NOM : No de sa famille d'adoption actuelle, mais n'a jamais véritablement connu ses parents biologiques qui l'ont abandonné dés son plus jeune âge.PRÉNOM : Dambi, mais beaucoup la surnomme Bambi ÂGE : 21 ans. ORIGINES : une part est certainement coréenne, sinon, que ferais-je dans ce pays ? L'autre partie, je l'ignorais, mais j'avais bien des doutes. Américaines ? anglaises ? françaises? Italiennes ? Espagnoles ? En réalité, cela dépend de mes humeurs du moment et de ce que j'ai envie d'avouer à la personne en face de moi. NATIONALITÉ : coréenne ici. CLASSE SOCIALE : Sa famille d'adoption est riche, mais elle continue de vivre comme si elle avait toujours été pauvre, ne se s'entend vraiment elle même que de la sorte. ORIENTATION SEXUELLE : Bi, avec une préférence prononcée pour les femmes, bien qu'elle ne dit pas non à ces messieurs. Sans doute a t'elle eu une certaine influence des deux femmes qui l'élèvent et qu'elle admirent. CURSUS UNIVERSITAIRE : etudiante en informatique MÉTIER : Sa famille a beau avoir de l'argent, elle n'arrive pas à se faire à cette nouvelle vie et se borne à vivre comme elle l'a toujours fait. Ce qui veut dire se débrouiller seule pour trouver de l'argent, malgré l'aide de sa soeur. Dambi a déjà cumulé plus d'un petit boulot, et pour l'instant elle est serveuse dans un bar. Code du règlement : Olaf TU VEUX T'INVESTIR? :J'ai déjà assez à me battre avec mes freres et soeurs  

“ Rumour has it :il parait qu'elle aurait une collection impressionnant de peluches (V. Sa chambre en est remplie, ainsi que celle à l’université, alors attention à ses prochains colocataires, c'est la seule chose qu'elle ne partage pas.)  + que c'est une fan invétérée de Pokemon et de Hello Kitty. (V et F. Elle vendrait son âme pour une peluche Pokemon, mais n'apprécie pas Hello Kitty. Par contre, elle adore tout ce qui touche aux marvels.) + qu'elle a déjà hacké les ordinateurs de la Nasa. (V. Ca peut paraître hors norme, mais c'est bel et bien le cas. Cette petite a un don quand on parle de l'informatique. Elle a piraté leur ordinateur suite à un pari qu'elle avait perdu.) +qu'elle est un rat de bibliothèque (V. et F. Elle aime lire un bon livre tout comme rester caler sur son ordinateur. Toujours avide d'apprentissage.) +que c'est une vraie fêtarde sous ses aires de sainte-nitouche. (V. Elle peut avoir cette bouille d’ange qui ferait craquer n’importe qui et en joue assez souvent pour se sortir du pétrin, mais elle adore sortir, bien qu’elle ne dit jamais non à une soirée jeux vidéos) + qu'elle est passé maître dans l'art du hacking. (V.C’est même devenu une passion.) + qu'elle aurait des piercings qu'elle cache. (F. Mais elle a bel et bien des tatouages.)+ qu'elle aurait une collection impressionnante de casquettes. (F. Elle a juste la mauvaise manie de voler celles de son BFF ou de son frere) + qu’elle ferait partie d’un groupe punk (V. Elle est même batteuse) + qu’elle serait cleptomane (V. C’est plus fort qu’elle. Elle se contrôle mieux maintenant, mais au début, elle piquait régulièrement des objets de valeurs dans ses familles adoptives pour les revendre. Aujourd’hui, il lui arrive encore de voler de petites choses. ) + qu’elle aurait un penchant pour le sm (V et F. Ca lui est déjà arrivé, mais elle n’aime pas ca avec n’importe qui. Il faut qu’elle ait confiance en la personne.) + qu’elle serait mannequin. (F. Mais ca lui arrive de jouer les barbies pour sa grande sœur qui est styliste. Elle adore porter ses créations et en est même plutôt fiere, même si elle la fait souvent sortir de ses gongs. )

“ Caractère : Dambi, c’est une petite qui en a vu des vertes et des pas mures. Ca n’a pas été facile tous les jours, mais elle a toujours su garder le sourire en toutes circonstances. Elle peut voir le positif là où plus personne ne peut le voir, car même si elle a vécu dans les ténèbres de nombreuses années, elle voit enfin la lumière au bout du tunnel. Jamais une seule seconde elle ne perdit espoir, même si de nombreuses fois elle avait pensé abandonner. Une telle vie ne passe pas sans lasser des séquelles et l’une d’entre elles était qu’elle avait su développer une envie de survie surhumaine. On pouvait lui mettre n’importe quel obstacle sur sa route, elle les surmontait un à un. Elle avait cette lueur de battante qui animait son regard, pouvant la rendre un peu sauvageonne, bien qu’elle eut sa période autodestructrice suite à l’abandon qu’elle ressentait vis-à-vis de ses familles qui la portait tel un boulet. Un trait de caractère qui disparut bien vite quand elle rencontra sa dernière famille en date qui arrivèrent à la guérir, même si parfois, les vieilles habitudes refont surface.  Elle est d’ailleurs très indépendante, se débrouillant seule la plupart du temps. Des histoires ont fait qu’elle a été trahit plus d’une fois par les gens qu’elle pensait ses amis, donnant sa confiance bien trop facilement. Souriante, attachante, adorable, un véritable rayon de soleil. A ses côtés, vous ne risquez pas de pleurer. A sa façon, elle arrive à communiquer sa joie de vivre, même au plus malheureux des spécimens. Elle possède ce brin d’insouciante qui fait qu’elle prend la vie toujours du bon côté, sans aucune notion du danger. Un rien déjantée elle relève tous les défis, elle vous rendra le sourire en deux-deux. Ce regard qui brille quand vous la regarder et qu’elle vous a désigné comme étant sa nouvelle cible de jeu, elle devient espiègle. Rien de bien méchant ou de mal intensionnel. Elle aime juste jouer, surtout avec les limites qu’on lui impose, toujours aller plus loin sans jamais dépasser le point de non-retour. Elle a souvent été le sujet de brimades, surtout par les filles qui la prenait comme bouquet misère ou les garçons qui essayaient de profiter d’elle. Erreur de leur part, car même martyrisée, elle garde ce sourire aux lèvres qui vous donne envie de le faire disparaitre, mais vous savez déjà qu’au bien même vous essayer de l’humilier encore et encore, vous avez déjà perdu face elle.   Elle ne prend rien comme acquis, ne prend rien au pied de la lettre.  Elle peut malgré tout se montrer têtue et boudeuse quand quelque chose ne lui plait pas. Elle ne le dira pas ouvertement, mais sait le faire savoir. Elle est souvent tactile, surtout avec les personnes qu’elle considère comme ses proches. Elle peut tout aussi bien vous enlacer par surprise, rester ainsi quelques instants avant de reprendre ce qu’elle faisait, comme si de rien était. Elle est plutôt imprévisible de ce côté-là. Elle est à l’écoute des autres, ce qui est pour la plupart du temps sincère. Mais elle peut aussi se montrer curieuse et vous écoutez juste pour combler son manque de savoir, mais jamais, au grand jamais vous l’entendrez se plaindre ou parler d’elle sauf si on la questionne. C’est une jeune femme à la fois docile et désobéissante. Elle prend un malin plaisir à soulever l’autorité en place, mais certaines personnes arrivent tout de même à la rendre docile de telle ou telle manière. Malgré son côté extraverti,  elle peut être aussi craintive, timide et méfiante. Cette partie d’elle d’enfant apeuré qu’elle cache au fond d’elle ressort lors des forts orages, qui lui rappellent sa première famille d’accueil, dans laquelle elle eut de mauvais souvenirs qu’elle préfère oublier. Elle reste aussi assez méfiante vis-à-vis de ce qu’elle mange. Pour cause : ses nombreuses allergies aux aliments. Elle reste très prudente sur ce point.  Elle a une certaine timidité face à l’homme ou la femme dont elle pourrait être amoureuse, rougissant facilement. Et son dernier péché mignon est la pâtisserie. Malheureusement pour elle, elle ne peut manger tout ce qu’elle désire malgré sa gourmandise. Elle est donc à la recherche de nouvelles recettes, sans cesse, pour de nouvelles saveurs pour lesquelles elle pourrait succomber en toute sécurité. Et pour celles qu’elle aimerait manger, mais qui lui sont interdites, elle les prépare pour ses proches, salivant devant eux, mais les touchant qu’avec les yeux.

“ Once upon a time :
Sa naissance, elle n’en a aucun souvenir. Ni photo, ni information concrète qui pourrait lui indiquer qui était ses parents biologiques. Elle ne connaissait même pas la date de sa naissance. Tout ce dont elle avait connaissance était ce que les nonnes qui tenaient l’orphelinat dans lequel elle se trouvait, lui avait raconté. C’est-à-dire, pas grand-chose. Le simple fait qu’elle avait été retrouvée devant les grandes portes du couvent, dormant paisiblement alors que l’aube se pointait le bout de son nez, un morceau de papier entre les couvertures du bambin sur lequel était gribouillé « Dambi » en lettres imprimées. Et a l’arrière, ces simples mots : "pardonnes-moi. Je t’aime." Les mots d’une mère qui avait été contraint d’abandonner son enfant.Un bout de papier qu’elle trimbalera toute sa vie comme son plus beau des trésors. Un bout d’espoir auquel, elle s’est infiniment accroché, se disant qu’un jour, l’occasion de rencontrer sa vraie mère lui serait donné.

En attendant ce jour, elle fut transportée de famille d’accueil en famille d’accueil. Une expérience qui était pire à chaque fois. Elle avait à peine cinq ans quand elle dut quitter l’orphelinat et ce foyer qu’elle avait toujours connu, ne comprenant pas pourquoi elle devait partir. Son nouveau père n’aimait pas l’entendre pleurer, et essayait de la faire taire par tous les moyens. Il disait qu’elle n’était qu’une pleurnicharde et une bonne à rien, avant que le premier coup ne parte. Elle ne resta pas plus d’un mois dans cet enfer. Mais il était déjà bien trop tard pour qu’il n’en reste aucunes séquelles. Elle assimile ce père fou enragé dont les traits de son visage étaient caricaturés par ses yeux de petites filles aux orages encore aujourd’hui. Elle eut droit à deux sœurs ainées qui la prenaient pour la bonne à tout faire. Un remake de Cendrillon de mauvais gout selon elle. Et d’une mère qui n’avait que faire d’elle, lui donnant leur reste à manger sans prendre le soin de jeter un coup d’œil à son carnet de vaccinations et d’allergies. On leur retirait la garde de la petite au moment même où elle fit une intoxication alimentaire du à un aliment que son corps ne pouvait supporter. Quand on lui demandait pourquoi elle n’avait rien dit plus tôt, ayant sans doute subit d’autres tortures du même genre avant que celle-ci ne lui coûte la vie, elle répondait simplement, le sourire aux lèvres : « J'ai appris à cuisiner. » C’était comme un cadeau de noel pour elle. Elle avait à peine sept ans. Elle ne vous parle même pas de ce qu'elle a subit à l'âge de neuf ans. Elle état tombé dans une famille où elle vécut avec deux frères plus âges qu'elle. Tout ce passait bien au debut, jusqu'au moment où lors d'une visite médicale, une chose étrange était apparu. On découvrit peu apres qu'un des frères l'avait touché bien autrement qu'un simple frere n'aurait du. Ce calvaire dura 6 mois avant que la petite ne soit enlever à cette famille perverse. Heureusement, il s’avérait qu'elle n'en avait aucun souvenir.

Ensuite, ce fut le tour à une femme célibataire, brillante, bien habillé d’avoir la charge de Dambi. Au début, c’était comme tout compte de fée. C’était une mère aimante, qui prenait soin de la petite, la félicitant quand elle travaillait bien et la réprimandant quand elle faisait une bêtise. Une famille enfin normal. Elle pensait enfin avoir trouvé sa mère ou du moins, une mère de substitution, et pour la première fois, elle prononçait le mot « maman ». Simple et doux. C’était la première fois qu’une personne bénéficiait d’un tel rang pour la gamine. La jeune femme était aux anges. Pourtant, les années passèrent et tout changea. Dambi ne saurait dire à quel moment exactement. Peut etre quand sa mère perdit son emploi. Peut-être quand elle se commença peut à peu à se refermer sur elle-même. Peut-être quand elle ne sut plus payer ses factures et fut obligé de quitter les quartiers chics pour des plus mal famés. Peut être quand elle entra dans une dépression chronique. Peut-être quand elle se mit à boire. Doucement et lentement, elle délaissait l’enfant, ne se préoccupant guère d’elle, l’obligeant à se débrouiller seule. Elle avait 11 ans à cette époque, et malgré le courage de la petite, elle ne pouvait pas faire de miracle pour sa mère. Elle ne savait faire que son possible pour pouvoir survivre. Elle séchait souvent les cours n’y trouvant plus aucune motivation. Elle commençait à sortir et à devenir amis avec ceux du quartier, même si ils étaient que peu recommandables et fréquentables, mais qui aurait pu lui ouvrir les yeux ? Elle n’avait qu’eux qui ne lui avaient pas tourner le dos, et elle s’accrochait à eux comme à une bouée de sauvetage. Sauf qu’au lieu de la porter vers le haut, il la descendait vers le bas. Elle était insouciante et juste heureuse d’avoir des amis. Doucement, elle se mit à voler pour survivre. De petites choses, puis de plus grosses. Il n’était pas rare de la retrouver passer la nuit au poste de police. Encore mineur, on ne pouvait l’incarcérer bien longtemps. Et puis, elle avait la manière de faire craquer les policiers du quartier qui lui cédaient toujours au final, sachant qu’elle n’avait pas un mauvais fond.

Il aura fallu attendre ses 14 ans pour que les autorités enlèvent la garde à cette femme devenu incapable de s’occuper d’une enfant. Dambi passait ensuite un an dans le flou, dans un orphelinat où elle était la seule de son âge, les autres biens plus jeunes qu’elle. Elle aurait dû passer pour la grande sœur, mais étant la dernière arrivante, elle était plutôt délaissée. Les services sociaux disaient qu’il était de plus en plus difficile de trouver une famille pour une jeune adolescente. Pourtant, lors de ses 15 ans, deux jeunes femmes firent leur entrée dans sa vie. Elles  tombèrent sous son charme et décidèrent de l’adopter dans leur famille déjà nombreuse composé de trois filles et d’un garçon. Elles voulaient marquer leur nouveau départ en construisant quelque chose ensemble, et elles avaient décidé de devenir le refuge de la petite Dambi, qui s’était quelque peu perdu en chemin. Les débuts ne furent pas faciles, mais avec un peu de patience et beaucoup d’amour, elles y parvenaient. Enfin, Bambi a trouvé sa véritable place dans ce monde, au sein de sa véritable famille. Oh, elle a toujours ce beau de papier avec lequel est né. Oui, elle recherche toujours celle qui l’a mis au monde. Pourtant, les mères à ses yeux, celles qu’elle a dans son cœur, ce sont ces deux femmes. Je vous aime.