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Hwang Sherley, the newcoming !
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Hwang Sherley, the newcoming ! | Jeu 3 Mar - 1:56 Citer EditerSupprimer
nom : Hwang prénom : Sherley âge : 20 date et lieu de naissance : 29 février 1996 origines : Coréennes et Anglaises nationalité : Sud-Coréenne cursus universitaire : Droit métier : aucun orientation sexuelle : Bisexuelle classe sociale : Pauvre code du règlement : olaf ? :$tu veux t'investir ? Non.
Hwang Sherley
In this blurry world, let’s make a big and dazzling flower bloom
CALME (★★★★✰) | MEFIANTE (★★★★✰) | CHARISMATIQUE (★★★★✰) | ANXIEUSE (★★★✰✰) | COMPREHENSIVE (★★★✰✰) |
ASOCIALE (★★★★✰) | DELICATE (★★★✰✰) | DESOBEISSANTE (★★★✰✰) | CONFIANTE (★★★★✰) | FORMALISTE (★★★★✰) |
Truth or Dare • Sherley serait une fille de bourgeois arrogante et égoïste qui voudrait se faire remarquer (X) • Sherley mépriserait toutes personnes appartenant aux "classes inférieures" (X) • Sherley serait une excellente élève (O) • Sherley n'a jamais été en couple (O) • Sherley se méfierait de quiconque l'approchait (O) • Sherley serait en réalité une psychopathe qui aurait passé 6 mois en asile de fous pour se faire soigner (X) • Sherley aurait essayé d'assassiner sa famille pour profiter de leur richesse (X) • Sherley serait adoptée par sa famille (X) • Sherley compte devenir procureur afin d'envoyer le plus de gens en prisons, même si ce sont des innocents (X) • Sherley serait en réalité une psychopathe (O) • D'anciens camarades de classes de Sherley qui connaissent son milieu de vie suggèrent qu'elle se serait prostituée à maintes reprises afin de subvenir à ses besoins (X) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Sherley est la personne la plus froide et rude aux premiers abords, quelqu'un que vous n'auriez jamais dû rencontrer. Non pas qu'elle est égoïste par pur plaisir, mais la dureté de la vie l'a rendue individualiste. Les gens la voient souvent comme narcissique, par le fait qu'elle soit tout le temps renfermée sur elle même. En réalité, elle voudrait énormément socialiser avec le monde, parler, raconter son histoire, vider son coeur, mais elle avait acquis au cours de ses vingt années d’existence une certaine méfiance. Cette prudence à l'égard de qui que ce soit l'avait éloignée du monde. Elle agissait avec discrétion, mais ce même comportement calme et ce physique attrayant laissait des gentilshommes tomber sous son charme. Elle refoulait ceux ci d'un regard stricte et d'un souffle froid. Ce caractère assez insolite laissait son entourage la qualifier de fantôme ou encore d'esprit malveillant. Mais cela, ce n'est que des apparences. En réalité, Sherley a un très grand coeur. Elle avait des sentiments, elle aimait, elle était vivante. Loin du cliché du corps sans âme que l'on lui avait attribué. C'était une personne en qui l'on pouvait faire confiance, une personne bonne. Malheureusement, elle même ne se connaissait pas réellement. Elle n'était pas savante de ses qualités intérieures qui faisaient d'elle un être sans égal. |
This is my story
don't assume you know my whole story just because you read the summary
Je suis née le 29 février 1996 à Londres, en Angleterre. Oui, c’est un jour de chance. Bien évidemment, j’ai grandi dans un grand chalet, toujours servie par des dames aussi souriantes que jamais. J’avais une aile pour moi seule. J’avais de l’argent, je pouvais m’acheter tout ce que je voulais. J’ai eu l’une des enfances les plus gâtées. Je n’ai jamais touché à la saleté. Je mangeais tous les matins des toasts, des œufs plats, du lard, des saucisses, des galettes de pomme de terre. Chaque après-midi, je dégustais mon thé dans mon salon, en lisant un livre. Une vraie fille de riche celle-là, n’est-ce pas ?
Détrompez-vous. De tout cela, je n’ai vécu aucun instant.
Je suis née à Londres. Oui. Peut-être dans une des ruelles de la capitale ?
Mon père ? Je ne le connais pas. Je l’aurai rencontré, je lui aurai craché dessus, je lui aurai arraché les cheveux, je l’aurai étranglé.
Plus jeune, ma mère me disait que mon père avait été porté disparu. Qu’il était pilote et que son avion n’a plus jamais été retrouvé. J’avais vécu, croyant en ce mensonge. Mais plus je grandissais, plus je me demandais comment se pouvait-il que la femme et la fille d’un pilote puissent avoir une vie aussi misérable que la nôtre, et plus j’éprouvais un plus grand dégoût pour cet homme qu’était « mon père ».
Ma mère était mendiante. Joli, non ? Des fois, quand les affaires marchaient bien, elle se permettait d’acheter du lait pour mouiller notre pain. Sinon, on buvait de l’eau de pluie parfois, parfois même on ne buvait pas. De l’aube jusqu’à tard le soir, elle courrait de rue en rue, demandant l’aumône. C’était une mère dont on pouvait être fière. Une mère qui ne reculait pas devant le danger. Une mère qui malgré le froid qui lui tranchait le corps se battait contre ce cauchemar qu’était la vie. Ça, vous verrez pourquoi.
Je me rappelle toujours de ce jour, en plein hiver. C’était mon anniversaire. Je fêtais mes cinq ans. Ma mère avait passé la journée à gagner quelques sous par ci par là. Elle était parvenue à ramasser une petite fortune afin acheter un petit biscuit du marchand de la rue parallèle à celle où j’avais l’habitude de dormir derrière les bacs à poubelle. Elle y avait planté une allumette et me l’avait offert en guise de gâteau d’anniversaire. J’étais heureuse. Je fêtais pour la première fois mon anniversaire. Je soufflais pour la première fois une bougie. J’avais cinq ans, j’étais jeune, mais je me rappelle toujours de mon souhait : je voulais que ma mère sorte de cette misère, coûte que coûte. Voir sa mère souffrir du matin jusqu’au soir pour rentrer avec un bout de pain dans les mains et un grand sourire sur les lèvres… Ca faisait chaud au cœur, mais ça le transperçait aussi de toutes parts.
Je continuais à passer mes journées dans la rue. Plus je grandissais, plus je travaillais. Lorsque je fus en l’âge d’aller à l’école, j’y suis allée. J’étudiais bien. J’étais déterminée à sortir de cette misère. Je devais sauver ma mère, coûte que coûte. Je ne pouvais rester sans agir. Le soir, quand je finissais mes cours, j’allais vendre des allumettes, ou tout objet peu utile, que les passants m’achetaient par charité.
Arriva un jour où nous fûmes refoulées en Corée du Sud. Nous étions pas seuls. Tous les sans-abris comme nous ont dû quitter les rues de la capitale.
Là-bas, j’avais continué mes études. Demandez à un enfant de huit ans quel est son rêve. Il vous répondra sans doute qu’il voudrait devenir maître ou maîtresse, ou encore médecin pour soigner les gens. Mais ni l’un ni l’autre ne pouvait autant guérir les blessures qu’avait dû supporter ma mère pendant toutes ces années. Je n’avais qu’une seule ambition, qu’un seul but dans la vie : sortir de cette pauvreté infâme. Cette envie se manifesta d’autant plus lorsque j’en appris plus sur ce présumé « père ».
Celui-ci était en réalité un Londonien. Loin d’être un pilote. Bien riche, il possédait de nombreuses demeures. Ma mère était femme de ménage dans l’une des siennes. Alors qu’elle rangeait la chambre du maître, un vase de collection lui échappa des mains et elle fut contrainte de payer pour son erreur. L’homme l’obligea alors de passer la nuit avec lui en échange de l’épargner. Une pauvre dame travaillant sous l’emprise d’un des plus grands hommes de la région ne pouvait refuser si elle tenait tant à sa vie. Ma mère se plia donc aux ordres. Le lendemain matin, endormie par un somnifère, elle se retrouva dans une forêt, violée, blessée de toutes parts, le visage sanglant, des traces de bleus partout sur son corps. Quoi qu’elle eut dit, quoiqu’elle eut fait, elle n’avait pas droit à la parole. C’était une femme, non, une traînée, une bagasse, une garce, plus explicitement, une p**asse.
Ma mère devint alors la pauvre misérable qui portait un enfant issu d’une union déshonorante. Plus aucun employeur ne la voulait dans ses locaux, et c’est ainsi qu’elle se retrouva à courir de rue en rue derrière une miette de pain.
J’étais fière d’elle. Elle avait réussi à encaisser tous les maux qu’elle subissait en raison de sa classe sociale. Elle avait été rejetée telle une vieille chaussette, une vieille chaussette que même le plus misérable des hommes ne porterait pour se protéger du froid. Elle faisait pitié aux gens, parfois elle était sujette de moqueries. Mais malgré cela, elle avait continué à vivre, et a voulu se venger….
Aujourd’hui, ma mère agonise seule dans sa chambre d’hôpital. Le ‘tit tit’ répétitif du cardiogramme craint de cesser à n’importe quel instant. L’atrocité de la vie l’a dangereusement possédée, la corde n’est qu’à un doigt de rompre.
Je m’étais décidée. La vie était injuste. Mais je voulais rendre à ma mère cette part de justice dont elle a été privée pendant des années. Je voulais la venger, la venger de cette vie impitoyable. Je n’avais qu’une seule ambition. Finir mes études. En les achevant, je voudrais être capable de défendre la veuve et l’orphelin. Défendre les plus démunis face aux plus riches. Ceux qui ont été privés de leur liberté, la liberté, ce qu’il y a de plus fondamental dans le monde. La liberté, chose que seuls les mieux placés détiennent.
Suite à l’hospitalisation de ma mère, j’avais quitté la maison de mes grands-parents qui vivaient en campagne pour m’installer en plein cœur de la capitale Seoul. J’avais loué une petite chambre menue d’une toilette individuelle. J’y avais installé une table pour poser mes affaires, un matelas assez fin, un oreiller, une couette, et une lampe. Le strict minimum, certes, mais je m’en sortais assez bien.
Je venais tout juste de rejoindre la Yonsei University cette année. Là-bas, mon rêve grandira, s’épanouira, et je pourrai enfin aboutir à un résultat. Après tant d’années de labeur, de peine et d’effort dans les rues glaciales de Londres et de Seoul. Je pourrais enfin goûter au fruit de notre corvée. Je pourrai enfin livrer mon combat contre la vie, mais cette fois-ci, en l’égalant en force.
Détrompez-vous. De tout cela, je n’ai vécu aucun instant.
Je suis née à Londres. Oui. Peut-être dans une des ruelles de la capitale ?
Mon père ? Je ne le connais pas. Je l’aurai rencontré, je lui aurai craché dessus, je lui aurai arraché les cheveux, je l’aurai étranglé.
Plus jeune, ma mère me disait que mon père avait été porté disparu. Qu’il était pilote et que son avion n’a plus jamais été retrouvé. J’avais vécu, croyant en ce mensonge. Mais plus je grandissais, plus je me demandais comment se pouvait-il que la femme et la fille d’un pilote puissent avoir une vie aussi misérable que la nôtre, et plus j’éprouvais un plus grand dégoût pour cet homme qu’était « mon père ».
Ma mère était mendiante. Joli, non ? Des fois, quand les affaires marchaient bien, elle se permettait d’acheter du lait pour mouiller notre pain. Sinon, on buvait de l’eau de pluie parfois, parfois même on ne buvait pas. De l’aube jusqu’à tard le soir, elle courrait de rue en rue, demandant l’aumône. C’était une mère dont on pouvait être fière. Une mère qui ne reculait pas devant le danger. Une mère qui malgré le froid qui lui tranchait le corps se battait contre ce cauchemar qu’était la vie. Ça, vous verrez pourquoi.
Je me rappelle toujours de ce jour, en plein hiver. C’était mon anniversaire. Je fêtais mes cinq ans. Ma mère avait passé la journée à gagner quelques sous par ci par là. Elle était parvenue à ramasser une petite fortune afin acheter un petit biscuit du marchand de la rue parallèle à celle où j’avais l’habitude de dormir derrière les bacs à poubelle. Elle y avait planté une allumette et me l’avait offert en guise de gâteau d’anniversaire. J’étais heureuse. Je fêtais pour la première fois mon anniversaire. Je soufflais pour la première fois une bougie. J’avais cinq ans, j’étais jeune, mais je me rappelle toujours de mon souhait : je voulais que ma mère sorte de cette misère, coûte que coûte. Voir sa mère souffrir du matin jusqu’au soir pour rentrer avec un bout de pain dans les mains et un grand sourire sur les lèvres… Ca faisait chaud au cœur, mais ça le transperçait aussi de toutes parts.
Je continuais à passer mes journées dans la rue. Plus je grandissais, plus je travaillais. Lorsque je fus en l’âge d’aller à l’école, j’y suis allée. J’étudiais bien. J’étais déterminée à sortir de cette misère. Je devais sauver ma mère, coûte que coûte. Je ne pouvais rester sans agir. Le soir, quand je finissais mes cours, j’allais vendre des allumettes, ou tout objet peu utile, que les passants m’achetaient par charité.
Arriva un jour où nous fûmes refoulées en Corée du Sud. Nous étions pas seuls. Tous les sans-abris comme nous ont dû quitter les rues de la capitale.
Là-bas, j’avais continué mes études. Demandez à un enfant de huit ans quel est son rêve. Il vous répondra sans doute qu’il voudrait devenir maître ou maîtresse, ou encore médecin pour soigner les gens. Mais ni l’un ni l’autre ne pouvait autant guérir les blessures qu’avait dû supporter ma mère pendant toutes ces années. Je n’avais qu’une seule ambition, qu’un seul but dans la vie : sortir de cette pauvreté infâme. Cette envie se manifesta d’autant plus lorsque j’en appris plus sur ce présumé « père ».
Celui-ci était en réalité un Londonien. Loin d’être un pilote. Bien riche, il possédait de nombreuses demeures. Ma mère était femme de ménage dans l’une des siennes. Alors qu’elle rangeait la chambre du maître, un vase de collection lui échappa des mains et elle fut contrainte de payer pour son erreur. L’homme l’obligea alors de passer la nuit avec lui en échange de l’épargner. Une pauvre dame travaillant sous l’emprise d’un des plus grands hommes de la région ne pouvait refuser si elle tenait tant à sa vie. Ma mère se plia donc aux ordres. Le lendemain matin, endormie par un somnifère, elle se retrouva dans une forêt, violée, blessée de toutes parts, le visage sanglant, des traces de bleus partout sur son corps. Quoi qu’elle eut dit, quoiqu’elle eut fait, elle n’avait pas droit à la parole. C’était une femme, non, une traînée, une bagasse, une garce, plus explicitement, une p**asse.
Ma mère devint alors la pauvre misérable qui portait un enfant issu d’une union déshonorante. Plus aucun employeur ne la voulait dans ses locaux, et c’est ainsi qu’elle se retrouva à courir de rue en rue derrière une miette de pain.
J’étais fière d’elle. Elle avait réussi à encaisser tous les maux qu’elle subissait en raison de sa classe sociale. Elle avait été rejetée telle une vieille chaussette, une vieille chaussette que même le plus misérable des hommes ne porterait pour se protéger du froid. Elle faisait pitié aux gens, parfois elle était sujette de moqueries. Mais malgré cela, elle avait continué à vivre, et a voulu se venger….
Aujourd’hui, ma mère agonise seule dans sa chambre d’hôpital. Le ‘tit tit’ répétitif du cardiogramme craint de cesser à n’importe quel instant. L’atrocité de la vie l’a dangereusement possédée, la corde n’est qu’à un doigt de rompre.
Je m’étais décidée. La vie était injuste. Mais je voulais rendre à ma mère cette part de justice dont elle a été privée pendant des années. Je voulais la venger, la venger de cette vie impitoyable. Je n’avais qu’une seule ambition. Finir mes études. En les achevant, je voudrais être capable de défendre la veuve et l’orphelin. Défendre les plus démunis face aux plus riches. Ceux qui ont été privés de leur liberté, la liberté, ce qu’il y a de plus fondamental dans le monde. La liberté, chose que seuls les mieux placés détiennent.
Suite à l’hospitalisation de ma mère, j’avais quitté la maison de mes grands-parents qui vivaient en campagne pour m’installer en plein cœur de la capitale Seoul. J’avais loué une petite chambre menue d’une toilette individuelle. J’y avais installé une table pour poser mes affaires, un matelas assez fin, un oreiller, une couette, et une lampe. Le strict minimum, certes, mais je m’en sortais assez bien.
Je venais tout juste de rejoindre la Yonsei University cette année. Là-bas, mon rêve grandira, s’épanouira, et je pourrai enfin aboutir à un résultat. Après tant d’années de labeur, de peine et d’effort dans les rues glaciales de Londres et de Seoul. Je pourrais enfin goûter au fruit de notre corvée. Je pourrai enfin livrer mon combat contre la vie, mais cette fois-ci, en l’égalant en force.
About me
Je suis...
tu sauras paaaaaaas :P
MWAHAHA J'VOUS DIRAI PAS QUI JE SUIS ♥
Nah en vrai je suis moi. Moi, je m'aime, je suis amoureuse de moi même. Doit-on dire que je suis moimêmephile ?
Naaaaaah.
En vrai je suis Serizz (ne me dites pas pourquoi ce nom, moi non plus je ne sais pas, j'ai juste tapé des lettres au hasard, ça m'a donné ça :3 joli quand même, nah ?), 16 ans, toutes mes dents. Je porte des lunettes et un appareil dentaire. Une pote aussi moche que moi (aka une ex membre de ce forum, Fleur ou jsp) m'a dit que ce forum (on se répète) gérait et que je devais absolument m'y inscrire. Voilààààà ! Et puis j'ai plus RP depuis presque 2 ans ;w; Je compte bien m'y remettre maintenant pour de bon.
Pour faire une petite intro par rapport à ma KPOP life, je suis fan depuis I think mi 2008. J'ai commencé avec les Super Junior et SNSD puis maintenant mes ultimate groups (parce que oui j'en ai 2 et y en a un autre qui arrive :3) sont les SNSD (ofc my queens ♥) et les BTS (comment pas aimer ces bâtards ?). Ultimate bias : S², aka Sunny and Suga free. Jimin c'est mon ex sinon. :c.
Ah oui et juste pour vous rassurer, je me suis pas lavée les aisselles. Elles sentent bon. Saveur estivale, odeur assez forte mais rappelle le parfum masculin de la virilité (bon j'me la ferme pour de bon, hein, vraiment :/).
Et.... aussi une dernière chose ! Pardonnez ma gaminerie. La KPOP a ruiné le peu de cerveau qui me restait, je crois que vous me comprenez. :c
Nah en vrai je suis moi. Moi, je m'aime, je suis amoureuse de moi même. Doit-on dire que je suis moimêmephile ?
Naaaaaah.
En vrai je suis Serizz (ne me dites pas pourquoi ce nom, moi non plus je ne sais pas, j'ai juste tapé des lettres au hasard, ça m'a donné ça :3 joli quand même, nah ?), 16 ans, toutes mes dents. Je porte des lunettes et un appareil dentaire. Une pote aussi moche que moi (aka une ex membre de ce forum, Fleur ou jsp) m'a dit que ce forum (on se répète) gérait et que je devais absolument m'y inscrire. Voilààààà ! Et puis j'ai plus RP depuis presque 2 ans ;w; Je compte bien m'y remettre maintenant pour de bon.
Pour faire une petite intro par rapport à ma KPOP life, je suis fan depuis I think mi 2008. J'ai commencé avec les Super Junior et SNSD puis maintenant mes ultimate groups (parce que oui j'en ai 2 et y en a un autre qui arrive :3) sont les SNSD (ofc my queens ♥) et les BTS (comment pas aimer ces bâtards ?). Ultimate bias : S², aka Sunny and Suga free. Jimin c'est mon ex sinon. :c.
Ah oui et juste pour vous rassurer, je me suis pas lavée les aisselles. Elles sentent bon. Saveur estivale, odeur assez forte mais rappelle le parfum masculin de la virilité (bon j'me la ferme pour de bon, hein, vraiment :/).
Et.... aussi une dernière chose ! Pardonnez ma gaminerie. La KPOP a ruiné le peu de cerveau qui me restait, je crois que vous me comprenez. :c
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>Hwang Eun Bi (SinB, GFRIEND)</taken> ✎ Hwang Sherley
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Jeu 3 Mar - 6:38 Citer EditerSupprimer
Bienvenue et courage pour ta fiche
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Jeu 3 Mar - 19:20 Citer EditerSupprimer
BIENVENUE PARMI NOUS JOLIE DEMOISELLE
Hâte de découvrir ton perso ♥
Hâte de découvrir ton perso ♥
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Jeu 3 Mar - 19:35 Citer EditerSupprimer
bienvenue sur stw je sais pas qui est la nana sur ton avatar mais une chose est sure, elle est canon
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Ven 4 Mar - 0:34 Citer EditerSupprimer
Merci à tous et à toutes ! :)
Sinon voilà ma fiche est finie. Comme précisé plus haut, il me semble qu'il y ait une erreur puisque je ne trouve pas le code dans le règlement, à moins que je ne me trompe ? Corrigez moi si c'est le cas.
Mon vava c'est SinB des GFRIEND. Et oui, elle est bonne :cArmani H. Freya a écrit:bienvenue sur stw je sais pas qui est la nana sur ton avatar mais une chose est sure, elle est canon
Sinon voilà ma fiche est finie. Comme précisé plus haut, il me semble qu'il y ait une erreur puisque je ne trouve pas le code dans le règlement, à moins que je ne me trompe ? Corrigez moi si c'est le cas.
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Ven 4 Mar - 1:45 Citer EditerSupprimer
Bienvenue sur le forum
Bon courage pour la suite, je t'envoie du love
Bon courage pour la suite, je t'envoie du love
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Ven 4 Mar - 9:21 Citer EditerSupprimer
Bienvenuuuuue parmi nous avec cette cutie. (j'découvre les GFriend en ce moment, tu tombes bien!)
Invité
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Re: Hwang Sherley, the newcoming ! | Ven 4 Mar - 13:54 Citer EditerSupprimer
hé non ma belle pas d'erreur dans le règlement, cherche bien, petit indice c'est un gif
je te laisse trouver ça avant de te valider, le temps que j'lise ta fiche
je te laisse trouver ça avant de te valider, le temps que j'lise ta fiche
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