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feng lei + dollhouse
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feng lei + dollhouse | Lun 18 Avr - 21:26 Citer EditerSupprimer
nom : feng. prénom : lei. âge : 35. date et lieu de naissance : 22 février à shanghai. origines : chinoises. nationalité : coréenne. cursus universitaire : / métier : homme d’affaire sur les papiers mais s’occupe aussi d’un réseau fermé de prostitution de garçons. orientation sexuelle : il respecte sa femme, il aime comme il haït son protégé et passe un peu de son temps libre avec de jeunes garçons fragiles et perdus et parfois avec de puissantes femmes. classe sociale : milliardaire. code du règlement : olaf . tu veux t'investir ? citizens
feng lei
round and round like a horse in a carousel
intelligent (★★★✰✰) | froid (★★★✰✰) | puissant (★★★✰✰) | maladroit (★★★✰✰) | débrouillard (★★★✰✰) |
trompeur (★★★★✰) | indépendant (★★★✰✰) | menteur (★★★✰✰) | loyal (★★★✰✰) | silencieux (★★★✰✰) |
Rumour has it... Il serait parti de rien et aurait bâti l’un des plus grands empire commercial de l’Asie (v.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Si vous cherchiez quelqu’un de chaleureux et expressif, passez la porte. Lei n’est absolument pas une personne qui montre ce qu’il ressent aussi bien lorsqu’il souffre que lorsqu’il est satisfait. Ce n’est pas un bon vivant, et, même après quelques bouteilles d’un bon alcool, vous arriverez certainement à le faire rire, mais il ne crachera pas le morceau sur son état d’esprit. Le géant de fer n’est pas un homme d’apparence cruel, et il est même tellement courtois qu’on le pense sympathique. Pourtant, c’est bien sur la détresse des autres qu’il fonde son commerce et ses petits plaisirs tenus secrets derrière une porte toujours fermée dont lui seul possède la clé. Lei n’est pas quelqu’un de désabusé et de dépendant à son argent et à son pouvoir : cependant, il est puissant, et il le fait savoir. Pourtant, il n’a jamais eu besoin d’apprendre qu’il n’achèterait personne pour longtemps avec de l’argent. Il ne peut pas posséder le monde et n’a jamais cherché à le faire. Le seul qu’il voulait, c’était lui. Bien qu’il paraisse affreusement austère et sérieux, l’homme se détend un peu plus avec les belles compagnies qui viennent souvent s’intéresser à lui, car il ne fera jamais le premier pas. Homme d’affaire brillant, redoutable et doté d’une grande intelligence, il se plonge quotidiennement dans un travail qu’il passe avant toute chose. Cela lui a valu les foudres de quelques personnes, mais il n’a jamais réussi à changer au risque de faire effondrer tout ce qu’il avait eu tant de mal à construire. C’est un homme dangereux, impitoyable, dont les sbires se trouvent partout où les gens de tous les jours passent, traquant ennemis potentiels et en éliminant parfois. C’est un bandit à sa façon, et son or s’étend sur tout le continent. Lei est quelqu’un qui aime facilement, qui s’attache sans difficulté mais qui a du mal à le faire sur une longue période, souvent son affection n’est que superficielle. Il respecte autrui sur un certain niveau : avant qu’on s’offre à lui. L’homme est une personne plutôt prévenante, qui met en garde des risques et dangers qu’il y a à rester avec lui. « - voici les risques si tu me suis, il est encore temps de se retourner. |
This is my story
hey garanaya
Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, Lei n’est ni un riche héritier né avec une cuillère dans la bouche, ni un garçon qui s’est lancé dans les braquages pour obtenir une des plus grandes fortunes mondiales : il était simplement un gamin des quartiers défavorisés qui a travaillé dur à l’école. Les professeurs ont beau joué aux plus grands bourreaux de la Terre et nous casser les oreilles avec le même refrain, ils sont ceux qui ont compris le principal : le dur labeur est ce qui se paye le plus, avec un brin de détermination et de courage, bien qu’en ce moment ce soit de plus en plus difficile. Donc, le chinois a toujours vécu dans son pays jusqu’à ses 18 ans où il est parti tenter sa chance ailleurs, dans un pays plus prometteur, plus émergeant. Il y avait d’ailleurs demandé la nationalité qui lui avait été refusée du fait du peu de temps qu’il avait vécu à séoul ou dans n’importe quelle ville que ce soit. Là-bas, on lui avait enfin donné sa chance, là-bas il avait pu poser les premières pierres d’un empire qui montera jusqu’au ciel. A l’aide d’une épouse sévère et aussi douée que lui, ils travaillèrent main dans la main, menant une vie qui n’était pas comblée par un mariage mais dont l’argent sauvait les principaux heurts. Lei trouvait en la compagnie d’autres personnes et il se contentait de s’en sortir, jusqu’à un jour.
L’homme est né dans un bidonville. Il n’avait ni frères, ni sœurs, seulement un père et une mère assez aimants qui, de toute façon, n’avaient pas les moyens pour élever d’autres enfants. La famille Feng ne put rester que quelques semaines dans l’endroit où ils avaient commencé une vie compliquée et précaire. En effet, la chine, ayant une image à tenir, était connue pour raser les possibles coins de misère qui poussaient comme des champignons ces temps-ci. Ses parents emmenèrent alors l’enfant vivre à Macao où il y passa une enfance sans histoires malgré les manques de moyens sérieux dont ils souffraient tous à leur manière. Afin d’aider les gens qu’il aimait, à s’en sortir, Lei travaillait très dur à l’école, se trouvait quelques boulots de cireur de chaussure ou de garçon de café. Avec cet argent il permettait à ses parents de manger un repas chaud par jour. Il devenait de plus en plus compliqué de vivre dans le manque, entouré d’une famine qui était des plus présentes. C’est à ses 18 ans que le jeune homme fut contraint d’abandonner sa famille, après avoir obtenu brillamment un diplôme pour pouvoir commencer à travailler. Cependant, avant de quitter le pays, et après avoir économisé plusieurs années pour un simple billet d’avion, il avait fait la promesse à son père et à sa mère de subvenir à leurs besoins à l’aide d’une enveloppe mensuelle qui leur serait envoyée.
Il n’y avait pas à dire, la corée du sud impressionnait bien plus qu’on ne pouvait le croire. Quand le jeune adulte se présenta dans la capitale, il n’y croyait pas ses yeux. Il n’avait jamais vu autant d’agitation, autant d’immeubles, n’avait jamais entendu autant de bruit, et n’avait jamais autant distribué de sourires aux gens qui passaient à côté de lui. Il se présenta dans plusieurs boites qui le refusèrent toutes et, au bout de plusieurs semaines de recherche, une entreprise florissante l’engagea comme agent de communication dans l’import-export avec la chine. Sa carrière était enfin lancée. En sept ans, à l’aide d’une des employées qui travaillait dans la même société, ils se marièrent et, par leur intelligence, dépassèrent ladite entreprise pour en bâtir une autre, plus spectaculaire, qui voyait plus loin. Le couple eut beaucoup de chance, la richesse frappa à leur porte et leur vie commença à changer : une plus grande maison, des plus grosses voitures, des milliers d’employés, des centaines de clients et de gros contrats, des milliards de dollars qui rentraient dans les caisses et une partie envoyée comme toujours aux parents du chinois. Ce dernier n’en revenait pas, il avait réussi un vœu qui semblait voué à l’échec depuis sa naissance dans la misère.
Cependant, et même si l’argent soignait bien des maux, il ne pouvait pas tout guérir, et, si l’affaire était à son apogée, le mariage lui, s’était aussi vite éteint qu’il ne s’était allumé. Lei et son épouse restaient officiellement mariés sur les papiers mais ils vivaient leur vie, elle préférant vivre presque de manière invisible et s’imposer lorsqu’elle le souhaitait, et lui, aimant la compagnie de jeunes hommes à peine majeurs, et de femmes qui lui faisaient penser à sa femme en plus jeune. C’est en venant au secours de garçons dans la rue que Lei eut cette idée de les engager à son compte afin de séduire les clients et les clientes qui étaient de ce bord-là. Il trouvait alors un logement à ses protégés et les envoyait satisfaire les plus gros détenteurs de contrats pour les gagner. Cette méthode efficace et studieuse ne changea jamais, et le chinois pensait avoir désormais trouvé le rythme à sa vie. Il s’était trompé.
C’était un garçon fougueux, dangereux, obsessionnel que Lei avait accueilli chez lui. Il ne savait pas vraiment pourquoi il l’avait vivre dans son palais, peut-être que le roi se sentait trop seul en fin de compte, et qu’il avait envie, et qu’il avait besoin d’un petit prince pour lui tenir compagnie. Au départ, leurs relations n’étaient que très formelles, il avait son étage, sa chambre, sa salle de bain, ils mangeaient ensemble et parfois même, Sangjae se présentait dans son bureau pendant qu’il travaillait. Très vite, le chinois avait eu envie de davantage, de posséder ce corps qui avait été si meurtri, de le faire encore plus souffrir pour lui montrer que désormais il était habitué et surtout pour lui faire comprendre que seul lui, maintenant, pouvait le soigner de sa maladie imaginaire. Il avait donné un travail à cet enfant, le même travail que tous les autres, et le voir aussi résistant, entre les barreaux de cette cage à satisfaire parfois une quinzaine de clients à la fois, faisait monter une estime et un amour incontrôlable envers le plus petit. Lei comprit aussitôt le danger de cette attirance qu’il éprouvait pour Jae. Il commença à l’intégrer un peu plus dans sa vie chaque jour, il l’emmenait dans une salle fermée pour assouvir ses désirs dans la souffrance et se délectait de sa crainte, de son sang et de son envie d’en avoir toujours plus. Il acceptait même sa compagnie dans les réceptions officielles, le présentant comme son neveu qui s’absentait bien souvent avec le patron et l’hôte de la soirée d’affaires pour obtenir quelques faveurs, toujours sous les ordres de Lei. Malheureusement, cela devenait de plus en plus insupportable de le voir avec d’autres hommes que lui, et il comprit rapidement, qu’il devait mettre un point final à tout ça.
« - je t’aime aussi… » avait répondu le trentenaire alors que son amant dormait déjà paisiblement dans ses bras. Ils avaient passé la soirée à faire l’amour tendrement comme un vrai duo, un vrai couple et désormais la jalousie de Lei avait bien grandi en lui, si bien que son meilleur employé Sangjae, n’était plus bon à rien. Ce fut le lendemain qu’il prit la lourde décision de le mettre à la porte sans une once d’explication. C’était un véritable cauchemar de perdre le seul être qu’on a été capable d’aimer. Aujourd’hui, l’homme d’affaire en était réduit à un point de non-retour et cherchait la rédemption à travers la poursuite de sa vie monotone qu’il tentait de rendre plus intéressante en multipliant les compagnies plaisantes, mais personne ne pouvait lui apportait ce que son aimé avait réussi à lui offrir. Il était désormais vide, et condamné à être malheureux sans pouvoir même chercher à le retrouver, et pourtant il sentait que l’heure des règlements de compte était proche.
L’homme est né dans un bidonville. Il n’avait ni frères, ni sœurs, seulement un père et une mère assez aimants qui, de toute façon, n’avaient pas les moyens pour élever d’autres enfants. La famille Feng ne put rester que quelques semaines dans l’endroit où ils avaient commencé une vie compliquée et précaire. En effet, la chine, ayant une image à tenir, était connue pour raser les possibles coins de misère qui poussaient comme des champignons ces temps-ci. Ses parents emmenèrent alors l’enfant vivre à Macao où il y passa une enfance sans histoires malgré les manques de moyens sérieux dont ils souffraient tous à leur manière. Afin d’aider les gens qu’il aimait, à s’en sortir, Lei travaillait très dur à l’école, se trouvait quelques boulots de cireur de chaussure ou de garçon de café. Avec cet argent il permettait à ses parents de manger un repas chaud par jour. Il devenait de plus en plus compliqué de vivre dans le manque, entouré d’une famine qui était des plus présentes. C’est à ses 18 ans que le jeune homme fut contraint d’abandonner sa famille, après avoir obtenu brillamment un diplôme pour pouvoir commencer à travailler. Cependant, avant de quitter le pays, et après avoir économisé plusieurs années pour un simple billet d’avion, il avait fait la promesse à son père et à sa mère de subvenir à leurs besoins à l’aide d’une enveloppe mensuelle qui leur serait envoyée.
Il n’y avait pas à dire, la corée du sud impressionnait bien plus qu’on ne pouvait le croire. Quand le jeune adulte se présenta dans la capitale, il n’y croyait pas ses yeux. Il n’avait jamais vu autant d’agitation, autant d’immeubles, n’avait jamais entendu autant de bruit, et n’avait jamais autant distribué de sourires aux gens qui passaient à côté de lui. Il se présenta dans plusieurs boites qui le refusèrent toutes et, au bout de plusieurs semaines de recherche, une entreprise florissante l’engagea comme agent de communication dans l’import-export avec la chine. Sa carrière était enfin lancée. En sept ans, à l’aide d’une des employées qui travaillait dans la même société, ils se marièrent et, par leur intelligence, dépassèrent ladite entreprise pour en bâtir une autre, plus spectaculaire, qui voyait plus loin. Le couple eut beaucoup de chance, la richesse frappa à leur porte et leur vie commença à changer : une plus grande maison, des plus grosses voitures, des milliers d’employés, des centaines de clients et de gros contrats, des milliards de dollars qui rentraient dans les caisses et une partie envoyée comme toujours aux parents du chinois. Ce dernier n’en revenait pas, il avait réussi un vœu qui semblait voué à l’échec depuis sa naissance dans la misère.
Cependant, et même si l’argent soignait bien des maux, il ne pouvait pas tout guérir, et, si l’affaire était à son apogée, le mariage lui, s’était aussi vite éteint qu’il ne s’était allumé. Lei et son épouse restaient officiellement mariés sur les papiers mais ils vivaient leur vie, elle préférant vivre presque de manière invisible et s’imposer lorsqu’elle le souhaitait, et lui, aimant la compagnie de jeunes hommes à peine majeurs, et de femmes qui lui faisaient penser à sa femme en plus jeune. C’est en venant au secours de garçons dans la rue que Lei eut cette idée de les engager à son compte afin de séduire les clients et les clientes qui étaient de ce bord-là. Il trouvait alors un logement à ses protégés et les envoyait satisfaire les plus gros détenteurs de contrats pour les gagner. Cette méthode efficace et studieuse ne changea jamais, et le chinois pensait avoir désormais trouvé le rythme à sa vie. Il s’était trompé.
C’était un garçon fougueux, dangereux, obsessionnel que Lei avait accueilli chez lui. Il ne savait pas vraiment pourquoi il l’avait vivre dans son palais, peut-être que le roi se sentait trop seul en fin de compte, et qu’il avait envie, et qu’il avait besoin d’un petit prince pour lui tenir compagnie. Au départ, leurs relations n’étaient que très formelles, il avait son étage, sa chambre, sa salle de bain, ils mangeaient ensemble et parfois même, Sangjae se présentait dans son bureau pendant qu’il travaillait. Très vite, le chinois avait eu envie de davantage, de posséder ce corps qui avait été si meurtri, de le faire encore plus souffrir pour lui montrer que désormais il était habitué et surtout pour lui faire comprendre que seul lui, maintenant, pouvait le soigner de sa maladie imaginaire. Il avait donné un travail à cet enfant, le même travail que tous les autres, et le voir aussi résistant, entre les barreaux de cette cage à satisfaire parfois une quinzaine de clients à la fois, faisait monter une estime et un amour incontrôlable envers le plus petit. Lei comprit aussitôt le danger de cette attirance qu’il éprouvait pour Jae. Il commença à l’intégrer un peu plus dans sa vie chaque jour, il l’emmenait dans une salle fermée pour assouvir ses désirs dans la souffrance et se délectait de sa crainte, de son sang et de son envie d’en avoir toujours plus. Il acceptait même sa compagnie dans les réceptions officielles, le présentant comme son neveu qui s’absentait bien souvent avec le patron et l’hôte de la soirée d’affaires pour obtenir quelques faveurs, toujours sous les ordres de Lei. Malheureusement, cela devenait de plus en plus insupportable de le voir avec d’autres hommes que lui, et il comprit rapidement, qu’il devait mettre un point final à tout ça.
« - je t’aime aussi… » avait répondu le trentenaire alors que son amant dormait déjà paisiblement dans ses bras. Ils avaient passé la soirée à faire l’amour tendrement comme un vrai duo, un vrai couple et désormais la jalousie de Lei avait bien grandi en lui, si bien que son meilleur employé Sangjae, n’était plus bon à rien. Ce fut le lendemain qu’il prit la lourde décision de le mettre à la porte sans une once d’explication. C’était un véritable cauchemar de perdre le seul être qu’on a été capable d’aimer. Aujourd’hui, l’homme d’affaire en était réduit à un point de non-retour et cherchait la rédemption à travers la poursuite de sa vie monotone qu’il tentait de rendre plus intéressante en multipliant les compagnies plaisantes, mais personne ne pouvait lui apportait ce que son aimé avait réussi à lui offrir. Il était désormais vide, et condamné à être malheureux sans pouvoir même chercher à le retrouver, et pourtant il sentait que l’heure des règlements de compte était proche.
About me
Je suis...
immortan joe
coucou mes amours j’ai abandonné nephtys parce que je n’arrivais plus à la jouer et j’ai créé un personnage auquel je tiens beaucoup et un personnage capital pour ma petite poupou d’amour j’espère que vous apprécierez ce monsieur gazou gazou mes bébés
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u668][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>daniel henney</upper></taken> ✎ <lower>feng lei</lower>
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Re: feng lei + dollhouse | Lun 18 Avr - 21:36 Citer EditerSupprimer
Ouh j'aime beaucoup ce monsieur-là !
Bon courage pour cette nouvelle fiche ma baguette de campagne
Bon courage pour cette nouvelle fiche ma baguette de campagne
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Re: feng lei + dollhouse | Mer 20 Avr - 11:35 Citer EditerSupprimer
jae + moi toi+moi+eux+tous ceux qui le veulent (keur sur ta fesse fouettée bébi )
suah + salut bad girl
jihoon + merci beaucoup mon bananier des villes
jungmin + merci disciple
yera + mindbleed
suah + salut bad girl
jihoon + merci beaucoup mon bananier des villes
jungmin + merci disciple
yera + mindbleed
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Re: feng lei + dollhouse | Mer 20 Avr - 12:33 Citer EditerSupprimer
re-bienvenue petit coeur j'espère que ce perso va te motiver à fond et que tu vas t'amuser faut que j'aille lire la fiche de sangjae pour comprendre t'es qui bon courage
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Re: feng lei + dollhouse | Mer 20 Avr - 14:25 Citer EditerSupprimer
Ouh ! Il a l'air bien cool ma foi ce monsieur, et sexuel et sexy et salaud xD (Triple S... /SBAFF/) Courage pour ta fiche !
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Re: feng lei + dollhouse | Mer 20 Avr - 15:32 Citer EditerSupprimer
omg vas y t'es encore plus sexy sous ce compte là rebienvenue
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