LIBRE | all around the wind blows
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LIBRE | all around the wind blows | Ven 8 Jan 2016 - 12:37 Citer EditerSupprimer
All around the wind blows
parce qu'il fallait bien s'en occuper, ce soir, la demoiselle s'était levée. en pleine nuit, simplement suite à un drôle de rêve. un subconscient assez particulier dans le noir complet de sa chambre. simplement éclairé d'une petite bougie, qu'elle refusait d'enlever, à défaut de pas dormir ensuite. n'étant pas rassurée dans l'obscurité - qui lui rappelait de mauvais souvenir. comme ce ciel bleu sombre, sous lequel elle marchait jusqu'en direction de la ferme. en effet, la jeune femme avait pensé à ses bêtes, à ses bébés, qu'elle avait adopté. un lama, très étrange, mais tellement drôle ; qui lui ressemblait beaucoup dans le caractère. un véritable coup de foudre. puis ce singe, qui idolâtrait son animal premier. un véritable amour, c'était tellement amusant et elle ne pouvait pas les séparer, n'est-ce pas ? ainsi, elle s'était auto proclamé maîtresse de ces deux comiques et sa demande avait tout de suite été accepter. évidemment. et dans son rêve, ils avaient besoin d'elle, là, maintenant.
c'est pourquoi elle se dirigeait vers, dans son pyjama et ses bottes à talons - la meilleure tenue au monde, non ? - un vent frais la laissait frissonnante, peut-être aurait-elle dû mettre une veste, mais elle n'y avait pas pensé et à présent, elle avait les mains gêlées. s'étant réveillée trop vite ; elle somnolait encore un peu. émergeant simplement de son sommeil, elle marchait lentement, se frottant les yeux. aidée seulement de sa lumière de téléphone, plus le temps passait, plus elle commençait à paniquer. ce n'était pas rassurant d'être seule, dehors, à deux heures du matin, en pyjama, vers une ferme. quand bien même elle restait dans son secteur, vers son dortoir. si elle criait, pourront-on seulement l'entendre ?
Arrivant sur place une dizaine de minutes plus tard - bon plus en réalité, mais elle était tellement endormie que le temps n'avait plus la même notion pour elle - elle pénétra dans la grande ferme, d'un coup bien pressée de voir ses animaux. se dirigeant vers eux avec un petit sourire, elle appela kuzco avec entrain, qui se montra rapidement et willy wonka ne tarda pas à le suivre. de cette manière, elle se retrouva vite entourée, allant à l'extérieur avec eux, pour leur faire une petite ballade. le capucin sur l'épaule, elle sursauta en attendant un bruit ; même accompagnée de ses animaux, elle n'était pas rassurée dans la noirceur de la nuit. « i-i-i-il y a quelqu'un ? » elle attendit une réponse, tandis que le bruit se rapprochait et qu'elle avait de plus en plus peur. pourquoi est-ce qu'elle était sortie déjà ? elle était une froussarde invétérée. et kuzco ne l'aidait pas en étant caché derrière elle, il faisait le prince, mais il était plus peureux qu'elle !
libre | oh, fuck !
c'est pourquoi elle se dirigeait vers, dans son pyjama et ses bottes à talons - la meilleure tenue au monde, non ? - un vent frais la laissait frissonnante, peut-être aurait-elle dû mettre une veste, mais elle n'y avait pas pensé et à présent, elle avait les mains gêlées. s'étant réveillée trop vite ; elle somnolait encore un peu. émergeant simplement de son sommeil, elle marchait lentement, se frottant les yeux. aidée seulement de sa lumière de téléphone, plus le temps passait, plus elle commençait à paniquer. ce n'était pas rassurant d'être seule, dehors, à deux heures du matin, en pyjama, vers une ferme. quand bien même elle restait dans son secteur, vers son dortoir. si elle criait, pourront-on seulement l'entendre ?
Arrivant sur place une dizaine de minutes plus tard - bon plus en réalité, mais elle était tellement endormie que le temps n'avait plus la même notion pour elle - elle pénétra dans la grande ferme, d'un coup bien pressée de voir ses animaux. se dirigeant vers eux avec un petit sourire, elle appela kuzco avec entrain, qui se montra rapidement et willy wonka ne tarda pas à le suivre. de cette manière, elle se retrouva vite entourée, allant à l'extérieur avec eux, pour leur faire une petite ballade. le capucin sur l'épaule, elle sursauta en attendant un bruit ; même accompagnée de ses animaux, elle n'était pas rassurée dans la noirceur de la nuit. « i-i-i-il y a quelqu'un ? » elle attendit une réponse, tandis que le bruit se rapprochait et qu'elle avait de plus en plus peur. pourquoi est-ce qu'elle était sortie déjà ? elle était une froussarde invétérée. et kuzco ne l'aidait pas en étant caché derrière elle, il faisait le prince, mais il était plus peureux qu'elle !
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Re: LIBRE | all around the wind blows | Lun 11 Jan 2016 - 21:28 Citer EditerSupprimer
meet the sleeping beauty
Le soleil s'était couché depuis bien longtemps, mais les yeux du petit Yuhan restaient éternellement ouverts, fixant son écran de portable d'un air las, en quête d'un message, d'un signe, de n'importe quoi venant de n'importe où qui le sortirait de son ennui profond. Parce qu'à minuit et demie, fallait bien avouer qu'il n'y avait pas grand chose à faire, et encore moins de monde avec qui parler. Non mais sérieux, pourquoi fallait-il que tout le monde soit endormit maintenant ? C'était une université, pas une maison de retraite quoi.
Énervé, il n'arrêtait pas de remuer et remuer encore dans son lit, grognant un peu, la fatigue ne l'atteignant pas. Il n'savait pas si c'était c'qu'il avait bouffé au soir qui lui faisait ça (manger épicé n'est jamais une très bonne idée #rime), s'il était tout simplement excité par le lancement du nouveau club de sa frat', ou s'il se réjouissait d'avoir (enfin) le numéro de la - très - belle Shim Kee Young. Soit la fille qu'il a remarqué depuis très très longtemps, la regardant parfois de loin, comme un stalker, c'est mignon. Et même si celle-ci l'avait joyeusement envoyé paître, Yu', ne comprenant pas, continuait à compter les jours qu'il lui restait jusqu'au jour où il pourrait à nouveau lui envoyer un sms.
Qu'il était naïf.
Se remuant une énième fois dans son lit, l'un de ses colocs finit par l'insulter, le menaçant également de le clouer sur son lit s'il continuait de bouger ses fesses. Yuhan, possédant un immense courage, hashtag ironie, décida alors de sortir sagement de la chambre - parce que finir en Jésus, c'était pas trop son trip - et partit prendre un bol d'air de minuit, même si cette expression n'existe pas.
Écouteurs mit en place, une musique de 5 seconds of summer lui traversant les oreilles, il marchait tranquillement dans les couloirs des bleus, cherchant le sommeil, se disant que - peut-être - le marchant de sable l'avait oublié, et qu'il était quelque part, dans un coin. Même s'il n'y croyait pas, il s'amusait à s'imaginer des choses, à s'inventer des histoires. Parce que l'ennuie lui permettait d'être créatif.
Et c'est alors qu'au détour d'un couloir, il aperçut une ombre. Yuhan se figea d'abord, se disant que ce n'était pas possible, que cela ne pouvait pas être lui... ? Il cligna des yeux et le perdit alors de vu, et c'est alors qu'il pressa le pas, se dirigeant en direction de cette mystérieuse ombre. Peut-être devrait-il l'interpeller ? Non, cela pourrait l'effrayer, et tout le monde sait qu'on n'effraie pas une ombre sans connaitre son identité.
Continuant de la suivre, il finit par arriver dehors. Un tantinet perplexe, il s'arrêta quand celle-ci entra dans la ferme. Peut-être que les animaux avaient besoin d'être endormi. Oui, c'était logique dans un sens. Enfin pour lui. Il passa la tête pour voir la fameuse ombre et sursauta quand celle-ci lui parla.
C'était. Une fille.
Il cligna des yeux, surprit, et en même temps déçu. Ce n'était rien d'autre qu'une fille. Il s'approcha d'elle, ne voyant pas son visage dans la pénombre.
- Oh désolé, je t'ai suivis, je pensais que tu étais le marchand de sables. Mais tu fais quoi ici ? Assumant totalement ses paroles, il continua d'avancer. Jusqu'à se rendre compte de qui il avait en face de lui. Shim Kee Young. Ouvrant grand la bouche, choqué, aucun son ne sortit à part ce oh mon dieu qui sortit tout seul.
Énervé, il n'arrêtait pas de remuer et remuer encore dans son lit, grognant un peu, la fatigue ne l'atteignant pas. Il n'savait pas si c'était c'qu'il avait bouffé au soir qui lui faisait ça (manger épicé n'est jamais une très bonne idée #rime), s'il était tout simplement excité par le lancement du nouveau club de sa frat', ou s'il se réjouissait d'avoir (enfin) le numéro de la - très - belle Shim Kee Young. Soit la fille qu'il a remarqué depuis très très longtemps, la regardant parfois de loin, comme un stalker, c'est mignon. Et même si celle-ci l'avait joyeusement envoyé paître, Yu', ne comprenant pas, continuait à compter les jours qu'il lui restait jusqu'au jour où il pourrait à nouveau lui envoyer un sms.
Qu'il était naïf.
Se remuant une énième fois dans son lit, l'un de ses colocs finit par l'insulter, le menaçant également de le clouer sur son lit s'il continuait de bouger ses fesses. Yuhan, possédant un immense courage, hashtag ironie, décida alors de sortir sagement de la chambre - parce que finir en Jésus, c'était pas trop son trip - et partit prendre un bol d'air de minuit, même si cette expression n'existe pas.
Écouteurs mit en place, une musique de 5 seconds of summer lui traversant les oreilles, il marchait tranquillement dans les couloirs des bleus, cherchant le sommeil, se disant que - peut-être - le marchant de sable l'avait oublié, et qu'il était quelque part, dans un coin. Même s'il n'y croyait pas, il s'amusait à s'imaginer des choses, à s'inventer des histoires. Parce que l'ennuie lui permettait d'être créatif.
Et c'est alors qu'au détour d'un couloir, il aperçut une ombre. Yuhan se figea d'abord, se disant que ce n'était pas possible, que cela ne pouvait pas être lui... ? Il cligna des yeux et le perdit alors de vu, et c'est alors qu'il pressa le pas, se dirigeant en direction de cette mystérieuse ombre. Peut-être devrait-il l'interpeller ? Non, cela pourrait l'effrayer, et tout le monde sait qu'on n'effraie pas une ombre sans connaitre son identité.
Continuant de la suivre, il finit par arriver dehors. Un tantinet perplexe, il s'arrêta quand celle-ci entra dans la ferme. Peut-être que les animaux avaient besoin d'être endormi. Oui, c'était logique dans un sens. Enfin pour lui. Il passa la tête pour voir la fameuse ombre et sursauta quand celle-ci lui parla.
C'était. Une fille.
Il cligna des yeux, surprit, et en même temps déçu. Ce n'était rien d'autre qu'une fille. Il s'approcha d'elle, ne voyant pas son visage dans la pénombre.
- Oh désolé, je t'ai suivis, je pensais que tu étais le marchand de sables. Mais tu fais quoi ici ? Assumant totalement ses paroles, il continua d'avancer. Jusqu'à se rendre compte de qui il avait en face de lui. Shim Kee Young. Ouvrant grand la bouche, choqué, aucun son ne sortit à part ce oh mon dieu qui sortit tout seul.
ft. libre | words: 644 | notes: le post est mosh mais j'ai pas le temps et jetem ♥
robb stark
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Re: LIBRE | all around the wind blows | Jeu 14 Jan 2016 - 0:33 Citer EditerSupprimer
All around the wind blows
et tandis que la demoiselle était sur ses gardes, prête à assommer la première personne - ou chose - qui se présenterait à elle. armée de son singe, la gumiho serrait bien trop fort contre elle son lama adoré, murmurant à willy wondka et à kuzco que tout irait bien. bien qu'en réalité rien n'allait vraiment. elle était terrorisée et fermait les yeux au moindre bruit, au moindre son, craignant d'être face à un monstre en les rouvrant. quelle idée de s'être rendue ici, si tard dans la nuit. aujourd'hui, ses heures de sommeil valait de l'or, tant elle travaillait. et pour une fois qu'elle pouvait profiter d'une nuit complète, elle faisait la folle à la ferme. néanmoins, était-ce sa faute, si elle avait rêvé d'eux ? un mauvais rêve qui plus est... et puis, cela faisait si longtemps qu'elle n'était pas venue les voir, qu'elle ne les avait pas chouchouter et que kuzco ne lui avait pas fait la gueule. il était sûr que cela devait lui manquer. plus encore que ses caresses.
quand elle les avait adopté, elle avait trouvé l'idée fantastique et son impression n'avait pas changé. elle avait fait le bon choix, elle en était sûre, dès la minute où elle les avait aperçu. le lama avait ce caractère qui lui plaisait tant et l'admiration de willy pour ce dernier était une chose à la fois intrigante et magique - dans un sens, leur relation résumait assez bien la sienne. perdue dans ses souvenirs, du jour où elle les avait rencontré, elle sursauta en poussant un cri digne des plus grands films. et pourtant, elle fût presque déçue de ne pas être face à un inconnu. comme si, l'agression valait mieux que voir Kim Yu Han sortir de l'ombre. elle qui venait de réussir à s'en débarrasser, il y a quelques jours, alors qu'il avait réussit à avoir son numéro dans les toilettes des mecs. elle ignorait évidement quel abruti avait osé foutre son numéro avec ce message, mais il était clair qu'elle le saurait - et se vengerait. puisque c'était tellement mauvais pour sa réputation. elle espérait qu'il avait réellement effacé ces chiffres de cette porte. elle était néanmoins moins sûr quant à son répertoire. pourtant, avec cette date imaginaire, cet imbécile l'avait lâché. et voilà qu'elle tombait sur lui durant la nuit. si c'était une punition, elle avait compris la leçon ; elle ne toucherait plus jamais aux puceaux où à ceux qui croyaient encore à l'amour.
« c'est pas vrai... » elle restait abasourdie par ses propos. le marchand de sable ? mais que racontait-il encore, elle n'en pouvait déjà plus. sérieusement, pourquoi lui ? pour le coup, elle aurait préféré jin ki, voir même hwan baek. mais non, elle avait eu ce boulet. « il n'est pas là, tu peux retourner te coucher. » bien sûr, il était fort probable qu'il ne la lâche pas. « mais je crois l'avoir vu derrière le dortoir des wonsungi. tu devrais peut-être aller voir ? » et la laisser tranquille, par la même occasion.
libre | oh, fuck !
quand elle les avait adopté, elle avait trouvé l'idée fantastique et son impression n'avait pas changé. elle avait fait le bon choix, elle en était sûre, dès la minute où elle les avait aperçu. le lama avait ce caractère qui lui plaisait tant et l'admiration de willy pour ce dernier était une chose à la fois intrigante et magique - dans un sens, leur relation résumait assez bien la sienne. perdue dans ses souvenirs, du jour où elle les avait rencontré, elle sursauta en poussant un cri digne des plus grands films. et pourtant, elle fût presque déçue de ne pas être face à un inconnu. comme si, l'agression valait mieux que voir Kim Yu Han sortir de l'ombre. elle qui venait de réussir à s'en débarrasser, il y a quelques jours, alors qu'il avait réussit à avoir son numéro dans les toilettes des mecs. elle ignorait évidement quel abruti avait osé foutre son numéro avec ce message, mais il était clair qu'elle le saurait - et se vengerait. puisque c'était tellement mauvais pour sa réputation. elle espérait qu'il avait réellement effacé ces chiffres de cette porte. elle était néanmoins moins sûr quant à son répertoire. pourtant, avec cette date imaginaire, cet imbécile l'avait lâché. et voilà qu'elle tombait sur lui durant la nuit. si c'était une punition, elle avait compris la leçon ; elle ne toucherait plus jamais aux puceaux où à ceux qui croyaient encore à l'amour.
« c'est pas vrai... » elle restait abasourdie par ses propos. le marchand de sable ? mais que racontait-il encore, elle n'en pouvait déjà plus. sérieusement, pourquoi lui ? pour le coup, elle aurait préféré jin ki, voir même hwan baek. mais non, elle avait eu ce boulet. « il n'est pas là, tu peux retourner te coucher. » bien sûr, il était fort probable qu'il ne la lâche pas. « mais je crois l'avoir vu derrière le dortoir des wonsungi. tu devrais peut-être aller voir ? » et la laisser tranquille, par la même occasion.
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Re: LIBRE | all around the wind blows | Jeu 14 Jan 2016 - 20:55 Citer EditerSupprimer
meet the sleeping beauty
Un sourire béat se dessina sur ses lèvres quand il reconnu sa belle, sa douce, sa bien aimée, Kee Young. Il s'avança vers elle dans la pénombre pour mieux la voir, les yeux pétillants de bonheur, sentant son petit cœur palpiter un peu plus vite tellement il était heureux de la voir à cette heure tardive. Tout cela ne devait, ne pouvait être qu'un coup du destin pour qu'ils se retrouvent ici, maintenant. En effet, il en était certain, c'était leur destin.
Elle semblait abasourdie elle aussi de le voir, sûrement qu'elle devait être très heureuse de cette rencontre inattendue tout comme lui l'était. Elle commença à lui parler d'une voix douce, et Yuhan commença à chavirer alors que sa belle n'adressait des mots que pour lui seul. De plus, elle semblait s'inquiéter pour son sommeil, elle était vraiment des plus adorables. Se rapprochant d'elle avec un immense sourire, il lui dit d'un air tendre et amoureux.
- Ne t'en fais pas, je n'avais pas sommeil de toute façon, et je préfère te voir toi plutôt que le marchand de sables. C'est fou comme il aurait aimé lui prendre les mains à cet instant, ou plus encore la prendre dans ses bras, passer ses doigts dans ses cheveux, lui dire qu'il l'aimait. Mais il ne fit rien, essayant de se contenir même si son cœur la réclamait.
- En tout cas je suis super heureux de te voir, c'est assez inattendu tu trouves pas ? C'est comme si on était dans un livre, où les amoureux se retrouveraient en cachette pendant la nuit. Pour lui, c'était exactement ça, même si ce n'était pas prémédité, ils restaient deux amoureux se retrouvant au beau milieu de la nuit. D'ailleurs il est tard, tu fais quoi ici ? T'as pas trop peur ? Je peux rester avec toi si tu veux. Parce que si tu n'avais pas peur, lui avait peur pour toi.
Elle semblait abasourdie elle aussi de le voir, sûrement qu'elle devait être très heureuse de cette rencontre inattendue tout comme lui l'était. Elle commença à lui parler d'une voix douce, et Yuhan commença à chavirer alors que sa belle n'adressait des mots que pour lui seul. De plus, elle semblait s'inquiéter pour son sommeil, elle était vraiment des plus adorables. Se rapprochant d'elle avec un immense sourire, il lui dit d'un air tendre et amoureux.
- Ne t'en fais pas, je n'avais pas sommeil de toute façon, et je préfère te voir toi plutôt que le marchand de sables. C'est fou comme il aurait aimé lui prendre les mains à cet instant, ou plus encore la prendre dans ses bras, passer ses doigts dans ses cheveux, lui dire qu'il l'aimait. Mais il ne fit rien, essayant de se contenir même si son cœur la réclamait.
- En tout cas je suis super heureux de te voir, c'est assez inattendu tu trouves pas ? C'est comme si on était dans un livre, où les amoureux se retrouveraient en cachette pendant la nuit. Pour lui, c'était exactement ça, même si ce n'était pas prémédité, ils restaient deux amoureux se retrouvant au beau milieu de la nuit. D'ailleurs il est tard, tu fais quoi ici ? T'as pas trop peur ? Je peux rester avec toi si tu veux. Parce que si tu n'avais pas peur, lui avait peur pour toi.
ft. libre | words: 343 | notes: je trouverais une belle couleur tkt
robb stark
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Re: LIBRE | all around the wind blows | Lun 18 Jan 2016 - 19:22 Citer EditerSupprimer
All around the wind blows
+++ elle n'aimait pas l'air qu'il avait sur le visage. oh non, elle déteste ses yeux brillants et son sourire d'ange. doux et tendre. c'est pour cela qu'elle avait craqué, l'autre soir, c'est comme ça qu'elle en était arrivée là et aujourd'hui, elle s'en mordait les doigts. alors non. elle n'appréciait pas quand il semblait si heureux de la voir. parce qu'elle était sûr de l'adorer s'il n'y avait pas eu tout ça, hors, à présent ce garçon n'était qu'un boulet. quand elle sortait le soir, il y avait des principes à ne pas casser et la dernière fois, elle en avait mis un de côté. pour lui. pour son beau visage. parce qu'elle était faible et qu'elle avait rigolé à ses bêtises. et qu'elle pensait lui offrir une bonne soirée alors que certains se moquaient de lui. mais jamais elle n'aurait pensé qu'il tomberait amoureux. et à l'heure actuelle, il menaçait sa tranquillité. son père ne tarderait pas à entendre parler de ce garçon qui hurlait son amour à la belle. et si lui l'entendait, jinki serait au courant, puis la fraternité, et son image en serait affectée. « ne dis pas de bêtises, nous sommes du même dortoir, tu pourras me voir une autre fois. mais le marchand de sable ? c'est dingue non ! » elle tentait de lui parler doucement, calmement, lui souriant, peut-être que si elle était douce, il reviendrait une prochaine fois.
peut-être, pas sûr. en fait, elle y croyait peu, mais elle se devait d'essayer, il en valait de sa tranquillité. plus il s'approchait, plus elle tentait de s'éloigner ou se cacher un peu plus derrière kuzco. mais ce traite se décalait à chaque fois. « yuhan, nous ne sommes pas des amoureux. je suis venue là pour eux. » elle voulait qu'il comprenne bien la situation, donc malgré son ton doux, elle était aussi froide que de la glace. ne pas lui laisser de faux espoirs, surtout. détournant un peu le regard, elle soupira. si elle avait peur. et froid. mais elle ne le dirait pas. sauf que n'importe qui verrait qu'elle tremblerait. elle était pratiquement sortie en pyjama. il ne fallait pas se leurrer, le temps était glacial.
« ce sont mes animaux. kuzco et willy wondka. je les ai adopté à mon arrivée dans la fraternité. » elle ne comptait pas sur eux pour la protéger, mais c'était toujours mieux qu'être trop proche de yuhan. parfois, elle était triste pour lui, d'être obligatoirement méchante envers sa personne. comme au téléphone, mais elle n'avait pas le choix et si pour le moment elle se montrait agréable, elle changerait rapidement de comportement dans le cas où il insisterait. si on les voyait ensemble dans la nuit, dehors, isolés, elle aurait des problèmes.
libre | oh, fuck !
peut-être, pas sûr. en fait, elle y croyait peu, mais elle se devait d'essayer, il en valait de sa tranquillité. plus il s'approchait, plus elle tentait de s'éloigner ou se cacher un peu plus derrière kuzco. mais ce traite se décalait à chaque fois. « yuhan, nous ne sommes pas des amoureux. je suis venue là pour eux. » elle voulait qu'il comprenne bien la situation, donc malgré son ton doux, elle était aussi froide que de la glace. ne pas lui laisser de faux espoirs, surtout. détournant un peu le regard, elle soupira. si elle avait peur. et froid. mais elle ne le dirait pas. sauf que n'importe qui verrait qu'elle tremblerait. elle était pratiquement sortie en pyjama. il ne fallait pas se leurrer, le temps était glacial.
« ce sont mes animaux. kuzco et willy wondka. je les ai adopté à mon arrivée dans la fraternité. » elle ne comptait pas sur eux pour la protéger, mais c'était toujours mieux qu'être trop proche de yuhan. parfois, elle était triste pour lui, d'être obligatoirement méchante envers sa personne. comme au téléphone, mais elle n'avait pas le choix et si pour le moment elle se montrait agréable, elle changerait rapidement de comportement dans le cas où il insisterait. si on les voyait ensemble dans la nuit, dehors, isolés, elle aurait des problèmes.
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