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[+18] She wants to move... (ft. Eunbi ♥)

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Re: [+18] She wants to move... (ft. Eunbi ♥) | Mar 13 Déc - 22:44
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She wants to move...
Eunbi & In Ha




Ma main entre ses cuisses, l'autre épousant la courbe de ses reins, la tenant fermement contre moi, comme si je voulais qu'elle m'appartienne à cet instant précis. Qu'elle soit à moi et qu'elle ne puisse m'échapper. Qu'elle me laisse la toucher comme bon me semblait, tant qu'elle ne me clamait que des oui, pourquoi m'arrêter ? Les pupilles dilatées, je longeais son cou du bout de la langue, je pouvais sentir son pouls bondir sous mon passage, plantant mes crocs de loup dans la pâleur de sa peau, douce douleur, baisant de ma bouche la peinture laiteuse qu'elle était, aspirant jusqu'à ce qu'elle rosisse, jusqu'au ce qu'elle rougisse, jusqu'à ce que la marque demeure. Jusqu'à ce qu'elle reste. Possessivement désirée. Tu as été possessivement désirée ce soir. L'ivresse de la scène rendait mon humeur sauvage, endiablée. Je lui soufflais contre les lèvres qu'elle ne pourrait pas attendre la fin de la soirée après ça. Mais à vrai dire, et j'en étais certain, moi non plus. J'avais envie d'elle, et mes doigts qui s'activaient plus intensément dans son intimité, ne faisaient que m'exciter davantage. Rien que son petit gémissement de surprise avait suffi à me faire oublier ma conscience qui me suggérait d'attendre l'appartement. Son gémissement... Son gémissement était tellement sexy. « Refais-le. » lui ordonnais-je, mon regard plus dominant que d'habitude, alors que je m'aventurais vers une zone plus sensible. « Ferme-la. » lâcha t-elle brutalement, avant d’émettre un petit cri aigu quand mon doigt venait d'atteindre un point exquis, qui me fît davantage sourire avec arrogance, m'empressant de le caresser plus lascivement pour la faire encore plus enrager de plaisir. « Là.. C'est là que tu veux que j'aille... ? » lui sussurais-je, sentant son bassin m'accompagner dans mon mouvement de vas et vient, avant qu'elle ne me fasse taire d'un baiser plus violent, m'imposant le silence à sa façon. Les langues s'entremêlaient, l'air semblait subjectif, le besoin de ne pas perdre le contact une seule seconde avec l'autre, là était notre besoin premier. Sa bouche pulpeuse, un cocktail fruité humant encore le coin de ses lèvres, m’enivrant à chacun de ses touchers. Mais je m'amusais à la forcer à respirer, à reprendre son souffle, ou plutôt à le perdre, titillant plus brusquement par surprise sa féminité, qui la fit soupirer encore et toujours si sensuellement, que j'en étais captivé. Je pourrais l'embrasser, la toucher, l'explorer toute la journée si je le pouvais. Ses réactions, son corps, tout me poussait à en vouloir plus. J'étais toujours curieux de savoir si j'avais entendu toutes les gammes de ses souffles... de ses soupirs, de ses gémissements, de ses cris.. Je partais du principe que je n'avais pas encore tout entendu, alors je m'affairais à tendre son corps à l'extrême, jusqu'à ce qu'elle et moi soyons pleinement satisfaits.

Je sentais son agacement, et cela ne faisait que m'amuser davantage alors que je la laissais se dégager de moi, même si j'adorais l'avoir entre mes bras. Mes lèvres s'étirèrent alors que j'obéissais sagement, m'allongeant sur le canapé, soupirant de me voir retirer les rênes. Mais c'était bel et bien parce que je le voulais bien, sache-le. Ma main se perdait toujours dans ses reins si parfaitement courbés, alors qu'elle était penchée au-dessus de moi, sa chevelure sombre retombant autour de son visage. Mon regard affamé descendit sans gêne le long de sa silhouette à moitié dénudée, s'arrêtant quelques secondes sur sa poitrine, avant qu'elle ne se penche à mon oreille. « .. Peu de gens le savent. » Je pouvais apercevoir la marque que je lui avais laissé au creux de son cou, alors qu'elle descendait en une série de baisers sur mon torse. Je lâchais un léger grognement d'avertissement, alors que l'une de ses mains s'occupait de ma braguette. Ma peau était tantôt maltraitée, tantôt affectionnée, et cela ne fît que me crisper davantage d'impatience, alors que je suivais son ascension le long de mon ventre, frissonnant à chacune de ses caresses. Quand tout d'un coup, sans prévenir, elle tira d'un coup sec sur mon jean entrouvert, mon boxer glissant à son tour, alors que je me redressais sur mes coudes, surpris. J'entrouvris la bouche m'apprêtant à dire quelque chose. Elle en fît de même, alors que je refermais la mienne, transpercé par son regard félin, m'incitant silencieusement à ne pas intervenir. Je me crispais davantage en sentant sa bouche se refermer sur ma virilité, me poussant à inspirer plus fortement, tant la sensation me fit comme une pique intense au creux de mon ventre. Je l'avais bien cherché, je devais le reconnaître.. J'observais ses lèvres pulpeuses faire ce lent vas et vient, mouvement qu'elle semblait maîtriser à la perfection, pauvre de moi... Alors que je sentais monsieur encore plus au garde à vous, comme si il ne l'était pas assez ! Chacun de mes muscles semblaient se tendre de plus en plus, tentant de ne pas céder pleinement à l'agréable sensation qu'elle me prodiguait. Un léger soupir m'échappa, alors que je guettais la porte, comme si je craignais qu'elle ne s'ouvre sur cette scène, plus que privée. Je reportais mon attention sur Eunbi, penchant ma tête sur le côté pour la fixer, avant d'avancer ma main vers elle, ramenant les quelques mèches brunes rebelles d'un côté, dégageant entièrement l'une de ses épaules. Je ne savais pas ce qui était le plus érotique à cet instant. Voir Eunbi me faire un tel privilège entre mes cuisses, ou la ligne parfaite qui partait de sa nuque jusqu'à son épaule, la cambrure que prenait son dos dans cette position, ses yeux me lançant des regards aguicheurs... « .. Si je suis un démon.. Toi.. Toi t'es le diable en personne. »  Toujours appuyé sur mes avants-bras, je laissais ma tête partir en arrière, fermant les yeux quelques instants, sentant de plus en plus mon souffle s'emballer, avant que la brune ne m'arrache un soupir bien plus rauque en accélérant son rythme. J'entremêlais mes doigts dans sa chevelure d'ébène, suivant ses impulsions entre mes cuisses, sa langue s'attaquant à dessiner les contours de ma virilité pleine d'ardeur, avant de la faire disparaître à nouveau dans sa bouche, m'arrachant une plainte plus intense qui devait lui faire bien plaisir. « ..Pu-.. Putain Eunbi.. ! » lâchais-je brusquement, entrouvrant ma bouche, ma main se crispant dans ses cheveux, m'assurant de ne pas les lui tirer, mais juste lui faire sentir la tension dans laquelle j'étais. J'étais au bord de l'implosion, j'avais l'impression qu'il faisait 40° degrés à cet instant, alors j'ouvris soudainement les yeux en grand, tentant de m'accrocher au peu d'esprit que j'avais encore. « .. Arrête.. Arrête Eunbi, arrête, j'en peux plus ! » m'écriais-je, alors qu'elle relâchait sa prise. J'en profitais pour me pencher pour l'attraper par la nuque, l'embrassant avec empressement et désir entremêlés. « T'as gagné, je refuse d'attendre la fin de la soirée ! » continuais-je, avant de me mettre debout avec la jeune femme. Me collant à elle, j'entrepris de lui ôter rapidement son jean, le faisant glisser jusqu'au sol, bécotant ses jambes élancées au fur et à mesure que je descendais sa fine lingerie en dentelle. J'en fis de même avec mon pantalon, et mon boxer, qui volèrent non loin, avant de glisser fermement mon bras autour des hanches de Eunbi pour la ramener contre moi. « Maintenant, tu ne peux plus t'échapper... » lui sussurais-je, avant de venir capturer à nouveau ses lèvres, mes mains se perdant sur ses fesses, la faisant peu à peu reculer, jusqu'à venir sauvagement la plaquer contre le mur, trahissant notre envie pressante de l'autre, et le temps qui nous manquait cruellement. Ma main droite souleva très vite l'une de ses cuisses, la crochetant contre moi, avant de m'insinuer profondément en Eunbi, sans prévenir, d'un brusque coup de rein, qui nous fit gémir à l'unisson, tant nos deux corps n'en pouvaient plus de nos tortures mutuelles qui nous servaient de préliminaires ! Les vas et vient se firent à nouveau lents, lascifs, ma virilité atteignant le creux sensible de son intimité avec facilité, tant mes caresses l'avaient déjà bien excités. Je ne pouvais pas dire le contraire de ce qu'elle m'avait aussi fait subir ! Mais très vite, le besoin d’assouvir notre désir animal sur un court laps de temps, reprit rapidement le dessus. Nos bouches n'arrivaient plus à se quitter, s'unissant avec fougue, déchaînées, les soupirs s’entrelaçaient, les notes graves et aiguës dans une mélodie sensuelle que nous ne semblions jamais vouloir finir. Les corps fiévreux, tendus à l'extrême aux moindres accoups qui nous envoyaient peu à peu vers l'extase.. Dans le couloir, la musique électro qui se dégageait du club y résonnait, les conversations se poursuivaient, les rires, et les sourires, les verres pleins et vides, provoquant des allers et retours permanents entre les deux lieux. Personne ne savait, personne ne faisait attention à nous. Personne n'entendait ce bruit saccadé, répétitif, tapageur, provoqué par nos deux corps qui ne faisaient enfin plus qu'un contre ce mur... 
 

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

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