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jun an × a midsummer night's dream.
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jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 17:52 Citer EditerSupprimer
nom : jun. prénom : an. âge : vingt-et-un ans. date et lieu de naissance : née le dix-huit avril 1995 à Pärnu, ESTONIE origines : estonienne. nationalité : coréenne. cursus universitaire : ▬ . métier : prostituée. orientation sexuelle : bisexuelle. classe sociale : pauvre. code du règlement : it's like a little baby unicorn (?). tu veux t'investir ? thanks but i'm still a citizen ♥
jun an
we are such stuff as dreams are made on.
SOUMISE (★★★✰✰) | INDOMPTABLE (★★★✰✰) | FAUSSE (★★★★✰) | INSTABLE (★★★★★) | CONTRADICTOIRE (★★★★✰) |
ENVOÛTANTE (★★★★✰) | FIERE (★★★✰✰) | IMPULSIVE (★★★★✰) | MEFIANTE (★★✰✰✰) | HABILE (★★★✰✰) |
Rumour has it... elle chercherait à rentrer en Estonie Survole l'avatar, petit coquin. | My character tout est question de reflet et de conscience de soi. an est tout simplement sa propre contradiction, se représentant ainsi telle une oxymore. elle est à la fois soumise et indomptable, morte et pourtant bien vivante. Elle le sait, elle est son propre poison, elle engendre son propre malheur. Elle ne se complaît pourtant pas dans celui-ci, elle le subit autant qu'elle le crée, elle en devient folle, comment peut-on être aussi instable et contradictoire ? Elle ne se comprend pas. Elle n'est pas maître d'elle-même, elle semble ne pas choisir, incapable, faible, elle l'est. Une sorte de poupée, un petit jouet. Tout le monde souffrirait de cet état, de cette condition pitoyable, mais elle qui n'a connu que cette existence, il n'est rien de plus normal et évident que le malheur, la souffrance. Il y est presque hermétique, imperméable. Pourtant, le cœur qu'elle s'est forcée de faire cesser de battre se tord parfois de douleur, comme pour lui rappeler qu'elle est en vie. Son hypocrisie et la fausseté de son âme l'emmèneront dans les enfers, et les abysses les plus noirs et profonds qu'il puisse exister. ce sourire digne d'un ange n'est que l'opposition de la noirceur de son âme qu'il lui semble avoir hérité du diable. |
This is my story
they tried to destroy you by taking your pride and your strengh but those things cannot be taken, not from you, not ever
Le diable avait même assassiné les constellations qui se dessinaient dans ses yeux, les étoiles n'étaient plus que poussières, n'avait-elle alors pas assez souffert ? Une vie de déchéance, c'est tout ce qu'elle avait reçu depuis sa plus tendre enfance, abandonnée dans les rues de Pärnu un jour de printemps mille-neuf-cent-quatre-vingt-quinze, elle avait été placée dans un orphelinat dont elle ne se rappelait que les longs couloirs sombres, les rires tonitruants de ses bourreaux et les éclats de rires des plus jeunes inconscients de leur prochaine descente aux Enfers.
Pärnu, Pärnu, ses nuages grisâtres et ses trottoirs, voilà ce dont elle se souvenait le mieux, elle avait été éduquée pour se prostituer, elle était soumise, soumise à leur colère, à leur acharnement, à leur violence.
La nuit était tombée dans les rues de Pärnu, pourtant une petite fille courait, son visage était déformée par la peur qu'elle ressentait et les larmes qui avaient creusées des sillons sur ses petites joues blanches d'enfant. Elle courait à en perdre haleine, elle ne savait pas où elle allait, elle voulait juste partir le plus loin possible. Elle était à bout de souffle, elle ralentissait sans pouvoir s'en empêcher, l'air lui manquait, elle voyait les ombres se rapprocher, elle était effrayée. Ils l'avaient rattrapée, elle était coincée. Elle tomba par terre et se recroquevilla sur elle-même, une boule au ventre. Ses longs cheveux châtains leur servirent de laisse, elle hurla, se débattit, elle était aussi pitoyable qu'un chien.
Un envol, un simple envol balaya tout. Ces gens et leurs doux sourires l'avaient emportés avec elle, loin des tourments de cette ville. Ils lui donnaient la possibilité de naître à nouveau, une seconde chance à laquelle elle s'accrochait de toutes ses forces, elle avait douze ans, et déjà bien trop vécue pour son jeune âge, mais c'était terminé. Këa venait de mourir, ici, dans cette sale ville, et An venait de naître dans cet avion en partance pour la Corée. Elle était libre, et le monde semblait tout d'un coup plus beau et plus doux.
Le passé, le passé comme une épée de Damoclès qui finit par lui ôtait le peu d'étoiles qu'elle avait ramassé. Les rues sombres, noires d'humidité et d'ordure. Elle entendait des gémissements au loin, elle ferma les yeux, se bouchant les oreilles avec ses petites mains. Elle ne voulait rien voir, rien entendre. Pourquoi était-elle à nouveau là ? Son nom avait changé, sa vie avait changé, et pourtant elle revenait toujours au point de départ, comme un cercle infernal, sans fin, un cercle vicieux dont elle aurait tant aimé pouvoir s'échapper. Finalement..rien n'avait changé. C'est dans les moments les plus compliqués et cornéliens que la vraie nature des hommes fait surface, du haut de ses quatorze ans, elle venait de l'apprendre. 'Papa' avait perdu son travail, elle était devenue leur esclave. S'exhiber, exposer son corps à peine formé aux yeux du monde entier, elle en était réduite à ça. Elle avait pleuré, protesté, hurlé, mais son impuissance s'était à nouveau révélée, elle était faible, incapable de défendre son propre bien, son seul bien, son corps. Son petit cœur d'enfant et son espoir avaient péri quelque part, elle ne savait trop où, peut-être lors toucher de cet homme, ou à celui de cette femme. Elle tournait autour de sa barre au rythme de la musique, lançant sourires salaces à qui voulaient bien la regarder, ces yeux étaient vides. Mais avec un cerveau et un corps en état de marche, on peut se mêler à la foule sans que personne soupçonne jamais votre vide intérieur. Elle avait du poison dans les veines, elle s'était suicidée de l'intérieur pour n'être qu'une enveloppe charnelle et ne plus jamais ressentir ni honte, ni douleur.
Une tâche, une tâche dans le paysage. Il n'était rien d'autre qu'une tâche, un être né du diable, semblable, il partageait simplement les mêmes entrailles noircies avec elle. Ils s'étaient battus, jaugés, ignorés, apprenant ainsi peu à peu à s'apprivoiser, puis il était parti sans rien dire, peut-être juste un nom, Yonsei. Elle l'avait laissé fuir cette ville comme s'il fuyait en un sens pour elle, incapable d'esquisser le moindre pas en dehors de ces ruelles sombres, effrayée par la lumière.
Un accident, un stupide accident. C'était arrivé si vite, c'était trop soudain, elle n'avait pas très bien compris, ou si, mais elle avait préféré ne pas y croire, après tout, pour que quelque chose existe, il faut qu'on y croit n'est-ce-pas ? Pourtant, c'était bel et bien le cas, le test de grossesse qu'elle tenait maladroitement entre ses doigts était positif. Elle laissa l'objet s'échapper de ses mains pour tomber dans la cuvette et elle tira rapidement la chasse. Elle ferma fortement les yeux, priant le diable pour que tout ceci soit irréel, mais tout ceci semblait bien trop vrai. Elle hurla de rage avant de paniquer, elle ne pouvait pas avorter. La loi lui interdisait si elle n'avait pas l'accord parental. Un haut le cœur la prit. Il y avait quelque chose dans ses entrailles qu'elle ne pouvait pas contrôler, dont elle ne pouvait pas se débarrasser. C'est à cause de cet accident, de ce stupide accident qu'elle était ici, à Yonsei, devant la porte de son frère, n'osant toquer, mais elle en était persuadée, il était le seul à pouvoir l'aider.
Le vent, le vent qui souffle dans ses cheveux dorés, emportant sa candeur. Ils sont tous partis, et elle est seule, seule pour toujours. Egarée, elle est partie dans les quartiers sales de la ville. Elle s'y vend, le corps meurtri, et l'âme vide. C'est tout ce qu'elle connaît. Il n'y a plus de frère pour lui embrasser le front, il n'y a plus d'ami pour la prendre dans ses bras. Il n'y a plus rien, juste le vent qui souffle, emportant sa candeur. Et elle les attend dans la nuit noire. Et c'est dans un vent d'espoir qu'elle semble les voir. Un sourire se fane sur ses lèvres, elle rêve encore. .
Pärnu, Pärnu, ses nuages grisâtres et ses trottoirs, voilà ce dont elle se souvenait le mieux, elle avait été éduquée pour se prostituer, elle était soumise, soumise à leur colère, à leur acharnement, à leur violence.
La nuit était tombée dans les rues de Pärnu, pourtant une petite fille courait, son visage était déformée par la peur qu'elle ressentait et les larmes qui avaient creusées des sillons sur ses petites joues blanches d'enfant. Elle courait à en perdre haleine, elle ne savait pas où elle allait, elle voulait juste partir le plus loin possible. Elle était à bout de souffle, elle ralentissait sans pouvoir s'en empêcher, l'air lui manquait, elle voyait les ombres se rapprocher, elle était effrayée. Ils l'avaient rattrapée, elle était coincée. Elle tomba par terre et se recroquevilla sur elle-même, une boule au ventre. Ses longs cheveux châtains leur servirent de laisse, elle hurla, se débattit, elle était aussi pitoyable qu'un chien.
Un envol, un simple envol balaya tout. Ces gens et leurs doux sourires l'avaient emportés avec elle, loin des tourments de cette ville. Ils lui donnaient la possibilité de naître à nouveau, une seconde chance à laquelle elle s'accrochait de toutes ses forces, elle avait douze ans, et déjà bien trop vécue pour son jeune âge, mais c'était terminé. Këa venait de mourir, ici, dans cette sale ville, et An venait de naître dans cet avion en partance pour la Corée. Elle était libre, et le monde semblait tout d'un coup plus beau et plus doux.
Le passé, le passé comme une épée de Damoclès qui finit par lui ôtait le peu d'étoiles qu'elle avait ramassé. Les rues sombres, noires d'humidité et d'ordure. Elle entendait des gémissements au loin, elle ferma les yeux, se bouchant les oreilles avec ses petites mains. Elle ne voulait rien voir, rien entendre. Pourquoi était-elle à nouveau là ? Son nom avait changé, sa vie avait changé, et pourtant elle revenait toujours au point de départ, comme un cercle infernal, sans fin, un cercle vicieux dont elle aurait tant aimé pouvoir s'échapper. Finalement..rien n'avait changé. C'est dans les moments les plus compliqués et cornéliens que la vraie nature des hommes fait surface, du haut de ses quatorze ans, elle venait de l'apprendre. 'Papa' avait perdu son travail, elle était devenue leur esclave. S'exhiber, exposer son corps à peine formé aux yeux du monde entier, elle en était réduite à ça. Elle avait pleuré, protesté, hurlé, mais son impuissance s'était à nouveau révélée, elle était faible, incapable de défendre son propre bien, son seul bien, son corps. Son petit cœur d'enfant et son espoir avaient péri quelque part, elle ne savait trop où, peut-être lors toucher de cet homme, ou à celui de cette femme. Elle tournait autour de sa barre au rythme de la musique, lançant sourires salaces à qui voulaient bien la regarder, ces yeux étaient vides. Mais avec un cerveau et un corps en état de marche, on peut se mêler à la foule sans que personne soupçonne jamais votre vide intérieur. Elle avait du poison dans les veines, elle s'était suicidée de l'intérieur pour n'être qu'une enveloppe charnelle et ne plus jamais ressentir ni honte, ni douleur.
Une tâche, une tâche dans le paysage. Il n'était rien d'autre qu'une tâche, un être né du diable, semblable, il partageait simplement les mêmes entrailles noircies avec elle. Ils s'étaient battus, jaugés, ignorés, apprenant ainsi peu à peu à s'apprivoiser, puis il était parti sans rien dire, peut-être juste un nom, Yonsei. Elle l'avait laissé fuir cette ville comme s'il fuyait en un sens pour elle, incapable d'esquisser le moindre pas en dehors de ces ruelles sombres, effrayée par la lumière.
Un accident, un stupide accident. C'était arrivé si vite, c'était trop soudain, elle n'avait pas très bien compris, ou si, mais elle avait préféré ne pas y croire, après tout, pour que quelque chose existe, il faut qu'on y croit n'est-ce-pas ? Pourtant, c'était bel et bien le cas, le test de grossesse qu'elle tenait maladroitement entre ses doigts était positif. Elle laissa l'objet s'échapper de ses mains pour tomber dans la cuvette et elle tira rapidement la chasse. Elle ferma fortement les yeux, priant le diable pour que tout ceci soit irréel, mais tout ceci semblait bien trop vrai. Elle hurla de rage avant de paniquer, elle ne pouvait pas avorter. La loi lui interdisait si elle n'avait pas l'accord parental. Un haut le cœur la prit. Il y avait quelque chose dans ses entrailles qu'elle ne pouvait pas contrôler, dont elle ne pouvait pas se débarrasser. C'est à cause de cet accident, de ce stupide accident qu'elle était ici, à Yonsei, devant la porte de son frère, n'osant toquer, mais elle en était persuadée, il était le seul à pouvoir l'aider.
Le vent, le vent qui souffle dans ses cheveux dorés, emportant sa candeur. Ils sont tous partis, et elle est seule, seule pour toujours. Egarée, elle est partie dans les quartiers sales de la ville. Elle s'y vend, le corps meurtri, et l'âme vide. C'est tout ce qu'elle connaît. Il n'y a plus de frère pour lui embrasser le front, il n'y a plus d'ami pour la prendre dans ses bras. Il n'y a plus rien, juste le vent qui souffle, emportant sa candeur. Et elle les attend dans la nuit noire. Et c'est dans un vent d'espoir qu'elle semble les voir. Un sourire se fane sur ses lèvres, elle rêve encore. .
About me
Je suis...
liuxing
dix-neuf ans, en fac de droit à paris, comeback sur le forum, je vous aime ♥
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u819][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>ANYA SUMMERS (MANNEQUIN) </upper></taken> ✎ <lower>jun an</lower>
PV pris
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://URLDELAFICHEPV]▼[/url] <taken><upper>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</upper></taken> ✎ <lower>pseudo membre</lower>
Supprimez le code inutile ♥
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 17:53 Citer EditerSupprimer
J'AI ARRÊTÉ MON EPILATION DES JAMBES POUR TA PERSONNE
OH PTN NRBGUFEOZIDJAOK AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN BEGRUOFZEIDJZOAK
mon coeur est mou jpp, j'arrive plus trop de retour j'suis egrinjfzojdakps mais alors toi + an vjznedaiokerfijetgb olalalalalalala attendez faut que j'me calme
je suis juste joie, et love aussi, ptn ptn ptn ptn je vois déjà nos rp à 10 mille km starfoufou ghrnjkzefdazs en l'espace de 5 minutes je suis morte saches le ptn njtergikofzd
il ne manquait plus que toi pour que la vie de mon macaque soit parfaite, faisons de grandes choses toutes les deux comme on avait l'habitude de le faire
je t'aime bon retour parmi nous mon petit bébé en sucre et termine vite ta fiche que dédé et an se retrouvent enfin ok
OH PTN NRBGUFEOZIDJAOK AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN BEGRUOFZEIDJZOAK
mon coeur est mou jpp, j'arrive plus trop de retour j'suis egrinjfzojdakps mais alors toi + an vjznedaiokerfijetgb olalalalalalala attendez faut que j'me calme
je suis juste joie, et love aussi, ptn ptn ptn ptn je vois déjà nos rp à 10 mille km starfoufou ghrnjkzefdazs en l'espace de 5 minutes je suis morte saches le ptn njtergikofzd
il ne manquait plus que toi pour que la vie de mon macaque soit parfaite, faisons de grandes choses toutes les deux comme on avait l'habitude de le faire
je t'aime bon retour parmi nous mon petit bébé en sucre et termine vite ta fiche que dédé et an se retrouvent enfin ok
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 17:57 Citer EditerSupprimer
oh la revenante.
BEBE JE SUIS HAPPY
BEBE JE SUIS HAPPY
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 17:58 Citer EditerSupprimer
viens embrasser ton vieux frère.
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 18:15 Citer EditerSupprimer
ah bah très bien, ok, d'accord, je vois :taz:
ça me réponds jamais mais ça manigance en douce, hein ?
rtcbrdtsrvfgcrserxdf welcome rtdrgvcesr omg je ne suis qu'émotion.
ça me réponds jamais mais ça manigance en douce, hein ?
rtcbrdtsrvfgcrserxdf welcome rtdrgvcesr omg je ne suis qu'émotion.
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 18:18 Citer EditerSupprimer
Bon retour à la maison
Tu fais de nombreux heureux sache-le
Tu fais de nombreux heureux sache-le
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 18:23 Citer EditerSupprimer
J'ARRIVE.PAS.A.ME.CALMER
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 18:27 Citer EditerSupprimer
RENTRE CHEZ TOI TAZ, C'EST MOI JSUIS HEUREUX PAS TOI
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 18:29 Citer EditerSupprimer
IL VEUT QUOI LE MACAQUE ? TU TE CALMES DE SUITE ET TU ME LAISSES EUPHORISER
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Re: jun an × a midsummer night's dream. | Jeu 5 Mai - 18:30 Citer EditerSupprimer
QUEDAL. C'EST MA AN
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