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1, 2Quand le passé croise le présent - MinJae
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Mar 28 Juin - 4:36
quand le passé croise le présent
MinJae
Appartement de Jeung Jae
TENUE + [i]Il fuyait mes bras comme la peste alors qu’il s’était permis de s’y attarder plus que nécessaire quelques secondes auparavant comme un dernier au revoir, une dernière douceur avant la diète anticipée. Je baissais les yeux sur mon sac resté sur le sol, celui avec mes dernières affaires que je laissais toujours chez lui au cas où j’y passais la nuit. Des larmes perlaient aux coins de mes yeux. Je l’aimais. Je l’ai aimé au moment même où ses lèvres s’étaient posés sur les miennes. Vraiment. Sincèrement. Mais sa possessivité maladive avait fini par altérer ma propre vie, au point d’affecter notre relation. Mon lien avec mon meilleur ami n’était pas facile à comprendre par tous, j’en avais bien conscience, mais me demander de choisir, c’était une erreur. Je ne pouvais simplement pas l’abandonner. Il avait toujours été le premier. Le choix avait été vite fait. Je le faisais toujours passer en premier devant quiconque, quand bien même l’autre homme était celui de ma vie. Je relavais le regard vers Jae, un écran humide sur les pupilles qui me rendait son image floue. Il ne me menaçait pas, c’était juste un avertissement, une constations. Une conclusion tout simplement, aussi triste soit elle. Je me baisais pour ramasser mon sac, faisant un dernier pas vers le jeune homme, je déposais ma main sur sa joue, la caressant doucement du pouce, venant déposer un dernier baiser au coin de ses lèvres. « Je suis désole Jae, vraiment … » Je laissais retomber ma main avant de me détourner et dans un dernier coup d’œil, je murmurais un « je t’aime » du bout des lèvres, à peine audible. Une larme venait se loger au creux de ma joue. Une fin. Une fin douloureuse, mais nécessaire. Malgré la violence, malgré la colère, malgré la tristesse, il y avait eu de la joie, des rires et des doux souvenirs partagés. Des moments inoubliables qui nous marqueront à jamais. Qui me marqueront chaque fois que je le recroiserais… car il est une partie de moi, de ma vie, de mon existence que je ne veux jamais oublier.
Je lui jetais un regard en coin alors qu’il me proposait de m’arracher mes vêtements si je ne voulais pas les enlever de ma propre initiative. Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un léger rire, car au fond, il ne m’avait jamais habitué à cela. Jamais il n’avait été brusque, passionné oui, peut être un brin sauvage, mais jamais il n’avait joué au dominateur avec moi lors de notre relation passée. « Mmh ca pourrait être drôle, je pourrais même aimer ca, qui sait ? » le taquinais-je qu’à moitié, car si je ne connaissais pas cette partie de lui qu’il m’avait caché jusqu’alors, il ne connaissait pas non plus certaines de mes préférences au lit. Nous étions sorti que trois mois ensemble. Trois mois intenses de passion, mais c’était trop peu pour que je lui avoue ce que je pouvais aimer à ce sujet-là. Apres tout, je faisais confiance à peu de gens pour m’attacher dans un coin et faire ce qu’il voulait de mon corps. Autant dans la vie de tous les jours, j’aimais sentir la liberté courir dans mes veines, autant j’aimais être dominé en sport de chambre. Je haussais des épaules en l’entendant me conseiller de ne pas fuir la réalité, que ce n’était pas la solution au problème. Je m’en doutais bien, mais j’en avais pourtant l’envie. « J’aurais tout le temps d’affronter la réalité le moment venu, en attendant je peux tenter de la fuir. » Je souris un peu amère en le fixant se lever me chercher un bière. Puis, mon sourire devint plus doux en repensant à notre passé commun. Quand il revint vers moi, son soupire ne m’avait pas échappé. J’attrapais la bière qu’il me tendait. « Te voilà bien gentleman ! » le taquinais, agrippant mes doigts à son haut que je tirais vers moi avant de le pousser dans le canapé. Je le laissais à peine le temps de se réinstaller que je grimpais à califourchon sur ses genoux, buvant de grandes goulées au goulot de ma bouteille. « On dirait que toi aussi, tu as quelques soucis. » déclarais-je en m’essuyant la bouche d’un revers de la main. J’avais déjà descendu quelques canettes de bières avant de venir chez lui, alors une de plus ou de moins n’allait rien changer, mh ?
Je lui jetais un regard en coin alors qu’il me proposait de m’arracher mes vêtements si je ne voulais pas les enlever de ma propre initiative. Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un léger rire, car au fond, il ne m’avait jamais habitué à cela. Jamais il n’avait été brusque, passionné oui, peut être un brin sauvage, mais jamais il n’avait joué au dominateur avec moi lors de notre relation passée. « Mmh ca pourrait être drôle, je pourrais même aimer ca, qui sait ? » le taquinais-je qu’à moitié, car si je ne connaissais pas cette partie de lui qu’il m’avait caché jusqu’alors, il ne connaissait pas non plus certaines de mes préférences au lit. Nous étions sorti que trois mois ensemble. Trois mois intenses de passion, mais c’était trop peu pour que je lui avoue ce que je pouvais aimer à ce sujet-là. Apres tout, je faisais confiance à peu de gens pour m’attacher dans un coin et faire ce qu’il voulait de mon corps. Autant dans la vie de tous les jours, j’aimais sentir la liberté courir dans mes veines, autant j’aimais être dominé en sport de chambre. Je haussais des épaules en l’entendant me conseiller de ne pas fuir la réalité, que ce n’était pas la solution au problème. Je m’en doutais bien, mais j’en avais pourtant l’envie. « J’aurais tout le temps d’affronter la réalité le moment venu, en attendant je peux tenter de la fuir. » Je souris un peu amère en le fixant se lever me chercher un bière. Puis, mon sourire devint plus doux en repensant à notre passé commun. Quand il revint vers moi, son soupire ne m’avait pas échappé. J’attrapais la bière qu’il me tendait. « Te voilà bien gentleman ! » le taquinais, agrippant mes doigts à son haut que je tirais vers moi avant de le pousser dans le canapé. Je le laissais à peine le temps de se réinstaller que je grimpais à califourchon sur ses genoux, buvant de grandes goulées au goulot de ma bouteille. « On dirait que toi aussi, tu as quelques soucis. » déclarais-je en m’essuyant la bouche d’un revers de la main. J’avais déjà descendu quelques canettes de bières avant de venir chez lui, alors une de plus ou de moins n’allait rien changer, mh ?
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Mar 9 Aoû - 19:54
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C'est une chose que je n'arrive pas à comprendre. Tout m'échappe à un moment donné, quand tout me semble pour acquis. Ma vie n'a jamais été simple, elle n'a été qu'un ramassis d'échec en y repensant aujourd'hui. Te voir t'éloigner de moi me fait horriblement peur et pourtant, même si je veux que tu restes ici avec moi, quelque chose au fond de moi s'est brisé. Si tu voulais vraiment de moi, Lee Min Ri, tu n'aurais pas franchi cette porte.Peux-tu réellement dire que tu m'aimes ? Je ne sais même pas si tu as entendu mes mots, car j'ai peut-être attendu quelques secondes après que tu ais franchi la ligne sans retour. J'ai espéré, un instant, que tu reviendrais. Que tu regrettes immédiatement. Que tu refuses de m'abandonner. Le sentiment qui m'anime, cette tristesse, me fait mal au cœur. Peut-être est-ce là, ce moment ou les gens normaux pleurent ? Je ne sais pas. qu'est ce que je peux savoir au final de tout ça. Si la tristesse gagne mon corps, la colère la balaye d'un revers violent et plusieurs affaires valses dans l'appartement. Pourquoi tu me fais ça Lee Min Ri ? Est-ce que ce type vaux mieux que moi ? Je ne suis pas idiot. Je sais. Je sais qu'un jour ou l'autre, on me vole ce que j'ai de plus cher. Je tourne en rond comme un lion en cage, enversant de temps à autre le premier truc qui me tombe sous la main : pas de chance, ma lampe de chevet vient de passer par la fenêtre. Pourquoi tout m'échappe ? Pourquoi est-ce que j'échoue tout ce que j'entreprend ? Pourquoi ne peuvent-ils pas comprendre ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Je voudrais retirer cette douleur qui me crispe, cette douleur qui me paralyse par moment quand je revois cette porte. Pourquoi tu pars. Je m'en arracherais presque les cheveux. Je veux échapper à ces sentiments. Je n'aurais jamais dû t'aimer. J'aurais dû rester loin de tout. Je veux oublier. Je veux t'oublier. Je veux... Three. Inconsciemment, j'avais ouvert la valise adenassée au fond du cagibi. Inconsciemment, je contemplait les quelques grammes de came que je devais dealer d'un air absent en pensant à mon meilleur ami décédé. du revers de la main, j'ai essuyé cette chose humide et salée qui perlait sur ma joue. Qu'est ce qui peut m'arriver de pire maintenant ?
Cette femme, malgré ses actes passé, t'as pas réussi à l'oublier. Peut-être as-tu réalisé des choses à son sujet, dans un sens, même si tu ne sais pas vraiment si tu l'as vraiment aimé, tu sais que tu tiens à elle. Ce n'est pas que tu ne l'as pas "aimée". Tu l'as aimée, mais peut-être que tu aimais principalement le fait de ne plus être constamment seul. Que sa compagnie te réconfortait. Dans ton cercle de mensonge, tu avais étouffé ta relation. après y avoir réfléchi, tu n'en voulais pas vraiment à Min Ri. tu en voulais à In Su, mais Min Ri... Elle t'avait aidée malgré la peine infligée... Et c'est pourquoi, lorsqu'elle t'annonce préférer fuir la réalité actuellement, tu t'inquiètes. Parce que la plus dure sera la chute. Chérie, tôt ou tard tu le regretteras. Toi aussi tu l'as regretté, et c'est pour cela que tu le lui dit. Par expérience. tu la laisses te complimenter de gentleman, cherchant malgré ta volonté à savoir ou deviner ce qui a bien pût la mettre dans cet état - pour qu'elle ose, si on peut se permettre - revenir vers toi. Tu la laisse te tirer et s'installer convenablement sur toi. Tu as l'air d'un inspecteur avec tes sourcils froncé. tu n'aimes pas les mystères, mais néanmoins la prison t'a appris à te "mêler de tes affaires"... Sauf d'en venant ici,n Min Ri avait fait de son affaire la tienne. Quelques soucis mh ? Cette remarque t'arrache un sourire en coin, le genre à ne s'afficher qu'en cas de situation particulièrement... Particulière. Tes problèmes sont les cadets de mes soucis, jeune fille. Tu reposes tes bras le long du canapé, feintant ne plus vraiment pouvoir picoler. Mais m'empêcher de regarder la course ne va pas t'aider. Comme si la course t’intéressait pour le moment. Ton sourire ne te quitte pas, trahissant tes mots. Dans un premier temps, on aurait put croire que tu étais désagréable, mais bien au contraire, tu rentres dans son jeu. Ou alors, tu peux... Tu lèves ta main libre pour tirer légèrement son pull. M'empêcher de regarder la course en appliquant la première consigne si tu souhaites vraiment rester ici.
Cette femme, malgré ses actes passé, t'as pas réussi à l'oublier. Peut-être as-tu réalisé des choses à son sujet, dans un sens, même si tu ne sais pas vraiment si tu l'as vraiment aimé, tu sais que tu tiens à elle. Ce n'est pas que tu ne l'as pas "aimée". Tu l'as aimée, mais peut-être que tu aimais principalement le fait de ne plus être constamment seul. Que sa compagnie te réconfortait. Dans ton cercle de mensonge, tu avais étouffé ta relation. après y avoir réfléchi, tu n'en voulais pas vraiment à Min Ri. tu en voulais à In Su, mais Min Ri... Elle t'avait aidée malgré la peine infligée... Et c'est pourquoi, lorsqu'elle t'annonce préférer fuir la réalité actuellement, tu t'inquiètes. Parce que la plus dure sera la chute. Chérie, tôt ou tard tu le regretteras. Toi aussi tu l'as regretté, et c'est pour cela que tu le lui dit. Par expérience. tu la laisses te complimenter de gentleman, cherchant malgré ta volonté à savoir ou deviner ce qui a bien pût la mettre dans cet état - pour qu'elle ose, si on peut se permettre - revenir vers toi. Tu la laisse te tirer et s'installer convenablement sur toi. Tu as l'air d'un inspecteur avec tes sourcils froncé. tu n'aimes pas les mystères, mais néanmoins la prison t'a appris à te "mêler de tes affaires"... Sauf d'en venant ici,n Min Ri avait fait de son affaire la tienne. Quelques soucis mh ? Cette remarque t'arrache un sourire en coin, le genre à ne s'afficher qu'en cas de situation particulièrement... Particulière. Tes problèmes sont les cadets de mes soucis, jeune fille. Tu reposes tes bras le long du canapé, feintant ne plus vraiment pouvoir picoler. Mais m'empêcher de regarder la course ne va pas t'aider. Comme si la course t’intéressait pour le moment. Ton sourire ne te quitte pas, trahissant tes mots. Dans un premier temps, on aurait put croire que tu étais désagréable, mais bien au contraire, tu rentres dans son jeu. Ou alors, tu peux... Tu lèves ta main libre pour tirer légèrement son pull. M'empêcher de regarder la course en appliquant la première consigne si tu souhaites vraiment rester ici.
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Dim 25 Sep - 20:22
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TENUE + Cet homme sur lequel je me tenais avec désinvolture, une habitude si familière que je n’avais pas avec n’importe qui, j’étais toujours attiré par lui d’une certaine manière. Je me confiais naturellement, des gestes qui auraient dû être oublié avec notre rupture, et qui pourtant, persistait. Une complicité qui, peu à peu, refaisait surface pour nous faire tomber dans un jeu dangereux, mais si délicieux. Un danger imminent qui nous faisait perdre la tête, soulevant notre garde et effaçant notre méfiance, laissant place à une confiance à nouveau naissante. Je souris, lui le couvant quelques secondes d’un regard plus doux alors que je le voyais s’inquiéter à sa façon pour moi, essayant de me mettre en garde. Au fond, il n’avait pas changé. Il avait toujours ce côté protecteur bien caché derrière sa façade d’homme sûr de lui. Il faisait le désintéressé alors qu’il était intrigué. Malheureusement pour lui, je me fichais bien de regretter par la suite ou non ce que je m’apprêtais à faire. Je voulais juste tout oublier. Qui serait là pour m’en blâmer de toute manière ? Le principal intéressé était en prison à présent, et on m’empêchait de le voir, alors que je venais d’apprendre qu’il avait peut-être un enfant avec une autre. Comment avait-il pu me cacher tant de chose ? Comment en étions-nous arrivés là pour avoir autant de secret l’un pour l’autre ? L’un comme l’autre, nous n’avions aucune envie de parler de nos problèmes respectifs à l’instant, et c’était peut-être mieux ainsi. Néanmoins, mon sourire changea du tout au tout, alors qu’il me réprimandait faussement de l’empêcher de regarder sa course. Je bus une nouvelle goulée du liquide ambré avant de déposer la bouteille sur la table basse et de me retourner vers lui. Je me penchais vers Jae, mon regard animé par une lueur plus bestiale, je vins lui murmurer doucement à l’oreille. « Je connais quelque chose de bien plus distrayant qu’une minable petite course. » Et suite à sa proposition, j’en convenu qu’on était sur la même longueur d’onde. Je me redressais et attrapais les pans de mon pull, que je fis passer par-dessus ma tête, dévoilant ma peau nacrée sur un ventre plat et légèrement musclé par la musculation. Quelques bleus causés par les entrainements de boxe, donnaient de l’ombre à la vue. Je n’y avais plus qu’un morceau de tissus en dentelle qui recouvrait ma poitrine, ne laissant plus vraiment place à l’imagination. De toute façon, il l’avait déjà vu plus d’une fois autre fois. je jetais mon haut sur l’accoudoir du divan, le laissant admirer la nouveau paysage se dessinant au balcon. « Tu aimes la nouvelle vue ? » lançais-je sur un ton léger, alors que mon rire cristallin résonnait dans la pièce.
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Lun 14 Nov - 21:45
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La température monte, et ce n'est pas juste une impression, Jeung Jae. Deux personnes qui se sont aimées et qui se retrouvent seules, dans un instant particulier. Deux personnes cherchant à oublier la solitude qui les ronge. Pensais-tu vraiment y échapper ? Tu n'as pas envie d'aller trop loin, mais ton instinct n'a pas non plus envie d'arrêter là. Tu as chaud, probablement avec l'alcool qui commence à faire effet, mais pas seulement. Ce corps que tu as maintes fois parcouru ne t'a jamais laissé indifférent. Elle a raison : la course est bien minable face au spectacle que tu contemples, mais même si elle peu apercevoir un court instant cette lueur au coin de tes yeux, bien vite tu parviens - pour l'instant - à récupérer ton sang froid. Il s'en passe des choses dans ta tête, mais jamais tu ne les diras. Il suffit que Min Ri guette la moindre de tes expressions, aussi minime soient-elles, pour qu'elle capte.
Par fierté, peut-être, tu tentes de rester indifférent. Ce serait vraiment dommage... dis-tu à voix haute en fixant son ventre que tu viens caresser du bout des doigts, perdu dans tes pensées. Effectivement, ce serait dommage de cracher sur une telle occasion en or de passer du bon temps, et tu n'aimerais pas le regretter par la suite. Plutôt que de continuer sur ta pensée, tu inspires profondément puis sur un ton un peu moins évasif tu reprends. Tu crois vraiment être en état ce soir ? tu essais de te protéger, par peur de replonger dans cette addiction : Min Ri. Tu sais que tu as perdu gros lors de votre séparation. dans un sens, tu as toujours eu besoin d'être rassuré, malgré ta volonté à toujours vouloir affronter les problèmes de face. Alors, pour une fois, toi qui a toujours aimé contrôler les choses, tu vides ton esprit. L'alcool, ton meilleur ami après la drogue.
Tellement d'envies à contrôler, mais plus une case de ton esprit clair. D'un geste rapide, pas particulièrement brusque, Min Ri se retrouve allongée sur le canapé, et toi au dessus. Dominant, comme d'habitude. Sans la quitter des yeux, silencieusement, tu te demandes si ce que vous faites, c'est bien.
Comme si cette pensée pouvait t'influencer ou t'importer.
Mais tu ne bouges pas. tu reste là à la fixer. Elle est toujours aussi belle... Mais ça, ça tu le gardera pour toi. Parce qu'elle n'a pas besoin d'entendre ça ce soir. Pas venant de toi.
Par fierté, peut-être, tu tentes de rester indifférent. Ce serait vraiment dommage... dis-tu à voix haute en fixant son ventre que tu viens caresser du bout des doigts, perdu dans tes pensées. Effectivement, ce serait dommage de cracher sur une telle occasion en or de passer du bon temps, et tu n'aimerais pas le regretter par la suite. Plutôt que de continuer sur ta pensée, tu inspires profondément puis sur un ton un peu moins évasif tu reprends. Tu crois vraiment être en état ce soir ? tu essais de te protéger, par peur de replonger dans cette addiction : Min Ri. Tu sais que tu as perdu gros lors de votre séparation. dans un sens, tu as toujours eu besoin d'être rassuré, malgré ta volonté à toujours vouloir affronter les problèmes de face. Alors, pour une fois, toi qui a toujours aimé contrôler les choses, tu vides ton esprit. L'alcool, ton meilleur ami après la drogue.
Tellement d'envies à contrôler, mais plus une case de ton esprit clair. D'un geste rapide, pas particulièrement brusque, Min Ri se retrouve allongée sur le canapé, et toi au dessus. Dominant, comme d'habitude. Sans la quitter des yeux, silencieusement, tu te demandes si ce que vous faites, c'est bien.
Comme si cette pensée pouvait t'influencer ou t'importer.
Mais tu ne bouges pas. tu reste là à la fixer. Elle est toujours aussi belle... Mais ça, ça tu le gardera pour toi. Parce qu'elle n'a pas besoin d'entendre ça ce soir. Pas venant de toi.
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Dim 27 Nov - 23:21
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TENUE + L’alcool me rendait légère, mais pas seulement. La nostalgie de nos souvenirs communs refaisaient surface et se mêlaient à nos émotions présentes. J’avais envie d’oublier. De revenir à un passé rassurant, réconfortant. Au diable les conséquences. Ne plus penser. Ne plus réfléchir. Juste vivre. Et puis, c’était Jae. Ce n’était pas n’importe qui. Je l’avais aimé plus que n’importe qui. Mais la passion nous avait consumés. Trop rapide. Trop forte pour qu’on puisse la suivre. Et on avait terminé sans vraiment finir. Alors quand il me demandait si j’étais en état ce soir, je ris de nouveau, laissant la pièce s’imprégnée de mon rire alors que le jeune homme jouait les indifférents. « Je n’ai jamais été aussi certaines ! » Les caresses qu’il me procure par un frôlement des doigts sur le ventre me fait frissonner. Des caresses qui m’avaient tant manqué sans que je ne puisse jamais vraiment me l’avouer. Un couinement de surprise voulut s’échapper d’entre mes lèvres quand je me sentis partir sur le côté soudainement, mais l’air m’en fut couper. J’écarquillais les yeux pour voir Jae au-dessus de moi, dominant comme à son habitude. J’étais à sa merci. Mon sourire avait disparu pour laisser place à une contemplation de son regard si désireux tout d’un coup. Avais-je trop joué avec le feu ? Était-ce bien ce qu’on s’apprêtait de faire ? Sans doute que non, mais il y avait-il seulement quelqu’un pour nous arrêter ? Nos consciences à l’abonnées absente. Il avait l’air d’un prédateur qui venait d’attraper sa proie. Il était beau avec ses airs de sauvage indomptable. J’avais toujours été attiré par les mauvais garçons, et Jae était tellement tout ce que j’aimais. Dans le fond, c’était sans doute pour cela que j’avais si facilement craquer pour lui autrefois, et encore aujourd’hui, que je tombais dans ses bras. Un péché inavoué. Un amour sans futur. J’attrapais soudainement le haut du col de sa chemise, et je tirais un coup sec vers moi, faisant sauter la plupart de ses boutons pour en libérer son torse prisonnier. « Qu’est ce qu’il y a ? Je t’ai connu plus sauvage, Jae. » susurrais-je comme pour l’attirer dans un piège où il ne pourrait pas s’enfuir sans aller jusqu’au bout. « Tu as peur ? Parce que moi non ? » Bien sur que si, mais j’aimais ca, le danger. Je l’avais aimé lui. Et ce soir, je voulais m’oublier dans les souvenirs du passé…
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Sam 21 Jan - 21:49
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Le silence. tu ne réagis pas à sa provocation, car tu es loin d'avoir à lui prouver quoi que ce soit. Min Ri n'a jamais vraiment connu tes côtés les plus sauvage comme elle semble le sous entendre, et cette réflexion t'arrache un sourire. C'est pas pour moi que je m'inquiète, Lee Min Ri. lui dis-tu d'un ton grave, sans pour autant cacher cette envie qui peut se lire dans tes yeux. Cette chemise ouverte, cette peau nue, tout pour te faire craquer, et pourtant, la seule volonté qui te maintien encore c'est cet intérêt pour le bien-être de cette fille qui t'a largué. Va t-elle regretter ? S'en voudra t-elle ? Est-ce qu'elle va pleurer ?
Et puis après tout... Au diable. murmure-tu à ton subconscient qui tente de te raisonner. Elle l'a cherché, non ? Cette chemise est une preuve de son consentement et puis tu n'as pas enlever ces vêtements toi même. Peut-être que ce soir, elle pensera à ce type... Mais ce n'est que partie remise.
Ta main glisse sur ses hanches pour passer dans le creux de son dos, ainsi tu peux la ramener vers toi pour que vos visages soient à quelques centimètres l'un de l'autre. Même si l'envie d'emprisonner ces lèvres est forte, tu t'obstines à ne pas sceller cette soirée par un baiser, conscient qu'il ne s'agira ni plus ni moins d'une aventure pour elle comme pour toi. Vos souffles se croisent, dans un silence probablement animé par ton coeur qui tambourine à ta poitrine. Tes doigts libres relèvent légèrement le menton de la jeune femme afin de te donner accès à ce cou que tu as gratifié de nombreuses fois de tes baisers, mais ce soir, tes lèvres frôlent simplement cette peau pâle, tentant de frustrer au maximum la demoiselle sous cette délicatesse inhabituelle. Tu t'attardes un peu plus au dessus de sa jugulaire, tentant au passage de sentir son rythme cardiaque s'accélérer ou non, puis, doucement, ta main te guide vers sa clavicule avant de venir jouer avec sa bretelle. Peut-être va t-elle regretter ? En tous cas, toi, non.
Et puis après tout... Au diable. murmure-tu à ton subconscient qui tente de te raisonner. Elle l'a cherché, non ? Cette chemise est une preuve de son consentement et puis tu n'as pas enlever ces vêtements toi même. Peut-être que ce soir, elle pensera à ce type... Mais ce n'est que partie remise.
Ta main glisse sur ses hanches pour passer dans le creux de son dos, ainsi tu peux la ramener vers toi pour que vos visages soient à quelques centimètres l'un de l'autre. Même si l'envie d'emprisonner ces lèvres est forte, tu t'obstines à ne pas sceller cette soirée par un baiser, conscient qu'il ne s'agira ni plus ni moins d'une aventure pour elle comme pour toi. Vos souffles se croisent, dans un silence probablement animé par ton coeur qui tambourine à ta poitrine. Tes doigts libres relèvent légèrement le menton de la jeune femme afin de te donner accès à ce cou que tu as gratifié de nombreuses fois de tes baisers, mais ce soir, tes lèvres frôlent simplement cette peau pâle, tentant de frustrer au maximum la demoiselle sous cette délicatesse inhabituelle. Tu t'attardes un peu plus au dessus de sa jugulaire, tentant au passage de sentir son rythme cardiaque s'accélérer ou non, puis, doucement, ta main te guide vers sa clavicule avant de venir jouer avec sa bretelle. Peut-être va t-elle regretter ? En tous cas, toi, non.
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Re: Quand le passé croise le présent - MinJae | Mer 12 Avr - 23:16
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TENUE +Au diable. Des mots qui résumaient bien la situation actuelle entre ces deux êtres qui se désiraient, ne serait-ce que pour une nuit. Ce désir qui brulait au fond de ces prunelles ne m’avaient pas échappé, car il faisait écho au mien qui le dévorait littéralement du regard, retrouvant un instant cette complicité qui nous liait autrefois. Ce pauvre fou s’inquiétait encore pour moi alors que nous étions plus ensemble depuis plusieurs semaines, voire mois maintenant. Un sourire flotta quelques secondes sur mes lèvres, un brin nostalgique de ce temps où nous étions ensemble. Je balayais son inquiétude d’un revers de main en même temps que les dernières barrières qu’il mettait encore entre nous. Quoi qu’il se passe, je ne regretterais pas. C’était mon choix, c’était le sien. Ce qui se passerait ce soir, restera à ce soir. je fermais les yeux, frémissant sous ses caresses, retrouvant ce toucher qui me semblait encore si familier. Je laissais échapper un rale d’aise aux travers de mes lèvres. Quand mes paupières se relevèrent, nos visages étaient si proche que je pensais qu’il allait m’embrasser, mais il n’en fit rien, préférant offrir une douce torture de tendresses à mon cou dont il ne m’avait jamais habitué jusqu’à lors. Une frustration aigue de passion montait à moi alors qu’il s’obstinait encore et encore à ne frôler que ma peau. Cette nuit, je laissais la douceur aux anges, et je prenais rendez-vous avec le diable pour une partie de jambes en l’air inoubliable, qui me ferait oublier tout le reste. M’abandonner. Me libérer. Voilà ce dont j’avais besoin. Je me collais un peu plus à lui, avant de passer une main dans mon dos pour libérer mes trésors du lien qui les retenait encore. Mes doigts vagabondèrent ensuite sur son torse bien ciselé, laissant sa chemise tombée sur ses bras avant de m’en débarrasser définitivement. Griffant doucement son dos, laissant des frissons remonter son échine, j’enlaçais mes jambes autour de sa taille, collant nos bassins l’un contre l’autre, avant de susurrer à son oreille et de la mordiller sans ménagement. « J’en veux plus, Jae ». Le retour d’une passion éteinte. L’étreinte de deux amants oubliés…
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