviter que les autres ne me touchent aussi. Je baissais les yeux sur cette main qu’il déposait sur une de mes hanches, pressant doucement dessus pour la faire bouger. Cette ambiance me mettait franchement mal à l’aise. Nous avions l’habitude d’être proche l’un envers l’autre, mais ce geste au milieu de tous ces déhanchés avait quelque chose de plus … de plus sensuelle. Ce qui me fit rougir. Je détournais le regard alors qu’il se démenait péniblement pour me faire bouger, même si n’y mettais pas beaucoup du mien. D’un coup, l’ambiance changea en même temps que le tempo de la musique. Elle se fit plus bruyante, plus rythmée, plus délurée. Je regardais autour de moi alors que les gens avaient l’air de devenir fous à sautiller sur place et à hurler. Certains même se jetaient de la scène dans le public. Je jetais un coup d’œil à mon meilleur ami qui s’y prenait au jeu aussi, essayant de me pousser à le suivre. Son sourire communicatif finit par m’avoir, me laissant moi aussi aller. Et ses douces paroles ne firent que me faire craquer un peu plus. Je l’imitais. Levant un bras en l’air, un léger sourire étirant mes lèvres, j’eus le brin d’audace d’attraper la main du jeune homme et d’entrelacer nos doigts avant de me sautiller sur place tout comme lui. L’alcool qui coulait dans mes veines et l’adrénaline grandissante étaient sans doute à l’origine de cette euphorie naissante. Ce n’était pas si désagréable, je devais bien l’admettre. Je restais ainsi de longues minutes portée dans le délire environnent. Puis, subitement, je me figeais. Je venais de sentir une main me peloter les fesses. Je crus un bref instant que c’était Junho, mais quand je l’observais, il avait toujours une main en l’air et l’autre dans la mienne. Je baissais le regard vers ma cuisse où la main baladeuse s’était maintenant rendue. Elle ne s’arrêtait pas là. Elle remontait vers l’intérieur de ma cuisse, remontant le bas de ma robe en dentelle blanche. Bon sang ! Mais ils s’étaient tous passer le mot ce soir ou bien ? Voilà pourquoi je préférais rester seule dans ma chambre. Je fus comme paralyser alors qu’il continuait son ascension, je n’osais bouger et ma seule réaction fut de m’accrocher au bras de mon meilleur ami, fermant fort les yeux en espérant que tout cela disparaisse et ne soit qu’un mauvais cauchemar.
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Re: CHEERS. w/ dambi♥. | Mer 30 Déc - 17:55 Citer EditerSupprimer
Aussi irresponsable et impulsif cela pouvait-il être, je n'avais que d'autres choix que de me fier à mes instincts. L'adrénaline possédant mon organisme au travers des secondes qui défilaient avant que je ne puisse me permettre d'agir. T'obligeant ainsi, à te dégager de l'emprise que cet homme pouvait s'être permis d'obtenir à l'encontre de ton avis. Ce qu'il récolta d'une manière peu conventionnelle fus mon poing au beau milieu de son visage afin de tenter de lui faire recouvrir ses esprits. Néanmoins... Sa réaction fut tout autre. Bien vite, une horde de personnes se permirent de créant une ronde autour de nos personnes afin de laisser place à cette « bagarre » qu'ils s'amusaient à encourager à travers de multiples cris lancés à l'égard de nos personnes. Deux idiots. Remontés à la testostérone. Une douce fierté masculine qui s'emparait de nos esprits tandis que l'alcool jouait très certainement sur nos réactions. Je n'allais aucunement faire marche arrière. Non. Bien au contraire. « Chérie. Tu m'aideras à me remettre en forme, si jamais ça tourne mal. » Ce murmure lancé à l'égard de ta personne, je ne pouvais aucunement endosser le rôle de lâche. Je ne pouvais aucunement me permettre de lâcher prise... Pas maintenant.
Inspirant lourdement, je glissais vulgairement mes mains contre mon faciès afin de parvenir à frotter celle-ci afin de recouvrir mon sang-froid tandis que l'homme en question en profita pour répliquer d'une manière peu... Fair-play. Un combat entre hommes possédait des règles. Aussi étrange cela pouvait-il être, il en avait. Et, profiter d'un instant de faiblesse de son adversaire d'une manière similaire à celle-ci n'était qu'une démonstration du peu de confiance que cet homme pouvait avoir en ses capacités. Ainsi, je m'apprêtais à répliquer, poings levés, propos énoncés, mais, le jeu pris fin. Aussi court cela avait pu être, l'homme en question se vit à rediriger vers la sortie tandis qu'ont me gratifiait d'un pouce empli de glaçons au travers d'excuses. S'ils savaient. « On s 'casse. » Ces paroles lancées à tout va, je m'emparais de l'une de tes mains, poche glissée contre mon faciès afin d'ôter cette légère douleur parcourant celui-ci avant que ne parvenions à retrouver nos places initiales. « La prochaine toi, fringues toi horriblement, je t'en prie. » Poursuivant ces paroles à l'aide d'un léger ricanement, je ne souhaitais en aucun cas t’inquiéter inutilement.
“ dambi&junho ♦ drink to that, babe. „
Tenue + Peu à peu, je me laissais emporter au travers de cette frénésie que j'affectionnais tant en ces temps si difficiles. Appréciant chaque aspect de ces lieux au fil des secondes que je passais à sautiller naïvement sur place. Laissant alors, ce doux alcool auparavant englouti d'une traite traverser comme bon lui semblait-il mon organisme, et ce, tandis que je me contentais d'afficher ce large sourire. Néanmoins, je ne pouvais qu'être davantage enjoué que lorsque, enfin, tu te laissais – à ton tour – prendre au jeu. Je pouvais finalement discerner ce sourire s'emparer peu à peu de tes lippes afin de profiter davantage de cette soirée qui semblait, quant à elle, avoir débuté sur les chapeaux de roues. Mais... C'était sans compter sur « l'innocence » de ces hommes présents en ces lieux. Dans un premier, je n'avais guère compris ce changement de comportement dont tu me fis part. Tantôt enjouée et amusée de par cette situation, tantôt silence et perturbée. Ta prise sur l'un de mes bras se faisait davantage persistante. Quel idiot n'aurait guère pu remarquer un tel changement de comportement . Je me contentais malgré tout, d'observer la situation avec un certain recul. Assimiler véritablement ce qu'il se trimait avant d'agir en conséquence. Et... Ce que je vis ne m'engagea qu'à faire une seule et unique chose : répliquer à l'aide de la violence. Pourquoi diable vouloir s'égosiller à arranger les choses alors, que les poings pouvaient parler à votre place ? Aussi irresponsable et impulsif cela pouvait-il être, je n'avais que d'autres choix que de me fier à mes instincts. L'adrénaline possédant mon organisme au travers des secondes qui défilaient avant que je ne puisse me permettre d'agir. T'obligeant ainsi, à te dégager de l'emprise que cet homme pouvait s'être permis d'obtenir à l'encontre de ton avis. Ce qu'il récolta d'une manière peu conventionnelle fus mon poing au beau milieu de son visage afin de tenter de lui faire recouvrir ses esprits. Néanmoins... Sa réaction fut tout autre. Bien vite, une horde de personnes se permirent de créant une ronde autour de nos personnes afin de laisser place à cette « bagarre » qu'ils s'amusaient à encourager à travers de multiples cris lancés à l'égard de nos personnes. Deux idiots. Remontés à la testostérone. Une douce fierté masculine qui s'emparait de nos esprits tandis que l'alcool jouait très certainement sur nos réactions. Je n'allais aucunement faire marche arrière. Non. Bien au contraire. « Chérie. Tu m'aideras à me remettre en forme, si jamais ça tourne mal. » Ce murmure lancé à l'égard de ta personne, je ne pouvais aucunement endosser le rôle de lâche. Je ne pouvais aucunement me permettre de lâcher prise... Pas maintenant.
Inspirant lourdement, je glissais vulgairement mes mains contre mon faciès afin de parvenir à frotter celle-ci afin de recouvrir mon sang-froid tandis que l'homme en question en profita pour répliquer d'une manière peu... Fair-play. Un combat entre hommes possédait des règles. Aussi étrange cela pouvait-il être, il en avait. Et, profiter d'un instant de faiblesse de son adversaire d'une manière similaire à celle-ci n'était qu'une démonstration du peu de confiance que cet homme pouvait avoir en ses capacités. Ainsi, je m'apprêtais à répliquer, poings levés, propos énoncés, mais, le jeu pris fin. Aussi court cela avait pu être, l'homme en question se vit à rediriger vers la sortie tandis qu'ont me gratifiait d'un pouce empli de glaçons au travers d'excuses. S'ils savaient. « On s 'casse. » Ces paroles lancées à tout va, je m'emparais de l'une de tes mains, poche glissée contre mon faciès afin d'ôter cette légère douleur parcourant celui-ci avant que ne parvenions à retrouver nos places initiales. « La prochaine toi, fringues toi horriblement, je t'en prie. » Poursuivant ces paroles à l'aide d'un léger ricanement, je ne souhaitais en aucun cas t’inquiéter inutilement.
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