Page 1 sur 2 • 1, 2 
Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied
Invité
Invité
Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Ven 1 Avr 2016 - 22:33
nom : Cha, mais avant c'était Jeong prénom : Il Hoon, mais avant c'était Yuk Sik. âge : 25 ans. date et lieu de naissance : 18 Septembre à Incheon. origines : Congolais o/ nationalité : Sud-Coréen. cursus universitaire : Management et anglais. métier : Parolier, compositeur, producteur et mannequin. orientation sexuelle : Mesdemoiselles, venez par ici. classe sociale : Plutôt moyenne avant, plutôt aisée maintenant. code du règlement : codeok! tu veux t'investir ? Non, je joue les rebelles en étant un étudiant. C'est aux autres de me vouloir.
Cha Il Hoon
Baise la vie avant de te faire baiser
SEXY (★★★✰✰) | ARROGANT (★★★✰✰) | TRAVAILLEUR (★★★✰✰) | TÊTU (★★★✰✰) | CREATIF (★★★✰✰) |
INSTABLE (★★★★✰) | SENSUEL (★★★✰✰) | CON (★★★✰✰) | SYMPA (★★★✰✰) | MORDANT (★★★✰✰) |
Rumour has it... On dit que j'ai fait de la chirurgie esthétique (Faux, sauf si le laser pour corriger les yeux, ça compte) • On dit qu'à l'armée, je suis sorti avec la fille d'un de mes supérieurs (Faux, en vrai, c'était sa femme) • On dit que je suis incapable d'être fidèle (Faux, je me lasse vite, nuance) • On dit que je monte ma propre boite (Vrai, INKinYourVeins Production) • On dit que je suis le neveu d'un ministre (Vrai, mais c'est un trou du cul qui a oublié le côté plus pauvre de la famille. Oh merde, j'ai fait comme lui!) • On dit que je fume et bois trop (Faux, c'est jamais trop) • On dit que j'ai déjà eu des aventures avec des idoles et actrices en trois ans (Vrai, mais je ne dirait pas qui!) Survole l'avatar, petit coquin. | My character « Il Hoon ? Me parlez pas de ce connard ! Deux nuits de sexe intense, j'ai demandé son numéro, il m'a sorti un billet de 50 en me disant : J'voulais que du cul, pas te passer la bague au doigt, c'est pour le taxi. Bonne journée. Je le déteste ! » « Il Hoon ? Un gros bosseur. Quand un artiste veut travailler avec lui, on sait que ça sera pro et bien fait. Il est créatif. Je ne dirai pas que c'est un génie, mais juste quelqu'un de très bon dans ce qu'il fait et avec sa patte. C'est important. » « Mon fils ? Off, je n'ai pas vraiment de nouvelles depuis des années à vrai dire. Il s'assume depuis qu'il a 18 ans alors bon. » « Il Hoon Oppa ? IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIH ! Il est trop sexyyyyyyyyyy ! » « INK ? J'ai adoré ses textes dès le début ! Vraiment, il a une certaine poésie en lui ! C'est quelqu'un qui met de l'âme dans ce qu'il fait, par contre, s'il est pas d'accord et qu'il veut vous envoyer chier, il le fait. C'est pas commun ici. Surtout dans cette société très hiérarchisée. » « Il Hoon ? Je l'ai connu quand il était encore Jeong Yuk Sik… et croyez-moi, ça n'a rien à voir avec maintenant. Ils disent vrai quand ils disent que le temps change les gens ! » « Lui ? Je lui ai demandé une fois de me passer un stylo en cours, il a mis ses écouteurs dans ses oreilles avant de m'ignorer royalement. Lorsque je lui ai demandé pourquoi il faisait ça, il m'a dit qu'il ne parlait pas aux losers… » Dans le fond, du fond, du tréfonds, je suis pas un salaud ! Je sais ce que je veux et par conséquent, je sais ce que je ne veux pas ! Je suis le dernier à juger quelqu'un sur son physique, mais je juge sur la volonté. Je déteste les larmes qui ne bougent pas sous le moindre prétexte. Notre vie nous appartient, soit on la prend et on l'assume, soit on la laisse aux autres, mais dans c'cas là, faut pas venir pleurnicher. Quand j'étais gosse, j'étais gros. Vraiment gros. Gros, binoclard, boutonneux, je détestais le sport et je préférai lire des mangas qu'étudier. Puis j'ai vu les premiers groupes à la télé, HOT et compagnie. Je voulais devenir comme eux. Ecrire, j'ai toujours eu cette faculté. Des histoires, des choses. J'aimais ça. D'auditions en audition, à 13 ans à peine, je me faisais refouler. Trop gros, trop moche, trop boutonneux, trop binoclard, sans talent ! Ah, j'ai essayé, pendant deux ans, j'ai vraiment tout essayé… Mais rien ! Puis après mon diplôme, j'me suis mis un coup de pied au cul ! Bonjour volonté. J'ai trouvé deux boulots, pris des cours du soir, mis de côté, vécu dans une colocation miteuse, attendu rien de personne. A 20 ans, je suis parti à l'armée. Je voulais que ça soit vite fait. J'ai intégré les marines et mon physique a considérablement changé. Déjà, j'avais enfin ma bonne taille. Grande taille (1m86) avec un corps musclé et bien ! Au bout de deux ans, j'avais encore plus changé. Je savais exactement ce que je voulais, comment y aller, quoi faire. Je ne suis pas un enfant de choeurs, je ne le serai jamais. Je donne chaque mois à des associations, mais sans le clamer, c'est juste pour moi, pour eux. Pi j'aime bien les gens, j'aime juste qu'on ne me fasse pas chier. |
This is my story
citation de ton choix
On dit souvent, et à tort, qu'on ne contrôle rien dans sa vie. On appelle ça Destin, Hasard, Parents, Société. C'est juste parfaitement faux à vrai dire. Petit, j'étais persuadé que tous mes malheurs étaient dû à un mauvais karma. La voisine avait un chat noir, mon père laissait une échelle en place pour réparer le toit qui fuyait constamment, et on avait pas d'autre choix que de passer en dessous, et j'avais dû briser je-ne-sais-plus combien de miroir sans le vouloir vraiment. Alors un jour, j'ai peint le chat de la voisine en blanc, il n'a pas apprécié, elle non plus. J'ai poussé l'échelle sans savoir que mon père était sur le toit, et lorsqu'il a voulu descendre, il est tombé comme un pigeon sur le sol, et j'ai arrêté de vouloir des miroirs dans ma chambre et ne regardait plus vraiment celui de la salle de bain, du coup, j'allais à l'école mal coiffé et avec des restes de nourritures coincés entre les dents. J'ai mis encore ça sur le compte de la poisse qui ne pouvait, décemment pas, disparaître si vite.
Vers 12 ans, j'ai commencé à rêver plus qu'à vivre. Je voulais devenir beau, riche, célèbre, un chanteur, un danseur, un acteur, tout à la fois, tout séparément. Alors au bout d'un an à penser que j'arrivais danser, chanter comme une casserole, je me suis présenté à diverses auditions sans le dire à mes parents. Ils n'y auraient rien compris. Un ouvrier qui a manqué son grand rêve de devenir militaire à cause d'une scoliose trop prononcée, une mère au foyer qui a loupé sa vie en restant cantonnée à la maison parce qu'elle n'avait pas le courage de faire autre chose. Ils n'ont jamais vraiment été de bons modèles. On m'a rit au nez, littéralement. « Aigo, aigo, aigo ! Tu pensais vraiment que tu arriverais à quelque chose ? Va prendre des cours de sport plutôt ! Et arrête de manger des Ramens. » J'adorais les Ramens, je détestais le sport, mais j'étais en colère qu'elle me balance une vérité aussi méchante sur moi-même sans même prendre des gants. J'ai détesté cette femme au plus haut point, avant de commencer à l'admirer quelques mois plus tard.
Elle fut la seule à me dire clairement les choses. Les autres m'ignoraient ou brodaient ça gentiment. « Nous pensons que ça ne va pas le faire, mais n'abandonne pas ! » Ils me souriaient hypocritement et tournaient les talons comme si je n'avais jamais existé. Mais pendant plusieurs années, j'ai toujours mis ça sur le compte d'autre chose. La poisse, la génétique, les autres, les parents, les boites de prod.
Puis vint le moment d'avoir mon diplôme. J'avais une assez bonne note sans avoir rien foutu de prodigieux. Ça ne m'ouvrait pas les portes des grandes universités, et à vrai dire, j'en avais marre des systèmes scolaires. Marre de Incheon, marre de moi et de ma vie. Je n'avais pas des idées suicidaires pour autant hein ! Non, j'ai juste eu enfin le coup de pied au cul que j'attendais depuis longtemps. Après une petite vie faite de suite d'échec, j'ai commencé à changer. D'abord du footing pour m'affiner, puis une nourriture plus équilibrée. J'ai pu avoir un premier travail, et un second. J'ai trouvé une place dans une petite colocation. Une chambre minuscule, un futon sur le sol, pas de douche et juste un toilette, une cuisine constamment sale et mal rangée. Pourtant, j'ai aimé vivre avec les gars. Ils étaient drôles, losers dans l'âme, un qui faisait des études pour devenir chirurgien esthétique dans le but de voir des belles femmes souvent, l'autre voulant devenir journaliste pour pouvoir interviewer des gens importants. Ils avaient des rêves loufoques, mais des rêves quand même et faisaient de leurs mieux pour les suivre.
J'ai envoyé des textes à une boite de production, celle de la femme qui avait été trop crue, recevant alors des éloges, une envie de me rencontrer, de donner mes textes à des artistes. INK est né.
A 20 ans, j'ai rejoint l'armée pour deux ans. Je voulais que ça soit vite fait. J'ai pris sur moi. J'avais encore de l'embonpoint, rien de très sexy et je flottais encore dans cette vie d'errance. J'ai appris la discipline, le sport comme drogue et le dépassement de soi. J'ai eu l'envie, furieuse, de devenir enfin quelqu'un. Contrairement à beaucoup, j'ai aimé mon moment à l'armée. J'étais un bon élément et lorsque je suis sorti, j'étais transformé. Musclé, je me tenais droit, fier, et plus jamais, je n'ai baissé le regard face à quelqu'un.
Je n'avais pas cessé d'écrire. Je suis sorti de là avec trois carnets remplis de chansons et je suis retourné à la boite montrer mon travail. Je voulais une augmentation, plus de considération, travailler réellement avec les artistes, devenir plus qu'un nom. Je n'ai pas lâché et pendant trois mois, tous les jours, j'ai renouvelé ma demande, encore et encore. Jusqu'à ce que ça arrive vraiment.
Plusieurs mois plus tard, dans un magasin, une femme est venue me voir, la gérante, me proposant de me donner autant de vêtements que je voulais si j'acceptais de devenir le nouveau visage de la marque. Je l'ai regardé longuement, posé mes conditions comme si j'y connaissais quoi que ce soit et elle a accepté. Je suis resté avec eux pendant une année avant d'être démarché par une agence de mannequina.
Mais mes rêves ne faisaient que grandir. J'ai pu voir l'envers de chaque décor. J'ai appris à jouer de la guitare, du piano, écrire, transcrire les mélodies que j'avais en tête et qui iraient le mieux avec mes textes. Arranger. Produire. J'ai pu tout voir, tout comprendre, tout faire. Mais il me manquait un petit quelque chose. Alors, j'ai repris les bancs de l'école pour Yonsei afin d'avoir un diplôme en management et Anglais. Il y a trois mois, j'ai déposé le nom pour la boite de production que je suis en train de monter.
J'ai l'impression d'être sur des montagnes russes qui ne font que grimper. On me dit souvent que la chute sera dure, mais elle n'arrivera juste pas.
Vers 12 ans, j'ai commencé à rêver plus qu'à vivre. Je voulais devenir beau, riche, célèbre, un chanteur, un danseur, un acteur, tout à la fois, tout séparément. Alors au bout d'un an à penser que j'arrivais danser, chanter comme une casserole, je me suis présenté à diverses auditions sans le dire à mes parents. Ils n'y auraient rien compris. Un ouvrier qui a manqué son grand rêve de devenir militaire à cause d'une scoliose trop prononcée, une mère au foyer qui a loupé sa vie en restant cantonnée à la maison parce qu'elle n'avait pas le courage de faire autre chose. Ils n'ont jamais vraiment été de bons modèles. On m'a rit au nez, littéralement. « Aigo, aigo, aigo ! Tu pensais vraiment que tu arriverais à quelque chose ? Va prendre des cours de sport plutôt ! Et arrête de manger des Ramens. » J'adorais les Ramens, je détestais le sport, mais j'étais en colère qu'elle me balance une vérité aussi méchante sur moi-même sans même prendre des gants. J'ai détesté cette femme au plus haut point, avant de commencer à l'admirer quelques mois plus tard.
Elle fut la seule à me dire clairement les choses. Les autres m'ignoraient ou brodaient ça gentiment. « Nous pensons que ça ne va pas le faire, mais n'abandonne pas ! » Ils me souriaient hypocritement et tournaient les talons comme si je n'avais jamais existé. Mais pendant plusieurs années, j'ai toujours mis ça sur le compte d'autre chose. La poisse, la génétique, les autres, les parents, les boites de prod.
Puis vint le moment d'avoir mon diplôme. J'avais une assez bonne note sans avoir rien foutu de prodigieux. Ça ne m'ouvrait pas les portes des grandes universités, et à vrai dire, j'en avais marre des systèmes scolaires. Marre de Incheon, marre de moi et de ma vie. Je n'avais pas des idées suicidaires pour autant hein ! Non, j'ai juste eu enfin le coup de pied au cul que j'attendais depuis longtemps. Après une petite vie faite de suite d'échec, j'ai commencé à changer. D'abord du footing pour m'affiner, puis une nourriture plus équilibrée. J'ai pu avoir un premier travail, et un second. J'ai trouvé une place dans une petite colocation. Une chambre minuscule, un futon sur le sol, pas de douche et juste un toilette, une cuisine constamment sale et mal rangée. Pourtant, j'ai aimé vivre avec les gars. Ils étaient drôles, losers dans l'âme, un qui faisait des études pour devenir chirurgien esthétique dans le but de voir des belles femmes souvent, l'autre voulant devenir journaliste pour pouvoir interviewer des gens importants. Ils avaient des rêves loufoques, mais des rêves quand même et faisaient de leurs mieux pour les suivre.
Losers, mais modèles quand même.
J'ai envoyé des textes à une boite de production, celle de la femme qui avait été trop crue, recevant alors des éloges, une envie de me rencontrer, de donner mes textes à des artistes. INK est né.
A 20 ans, j'ai rejoint l'armée pour deux ans. Je voulais que ça soit vite fait. J'ai pris sur moi. J'avais encore de l'embonpoint, rien de très sexy et je flottais encore dans cette vie d'errance. J'ai appris la discipline, le sport comme drogue et le dépassement de soi. J'ai eu l'envie, furieuse, de devenir enfin quelqu'un. Contrairement à beaucoup, j'ai aimé mon moment à l'armée. J'étais un bon élément et lorsque je suis sorti, j'étais transformé. Musclé, je me tenais droit, fier, et plus jamais, je n'ai baissé le regard face à quelqu'un.
Je n'avais pas cessé d'écrire. Je suis sorti de là avec trois carnets remplis de chansons et je suis retourné à la boite montrer mon travail. Je voulais une augmentation, plus de considération, travailler réellement avec les artistes, devenir plus qu'un nom. Je n'ai pas lâché et pendant trois mois, tous les jours, j'ai renouvelé ma demande, encore et encore. Jusqu'à ce que ça arrive vraiment.
Plusieurs mois plus tard, dans un magasin, une femme est venue me voir, la gérante, me proposant de me donner autant de vêtements que je voulais si j'acceptais de devenir le nouveau visage de la marque. Je l'ai regardé longuement, posé mes conditions comme si j'y connaissais quoi que ce soit et elle a accepté. Je suis resté avec eux pendant une année avant d'être démarché par une agence de mannequina.
Mais mes rêves ne faisaient que grandir. J'ai pu voir l'envers de chaque décor. J'ai appris à jouer de la guitare, du piano, écrire, transcrire les mélodies que j'avais en tête et qui iraient le mieux avec mes textes. Arranger. Produire. J'ai pu tout voir, tout comprendre, tout faire. Mais il me manquait un petit quelque chose. Alors, j'ai repris les bancs de l'école pour Yonsei afin d'avoir un diplôme en management et Anglais. Il y a trois mois, j'ai déposé le nom pour la boite de production que je suis en train de monter.
J'ai l'impression d'être sur des montagnes russes qui ne font que grimper. On me dit souvent que la chute sera dure, mais elle n'arrivera juste pas.
Pourquoi ?
Parce que je crois en moi.
Parce que je crois en moi.
About me
Je suis...
Ton Pseudo
Vous savez déjà tout. C'est juste que je change Louis par gros manque d'inspiration u_u Je vous aime !
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>KIM YOU JIN ( YOUJIN, KNK)</taken> ✎ cha il hooon
Supprimez le code inutile ♥
Invité
Invité
Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Ven 1 Avr 2016 - 22:34
J'ai hate de voir ce que tu vas faire de ce perso 
Rebienvenu ma belle et très très bon choix d'avatar ! Je connaissais pas du tout mais j'aime beaucoup
Il a l'air d'avoir du caractère
J'ai déjà des idées de liens xD
Bonne refonte
Rebienvenu ma belle et très très bon choix d'avatar ! Je connaissais pas du tout mais j'aime beaucoup
Il a l'air d'avoir du caractère
J'ai déjà des idées de liens xD
Bonne refonte
Invité
Invité
Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Ven 1 Avr 2016 - 22:42
Ah tu fais ta refonte
Bon courage pour cette nouvelle fiche, du love avec ton nouveau perso
Bon courage pour cette nouvelle fiche, du love avec ton nouveau perso
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Sam 2 Avr 2016 - 2:19
rebienvenue parmi nous 
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Sam 2 Avr 2016 - 10:56
rebienvenue !! on va avoir un nouveau rose hahahaha 
Invité
Invité
Re: Cha Il Hoon • You're the only one who keeps me satisfied | Sam 2 Avr 2016 - 10:58
Na, il reste étudiant lui :P Y'a assez du flamand rose dans les sections 
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2 • 1, 2