Est-elle un boulet à cause d'un mauvais atterrissage ? On pouvait se blesser n'importe comment, alors je ne vais pas lui en vouloir si elle se fait mal maintenant.. De toute façon, ce n'est pas comme-ci qu'on était en mission. Il fallait que je l'emmène chez elle pour qu'on puisse soigner sa cheville, je ne suis pas pressé pour faire une mission, elle peut se reposer puisque nous avons encore le temps. Pour l'instant nous pouvions réfléchir à ce que notre duo pouvait faire pour terroriser tout le pays et les '' super-héros ''. J'attendais d'en affronter pour voir ce qu'ils avaient dans le ventre. J'en ai connu avec l'organisation criminelle dont je faisais parti, mais ils n'ont jamais réussi à m'attraper par manque de preuve. J'ai hâte d'être mon propre patron, de faire mes magouilles avec la jeune femme, et de faire trembler cette ville, ce pays. A force, ils vont reconnaître que les criminels sont les chefs de la Corée et qu'ils devraient nous laisser diriger ce monde, on pourrait même convaincre les criminels des autres pays pour venir nous aider. J'imagine déjà le grabuge qu'on va causer et je suppose qu'ils feront un film sur nous, ils vont nous rendre immortel. Je portais la jeune femme en l'écoutant parler, elle avait de quoi se soigner chez elle, il n'y avait pas besoin d'aller à la pharmacie. Ça m'arrange, car j'éviterai de me faire chopper par les personnes qui me recherchent. Je ne voulais pas finir en bacon.. du moins, pas maintenant. Quelques minutes plus tard, nous arrivons à destination, j'attrape ses clefs et j'ouvre la porte puis je me dirige vers le salon pour l'installer sur le canapé. Je retourne vers la porte d'entrée, je jette un coup d'œil à droite puis à gauche pour voir s'il y avait quelqu'un qui nous avait suivi, mais visiblement il n'y avait personne. Je referme la porte à clef et je me dirige vers la jeune femme. « Elle est où ta pharmacie ? » Je cherche un peu partout, je fouille les tiroirs, c'est mal poli d'agir ainsi, mais il fallait que je trouve quelque chose pour elle. En fouillant un peu partout, j'ai pu trouver ce dont je cherchais, alors je retourne vite auprès de la blonde pour venir soigner sa blessure. « Quelle idée de se blesser maintenant ! » Lançai-je en venant caresser son visage. Je plaisantais, il fallait bien qu'on rigole dans des moments comme celui-ci.

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Jax voulait faire de nous de supers méchants et à peine avions nous commencé depuis quelques minutes que déjà je foutais en l’air notre entrée dans ce monde de vilains. Par ma faute, elle allait devoir être repoussé de quelques jours, mais heureusement pour nous, personne ne s’était aperçu de cette catastrophe. Je pouvais donc cacher ma honte derrière le jeune homme qui ne me jugeait pas pour si peu. C’était d’ailleurs ce que j’appréciais chez lui. Il avait beau faire l’homme au cœur de pierre, le bad boy, mais il prenait toujours soin de moi. Il cherchait toujours à me protéger comme un grand frère le ferait. Je le lassais me porter le guidant jusqu’à mon petit studio. Je m’accrochais à lui comme à une bouée de sauvetage, zieutant en tous sens pour surveiller nos arrières. Ses bras fort et musclés me portèrent jusqu’à mon studio en quelques minutes à peine. Je m’en voulus un peu de lui infliger cela, mais je ne pouvais pas faire grand-chose d’autre. Je lui donnais les clefs et malgré mon poids plumes, parvenu à ouvrir la porte en une main de maitre. Une fois installée sur le fauteuil, je m’y assis plus confortablement, émettant une grimace de douleur. Je pointais une porte au fond de la pièce à sa question. « Dans la salle de bain, l’armoire en dessous de l’évier. » je le vois fouiller un peu partout, et ca me fait rire. J’ai l’impression de me voir quand j’entre chez quelqu’un discrètement pour chercher un peu d’argent ou voler de la nourriture. Ma cleptomanie n’avait jamais été aussi utile que dans ce monde si malfaisant. Je souris timidement à sa réflexion, et a sa caresse sur ma joue. « Pardon… » Articulais-je doucement. « Je ferais plus attention à l’avenir. Je ne veux pas qu’on se fasse tuer par ma faute. » Je le regardais manier ma cheville avec extrême précaution. « Tu as appris à faire cela où ? »

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Un petit sourire s'affiche sur mon visage lorsque je l'entends me dire pardon. Pourquoi s'excuse-t-elle ? Elle ne nous avait pas mis en danger, elle n'avait pas besoin de me présenter des excuses. Pour l'instant, mon objectif est de soigner la cheville de la demoiselle, j'avais trouvé tout ce dont j'avais besoin pour pouvoir la soulager. Elle n'ira sans doute nulle part pendant quelques jours, alors elle restera ici pendant que j'irai lui acheter des choses pour qu'elle puisse manger. Mes lèvres s'emparent des siennes pour la faire taire, j'en avais marre de l'entendre dire des âneries, il fallait qu'elle arrête de se blâmer. Ce n'est pas de sa faute si elle se blesse, nous étions en hauteur, c'est tout à fait normal de se faire mal lorsqu'on rate l'atterrissage. « J'ai appris à faire plein de choses avant de te connaître. » Je continue à soigner sa cheville avant de prendre une crème, et de la masser où elle avait mal. Je savais soigner les personnes grâce à une femme que j'ai connue avant qu'elle se fasse tuer par la mafia où j'étais membre, il y a encore quelques heures. Il est rare que je m'occupe des personnes blessées, elles nous font ralentir, alors soit je les achevais ou alors un autre s'occupait de cette tâche ingrate. Je n'allais pas tuer Dambi, elle est trop précieuse pour que je puisse lui faire quelque chose, du moins, pour l'instant. Je pense qu'elle sait ce qu'il va se passer, qu'elle va galérer lorsque nous allons faire des casses ensembles, elle sait que je vais l'abandonner si elle se montre faible, et je sais qu'elle se montrera forte pour éviter que cela arrive. C'est pour ça que c'est une bonne coéquipière. Je lui mets le bandage lorsque j'ai terminé le massage, et je lui donne des cachets et de l'eau. « T'es au repos, mademoiselle. » murmurai-je au creux de son oreille. « Je vais te surveiller. » Il fallait bien que je m'occupe d'elle, je ne voulais pas qu'elle soit toute seule.

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Etre désolée, m’inquiéter en permanence pour ceux qui m’étaient proche, c’était mon quotidien. C’était un trait de mon caractère qui pouvait plaire comme être détestable. J’en avais pleinement conscience. Certains s’en étaient déjà servi pour se servir de moi comme bon leur semblait. J’avais fait des choses que je n’aurais pas faites en temps normal s’ils n’avaient pas cherché à me manipuler. Et j’avais beau apprendre de mes erreurs, je commentais toujours les mêmes. Même avec la meilleure intention et volonté du monde, ca ne suffisait pas toujours. Je continuais mes jérémiades agaçantes jusqu’au moment où Jax me fit taire de la plus belle des manières. Il capturait mes lèvres dans un baiser d’une douceur que je ne lui connaissais pas. Lui qui était toujours entrain de faire les gros bras, le dur que rien ne pouvait atteindre, le voilà soudain tel un ours docile. Je clignais des yeux, ne cessant de le fixer de surprise, pas encore certaine de comprendre de ce qui venait de se passer. Je l’écoutais ensuite en silence, un voile rosâtre venant peindre mes joues, je le regardais s’affairer activement sur ma cheville, la massant d’une crème apaisante. Le temps d’un instant, il avait laissé apercevoir une facette de sa personne que je ne connaissais pas. Juste une seconde. Dans un coin de mon esprit, je n’oubliais pas que si je n’étais pas assez forte pour le suivre, il me laisserait sur le bas-côté du chemin qu’il emprunte comme un vulgaire chiot abandonné. Je le savais capable. Je l’avais déjà vu faire quand il faisait encore partie de cette bande de tueurs. J’avalais le cachet pour la douleur qu’il me tendait, en silence. Le regardant de côté, par-dessus mes mèches rebelles, rougissant alors qu’il murmurait aux creux de mon oreille. J’étais subitement devenue silencieuse et docile. Je secouais la tête pour lui faire comprendre que j’avais compris. Et doucement, je m’allongeais sur le canapé, prenant garde à ne pas cogner ma cheville, me blottissant contre un coussin. Je fixais le brun un long moment avant de demander doucement : « Qu’est ce que tu savais faire d’autres avant de me rencontrer ? » Une époque si lointaine où il avait l’air d’avoir vécu quelque chose d’heureux.

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Qu'est-ce que je savais faire d'autre lorsque je ne connaissais pas la demoiselle ? Tout un tas de choses que personne ne voudrait connaître. Bon, je savais faire les bases : me faire à manger, faire la vaisselle, le ménage... Mais je savais faire des choses que personne ne se doutait. Je pouvais alimenter un immeuble qui n'avait plus d'électricité grâce à l'immeuble d'en face, je pouvais m'enlever des menottes en un clin d'œil... Bref, vous l'aurez compris, je peux faire tout un tas de choses qui ne correspondent pas à la loi de ce pays. D'ailleurs, j'ai voulu faire un coup d'état avec la mafia où j'étais membre, mais... c'est très difficile de suivre un plan lorsqu'il y a des débiles qui sont présents lors de la casse. Je ne les blâme pas, mais on ne peut pas être intelligent du jour au lendemain. C'est une époque que je ne regrette pas, je n'avais pas envie de revivre ces moment-là, je veux m'occuper du présent, m'occuper de Dambi. Je n'avais pas le temps de me souvenir de tout ce que j'ai fait dans ma jeunesse ou dans ma vie d'adulte. Je pense que ça s'appelle avoir des remords et je n'en ai aucun. Du moins, je peux avoir des remords par rapport à ma famille, mais rien d'autres. J'ai coupé les ponts avec eux, car j'ai choisi de vivre dans l'illégalité. Ce mode de vie me convient parfaitement, je vais pouvoir me faire tout un tas d'argents afin de pouvoir aider les personnes pauvres. « Oh, tu sais, il y a une longue liste et si je te raconte tout, tu vas t'endormir. » Lançai-je en rigolant. Je ne voulais pas la saouler pour de petites choses dont elle s'en fiche.

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Je connaissais le jeune homme depuis un long moment maintenant, et pourtant, son passé m’était toujours aussi floue qu’à notre rencontre. Autant il pouvait dire que je n’avais aucun secret pour lui, mais lui ? Qu’en était-il vraiment ? Que me cachait-il ? Que voulait-il que je ne sache pas ? Apres tout, le passé faisait ce qu’était chacun dans le présent. Sans lui, on n’aurait pas pu apprendre de nos erreurs, ou de nos capacités. Et même si des regrets persistaient, il n’était jamais trop tard de les corriger. J’émis un rire cristallin qui se répercuta dans tout l’appartement. « je te promet de ne pas dormir. » lâchais-je avec ce ton innocent dont j’étais doté. Et telle une enfant faisant son caprice, j’insistais, attrapant son bras pour le tirer vers moi. « Allez oppa ! Tu sais tout de moi, mais je ne sais rien de toi. Ca m’intéresse, vraiment. » Et comme ca n’avait pas l’air de le décider, je passais au chantage affective, un peu hésitant, ne sachant comment faire. Passer de l’ange au diable, ca ne se faisait pas en un claquement de doigts comme les films avaient tendance à le laisser croire. « Je te rappelle que tu m’as volé un baiser. Tu me dois bien cela. » Rajoutais-je boudeuse, gonflant les joues pour montrer mon mécontentement. « Et puis, il serait bien possible que je revienne sur ma parole d’honneur de faire équipe avec toi si tu ne me dis pas tout. » Je le lâchais en lui tirant la langue, croisant les bras sur ma poitrine, ne pouvant aller là où il me chantait à cause de ma cheville blessé.

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Ce n'est pas évident de survivre dans un monde comme le nôtre. Je vais essayer de prendre soin de la demoiselle, mais je ne sais pas si je serai à la hauteur. Maintenant, je suis recherché par mon ancien patron et par ses larbins. Sauf qu'ils vont s'en prendre plein la tronche lorsque j'aurais suffisamment de puissance dans le pays. Je promets de les décimer. Je regarde la jeune femme bizarrement lorsqu'elle me demande de lui raconter ma vie, car elle ne connaît rien de moi. J'aime plutôt rester mystérieux avec mes proches par peur d'être trahis. « C'est ce que j'ai vécu qui t'intéresse ou c'est moi qui t'intéresse ? » Je rigole et je tire légèrement l'une des joues de la blonde. Visiblement, elle savait faire du chantage. Je soupire légèrement avant de sourire à nouveau. « Si tu reviens sur ta parole, je risque de t'assassiner. » J'évite de rire pour faire planer le doute, et je me mets à éclater de rire avant de lâcher. « Je rigole ! Ne fais pas cette tête là. » Comment pourrai-je lui faire du mal ? Pour l'instant, elle est la seule personne à qui je fais confiance. « Tu sais, j'ai fait des choses horribles, il ne vaut mieux pas en parler. » Je ne voulais pas la terrifier. J'avais fait des choses qui ne sont pas très bien pour la société, alors je vais éviter de faire d'en parler. J'espère qu'elle pourra comprendre. « La seule chose que tu dois savoir, c'est qu'on va démarrer une nouvelle vie. Dès que tu iras mieux. »

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Le monde dans lequel nous vivions n’avait rien de rassurant. Il était loin des bisounours et des licornes roses. Et bien qu’on ait tendance à me confondre avec une jeune femme fragile et innocente, j’étais loin d’être une victime. Je pouvais me montrer telle une tigresse avec ma batte de baseball quand la situation se présentait. Enfin pas cette fois ci. L’erreur était humaine non ? Jaxson avait promis de veiller sur moi, mais si nous devions nous faire confiance l’un à l’autre, nous devions pouvoir nous parler ouvertement. Et surtout, en savoir plus sur le passé de chacun. J’émis un léger rire en l’entendant essayer de détourner la conversation avec humour. « Peut-être un peu des deux, mais tu peux toujours commencer parce que tu as vécu. » je fis ma bouille d’ange à laquelle on ne pouvait résister pour essayer de le convaincre. Je frottais, faussement boudeuse, la joue qu’il venait de me tirer. « Ca fait mal. » bougonnais-je en détournant les yeux, gonflant les joues de contrariété. « Si tu m’assassines, je m’arrangerais pour venir te hanter et te foutre la frousse tous les soirs. A tes risques et périls. » Répliquais-je du tacotac à sa menace de pacotille. « Si tu essayes de me préserver de je ne sais quelles horreurs tu aurais fait, je te rappelle que des horreurs, j’en ai vu toute ma vie. On vit dans un monde où il y a plus que cela. Alors cesse de me prendre pour une enfant apeuré et constitué de sucre. » Répliquais-je réellement vexé qu’il puisse se borner dans cette direction. « Sérieusement. Tu me parles d’une nouvelle vie, mais comment veux-tu qu’on entame quoi que ce soit alors que tu essayes de me protéger d’un passé alors que le présent est tout aussi dangereux ? »

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« Sérieusement. Tu me parles d'une nouvelle vie, mais comment veux-tu qu'on entame quoi que ce soit alors que tu essayes de me protéger d'un passé alors que le présent est tout aussi dangereux ? » Elle avait raison, mais j'avais besoin de la protéger car il n'y a qu'avec elle que je peux réussir. Il est vrai que la vie ne nous a pas fait de cadeaux et qu'il fallait qu'on avance un minimum, mais à mes yeux, elle restait quelqu'un de faible. J'avais un doute. J'avais l'impression qu'elle pouvait me trahir si ça devenait trop dangereux. Peut-être en a-t-elle marre de cette vie de gangster. Personnellement, j'en ai besoin pour vivre. Si je ne peux pas faire ce qui me plaît, je ne pourrais jamais m'épanouir. Je serai toujours coincé avec ses super-héros à la con. J'ai besoin de piller, de voler, de tuer pour me sentir vivant. « Je suis désolé. Essaye de créer ta petite bande, vous travaillerez pour moi. Ça marche ? Mais si tu as besoin d'aide ou si jamais tu es en danger, tu me fais signe. Je viendrai aussitôt. » lançai-je en souriant sadiquement. J'étais prêt à n'importe quoi pour préserver mon futur business. Personne n'a le droit de se mettre en travers de mon chemin au risque de périr par mes armes ou mes lames.

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Je le fixais, bouche bée qu’il ne daigne pas me raconter son passé malgré mon assistance. Au-delà, il m’a même ignoré royalement. Vexée face à son cruellement manque de confiance en moi, je croisais les bras sur ma poitrine à défaut de pouvoir m’échapper du divan où j’étais cloitrée par ma cheville foulée. Je gonflais les joues, réellement contrariée. Ma moue boudeuse était loin d’être fausse, même si on pouvait la qualifier de mignonne. « Tu ne me fais pas confiance. » lâchais-je de but en blanc sur un ton de reproche. « Tu me demande de tout quitter pour toi, de recommencer une nouvelle vie, de te suivre aveuglement dans l’obscurité. Ce ne marche pas comme ca. Je le ferais sans aucune hésitation si tu me donnais un minimum d’explication. Mais non, rien. Je ne n’ai même pas droit à un indice. A croire que tu ne me fais pas confiance. Tu sais, Jaxson, pour être leader, il y a deux façons. La première est d’instaurer une dictature par la peur. La deuxième, de faire confiance au minimum à ses plus proches collaborateurs. Je commence à douter de la catégorie dans laquelle tu te trouves. Je suis quoi pour toi au juste ? Juste une personne utile à cause de mes talents de hackeuse ? » Continuais-je rapidement avant de prendre une pause pour reprendre mon souffle. « Tu me vois que comme une personne faible…. Il faut se méfier des apparences… » murmurais-je.

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