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Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae
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Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Ven 5 Fév - 23:03 Citer EditerSupprimer
nom : Ahn prénom : Kwan Hee âge : 19 ans date et lieu de naissance : A Busan le 21 Juin 1996 origines : Sud-Coréenne. nationalité : Sud Coréen. cursus universitaire : Arts de la scène. métier : Vendeur de nuit dans un Konbini & rappeur underground à ses heures perdues. orientation sexuelle : Bisexuel. classe sociale : Modeste. Il gagne sa vie grâce à son emploi nocturne et cumule quelques pourboires ici et là. code du règlement : Ce cher olaf... tu veux t'investir ? Je le suis déjà et je reste avec mes bébés renards roux.
Ahn Kwan Hee
Empty grey streets feel too bare
Créatif (★★★★★) | Bordélique (★★★✰✰) | Généreux (★★★✰✰) | Orgueilleux (★★✰✰✰) | Appliqué (★★★✰✰) |
Nerveux (★★★★✰) | Empathique (★★★★★) | Têtu (★★★✰✰) | Franc (★★★✰✰) | Succeptible (★★★★★) |
Rumour has it... Il a pianote sans cesse sur les surfaces planes, sur sa main, y compris quand il dort. Survole l'avatar, petit coquin. | My character L’unique but de Kwan Hee est de mettre sa vie dans le plus parfait des bordels. La propreté, l’ordre, l’autorité, il ne les supporte plus et il est prêt à tout pour les fuir. Y compris à trainer dans les quartiers les plus glauques et à faire des choses inavouables. Il met un point d’honneur à être le plus imparfait possible, se plaisant à trainer dans les bas-fonds de Séoul pour rapper, sous couvert de sa capuche. Il aime la nuit et les cris, les rires, l’odeur de la bière et le parfum de la cigarette. Il aime la crasse des petites rues et le bruit des voitures, la pollution et les abus. Il ne rechigne devant rien pour s’amuser, même s’il n’a pas l’âge de boire, même s’il n’a pas été élevé comme ça. Lui le petit bonhomme aux mains dorées, qui glissaient autrefois sur les touches impeccable d’un piano lustré, récitant les plus grands chefs d’œuvre classiques. Il a piétiné sur cette image, craché dessus toute sa glaire pour se porter vers la musique électronique, plus moderne. Il déballe ses pensées en les rappant, avec une vulgarité maladroite, comme s’il ne métrisait pas tout à fait ses gros mots, qu’il n’assumait pas totalement d’écrire comme ça. Il aime improviser, ne rien prévoir, voguer au gré de ses envies les plus folles et se perdre, toujours plus loin dans les rues de Séoul. Il prétend ne se préoccuper de rien pour noyer sa frustration, allant jusqu’à se mentir à lui même. Etudiant dans un cursus d’art scénique, il se consacre plus particulièrement à la dance, gardant la musique comme passe temps. Malgré cette enfance solitaire et rude, consacrée à cette discipline, il continue à l’aimer si désespérément. Mélomane, il ne se voit pas passer une journée sans en écouter. Si le piano le révulse encore au point que ses doigts se paralysent parfois lorsqu’il cherche à en jouer, il continue de jouer. Il a apprit la batterie comme un exutoire et se sert de son ordinateur pour composer au hasard. Ses études lui plaisent autour qu’elles ne l’ennuient. Il aurait aimé intégrer un cursus plus intellectuel et passionnant, mais les longues heures passées à pratiquer de son instrument ne lui laissaient guère le loisir d’étudier à l’école, malgré sa bonne volonté. Ses piètres résultats ne lui ont pas permis d’intégrer une faculté selon son envie. Ne sachant que chanter et danser, il s’est par dépit rabattu sur l’art, sans grande motivation. Après avoir entendu toute son enfance qu’il est doué, il a fini par y croire. Il a une confiance en lui démesurée et de l’orgueil à revendre. L’échec et la médiocrité lui sont insupportables, il est incapable de totalement négliger ce qu’il fait, il est bien trop nerveux pour ça. Très intolérant à la critique, il se remet difficilement en question et n’apprécie pas qu’on lui dise ce qu’il a à faire. Pour autant, il est relativement respectueux et poli et garde ses vulgarités pour ses chansons. Charmeur, il aime flirter, et s’il n’a jamais été réellement amoureux, il a enchainé des histoires courtes et charnelles, l’alcool et son emploi aidant. Il aimerait apprendre à se battre, mais il n’en a jamais trouvé le courage. Téméraire et légèrement inconscient, il se met parfois dans des situations délicates mais parvient miraculeusement presque toujours à s’en sortir indemne, ou au pire avec quelques hématomes. Hyperactif bavard, il fuit la solitude aussi inévitable que l’ordre. Il aime être entouré, rire et déconner. Il comble ainsi un autre manque de sa jeunesse. Fidèle et dévoué, c’est un bon copain, quoi qu’un peu envahissant, particulièrement lorsqu’il a envie de s’amuser. Il est très concerné par sa fraternité, trop heureux d’avoir enfin trouvé une appartenance. Avec ses cheveux roses et sa bouille enfantine, on ne le prend pas facilement au sérieux, pourtant, il supporte très mal les moqueries à ce sujet et le fait bruyamment savoir. Kwan Hee aime la couleur et le bariolé, les bruns des chevelures l’ennuie, les murs unis aussi. Il a d’ailleurs écopé d’un casier judiciaire après avoir été découvert ivre en train de taguer au hasard d’une ruelle. De son enfance trop stricte, il garde quelques traumatismes. Les angles droits et les lignes parallèles l’horripilent, autant que la discipline. Il est près à retourner une pièce trop bien rangée, fait exprès d’avoir un quart de temps de retard sur les autres dans les chorégraphies. Il éprouve le besoin compulsif de dessiner sur les surfaces trop lisses et uni, de garder le dernier bouton de son col ouvert et de desserrer sa cravate. Il aime faire des trous dans ses jeans et décoiffer ses cheveux, porter des vêtements colorés et se détacher du lot. Il affectionne les fausses notes et la musique décousue, dévaler les touches d’un piano avec les doigts plein d’encre et frapper du poing pour faire rugir les notes et vibre la pièce. Il brutalise sa batterie pour se calmer, parfois les gens quand il est ivre. Il se fout de la loi et des autres, les inconnus ne l’intéressent pas, ce ne sont que des pisseux bons que pour l’applaudir sans conviction dans un grand auditoire. Hwan Hee pianote souvent, dans son sommeil, sur les tables et les murs, d’un geste automatique et irrépressible, il joue des mélodies qu’il ne veut plus connaître, comme une seconde nature qu’il ne parvient pas à effacer. Il ne veut pas que ses journées se ressemblent. Manger à pas d'heure, se doucher au beau milieu de l'après-midi, changer de tenue trois fois, dormir le matin et sortir la nuit, c'est sa vie, son existence toute en bazar. |
This is my story
This night is growing ever deeper
Il a toujours connu la solitude, celle d’un petit garçon qui n’a personne avec qui jouer. Fils ainé, petit prince né par nécessité, avant que la vieillesse ne cueille ses parents et ne les condamne à rester seul dans leurs vieux jours. Il fallait qu’ils aient un enfant, même si cela signifiait mettre entre parenthèse leurs carrières respectives. Ils finiront par lui donner deux petits frères. Hwan Hee est né de l’union d’une violoniste et d’un chef d’orchestre. Des gens talentueux et passionné, qui à la force de leurs bras et au prix de leur sueur, avaient gagné une petite notoriété internationale. Ça n’était rien de plus que quelques tournées, mais pour eux, c’était l’aboutissement de toute une vie de labeur. Jusque là, il n’avait pas été question de remettre cela en cause à cause d’un bébé. Quand enfin ils se sont accordés cette pause parentale, il n’était pour autant pas envisageable de se priver de musique. La rigueur, il la connaît, on la lui a enseigné depuis tout petit déjà. Kwan Hee a appris à lire la musique avant le Coréen, et à l’âge où les enfants chevauchent maladroitement leur vélo, lui s’exerçait déjà au piano. Ça n’était pas drôle, mais comment pouvait-il le comprendre, comment pouvait-il refuser de s’asseoir devant le clavier ivoire, alors que son père, une caméra nichée entre les mains, l’encourageait à laisser glisser ses doigts sur les notes. C’était normal pour lui, de s’entrainer, d’apprendre à jouer de la musique, comme ses parents avant lui. Le gamin aimait drôlement son père. Il était drôle, il lui racontait beaucoup d’histoires, de ses voyages dans le monde, des histoires qu’aucun de ses copains d’école n’avait jamais entendu, parce qu’elles n’étaient dans aucun livre.
Il ne pensait pas bien sûr, qu’avec le temps les exigences de ses parents bouleverseraient son plaisir à jongler avec les sons sur le grand instrument.
Les touches, il les connaît par cœur, il les a tellement parcouru. Avec le temps, on lui a demandé de jouer d’avantage, on a fini par lui expliquer qu’il était doué, qu’il pourrait devenir un grand pianiste. Cette idée lui a plu, il se voyait sur scène, applaudit comme ses parents après un récital. L’évocation de son potentiel faisait rougir ses joues de plaisir, gorgeant chaque fois d’avantage son petit cœur d’orgueil. Vers l’âge de sept ans, il participe à ses premiers concours. Il ne gagne pas toujours, mais il aime se produire sur scène, il aime le regard des gens braqué sur lui, sur ses doigts si minces qui se promènent sur les touches. Son père lui, ne s’en contente pas. S’il veut assurer un avenir pour son fils dans la musique, il doit le pousser à faire toujours plus. Peu à peu, les heures passées devant l’instrument s’allongent, et qu’importe si cela a un impact sur ses résultats scolaires.
Il a vécu ainsi pendant des années, élevé dans l’optique qu’il n’y avait pas de place pour les perdants, qu’il ne ferait rien de sa vie en étant deuxième. Plus il grandit, et plus son père devient sévère. Le garçon s’épuise, passant de longues heures après les cours à s’exercer au piano. Le soir, quand tout le monde dort, il se relève pour étudier ses cours en secret, terrifié à l’idée d’échouer à l’école. Il n’a pas de temps pour les loisirs, pas de temps pour se faire des amis. Il finit prisonnier dans une spirale de solitude implacable, hanté par la sévérité et les attentes insensées de son père qu’il ne peut se résoudre à décevoir. Le plaisir de jouer le quitte peu à peu, demeurant la terreur nouvelle de la scène, de l’échec. Ses doigts que les heures passées à jouer ont rendus raides et crochus lui obéissent de moins en moins. Il passe ses nuits à réciter ses partitions en tapotant sur le bord de son bureau, dans l’obscurité de sa chambre. Les journées ne sont qu’une lutte perpétuelle contre le sommeil.
Ce rythme infernal finit par le ronger. Incapable d’en supporter d’avantage, il finit par quitter la scène au beau milieu d’un concours décisif, abandonnant là son piano vibrant encore de ses dernières notes rageuses et son père stupéfait sur le bord de la scène. Il tentera bien de le résonner, de l’engueuler, sans parvenir à le calmer. Hwan Hee rejette avec toute sa frustration sa vie trop bien rangée, son enfance rigoureusement encadrée, son père qui ne pense plus qu’à ces performances ridicules. Il fuit sa solitude, sa peur, ses échecs, le do persistant qui résonne toujours dans la salle hébété. Il veut échapper à l’ordre. Suite à cet ultime récital, il s’enferme dans ses cours, sans chercher à adresser la parole à son père. Il a honte, il est furieux, il ne sait plus quoi faire de ses doigts qui pianotent convulsivement sans qu’il ne puisse les contrôler. Il a peint avec hargne les touches de son synthé, colorie l’ivoire des touches pour les dénaturer, car chaque enchainement de noir et de blanc fait palpiter son cœur. Il n’entend plus que ça dernière note, comme un acouphène intolérable.
Après quelques mois de cohabitation, son père finit par faire savoir à Hwan Hee qu’il souhaite qu’après ses examens, son fils quitte la maison. Il ne supporte pas la déception et la honte qu’il lui a causée. Il ne supporte pas de voir son talent gâché. A l’inverse, les reproches brisent le garçon, et sa solitude n’a fait qu’empirer. Il promet de quitter la maison, de partir pour Séoul. Son diplôme obtenu de justesse en poche, et muni des quelques sous gagnés lors de ses concours passés, il quitte son foyer, son père indifférent dont il regrette la chaleur, sa mère en pleure qui ne cherche pour autant pas à le retenir. Avec ses faibles économies, il paye ses études. Du reste, il apprend à se débrouiller, à vivre sans règles, comme un devoir, une revanche. Il flirt, boit, s’essaye à diverses expériences plus ou moins avouable, comme un doigt d’honneur à son père.
Il ne pensait pas bien sûr, qu’avec le temps les exigences de ses parents bouleverseraient son plaisir à jongler avec les sons sur le grand instrument.
Les touches, il les connaît par cœur, il les a tellement parcouru. Avec le temps, on lui a demandé de jouer d’avantage, on a fini par lui expliquer qu’il était doué, qu’il pourrait devenir un grand pianiste. Cette idée lui a plu, il se voyait sur scène, applaudit comme ses parents après un récital. L’évocation de son potentiel faisait rougir ses joues de plaisir, gorgeant chaque fois d’avantage son petit cœur d’orgueil. Vers l’âge de sept ans, il participe à ses premiers concours. Il ne gagne pas toujours, mais il aime se produire sur scène, il aime le regard des gens braqué sur lui, sur ses doigts si minces qui se promènent sur les touches. Son père lui, ne s’en contente pas. S’il veut assurer un avenir pour son fils dans la musique, il doit le pousser à faire toujours plus. Peu à peu, les heures passées devant l’instrument s’allongent, et qu’importe si cela a un impact sur ses résultats scolaires.
Il a vécu ainsi pendant des années, élevé dans l’optique qu’il n’y avait pas de place pour les perdants, qu’il ne ferait rien de sa vie en étant deuxième. Plus il grandit, et plus son père devient sévère. Le garçon s’épuise, passant de longues heures après les cours à s’exercer au piano. Le soir, quand tout le monde dort, il se relève pour étudier ses cours en secret, terrifié à l’idée d’échouer à l’école. Il n’a pas de temps pour les loisirs, pas de temps pour se faire des amis. Il finit prisonnier dans une spirale de solitude implacable, hanté par la sévérité et les attentes insensées de son père qu’il ne peut se résoudre à décevoir. Le plaisir de jouer le quitte peu à peu, demeurant la terreur nouvelle de la scène, de l’échec. Ses doigts que les heures passées à jouer ont rendus raides et crochus lui obéissent de moins en moins. Il passe ses nuits à réciter ses partitions en tapotant sur le bord de son bureau, dans l’obscurité de sa chambre. Les journées ne sont qu’une lutte perpétuelle contre le sommeil.
Ce rythme infernal finit par le ronger. Incapable d’en supporter d’avantage, il finit par quitter la scène au beau milieu d’un concours décisif, abandonnant là son piano vibrant encore de ses dernières notes rageuses et son père stupéfait sur le bord de la scène. Il tentera bien de le résonner, de l’engueuler, sans parvenir à le calmer. Hwan Hee rejette avec toute sa frustration sa vie trop bien rangée, son enfance rigoureusement encadrée, son père qui ne pense plus qu’à ces performances ridicules. Il fuit sa solitude, sa peur, ses échecs, le do persistant qui résonne toujours dans la salle hébété. Il veut échapper à l’ordre. Suite à cet ultime récital, il s’enferme dans ses cours, sans chercher à adresser la parole à son père. Il a honte, il est furieux, il ne sait plus quoi faire de ses doigts qui pianotent convulsivement sans qu’il ne puisse les contrôler. Il a peint avec hargne les touches de son synthé, colorie l’ivoire des touches pour les dénaturer, car chaque enchainement de noir et de blanc fait palpiter son cœur. Il n’entend plus que ça dernière note, comme un acouphène intolérable.
Après quelques mois de cohabitation, son père finit par faire savoir à Hwan Hee qu’il souhaite qu’après ses examens, son fils quitte la maison. Il ne supporte pas la déception et la honte qu’il lui a causée. Il ne supporte pas de voir son talent gâché. A l’inverse, les reproches brisent le garçon, et sa solitude n’a fait qu’empirer. Il promet de quitter la maison, de partir pour Séoul. Son diplôme obtenu de justesse en poche, et muni des quelques sous gagnés lors de ses concours passés, il quitte son foyer, son père indifférent dont il regrette la chaleur, sa mère en pleure qui ne cherche pour autant pas à le retenir. Avec ses faibles économies, il paye ses études. Du reste, il apprend à se débrouiller, à vivre sans règles, comme un devoir, une revanche. Il flirt, boit, s’essaye à diverses expériences plus ou moins avouable, comme un doigt d’honneur à son père.
About me
Je suis...
EDEN • TOUJOURS 19 ANS • TOUJOURS INLOVE DE VOUS
Ploooup. C'est re-moi, enfin Park Seok Hyun quoi. Après deux semaines à ramer, je me décide à reboot, puisque je me trouve incapable de rp avec mon ancien perso. Donc le voilà, tout beau tout propre, Kwan Hee. Il me trottait dans la tête depuis plusieurs jours déjà, mais je pouvais pas me résoudre à changer si vite... merci à William de m'avoir finalement donné beaucoup trop envie de céder à cette tentation. *kiss kiss baby, gumi t'attend. ♥* Dooonc... voilà. Hâte de Rp avec vous, pour de bon cette fois !
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u672][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>NA UNGJAE ( UNGJAE, IMFACT)</taken> ✎ Ahn Kwan Hee
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Re: Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Ven 5 Fév - 23:05 Citer EditerSupprimer
on est parfait. cet avatar tho. je t'aime pour ton choix tu sais déjà !
DES BISOUS.
on est parfait. cet avatar tho. je t'aime pour ton choix tu sais déjà !
DES BISOUS.
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Re: Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Ven 5 Fév - 23:05 Citer EditerSupprimer
Héhé bonne refonte petit chou
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Re: Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Ven 5 Fév - 23:06 Citer EditerSupprimer
Courage Hottie hâte de voir ça
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Re: Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Ven 5 Fév - 23:32 Citer EditerSupprimer
Willie : Tout ça c'est de ta faute, tu m'as poussé inconsciemment au vice. éè Pauvre toi, à peine arrivée et déjà responsable de mes malheurs. Kiss Kiss baby, on t'a déjà dit que tu étais salement beau ? ;;
Ji Hoon : Merci cutie. ♥
Every : Merciii, tu peux déjà lire, c'est tout fini normalement. ** Kiss on you.
Hara : Re ♥
Keekee : Je pensais pas que ça soit possible. ;( ♥ I love you too lil' Flo ♥
Ji Hoon : Merci cutie. ♥
Every : Merciii, tu peux déjà lire, c'est tout fini normalement. ** Kiss on you.
Hara : Re ♥
Keekee : Je pensais pas que ça soit possible. ;( ♥ I love you too lil' Flo ♥
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Re: Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Ven 5 Fév - 23:43 Citer EditerSupprimer
REEEE
j'espère que tu vas réussir à rp avec ce nouveau personnage, bon courage d'ailleurs
j'espère que tu vas réussir à rp avec ce nouveau personnage, bon courage d'ailleurs
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Re: Ahn Kwan Hee ••• Ft Ungjae | Dim 7 Fév - 9:10 Citer EditerSupprimer
coucou mon petit chat que j'aime ce nouveau perso va déchirer je suis sûr, faut trop qu'il t'inspire là pour que tu puisses rester dans la course avec nous tu nous manquerais trop autrement !
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