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Kang Sunwoo
Invité
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Kang Sunwoo | Mer 27 Avr - 23:03 Citer EditerSupprimer
nom : Kang prénom : Sunwoo âge : 21 ans date et lieu de naissance : 11 octobre 1994, Busan origines : coréennes nationalité : coréenne cursus universitaire : 2e année, Sociologie métier : part-timer- serveur dans un café orientation sexuelle : ?? classe sociale : (très) modeste code du règlement : OK tu veux t'investir ? Non merci, je crois que je vais rester en student pour l'instant
Kang Sunwoo
This isn’t the first time, I’m not a fool but why am I doing this? I keep getting dragged around.
EXTRAVERTI (★★★★★) | BONNE POIRE (★★★★✰) | SOURIANT (★★★★★) | OBSTINE (★★★✰✰) | SPONTANE (★★★★✰) |
TETE EN L'AIR (★★★★✰) | SYMPATHIQUE (★★★★★) | MALADROIT (★★★★★) | CONFIANT (★✰✰✰✰) | ENVAHISSANT (★★★✰✰) |
Rumour has it... Il aurait fait parti d'un gang de délinquants quand il était encore à Busan Survole l'avatar, petit coquin. | My character Tu n'as jamais été un mauvais bougre. Et c'est peut-être même le contraire. (Très certainement). Beaucoup te considèrent même comme une bonne poire. Tu figures clairement parmi la liste des gens qu'on perçoit comme « trop bon trop con » et qui finissent toujours par se faire marcher dessus, en dépit de, ou encore plutôt à cause de leur trop grande gentillesse. Tu es un vrai rayon de soleil, un filtre de lumière qui vient éclairer les journées les plus sombres de ton grand sourire chaleureux et de tes yeux qui se plissent pour ne plus laisser apercevoir que deux adorables fentes. Tu es très sociable, extraverti et pourrais t'entendre avec à peu près quiconque. Tu n'as visiblement peur de rien, es très curieux et n'hésites pas à aller de l'avant. Ton sourire chaleureux peut faire fondre quiconque et te permet très souvent de te sortir de situations difficiles ou de rompre la glace avec un inconnu réticent. Ta nature curieuse va loin cependant, et elle est même parfois trop importante, allant même jusqu'à l'indiscrétion puisque tu deviens parfois un peu trop envahissant. Tu es quelqu'un de franc, tu n'hésites pas à dire ce que tu penses, surtout si tu le juges nécessaire. Cela ne veut pourtant pas dire que tu ne prêtes pas attention aux sentiments des autres. Tu es d'ailleurs très observateur et tentes toujours de faire preuve de tact et de rester objectif. Tu sais aussi te montrer très patient, quand il le faut. En effet, malgré le fait que tu détestes attendre en général, tu sais te montrer patient quand il s'agit de relations et que la personne en face de toi, a besoin de temps. Tu montres moins de compassion, cependant, à l'égard de ceux qui te font poireauter des heures durant -ou des minutes, peut-être- à l'endroit de votre rendez-vous, ou quand le plat que tu viens de commander tarde à arriver. Le fait est que tu es très spontané, et même quelque peu impulsif. Tu es tout à fait capable de décider sur un coup de tête de partir faire un road trip jusqu'à Busan, ou Daegu, ou peu importe, au bout milieu de la nuit. Trois heures du matin, c'est pas si tard que ça après tout, non ? Et puis, le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt... (ou ceux qui ne se couchent pas, peut-être, si on veut ton avis). Tu es étourdi, assez tête en l'air, et très maladroit. Tu as tendance à te prendre les pieds dans un peu n'importe quoi, t'ouvrir le doigt en épluchant une pomme, et déjà petit tu étais recouverts de pansements de la tête aux pieds. Tu aimes satisfaire les gens. Tu n'aimes pas les déranger et est attentif à leur besoin. C'est aussi ce côté là qui fait qu'on pense que tu es un idiot. Facilement influençable, très généreux, tu n'hésites pas à donner de ta personne pour satisfaire et faire plaisir à ton entourage, ou même au premier inconnu qui met le pied dans ton café. (Quand tu étais jeune, pourtant, tu étais beaucoup plus capricieux et rebelle que tu ne l'es maintenant.) Tu es pourtant loin d'être aussi bête que tu en as l'air, ou qu'on semble le croire. Etudiant en sociologie, tu es aussi très observateur. En vérité tu n'es pas totalement une bonne poire. Si tu te laisses marcher dessus, ce n'est pas par absolue naïveté. Tu es loin d'être un idiot qui ne se rend pas compte qu'on profite de sa gentillesse. Ca, tu en es bien au courant. Tu n'es pas sourd aux bruits qui courent et aux quelques commentaires qui se permettent de juger ta « naïveté sans faille ». Ou bien encore au fait que les mêmes personnes qui te demandent de l'aide et te remercient en souriant, se moquent de toi derrière ton dos, parce qu'ils se jouent de toi. Tu en as même parfaitement conscience. Seulement, ce n'est pas pour autant que tu vas cesser d'être comme tu es. Tu n'as jamais été un leader, et si tu n'hésites pas à dire ce que tu penses, tu n'as jamais ressenti le besoin de t'imposer dans un groupe. Tu n'en as que faire qu'ils profitent de ta gentillesse, puisque finalement, c'est eux qui sont en tort. Et à terme, c'est sur eux que tout va retomber. Ou bien peut-être aussi, est-ce parce que tu n'as aucune intention de briser l'illusion qui s'est installée entre vous. Peut-être bien parce que sous tes airs plein de confiance en toi, ton attitude nonchalante et ta personnalité extravertie, se cache un manque de confiance en soi certain, surtout en ce qui concerne tes relations avec les autres. (Et notamment depuis que ta petite sœur, que tu aimes par dessus tout, ne veut plus t'adresser la parole.) Tu t'attaches trop vite, trop intensément, et ne sais jamais quand il est bon de lâcher prise. Tu es assez envahissant parfois dans tes relations avec les autres. Tu ne le fais pas pourtant exprès. Mais comme tu as peur de les perdre (au fond de toi, tu as peut-être peur de te retrouver tout seul, tout simplement) tu as tendance à t'accrocher aux personnes de ton entourage, de temps à autres. Tu es aussi très tactile, et n'hésite pas à aller vers les autres pour leur ébouriffer les cheveux, ou même jusqu'à les prendre dans tes bras. Ce qui peut parfois porter à confusion, t'attirer des foudres, ou encore gêner les personnes les plus réticentes au contact corporel. Tu es obstiné. Tu ne fonces pas tout le temps tête baissée dans n'importe quoi (quoique... Ta grand-mère ne serait peut-être pas d'accord) mais quand tu entames quelque chose, tu le termines. Tu es borné, et va jusqu'au bout des choses. Tu détestes laisser les choses à moitié commencées. Mais tu n'es pas aussi lisse que tu en as l'air, et tu n'es pas l'enfant sans soucis que ta grand-mère espérait pour tes parents lors de ta naissance. Non seulement parce que déjà quand tu étais encore un enfant, tu étais un vrai casse-cou, à suivre tes amis dans les pires coups. C'est d'ailleurs aussi comme ça que tu t'es retrouvé, en partie, dans un petit gang de délinquants lors de tes années au collège et au lycée. Tu suivais plus que tu n'initiais quoique ce soit, mais cela a causé de nombreux soucis à ta famille. Tu n'es pas mauvais avec tes poings. Tu es d'ailleurs réticent à avoir recours à la violence. Dans la plupart des cas, tu ne l'utiliseras pas. Mais cela n'est pas un fait absolu. Si tu n'as que faire qu'on te marche dessus, il n'en va pas de même pour tes proches, et si l'on touchait au moindre cheveu de la tête de ta petite sœur, tu n'hésiterais pas à arracher la chevelure entière de l'offenseur, cheveu par cheveu. C'est peut être un reste de tes années passées en tant que délinquant, ou peut-être simplement que tu n'es pas le masque parfait de l'imbécile heureux et de la bonne poire que tout le monde croit que tu es. Tu es aussi capricieux, autant que tu es spontané. Tu es impatient notamment dans ce sens. Tu aimes bien avoir ce que tu désires, et obtenir des autres ce que tu veux. Tu sais, et n'hésites d'ailleurs pas à recourir à l'aegyo pour arriver à tes fins quand tu le juges bon. Oh, ce n'est rien de bien méchant après tout ? Juste une petite moue boudeuse, ton intonation qui change et tes yeux qui pétillent. Juste suffisamment pour faire fondre la personne en face de toi, et obtenir ce que tu veux. Tes caprices se sont estompés avec le temps, cependant. Notamment depuis l'incident au lycée. Tu es extrêmement loyal et droit. Tu es très attaché à ta famille, malgré que ta sœur te déteste et que tu ne vis plus avec eux. Tu leur voues une affection sans limite, et tu en fais de même avec tes amis les plus proches. |
This is my story
Run like the wind, without holding back& hide the loneliness in my eyes
Il est neuf heures du matin. 8H46 pour être précis. Des nuages recouvrent le ciel maussade, la lumière blafarde des quelques rayons de soleil qui se dispersent n'éclairant qu'avec peine cette matinée d'Automne. A en croire la météo (mais il suffit de jeter un coup d'oeil par la fenêtre) il devrait se mettre à pleuvoir aux alentours de midi.
Les gens se ruent dans les transports en commun, y défilent, l'un après l'autre. C'est l'heure de se rendre au travail, l'heure où les métros sont bondés, et où la ville portuaire de Busan finit de se réveiller pour entamer sa journée.
La radio diffuse encore le bulletin météo et les premières nouvelles de la journée : des grèves sur quelques unes des lignes, des manifestations étudiantes réprimées à Seoul, la température de l'eau glacée de la mer à cette époque de l'année, et d'autres propos insignifiants énoncés par la voix nasillarde et mielleuse de la présentatrice.
Une voix qui résonne dans les couloirs de l'hôpital, et puis doucement, en bourdon, dans la chambre où il vient de naître.
Sa grand-mère hoche lentement la tête, acquiesçant au son de cette voix, son regard voguant entre la vue de la côte qu'offre la fenêtre, et le bébé endormi dans sa couche.
« Quel enfant paisible », elle se prend à penser, alors qu'elle observe en silence, une fois de plus, sa belle fille dont les traits sont tirés par la fatigue, ainsi que son fils qui regarde sa femme de ses yeux les plus tendres.
La vielle dame s'approche de la couche de l'enfant, se détachant du rebord de la fenêtre, laissant les parents prendre un repos bien mérité. Leur premier enfant, et un garçon qui plus est. Malgré leur manque de revenus évident, et le fait qu'ils aient déjà du mal à joindre les deux bouts, cela ne change rien au fait que ce nouveau né devrait leur apporter joie et satisfaction.
« Pourvu qu'il ne cause pas de problèmes » songe-t-elle en regardant le mouvement légèrement irrégulier de la poitrine de l'enfant.
(Et quand, quelques mois plus tard, la vieille dame s'approche à nouveau du bébé dans son berceau et que ce dernier attrape son doigt de sa petite main d'enfant, et lui adresse un énorme sourire -peu importe le fait que les docteurs lui ont dit qu'un enfant de cet âge ne savait pas sourire ou même rire- , sa poitrine se gonfle d'un sentiment d'affection pour ce bout de chou qui s'accroche tant bien que mal à elle. Elle en est sûre, elle n'a pas de souci à se faire.)
- - -
Tu t'appelles Kang Sunwoo. Né dans une famille très modeste de Busan. Tu as une petite sœur de deux ans de moins que toi, et depuis qu'elle est née ou au moins que tu es conscient de son existence, tu n'as de yeux que pour elle. Tu la protégerais envers et contre tout.
Tu es fils de majordome, et depuis l'enfance déjà, cela a lourdement pesé sur toi. Que ce soit sur ton caractère -à laisser tout passer et te soumettre aux désirs des autres, ou presque, mais aussi au contraire à de fréquents caprices à l'école primaire-, ou sur le rire moqueur des autres enfants à l'école. Qui te regardent de haut. Comme les gens auxquels tu obéis parce que ton père est à leur service dans la grand manoir où tu passes tes week-ends.
Tu n'as encore que sept ans, mais tu ne peux pas t'empêcher d'aspirer à autre chose que ça. Malgré que tu t'inclines au passage des autres, de manière presque devenue naturelle, il t'arrive parfois de serrer les poings. Tu n'as que sept ans, et tu en as marre de voir ton père se faire humilier devant une maison entière, et te sentir honteux toi aussi.
Tu es habitué à répondre, comme ton père, au moindre désir des autres. A les satisfaire et à ne pas remettre en question leur égo, ne pas les blesser dans leur amour propre. (et puis, de quel droit?)
On t'a éduqué en bon petit garçon, tu es un petit ange, les professeurs le disent, à toi, à tes parents, aux autres enfants. Un garçon charmant, sage, qui ne ferait pas de mal à une mouche. On t'a dit de ne pas faire aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse. Que l'humiliation n'existe pas, si elle vient des actions de quelqu'un d'autre. Tu es gentil, peut-être trop. Tu te laisses manipuler. Tes amis te prennent ton goûter, parce qu'ils l'ont « oublié » chez eux.
Tu aimes ton père. Tu sais que c'est un homme honnête et travailleur, et que s'il se tue à la tâche tous les jours, c'est pour vous. Mais ça te tue aussi, de le voir se faire humilier un peu plus chaque jour. Et que ça retombe sur toi, et que tu en fasses de même. Ca te fait suffoquer.
Tu as sept ans tout juste, et tu as besoin d'air.
- - -
« Bordel Sunwoo, qu'est-ce que tu foutais ? Ca fait une heure qu'on t'attend ! »
Il relève les yeux vers son ami, un sourire légèrement penaud en s'avançant vers la bande. Puis il finit par hausser les épaules, beaucoup plus nonchalamment.
« C'était juste la galère pour sortir de chez moi. Sunhee m'a vu et a menacé de tout raconter à mon père. »
Pas que cela le dérange plus que ça, parce qu'après tout, ce n'était pas comme s'il n'était pas au courant. Il fait juste semblant de ne pas le savoir.
Il attrape une cigarette dans le paquet de son ami et la porte à sa bouche avant de l'allumer. Quelques étoiles réussissent tout juste à scintiller dans le ciel d'encre noire au dessus de leurs têtes. Le vent de la mer souffle fort cette nuit-là, fouettant ses bras à demi-découverts. Il aurait du prendre une veste. Il frissonne doucement alors qu'il écrase d'un pied la cigarette qu'il vient à peine d'entamer. Décidément, il ne se fera peut-être jamais au goût. A la place, il attrape la bouteille de bière qui passe entre les mains de chaque individu de la bande, et laisse couleur le liquide amer dans sa gorge.
Peu importe qu'il n'ait pas l'âge de boire, que sa famille déteste le voir traîner avec ces amis-là, qu'il est déjà trois heures du matin, qu'il est dehors en pleine rue, qu'il a cours le lendemain matin et qu'il n'a aucune intention de rentrer.
A cet instant, il n'a pas l'impression qu'il vit en se soumettant à quiconque. Il n'a pas l'impression d'étouffer alors qu'on le considère comme le fils du majordome et qu'il doit obéissance et respect aux personnes qui ont plus d'argent et d'influence que lui. Il a juste l'impression, à cet instant précis, de vivre, et d'être libre.
« Où est-ce qu'on va ? »
- - -
Il fait nuit. Il est tard. La pollution a recouvert les dernières étoiles qui persistaient dans l'immensité noire au dessus de leurs têtes. La blafarde lumière du lampadaire le plus proche clignote, prête à s'éteindre.
Le silence. Il a cette étrange impression d'être sourd, comme si une bombe avait explosé près de lui en lui dérobant l'ouïe pour quelques secondes. Il reste immobile dans cette sale rue de Busan, en cette nuit d'hiver, incapable d'émettre un quelconque son.
C'est la voix de l'un des autres membres de sa bande qui le sort de sa stupeur.
« Bordel, merde, c'était pas censé se passer comme ça. On dégage ! »
Il reste tétanisé cependant, incapable de dire quoique ce soit et de bouger, alors que les autres s'agitent autour de lui, prêt à partir.
C'est Joohyuk qui le secoue par le bras. « Bouge putain Sunwoo, reste pas planté là, on dégage on a dit ! » Mais il se dégage de l'emprise de son ami, juste avant que ce dernier ne l'emporte avec lui dans sa course. « Tant pis pour toi mec, on te laisse ici, si tu te fais chopper c'est ton problème » et qu'ils ne s'enfuient tous, le laissant seul au milieu de l'obscure ruelle, un goût de fer dans le fond de sa bouche et l'estomac complètement noué.
Il peine à respirer alors qu'il observe en silence, immobile, la personne inconsciente gisant à ses pieds. Il halète. Une respiration, il avance d'un pas, tout doucement. Une deuxième, il se penche, porte sa main au dessus de la bouche de la personne devant lui. Une respiration, autre que la sienne, vacillante mais bien réelle. Il lâche un soupir de soulagement alors qu'un sanglot silencieux le secoue.
Il attrape le portable traînant par terre et entre avec hâte le numéro des urgences, ses mains tremblantes.
(Il ne quitte les lieux que quand il finit par entendre les sirènes de l'ambulance, disparaissant dans la nuit)
- - -
Tu es rentré couvert d’égratignures chez toi ce soir là. Et les mains salies par un sang qui ne t'appartenait pas. Tu as affronté le regard déçu et horrifié de ta famille, (rempli de colère de ta sœur avant qu'elle ne claque la porte de sa chambre derrière elle.) et tu as éclaté en sanglot dans ta chambre. Une de ces crises de larmes que tu n'avais pas connu depuis que tu étais un enfant, où tu peines à respirer et n'arrive plus à émettre de son compréhensible. De ces douloureux et bruyants sanglots qui n'en finissent plus et te suffoquent.
Ils n'ont pas cherché à comprendre. Pas tes parents, pas la bande d'amis, ou quiconque. On ne t'a jamais demandé ce qu'il s'était passé. Mais à en juger par le regard plein de ressentiment et de dédain de ta sœur, tu es persuadé qu'ils avaient déjà établi leur propre réponse.
Et puis tu es parti de Busan, parce que c'était plus facile pour tout le monde, parce que tes parents ne se tueraient plus à la tâche à s'occuper de toi, parce que tu deviendrais plus responsable une fois à Seoul, à aider ta grand-mère dont la santé s'était considérablement dégradée dans les dernières années. Parce que tu n'es pas un mauvais bougre, ne l'a jamais été, mais qu'il était temps que tu changes d'air, que tu recommences une nouvelle vie, et que tu retrouves le droit chemin.
(et peut-être que ta sœur, ta sœur adorée, la personne dont tu prenais soin comme la prunelle de tes yeux étant enfant, et même les années suivantes, ne supportait plus de te voir et l'avait demandé)
Tu es parti, dans un bus de Busan vers Seoul, laissant derrière toi tes années de collège et ta première année de lycée en tant que petit délinquant du quartier, ta bande d'amis, la plus grande partie de ta famille, une personne à l'hôpital, et peut-être bien toute une partie de ta vie. (de ce qui était toi)
- - -
Ta grand-mère t'a accueilli les bras ouverts, et tu t'es bien « remis » dans le droit chemin. Tu l'as même aidé dans son petit commerce, parce qu'elle avait besoin de bras et que tu étais là pour servir.
Tu en es revenu à ce petit garçon de sept ans qui satisfaisait tous les désirs des autres, même quand ils les savaient injustifiés ou qu'il n'était pas dupe à la manipulation. Un grand sourire aux lèvres, un rire charmant, et toujours là pour servir.
Tu t'es remis aux études sérieusement et a fini brillamment ta scolarité, du moins ton lycée, surtout pour quelqu'un qui avait négligé de travailler pendant tant de temps. Tellement que tu as été pris sur liste d'attente dans une des plus prestigieuses universités du pays. (Qui l'aurait cru?)
Et puis tu es parti à l'armée, et quand tu es revenu, plus énergique que jamais, tu es rentré à l'université de Yonsei, en sociologie. En réalité, tu n'es pas un élève fantastique, et tu es loin d'être le plus intelligent de ta promo, mais tu t'en sors tout de même. Et c'est la seule chose qui importe.
Au milieu de ta première année, cependant, ta grand-mère dont la santé s'était encore dégradée au long des dernières années vous a quitté. Te laissant seul dans un appartement trop grand, trop vide et trop cher pour ta seule personne, et de nombreux souvenirs douloureux en tête.
Tu as pris sur toi et a emménagé dans l'un des dortoirs du campus, te trouvant à côté un job dans un petit café de la grande cité que forme l'université.
Et te voilà maintenant, poursuivant tes études, sans but précis en tête.
(à part peut-être, dans une certaine mesure, te racheter pour une faute que tu n'as pas commise.)
Les gens se ruent dans les transports en commun, y défilent, l'un après l'autre. C'est l'heure de se rendre au travail, l'heure où les métros sont bondés, et où la ville portuaire de Busan finit de se réveiller pour entamer sa journée.
La radio diffuse encore le bulletin météo et les premières nouvelles de la journée : des grèves sur quelques unes des lignes, des manifestations étudiantes réprimées à Seoul, la température de l'eau glacée de la mer à cette époque de l'année, et d'autres propos insignifiants énoncés par la voix nasillarde et mielleuse de la présentatrice.
Une voix qui résonne dans les couloirs de l'hôpital, et puis doucement, en bourdon, dans la chambre où il vient de naître.
Sa grand-mère hoche lentement la tête, acquiesçant au son de cette voix, son regard voguant entre la vue de la côte qu'offre la fenêtre, et le bébé endormi dans sa couche.
« Quel enfant paisible », elle se prend à penser, alors qu'elle observe en silence, une fois de plus, sa belle fille dont les traits sont tirés par la fatigue, ainsi que son fils qui regarde sa femme de ses yeux les plus tendres.
La vielle dame s'approche de la couche de l'enfant, se détachant du rebord de la fenêtre, laissant les parents prendre un repos bien mérité. Leur premier enfant, et un garçon qui plus est. Malgré leur manque de revenus évident, et le fait qu'ils aient déjà du mal à joindre les deux bouts, cela ne change rien au fait que ce nouveau né devrait leur apporter joie et satisfaction.
« Pourvu qu'il ne cause pas de problèmes » songe-t-elle en regardant le mouvement légèrement irrégulier de la poitrine de l'enfant.
(Et quand, quelques mois plus tard, la vieille dame s'approche à nouveau du bébé dans son berceau et que ce dernier attrape son doigt de sa petite main d'enfant, et lui adresse un énorme sourire -peu importe le fait que les docteurs lui ont dit qu'un enfant de cet âge ne savait pas sourire ou même rire- , sa poitrine se gonfle d'un sentiment d'affection pour ce bout de chou qui s'accroche tant bien que mal à elle. Elle en est sûre, elle n'a pas de souci à se faire.)
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Tu t'appelles Kang Sunwoo. Né dans une famille très modeste de Busan. Tu as une petite sœur de deux ans de moins que toi, et depuis qu'elle est née ou au moins que tu es conscient de son existence, tu n'as de yeux que pour elle. Tu la protégerais envers et contre tout.
Tu es fils de majordome, et depuis l'enfance déjà, cela a lourdement pesé sur toi. Que ce soit sur ton caractère -à laisser tout passer et te soumettre aux désirs des autres, ou presque, mais aussi au contraire à de fréquents caprices à l'école primaire-, ou sur le rire moqueur des autres enfants à l'école. Qui te regardent de haut. Comme les gens auxquels tu obéis parce que ton père est à leur service dans la grand manoir où tu passes tes week-ends.
Tu n'as encore que sept ans, mais tu ne peux pas t'empêcher d'aspirer à autre chose que ça. Malgré que tu t'inclines au passage des autres, de manière presque devenue naturelle, il t'arrive parfois de serrer les poings. Tu n'as que sept ans, et tu en as marre de voir ton père se faire humilier devant une maison entière, et te sentir honteux toi aussi.
Tu es habitué à répondre, comme ton père, au moindre désir des autres. A les satisfaire et à ne pas remettre en question leur égo, ne pas les blesser dans leur amour propre. (et puis, de quel droit?)
On t'a éduqué en bon petit garçon, tu es un petit ange, les professeurs le disent, à toi, à tes parents, aux autres enfants. Un garçon charmant, sage, qui ne ferait pas de mal à une mouche. On t'a dit de ne pas faire aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse. Que l'humiliation n'existe pas, si elle vient des actions de quelqu'un d'autre. Tu es gentil, peut-être trop. Tu te laisses manipuler. Tes amis te prennent ton goûter, parce qu'ils l'ont « oublié » chez eux.
Tu aimes ton père. Tu sais que c'est un homme honnête et travailleur, et que s'il se tue à la tâche tous les jours, c'est pour vous. Mais ça te tue aussi, de le voir se faire humilier un peu plus chaque jour. Et que ça retombe sur toi, et que tu en fasses de même. Ca te fait suffoquer.
Tu as sept ans tout juste, et tu as besoin d'air.
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« Bordel Sunwoo, qu'est-ce que tu foutais ? Ca fait une heure qu'on t'attend ! »
Il relève les yeux vers son ami, un sourire légèrement penaud en s'avançant vers la bande. Puis il finit par hausser les épaules, beaucoup plus nonchalamment.
« C'était juste la galère pour sortir de chez moi. Sunhee m'a vu et a menacé de tout raconter à mon père. »
Pas que cela le dérange plus que ça, parce qu'après tout, ce n'était pas comme s'il n'était pas au courant. Il fait juste semblant de ne pas le savoir.
Il attrape une cigarette dans le paquet de son ami et la porte à sa bouche avant de l'allumer. Quelques étoiles réussissent tout juste à scintiller dans le ciel d'encre noire au dessus de leurs têtes. Le vent de la mer souffle fort cette nuit-là, fouettant ses bras à demi-découverts. Il aurait du prendre une veste. Il frissonne doucement alors qu'il écrase d'un pied la cigarette qu'il vient à peine d'entamer. Décidément, il ne se fera peut-être jamais au goût. A la place, il attrape la bouteille de bière qui passe entre les mains de chaque individu de la bande, et laisse couleur le liquide amer dans sa gorge.
Peu importe qu'il n'ait pas l'âge de boire, que sa famille déteste le voir traîner avec ces amis-là, qu'il est déjà trois heures du matin, qu'il est dehors en pleine rue, qu'il a cours le lendemain matin et qu'il n'a aucune intention de rentrer.
A cet instant, il n'a pas l'impression qu'il vit en se soumettant à quiconque. Il n'a pas l'impression d'étouffer alors qu'on le considère comme le fils du majordome et qu'il doit obéissance et respect aux personnes qui ont plus d'argent et d'influence que lui. Il a juste l'impression, à cet instant précis, de vivre, et d'être libre.
« Où est-ce qu'on va ? »
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Il fait nuit. Il est tard. La pollution a recouvert les dernières étoiles qui persistaient dans l'immensité noire au dessus de leurs têtes. La blafarde lumière du lampadaire le plus proche clignote, prête à s'éteindre.
Le silence. Il a cette étrange impression d'être sourd, comme si une bombe avait explosé près de lui en lui dérobant l'ouïe pour quelques secondes. Il reste immobile dans cette sale rue de Busan, en cette nuit d'hiver, incapable d'émettre un quelconque son.
C'est la voix de l'un des autres membres de sa bande qui le sort de sa stupeur.
« Bordel, merde, c'était pas censé se passer comme ça. On dégage ! »
Il reste tétanisé cependant, incapable de dire quoique ce soit et de bouger, alors que les autres s'agitent autour de lui, prêt à partir.
C'est Joohyuk qui le secoue par le bras. « Bouge putain Sunwoo, reste pas planté là, on dégage on a dit ! » Mais il se dégage de l'emprise de son ami, juste avant que ce dernier ne l'emporte avec lui dans sa course. « Tant pis pour toi mec, on te laisse ici, si tu te fais chopper c'est ton problème » et qu'ils ne s'enfuient tous, le laissant seul au milieu de l'obscure ruelle, un goût de fer dans le fond de sa bouche et l'estomac complètement noué.
Il peine à respirer alors qu'il observe en silence, immobile, la personne inconsciente gisant à ses pieds. Il halète. Une respiration, il avance d'un pas, tout doucement. Une deuxième, il se penche, porte sa main au dessus de la bouche de la personne devant lui. Une respiration, autre que la sienne, vacillante mais bien réelle. Il lâche un soupir de soulagement alors qu'un sanglot silencieux le secoue.
Il attrape le portable traînant par terre et entre avec hâte le numéro des urgences, ses mains tremblantes.
(Il ne quitte les lieux que quand il finit par entendre les sirènes de l'ambulance, disparaissant dans la nuit)
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Tu es rentré couvert d’égratignures chez toi ce soir là. Et les mains salies par un sang qui ne t'appartenait pas. Tu as affronté le regard déçu et horrifié de ta famille, (rempli de colère de ta sœur avant qu'elle ne claque la porte de sa chambre derrière elle.) et tu as éclaté en sanglot dans ta chambre. Une de ces crises de larmes que tu n'avais pas connu depuis que tu étais un enfant, où tu peines à respirer et n'arrive plus à émettre de son compréhensible. De ces douloureux et bruyants sanglots qui n'en finissent plus et te suffoquent.
Ils n'ont pas cherché à comprendre. Pas tes parents, pas la bande d'amis, ou quiconque. On ne t'a jamais demandé ce qu'il s'était passé. Mais à en juger par le regard plein de ressentiment et de dédain de ta sœur, tu es persuadé qu'ils avaient déjà établi leur propre réponse.
Et puis tu es parti de Busan, parce que c'était plus facile pour tout le monde, parce que tes parents ne se tueraient plus à la tâche à s'occuper de toi, parce que tu deviendrais plus responsable une fois à Seoul, à aider ta grand-mère dont la santé s'était considérablement dégradée dans les dernières années. Parce que tu n'es pas un mauvais bougre, ne l'a jamais été, mais qu'il était temps que tu changes d'air, que tu recommences une nouvelle vie, et que tu retrouves le droit chemin.
(et peut-être que ta sœur, ta sœur adorée, la personne dont tu prenais soin comme la prunelle de tes yeux étant enfant, et même les années suivantes, ne supportait plus de te voir et l'avait demandé)
Tu es parti, dans un bus de Busan vers Seoul, laissant derrière toi tes années de collège et ta première année de lycée en tant que petit délinquant du quartier, ta bande d'amis, la plus grande partie de ta famille, une personne à l'hôpital, et peut-être bien toute une partie de ta vie. (de ce qui était toi)
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Ta grand-mère t'a accueilli les bras ouverts, et tu t'es bien « remis » dans le droit chemin. Tu l'as même aidé dans son petit commerce, parce qu'elle avait besoin de bras et que tu étais là pour servir.
Tu en es revenu à ce petit garçon de sept ans qui satisfaisait tous les désirs des autres, même quand ils les savaient injustifiés ou qu'il n'était pas dupe à la manipulation. Un grand sourire aux lèvres, un rire charmant, et toujours là pour servir.
Tu t'es remis aux études sérieusement et a fini brillamment ta scolarité, du moins ton lycée, surtout pour quelqu'un qui avait négligé de travailler pendant tant de temps. Tellement que tu as été pris sur liste d'attente dans une des plus prestigieuses universités du pays. (Qui l'aurait cru?)
Et puis tu es parti à l'armée, et quand tu es revenu, plus énergique que jamais, tu es rentré à l'université de Yonsei, en sociologie. En réalité, tu n'es pas un élève fantastique, et tu es loin d'être le plus intelligent de ta promo, mais tu t'en sors tout de même. Et c'est la seule chose qui importe.
Au milieu de ta première année, cependant, ta grand-mère dont la santé s'était encore dégradée au long des dernières années vous a quitté. Te laissant seul dans un appartement trop grand, trop vide et trop cher pour ta seule personne, et de nombreux souvenirs douloureux en tête.
Tu as pris sur toi et a emménagé dans l'un des dortoirs du campus, te trouvant à côté un job dans un petit café de la grande cité que forme l'université.
Et te voilà maintenant, poursuivant tes études, sans but précis en tête.
(à part peut-être, dans une certaine mesure, te racheter pour une faute que tu n'as pas commise.)
About me
Je suis...
555
Qu'est-ce que je peux dire? J'ai 20 ans, et je suis une fille jusqu'à preuve du contraire Je me suis plus ou moins faite traîner (pas traîner, on m'a juste encouragé) par Fuuko & Sukyeol et me voilà, en chair et en os (enfin...), en train de poster ma fiche!
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u811][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>KIM SIHYOUNG (HISTORY)</upper></taken> ✎ <lower>Kang Sunwoo</lower>
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Re: Kang Sunwoo | Mer 27 Avr - 23:09 Citer EditerSupprimer
Tu es enfin là
Nous sommes ce soir unis par le lien du giant couple, et je suis donc très heureux de te voir ici pour toujours plus d'aventures toujours plus de bro itude toujours plus de persos liés, parce qu'au final un perso que je fais sans un lien cool avec toi, c'est comme s'il manquait une moitié de perso
Je t'aime
Tu es enfin là
Nous sommes ce soir unis par le lien du giant couple, et je suis donc très heureux de te voir ici pour toujours plus d'aventures toujours plus de bro itude toujours plus de persos liés, parce qu'au final un perso que je fais sans un lien cool avec toi, c'est comme s'il manquait une moitié de perso
Je t'aime
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Re: Kang Sunwoo | Mer 27 Avr - 23:10 Citer EditerSupprimer
DAMN IT
EDIT : ET BAH SUKYEOL J'ETAIS A DEUX DOIGTS DE POSTER AVANT TOI Bref
ELLE EST DES NOTRES, ELLE EST DES NOOOOOTRES, ELLE A REJOINT LE COTE OBSCUR DE LA FORCE
BON TU SAIS QUE JE T'AIME HEIN, QUE J'SUIS TROP CONTENTE QUE TU SOIS LA
J'aime déjà ton poulain, ça promet d'envoyer du lourd (comme d'hab, j'en doute pas avec toi )
On se trouvera des liens trop cool de la muerte qui kill tout, t'as pas le choix, c'est comme ça
EN SOUVENIR DU U2 :taz:
I LOVE UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU
EDIT : ET BAH SUKYEOL J'ETAIS A DEUX DOIGTS DE POSTER AVANT TOI Bref
ELLE EST DES NOTRES, ELLE EST DES NOOOOOTRES, ELLE A REJOINT LE COTE OBSCUR DE LA FORCE
BON TU SAIS QUE JE T'AIME HEIN, QUE J'SUIS TROP CONTENTE QUE TU SOIS LA
J'aime déjà ton poulain, ça promet d'envoyer du lourd (comme d'hab, j'en doute pas avec toi )
On se trouvera des liens trop cool de la muerte qui kill tout, t'as pas le choix, c'est comme ça
EN SOUVENIR DU U2 :taz:
I LOVE UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU
- Y'a rien que du love ici:
- Cherche un peu:
- Encore un peu:
- PRESQUE:
:bang: :bang2: :bago: :sunah: :hug2: :horny: :blink: :sunmi: :bang: :bang2: :bago: :sunah: :hug2: :horny: :blink: :sunmi: :bang: :bang2: :bago: :sunah: :hug2: :horny: :blink: :sunmi: :bang: :bang2: :bago: :sunah: :hug2: :horny: :blink: :sunmi:
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Re: Kang Sunwoo | Mer 27 Avr - 23:12 Citer EditerSupprimer
tu sais que t'as vraiiiiment du bol que j'aie pas réservé le bonhomme pour mon multicompte, toi? a 2 jours près et j'allais me le jouer le Sihyoungie... bon du coup j'ai commencé à chercher une gueule de remplacement
bienvenue ici <3
bienvenue ici <3
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Re: Kang Sunwoo | Mer 27 Avr - 23:12 Citer EditerSupprimer
Bienvenue sur STW
Bon courage pour ta fiche, du love
Bon courage pour ta fiche, du love
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Re: Kang Sunwoo | Jeu 28 Avr - 0:38 Citer EditerSupprimer
Sukyeol ►Par le lien du giant couple, en effet et on aura un lien fantastique, comme d'habitude De toute façon, comment on ne pourrait pas avoir un lien fantastique avec le giant couple?? -je suis tentée de te ressortir masse de photos, mais je ferais ça, en privé -
JE T'AIME AUSSI
Fuuko ► EVIDEMMENT, on aura un lien à tout faire péter tiens!! Comme d'hab, qu'est-tu veux, on est parfait comme ça :heh: on a toujours des liens privilégiés, et J'ESPERE BIEN QUE TU M'EN AS RESERVE D'AUTRES !! ( ) (c'est pas du tout le smiley que je comptais mettre initialement mais c'était trop dur de ne pas céder)
I love you
Hansoo ►Aw ?? Désolée !! Vraiment pas fait exprès ;; . J'espère que tu trouveras un autre avatar qui te plait du coup!. D'un côté, je suis contente de voir que Sihyoung plaise du coup !! Et merci de m'accueillir
Jihoon ► Merciii !!!
Et crois le ou non j'ai utilisé exactement le même pseudo de personnage que le tien pour un autre de mes persos... Du coup j'en suis vraiment ultra fan (enfin je veux dire, je l'avais choisi parce que j'aimais vraiment le pseudo) donc
TaeHwi ► Merciiii !!! :')
JE T'AIME AUSSI
Fuuko ► EVIDEMMENT, on aura un lien à tout faire péter tiens!! Comme d'hab, qu'est-tu veux, on est parfait comme ça :heh: on a toujours des liens privilégiés, et J'ESPERE BIEN QUE TU M'EN AS RESERVE D'AUTRES !! ( ) (c'est pas du tout le smiley que je comptais mettre initialement mais c'était trop dur de ne pas céder)
I love you
Hansoo ►Aw ?? Désolée !! Vraiment pas fait exprès ;; . J'espère que tu trouveras un autre avatar qui te plait du coup!. D'un côté, je suis contente de voir que Sihyoung plaise du coup !! Et merci de m'accueillir
Jihoon ► Merciii !!!
Et crois le ou non j'ai utilisé exactement le même pseudo de personnage que le tien pour un autre de mes persos... Du coup j'en suis vraiment ultra fan (enfin je veux dire, je l'avais choisi parce que j'aimais vraiment le pseudo) donc
TaeHwi ► Merciiii !!! :')
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Re: Kang Sunwoo | Jeu 28 Avr - 6:12 Citer EditerSupprimer
T'inquiète bro, t'y es pour rien
MAIS OUAIS IL EST TROP FRAIS T'AS TROP BON GOÛT
(quoi que j'ai pas essayé de te manger mais ca ne saurait tarder
),
JE VALIDE
MAIS OUAIS IL EST TROP FRAIS T'AS TROP BON GOÛT
(quoi que j'ai pas essayé de te manger mais ca ne saurait tarder
),
JE VALIDE
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Re: Kang Sunwoo | Jeu 28 Avr - 8:52 Citer EditerSupprimer
BIENVENUEEEEEEEEEE
J'Y SUIS CONTENTE, UNE AUTRE COPINE DE FUUKOKOOO
Amuses-toi bien ici ! Tu verras c'est cool, y'a une bonne ambiance et touuuuuuut
PIS PIS PIS KIFFE TA VIE ET FAIS NOUS UNE FICHE QUI DÉCHIRE
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