Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Oh Mee Na
Invité
Invité
Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:13 Citer EditerSupprimer Oh Mee Na
Me'ow
“Folks are usually about as happy as they make their minds up to be.”
#OPTIMISTE | #NAÏVE | #SPONTANÉE | #DÉSORGANISÉE | #SINCÈRE |
#EXTRAVERTIE | #OUVERTE | #BAVARDE | #DISSIPÉE | #CURIEUSE |
NOM : oh. PRÉNOM : mee na ÂGE : 23 ans ORIGINES : sud-coréenneNATIONALITÉ : sud-coréenne CLASSE SOCIALE : assez basse ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle CURSUS UNIVERSITAIRE : sociologie MÉTIER : mascotte chez KFC? #no shame Code du règlement : Code ok TU VEUX T'INVESTIR? : allez, oui, ça va être la grosse rigolade.
“ Rumour has it :
Il paraît qu’elle fait un régime à la gélatine pour ne pas grossir + on raconte qu’elle est allergique au latex + sa famille serait pauvre parce que son père boirait son salaire + elle croirait encore au père Noël + elle cuisinerait très mal, c’est pour ça qu’elle travaille dans un fast-food + d’ailleurs il paraît que ce n’est pas son seul travail, mais qu’il vaut mieux ne pas parler de l’autre + elle aurait peur des mouches + elle passerait sa vie devant les dessin animés pour être aussi souriante, il y a pas moyen.
“ Rumour has it :
Il paraît qu’elle fait un régime à la gélatine pour ne pas grossir + on raconte qu’elle est allergique au latex + sa famille serait pauvre parce que son père boirait son salaire + elle croirait encore au père Noël + elle cuisinerait très mal, c’est pour ça qu’elle travaille dans un fast-food + d’ailleurs il paraît que ce n’est pas son seul travail, mais qu’il vaut mieux ne pas parler de l’autre + elle aurait peur des mouches + elle passerait sa vie devant les dessin animés pour être aussi souriante, il y a pas moyen.
“ Caractère :
On pourrait résumer le caractère de Mee Na en disant qu’elle a tout simplement décidé d’être heureuse. Éduquée dans l’amour et la tendresse, elle s’est chargée d’une joie de vivre qu’elle tente de répandre partout autour d’elle. Peu lui importe qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, cela ne change pas grand-chose. « La vie continue ! » répondra-t-elle souvent lorsque les choses iront mal. Pourquoi s’attarder sur des détails, de toute façon ? Relativement distraite, il lui arrive de perdre le fil des conversations, ou en tout cas des cours.
Ce n’est pas pour autant qu’elle est mauvaise élève : elle a du mal, comme tout le monde, mais travaille dur pour réussir ses études et exercer un métier qui lui plaît. Elle s’intéresse à énormément de choses, au monde qui l’entoure, et elle essaie toujours de s’intéresser aux choses qu’on lui présente, même si elle n’y connaît rien, car « on ne sait jamais, ça peut toujours être cool. ». Comment pourrait-elle dire qu’elle n’aime pas si elle n’a pas essayé ? Par contre, si vous vous apprêtez à l’approcher, préparez une bonne dose de patience, car elle file au gré du vent. Si elle a envie d’une glace, elle l’achètera, vous emmenant avec elle, quitte à attendre des heures derrière une vingtaine de personne. Pourquoi ? Eh bien, si vous voulez cette glace, il faut tout faire pour l’obtenir, ne pas attendre vainement qu’elle vienne à vous car, figurez-vous, les glaces n’ont pas de pieds et tout le monde n’a pas mille domestiques aux siens.
Et pendant cette attente de cent ans, il vous faudra supporter le bavardage incessant de cette jeune femme pétillante qui, soyez-en sûr, vous racontera mille-et-une anecdotes, comme la fois où elle a vu un enfant se curer le nez avec un os de poulet au KFC. Ah, et elle ne supporte pas le défaitisme constant des personnes incapables de se réjouir des petites choses de la vie. Une interrogation ratée ? Pas grave, tu recommenceras. Une déception amoureuse ? Et alors, tu es trop bien pour ça ! Et viens donc que je t’emmène en soirée parce que tu as l’air prêt à te noyer dans un pot de glace. Si la patience est une vertu, vous avez intérêt à devenir très, très, voire infiniment vertueux.
On pourrait résumer le caractère de Mee Na en disant qu’elle a tout simplement décidé d’être heureuse. Éduquée dans l’amour et la tendresse, elle s’est chargée d’une joie de vivre qu’elle tente de répandre partout autour d’elle. Peu lui importe qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, cela ne change pas grand-chose. « La vie continue ! » répondra-t-elle souvent lorsque les choses iront mal. Pourquoi s’attarder sur des détails, de toute façon ? Relativement distraite, il lui arrive de perdre le fil des conversations, ou en tout cas des cours.
Ce n’est pas pour autant qu’elle est mauvaise élève : elle a du mal, comme tout le monde, mais travaille dur pour réussir ses études et exercer un métier qui lui plaît. Elle s’intéresse à énormément de choses, au monde qui l’entoure, et elle essaie toujours de s’intéresser aux choses qu’on lui présente, même si elle n’y connaît rien, car « on ne sait jamais, ça peut toujours être cool. ». Comment pourrait-elle dire qu’elle n’aime pas si elle n’a pas essayé ? Par contre, si vous vous apprêtez à l’approcher, préparez une bonne dose de patience, car elle file au gré du vent. Si elle a envie d’une glace, elle l’achètera, vous emmenant avec elle, quitte à attendre des heures derrière une vingtaine de personne. Pourquoi ? Eh bien, si vous voulez cette glace, il faut tout faire pour l’obtenir, ne pas attendre vainement qu’elle vienne à vous car, figurez-vous, les glaces n’ont pas de pieds et tout le monde n’a pas mille domestiques aux siens.
Et pendant cette attente de cent ans, il vous faudra supporter le bavardage incessant de cette jeune femme pétillante qui, soyez-en sûr, vous racontera mille-et-une anecdotes, comme la fois où elle a vu un enfant se curer le nez avec un os de poulet au KFC. Ah, et elle ne supporte pas le défaitisme constant des personnes incapables de se réjouir des petites choses de la vie. Une interrogation ratée ? Pas grave, tu recommenceras. Une déception amoureuse ? Et alors, tu es trop bien pour ça ! Et viens donc que je t’emmène en soirée parce que tu as l’air prêt à te noyer dans un pot de glace. Si la patience est une vertu, vous avez intérêt à devenir très, très, voire infiniment vertueux.
“ Once upon a time :
On pourrait commencer cette histoire à la manière d’un film, en décrivant une pluie diluvienne qui s’abat sur la ville, en annonçant d’emblée que quelque part en Corée, une petite fille venait de voir le jour, avait poussé son premier cri sous le regard attendri de son père comblé et de sa mère épuisée. Mais si l’on commençait de cette façon, la suite semblerait bien décevante pour le lecteur avide d’action et de drame ; alors, nous commencerons à la conter autrement.
De la fenêtre du petit appartement des Oh, on pouvait apercevoir les branches nues d’un arbre que le froid de l’hiver avait dépouillé de son feuillage. Les mains posées sur son ventre rond, Soo Mee observait les passants qui déambulaient quelques mètres plus bas. La valise était prête depuis longtemps, afin de ne pas devoir se précipiter si l’enfant arrivait avant la date estimée, mais ils ne durent pas l’ouvrir avant le jour où, comme l’enfant souhaitait rester plus longtemps dans le ventre de sa mère, il fallut se résoudre à provoquer l’accouchement.
C’est ainsi que naquit Mee Na, la fille qu’ils avaient attendue, qu’ils avaient espérée, après plusieurs vaines tentatives pour avoir un enfant. Ils savaient d’emblée que l’éducation d’un enfant serait une entreprise difficile pour eux, mais ils avaient quand voulu essayer. Pour subvenir aux besoins de cette famille naissance, Ji Hyung travaillait beaucoup plus, mais n’avait de regret que son absence auprès de sa femme et de leur fille. Soo Mee, de son côté, avait dû abandonner son poste en apprenant sa grossesse. « Il faut savoir ce que l’on veut » avait-elle répondu à la surprise générale, lorsqu’on lui avait annoncé qu’elle n’aurait pas de réelle chance de le récupérer par la suite. Elle voulait cet enfant, le reste importait bien peu. Et désormais, elle était là.
Il n’en fallait pas plus à Ji Hyung et Soo Mee pour élever leur fille. Ils savaient qu’ils n’avaient pas grand-chose à lui offrir, qu’elle n’aurait jamais les plus beaux vêtements, qu’ils ne pourraient lui donner tout ce qu’elle pourrait désirer, lorsqu’elle aurait grandi, mais ils espéraient être à la hauteur et devenir de bons parents. Alors ils avaient fait de leur mieux, lui avaient donné une éducation correcte, lui avaient inculqué la politesse et l’amour des autres.
Puis Mee Na entra à l’école, rencontra d’autres enfants qui, au contraire d’elle, arrivaient avec leurs jouets et leurs peluches. Elle n’avait pas tout cela, elle n’avait rien à partager, rien de matériel, si ce n’était un vieil ours en peluche à la toile usée qui avait appartenu à tant d’autres enfants auparavant. Elle avait du affronter le regard des autres, subir leurs moqueries, leurs commentaires désobligeants. Mais était-ce vraiment important ? Elle ne s’énervait pas lorsqu’un professeur refusait de lui donner une part de plus au goûter, elle exultait lorsqu’elle recevait un bonbon qu’elle n’avait jamais goûté de la part d’un camarade. Un rien la rendait heureuse et, lorsqu’elle rentrait chez elle, elle s’empressait de conter à sa mère le déroulement de sa journée.
À douze ans, lorsqu’elle rentrait à la maison, Mee Na faisait ses devoirs et aidait sa mère à faire la lessive, le ménage. Elle pouvait compter, écrire, mais rien n’était plus agréable que voir le visage de Soo Mee éclairé d’un sourire lorsqu’elle avait terminé quelque chose.
Ensuite arriva le moment fatidique de la crise d’adolescence, avec ses changements radicaux et sa rébellion. Elle avait envie de sortir, mais il fallait faire attention aux dépenses, alors elle protestait. Elle avait envie de manger, mais il n’y avait plus rien dans le frigo et Maman refusait d’aller à la supérette. C’était intolérable. Le ton montait souvent dans le petit appartement lorsqu’elle osait remettre en question l’autorité parentale, et ne parlons même pas du jour où elle avait emprunté le maquillage d’une amie, un jour d’école, pour se mettre un peu plus en valeur aux yeux des garçons. Elle fut quelque fois privée de sortie, de téléphone – mais de toute façon, elle ne s’en servait pas souvent, qu’est-ce que cela pouvait changer ? – et elle finit par se calmer.
Le déclic, ce fut ce garçon qui s’intéressait à elle, qu’elle aimait tendrement, sincèrement, de tout son cœur. Elle pensait qu’il l’aimait aussi. Ou plutôt, qu’il l’aimait pour elle. Malheureusement, lorsqu’il comprit que la famille de cette fille sophistiquée ne roulait pas sur l’or, il s’en désintéressa rapidement. Pourquoi ? Elle ne le comprit jamais. En vérité, elle arrêta de chercher cette réponse en même temps qu’elle arrêta de faire tous ces efforts inutiles. Elle n’avait pas besoin d’être la plus belle des étudiantes de son lycée. Elle ne se reconnaissait plus sous ce maquillage et ces coiffures compliquées. Qu’était-elle devenue durant ces quelques années, si ce n’était une princesse ridiculement apprêtée ? Elle allait juste être Mee Na, à l’avenir. C’était amplement suffisant pour elle. Cela le serait également pour ceux qui l’aimaient vraiment.
Quand arriva le moment de choisir une orientation scolaire, le dilemme fut des plus difficiles. Choisir une matière, abandonner le reste. Était-elle prête à faire ce genre de choix ? Elle aurait pu décider de ne rien faire, mais c’était également une prise de position. Les choses étaient tellement compliquées à ses yeux. Pourquoi fallait-il toujours prendre une décision, éliminer des possibilités ? Qu’auraient fait les autres ? Pourtant, elle finit par trouver, au terme d’une longue réflexion. La sociologie. Étudier le comportement de la société, la façon dont les hommes évoluent entre eux. Elle aimait observer les autres, et elle s’était si souvent étonnée de la réaction des autres. Après tout, ce qui faisait les personnes n’était pas leur richesse ou leur réputation, mais bien ce qu’ils étaient et faisaient, non ? Elle allait devenir sociologue.
Après une longue discussion avec ses parents, elle opta pour l’université Yonsei. Elle se débrouilla pour décrocher un petit travail qui l’aiderait à payer une partie des frais universitaire. Quelque chose qui ne prendrait pas tout son temps, qui lui permettrait d’être encore disponible pour ses cours, pour étudier à l’arrivée des examens. C’était beaucoup de stress, certes, mais n’était-ce pas ainsi pour tout le monde ? Il ne servait à rien de se plaindre à partir du moment où tous portaient le même fardeau. De plus, ses parents avaient fait tant et tant de sacrifices pour elle qu’il aurait été égoïste et stupide de ne pas y mettre un peu du sien. Elle ferait de son mieux pour cumuler les deux.
Et c’est ainsi que commença sa vie d’étudiante, une vie qui la passionna directement. Elle avait tout ce dont elle pouvait rêver : des études qui lui plaisaient, un travail qui lui permettait de voir beaucoup de monde et de partager avec eux la bonne humeur qu’elle entretenait autant que possible. Des études avaient révélé qu’avoir des amis souriants était une bonne façon de rester heureux soi-même, alors pourquoi, sans avoir de raison, aurait-elle du se renfermer ? Tout n’était pas facile tous les jours, certes, et elle était parfois fatiguée, mais était-ce vraiment grave ? Elle n’avait pas envie de pleurer pour un jour triste. Après tout, qui lui disait qu’elle n’allait pas rire le lendemain ?
On pourrait commencer cette histoire à la manière d’un film, en décrivant une pluie diluvienne qui s’abat sur la ville, en annonçant d’emblée que quelque part en Corée, une petite fille venait de voir le jour, avait poussé son premier cri sous le regard attendri de son père comblé et de sa mère épuisée. Mais si l’on commençait de cette façon, la suite semblerait bien décevante pour le lecteur avide d’action et de drame ; alors, nous commencerons à la conter autrement.
De la fenêtre du petit appartement des Oh, on pouvait apercevoir les branches nues d’un arbre que le froid de l’hiver avait dépouillé de son feuillage. Les mains posées sur son ventre rond, Soo Mee observait les passants qui déambulaient quelques mètres plus bas. La valise était prête depuis longtemps, afin de ne pas devoir se précipiter si l’enfant arrivait avant la date estimée, mais ils ne durent pas l’ouvrir avant le jour où, comme l’enfant souhaitait rester plus longtemps dans le ventre de sa mère, il fallut se résoudre à provoquer l’accouchement.
C’est ainsi que naquit Mee Na, la fille qu’ils avaient attendue, qu’ils avaient espérée, après plusieurs vaines tentatives pour avoir un enfant. Ils savaient d’emblée que l’éducation d’un enfant serait une entreprise difficile pour eux, mais ils avaient quand voulu essayer. Pour subvenir aux besoins de cette famille naissance, Ji Hyung travaillait beaucoup plus, mais n’avait de regret que son absence auprès de sa femme et de leur fille. Soo Mee, de son côté, avait dû abandonner son poste en apprenant sa grossesse. « Il faut savoir ce que l’on veut » avait-elle répondu à la surprise générale, lorsqu’on lui avait annoncé qu’elle n’aurait pas de réelle chance de le récupérer par la suite. Elle voulait cet enfant, le reste importait bien peu. Et désormais, elle était là.
Il n’en fallait pas plus à Ji Hyung et Soo Mee pour élever leur fille. Ils savaient qu’ils n’avaient pas grand-chose à lui offrir, qu’elle n’aurait jamais les plus beaux vêtements, qu’ils ne pourraient lui donner tout ce qu’elle pourrait désirer, lorsqu’elle aurait grandi, mais ils espéraient être à la hauteur et devenir de bons parents. Alors ils avaient fait de leur mieux, lui avaient donné une éducation correcte, lui avaient inculqué la politesse et l’amour des autres.
Puis Mee Na entra à l’école, rencontra d’autres enfants qui, au contraire d’elle, arrivaient avec leurs jouets et leurs peluches. Elle n’avait pas tout cela, elle n’avait rien à partager, rien de matériel, si ce n’était un vieil ours en peluche à la toile usée qui avait appartenu à tant d’autres enfants auparavant. Elle avait du affronter le regard des autres, subir leurs moqueries, leurs commentaires désobligeants. Mais était-ce vraiment important ? Elle ne s’énervait pas lorsqu’un professeur refusait de lui donner une part de plus au goûter, elle exultait lorsqu’elle recevait un bonbon qu’elle n’avait jamais goûté de la part d’un camarade. Un rien la rendait heureuse et, lorsqu’elle rentrait chez elle, elle s’empressait de conter à sa mère le déroulement de sa journée.
À douze ans, lorsqu’elle rentrait à la maison, Mee Na faisait ses devoirs et aidait sa mère à faire la lessive, le ménage. Elle pouvait compter, écrire, mais rien n’était plus agréable que voir le visage de Soo Mee éclairé d’un sourire lorsqu’elle avait terminé quelque chose.
Ensuite arriva le moment fatidique de la crise d’adolescence, avec ses changements radicaux et sa rébellion. Elle avait envie de sortir, mais il fallait faire attention aux dépenses, alors elle protestait. Elle avait envie de manger, mais il n’y avait plus rien dans le frigo et Maman refusait d’aller à la supérette. C’était intolérable. Le ton montait souvent dans le petit appartement lorsqu’elle osait remettre en question l’autorité parentale, et ne parlons même pas du jour où elle avait emprunté le maquillage d’une amie, un jour d’école, pour se mettre un peu plus en valeur aux yeux des garçons. Elle fut quelque fois privée de sortie, de téléphone – mais de toute façon, elle ne s’en servait pas souvent, qu’est-ce que cela pouvait changer ? – et elle finit par se calmer.
Le déclic, ce fut ce garçon qui s’intéressait à elle, qu’elle aimait tendrement, sincèrement, de tout son cœur. Elle pensait qu’il l’aimait aussi. Ou plutôt, qu’il l’aimait pour elle. Malheureusement, lorsqu’il comprit que la famille de cette fille sophistiquée ne roulait pas sur l’or, il s’en désintéressa rapidement. Pourquoi ? Elle ne le comprit jamais. En vérité, elle arrêta de chercher cette réponse en même temps qu’elle arrêta de faire tous ces efforts inutiles. Elle n’avait pas besoin d’être la plus belle des étudiantes de son lycée. Elle ne se reconnaissait plus sous ce maquillage et ces coiffures compliquées. Qu’était-elle devenue durant ces quelques années, si ce n’était une princesse ridiculement apprêtée ? Elle allait juste être Mee Na, à l’avenir. C’était amplement suffisant pour elle. Cela le serait également pour ceux qui l’aimaient vraiment.
Quand arriva le moment de choisir une orientation scolaire, le dilemme fut des plus difficiles. Choisir une matière, abandonner le reste. Était-elle prête à faire ce genre de choix ? Elle aurait pu décider de ne rien faire, mais c’était également une prise de position. Les choses étaient tellement compliquées à ses yeux. Pourquoi fallait-il toujours prendre une décision, éliminer des possibilités ? Qu’auraient fait les autres ? Pourtant, elle finit par trouver, au terme d’une longue réflexion. La sociologie. Étudier le comportement de la société, la façon dont les hommes évoluent entre eux. Elle aimait observer les autres, et elle s’était si souvent étonnée de la réaction des autres. Après tout, ce qui faisait les personnes n’était pas leur richesse ou leur réputation, mais bien ce qu’ils étaient et faisaient, non ? Elle allait devenir sociologue.
Après une longue discussion avec ses parents, elle opta pour l’université Yonsei. Elle se débrouilla pour décrocher un petit travail qui l’aiderait à payer une partie des frais universitaire. Quelque chose qui ne prendrait pas tout son temps, qui lui permettrait d’être encore disponible pour ses cours, pour étudier à l’arrivée des examens. C’était beaucoup de stress, certes, mais n’était-ce pas ainsi pour tout le monde ? Il ne servait à rien de se plaindre à partir du moment où tous portaient le même fardeau. De plus, ses parents avaient fait tant et tant de sacrifices pour elle qu’il aurait été égoïste et stupide de ne pas y mettre un peu du sien. Elle ferait de son mieux pour cumuler les deux.
Et c’est ainsi que commença sa vie d’étudiante, une vie qui la passionna directement. Elle avait tout ce dont elle pouvait rêver : des études qui lui plaisaient, un travail qui lui permettait de voir beaucoup de monde et de partager avec eux la bonne humeur qu’elle entretenait autant que possible. Des études avaient révélé qu’avoir des amis souriants était une bonne façon de rester heureux soi-même, alors pourquoi, sans avoir de raison, aurait-elle du se renfermer ? Tout n’était pas facile tous les jours, certes, et elle était parfois fatiguée, mais était-ce vraiment grave ? Elle n’avait pas envie de pleurer pour un jour triste. Après tout, qui lui disait qu’elle n’allait pas rire le lendemain ?
The only way to get rid of temptation is to yield to it. — Oscar Wilde
Hello hello, moi c’est me’ow (déconne, c’est écrit au-dessus, je radote déjà j'viens à peine d'arriver), j’ai 3 21 ans [j’allais mettre 20, je m’assume pas], je fais du rp depuis des années déjà et je suis un gros chat belge. Je connais STW depuis longtemps, mais j’ai été attirée ici à coup de sucette et de sucreries (j’vous jure thanks satan kwa. Sinon j’me suis lavée sous les bras oui et c’est illégal de mettre une beauté comme Nana en bannière. J’dois m’excuser d’avance pour les blagues nulles que je peux faire ? Si oui, j’le fais déjà. Oui oui. I swear je serai sage, je suis propre, je mange pas beaucoup de croquettes et je sais ronronner mes gammes et mes arpèges à l’endroit et à l’envers. Voilà voilà, j’espère qu’on s’aimera, parce que j’suis comme Lorie un peu.
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin. SVP REMPLISSEZ AVEC LES MAJUSCULES ET MINUSCULES COMME CI-DESSOUS
code pour célébrité prise :
▲▼KIM AH-YOUNG (YURA, GIRL'S DAY) ✎ me'ow
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin. SVP REMPLISSEZ AVEC LES MAJUSCULES ET MINUSCULES COMME CI-DESSOUS
code pour célébrité prise :
▲▼
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u680][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>KIM AH-YOUNG (YURA, GIRL'S DAY)</taken> ✎ Oh Mee Na
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:14 Citer EditerSupprimer Mine
Je reviens viite j'édite
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE AMOREEEEEE
Tu sais que j'peux pas vivre quelque part où tu n'es pas
Mais t'es faible quand même, j'sais pas si tu réalises combien tu l'es :/
Yura, trop de beauté, j'die un peu, même beaucoup.
Allez, courage pour ta fiche :jihoon:
Je reviens viite j'édite
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE AMOREEEEEE
Tu sais que j'peux pas vivre quelque part où tu n'es pas
Mais t'es faible quand même, j'sais pas si tu réalises combien tu l'es :/
Yura, trop de beauté, j'die un peu, même beaucoup.
Allez, courage pour ta fiche :jihoon:
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:21 Citer EditerSupprimer
Ouh ça sent la complication avec jinki et tout et tout (a)
BIENVENUE bon courage pour ta fiche petit chat
BIENVENUE bon courage pour ta fiche petit chat
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:24 Citer EditerSupprimer
Bienvenue sur STW
Bon courage pour ta fiche
Bon courage pour ta fiche
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:30 Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous beauté
une autre belge rien que pour ca, je t'aime deja
une autre belge rien que pour ca, je t'aime deja
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:50 Citer EditerSupprimer
Looooooooooooooooove , on est trop le contraire de la prophétie d'Harry Potter please, c'est impossible, j'en peux plus de nous. Puis t'es tellement obscène quoi.
Ni vu ni connu quoi?
Tu sais que j'suis faible, trop faible pour mon bien, mais la faiblesse est une force. J'crois en Wildou, allez.C'est vraiment devenu ma devise, j'en peux plus.
In Su Merciiiiiii ! J'espère que tu me gratteras entre les deux oreilles.Fais gaffe je prends que des croquettes allégées.
Ji Hoon Merciiiiiiiii ! Je voue un culte à ton prénom. Oui oui.
Hyo Jin Merci, merci Fallait que je ramène mon grain de sel dans toutes ces frites. #LaBelgeCliché
Amour sur vous, j'essaie de faire vite!
- tu pourrais au moins faire comme ça:
Ni vu ni connu quoi?
Tu sais que j'suis faible, trop faible pour mon bien, mais la faiblesse est une force. J'crois en Wildou, allez.
In Su Merciiiiiii ! J'espère que tu me gratteras entre les deux oreilles.
Ji Hoon Merciiiiiiiii ! Je voue un culte à ton prénom. Oui oui.
Et ça m'a fait rire aussi, ça m'a rappelé un temps bien lointain› vie de moi, j'suis schizo : wsh je suis un des derniers représentants des comptes uniques maggle, vous ne m'aurez jamais, clan des multicomptes D:
Hyo Jin Merci, merci Fallait que je ramène mon grain de sel dans toutes ces frites. #LaBelgeCliché
Amour sur vous, j'essaie de faire vite!
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:55 Citer EditerSupprimer
Bienvenue !
Je sens que ça va se friter (sans mauvais jeu de mot) entre jinki et keeyoung, ça risque d'être intéressant
Je sens que ça va se friter (sans mauvais jeu de mot) entre jinki et keeyoung, ça risque d'être intéressant
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:58 Citer EditerSupprimer
*lance des croquettes sur tragie pour la tenter *viens ici mon gros chat*
Invité
Invité
Re: Oh Mee Na | Jeu 21 Jan 2016 - 12:59 Citer EditerSupprimer
J'en peux plus juste de toi stp, t'es plus belle à chaque fois, t'as pensé à moi ? A mon coeur ? A ma vie ? J'vais te punir pour trop de beauté :tentate:
Oui pardon :c j'voulais pas
J'tiens avec toi Jihoonie :bago:
Oui pardon :c j'voulais pas
- Spoiler:
J'tiens avec toi Jihoonie :bago:
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3