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BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club
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BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mar 5 Avr - 2:23 Citer EditerSupprimer
nom : byeon. rien de spécial à dire à par qu’c’est le nom de mon père que j’me trimbale depuis que j’ai été éjecté de ma mère. prénom : phoenix. ça peut être c’que tu veux. un oiseau qui renait de ses cendres, une ville en arizona ou une youtubeuse archi baisable. si tu préfères, on m’appelle souvent effy comme la toxico dans skins. âge : assez vieux pour me taper ta daronne (dix-neuf ans et toutes mes boules descendues) date et lieu de naissance : quatre mai. 96 line. brighton, england sur le parking de la maternité parce que j’étais trop pressé de sortir tellement qu'ma mère puait d'la teucha origines : quand j’étais gosse on m’appelait ching chong parce que j’avais les yeux plus bridés que la normale, ou alors pierre en référence à l’assoiffé de femelles dans pokémon. bref, j’ai pas grandi en asie ; j’suis né en angleterre parce que ma mère est une anglaise d'origine maghrébine, et apparemment elle a voulu vérifier si le mythe sur les asiatiques et leur petite bite était vrai avec mon père coréen. du coup ça à fait moi ; mi blédard mi-anglais mi-coréen. WOOP WOOP, grace à ça j'ai la peau lisse. nationalité : anglaise. cursus universitaire : deuxième année en sociologie parce que j'ai envie de découvrir pourquoi le monde est une pute. métier : pas besoin. orientation sexuelle : tout c’qui ouvre les cuisses moi ça m’va. comme le dit un vieux proverbe chinois, un trou c't'un trou. classe sociale : tr0w d’0$eiil3, can’t see the hat3r$. code du règlement : douyouwannabildeasnomane. tu veux t'investir ? tjr les renards thank you v much
T’as ouvert les yeux sur un parking ; maman gamine de seize ans à la teuch déjà trop dilatée, tellement qu’elle a pas eu l’temps d’attendre cinq petites minutes de plus pour t’expulser.
Bien sûr, y’avait pas ton père. Tout aussi jeune que ta mère, il était trop occupé à réviser ses cours d’algèbre, putain de cliché asiatique. T’as ouvert les yeux et tu l’as détesté.
« Putain, enlevez moi c’truc de là ! Il va tacher ma nouvelle robe ! » Infirmiers et sage-femme qui se ruent en trombe sur le parking de la maternité pour prendre soin d’toi, aller vérifier si t’es pas trizo ou handicapé, parce qu’avec une daronne pareille, on s’poserait bien la question. C’est une infirmière qui a coupé le cordon ombilical. Marie. Gertrude. Rosette. Tu connais pas son nom, mais t’as plus de considération pour elle que pour ta propre mère
« T’es un peu typé… Fin j’sais pas, t’as des yeux d’chinois. T’es chinois ? »
Tu serres les dents dans un sourire. Les stéréotypes, toi, t’en as l’habitude. Toute ta vie, tes p’tits camarades de classe te répétaient que t’avais été adopté, parce que ta mère a la peau halée et qu’toi t’as les yeux bridés.
« Mon père est coréen ; j’vais là-bas chaque étés. »
Tu te retiens de rajouter « pendant qu’ma mère se fait prendre par des espagnols à Ibiza », parce que t’façon, elle doit déjà le savoir. Ouais, ta mère a la plus belle réputation chez les grandes familles de Brighton.
« Sérieuuux ? Et tu sais parler Coréen ? »
« Bah… Si tu veux j’peux essayer de le parler entre tes jambes. »
Petit branleur. La claque, tu la senti venir sans vraiment la sentir. Tu poses une main sur ta joue rougie, bref regard en coin chez la prude et le feu dans ses yeux ; t’aimes ça, toi, faire chier les gens. Les pousser à bout avec ton putain de sourire et tes paroles trop crues, tes gestes brusques, ta façon d’hausser les épaules et serrer la mâchoire.
Effy, le fils de pute.
Littéralement.
« J’suis rentré ! »
Tu sais même pas pourquoi tu prends la peine de signaler ta présence. T’arrives à la house, salue tes domestiques qui s’empressent de prendre ton sac presque vide. T’as quinze ans, ta deuxième couille tout juste descendue et pourtant tu t’prends pour le roi de l’univers. Tu sèches les cours, fume des pétards derrière le lycée, t’essayes de t’taper la remplaçante d’la prof de français. Putain de cliché de la haute société. Tu montes les escaliers deux à deux, débarque dans la chambre de ta mère qui se fait prendre en levrette par un gars tout juste plus vieux que toi.
« M’man. J’vais à une soirée ce soir. » Une réponse gémie, pas sûr que ce soit pour toi. « Y’aura d’la coke à gogo. J’pourrais en prendre ? » Mêmes sons émanant de sa bouche, tu lèves les yeux au ciel et claque la porte pour t’enfermer dans ta chambre, casque sur les oreilles, Kid Cudi à fond pour pas entendre les plaintes et les grognements de la chambre d’à côté.
T’as pas une famille normale. C’est pas normal d’regarder sa mère se faire baiser. Pas normal d’avoir son autorisation presque signée pour s’foutre deux coups dans le nez. Au fond, tu voulais seulement la tester, tu sais qu’tu seras jamais comme elle ; c’est ta plus grande peur. Tu la hais.
Bordel, qu’est-ce que tu la hais.
Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo
Et si le ciel n’est pas clément tant pis pour la météo
Un amour dans l’orage, celui des dieux, celui des hommes
Un amour, du courage et deux enfants hors des normes
Juliet elle est belle. Beauté à l’anglaise ; champ de blé dans les cheveux, océan dans les yeux, des étoiles sur le nez en trompette. Ouais, quand tu l’as vu, ta première pensée c’était « Putain, faut qu’j’me la fasse. »
Au final, c’est elle qui te la mise. Juliet, gamine de la classe médiocre, trop timide, trop pure. Quand elle riait, y’avait des perles et des diamants qui sortaient de sa bouche dessinée d’un rouge vermeil. Dix-sept ans, c’est trop jeune pour tomber amoureux, et pourtant tu t’es cassé la gueule comme jamais. Le prince et la pauvre, Roméo et Juliette du vingt-et-unième siècle. Toi t’as les faux airs de Léonardo Dicaprio, elle, elle porte le prénom de l’héroïne déchue. Vous avez fini comme eux. Non, personne n’a crevé ; juste ton cœur un p’tit peu.
Mais mamie voulait pas d’une meuf de la basse, elle voulait la perle précieuse pour son p’tit fils (comme si elle en avait quelque chose à foutre). Alors elle fait capoter les Capulet avec ses ruses perfides. Détruit cette famille qui peinait déjà à tenir debout pour t’empêcher d’la voir, parce qu’au fond, elle pouvait pas supporter d’te voir heureux. Compte en banque ruiné, maison saisie, ta grand-mère était bien trop puissante, trop dangereuse ; fourbe comme pas deux. Ils ont déménagés, t’as jamais su où.
Tu pensais finir ta vie avec elle, t’avais l’espoir qui se ravivait à chaque fois que t’étais à ses côtés. Ouais, tu pensais avoir la pièce toute entière ; au final, vous n’avez eu qu’une seule scène ensemble.
Tu détestais déjà ta mère ; maintenant, c’était les Marshall tout entier qu’tu haïssais.
Ta mère se masse les tempes dans son peignoir en soie, gueule de bois mais martini à la main. Toi, tu fais les cent pas devant elle les yeux rougis par la haine. Tes potes t’faisaient souvent des blagues sur elle. « Ouah, mais ta mère elle est trop bonne ! » « C’est trop une MILF, franchement j’pense à elle quand j’mastique. » Tu levais les yeux au ciel parce que t’en avais rien à foutre, puis tu pensais pas qu’elle tomberait aussi bas. Sauf que là, elle est carrément sous terre. Elle te demande de baisser le ton, pas parce qu’on ne parle pas comme ça à sa mère, mais parce qu’elle a mal au crâne à cause des dix verres de la nuit précédente. Tu jettes les chaises, tu casses les verres ; tout pour la faire réagir. Mais elle reste là, les yeux à demi clos en avalant un cachet d’aspirine à l’aide de son cocktail.
« PUTAIN !!! MAIS TOUT BRIGHTON T’ES PASSE DESSUS EN FAIT ! » tu sais même pas pourquoi tu dis ça ; tu l’savais déjà. Tu veux juste la blesser comme elle te blesse depuis ta naissance par son manque d’amour et sa présence inexistante. Mais elle s’en fou et ça t’rend fou.
« J’me casse. J’vais en Corée chez papa. » sa seule réponse, c’est un éclat de rire, première réaction depuis longtemps, pas vraiment celle que t’attendais.
« T’es drôle, mon Phoenix. Toi, tu vas quitter tout ça pour aller chez ton fauché de père ? »
Tu te figes. T’aimes l’argent et l’argent t’aime, mais l’argent n’aime pas papa. Mais t’es à bout ; tu s’rais prêt à quitter le manoir, les cinq cent balles qui traînent dans ta poche et tous les artifices pour un peu d’amour. Parce que ton père t’aime ; il te le montre chaque étés, quand tu passes les meilleures moments de ta vie.
« J’préfère vivre chez un fauché que rester une nuit de plus chez une pute. »
Et le jour suivant, t’étais dans l’avion Asiana Airline direction Seoul. T’as bien fait attention d’voler 200 000 livres à ta mère pour les foutre sur ton compte. Ton père et sa femme t’ont accueilli les bras aussi ouverts que les jambes de ta mère.
Maintenant t’as une p’tite sœur, aussi.
Et même si le changement fut brutal, t’as eu deux ans pour t’adapter.
Maintenant t’arpentes les rues de Séoul avec le même sourire en coin. Parce que t’as pas changé ; ton cœur est toujours aussi niqué et t’essayes de le cacher sous tes airs de branleur de la haute société.
Byeon Phoenix
citation de ton choix
RUSE (★★★ ★✰) | VULGAIRE (★★★✰✰) | OBSERVATEUR (★★✰✰✰) | MANIPULATEUR (★★★★✰) | EXTRAVERTI (★★★✰✰) |
COLERIQUE (★★★★✰) | DEBROUILLARD (★★★ ★★) | CABALISTIQUE (★★✰✰✰) | C0oL 8) (★★★ ★★) | IMMATURE (★★★ ★✰) |
Rumour has it... paraît qu'effy il a été élevé par ses domestiques pendant toute sa vie parce que sa mère s'en foutait d'lui. du coup il sait parler chinois, arabe, créole et même indien ! il a vraiment été élevé par des nourrices mais il parle seulement anglais et coréen, faut pas trop pousser. il connaît seulement quelques mots d'arabe parce que la famille de sa mère vient du bled. Survole l'avatar, petit coquin. | My character Les mots crus d’un gamin enragé qui n’a jamais connu l’amour, qui n’a jamais été aimé. Une erreur de jeunesse, un avortement raté. Maman est jeune, maman est belle, maman a les cheveux longs et le sourire de perles. Toujours apprêtée, jamais sans son lipstick MAC testé sur des lapins maltraités ; deux trois capotes, cinq credit cards, un paquet de vogues dans son nouveau sac Dior. Bottle of champagne dans les mains manucurées qu’elle lance dans les airs en gueulant, grande gamine de la trentaine. Pas loin, y'a Effy qui la regarde en plissant des yeux. Habitué aux soirées mondaines depuis son plus jeune âge : traîné de manoirs en manoirs chez des gens qu'il ne connaissait pas, restait dans son coin pendant que maman s'tapait deux trois rails sur la table basse, à l'étage #alliseeissigns #alliseeisdollarsigns. Les nouveaux riches et leurs artifices. L'oiseau est tombé dans ce vice trop rapidement #moneyonmymind #moneymoneyonmymind. Les écoles privées, soirées organisées par les papas trop peu présents qui fournissent d'la coke à leurs filles pour combler leur absence. Ces mêmes filles qu'il fait sauter dans le lit du daron en question. Gamin trop prétentieux et trop hautain avec ses faux airs d'DiCap', il t'fait des sourires en coin ; t'as dans la poche en deux coups de reins. UNDERCUNSTRUCSHUN |
This is my story
citation de ton choix
*:・゚✧ faut que j’trouve (worry) ✧゚・:*
T’as ouvert les yeux sur un parking ; maman gamine de seize ans à la teuch déjà trop dilatée, tellement qu’elle a pas eu l’temps d’attendre cinq petites minutes de plus pour t’expulser.
Bien sûr, y’avait pas ton père. Tout aussi jeune que ta mère, il était trop occupé à réviser ses cours d’algèbre, putain de cliché asiatique. T’as ouvert les yeux et tu l’as détesté.
« Putain, enlevez moi c’truc de là ! Il va tacher ma nouvelle robe ! » Infirmiers et sage-femme qui se ruent en trombe sur le parking de la maternité pour prendre soin d’toi, aller vérifier si t’es pas trizo ou handicapé, parce qu’avec une daronne pareille, on s’poserait bien la question. C’est une infirmière qui a coupé le cordon ombilical. Marie. Gertrude. Rosette. Tu connais pas son nom, mais t’as plus de considération pour elle que pour ta propre mère
*:・゚✧ les filles droites finissent penchées ✧゚・:*
« T’es un peu typé… Fin j’sais pas, t’as des yeux d’chinois. T’es chinois ? »
Tu serres les dents dans un sourire. Les stéréotypes, toi, t’en as l’habitude. Toute ta vie, tes p’tits camarades de classe te répétaient que t’avais été adopté, parce que ta mère a la peau halée et qu’toi t’as les yeux bridés.
« Mon père est coréen ; j’vais là-bas chaque étés. »
Tu te retiens de rajouter « pendant qu’ma mère se fait prendre par des espagnols à Ibiza », parce que t’façon, elle doit déjà le savoir. Ouais, ta mère a la plus belle réputation chez les grandes familles de Brighton.
« Sérieuuux ? Et tu sais parler Coréen ? »
« Bah… Si tu veux j’peux essayer de le parler entre tes jambes. »
Petit branleur. La claque, tu la senti venir sans vraiment la sentir. Tu poses une main sur ta joue rougie, bref regard en coin chez la prude et le feu dans ses yeux ; t’aimes ça, toi, faire chier les gens. Les pousser à bout avec ton putain de sourire et tes paroles trop crues, tes gestes brusques, ta façon d’hausser les épaules et serrer la mâchoire.
Effy, le fils de pute.
Littéralement.
*:・゚✧ t’as d’belles jambes, elles ouvrent à quelle heure ? ✧゚・:*
« J’suis rentré ! »
Tu sais même pas pourquoi tu prends la peine de signaler ta présence. T’arrives à la house, salue tes domestiques qui s’empressent de prendre ton sac presque vide. T’as quinze ans, ta deuxième couille tout juste descendue et pourtant tu t’prends pour le roi de l’univers. Tu sèches les cours, fume des pétards derrière le lycée, t’essayes de t’taper la remplaçante d’la prof de français. Putain de cliché de la haute société. Tu montes les escaliers deux à deux, débarque dans la chambre de ta mère qui se fait prendre en levrette par un gars tout juste plus vieux que toi.
« M’man. J’vais à une soirée ce soir. » Une réponse gémie, pas sûr que ce soit pour toi. « Y’aura d’la coke à gogo. J’pourrais en prendre ? » Mêmes sons émanant de sa bouche, tu lèves les yeux au ciel et claque la porte pour t’enfermer dans ta chambre, casque sur les oreilles, Kid Cudi à fond pour pas entendre les plaintes et les grognements de la chambre d’à côté.
T’as pas une famille normale. C’est pas normal d’regarder sa mère se faire baiser. Pas normal d’avoir son autorisation presque signée pour s’foutre deux coups dans le nez. Au fond, tu voulais seulement la tester, tu sais qu’tu seras jamais comme elle ; c’est ta plus grande peur. Tu la hais.
Bordel, qu’est-ce que tu la hais.
*:・゚✧ roméo kiffe juliette ✧゚・:*
Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo
Et si le ciel n’est pas clément tant pis pour la météo
Un amour dans l’orage, celui des dieux, celui des hommes
Un amour, du courage et deux enfants hors des normes
Juliet elle est belle. Beauté à l’anglaise ; champ de blé dans les cheveux, océan dans les yeux, des étoiles sur le nez en trompette. Ouais, quand tu l’as vu, ta première pensée c’était « Putain, faut qu’j’me la fasse. »
Au final, c’est elle qui te la mise. Juliet, gamine de la classe médiocre, trop timide, trop pure. Quand elle riait, y’avait des perles et des diamants qui sortaient de sa bouche dessinée d’un rouge vermeil. Dix-sept ans, c’est trop jeune pour tomber amoureux, et pourtant tu t’es cassé la gueule comme jamais. Le prince et la pauvre, Roméo et Juliette du vingt-et-unième siècle. Toi t’as les faux airs de Léonardo Dicaprio, elle, elle porte le prénom de l’héroïne déchue. Vous avez fini comme eux. Non, personne n’a crevé ; juste ton cœur un p’tit peu.
Mais mamie voulait pas d’une meuf de la basse, elle voulait la perle précieuse pour son p’tit fils (comme si elle en avait quelque chose à foutre). Alors elle fait capoter les Capulet avec ses ruses perfides. Détruit cette famille qui peinait déjà à tenir debout pour t’empêcher d’la voir, parce qu’au fond, elle pouvait pas supporter d’te voir heureux. Compte en banque ruiné, maison saisie, ta grand-mère était bien trop puissante, trop dangereuse ; fourbe comme pas deux. Ils ont déménagés, t’as jamais su où.
Tu pensais finir ta vie avec elle, t’avais l’espoir qui se ravivait à chaque fois que t’étais à ses côtés. Ouais, tu pensais avoir la pièce toute entière ; au final, vous n’avez eu qu’une seule scène ensemble.
Tu détestais déjà ta mère ; maintenant, c’était les Marshall tout entier qu’tu haïssais.
*:・゚✧ that wasn’t very pastel grunge of you ✧゚・:*
« T’AS BAISE MON MEILLEUR AMI ?! J’ARRIVE PAS A L’CROIRE PUTAIN. »Ta mère se masse les tempes dans son peignoir en soie, gueule de bois mais martini à la main. Toi, tu fais les cent pas devant elle les yeux rougis par la haine. Tes potes t’faisaient souvent des blagues sur elle. « Ouah, mais ta mère elle est trop bonne ! » « C’est trop une MILF, franchement j’pense à elle quand j’mastique. » Tu levais les yeux au ciel parce que t’en avais rien à foutre, puis tu pensais pas qu’elle tomberait aussi bas. Sauf que là, elle est carrément sous terre. Elle te demande de baisser le ton, pas parce qu’on ne parle pas comme ça à sa mère, mais parce qu’elle a mal au crâne à cause des dix verres de la nuit précédente. Tu jettes les chaises, tu casses les verres ; tout pour la faire réagir. Mais elle reste là, les yeux à demi clos en avalant un cachet d’aspirine à l’aide de son cocktail.
« PUTAIN !!! MAIS TOUT BRIGHTON T’ES PASSE DESSUS EN FAIT ! » tu sais même pas pourquoi tu dis ça ; tu l’savais déjà. Tu veux juste la blesser comme elle te blesse depuis ta naissance par son manque d’amour et sa présence inexistante. Mais elle s’en fou et ça t’rend fou.
« J’me casse. J’vais en Corée chez papa. » sa seule réponse, c’est un éclat de rire, première réaction depuis longtemps, pas vraiment celle que t’attendais.
« T’es drôle, mon Phoenix. Toi, tu vas quitter tout ça pour aller chez ton fauché de père ? »
Tu te figes. T’aimes l’argent et l’argent t’aime, mais l’argent n’aime pas papa. Mais t’es à bout ; tu s’rais prêt à quitter le manoir, les cinq cent balles qui traînent dans ta poche et tous les artifices pour un peu d’amour. Parce que ton père t’aime ; il te le montre chaque étés, quand tu passes les meilleures moments de ta vie.
« J’préfère vivre chez un fauché que rester une nuit de plus chez une pute. »
Et le jour suivant, t’étais dans l’avion Asiana Airline direction Seoul. T’as bien fait attention d’voler 200 000 livres à ta mère pour les foutre sur ton compte. Ton père et sa femme t’ont accueilli les bras aussi ouverts que les jambes de ta mère.
Maintenant t’as une p’tite sœur, aussi.
Et même si le changement fut brutal, t’as eu deux ans pour t’adapter.
Maintenant t’arpentes les rues de Séoul avec le même sourire en coin. Parce que t’as pas changé ; ton cœur est toujours aussi niqué et t’essayes de le cacher sous tes airs de branleur de la haute société.
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Je suis...
Ton Pseudo
coucou moi c'est cez, j'suis aussi NO LEI #norules et j'suis de retour avec ce petit phoenix pour niquer des reums
Célébrité prise
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[url=http://www.shaketheworld.net/u771][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken>CHOI HANSOL VERNON (seventeen)</taken> ✎ byun phoenix
Supprimez le code inutile
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mar 5 Avr - 2:35 Citer EditerSupprimer
+++++++++++
edit1; je dépose mon exclusivité sur ta gueule sans même te laisser le temps de dire quoi que ce soit et je reviens plus tard.
edit1; je dépose mon exclusivité sur ta gueule sans même te laisser le temps de dire quoi que ce soit et je reviens plus tard.
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mar 5 Avr - 2:47 Citer EditerSupprimer
bonjour. j'aimerais bien que tu arrêtes d'être parfaite ptn. j'tm comme winnie aime le miel
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mar 5 Avr - 2:52 Citer EditerSupprimer
HAN VERNON CUTIE
Recoucou dans le coin bella
Bon courage pour ta fiche
Recoucou dans le coin bella
Bon courage pour ta fiche
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mar 5 Avr - 6:56 Citer EditerSupprimer
VEROUI VERNON
REE TOI, ton personnage a vraiment l'air cool
REE TOI, ton personnage a vraiment l'air cool
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mer 6 Avr - 0:35 Citer EditerSupprimer
ramsey + :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon: :jihoon:
tasyr + j'essaye mais c'est dur des fois jtm comme tasyr aime la teuch de keeyoung (worry)
sinon merciiii tout l'monde.
tasyr + j'essaye mais c'est dur des fois jtm comme tasyr aime la teuch de keeyoung (worry)
sinon merciiii tout l'monde.
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mer 6 Avr - 0:48 Citer EditerSupprimer
t'aurais au moins pu dire comme Taz aime le ass de Lei, ça aurait été plus cute (worry) c'pas grave j'te pardonne tout, t'ma déesse cachée (inlove)
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mer 6 Avr - 0:52 Citer EditerSupprimer
Rewelcome beautey, décidément tu joues que des belles gueules
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Re: BYUN PHOENIX ♡ lonely hearts club | Mer 6 Avr - 1:24 Citer EditerSupprimer
mon ego je le vaux bien parce que je suis le plus beau
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