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St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet -
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St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 20:55 Citer EditerSupprimer Isaac St-Leger
Ton Pseudo
The idea of being famous is a lot better than the reality.
#POSE | #TETU | #CLAME | #FROID | #OUVERT |
#SOURIANT | #DISTANT | #STUDIEUX | #RESERVE | #CHARISMATIQUE |
NOM : St-Leger. PRÉNOM : Isaac ÂGE : 25 ans ORIGINES : Anglaises NATIONALITÉ : Anglaise CLASSE SOCIALE : Haute ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel CURSUS UNIVERSITAIRE : marketing/web MÉTIER :ici Code du règlement : it's like a little baby unicorn (Olaf ?) TU VEUX T'INVESTIR? : Yes, I want !
“ Rumour has it : il ferait parti d'un gang de revente illégale de drogue +Il serait issu d’une famille noble et riche + il coucherait avec des femmes plus âgés pour de l’argent (les gens ne savent pas d’où vient tout cet argent !) + Qu’il a commencé à fumer au collège + Qu’il a fait de la chirurgie esthétique pour devenir occidental, en vrai c’est un chinois ! + qu’il serait en couple avec une femme plus âgée +
“ Rumour has it : il ferait parti d'un gang de revente illégale de drogue +Il serait issu d’une famille noble et riche + il coucherait avec des femmes plus âgés pour de l’argent (les gens ne savent pas d’où vient tout cet argent !) + Qu’il a commencé à fumer au collège + Qu’il a fait de la chirurgie esthétique pour devenir occidental, en vrai c’est un chinois ! + qu’il serait en couple avec une femme plus âgée +
“ Caractère :
Isaac St-Leger. Comme l’étiquette le quémandait, être une personne posée et calme. Taciturne et têtu. Avoir un charisme naturel et être imposant. L’étiquette de ma famille m’imposait des caractéristiques qui n’étaient pas les miennes et qui ne le sont toujours pas. Je suis quelque de calme et de posée, mais aucune taciturne, mais très certainement têtu. Je ne vais pas vers les autres facilement, malgré le fait que je suis une personne sociable. Mon éducation m’a appris à laisser les gens venir vers vous et d’uniquement amorcer les premiers pas si on avait besoin de la personne. Il y a eu quelques points positifs tout de même comme le charisme naturel que mes cours de tenus et de vie à la cour (oui, c’est complétement dépassé, mais que voulez-vous) ainsi qu’une aisance à l’orale. J’ai une certaine présence qui n’est pas pour rassurer les plus confiants, qui malgré moi fait fuir certaines personnes. C’est-à-dire que j’ai un regard vide, froid et une allure glaciale. Cependant je suis une personne ouvert à la discutions. Pour mes études rien ne passera avant. J’ai tout abandonné, avec joie certes, pour les faire, alors je me donne cœur et âme dedans. Rien ni personne ne pourra me faire changer d’avis si un soir je veux étudier plutôt que d’aller dans une soirée. Ceci dit, j’adore les soirées que ce soit des pures beuveries ou des simples petits apéros dinatoires. Malgré les quelques années que j’ai passé loin de ma famille, je suis encore soumis à l’étiquette et au protocole anglais, ce qui implique des situations bizarres et totalement gênantes, quelques fois. Je parle avec un accent anglais fort prononcé mais les gens arrivent parfaitement bien à me comprendre. (Aucun commentaire sur ce caractère >_< je suis une pure brêle dans ce domaine !)
Isaac St-Leger. Comme l’étiquette le quémandait, être une personne posée et calme. Taciturne et têtu. Avoir un charisme naturel et être imposant. L’étiquette de ma famille m’imposait des caractéristiques qui n’étaient pas les miennes et qui ne le sont toujours pas. Je suis quelque de calme et de posée, mais aucune taciturne, mais très certainement têtu. Je ne vais pas vers les autres facilement, malgré le fait que je suis une personne sociable. Mon éducation m’a appris à laisser les gens venir vers vous et d’uniquement amorcer les premiers pas si on avait besoin de la personne. Il y a eu quelques points positifs tout de même comme le charisme naturel que mes cours de tenus et de vie à la cour (oui, c’est complétement dépassé, mais que voulez-vous) ainsi qu’une aisance à l’orale. J’ai une certaine présence qui n’est pas pour rassurer les plus confiants, qui malgré moi fait fuir certaines personnes. C’est-à-dire que j’ai un regard vide, froid et une allure glaciale. Cependant je suis une personne ouvert à la discutions. Pour mes études rien ne passera avant. J’ai tout abandonné, avec joie certes, pour les faire, alors je me donne cœur et âme dedans. Rien ni personne ne pourra me faire changer d’avis si un soir je veux étudier plutôt que d’aller dans une soirée. Ceci dit, j’adore les soirées que ce soit des pures beuveries ou des simples petits apéros dinatoires. Malgré les quelques années que j’ai passé loin de ma famille, je suis encore soumis à l’étiquette et au protocole anglais, ce qui implique des situations bizarres et totalement gênantes, quelques fois. Je parle avec un accent anglais fort prononcé mais les gens arrivent parfaitement bien à me comprendre. (Aucun commentaire sur ce caractère >_< je suis une pure brêle dans ce domaine !)
“ Once upon a time : Mon nom est Isaac. Isaac St-Leger.
St-Leger, comté de la noblesse anglaise, voisin de la maison Lancastre et lié par alliance à la maison Baronet.
J’ai grandis dans le comté de St-Leger aux côtés de mon adorable cousine Eleonor II de Baronet. Nous avons grandi selon les traditions anglaises, toutes plus inutiles et démodées les unes que les autres. Les protocoles et l’étiquette anglais étaient la marche à suivre, sans aucuns écarts tolérés. En soit, des bons hérités conditionnés pour reprendre la politique oppressive des nobles anglais. Politique dérisoire et complétement infondé des nobles, désireux de défendre leur patrimoine. En quelques sortes, des patrimoines immobiliers à plus de quelques milliards de dollars.
Mon enfance s’est déroulée dans le château principal, aux côté de mes deux parents, Comte et Comtesse de St-Leger, ainsi que mon frère cadet Edward St-Leger et de ma sœur Alice St-Leger. Une fratrie de trois enfants aussi sage que complices. Nos cousins des maisons et noblesses voisines, Lancastre et Baronet, ont grandi à nos côté élargissant la fratrie à quelques dizaines d’enfant. J’ai eu le loisir de côtoyer les plus grandes écoles anglaises de la région du comté de St-Leger, de Lancastre et de Baronet. Des écoles prestigieuses qui accueillent les hérités des plus grandes noblesses anglaises et internationales. Des endroits perdus au milieu de la campagne luxuriante anglaise. Assez éloignés de la ville, j’ai grandi entre les herbes hautes et les arbres centenaires du comté.
Mes parents ont déménagé en plein centre de Londres à l’entrée en primaire de ma sœur Alice. Edward et moi, terminions nos années de primaires aux seins de nos établissements respectifs, hébergés par la famille Lancastre. Nous avons séjourné dans cette famille durant plus de cinq années avant de rejoindre nos parents à Londres, laissant le château principal du comté aux personnels de maison. J’ai ainsi pu découvrir un mode de vie diamétralement opposé à celui qui m’avait été enseigné. Les transports en commun était quelque chose de fascinant et de surréaliste pour moi, jeune campagnard, qui avait vécu toute son enfance dans les hautes herbes. Malgré les nombreux voyages que nos parents avaient faits en notre compagnie tout autour du monde, vivre dans une ville avait été d’une fascination extrême pour moi.
J’ai passé mes deux premières années de collège au sein d’un grand établissement privé et catholique de Londres. Entouré de nobles, de princesses et princes, j’avais retrouvé le confort des établissements des comtés de ma famille. Cependant à la sortie de l’école, quand les grosses berlines de marques venaient chercher les enfants, le voyais régulièrement des élèves d’autres établissements nous regarder avec envie. Leur uniformes étaient classiques et assez simple. Gris et rouge, pantalon pour les garçons et jupe pour les filles. Tous les soirs je les regardais et leur offrait un sourire et un salut de la main, comme m’avait dicté l’étiquette des St-Leger. Un soir d’hiver, alors que la neige recouvrait généreusement les habitations et les routes de Londres, notre berline noire avait du retard. C’est ainsi que je me suis approché pour la première fois de ces élèves, qui nous regardait avec envie. Je m’étais présenté à eux de la façon le plus formelle que le protocole l’exigeait : « Bonsoir, je suis Isaac St-Leger, troisième du nom, héritier du comté de St-Leger et de Baronet. Ravi de faire votre connaissance ». En bon petit noble, je ne savais pas que les présentations ringardes et lourdes telle que la mienne faisait mouchent et étaient démodées depuis longtemps. C’est ainsi qu’ils avaient ri et s’étaient simplement présentés par leurs prénoms, Richard pour l’un, Anne pour l’autre, ainsi que de nombreux autres noms.
Pour mon entrée en troisième année de collège j’avais fait la demande à mes parents de mettre dans un établissement public de la banlieue de Londres. Je n’étais pas très proche de mes parents et les discutions privées et essentielles à l’évolution d’un enfant n’étaient pas autorisées par le protocole. Un enfant se doit d’obéir à ses parents sans transcender un seul ordre. Les parents faisaient figures d’autorité et c’était tout. Dans la noblesse anglaise de l’époque nous n’étions pas proches de nos parents. Il y avait une ligne qui séparait les interactions obligatoires et interdites par le protocole. Je ne me souviens pas avoir déjà été dans les bras de ma mère, aussiloin que je puise me souvenir. De ce fait, ma demande avait surpris mes deux géniteurs et les avait fait longuement rire. « Pourquoi voulez-vous aller de un tel établissement, Isaac ? » C’était la première chose que m’avait demandé mon père. « Pourquoi ? » Je ne savais pas vraiment, certainement étais-je exténué des mondanités de la noblesse et de tout ce qui pouvait l‘entourer. J’avais rencontré des enfants issus de familles modestes qui étaient sympathiques et très accueillants, sans les regards hypocrites et accusateurs des jeunes nobles. Je voulais m’éloigner de tout ça, pour apprendre à mieux connaitre les gens qui m’entourent.
C’est après de longs éclats de voix et de nombreuses heures de discutions, que je faisais mon entrée dans un établissement publique du centre de Londres. Mes parents ne souhaitaient pas que je me rendre en banlieue, mais j’avais déjà eu gain de cause en entrant dans un établissement normal. C’est ainsi que ma vie pris un virage à trois cent soixante degré. J’ai découverts un univers complétement diffèrent du miens et des personnes avec une culture et des origines différentes. J’ai pu découvrir des facettes insoupçonnées de mon caractère. Ayant durant plus de douze ans côtoyés des enfants issus de la même noblesse et origine que moi, découvrir le monde avait été extraordinaire.
Pourtant mes parents ne voyaient pas cette ouverture au monde, et d’esprit, de la même façon que moi. Bien entendu, en étant avec des gens différents j’avais pris certaines de leur habitude et avais légèrement oublié quelques points importants du protocole et de l’étiquette. Ce que mes parents n’avaient pas oublié de me rappeler tous les soirs. Je remarquais que nous étions conditionnés dès notre naissance à devenir des petits patins de nos parents et de nos familles, afin de service une cause qui n’était pas la nôtre. C’est ainsi que j’ai décidé de prendre du recul pour regarder nos familles et leurs buts. Ma sœur était parfaitement tombée de ce conditionnement, vénérant la fragilité de ma mère et des femmes de cette famille. Mon frère était plus mitigé, entre mon point de vue et celui de nos ainés. En regardant les agissements de ma famille, je m’étais dit que je ne faisais pas parti de ces gens-là. Je n’étais pas comme eux.
C’est ainsi que pour mon entrée au lycée, j’avais décidé de partir en internat pour être le plus loin possible de ma famille. Edward avait décidé de me suivre l’année prochaine. Mais mes parents n’étaient pas des imbéciles finis, je représentais la famille St-Leger, et parallèlement la famille Baronet, alors il était hors de question que je salisse le nom de mes « familles ». J’étais étroitement surveillé et mes connaissances étaient passées au crible. Moi qui voulais m’éloigner de ma famille je me retrouvais entourer de ses sbires, tous plus costauds et flippants les uns que les autres. Ainsi, lorsque d’Edward m’avait rejoint nous avions demandé à nos parents de nous louer un appartement afin d’être réuni et de ce fait les rassurer tant à nos fréquentations à l’internat. Ainsi nous pouvions agir plus librement et ruser les gardes et les espion de St-Leger.
J’ai vécu une adolescence cachée de mes parents. Toutes mes sorties devaient être réglées comme un plan d’attaque des plus grands espions. Malgré ça, j’ai passé des moments extraordinaires avec mes amis. J’ai fais des connaissances qui aujourd’hui sont encore des personnes très proches de moi. Au lycée j’ai décidé que je ne travaillerai pas pour les St-Leger et les Baronet, mais pour moi et pour mes envies. Mes parents n’avaient pas eu l’air d’être étonné par ma décision, certainement le fait que je m’émancipe au collège de toutes les responsabilités de la famille.
Durant mes années de lycée j’avais rencontré quelques filles charmantes, mais qui espéraient toutes avoir un peu de reconnaissance auprès de ma famille. J’ai vite compris qu’il fallait éviter de parler des St-Leger et des Baronet. Tout du moins, nier au possible un quelconque lien avec eux. Il serait difficile tant je ressemblais à mon père, mais avec de bons arguments, j’étais sûr d’y arriver. Voulant tout de même me garder sous leur contrôle, étant un héritier « potentiel », ils semblaient bien décidés à financer mes études et mes autres lubies. Malgré le fait que je souhaitais être le plus loin d’eux, pour débuter dans mes études il me fallait des bases solides, et pour les avoir de l’argent était nécessaire. Ainsi, les premières années de dix-huit ans à vingt ans, j’étais aux bottes de mes familles.
Cependant, lors de ma vingtième année, j’ai décidé de prendre mon envole et de partir loin de ma famille. Avec leur argent, que j’avais pratiquement mis de côté, je pouvais m’envoler vers d’autres horizons. En effectuant des recherches en rapport avec mes objectifs j’avais trois pays qui pouvaient m’apporter beaucoup d’expérience, le Japon, la Nouvelle Zélande et le Corée du Sud. J’avais déjà visité et séjourné durant un court terme dans les deux premiers pays, je m’étais donc décidé pour la Corée du Sud, pays qui m’était totalement étranger. En Angleterre j’avais rencontré quelques coréens qui m’avaient parus très sympathique et qui m’avait plusieurs fois proposé de venir leur rendre visite quand ils seraient de retour au pays. De ce fait, je ne serais peut-être pas tout seul là-bas. Il était certain que je ne maitrisais aucunement la langue, mais que l’anglais serait déjà bien pour une première approche. Ainsi durant la demi-année qui me restait en Angleterre j’avais pris des cours de coréen auprès d’une connaissance d’un très bon ami. Comme ça je ne partais pas sans base, malgré que ma prononciation fût complétement mauvaise je m’en sortais avec les phrases classiques. Il était certain que j’aurai du pain sur la planche à mon arrivé.
Vingt et un ans et quelques sous en poches, et quelques gardes au cul, je partais en direction de la Corée du Sud pour approfondir mes connaissances dans le web et le marketing. Les premières années avaient été assez difficiles du fait que j’étais réellement mauvais en coréen. Cependant l’anglais me sauvait de certaines situations délicates dans lesquels j’avais pu me mettre. Mais grâce à de magnifiques rencontre j’ai réussis à m’en sortir et à de mieux en mieux m’intégrer à ma fac.
Je suis Isacc St-Leger, vingt-cinq ans et je vis depuis quatre ans en Corée du Sud. (avec les Baronet et les St-Leger au cul).
St-Leger, comté de la noblesse anglaise, voisin de la maison Lancastre et lié par alliance à la maison Baronet.
J’ai grandis dans le comté de St-Leger aux côtés de mon adorable cousine Eleonor II de Baronet. Nous avons grandi selon les traditions anglaises, toutes plus inutiles et démodées les unes que les autres. Les protocoles et l’étiquette anglais étaient la marche à suivre, sans aucuns écarts tolérés. En soit, des bons hérités conditionnés pour reprendre la politique oppressive des nobles anglais. Politique dérisoire et complétement infondé des nobles, désireux de défendre leur patrimoine. En quelques sortes, des patrimoines immobiliers à plus de quelques milliards de dollars.
Mon enfance s’est déroulée dans le château principal, aux côté de mes deux parents, Comte et Comtesse de St-Leger, ainsi que mon frère cadet Edward St-Leger et de ma sœur Alice St-Leger. Une fratrie de trois enfants aussi sage que complices. Nos cousins des maisons et noblesses voisines, Lancastre et Baronet, ont grandi à nos côté élargissant la fratrie à quelques dizaines d’enfant. J’ai eu le loisir de côtoyer les plus grandes écoles anglaises de la région du comté de St-Leger, de Lancastre et de Baronet. Des écoles prestigieuses qui accueillent les hérités des plus grandes noblesses anglaises et internationales. Des endroits perdus au milieu de la campagne luxuriante anglaise. Assez éloignés de la ville, j’ai grandi entre les herbes hautes et les arbres centenaires du comté.
Mes parents ont déménagé en plein centre de Londres à l’entrée en primaire de ma sœur Alice. Edward et moi, terminions nos années de primaires aux seins de nos établissements respectifs, hébergés par la famille Lancastre. Nous avons séjourné dans cette famille durant plus de cinq années avant de rejoindre nos parents à Londres, laissant le château principal du comté aux personnels de maison. J’ai ainsi pu découvrir un mode de vie diamétralement opposé à celui qui m’avait été enseigné. Les transports en commun était quelque chose de fascinant et de surréaliste pour moi, jeune campagnard, qui avait vécu toute son enfance dans les hautes herbes. Malgré les nombreux voyages que nos parents avaient faits en notre compagnie tout autour du monde, vivre dans une ville avait été d’une fascination extrême pour moi.
J’ai passé mes deux premières années de collège au sein d’un grand établissement privé et catholique de Londres. Entouré de nobles, de princesses et princes, j’avais retrouvé le confort des établissements des comtés de ma famille. Cependant à la sortie de l’école, quand les grosses berlines de marques venaient chercher les enfants, le voyais régulièrement des élèves d’autres établissements nous regarder avec envie. Leur uniformes étaient classiques et assez simple. Gris et rouge, pantalon pour les garçons et jupe pour les filles. Tous les soirs je les regardais et leur offrait un sourire et un salut de la main, comme m’avait dicté l’étiquette des St-Leger. Un soir d’hiver, alors que la neige recouvrait généreusement les habitations et les routes de Londres, notre berline noire avait du retard. C’est ainsi que je me suis approché pour la première fois de ces élèves, qui nous regardait avec envie. Je m’étais présenté à eux de la façon le plus formelle que le protocole l’exigeait : « Bonsoir, je suis Isaac St-Leger, troisième du nom, héritier du comté de St-Leger et de Baronet. Ravi de faire votre connaissance ». En bon petit noble, je ne savais pas que les présentations ringardes et lourdes telle que la mienne faisait mouchent et étaient démodées depuis longtemps. C’est ainsi qu’ils avaient ri et s’étaient simplement présentés par leurs prénoms, Richard pour l’un, Anne pour l’autre, ainsi que de nombreux autres noms.
Pour mon entrée en troisième année de collège j’avais fait la demande à mes parents de mettre dans un établissement public de la banlieue de Londres. Je n’étais pas très proche de mes parents et les discutions privées et essentielles à l’évolution d’un enfant n’étaient pas autorisées par le protocole. Un enfant se doit d’obéir à ses parents sans transcender un seul ordre. Les parents faisaient figures d’autorité et c’était tout. Dans la noblesse anglaise de l’époque nous n’étions pas proches de nos parents. Il y avait une ligne qui séparait les interactions obligatoires et interdites par le protocole. Je ne me souviens pas avoir déjà été dans les bras de ma mère, aussiloin que je puise me souvenir. De ce fait, ma demande avait surpris mes deux géniteurs et les avait fait longuement rire. « Pourquoi voulez-vous aller de un tel établissement, Isaac ? » C’était la première chose que m’avait demandé mon père. « Pourquoi ? » Je ne savais pas vraiment, certainement étais-je exténué des mondanités de la noblesse et de tout ce qui pouvait l‘entourer. J’avais rencontré des enfants issus de familles modestes qui étaient sympathiques et très accueillants, sans les regards hypocrites et accusateurs des jeunes nobles. Je voulais m’éloigner de tout ça, pour apprendre à mieux connaitre les gens qui m’entourent.
C’est après de longs éclats de voix et de nombreuses heures de discutions, que je faisais mon entrée dans un établissement publique du centre de Londres. Mes parents ne souhaitaient pas que je me rendre en banlieue, mais j’avais déjà eu gain de cause en entrant dans un établissement normal. C’est ainsi que ma vie pris un virage à trois cent soixante degré. J’ai découverts un univers complétement diffèrent du miens et des personnes avec une culture et des origines différentes. J’ai pu découvrir des facettes insoupçonnées de mon caractère. Ayant durant plus de douze ans côtoyés des enfants issus de la même noblesse et origine que moi, découvrir le monde avait été extraordinaire.
Pourtant mes parents ne voyaient pas cette ouverture au monde, et d’esprit, de la même façon que moi. Bien entendu, en étant avec des gens différents j’avais pris certaines de leur habitude et avais légèrement oublié quelques points importants du protocole et de l’étiquette. Ce que mes parents n’avaient pas oublié de me rappeler tous les soirs. Je remarquais que nous étions conditionnés dès notre naissance à devenir des petits patins de nos parents et de nos familles, afin de service une cause qui n’était pas la nôtre. C’est ainsi que j’ai décidé de prendre du recul pour regarder nos familles et leurs buts. Ma sœur était parfaitement tombée de ce conditionnement, vénérant la fragilité de ma mère et des femmes de cette famille. Mon frère était plus mitigé, entre mon point de vue et celui de nos ainés. En regardant les agissements de ma famille, je m’étais dit que je ne faisais pas parti de ces gens-là. Je n’étais pas comme eux.
C’est ainsi que pour mon entrée au lycée, j’avais décidé de partir en internat pour être le plus loin possible de ma famille. Edward avait décidé de me suivre l’année prochaine. Mais mes parents n’étaient pas des imbéciles finis, je représentais la famille St-Leger, et parallèlement la famille Baronet, alors il était hors de question que je salisse le nom de mes « familles ». J’étais étroitement surveillé et mes connaissances étaient passées au crible. Moi qui voulais m’éloigner de ma famille je me retrouvais entourer de ses sbires, tous plus costauds et flippants les uns que les autres. Ainsi, lorsque d’Edward m’avait rejoint nous avions demandé à nos parents de nous louer un appartement afin d’être réuni et de ce fait les rassurer tant à nos fréquentations à l’internat. Ainsi nous pouvions agir plus librement et ruser les gardes et les espion de St-Leger.
J’ai vécu une adolescence cachée de mes parents. Toutes mes sorties devaient être réglées comme un plan d’attaque des plus grands espions. Malgré ça, j’ai passé des moments extraordinaires avec mes amis. J’ai fais des connaissances qui aujourd’hui sont encore des personnes très proches de moi. Au lycée j’ai décidé que je ne travaillerai pas pour les St-Leger et les Baronet, mais pour moi et pour mes envies. Mes parents n’avaient pas eu l’air d’être étonné par ma décision, certainement le fait que je m’émancipe au collège de toutes les responsabilités de la famille.
Durant mes années de lycée j’avais rencontré quelques filles charmantes, mais qui espéraient toutes avoir un peu de reconnaissance auprès de ma famille. J’ai vite compris qu’il fallait éviter de parler des St-Leger et des Baronet. Tout du moins, nier au possible un quelconque lien avec eux. Il serait difficile tant je ressemblais à mon père, mais avec de bons arguments, j’étais sûr d’y arriver. Voulant tout de même me garder sous leur contrôle, étant un héritier « potentiel », ils semblaient bien décidés à financer mes études et mes autres lubies. Malgré le fait que je souhaitais être le plus loin d’eux, pour débuter dans mes études il me fallait des bases solides, et pour les avoir de l’argent était nécessaire. Ainsi, les premières années de dix-huit ans à vingt ans, j’étais aux bottes de mes familles.
Cependant, lors de ma vingtième année, j’ai décidé de prendre mon envole et de partir loin de ma famille. Avec leur argent, que j’avais pratiquement mis de côté, je pouvais m’envoler vers d’autres horizons. En effectuant des recherches en rapport avec mes objectifs j’avais trois pays qui pouvaient m’apporter beaucoup d’expérience, le Japon, la Nouvelle Zélande et le Corée du Sud. J’avais déjà visité et séjourné durant un court terme dans les deux premiers pays, je m’étais donc décidé pour la Corée du Sud, pays qui m’était totalement étranger. En Angleterre j’avais rencontré quelques coréens qui m’avaient parus très sympathique et qui m’avait plusieurs fois proposé de venir leur rendre visite quand ils seraient de retour au pays. De ce fait, je ne serais peut-être pas tout seul là-bas. Il était certain que je ne maitrisais aucunement la langue, mais que l’anglais serait déjà bien pour une première approche. Ainsi durant la demi-année qui me restait en Angleterre j’avais pris des cours de coréen auprès d’une connaissance d’un très bon ami. Comme ça je ne partais pas sans base, malgré que ma prononciation fût complétement mauvaise je m’en sortais avec les phrases classiques. Il était certain que j’aurai du pain sur la planche à mon arrivé.
Vingt et un ans et quelques sous en poches, et quelques gardes au cul, je partais en direction de la Corée du Sud pour approfondir mes connaissances dans le web et le marketing. Les premières années avaient été assez difficiles du fait que j’étais réellement mauvais en coréen. Cependant l’anglais me sauvait de certaines situations délicates dans lesquels j’avais pu me mettre. Mais grâce à de magnifiques rencontre j’ai réussis à m’en sortir et à de mieux en mieux m’intégrer à ma fac.
Je suis Isacc St-Leger, vingt-cinq ans et je vis depuis quatre ans en Corée du Sud. (avec les Baronet et les St-Leger au cul).
Bad boys do get the girls.
Alors comme j’ai un personnage qui est complètement perché et qui sort de nul part, je suis exactement pareille ! x) j’ai 21 balais et je viens du trou du cul du monde ! J’ai été à une période sur STW mais j’ai dû partir pour des raisons persos et tout et tout, tmtc ! J’ai des saletés sous les bras que je cultives avec assiduité et amour, alors non j’vais pas m’laver sous les bras wsh ! Je vais essayer de m’accrocher à STW car j’ai réellement besoin de me remettre à l’écriture, je perds tout mon orthographe et ma grammaire. Désolé pour les fautes, ça en devient horrible !
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin. SVP REMPLISSEZ AVEC LES MAJUSCULES ET MINUSCULES COMME CI-DESSOUS
code pour célébrité prise :
[url=http://URL DU PROFIL]▲[/url]▼TOM FELTON ✎ isaac st-leger
pour un pv pris :
[url=http://URL DU PROFIL]▲[/url]▼NOM PRENOM (PSEUDO, GROUPE) ✎ pseudo membre
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin. SVP REMPLISSEZ AVEC LES MAJUSCULES ET MINUSCULES COMME CI-DESSOUS
code pour célébrité prise :
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- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>TOM FELTON</taken> ✎ isaac st-leger
pour un pv pris :
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[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://URLDELAFICHEPV]▼[/url] <taken>NOM PRENOM (PSEUDO, GROUPE)</taken> ✎ pseudo membre
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Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:01 Citer EditerSupprimer
Cassez vous c'est moi.
Édit : Mgr déjà rien que ton nom j'ai ris j'aime !
Pourquoi Tom Felton ? Tu veux que je te ? Très bon choix
Tu étais qui avant je veux tout savoir
Et rebienvenu du coup ! J'ai pas encore lu ton histoire je suis sur tel :$ Mais je le ferais des que je peux <3
Bon courage pour la suite
Édit : Mgr déjà rien que ton nom j'ai ris j'aime !
Pourquoi Tom Felton ? Tu veux que je te ? Très bon choix
Tu étais qui avant je veux tout savoir
Et rebienvenu du coup ! J'ai pas encore lu ton histoire je suis sur tel :$ Mais je le ferais des que je peux <3
Bon courage pour la suite
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Invité
Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:02 Citer EditerSupprimer
Bon retour à la maison
Courage pour cette nouvelle fiche
Courage pour cette nouvelle fiche
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Invité
Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:04 Citer EditerSupprimer
tom felton c'est ma vie.
bon retour à la maison et puis garde-moi un beau lien ♥
bon retour à la maison et puis garde-moi un beau lien ♥
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Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:18 Citer EditerSupprimer
Je l'aime celui-là puis Tom *bave* :sunmi: J'deviendrais une femelle rien que pour toi pour une nuit
Sinon, re-welcom her baby
Sinon, re-welcom her baby
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Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:21 Citer EditerSupprimer
HWANG KELEA > Parce Tomy c'est genre, la vie ? Juste trop de feel dans ce mec :D
Quoi tu as un soucis avec St-Leger ? Et Isaac ? x)
Tu peux me -ce que tu veux - je suis open ;D
MOON JI HOON > Merci beaucoup :D
JEON ZEPHYR > Erreur, c'est LA mienne de VIE. J'te garde un petit lien au chaud
PARK KWANG HO > Deviens une femelle est j'te Merci
Quoi tu as un soucis avec St-Leger ? Et Isaac ? x)
Tu peux me -ce que tu veux - je suis open ;D
MOON JI HOON > Merci beaucoup :D
JEON ZEPHYR > Erreur, c'est LA mienne de VIE. J'te garde un petit lien au chaud
PARK KWANG HO > Deviens une femelle est j'te Merci
Hwang Bomi
☆☆☆☆ TOP-STAR SHAKER
Pseudo : omoi.namida
Célébrité : lee chae young (isa ; stayc)
Crédits : moonaetics (avatar) ; drake (signature)
Messages : 4659
Âge : 22
Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:22 Citer EditerSupprimer
reeeee alors
je vois une fiche complètement entamée, quel talent ! :D
________________________________
je vois une fiche complètement entamée, quel talent ! :D
something wrong with us
Imagination, of course, can open any door - turn the key and let terror walk right in.
Invité
Invité
Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:29 Citer EditerSupprimer
JUNG HWAN BAEK > j'aime pas me pointer avec une ficher pas finie :D Merci :D
Invité
Invité
Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 21:45 Citer EditerSupprimer
re bienvenue à la maison joli coeur du coup !
Invité
Invité
Re: St-Leger Isaac - Le saint comte des Baronet - | Mer 6 Jan 2016 - 23:30 Citer EditerSupprimer
rebienvenue alors
même pas le temps de souhaiter bonne chance pour ta fiche trop rapide
je viendrais te quémander un lien
même pas le temps de souhaiter bonne chance pour ta fiche trop rapide
je viendrais te quémander un lien
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