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Katō Nanami ♦I like to move it baby
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Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mar 22 Mar - 21:22 Citer EditerSupprimer
nom : Katō prénom : Nanami, surnommée Nana ou Seven selon ses amis et connaissances (ou clients car c'est également son nom de scène) âge : 23 ans date et lieu de naissance : 29 novembre à Ōshū au Japon origines : Akita Inu pure race nationalité : Japonaise cursus universitaire : Aucun métier : Strip-teaseuse orientation sexuelle : On pourrait croire qu'elle est bi, mais pourtant Nana est purement hétéro classe sociale : Elle se débrouille pour s'en sortir à chaque fin de mois et subvenir à tout ses besoins code du règlement : Olaf. tu veux t'investir ? ♥ Oui, mais non. Sauf si vous me donnez un très bon argument !
Katō Nanami
Once you're in hell only the devil can help you out
TIMIDE (★★★★✰) | OBSESSIVE (★★★★★) | FÊTARDE (★★★★★) | MENTEUSE (★✰✰✰✰) | TÊTUE (★★★★★) |
DÉTERMINÉE (★✰✰✰✰) | SERVIABLE (★★★✰✰) | CRÉATIVE (★★★★★) | PERDUE (★★★★★) | TÉMÉRAIRE (★✰✰✰✰) |
Rumour has it... Survole l'avatar, petit coquin. | My character On raconte qu'il existe deux personnes dans ce même corps. Les gens doutent de ce personnage. Difficile de croire que cette jeune femme timide qui ose à peine demander un café ou un conseil à un vendeur puisse danser la nuit à peine vêtue. Créer son personnage pour s'en sortir, c'est probablement sa solution, mais la réalité est autre : Nanami est une toute autre personne lorsqu'il est question de danser, et ce qu'importe la tenue ou la non tenue! Couper l'hirondelle dans son envol pour la cloisonner dans une cage. C'est à peu prêt ainsi qu'il faut voir la vie de la japonaise. Rater son rêve fut probablement la pire chose qui lui soit arrivée. Le peu de confiance que la jeune femme avait pu acquérir au cours de ses années d'apprentissage de la danse fut consumer lorsqu'elle fut contrainte de tout arrêter. Arriver en haut de la reconnaissance pour finalement sombrer dans l'oubli. Peut être aurait elle dut vivre de sa gloire aussi courte fut elle... Mais Nanami est loin d'être assez forte pour assumer cet échec. Si accrochée à sa barre de pôle danse son maquillage peut lui donner des airs durs et séducteurs, elle reste une jeune demoiselle frêle qui manque de s'écrouler au moindre changement. Incertaine de sa vie malgré son âge, Nanami est restée coincée à l'âge de l'adolescence. Ce n'est plus une petite fille, mais pourtant certains de ses choix trahissent encore son manque de maturité. Perdue. C'est ce qui la qualifie aussi, car elle manque totalement d'assurance dans ce qu'elle entreprend. Très peu intrépide et parfois frigide, c'est un énorme contraste que de la voir faire son spectacle. Seul son blog est un exutoire ou elle peut parler librement sans avoir peur de son propre jugement. Les autres la rassurent dans ses choix, ses explications. Aussi fou que cela puisse paraître elle est fière de son métier et le prend avec tout le sérieux possible. Parfois, on dit qu'elle n'a pas d'amour propre, mais c'est probablement la seule chose qu'elle peut contrôler librement dans sa vie. Elle se laisse embarquer des des folies par moments, avec ses collègues, son petit cercle d'ami ou autre, faisant d'elle une fille de la nuit à part entière. Un oiseau de nuit qu'on voit rarement traîner de jour, sauf lorsqu'elle divague sur le campus à la recherche de réponses, tel un zombie. Parfois, il lui arrive de s'incruster aux cours quelques minutes, avant de disparaître si elle ne s'est pas endormie avant... Car le silence que lui prodigue son appartement est destructeur, si bien qu'elle ne supporte que rarement le fait d'y rester trop longtemps. |
This is my story
citation de ton choix
Voilà deux ans que tu es en Corée, tu ne parles pas un mot mais tu es bel et bien là. Ce soir, tu dois faire l'enterrement de vie de garçon d'un jeune gosse de riche. Le quartier est respectable, mais tu n'aimes pas te rendre dans ces lieux privé car tu te sens vulnérable quand il est question d'exercer ta profession. Au club, tu est beaucoup moins à découvert dans ce que tu caractérises comme ta cage. Ton frère n'approuve pas ta profession, parce qu'il pense que tu gâche ton talent, mais c'est ton choix de raccrocher la danse à simplement des déhanchés sexy et une barre de pole dance... Et pourtant, il a accepté ta requête, la "dernière" comme il te l'a dit hier soir : venir te chercher après le show.
Au final, tu avais peur pour rien, car ce sont des gens respectables, même si un peu ivre, tout semble aller mieux que tu l'espérais. Tu passes rapidement de ton uniforme d'infirmière aux seins nu et string en dentelle, narguant les mâles de tes déhanchés. A l'heure indiquée pour partir, tôt dans la nuit du lendemain matin, tu t'es rhabillée et tu patiente au point de rendez-vous avec ta jupe un peu trop courte et tes talons. Ton maquillage provoquant pourrait te faire passer pour une fille de joie, mais tu n'es pas dans cette branche. Le peu de passant t'observe, murmure. Les heures passent, les minutes, avant que tu te décides finalement au lever du jour à rentrer chez toi. Tu n'a pas ton téléphone, alors tu retournes au lieu de la fête pour appeler un taxi, là ou un gentil garçon te propose de te ramener chose que tu acceptes sous la fatigue.
Ils étaient vraiment gentils ces clients. Raccompagnée à proximité, tu as échangé dans la voiture avec ce qui semblerait être le seul homme non ivre de la soirée qui parlait japonais. Une aubaine pour toi, qui te sentait seule. Un home intéressant, courtois, avec un bel avenir devant lui - pas comme toi. Tu lui parles de Koji, de pourquoi tu penses qu'il n'est pas venu.
Mais devant chez toi, ils sont là. La police t'attend de pied ferme. Incompréhension, tu sors de la voiture accompagnée de ton chauffeur qui semble aussi inquiet que toi. L'officier t'interpelle, tu ne comprends rien à ce qu'il tente de te dire ou demander. Tu ne comprends pas le coréen.
Tu es bien Nanami Kato ? Te demande le jeune homme qui t'accompagne. Un hochement de tête, l’incompréhension grandissante. L'homme en uniforme explique quelque chose, tu ne comprends toujours pas. Il répond quelque chose à l'officier qui retourne s’asseoir dans la voiture. Quoi ? Qu'est-ce qu'il a dit ? Je vais avoir des problèmes ? Il paraît si gentil à l'instant, si bienveillant que c'en est plus qu'inquiétant. Sans comprendre pourquoi, tes yeux se remplissent de larmes et tu te retrouves assise sur le siège passager a fixer l'homme accroupi devant toi qui te prend la main.
Nanami-san, ton frère a eu un accident de voiture et... Ton monde s'écroule. Tout ce en quoi tu croyais éclate en milles morceaux. Tu es incapable de réaliser la suite de son explication. Te voilà seule, pour l'instant, dans un monde qui n'a et ne sera jamais le tien.
Koji était beau. Il était vivant. C'était ton grand frère qui répondait à tout tes caprices. C'est principalement lui qui t'encourageait à l'école de danse à Tokyo. Tu était sa fierté, son tout. Koji t'a toujours soutenue, protégée. Quand ton professeur s'est entiché de toi à l'école alors que tu n'étais qu'une adolescente, malgré vos 4 ans d'écart il est allé le voir avec son allure de bad boy pour lui dire de rester loin de sa petite sœur. Il voulait te voir sur scène danser le lac des cygnes, te voir faire carrière dans la danse. Même quand il est parti étudier en Corée du Sud, il était toujours présent, contrairement à tes parents qui n'avait que faire de ce que tu pouvais bien vouloir faire de ta vie. Tu n'avais qu'en financement les bourses et un complément que ton frère pouvait t'envoyer, car tous les deux vous étiez solidaire, sachant malheureusement dans quel type de famille vous étiez nés.
Quand ton professeur de jazz est revenu à l'assaut et que tu étais toute seule, que tu as menacé d'aller voir les flics s'il continuait de te harceler... Koji était là, loin, mais présent. Si cet imbécile de prof s'est retourné contre toi qui refusait ses avances, si l'école a écouté son histoire bidon te coupant les bourses et t'empêchant de continuer dans l'excellence.... Koji était là. C'est pas grave Nanami. Tu danseras Tchaikovsky pour moi à la maison. Si tout le monde a cru à cette histoire de traînée (même tes parents),que tu t'es retrouvée toute seule à Tokyo sans vraiment savoir quoi faire, Koji est arrivé le lendemain en avion en te faisant prendre tes affaires pour venir avec lui en Corée du Sud. Parce que, c'est ce qu'il faut faire entre frère et sœur. Se serrer les coudes. C'était sa réponse.
Pendant six mois, il t'a hébergé dans sa chambre au dortoir de l'université. Pendant six mois, t'as dormi dans son lit et lui sur un matelas. Comme il ne pouvait subvenir à vos besoins et que tu restais enfermée toute la journée pour ne pas cause de tord, il a profité d'une occasion de temps plein à son job temps partiel pour quitter l'école et embaucher. Vous avez pris une location, un appartement minable mais votre chez vous. Par le biais de connaissances, t'as trouvé un emploi dans un bar de striptease. Tu avais des problèmes pour retourner danser dans une école réputée, car ton professeur t'avait foutu au fond, au bord du gouffre même, si bien que t'avais peur de perdre toute crédibilité. Tu savais que ton nom était connu dans les écoles réputés. Koji était triste de ne pas te voir danser. Tu n'as pas remis tes chaussons de danse pendant un long moment... Et même s'il désapprouvait ta profession, il te laissait faire, espérant qu'un jour tu relèves la tête pour essayer de t'en sortir.
Vous n'êtes que des monstres. La gifle te sonne un moment. Ton père te juge d'un long regard de dédains. Le docteur semble muet devant la situation, ne sachant pas comment réagir. Ta mère te fait face à son tour. Vous échangez des regards qui en disent long sur vos pensées mutuelles. Koji est allongé dans son lit, dans un coma artificiel pour le maintenir en vie. Ils n'ont pas le droit de décider de son sort, pas après ce qu'ils ont fait : c'est à dire, vous laisser seul tous les deux. Au final, le garçon qui t'avait accompagné le jour de l'accident était lui aussi présent pour te soutenir et t'aider à comprendre les docteurs. Sans vraiment savoir pourquoi, il t'accompagnait dans les démarches administratives. Ce n'est pas parce que Koji acceptait que tu fasses le tapin tous les soirs que nous cautionnons tes actes Nanami. Ton père tremble de colère en te fixant, tu sens la main de ta connaissance se resserrer contre la tienne. Tu sais qu'on tente de te soutenir, alors tu lèves les yeux vers ton père. Koji est notre fils. Et il en est de notre devoir de parents de choisir ce qui est bon pour lui. Tu n'es plus leurs fille, toi, fille indigne dont les rumeurs ont ruiné ta réputation. Alors, après un long moment de silence, ils quittent la pièce pour emboîter le pas du docteur. Tes larmes parviennent à s'échapper dès l'instant ou tu te jettes au cou du corps inanimé de ton frère. Nanami... Tes sanglots ne cessent pas, et pourtant il est encore là, à te cajoler. Nanami, ils vont revenir. Tu dois lui dire adieu. Une main de réconfort contre ton épaule, que tu rejettes. Tu murmures des paroles, des promesses à l'attention de ton frère qui ne peut probablement plus t'entendre.
La porte s'ouvre dans un boucan effroyable. Tout se passe si vite. Tu t'accroches désespérément à ton frère, tandis qu'on te tire pour te faire sortir. Tu hurles à la mort, des injures à l'adresse de ceux qui vous avaient donné la vie et qui décidait quand la reprendre. Vous n'avez pas le droit ! Tu as beau les maudire, on te prend pour une hystérique dans l’hôpital. A genoux derrière la porte, tu entends l’électrocardiogramme arrêter son rythme régulier en un long bruit constant. Insupportable. Tu t'accroches à la porte, une dernière fois, jusqu'à ce que ton ange gardien décide de t'emporter dans ses bras pour te sortir de cet enfer... Pour l'instant.
Ça fait deux ans maintenant que Koji est décédé. Tu as perdu tout contact avec ta famille. Tu te rattache à ton travail et à tes connaissances. On t'a appris le coréen - ou du moins tu as fait l'effort de t'y intéressé. Tu mènes une vie de bohème, sans attache, prête à partir sur un coup de tête... Mais tu t'accroches à la vie, car tu lui a promis.
Au final, tu avais peur pour rien, car ce sont des gens respectables, même si un peu ivre, tout semble aller mieux que tu l'espérais. Tu passes rapidement de ton uniforme d'infirmière aux seins nu et string en dentelle, narguant les mâles de tes déhanchés. A l'heure indiquée pour partir, tôt dans la nuit du lendemain matin, tu t'es rhabillée et tu patiente au point de rendez-vous avec ta jupe un peu trop courte et tes talons. Ton maquillage provoquant pourrait te faire passer pour une fille de joie, mais tu n'es pas dans cette branche. Le peu de passant t'observe, murmure. Les heures passent, les minutes, avant que tu te décides finalement au lever du jour à rentrer chez toi. Tu n'a pas ton téléphone, alors tu retournes au lieu de la fête pour appeler un taxi, là ou un gentil garçon te propose de te ramener chose que tu acceptes sous la fatigue.
Ils étaient vraiment gentils ces clients. Raccompagnée à proximité, tu as échangé dans la voiture avec ce qui semblerait être le seul homme non ivre de la soirée qui parlait japonais. Une aubaine pour toi, qui te sentait seule. Un home intéressant, courtois, avec un bel avenir devant lui - pas comme toi. Tu lui parles de Koji, de pourquoi tu penses qu'il n'est pas venu.
Mais devant chez toi, ils sont là. La police t'attend de pied ferme. Incompréhension, tu sors de la voiture accompagnée de ton chauffeur qui semble aussi inquiet que toi. L'officier t'interpelle, tu ne comprends rien à ce qu'il tente de te dire ou demander. Tu ne comprends pas le coréen.
Tu es bien Nanami Kato ? Te demande le jeune homme qui t'accompagne. Un hochement de tête, l’incompréhension grandissante. L'homme en uniforme explique quelque chose, tu ne comprends toujours pas. Il répond quelque chose à l'officier qui retourne s’asseoir dans la voiture. Quoi ? Qu'est-ce qu'il a dit ? Je vais avoir des problèmes ? Il paraît si gentil à l'instant, si bienveillant que c'en est plus qu'inquiétant. Sans comprendre pourquoi, tes yeux se remplissent de larmes et tu te retrouves assise sur le siège passager a fixer l'homme accroupi devant toi qui te prend la main.
Nanami-san, ton frère a eu un accident de voiture et... Ton monde s'écroule. Tout ce en quoi tu croyais éclate en milles morceaux. Tu es incapable de réaliser la suite de son explication. Te voilà seule, pour l'instant, dans un monde qui n'a et ne sera jamais le tien.
Koji était beau. Il était vivant. C'était ton grand frère qui répondait à tout tes caprices. C'est principalement lui qui t'encourageait à l'école de danse à Tokyo. Tu était sa fierté, son tout. Koji t'a toujours soutenue, protégée. Quand ton professeur s'est entiché de toi à l'école alors que tu n'étais qu'une adolescente, malgré vos 4 ans d'écart il est allé le voir avec son allure de bad boy pour lui dire de rester loin de sa petite sœur. Il voulait te voir sur scène danser le lac des cygnes, te voir faire carrière dans la danse. Même quand il est parti étudier en Corée du Sud, il était toujours présent, contrairement à tes parents qui n'avait que faire de ce que tu pouvais bien vouloir faire de ta vie. Tu n'avais qu'en financement les bourses et un complément que ton frère pouvait t'envoyer, car tous les deux vous étiez solidaire, sachant malheureusement dans quel type de famille vous étiez nés.
Quand ton professeur de jazz est revenu à l'assaut et que tu étais toute seule, que tu as menacé d'aller voir les flics s'il continuait de te harceler... Koji était là, loin, mais présent. Si cet imbécile de prof s'est retourné contre toi qui refusait ses avances, si l'école a écouté son histoire bidon te coupant les bourses et t'empêchant de continuer dans l'excellence.... Koji était là. C'est pas grave Nanami. Tu danseras Tchaikovsky pour moi à la maison. Si tout le monde a cru à cette histoire de traînée (même tes parents),que tu t'es retrouvée toute seule à Tokyo sans vraiment savoir quoi faire, Koji est arrivé le lendemain en avion en te faisant prendre tes affaires pour venir avec lui en Corée du Sud. Parce que, c'est ce qu'il faut faire entre frère et sœur. Se serrer les coudes. C'était sa réponse.
Pendant six mois, il t'a hébergé dans sa chambre au dortoir de l'université. Pendant six mois, t'as dormi dans son lit et lui sur un matelas. Comme il ne pouvait subvenir à vos besoins et que tu restais enfermée toute la journée pour ne pas cause de tord, il a profité d'une occasion de temps plein à son job temps partiel pour quitter l'école et embaucher. Vous avez pris une location, un appartement minable mais votre chez vous. Par le biais de connaissances, t'as trouvé un emploi dans un bar de striptease. Tu avais des problèmes pour retourner danser dans une école réputée, car ton professeur t'avait foutu au fond, au bord du gouffre même, si bien que t'avais peur de perdre toute crédibilité. Tu savais que ton nom était connu dans les écoles réputés. Koji était triste de ne pas te voir danser. Tu n'as pas remis tes chaussons de danse pendant un long moment... Et même s'il désapprouvait ta profession, il te laissait faire, espérant qu'un jour tu relèves la tête pour essayer de t'en sortir.
Vous n'êtes que des monstres. La gifle te sonne un moment. Ton père te juge d'un long regard de dédains. Le docteur semble muet devant la situation, ne sachant pas comment réagir. Ta mère te fait face à son tour. Vous échangez des regards qui en disent long sur vos pensées mutuelles. Koji est allongé dans son lit, dans un coma artificiel pour le maintenir en vie. Ils n'ont pas le droit de décider de son sort, pas après ce qu'ils ont fait : c'est à dire, vous laisser seul tous les deux. Au final, le garçon qui t'avait accompagné le jour de l'accident était lui aussi présent pour te soutenir et t'aider à comprendre les docteurs. Sans vraiment savoir pourquoi, il t'accompagnait dans les démarches administratives. Ce n'est pas parce que Koji acceptait que tu fasses le tapin tous les soirs que nous cautionnons tes actes Nanami. Ton père tremble de colère en te fixant, tu sens la main de ta connaissance se resserrer contre la tienne. Tu sais qu'on tente de te soutenir, alors tu lèves les yeux vers ton père. Koji est notre fils. Et il en est de notre devoir de parents de choisir ce qui est bon pour lui. Tu n'es plus leurs fille, toi, fille indigne dont les rumeurs ont ruiné ta réputation. Alors, après un long moment de silence, ils quittent la pièce pour emboîter le pas du docteur. Tes larmes parviennent à s'échapper dès l'instant ou tu te jettes au cou du corps inanimé de ton frère. Nanami... Tes sanglots ne cessent pas, et pourtant il est encore là, à te cajoler. Nanami, ils vont revenir. Tu dois lui dire adieu. Une main de réconfort contre ton épaule, que tu rejettes. Tu murmures des paroles, des promesses à l'attention de ton frère qui ne peut probablement plus t'entendre.
La porte s'ouvre dans un boucan effroyable. Tout se passe si vite. Tu t'accroches désespérément à ton frère, tandis qu'on te tire pour te faire sortir. Tu hurles à la mort, des injures à l'adresse de ceux qui vous avaient donné la vie et qui décidait quand la reprendre. Vous n'avez pas le droit ! Tu as beau les maudire, on te prend pour une hystérique dans l’hôpital. A genoux derrière la porte, tu entends l’électrocardiogramme arrêter son rythme régulier en un long bruit constant. Insupportable. Tu t'accroches à la porte, une dernière fois, jusqu'à ce que ton ange gardien décide de t'emporter dans ses bras pour te sortir de cet enfer... Pour l'instant.
Ça fait deux ans maintenant que Koji est décédé. Tu as perdu tout contact avec ta famille. Tu te rattache à ton travail et à tes connaissances. On t'a appris le coréen - ou du moins tu as fait l'effort de t'y intéressé. Tu mènes une vie de bohème, sans attache, prête à partir sur un coup de tête... Mais tu t'accroches à la vie, car tu lui a promis.
About me
Je suis...
Ryan
Amoureuse idéaliste, j'ai besoin qu'on prenne soin de moi sous cette forme car malgré mes biceps, je suis fragile.
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/u751/]▼[/url] <taken>NAKADA KURUMI</taken> ✎ katō nanami
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mar 22 Mar - 21:45 Citer EditerSupprimer
la meilleure école de danse de tokyo? omo mais on va pouvoir parler passé
je guettais ta fiche toujours trop de beauté dans tes choix et mon coeur s'est craquée en mille morceaux, katô
bon courage pour cette fiche, jtm
je guettais ta fiche toujours trop de beauté dans tes choix et mon coeur s'est craquée en mille morceaux, katô
bon courage pour cette fiche, jtm
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mar 22 Mar - 22:00 Citer EditerSupprimer
Katooooooo ouais pas le choix, japonaise, fallait faire hommage au blédard !
Tu connaissais Kurumi ? elle me fait rêver.
T'as un passé à l'école de danse effectivement on va en parler ma belle.
Bisous à toi.
Tu connaissais Kurumi ? elle me fait rêver.
T'as un passé à l'école de danse effectivement on va en parler ma belle.
Bisous à toi.
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mar 22 Mar - 22:03 Citer EditerSupprimer
rebienvenue parmi nous le violeur aux boobs
j'espere que tu te déclateras avec cette nana, et fighting pour ta fiche
j'espere que tu te déclateras avec cette nana, et fighting pour ta fiche
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mar 22 Mar - 22:25 Citer EditerSupprimer
Et re par ici
Bon courage pour cette fiche, des bisous
Bon courage pour cette fiche, des bisous
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mar 22 Mar - 22:52 Citer EditerSupprimer
il me manque tellement c'blédard, j'pense tout le temps à lui
moeko, oui! on en parlera en mp
moeko, oui! on en parlera en mp
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mer 23 Mar - 18:44 Citer EditerSupprimer
OUELCOME PETITE NIPONNE bon courage pour ta fichette !
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Mer 23 Mar - 22:27 Citer EditerSupprimer
Nanou mon amour
re choupette, t'as des boobs ce coup-ci
re choupette, t'as des boobs ce coup-ci
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Re: Katō Nanami ♦I like to move it baby | Lun 28 Mar - 11:40 Citer EditerSupprimer
Des japonais comme s'il en pleuvait *-*
J'aime déjà cette Nanami tbh hehe
J'aime déjà cette Nanami tbh hehe
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