***tictac***

It's all a big show. Give your quarry something to fear, some hellish thing from a fever dream, and men will drop to their knees pleading for their Lord before all else!

assassins et templiers se voue une guerre sans merci depuis bien des siècles et des siècles. aujourd'hui encore, ils est fort possible que ces derniers, bien que dans l'ombre, agissent encore. riche comme pauvre, n'importe qui peut être l'un d'eux, si bien que l'identité de ces derniers sont bien souvent anonyme, surtout chez les assassins. rares sont ceux qui cherchent à laisser leur visage apparaitre. pour ma part, je fais partie des aigles. vif, rapide, secret et discret, mais surtout très observateur. lame au poignet, capuche rabattue pour cacher les trois quart de mon visage, je reste planté là, sur le toit de cette église, surplombant la ville, cherchant de mes yeux vifs celui ou celle qui aurait une comportement bien trop suspect pour n'être qu'un simple citoyen. trouvé ! on va jouer un peu.. d'un saut, je me laisse glisser dans le vide, le vent chatouillant mon visage avant d’atterrir dans une motte de foin. ressortant aussi tôt de cet agréable cachette, je me dirige hâtivement jusqu'au port de la ville, me glissant entre les citoyens pour me frayer un chemin discret envers ma cible. m'arrêtant à la taverne du coin, je jette quelques coups d'oeil tout en restant présent au milieu d'une conversation qui n'avait guère aucun intérêt pour moi. une fois la cible à l'arrêt, je me faufile tant bien que mal pour arriver à elle avant de finalement sentir une pression sur mon épaule, m'arrêtant alors dans mon élan. il y a bien longtemps que tu n'étais pas venu sur les cotes cubaines, pourquoi es-tu ici ? pour t'empêcher de tuer celui qui t'as mis au monde peut être ? enfant de templier, devenue assassin. triste réalité. la morale n'avait rien de glorieux pour moi. considérant les assassins comme mon unique famille, j'avais pour but, depuis des années maintenant, de saigner celui qui était à l'origine de ma création, simple mesure de sécurité et de loyauté envers ma confrérie. si tu veux bien attendre ici quelques minutes, j'ai un soucis à régler puis je reviens. tu parles. personne ne me laisserait faire. étais-je même suivis pour ne pas arriver à mes fins ?