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lee joniya ★ 無限の信条
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lee joniya ★ 無限の信条 | Ven 15 Avr - 21:23 Citer EditerSupprimer
nom : lee, il n'y a pas plus commun dans ce pays, voir même ce continent. prénom : joniya. un désaccord entre père et mère. l'un voulait john, l'autre exigeait iliyan. pour mettre tout le monde d'accord, joniya était une fusion des deux. âge : fraichement vingt et un et pourtant, il agit encore comme un gosse narcissique et arrogant, au final, il a toujours rien dans la tronche. date et lieu de naissance : monsieur jeune homme est né non pas en asie, mais aux usa, belle contraste donc. origines : originaire de corée du sud par son père, mais japonais par sa mère. nationalité : on lui offre la nationalité du beau pays d'obama, bien que son physique décrit une toute autre chose. cursus universitaire : ici. métier : il offre son savoir faire de beau parleur à la chaine télé de son pôpa chéri. il est donc présentateur pour une chaine de potins people, rien qui lui plait donc. orientation sexuelle : homme ou femme, il s'en fiche, du moment qu'il peut se vider quand il le souhaite, c'est parfait pour lui. classe sociale : quelqu'un dirait aisé, mais lui préfère le terme de fils à papa, façon bobby ewing dans dallas, vous voyez le délire de l'héritage un peu ? code du règlement : ici. tu veux t'investir ? si oui, tu auras le choix entre deux fraternités qui viendront te vendre les mérites de leur famille, si non, tu pourras rejoindre les students ou les citizens
Lee Joniya
tu viens de gagner une valse avec lucifer.
CHARMEUR (★★★★★) | IMPULSIF (★★★★✰) | OBSERVATEUR (★★★★★) | MANIPULATEUR (★★★★✰) | PROTECTEUR (★★★✰✰) |
LÂCHE (★★★★✰) | LOYAL (★★★✰✰) | INSTABLE (★★★★★) | GÉNÉREUX (★★★✰✰) | PERTURBE (★★★★✰) |
Rumour has it... dis-nous un peu quels bruits courent au sujet de ton personnage Survole l'avatar, petit coquin. | My character tu es peu trop connard pour ces demoiselles, un peu trop brusque pour ces messieurs. prenant l'un ou l'autre par derrière, tu refuses catégoriquement de faire face à chacun d'entre eux, du moins sans attache. l'amour, tu n'y connais rien. tu t'en fous et tu en as toujours eu rien à foutre. pour toi, tu penses seulement avec ton entre jambes et cela te suffit. outre tes airs d'enfant bien sage, élevé par un papa multi-millionnaire, tu affiches un sourire plus faux que la plastique parfaite de ta mère pour faire bonne figure lors des entretiens avec x ou y personne. au fond de toi, tu te fiche royalement des contrats, des fêtes mondaines et ce bordel là. lors que tu portes le beau costard azzaro que papa t'as payé, tu n'as qu'une hâte, c'est de finalement le retirer pour te glisser dans ton débardeur merdique, puant la clope et parsemé de gerbe de la veille. tu te sens bien seulement parmi ta merde, tes clopes, tes drogues et tes coups qui s'enfilent à la chaine comme une vulgaire brochette de légume frais. papa t'offre ce poste de présentateur télé comme si c'était le saint graal, mais pour toi, c'est l’équivalence à la potence. ton âme d'anarchiste te pousse bien trop souvent à la rébellion, ce qui conduit bien rapidement à de gros conflits avec ton paternel, mais tu ne lâches rien. tu veux avoir raison, tu veux avoir le dernier mot et tu l'auras, parce que tu es comme ça. ta vois est plus importante que celle des autres après tout. tu vois les choses à ta façon, sans réellement te soucier de ceux qui t'entoure. bien évidemment, tu possèdes quelques fidèles, mais tu es loin d'être dupe. les trois quart sont présent pour ton pognon, pour ton nom ou même pour ta notoriété, rien de plus, alors toi, tu fais pareil. tu uses de tes soit-disant amis pour te procurer drogue, alcool, sexe en veux-tu, en voilà, jusqu'à ce que x découvre le poteau rose. tu te fiches des pertes car au final, tu n'accorde aucune importance aux autres, excepté à toi même. tes poignets sont torturés, blessés, meurtris par les lames qui ont dévastées ta peau à plusieurs reprises. tu remercies silencieusement ton paternel pour cette souffrance qui t'offre un soupçon de libération lorsque le moment vient. une âme perdue, un esprit lointain et des gestes perdus lors de tes crises. ta colère elle est là, sur chacune de ces marques qui sont présente sur tes avant-bras. chacune représentent un instant, une colère ou un évènement important, parfois trop douloureux pour laisser ton esprit prendre le dessus.alors certaines douleurs, certaines décisions, tu les prends seulement au bout de cette lame que tu gardes précieusement au fond de la poche de ton pantalon. la même depuis le début de ton adolescence. très peu bavard sur ton passé, tu évites constamment la conversation lorsque l'on touche à celui-ci. enfance détruite, adolescence perdue, l'avenir prend malheureusement le même chemin, mais tu ne fais rien pour éviter cela. tu es lâches et tu le sais. tout le monde le sait et beaucoup en profite. plutôt que de faire face, tu fuis, ignorant tous conflits, bien que parfois, ton impulsivité est bien trop forte. alors oui, il arrive que tu finisses dans le poste de police le plus proche, ou rejeté d'une boite de nuit après quelques minutes, mais non, tu ne parleras pas. tu resteras silencieux, te détruisant à petit feu comme tu l'as toujours fait. un poids bien trop lourd sur tes épaules depuis ces dix dernières années t'empêche de vivre comme tu le voudrais, alors oui, ce n'est pas une vie de château que tu souhaite. tu ne veux pas de cet argent sale, de ces costards hors de prix et de ces voitures de luxe. tu veux ta drogue, tes débardeur pourris et ta maladie. tu veux vivre dans la merde la plus totale, car au fond de toi, tu y es depuis fort longtemps maintenant, mais tu repousses ce moment où tu diras non. tu repousses ce moment où tu lèveras la tête et prendra ton paternel de haut, lui disant que tu ne veux rien de lui, car c'est lui qui t'a détruit et qui a détruit cette famille qu'il y avait autre fois. tu es perdu, tu es pommé, mais tu continues à faire bonne figure pour le bien de la société car malgré tout, une partie de cette dernière est le seul héritage de ta pauvre mère. tu es brisé, détruit, mais tu continues, jusqu'à n'en plus pouvoir. ta vie sera courte, peut être même bien trop courte, mais tu t'en fiche. tu veux la vivre comme tu l'entends, même si pour ça, tu dois cacher drogue, alcool, sexe et homosexualité à ton père. tu ne l'aimes pas. il ne t'aime pas. il veut seulement une suite, une relève pour son dur labeur, mais toi, tu veux détruire ce qu'il a construit. tu veux le détruire comme il a détruit ta vie et celle de ta mère. |
This is my story
citation de ton choix
⊹ beaucoup ne possèdent ni parents, ni enfants, ni famille et pourtant, certains d'entre eux vivent largement mieux qu'avec la luxure, la chaleur d'une famille ou que sais-je encore. contrairement à ce que l'on peut penser à son sujet, joniya n'a rien d'envieux. beaucoup parlent de lui comme étant un fils à papa, pourris gâté jusqu'à la moelle, alors que d'autre connaisse sa véritable vie. issue de la bourgeoisie, il est clair qu'il a grandit sans aucun problèmes, que ce soit financier, caprices, plaisirs et autres. malheureusement pour cette enfant là, une mère manquait à sa vie. abandonné à la naissance par cette dernière, l'enfant c'est retrouvé forcé de vivre seul avec son paternel, prenant l'acte de cette femme pour un acte de lâcheté, d'abandon. il n'a jamais voulu parler d'elle et aujourd'hui encore, ce sujet est sensible chez lui. vivant aux cotés d'un père tyrannique, perfectionniste et bien trop adroit dans ses pompes, joniya dû suivre les pas de son paternel, forcé d’obéir à ce dernier comme étant dans l'obligation de prouver à son père que lui n'était pas comme elle. que lui pouvait réussir là où cette femme avait échouée. il ne baissera jamais les bras et aujourd'hui encore, il se bat pour ne pas flancher, bien que la tâche s'avère être de plus en plus compliqué face à un père si fermé d'esprit. son parcours scolaire n'a jamais été un fardeau, bien au contraire, papa lui a fournis les meilleurs enseignants possible et à domicile, histoire de ne pas perturber l'enfant. dans cette maison aux allures de château, joniya apprit progressivement à parler plusieurs langues, en plus de ses matières pour ses études, cependant, son paternel visait bien plus haut pour son enfant, voulant faire de lui son futur héritier. joniya avait dans l'obligation de savoir toujours plus que autrui, même si cela le conduisait parfois à de forte crise de migraine, le forçant même à ne pas dormir tant qu'il n'avait pas terminé de lire ou d'apprendre un sujet bien précis. ce vieil homme voulait façonnait l'enfant à son image, se doutant malheureusement pas que ce petit homme serait bien différent des années après. mr. lee avait tout offert à son enfant, bien que très peu affectif envers ce dernier. il recherchait la perfection là où il ne fallait pas, usant parfois de l'absence de sa mère pour faire pression mentalement sur son propre enfant, lui signalant qu'il finirait comme elle si il ne faisait pas ce que le vieil homme lui disait. joniya avait peur. joniya craignait et craint encore son cher père.chapitre 1 ; nevermind⊹ parfois, des cris, des pleurs, des coups retentissaient dans la maison familiale. âgé de seulement quatorze ans, le jeune adolescent restait cloitré dans sa chambre, glissant sa tête sous l'oreiller pour ne pas avoir à attendre la violence de son père s'abattre sur l'âme et le corps de sa douce belle mère. remariés depuis quelques mois, le couple battait sérieusement de l'aile depuis quelques temps, et pour cause, la patriarche lee était devenu un peu trop gourmand de la chair fraiche, trompant sa nouvelle femme avec une fille plus jeune qu'elle et cela, tous les soirs. la grande dame avait compris l'infidélité de son mari lorsqu'elle le vit sortir d'un restaurant de la ville aux bras d'une gazelle un peu trop vulgaire à son gout. les suivants avec attention, elle arriva sur les lieux d'actions de son époux qui n'était autre qu'un simple hôtel. inutile d'expliquer la suite. cette chère dame a fait part de son mécontentement à mr.lee qui n'a pas trouvé mieux que lever la main sur cette dernière. l'adolescent retranché dans sa chambre entendait malgré lui les mots, les gestes, les gloussements de sa belle mère. à ce moment là, Joniya savait très bien que les mains de son père serraient la nuque de cette femme jusqu'à lui couper la respiration. la nuit fut longue, mais le jeune homme finit par trouver le sommeil et cela, malgré les bruits et le ramdam qu'il y avait eu. à son réveil, l'enfant se sentait impuissant, faible, honteux de ne pas avoir aidé la femme qui était censé partager la vie de son père. était-elle morte ? vivante ? se vidait-elle de son sang en plein milieu du salon depuis la veille ? heureusement non. elle avait simplement prit la fuite durant la nuit, laissant Joniya seul face à son paternel. encore une qui abandonne. les jours passaient, ta vie devenait un véritable gouffre où il était impossible d'en sortir. ton père faisait de toi son nouveau punching ball. si quelque chose n'allait pas, c'est sur toi qu'il passait ses nerfs et donc, une fois par semaine, l'adolescent que tu étais prenait ce qu'il y avait à prendre. parfois ça n'était que de simple brûlure de cigare qui venaient orner ton torse, d'autre fois c'était tes cotes qui prenaient et parfois, il venait à te pousser là où personne ne l'avait fait jusque là, te faire sortir de tes gonds, pour en suite te frapper toujours plus fort, mais tu résistais, difficilement, mais tu résistais. chaque jours où l'air remplissait tes poumons, tu te maudissais, tu le maudissais lui, alors pour ne pas abandonner, pour ne pas le laisser gagner, chaque soir, tu venais à te faire ton propre bien par le billet du mal. le long d'une lame bien aiguisée, tu venais à ouvrir la peau de tes avant-bras. la brûlure soudaine que t'offrait cette lame lorsqu'elle ouvrait ta peau était semblable à un signe de soulagement, d’apaisement, de liberté. au fil des jours, les marques étaient beaucoup plus imposantes, beaucoup plus visible, ce qui évidemment attira l'attention du vieux lee qui ne se fit pas prier de corriger son enfant avant de finalement le traiter comme un moins que rien, l'abandonnant à son tour en le livrant dans un centre de repos. prenant son fils pour un dérangé, il le laissa derrière lui, obligeant ce dernier à se droguer aux médicaments que pouvait lui prescrire le centre. à partir de ce jour, Joniya savait que tout était perdu, mais que pourtant, il ne repartirait pas sans rien.chapitre 2 ; i don't give shit, i dont give fuck
⊹ l'air frais chatouillant ton fin visage, tu aperçois le soleil entre deux nuages annonçant une pluie certaine d'ici quelques minutes. tes yeux se dirigent lentement jusqu'à cette voiture aux vitres d'une couleur sombre, fumée, de façon à ne pas reconnaitre qui est à son bord. un chauffeur t'attend, te débarrassant par la suite de ton sac qui ne comportait que quelques vêtements, rien d'important en soi. tu grimpes à l'intérieur du véhicule, t'installant à l'arrière avant de prendre conscience de la présence de ton paternel. un silence s'installe, tu appuies ta tête contre cette fenêtre, regardant le paysage sans y prêter une réelle attention, puis vient ce poids soudaine sur tes cuisses. tu abaisses alors tes yeux et les déposes sur un dossier. un soupir t'échappe. tu sais de quoi il s'agit, mais tu n'en veux pas. malheureusement, tu n'as pas le choix. ta liberté était dans ce dossier. assumer ta destinée ou finir enfermé une nouvelle fois dans ce centre. c'était ça le deal. suivre le chemin de papa, ou finir dans un trou de souris, traité comme un malade. saisissant le stylos qui se glissait sous tes yeux, tu signas les papiers sans faire réellement attention, rejetant par la suite le dossier sur les genoux de ton paternel avant d'appuyer à nouveau ta tête contre cette vitre. au fond de toi, tu es conscient de l'enfer dans lequel tu viens de t'embarquer. tu réalises alors à ce moment là que ta vie n'est plus la tienne, mais celle de ton paternel. il n'y a que lui qui possède des droits sur ta personne. toi ? tu n'as droit à rien, seulement à obéir et à te taire, subir à nouveau, comme il y a quatre ans. tu as seulement dix-neuf ans, mais tu as conscience que ta vie ne sera pas un long fleuve tranquille. u.cchapitre 3 ; tomorrow⊹ "At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti quos dolores et quas molestias excepturi sint occaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio cumque nihil impedit quo minus id quod maxime placeat facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat."chapitre 4 ; ride on forever, ride out together.
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Je suis...
Ton Pseudo
je fais mon retour en grande pompe. avouez que je ne vous avez pas manqués ! je ponds un nouveau bébé, bien que toujours aussi sombre que percy & nathys, mais beaucoup plus différent. j'offre une hyperball à celui qui m'offre un free hug pour mon retour merdique, parce que je l'avoue, on peut pas rester bien longtemps éloigné de stw. je suis une merde, voilà. on me l'a fait comprendre y a pas si longtemps dooooonc. j'ai balancé mon humeur de merde pour revenir en toute petite bichette, façon de parler du moins. je sais pas pourquoi je fais un pavé, tout le monde s'en tape t'façon m'en fin. des poutous empoisonnés pour vous parce que c'est bien connu, elliark = poison. du moins c'est ce que j'ai cru comprendre
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/]▼[/url] <taken><upper>ASANO KEISUKE</upper></taken> ✎ <lower>lee joniya</lower>
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Ven 15 Avr - 21:33 Citer EditerSupprimer
un avatar de cette déesse de léanna, keisuke et un fils à papa, frère bienvenue ??? je sens on va bien s'entendre toi et moi :fabu:
si t'as des questions hésites pas !
si t'as des questions hésites pas !
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Ven 15 Avr - 21:36 Citer EditerSupprimer
Tu m'intéresses.
Bon courage pour ta fiche beau ténébreux
Bon courage pour ta fiche beau ténébreux
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Ven 15 Avr - 21:47 Citer EditerSupprimer
houuuu ce début de fiche me fait de l'oeil
coucou toi, contente de te voir parmi nous
coucou toi, contente de te voir parmi nous
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Ven 15 Avr - 21:57 Citer EditerSupprimer
Ooooh bienvenue sur le forum
Bon courage pour ta fiche, le début me plait beaucoup déjà
Bon courage pour ta fiche, le début me plait beaucoup déjà
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Sam 16 Avr - 17:31 Citer EditerSupprimer
Merci les loulous. Je termine ça bientôt ♥.
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Dim 17 Avr - 15:21 Citer EditerSupprimer
J'aime trop ton caractère azy je viendrais avec mes deux perso pour un lien
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Dim 17 Avr - 18:00 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nouuuus ! Courage pour ta fiche !
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Lun 18 Avr - 15:25 Citer EditerSupprimer
Je termine ça dans l'après midi, en espérant satisfaire votre curiosité
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Re: lee joniya ★ 無限の信条 | Mer 20 Avr - 15:43 Citer EditerSupprimer
j'étais pas passée par là :bago: rebienvenue à la maison elliark, j'espère que cette fois ce sera la bonne, et bon courage pour ce qu'il reste de ta fiche (qui m'a l'air déjà bien avancée btw )
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