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tonight we'll burn the city down | ft. Minri
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Jeu 31 Mar - 7:14 Citer EditerSupprimer
Je me surprenais à me demander ce qu'elle aimait. Ce qu'elle voulait, quelles étaient ses habitudes. J'avais cette préférence pour la violence à présent et ne me gênait jamais pour imposer ces traitements brutaux à mes partenaires, pourtant je me questionnais maintenant. Sur ce qu'elle avait envie que je sois. C'est étrange, notre relation était en partie basée sur ce jeu, sensuel, sexuel. Néanmoins, nous ignorions tout de nos préférences. Et à présent, qu'elle s'offrait à moi, que je réclamais mon dû, je m’interrogeais sur ce qui lui ferait le plus de bien. Pour la seconde fois de ma vie, je m'inquiétais de ce que mon amante réclamait. Cela n'était plus arrivé depuis Maeum et je m'en trouvais déstabilisé. Pas assez pour que je m'arrête, notamment en entendant ces faibles plaintes, mais suffisamment pour que mes yeux l'interroge du regard. Et en sentant ses dents sur mon oreille, suivi de sa langue, un grognement sourd se faufile par ma gorge, les bonnes habitudes revenant très rapidement. Attrapant une cuisse pour la passer à ma taille, quittant ses fesses pour presser sa chair autour de moi, contre mon érection. Qui n'était plus un mystère à l'heure actuelle. Minri savait à quel point je la désirais. Je ne m'en étais jamais caché. « L'idée me plait Min. Ne me tente pas. » j'aimais plus encore ces jeux, faire patienter et rendre suppliante mes partenaires. Mais je savais, au fond, que le contexte serait encore plus palpitant avec la photographe ; parce qu'elle excitait également les battements de mon cœur. Venant la coller un peu plus sur le rebord de la table juste derrière elle, je retirais mon haut sans résistance, frissonnant sous ses caresses de chat. Et acquiesçant sans mal la réponse à sa question. Toutes barrières entre nos deux corps étaient à présent inadmissible. « Le spectacle te plait ? » j'aimais, plus que je ne le devrais, le regard qu'elle portait sur moi. Dans l'instant. Je me sentais encore plus désirable que je ne l'étais, ce qui semblait pourtant impossible il y a dix minutes. Donnant un léger coup de rein contre son intimité couverte, je relevais la tête vers elle, pour plonger sur ses lèvres et souffler contre ces dernières « Ça aussi, c'est en trop. » mordillant sa lippe, je glissa ma main libre sous son bas, afin de venir toucher cette zone brûlante et jouer doucement, frôlant presque trop peu, ces portes ouvertes. Ma langue s'introduisant dans sa bouche, je continuais mon manège, la touchant sans pour autant être assez actif pour la satisfaire. Jetant un coup d'oeil à l'appareil avant de le prendre de ma main libre et relâcher sa cuisse, pour nous braquer de l'objectif et presser mon torse contre sa poitrine au moment instant que le flash immortalise nos corps à moitié unis.
tonight we'll burn the city down
YOONRI
Je me surprenais à me demander ce qu'elle aimait. Ce qu'elle voulait, quelles étaient ses habitudes. J'avais cette préférence pour la violence à présent et ne me gênait jamais pour imposer ces traitements brutaux à mes partenaires, pourtant je me questionnais maintenant. Sur ce qu'elle avait envie que je sois. C'est étrange, notre relation était en partie basée sur ce jeu, sensuel, sexuel. Néanmoins, nous ignorions tout de nos préférences. Et à présent, qu'elle s'offrait à moi, que je réclamais mon dû, je m’interrogeais sur ce qui lui ferait le plus de bien. Pour la seconde fois de ma vie, je m'inquiétais de ce que mon amante réclamait. Cela n'était plus arrivé depuis Maeum et je m'en trouvais déstabilisé. Pas assez pour que je m'arrête, notamment en entendant ces faibles plaintes, mais suffisamment pour que mes yeux l'interroge du regard. Et en sentant ses dents sur mon oreille, suivi de sa langue, un grognement sourd se faufile par ma gorge, les bonnes habitudes revenant très rapidement. Attrapant une cuisse pour la passer à ma taille, quittant ses fesses pour presser sa chair autour de moi, contre mon érection. Qui n'était plus un mystère à l'heure actuelle. Minri savait à quel point je la désirais. Je ne m'en étais jamais caché. « L'idée me plait Min. Ne me tente pas. » j'aimais plus encore ces jeux, faire patienter et rendre suppliante mes partenaires. Mais je savais, au fond, que le contexte serait encore plus palpitant avec la photographe ; parce qu'elle excitait également les battements de mon cœur. Venant la coller un peu plus sur le rebord de la table juste derrière elle, je retirais mon haut sans résistance, frissonnant sous ses caresses de chat. Et acquiesçant sans mal la réponse à sa question. Toutes barrières entre nos deux corps étaient à présent inadmissible. « Le spectacle te plait ? » j'aimais, plus que je ne le devrais, le regard qu'elle portait sur moi. Dans l'instant. Je me sentais encore plus désirable que je ne l'étais, ce qui semblait pourtant impossible il y a dix minutes. Donnant un léger coup de rein contre son intimité couverte, je relevais la tête vers elle, pour plonger sur ses lèvres et souffler contre ces dernières « Ça aussi, c'est en trop. » mordillant sa lippe, je glissa ma main libre sous son bas, afin de venir toucher cette zone brûlante et jouer doucement, frôlant presque trop peu, ces portes ouvertes. Ma langue s'introduisant dans sa bouche, je continuais mon manège, la touchant sans pour autant être assez actif pour la satisfaire. Jetant un coup d'oeil à l'appareil avant de le prendre de ma main libre et relâcher sa cuisse, pour nous braquer de l'objectif et presser mon torse contre sa poitrine au moment instant que le flash immortalise nos corps à moitié unis.
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 12 Avr - 13:00 Citer EditerSupprimer
Je vis passer cette lueur inquiète dans son regard, comme si d’un coup, l’homme si sur de lui qui n’avait attendu que ce moment où il pouvait enfin me prendre pendant des mois, devenait un petit garçon hésitant qui attendait qu’on lui donne la permission. Je ne pus m’empêcher de sourire. C’était la première fois que je voyais ce trait de personnalité chez lui, et s’eut le don de me faire craquer. Ma façon à moi de lui dire oui et de l’encourager, c’était de venir lui mordiller le lobe de l’oreille. Et ce grognement qu’il émit me fit rire doucement, comme si il venait de partager un secret avec moi. Il aimait donc ca, quand on le mordait. Et cette zone avait l’air de ne pas le laisser indiffèrent. Il me saisit par la cuisse alors que je le provoquais, me montrant qu’il savait ce qu’il voulait et me le faisait comprendre avec cette érection si gonflé contre mon intimité que mon bas ventre se contractait de plaisir. « Ho ? » lâchais-je presque surprise moi-même par ma réaction avant de rire gênée. Je relevais le visage vers lui, arquant un sourcil. « Tu veux essayer ? » Il n’était pas facile de me faire céder, et encore moins de me faire supplier. Il était parvenu à la première étape après des semaines de jeu de séduction. La deuxième risquait de prendre plus de temps. S’il voulait vraiment que je le supplie, il allait falloir qu’il m’y force. J’entrepris de caresser son torse musclé avant de le marquer de fines griffures causé par mes ongles sans cesser de le fixer, comme pour tester ses limites et voir ce qu’il aimait. Je le découvrais à peine. Je ne savais pas vraiment encore jusqu’ou je pouvais aller ou non. Je testais. Je jouais. Je découvrais. C’était à ca que servaient les préliminaires, non ? « Beaucoup… » Susurrais-je d’une voix rauque alors que mon cœur battait la chamade. Il m’arrachait un couinement alors qu’il me donnait un léger coup de basin. J’enroulais instinctivement mes jambes autour de sa taille alors que mes fesses étaient passé par-dessus la table, me pressait un peu plus contre lui. Il me volait un baiser alors que sa main venait caresser mon intimité qui se contractait à son toucher, en demandant bien plus que les frôlements qu’il m’offrait. Je gémis de frustration et de plaisir à la fois contre ses lèvres. Gémissement qui se perdit quand sa langue s’introduisait dans ma bouche, forçant le barrage de mes lèvres. Je fermais les yeux alors que ma main se perdait dans ses cheveux et que mes doigts s’y agrippèrent. Je me cambrais contre lui, lui donnant un meilleur angle pour ses doigts si il le désirait, lui faisait aussi comprendre que j’en voulais bien plus que cela. Il m’hypnotisait au point de m’en faire oublier qu’il nous prenait en photo. Je l’embrassais plus passionnément encore, prenant peu à peu confiance. Apres de longues minutes de patience, je n’eus toujours pas ce que je voulais. J’attrapais son poignet, reculant mon visage du sien, à bout de souffle, pour le fixer par-dessous mes mèches rebelles. « Qu’est-ce que tu attends au juste ? » ma voix était bien plus rauque à cause de l’effet qu’il produisait chez moi. Jamais encore je n’aurais cru qu’un autre homme qu’In Su pourrait autant me retourner de l’intérieur. J’étais entrain de m’attacher à lui, bien plus que je n’aurais dû. Puis, sans cesser de le l’observer, je tirais sa main pour qu’elle descende plus loin dans mes sous-vêtements. L’abandonnant à mes dessous, je remontais pour tirer l’agrafe de mon soutien-gorge, lui dévoilant une partie de mon intimité que je n’avais encore jamais osé montrer qu’à une autre seule personne. Mais je lui faisais assez confiance pour avoir envie qu’il voit, qu’il touche. Il avait réussi à m’apprivoiser en quelques semaines, un véritable exploit quand on voyait le phénomène. « Montres-moi de quoi tu es capables… » Minaudais-je soudain, à sa merci. Hors de question que je le supplie ...
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Je vis passer cette lueur inquiète dans son regard, comme si d’un coup, l’homme si sur de lui qui n’avait attendu que ce moment où il pouvait enfin me prendre pendant des mois, devenait un petit garçon hésitant qui attendait qu’on lui donne la permission. Je ne pus m’empêcher de sourire. C’était la première fois que je voyais ce trait de personnalité chez lui, et s’eut le don de me faire craquer. Ma façon à moi de lui dire oui et de l’encourager, c’était de venir lui mordiller le lobe de l’oreille. Et ce grognement qu’il émit me fit rire doucement, comme si il venait de partager un secret avec moi. Il aimait donc ca, quand on le mordait. Et cette zone avait l’air de ne pas le laisser indiffèrent. Il me saisit par la cuisse alors que je le provoquais, me montrant qu’il savait ce qu’il voulait et me le faisait comprendre avec cette érection si gonflé contre mon intimité que mon bas ventre se contractait de plaisir. « Ho ? » lâchais-je presque surprise moi-même par ma réaction avant de rire gênée. Je relevais le visage vers lui, arquant un sourcil. « Tu veux essayer ? » Il n’était pas facile de me faire céder, et encore moins de me faire supplier. Il était parvenu à la première étape après des semaines de jeu de séduction. La deuxième risquait de prendre plus de temps. S’il voulait vraiment que je le supplie, il allait falloir qu’il m’y force. J’entrepris de caresser son torse musclé avant de le marquer de fines griffures causé par mes ongles sans cesser de le fixer, comme pour tester ses limites et voir ce qu’il aimait. Je le découvrais à peine. Je ne savais pas vraiment encore jusqu’ou je pouvais aller ou non. Je testais. Je jouais. Je découvrais. C’était à ca que servaient les préliminaires, non ? « Beaucoup… » Susurrais-je d’une voix rauque alors que mon cœur battait la chamade. Il m’arrachait un couinement alors qu’il me donnait un léger coup de basin. J’enroulais instinctivement mes jambes autour de sa taille alors que mes fesses étaient passé par-dessus la table, me pressait un peu plus contre lui. Il me volait un baiser alors que sa main venait caresser mon intimité qui se contractait à son toucher, en demandant bien plus que les frôlements qu’il m’offrait. Je gémis de frustration et de plaisir à la fois contre ses lèvres. Gémissement qui se perdit quand sa langue s’introduisait dans ma bouche, forçant le barrage de mes lèvres. Je fermais les yeux alors que ma main se perdait dans ses cheveux et que mes doigts s’y agrippèrent. Je me cambrais contre lui, lui donnant un meilleur angle pour ses doigts si il le désirait, lui faisait aussi comprendre que j’en voulais bien plus que cela. Il m’hypnotisait au point de m’en faire oublier qu’il nous prenait en photo. Je l’embrassais plus passionnément encore, prenant peu à peu confiance. Apres de longues minutes de patience, je n’eus toujours pas ce que je voulais. J’attrapais son poignet, reculant mon visage du sien, à bout de souffle, pour le fixer par-dessous mes mèches rebelles. « Qu’est-ce que tu attends au juste ? » ma voix était bien plus rauque à cause de l’effet qu’il produisait chez moi. Jamais encore je n’aurais cru qu’un autre homme qu’In Su pourrait autant me retourner de l’intérieur. J’étais entrain de m’attacher à lui, bien plus que je n’aurais dû. Puis, sans cesser de le l’observer, je tirais sa main pour qu’elle descende plus loin dans mes sous-vêtements. L’abandonnant à mes dessous, je remontais pour tirer l’agrafe de mon soutien-gorge, lui dévoilant une partie de mon intimité que je n’avais encore jamais osé montrer qu’à une autre seule personne. Mais je lui faisais assez confiance pour avoir envie qu’il voit, qu’il touche. Il avait réussi à m’apprivoiser en quelques semaines, un véritable exploit quand on voyait le phénomène. « Montres-moi de quoi tu es capables… » Minaudais-je soudain, à sa merci. Hors de question que je le supplie ...
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 19 Avr - 20:20 Citer EditerSupprimer
Essayer ? Si elle savait tout ce que j'avais déjà pu faire. Tout ce que je savais faire ou obligeais les autres à faire. Ce n'était pas pour me vanter - quoiqu'un peu quand même - mais je n'avais jamais eu le moindre rôle de soumis, de tendresse et forcer était un de mes jeux favoris, néanmoins, je ne pus m'empêcher de sourire. L'idée qu'elle tente, que je tente aussi, pour voir jusqu'où elle pouvait aller. Si nos limites étaient trop espacées ou non. En sachant que les miennes existaient à peine, voir pas du tout. Mais il était parfois important d'explorer et je me sentais comme l'homme le plus aventurier sur l'instant. J'aimais qu'elle me mordille, et j’appréciais les caresses et petites griffures qu'elle exerçait sur mon torse. Je la laissais faire, profiter de ma personne tandis que j'immortalisais chaque instant et lui offrait un dernier moment de répit. Bien décidé à prendre ce qui me revenait de droit, ce que j'attendais d'elle. « Ma vue est splendide également. » La voix rauque, le souffle chaud, le corps s'approchant davantage d'elle, je touchais chaque parties de sa peau, laissait ma main libre l'effleurer. Mais je jouais, beaucoup, ne lui donnait pas les caresses dont nous avions terriblement envie sur l'instant. Car elle ne m'avait pas supplié et que ce besoin d'entendre cette voix sensuelle réclamer mes ferveurs m'excitait à un point que je ne saurais décrire avec de simples mots. Il semblerait néanmoins que mon érection parle d'elle-même et cela me tira un sourire amusé. Et terriblement suggestif. Comme la lueur animale et désireuse qui devait probablement vibrer dans mes pupilles. Je rompis notre baiser un court l'aspe de temps, pour glisser contre ses lèvres. « Test Min Ri. Ne t'arrêtes pas, regarde jusqu'où tu peux aller. Et ne te prive pas, j'aime tout. » la brutalité surtout, le contrôle aussi. Je désirais qu'elle fasse ce que je lui disais et si elle m'écoutait, je sentirais bientôt à nouveau ses mains sur moi. Pourtant, je scella encore une fois nos lèvres pour poursuivre ce que j'avais mis en suspend et dévorais sa bouche dans un besoin viscéral. Lui montrant le désir brutal qu'elle faisait naître en moi. Quand elle attrapa mon poignet et se recula, un sourire narquois prit possession de mes lèvres, tandis que j'haussais insolemment les épaules et répondit, du tac au tac. « Tu sais très bien ce que j'attends. » j'avais été clair sur mes intentions et sur ce que j'attendais. Et je finissais toujours par avoir ce que je voulais. Fixant ses yeux, je me pencha légèrement pour venir mordre délicatement son nez et embrasser sa paupière en collant un plus mon membre contre son intimité. Et la regardait ensuite dégrafer son soutien-gorge avec un sourire plus que révélateur et frotta légèrement mon torse contre ses tétons. Avant de remonter ma main et pousser son épaule pour qu'elle s'allonge un peu plus sur la taille, m'offrant une vue des plus sublimes. Que je pris un photo d'un regard brûlant, puis de l'appareil. Reposant ensuite l'objet pour venir plaquer mes paumes à sa taille et les remonter très lentement jusqu'à ses seins, que je me contrôlais pourtant à ne pas toucher. « Min. Supplies-moi. » je m'abaissais et soufflais outrageusement sur ses bouts de chairs que je trouvais particulièrement attirant. Mais je voulais entendre sa voix faible et impatiente me demandant de la toucher plus sincèrement, de la prendre réellement et cette envie était plus forte que mon besoin urgent de la goûter.
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Essayer ? Si elle savait tout ce que j'avais déjà pu faire. Tout ce que je savais faire ou obligeais les autres à faire. Ce n'était pas pour me vanter - quoiqu'un peu quand même - mais je n'avais jamais eu le moindre rôle de soumis, de tendresse et forcer était un de mes jeux favoris, néanmoins, je ne pus m'empêcher de sourire. L'idée qu'elle tente, que je tente aussi, pour voir jusqu'où elle pouvait aller. Si nos limites étaient trop espacées ou non. En sachant que les miennes existaient à peine, voir pas du tout. Mais il était parfois important d'explorer et je me sentais comme l'homme le plus aventurier sur l'instant. J'aimais qu'elle me mordille, et j’appréciais les caresses et petites griffures qu'elle exerçait sur mon torse. Je la laissais faire, profiter de ma personne tandis que j'immortalisais chaque instant et lui offrait un dernier moment de répit. Bien décidé à prendre ce qui me revenait de droit, ce que j'attendais d'elle. « Ma vue est splendide également. » La voix rauque, le souffle chaud, le corps s'approchant davantage d'elle, je touchais chaque parties de sa peau, laissait ma main libre l'effleurer. Mais je jouais, beaucoup, ne lui donnait pas les caresses dont nous avions terriblement envie sur l'instant. Car elle ne m'avait pas supplié et que ce besoin d'entendre cette voix sensuelle réclamer mes ferveurs m'excitait à un point que je ne saurais décrire avec de simples mots. Il semblerait néanmoins que mon érection parle d'elle-même et cela me tira un sourire amusé. Et terriblement suggestif. Comme la lueur animale et désireuse qui devait probablement vibrer dans mes pupilles. Je rompis notre baiser un court l'aspe de temps, pour glisser contre ses lèvres. « Test Min Ri. Ne t'arrêtes pas, regarde jusqu'où tu peux aller. Et ne te prive pas, j'aime tout. » la brutalité surtout, le contrôle aussi. Je désirais qu'elle fasse ce que je lui disais et si elle m'écoutait, je sentirais bientôt à nouveau ses mains sur moi. Pourtant, je scella encore une fois nos lèvres pour poursuivre ce que j'avais mis en suspend et dévorais sa bouche dans un besoin viscéral. Lui montrant le désir brutal qu'elle faisait naître en moi. Quand elle attrapa mon poignet et se recula, un sourire narquois prit possession de mes lèvres, tandis que j'haussais insolemment les épaules et répondit, du tac au tac. « Tu sais très bien ce que j'attends. » j'avais été clair sur mes intentions et sur ce que j'attendais. Et je finissais toujours par avoir ce que je voulais. Fixant ses yeux, je me pencha légèrement pour venir mordre délicatement son nez et embrasser sa paupière en collant un plus mon membre contre son intimité. Et la regardait ensuite dégrafer son soutien-gorge avec un sourire plus que révélateur et frotta légèrement mon torse contre ses tétons. Avant de remonter ma main et pousser son épaule pour qu'elle s'allonge un peu plus sur la taille, m'offrant une vue des plus sublimes. Que je pris un photo d'un regard brûlant, puis de l'appareil. Reposant ensuite l'objet pour venir plaquer mes paumes à sa taille et les remonter très lentement jusqu'à ses seins, que je me contrôlais pourtant à ne pas toucher. « Min. Supplies-moi. » je m'abaissais et soufflais outrageusement sur ses bouts de chairs que je trouvais particulièrement attirant. Mais je voulais entendre sa voix faible et impatiente me demandant de la toucher plus sincèrement, de la prendre réellement et cette envie était plus forte que mon besoin urgent de la goûter.
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 10 Mai - 19:57 Citer EditerSupprimer
Un jeu dangereux de tentation et de luxure auquel on jouait là. Plusieurs moi qu’on se tournait autour, et il avouait peu à peu que ca ne pouvait plus durer ainsi encore bien longtemps. Il en avait marre de se contenter de jouer au chat et à la souris. Il voulait que le chat croque la souris une bonne fois pour toute. Et au fond, moi aussi. JE crevais d’envie de le sentir me caresser bien plus profondement qu’il ne l’avait fait jusque-là. Et pourtant, par fierté, aucun de nous ne voulait céder en premier. Mais il allait bien falloir que l’un de nous se décide. Et il allait finir par me rendre dingue à ne pas me donner ce que je voulais et à se contenter de me titiller là où ca me donnait sacrement envie. Et cette lueur animale et sauvage qui faisait vibrer son regard en me fixant tel un prédateur sur sa proie me tordit le bas ventre de plaisir. J’aimais ce regard à part qu’il posait sur moi. Ce moment où on comprenait qu’il nous désirait plus que tout autre chose à ce moment précis. On se sentait soumise et dominatrice à la fois, car il ne voulait pas être le premier à faire le premier pas alors qu’il était clairement en dominance dans sa position, et de l’autre, on pouvait jouer avec ce plaisir pour le torturer délicieusement. Quand j’entendis ses mots, c’est dans mon regard qu’une lueur malsaine passa cette fois. Je me noyais ensuite encore dans un de ses baisers qui me faisait tourner la tête, et écoutant ses conseils, j’enfonçais mes ongles dans sa peau, mais cette fois, plus profondément sur ses bras muscles. Mes doigts descendirent doucement le long de sa peau, laissant une trainée rougeâtre où par endroit, du sang perlait légèrement. Je venais de le marquer sans aucune onde, appréciant même le geste. Je jetais un coup d’œil à mon œuvre avant de sourire contre ses lèvres et de mordre sa lèvre inférieur en le fixant du regard qui disait « tu as vu ce que j’ai fait ? Ca te suffit où tu en veux plus ? » Il venait me chatouiller là où j’avais envie de ressentir plein plus et je gémis contre sa peau, sur le bord de la défaillance. Il insistait. Il voulait que je cède. Et à ce rythme, c’était bel et bien ce que j’allais faire. Son érection collée contre mon intimité m’arrachait un cri malgré moi, et je fermais les yeux, frissonnant. Je le laissais m’allonger sur la table, lui étant totalement offerte. Je le fixais alors qu’il me prenait en photo, me plaignant du regard de me faire languir. Je me redressais sur les coudes alors que je le voyais se baisser vers mon entre-jambe encore couverte de mon jeans. « Yoon… » Ca devenait trop dur. Sentir son souffle si près du but et ne pas pouvoir l’avoir. C’était comme mettre un enfant devant un biscuit et lui dire qu’il ne pourrait l’avoir que si il demande poliment. « Je t’en prie … » J’avais finir par le dire. Je lui lançais même un regard suppliant du regard en guise de désespoir de cause. Mes tetons pointaient rien qu’à l’idée de le sentir bien plus proche. Des papillons dansaient dans mon ventre et mon cœur faisait boumboum. J’étais au bord du gouffre, prête à y sauter en sa compagnie, avec ou sans parachute …
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Un jeu dangereux de tentation et de luxure auquel on jouait là. Plusieurs moi qu’on se tournait autour, et il avouait peu à peu que ca ne pouvait plus durer ainsi encore bien longtemps. Il en avait marre de se contenter de jouer au chat et à la souris. Il voulait que le chat croque la souris une bonne fois pour toute. Et au fond, moi aussi. JE crevais d’envie de le sentir me caresser bien plus profondement qu’il ne l’avait fait jusque-là. Et pourtant, par fierté, aucun de nous ne voulait céder en premier. Mais il allait bien falloir que l’un de nous se décide. Et il allait finir par me rendre dingue à ne pas me donner ce que je voulais et à se contenter de me titiller là où ca me donnait sacrement envie. Et cette lueur animale et sauvage qui faisait vibrer son regard en me fixant tel un prédateur sur sa proie me tordit le bas ventre de plaisir. J’aimais ce regard à part qu’il posait sur moi. Ce moment où on comprenait qu’il nous désirait plus que tout autre chose à ce moment précis. On se sentait soumise et dominatrice à la fois, car il ne voulait pas être le premier à faire le premier pas alors qu’il était clairement en dominance dans sa position, et de l’autre, on pouvait jouer avec ce plaisir pour le torturer délicieusement. Quand j’entendis ses mots, c’est dans mon regard qu’une lueur malsaine passa cette fois. Je me noyais ensuite encore dans un de ses baisers qui me faisait tourner la tête, et écoutant ses conseils, j’enfonçais mes ongles dans sa peau, mais cette fois, plus profondément sur ses bras muscles. Mes doigts descendirent doucement le long de sa peau, laissant une trainée rougeâtre où par endroit, du sang perlait légèrement. Je venais de le marquer sans aucune onde, appréciant même le geste. Je jetais un coup d’œil à mon œuvre avant de sourire contre ses lèvres et de mordre sa lèvre inférieur en le fixant du regard qui disait « tu as vu ce que j’ai fait ? Ca te suffit où tu en veux plus ? » Il venait me chatouiller là où j’avais envie de ressentir plein plus et je gémis contre sa peau, sur le bord de la défaillance. Il insistait. Il voulait que je cède. Et à ce rythme, c’était bel et bien ce que j’allais faire. Son érection collée contre mon intimité m’arrachait un cri malgré moi, et je fermais les yeux, frissonnant. Je le laissais m’allonger sur la table, lui étant totalement offerte. Je le fixais alors qu’il me prenait en photo, me plaignant du regard de me faire languir. Je me redressais sur les coudes alors que je le voyais se baisser vers mon entre-jambe encore couverte de mon jeans. « Yoon… » Ca devenait trop dur. Sentir son souffle si près du but et ne pas pouvoir l’avoir. C’était comme mettre un enfant devant un biscuit et lui dire qu’il ne pourrait l’avoir que si il demande poliment. « Je t’en prie … » J’avais finir par le dire. Je lui lançais même un regard suppliant du regard en guise de désespoir de cause. Mes tetons pointaient rien qu’à l’idée de le sentir bien plus proche. Des papillons dansaient dans mon ventre et mon cœur faisait boumboum. J’étais au bord du gouffre, prête à y sauter en sa compagnie, avec ou sans parachute …
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Sam 17 Sep - 8:13 Citer EditerSupprimer
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mar 11 Oct - 7:47 Citer EditerSupprimer
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Lun 30 Jan - 8:25 Citer EditerSupprimer
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Re: tonight we'll burn the city down | ft. Minri | Mer 31 Mai - 12:32 Citer EditerSupprimer
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