choi ba go + revolution

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choi ba go + revolution | Lun 15 Fév - 18:51

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Choi Ba Go

the crow is my nightmare

HONNETE (★★★✰✰)	SUSCEPTIBLE (★★★✰✰)	BOUTENTRAIN (★★★✰✰)	JALOUX (★★★✰✰)	CEREBRAL (★★★✰✰)
EMOTIF (★★★★✰)	SERVIABLE (★★★✰✰)	EXCESSIF (★★★✰✰)	AVENANT (★★★✰✰)	INSOLENT (★★★✰✰)

nom : choi. prénom : bago, an. âge : va sur ses 21. date et lieu de naissance : 25 juin à séoul. origines : coréennes. nationalité : coréen. cursus universitaire : philosophie et suit quelques cours de japonais. métier : baron et cobaye de son tatoueur. orientation sexuelle : ait une belle personnalité, ce n’est pas compliqué. classe sociale : aisé dans le besoin. code du règlement : olaf. tu veux t'investir ? sous l’océan

Rumour has it...

on dit qu’il était très religieux quand il était jeune, dégoûté de la religion à ce jour (v – son père l’a forcé à croire alors qu’il était athée) + il serait amoureux de tous ses hyungs et de toutes ses noonas (à voir – il est aguiché très facilement faut dire) + il est déjà sorti avec Tasyr (f – ils ont toujours été très proches si bien que ça portait à confusion) + il ne s’intéresserait qu’à la philosophie (v – il a développé une culture pour ne pas être embrigadé dans la religion) + il ne pense qu’à ça (pratiquement v – les hormones de jeune adulte) + son voyage au Japon l’a conforté sur l’idée qu’il désire devenir grand désormais (v) + il aurait ses tatouages depuis longtemps et les aurait toujours camouflé (f – non il les a depuis à peine quelques semaines et il en est vraiment fier) + il écouterait des musiques épiques et gambaderait en cape dans les couloirs de son logement (v – il devait être vraiment fatigué ce jour-là) + il fait une collection de bouteilles de déodorant à billes cachée précieusement (f – déodorants à spray) + il a perdu son phoque en peluche et soupçonne des gens de lui avoir volé, il déprime et ne l’a jamais retrouvé (triste vérité) + il aurait donc un tatouage d’un phoque crucifié sur le cœur pour se remémorer son doudou perdu (f – mais c’est un projet gn) + il confondrait Socrate et Jon Snow (f – mais seuls les vrais savent) + il aurait tenté de lancer une chaine youtube qui a fait un flop total (v) + il aimerait les chiens moches de grand-mère (f – les très très moches seulement) + il parlerait couramment le français (f – il sait juste dire « je suis fromage) + il aurait acheté une dizaine de fois le même boxer : avec des os dessus (v) + il aurait craqué sur philhyuk lors de son passage pendant les princes de l’amour et c’est pour ça qu’il s’est fait cette signature (f – il m’a obligé)

Survole l'avatar, petit coquin.

My character

Comment peut-on changer autant en seulement deux mois ? Non pas que Bago soit revenu totalement opposé à son caractère d’avant, mais il a changé le point le plus essentiel de sa personnalité. Avant de faire son voyage pédagogique au Japon, le jeune sango venait de réaliser que trois ans de sa vie s’étaient écoulés depuis qu’il était entré à l’université et qu’il avait rencontré les gens qu’il fréquente toujours aujourd’hui. Oui. Les temps changent, et parfois, il faut un simple déclic pour que les personnes se métamorphosent à leur tour. Bago part sur ses 21 ans maintenant et ce n’est plus l’enfant de 17 années qui se baladait de jupon en jupon pour trouver du réconfort auprès de noonas. Il est toujours ce garçon câlin et tactile comme on l’a connu, toujours aussi émotif dans les traits de son visage anciennement fatigué. An est toujours ce garçon serviable et sympathique, toujours le jeune homme à qui on a envie de se confier et lui, il est toujours là en train d’écouter pourvu qu’il soit confortablement assis et reposé. Alors où a-t-il changé ? Ce n’est plus l’enfant capricieux de ses débuts. Peut-être a-t-il appris que tout n’était qu’éphémère dans la vie et qu’il n’était pas utile de sans cesse réclamer l’intention des autres. Peut-être a-t-il muri ? Evidemment qu’il reste ce gosse éternel jaloux mais également ce pitre malheureux, amusant son entourage d’un humour saugrenu et gras. Cependant, son air plus sérieux et moins chaleureux donne l’impression qu’il a coupé définitivement les ponts avec ses anciennes connaissances et son passé. C’est faux. Malgré un air vaniteux, lorsque ses traits se détendent, on retrouve cet air chaleureux et rassurant d’un être qui entend et qui comprend quand il peut. Bago a toujours cet attrait pour l’amour du touché et de l’union nuptiale, et davantage maintenant qu’il est revenu, fou amoureux des corps et des esprits liés à ces enveloppes charnelles. Toujours dans l’excès, il ne comptera plus le nombre d’amants et de proies qu’il aura et de prédateurs qu’il devra satisfaire. Bago est revenu, changé, grandi et pourtant éternel et fidèle au personnage qu’il a créé le jour où il a quitté la banlieue pour rejoindre une civilisation aussi pourrie que ses extérieurs, rongée par les vices et les pêchés. Qu’importe, puisque le sango aime cette crasse et les blessures de sa ville, de sa région, de son pays, de ce continent et même de ce monde.

This is my story

lullaby

On dit que tout le monde a droit à une seconde chance. On dit aussi que les imbéciles ne changent pas d’avis. On dit que l’homme est une race d’animaux ratée car il n’y avait plus aucune qualité pour le doter de quelque chose. Alors savez-vous ce qui est arrivé ? Prométhée a dérobé à l’Olympe le secret du feu, de la raison, et l’a donné aux hommes. Et vous savez ce qu’il est arrivé à Prométhée ? Il s’est fait attacher à un rocher et chaque jour, des rapaces venaient dévorer son foi qui repoussait toutes les nuits. Bago n’a jamais cru aux secondes chances. Il s’est toujours senti trahi, même dès sa naissance. Bago était l’enfant non désiré mais ce n’était pas une erreur non plus. Ses parents avaient, pour une fois dans leur vie, négligé le pêché de chair et il était simplement hors de question pour cette famille d’utiliser des moyens de contraceptions. Son père ne s’est lui-même presque jamais pardonné de son erreur, le petit arrivait vers 3, 4 ans jusqu’à l’église sur son tricycle, et il voyait son père dans sa tenue du dimanche, juste avant l’office de 10h30 à genoux, se damnant d’avoir mis au monde un enfant sans s’en rendre compte. Le gavroche penchait sa tête pâle maladive et faisait basculer ses cheveux noirs sur le côté. Bago avait déjà pour habitude d’observer avec de grands yeux de merlan frit. Sa mère ne supportait pas ce regard involontaire à l’époque, elle le prenait comme une insolence et un défi à relever de ne pas céder à quelque chose que Bago désirait. Souvent elle l’accusait d’être gourmand et de sans cesse miauler pour avoir quelque chose à manger, son père en l’apprenant, allait le confesser directement et lui refuser la reconnaissance à qui qu’autre ce soit. Le garçon a vécu une enfance des plus tyranniques, entourée de religion, de messe et de prières avant le repas. Au départ, Bago ne s’était pas rendu compte de son embrigadement important, mais un jour, lors d’un office, il a rencontré un petit garçon, ils étaient pré-adolescents à l’époque, et déjà le petit s’éloignait progressivement de la religion imposée par son père. Ce dernier pensait même qu’en le forçant à croire, il arriverait à le faire entrer dans un monastère, mais Bago s’avérait être plus pénible que ça. Donc, l’inconnu s’était enfui en courant en plein milieu de la célébration et le père de notre anti-héros lui avait demandé de le ramener après avoir vu ce qui n’allait pas. L’inconnu était à deux pas du bâtiment, un bâton fumant dans la bouche. Bago ne comprenait pas. Il ne sortait de chez lui que pour aller à l’école, dans une école catholique, et sa rencontre était son premier vrai contact avec l’extérieur. Ce jeune homme était un peu, l’alarme qui s’est déclenchée en l’enfant pour lui commander de s’enfuir le plus loin possible. C’était aussi la première fois que Bago avait fumé un joint, et aussi stupide cela puisse paraître c’est un peu ici que tout a commencé.

Bago a perdu contact avec lui, mais tout de suite après cette rencontre, le garçon était devenu davantage rebelle, il refusait de rester enfermé chez lui tout le restant de la semaine et les vacances, il se rendait après les cours à la bibliothèque pour acheter des livres de philosophie afin de stopper ce véritable lavage de cerveau que lui inculquait son propre père. Le premier sentiment de trahison avait déchiré le cœur du garçon. Il se disait assez précoce. Bago ne savait même pas encore assez bien lire et pourtant il possédait déjà une sacrée collection de thèses d’auteur. Il se les réservait pour plus tard, prétextait-il. Le petit en avait besoin. Il avait besoin de parler à quelqu’un qui n’était pas son père et il trouva refuge chez un prêtre. Il était si gentil avec lui, il l’écoutait et le rassurait, lui donnait même beaucoup d’affection. L’enfant ne comprenait pas toujours ce qui lui faisait. Un jour, il l’a assis sur ses genoux et a caressé son dos pour l’apaiser. Sa main était descendue au niveau des fesses de Bago et ce dernier couina avant de pencher la tête. Il voulait soudainement partir. L’homme lui avait répondu que ce n’était rien et qu’il pouvait le soulager. L’enfant avait vraiment besoin de soulagement. Il remonta sur les genoux du père et ce dernier avait défait le pantalon de cet être innocent assis sur lui. Bago vira au rouge mais se laissa toucher, il ne comprenait pas, ça chatouillait. Il se laissa caresser l’intérieur de ses cuisses, ce n’était pas vraiment agréable mais il pensait que ça l’apaiserait. Quelques minutes plus tard, ce fut le prêtre qui baissa son pantalon, il quémanda à l’enfant de toucher sa bosse et il pouvait même la lécher s’il le voulait. Bago ne voulait pas, mais les deux mains posées sur sa tête lui firent comprendre qu’il n’avait pas le choix. On força alors l’entrée de sa bouche.

Quand le petit garçon fut rentré chez lui, il raconta tout à sa maman, aussi naturellement que s’il était allé au centre aéré pour peindre des coloriages de dinosaures. Alertée, cette dernière lui fit comprendre qu’il avait fait quelque chose de grave et l’emmena voir un psychologue. L’ange avait 7 ans. « Viol ». C’était le mot que répétaient ses parents depuis une semaine. Le gamin ne comprit la gravité de la situation que lorsqu’il fut assez raisonnable pour comprendre la définition de ce mot. Bago fut traumatisé. Encore aujourd’hui il garde ça secret pour ne pas inquiéter son entourage. Le petit se fit mettre à la porte à l’âge de dix-sept ans. Ses parents refusaient sa bisexualité, son choix d’études philosophiques dont les trois quarts des thèses allaient à l’inverse de la religion et principalement son manque de foi. Le jeune homme débauché déjà à cette époque, trouva refuge dans un dortoir de son université : il y vécut les plus belles années de sa vie. Il s’était d’ailleurs inventé une image de bébé aguicheur et pervers et avait remplacé ses parents par deux autres adultes un peu plus âgés que lui. Bago était heureux, il était en pleine ascension. Il atteignit vite le fond lorsqu’il développa une anorexie conséquente, mais elle était bien trop négligée. Il avait une apparence squelettique, il était morne et pâle comme la mort. Grâce à un soutien inespéré de quelques proches qui pouvaient comprendre sa douleur, le sango tenta de remonter à la surface et au cours de ces trois années écoulées, un jour, il se planta devant la glace et fixa sa figure jeune mais un peu plus changée qu’autrefois. Le brun avait compris qu’il avait grandi et que peut-être, une remise en question s’imposait. Heureusement pour lui, dans la foulée, son professeur de japonais, Cho Sunah lui avait annoncé le projet d’un voyage solitaire, pédagogique au Japon, ce que le jeune homme accepta sans poser de questions : partir loin de tous ses amis, ennemis, de son quotidien, était surement la meilleure chose à faire pour entamer une évolution. Bago partit deux mois, presque sans en informer qui que ce soit, et durant ces 60 jours, il fut totalement transformé, nouvelles rencontres, nouvelle personnalité creusée, et nouvelle apparence physique : c’est par ses tatouages sur son corps que le coréen avait choisi de marquer sa renaissance. Le requin revint alors converti, chamboulé de ce voyage, il était presque méconnaissable mais ses vrais amis le connaissaient et ils savaient que même changé, il restait dans le fond, toujours le même gosse.

About me

Je suis...

Immortan

coucou mes loulous :cute:

ça fait longtemps que j'ai créé bago et je pensais bon de le changer un peu car après tout, il a bien grandi depuis tout ce temps, je vous envoie du love tout plein et j'espère que ce personnage qui reste quand même dans les bases de l'ancien vous plaira tout autant :plz:

keur sur vous :heart:

Célébrité prise

Code:: [url=http://www.shaketheworld.net/u385][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>kiji saito(KIJIKUSH)</taken> ✎ choi ba go

Invité

Re: choi ba go + revolution | Lun 15 Fév - 18:52

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Invité

Re: choi ba go + revolution | Lun 15 Fév - 19:19

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WTF LES PHOTOS POUR TA COMMANDE SONT TROP BELLES, WTF BAGO CHANGE A FOND LA :bago: OMG JE SUIS HYPER CURIEUSE BONJOUR :hi:

Invité

Re: choi ba go + revolution | Lun 15 Fév - 19:19

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bago: viens mdire bienvenue
phil: tu rigoles??
bago: i feel alone.... sans mauvais jeu de mots
phil:........ jviens dcomprendre