désinvolte; tu es celui qui ère dans les rues en pleine nuit, pissant contre les murs, vomissant dans les caniveaux. ne respectant rien ni personne, tu es ce fils à papa un peu trop libre, un peu trop volage et pervers. et pourtant. adulé, objet de fantasme pour certains, tu te glisses chaque soir dans un night club différent avec ton groupe d'individu. tu veux te faire des nouveaux culs comme tu le dis si bien, boire à n'en plus tenir debout, boire à en gerber, à en avoir la tête qui tourne au point de te filer une dose d'adrénaline, d'extase. après cela, tu t'envoies en l'air pour atteindre l'orgasme, mais ben souvent, c'est surtout pour te vider les bourses, ni plus ni moins. l'attachement ? tu connais pas, excepté envers ta bouteille de sky. tu ne vie que pour les vices de la vie, la luxure et la gourmandise. tu te dis marié au sexe, possédant l'alcool et la drogue comme amant, alors que le sexe est ton âme soeur, avec qui tu joues constamment au point de parfois te faire payer et noter pour faire grossir ton égo qui, il faut l'avouer est déjà bien enflé. dur de passer les portes désormais.

autodérision; bien trop posé sur un humour noir, d'un rire parfois moqueur, tu critiques sans cesse, au plaisir de ton égo qui ne cesse de monter en flèche. riant de toi même, comme des autres, tu as le sens de la fête et ne manque donc pas une occasion de danser, chanter, crier, rire tout en engloutissant plusieurs liquides à la fois, peu importe d'où il sort d'ailleurs. tu es celui que l'on peut aimer si on connait le second degrés. tu es celui que l'on peut détester si on est né avec un manche à balais dans l'arrière train. adepte de la vulgarité, tu n'en passes pas une sans provoquer de milles et une façon, t'attirant parfois quelques ennuis que tu prends une fois de plus à la rigolade. te battre ? tu ne sais pas réellement, cependant, lorsque besoin est, tu sais envoyer un bon coup droit avant de finalement prendre la fuite en riant comme une véritable petit con d'emmerdeur.

u.c