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The battle for the peace [Feat. Aliyyah]
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The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Sam 21 Mai 2016 - 23:50 Citer EditerSupprimer
C'est bruyant, trop assourdissant pour la personne que je suis et je ne supporte pas une telle situation. Pourtant j'aime aller en soirée avec une musique brutale et perçante, j'aime balancer mon visage au rythme de la musique au point d'en avoir des maux de tête, mais entre maintenant et les soirées il y a une différence de situation, un grand écart je dirai même. Là, présentement, je tente d'apprécier le repas qui se trouve face à moi, d'avoir chaque saveur sur ma langue, profitant de cet instant mémorable, essayant de m'apaiser par la nourriture et de me perdre dans les goûts, mais c'est sans compter sur le fond sonore qui accompagne cette mise en bouche. Entre les rires aigus, les voix fortes qui résonnent dans la pièce, les blagues immatures, les conversations allant de tous les côtés, je ne parviens pas à déguster mon repas correctement et je sens que la tension monte progressivement tout comme mon énervement. Je tente de me contenir puisque je ne suis généralement pas une personne qui s'horripile facilement et je suis même plutôt impassible mais il y a des situations qui ne me permettent pas de rester sans rien faire, comme celle ici présente. J'inspire donc profondément, plusieurs fois, ferme les yeux, plusieurs fois, pour essayer de m'évader le plus loin possible mais en vain, le son de chaque voix retentit dans mes pauvres oreilles, martyrisées. Ce n'est pas toujours facile de vivre en communauté, surtout avec une personnalité telle que la mienne. Pourtant en général j'essaie d'éviter de manger avec le groupe parce que je sais, à force, comment cela va se passer mais parfois je ne peux pas éviter ces moments surtout quand la faim me guette et qu'ils sont tous assemblés dans la même pièce. Malheureusement ma patience a des limites et actuellement j'émets de grandes difficultés à résister à la tentation de ne pas m'énerver. Toutefois je ne peux pas devenir virulente d'un seul coup et toute seule, j'ai besoin d'une partenaire. J’épie rapidement la salle à la recherche d'un visage connu et très rapidement mon regard croise celle que je cherchais. Aliyyah, ma complice préférée. Tout le monde dans le groupe pense que je ne la supporte pas, qu'elle et moi, on ne peut pas être dans la même pièce sans se disputer au moins une fois, en vérité, ils sont loin de savoir que ce n'est qu'un masque que toutes les deux nous portons mutuellement. J'esquisse un sourire, donnant presque le signal d'attaque. Je détourne les yeux, me racle la gorge et lui lance ensuite un regard noir. Le théâtre peut débuter. « L'eau » dis-je d'un ton froid sans même être polie, me redressant pour paraître supérieure à elle, lui donnant une place de soumise, presque.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
C'est bruyant, trop assourdissant pour la personne que je suis et je ne supporte pas une telle situation. Pourtant j'aime aller en soirée avec une musique brutale et perçante, j'aime balancer mon visage au rythme de la musique au point d'en avoir des maux de tête, mais entre maintenant et les soirées il y a une différence de situation, un grand écart je dirai même. Là, présentement, je tente d'apprécier le repas qui se trouve face à moi, d'avoir chaque saveur sur ma langue, profitant de cet instant mémorable, essayant de m'apaiser par la nourriture et de me perdre dans les goûts, mais c'est sans compter sur le fond sonore qui accompagne cette mise en bouche. Entre les rires aigus, les voix fortes qui résonnent dans la pièce, les blagues immatures, les conversations allant de tous les côtés, je ne parviens pas à déguster mon repas correctement et je sens que la tension monte progressivement tout comme mon énervement. Je tente de me contenir puisque je ne suis généralement pas une personne qui s'horripile facilement et je suis même plutôt impassible mais il y a des situations qui ne me permettent pas de rester sans rien faire, comme celle ici présente. J'inspire donc profondément, plusieurs fois, ferme les yeux, plusieurs fois, pour essayer de m'évader le plus loin possible mais en vain, le son de chaque voix retentit dans mes pauvres oreilles, martyrisées. Ce n'est pas toujours facile de vivre en communauté, surtout avec une personnalité telle que la mienne. Pourtant en général j'essaie d'éviter de manger avec le groupe parce que je sais, à force, comment cela va se passer mais parfois je ne peux pas éviter ces moments surtout quand la faim me guette et qu'ils sont tous assemblés dans la même pièce. Malheureusement ma patience a des limites et actuellement j'émets de grandes difficultés à résister à la tentation de ne pas m'énerver. Toutefois je ne peux pas devenir virulente d'un seul coup et toute seule, j'ai besoin d'une partenaire. J’épie rapidement la salle à la recherche d'un visage connu et très rapidement mon regard croise celle que je cherchais. Aliyyah, ma complice préférée. Tout le monde dans le groupe pense que je ne la supporte pas, qu'elle et moi, on ne peut pas être dans la même pièce sans se disputer au moins une fois, en vérité, ils sont loin de savoir que ce n'est qu'un masque que toutes les deux nous portons mutuellement. J'esquisse un sourire, donnant presque le signal d'attaque. Je détourne les yeux, me racle la gorge et lui lance ensuite un regard noir. Le théâtre peut débuter. « L'eau » dis-je d'un ton froid sans même être polie, me redressant pour paraître supérieure à elle, lui donnant une place de soumise, presque.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Dim 22 Mai 2016 - 19:56 Citer EditerSupprimer
J’ai l’impression de vivre avec une bande de gosses. Ou alors de sans cesse être en camping avec une classe de primaires. Pourtant je suis loin d’être la plus vielle chez les sangos… Mais je suis peut-être l’une des plus matures, sans m’envoyer des fleurs hein. Je constate c’est tout. Je constate juste qu’ils sont horriblement bruyants. Ils sont tout le temps bruyants. Le matin quand c’est la guerre pour avoir accès à une douche, ils se gueulent dessus comme des chartiers. À croire que c’est celui qui hurle le plus fort qui aura la douche, alors qu’entre nous… J’ai juste besoin de laisser un regard noir et à murmurer un « putain » énervé pour qu’on me laisse la douche en moins de deux minutes. À la sortie des cours, aussi… Quand cette fois, c’est la guerre pour savoir qui mangera la dernière part de gâteau au goûter. Ou alors pour engueuler celui, un peu trop sournois, qui l’a déjà mangé. Ou alors quand on est regroupé dans la salle secrète… C’est le genre de salle où vos oreilles ne peuvent pas survivre sans boules-quies. C’est insupportable tout ce bruit, mais je supporte. Comme quoi, je suis quand même très tolérante. Cependant il y a un truc qui est au-dessus de mes limites : ce même bruit à table. Mais merde quoi ! Ils ne peuvent pas juste manger sans hurler ? Non mais c’est inhumain, franchement. Qu’on parle de nos journées sur un ton enjoué, ok. Qu’on échange sur nos projet dans la vie avec un peu d’entrait, pourquoi pas. Qu’on rigole légèrement en faisant des blagues, je ne dis pas non. Mais qu’on me gueule dans les oreilles alors que j’essaye de récupérer de ma longue journée en mangeant, non merci. Ils m’épuisent, je vous jure. Et je crois que je ne suis pas la seule à penser à combien ils sont chiants ce soir parce que je capte très vite le regard de Moyeon. Je sais tout de suite ce qu’il va se passer, on a tellement l’habitude de jouer ces rôles toutes les deux qu’il ne nous faut pas plus qu’un regard, qu’un sourire pour le lancer. J’en ricane d’avance. Je rends un peu sourire en coin à ma complice avide de silence. Je la laisse débuter les hostilités et je rentre doucement dans mon rôle. Et quand elle me demande l’eau avec son air supérieur, elle le fait trop bien, je relève la tête avec un sourire crispé en mode ‘elle se fout de ma gueule’. Je roule des yeux en me mordant l’intérieur de la joue, jouant celle qui se retient d’exploser. Puis je lui réponds d’un ton sec sans pour autant lui passer l’eau : « Quand tu seras plus polie peut-être, pouffiasse. ». Je souffle le dernier mot un peu moins fort mais je fais quand même en sorte que tout le monde l’entende autour de la table. On vient juste de commencer alors j’utilise encore les mots les moins vulgaires que je connais, mais ça ne sera pas pour longtemps. D’ailleurs tout le monde le sait et ils retiennent déjà tous leur respiration. Le pire est à venir.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
J’ai l’impression de vivre avec une bande de gosses. Ou alors de sans cesse être en camping avec une classe de primaires. Pourtant je suis loin d’être la plus vielle chez les sangos… Mais je suis peut-être l’une des plus matures, sans m’envoyer des fleurs hein. Je constate c’est tout. Je constate juste qu’ils sont horriblement bruyants. Ils sont tout le temps bruyants. Le matin quand c’est la guerre pour avoir accès à une douche, ils se gueulent dessus comme des chartiers. À croire que c’est celui qui hurle le plus fort qui aura la douche, alors qu’entre nous… J’ai juste besoin de laisser un regard noir et à murmurer un « putain » énervé pour qu’on me laisse la douche en moins de deux minutes. À la sortie des cours, aussi… Quand cette fois, c’est la guerre pour savoir qui mangera la dernière part de gâteau au goûter. Ou alors pour engueuler celui, un peu trop sournois, qui l’a déjà mangé. Ou alors quand on est regroupé dans la salle secrète… C’est le genre de salle où vos oreilles ne peuvent pas survivre sans boules-quies. C’est insupportable tout ce bruit, mais je supporte. Comme quoi, je suis quand même très tolérante. Cependant il y a un truc qui est au-dessus de mes limites : ce même bruit à table. Mais merde quoi ! Ils ne peuvent pas juste manger sans hurler ? Non mais c’est inhumain, franchement. Qu’on parle de nos journées sur un ton enjoué, ok. Qu’on échange sur nos projet dans la vie avec un peu d’entrait, pourquoi pas. Qu’on rigole légèrement en faisant des blagues, je ne dis pas non. Mais qu’on me gueule dans les oreilles alors que j’essaye de récupérer de ma longue journée en mangeant, non merci. Ils m’épuisent, je vous jure. Et je crois que je ne suis pas la seule à penser à combien ils sont chiants ce soir parce que je capte très vite le regard de Moyeon. Je sais tout de suite ce qu’il va se passer, on a tellement l’habitude de jouer ces rôles toutes les deux qu’il ne nous faut pas plus qu’un regard, qu’un sourire pour le lancer. J’en ricane d’avance. Je rends un peu sourire en coin à ma complice avide de silence. Je la laisse débuter les hostilités et je rentre doucement dans mon rôle. Et quand elle me demande l’eau avec son air supérieur, elle le fait trop bien, je relève la tête avec un sourire crispé en mode ‘elle se fout de ma gueule’. Je roule des yeux en me mordant l’intérieur de la joue, jouant celle qui se retient d’exploser. Puis je lui réponds d’un ton sec sans pour autant lui passer l’eau : « Quand tu seras plus polie peut-être, pouffiasse. ». Je souffle le dernier mot un peu moins fort mais je fais quand même en sorte que tout le monde l’entende autour de la table. On vient juste de commencer alors j’utilise encore les mots les moins vulgaires que je connais, mais ça ne sera pas pour longtemps. D’ailleurs tout le monde le sait et ils retiennent déjà tous leur respiration. Le pire est à venir.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Lun 23 Mai 2016 - 0:23 Citer EditerSupprimer
Utiliser le pouvoir des mots pour faire régner l'ordre et le calme, c'est la seule solution possible et actuellement envisageable pour calmer l'excitation véhiculée par le groupe. J'aurai souhaité utiliser une autre méthode, moins acerbe, et n'épuisant pas mes ressources énergétiques mais ce n'est malheureusement pas possible. Je suis obligée de me jouer un rôle avec Aliyyah pour tenter d'apaiser l'atmosphère et la rendre plus vivable. Mais quand il faut jouer le jeu il faut le jouer jusqu'au bout, quoiqu'il advienne. Je pousse un long soupir, éreintée et semblant énervée, après avoir dit ce que je souhaitais dire, en apparence. Je ne cherche pas à calmer le jeu ou même à sortir mes mots d'une façon plus courtoise, je sais que la seule manière de réussir à faire taire ces individus c'est de me disputer avec Aliyyah. A peine ai-je ouvert la bouche que tous les yeux se fixent sur ma partenaire et moi, chacun stoppant leur fait et geste, savant d'avance ce qui va advenir de la suite de la conversation. Il y a déjà moins de bruits que précédemment et c'est donc déjà beaucoup mieux. Je fronce des sourcils, prenant un air totalement offusqué face à la remarque de la jeune femme. « Pardon ? Je n'ai pas bien entendu tu as dit quoi ? ». Je serre légèrement les traits de mon visage montrant à quel point je suis contrariée par les dires de la jeune femme. Elle ose me parler sur ce ton et oser dire que je suis une pouffiasse ? Un terme si vulgaire qui ne me correspond absolument pas, enfin ça dépend du point de vue. Je sais très bien que ce n'est qu'un jeu mais je suis obligée de conditionner mes pensées en même temps que l'action sinon je risque de me tromper sur une ligne et de révéler indirectement la vérité entre elle et moi. « Excuse toi, immédiatement » dis-je sur un ton autoritaire, prenant le verre qui est près de moi dans ma paume, l'air menaçante. « Tes parents t'ont éduqué dans un élevage de cochons pour dire de tels mots, si vulgaires ? Tu devrais aller te laver la bouche, juste pour enlever toutes ces saletés ». Je grince des dents, lançant ainsi la machine qui est prête à rugir à tout moment, même si au final la guerre a déjà débuté et que toutes les deux nous savons pertinemment qu va gagner cette guerre sans répit : nous deux.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
Utiliser le pouvoir des mots pour faire régner l'ordre et le calme, c'est la seule solution possible et actuellement envisageable pour calmer l'excitation véhiculée par le groupe. J'aurai souhaité utiliser une autre méthode, moins acerbe, et n'épuisant pas mes ressources énergétiques mais ce n'est malheureusement pas possible. Je suis obligée de me jouer un rôle avec Aliyyah pour tenter d'apaiser l'atmosphère et la rendre plus vivable. Mais quand il faut jouer le jeu il faut le jouer jusqu'au bout, quoiqu'il advienne. Je pousse un long soupir, éreintée et semblant énervée, après avoir dit ce que je souhaitais dire, en apparence. Je ne cherche pas à calmer le jeu ou même à sortir mes mots d'une façon plus courtoise, je sais que la seule manière de réussir à faire taire ces individus c'est de me disputer avec Aliyyah. A peine ai-je ouvert la bouche que tous les yeux se fixent sur ma partenaire et moi, chacun stoppant leur fait et geste, savant d'avance ce qui va advenir de la suite de la conversation. Il y a déjà moins de bruits que précédemment et c'est donc déjà beaucoup mieux. Je fronce des sourcils, prenant un air totalement offusqué face à la remarque de la jeune femme. « Pardon ? Je n'ai pas bien entendu tu as dit quoi ? ». Je serre légèrement les traits de mon visage montrant à quel point je suis contrariée par les dires de la jeune femme. Elle ose me parler sur ce ton et oser dire que je suis une pouffiasse ? Un terme si vulgaire qui ne me correspond absolument pas, enfin ça dépend du point de vue. Je sais très bien que ce n'est qu'un jeu mais je suis obligée de conditionner mes pensées en même temps que l'action sinon je risque de me tromper sur une ligne et de révéler indirectement la vérité entre elle et moi. « Excuse toi, immédiatement » dis-je sur un ton autoritaire, prenant le verre qui est près de moi dans ma paume, l'air menaçante. « Tes parents t'ont éduqué dans un élevage de cochons pour dire de tels mots, si vulgaires ? Tu devrais aller te laver la bouche, juste pour enlever toutes ces saletés ». Je grince des dents, lançant ainsi la machine qui est prête à rugir à tout moment, même si au final la guerre a déjà débuté et que toutes les deux nous savons pertinemment qu va gagner cette guerre sans répit : nous deux.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Ven 27 Mai 2016 - 20:08 Citer EditerSupprimer
À chaque crise, c’est le même schéma. Une crise de Moyeon et Moi et le silence s’installe pour quelques temps puis le bruit revient petit à petit jusqu’à un nouveau ras-le-bol de notre part et une nouvelle crise. Une routine, un quotidien. C’est un rôle habituel, on ne prend pas à cœur ce que l’autre dit peu-importe combien c’est blessant mais il faut qu’on crée notre propre rage en y croyant pour que ça ait l’air réel. D’ailleurs je n’aime pas beaucoup, voire pas du tout, le fait qu’elle s’attaque à mes parents décédés, et j’y pense de toute mon âme pour monter en pression et jouer mon rôle à la perfection. Parce que je sais qu’elle n’en pense pas un mot, si on n’avait été que toutes les deux, elle n’aurait jamais osé dire ce genre de choses. Comme je n’aurais jamais osé la traîner de « pouffiasse ». J’essaye d’ailleurs de me concentrer sur le fait qu’elle a insulté mes parents et non sur le contexte de la phrase, sinon je risque d’exploser de rire. Parce que… Entre nous, c’est totalement risible. Je ne sais pas si Moyeon se rend compte de ce qu’elle dit ou si qui que ce soit se rend compte de ce qu’elle dit mais… Elevée dans un élevage de cochon ? Moi ? Parce qu’on parle de la syrienne que je suis, celle qui a grandi dans une famille musulmane. Autant vous dire que le cochon, ce n’est pas trop notre domaine. Mais en tout cas, personne n’a l’air de relever à part moi ou alors ils ont trop peur de la colère de Moyeon pour faire quelconque mouvement indiquant qu’ils ont tilté. Du coup, je garde mon sérieux et je relève la tête vers elle, les yeux fous. Ceux que j’affiche quand je suis à deux doigts de faire la peau à quelqu’un. Je pointe violement les baquettes en sa direction, puis je lâche froidement : « Excuses-toi, je n’autorise pas ta bouche dégelasse à parler de mes parents. Et encore moins comme tu l’as fais. Tu n’as même pas le droit de penser un truc sur eux. Ils valent bien trop pour apparaitre dans ton esprit. ». Dans mon élan, je manque de lui balancer mes baquettes à la gueule mais je me retiens parce qu’on vient juste de commencer alors pas la peine de sortir le grand jeu tout de suite. On préfère faire durer la pression. On préfère faire durer la peur et l’angoisse face à notre tempérament de feu. Parce que plus longtemps le jeu tarde, plus longtemps le silence reste. « Aller, dégages de table, tu pollues notre air. ». Je désigne exprès le groupe autour de nous pour les inclure contre leur grès dans la dispute, histoire qu’ils aient aussi peur des représailles. Si on continue comme ça, on devrait être tranquille un bon moment.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
À chaque crise, c’est le même schéma. Une crise de Moyeon et Moi et le silence s’installe pour quelques temps puis le bruit revient petit à petit jusqu’à un nouveau ras-le-bol de notre part et une nouvelle crise. Une routine, un quotidien. C’est un rôle habituel, on ne prend pas à cœur ce que l’autre dit peu-importe combien c’est blessant mais il faut qu’on crée notre propre rage en y croyant pour que ça ait l’air réel. D’ailleurs je n’aime pas beaucoup, voire pas du tout, le fait qu’elle s’attaque à mes parents décédés, et j’y pense de toute mon âme pour monter en pression et jouer mon rôle à la perfection. Parce que je sais qu’elle n’en pense pas un mot, si on n’avait été que toutes les deux, elle n’aurait jamais osé dire ce genre de choses. Comme je n’aurais jamais osé la traîner de « pouffiasse ». J’essaye d’ailleurs de me concentrer sur le fait qu’elle a insulté mes parents et non sur le contexte de la phrase, sinon je risque d’exploser de rire. Parce que… Entre nous, c’est totalement risible. Je ne sais pas si Moyeon se rend compte de ce qu’elle dit ou si qui que ce soit se rend compte de ce qu’elle dit mais… Elevée dans un élevage de cochon ? Moi ? Parce qu’on parle de la syrienne que je suis, celle qui a grandi dans une famille musulmane. Autant vous dire que le cochon, ce n’est pas trop notre domaine. Mais en tout cas, personne n’a l’air de relever à part moi ou alors ils ont trop peur de la colère de Moyeon pour faire quelconque mouvement indiquant qu’ils ont tilté. Du coup, je garde mon sérieux et je relève la tête vers elle, les yeux fous. Ceux que j’affiche quand je suis à deux doigts de faire la peau à quelqu’un. Je pointe violement les baquettes en sa direction, puis je lâche froidement : « Excuses-toi, je n’autorise pas ta bouche dégelasse à parler de mes parents. Et encore moins comme tu l’as fais. Tu n’as même pas le droit de penser un truc sur eux. Ils valent bien trop pour apparaitre dans ton esprit. ». Dans mon élan, je manque de lui balancer mes baquettes à la gueule mais je me retiens parce qu’on vient juste de commencer alors pas la peine de sortir le grand jeu tout de suite. On préfère faire durer la pression. On préfère faire durer la peur et l’angoisse face à notre tempérament de feu. Parce que plus longtemps le jeu tarde, plus longtemps le silence reste. « Aller, dégages de table, tu pollues notre air. ». Je désigne exprès le groupe autour de nous pour les inclure contre leur grès dans la dispute, histoire qu’ils aient aussi peur des représailles. Si on continue comme ça, on devrait être tranquille un bon moment.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Sam 28 Mai 2016 - 10:26 Citer EditerSupprimer
Je sais pertinemment que ce n'est pas très recherché ce que je viens de lui balancer au visage mais il faut dire que je ne suis pas douée pour donner des insultes et qu'en général je préfère passer mon chemin au lieu de perdre mon temps à utiliser ma salive pour des choses si futiles. Néanmoins les circonstances font que je suis dans l’obligation d'injurier la jeune femme mais fort heureusement elle se doute bien que ce n'est qu'une mascarade et que ce n'est pas contre elle directement. Beaucoup auraient pu être réellement blessés, heurtés, par mes propos, et bien sûr, elle tente de montrer que c'est le cas même si au fond, je suis la seule à connaître la vérité sur cette table. Je tente de conserver mon calme, m'empêchant ainsi de rire lorsqu'elle tend ses baguettes dans ma direction. J'ai vraiment le sentiment qu'à cet instant précis on tourne un mélodrame à la limite de la comédie. C'est tellement bien fait que je suis certaine que si des producteurs passaient par là ils nous auraient immédiatement engagé dans un futur film ou dans une série future. Je fais mine de rire discrètement en entendant ses remarques et me mords la lèvre, prenant un air totalement désespéré. « Et quoi ? Qu'est-ce que tu vas me dire ou me faire si je pense à eux ? Si je les évoque ? Je ne suis pas ton sujet, tu ne peux pas me contrôler comme tu sembles le croire, je pense, je dis, je fais, tout ce que je veux et ce n'est sûrement pas une petite et minuscule princesse comme toi qui va m'empêcher de faire ce que je désire ». Je pointe à mon tour mes baguettes dans sa direction l'air menaçante. « Tu te prends pour la porte parole de la fraternité ou quoi ? A ce que je sache ce n'est pas toi qui commandes ici alors avant de demander à quelqu'un de partir, apprends quelle est ta place, tu n'es qu'un minuscule pion soumis à l'autorité et tu te prends juste pour celle que tu n'es pas, c'est à dire une fille qui a du pouvoir. Je doute polluer l'air toute seule, tu la pollues aussi ». Je la détaille longuement, fronçant des sourcils, donnant une impression d'être fortement dégoûtée. « Non mais regarde toi, franchement . . . Est-ce que tu crois que tu ressembles à quelque chose là ? Arrête de prendre des airs supérieurs, tu es pathétique ». Je n'y vais pas du tout en douceur mais de toute manière il ne faut pas, cela ne sert à rien il faut que j'y aille franc jeu sinon les autres vont se douter que c'est une mise en scène, surtout venant de moi. Moi qui suis d'ordinaire muette ou qui parle très peu, voilà que ma langue se délie d'elle-même, c'est assez marrant, et même pour moi ça l'est.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
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Je sais pertinemment que ce n'est pas très recherché ce que je viens de lui balancer au visage mais il faut dire que je ne suis pas douée pour donner des insultes et qu'en général je préfère passer mon chemin au lieu de perdre mon temps à utiliser ma salive pour des choses si futiles. Néanmoins les circonstances font que je suis dans l’obligation d'injurier la jeune femme mais fort heureusement elle se doute bien que ce n'est qu'une mascarade et que ce n'est pas contre elle directement. Beaucoup auraient pu être réellement blessés, heurtés, par mes propos, et bien sûr, elle tente de montrer que c'est le cas même si au fond, je suis la seule à connaître la vérité sur cette table. Je tente de conserver mon calme, m'empêchant ainsi de rire lorsqu'elle tend ses baguettes dans ma direction. J'ai vraiment le sentiment qu'à cet instant précis on tourne un mélodrame à la limite de la comédie. C'est tellement bien fait que je suis certaine que si des producteurs passaient par là ils nous auraient immédiatement engagé dans un futur film ou dans une série future. Je fais mine de rire discrètement en entendant ses remarques et me mords la lèvre, prenant un air totalement désespéré. « Et quoi ? Qu'est-ce que tu vas me dire ou me faire si je pense à eux ? Si je les évoque ? Je ne suis pas ton sujet, tu ne peux pas me contrôler comme tu sembles le croire, je pense, je dis, je fais, tout ce que je veux et ce n'est sûrement pas une petite et minuscule princesse comme toi qui va m'empêcher de faire ce que je désire ». Je pointe à mon tour mes baguettes dans sa direction l'air menaçante. « Tu te prends pour la porte parole de la fraternité ou quoi ? A ce que je sache ce n'est pas toi qui commandes ici alors avant de demander à quelqu'un de partir, apprends quelle est ta place, tu n'es qu'un minuscule pion soumis à l'autorité et tu te prends juste pour celle que tu n'es pas, c'est à dire une fille qui a du pouvoir. Je doute polluer l'air toute seule, tu la pollues aussi ». Je la détaille longuement, fronçant des sourcils, donnant une impression d'être fortement dégoûtée. « Non mais regarde toi, franchement . . . Est-ce que tu crois que tu ressembles à quelque chose là ? Arrête de prendre des airs supérieurs, tu es pathétique ». Je n'y vais pas du tout en douceur mais de toute manière il ne faut pas, cela ne sert à rien il faut que j'y aille franc jeu sinon les autres vont se douter que c'est une mise en scène, surtout venant de moi. Moi qui suis d'ordinaire muette ou qui parle très peu, voilà que ma langue se délie d'elle-même, c'est assez marrant, et même pour moi ça l'est.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Ven 3 Juin 2016 - 23:41 Citer EditerSupprimer
C’est fou quand même. C’est loin d’être la première fois. En fait, je ne compte même plus le nombre de fois où ça arrive. Pourtant c’est toujours aussi drôle. Les insultes qu’on se sort sont basses, ridicules, on n’en pense pas un mot, on n’y croit pas une seconde. Mais on est bien les deux à être conscience de ce jeu permanent. Ce jeu de rôle qui ai lancé depuis plusieurs mois et qui a pris le dessus sur la réalité des choses au dortoir. Plus question d’avoir l’air de bien s’entendre, ne pas laisser la moindre indice, le moindre soupçon sur ce qui se passe vraiment. Il faut que la tension soit constante sinon nos crises n’auront plus d’effet. Alors même si on s’apprécie beaucoup Moyeon et moi, personne ne le sait, surtout pas ici. Faut qu’on s’ignore au quotidien et que ça pète à au moment propice. C’est calculé, travaillé et clairement, ça nous amuse plus que de raison. J’aime voir la tête de mes camarades se décomposer quand l’une de nous lève la voix sur l’autre. J’aime surtout comment le silence revient à ce moment-là et comme on entende seulement la voix de Moyeon ou la mienne. Ça nous prouve qu’on a un peu d’emprise sur eux. Ça nous prouve qu’il y a encore un moyen de les contrôler. Alors je ne m’arrête sûrement pas en si bon chemin. « Si j’avais voulu avoir un sujet comme tu dis, j’aurais choisi mieux ma chérie, crois-moi. Je ne serais sûrement pas encombré de… ». Je la dévisage de haut en bas avec un sourire méchant accroché aux lèvres. « … ça. ». Je la laisse parler, je la laisse me répondre, je la laisse m’agresser. C’est virulent. Mais plus ça l’est, mieux tout ce cirque marche. Partout, on s’attaque sur nos réels défauts, comme le fait à cet instant Moyeon. Je sais bien que je suis un peu trop autoritaire, mais ce n’est pas une raison pour me le rappeler devant toute la fraternité. Enfin, c’est ce que je me dis dans ma tête pour augmenter un peu plus ma colère. Je serre les dents et je donne un violent coup de pied dans la table. Tout le monde sursaute, sauf Moyeon, bien sûr. Je lui lance un de mes regards les plus noirs. « Fermes ta gueules la drogué. » je lâche d’un ton sec et glacial. Parfois, on a l’impression d’aller trop loin. On a peur d’avoir franchi un cap dans le jeu qu’on n’aura pas dû et que la réalité soit affectée à son tour. Mais on espère que toute son âme que ça n’arrivera jamais.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
C’est fou quand même. C’est loin d’être la première fois. En fait, je ne compte même plus le nombre de fois où ça arrive. Pourtant c’est toujours aussi drôle. Les insultes qu’on se sort sont basses, ridicules, on n’en pense pas un mot, on n’y croit pas une seconde. Mais on est bien les deux à être conscience de ce jeu permanent. Ce jeu de rôle qui ai lancé depuis plusieurs mois et qui a pris le dessus sur la réalité des choses au dortoir. Plus question d’avoir l’air de bien s’entendre, ne pas laisser la moindre indice, le moindre soupçon sur ce qui se passe vraiment. Il faut que la tension soit constante sinon nos crises n’auront plus d’effet. Alors même si on s’apprécie beaucoup Moyeon et moi, personne ne le sait, surtout pas ici. Faut qu’on s’ignore au quotidien et que ça pète à au moment propice. C’est calculé, travaillé et clairement, ça nous amuse plus que de raison. J’aime voir la tête de mes camarades se décomposer quand l’une de nous lève la voix sur l’autre. J’aime surtout comment le silence revient à ce moment-là et comme on entende seulement la voix de Moyeon ou la mienne. Ça nous prouve qu’on a un peu d’emprise sur eux. Ça nous prouve qu’il y a encore un moyen de les contrôler. Alors je ne m’arrête sûrement pas en si bon chemin. « Si j’avais voulu avoir un sujet comme tu dis, j’aurais choisi mieux ma chérie, crois-moi. Je ne serais sûrement pas encombré de… ». Je la dévisage de haut en bas avec un sourire méchant accroché aux lèvres. « … ça. ». Je la laisse parler, je la laisse me répondre, je la laisse m’agresser. C’est virulent. Mais plus ça l’est, mieux tout ce cirque marche. Partout, on s’attaque sur nos réels défauts, comme le fait à cet instant Moyeon. Je sais bien que je suis un peu trop autoritaire, mais ce n’est pas une raison pour me le rappeler devant toute la fraternité. Enfin, c’est ce que je me dis dans ma tête pour augmenter un peu plus ma colère. Je serre les dents et je donne un violent coup de pied dans la table. Tout le monde sursaute, sauf Moyeon, bien sûr. Je lui lance un de mes regards les plus noirs. « Fermes ta gueules la drogué. » je lâche d’un ton sec et glacial. Parfois, on a l’impression d’aller trop loin. On a peur d’avoir franchi un cap dans le jeu qu’on n’aura pas dû et que la réalité soit affectée à son tour. Mais on espère que toute son âme que ça n’arrivera jamais.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Sam 4 Juin 2016 - 18:07 Citer EditerSupprimer
J'espère que ma partenaire ne prend pas mes mots comme une véritable attaque et qu'elle parvient à s'en éloigner, le plus possible, car je dois avouer qu'il est souvent difficile de s'extirper de ce genre de conversation, enfin d'altercation plutôt, et je crains toujours que cela n'affecte notre véritable relation même si je sais pertinemment que chacun parvient à surmonter ça, quelques temps après. En même temps, si mes mots n'étaient pas aussi durs qu'ils le sont actuellement je pense que les membres de la fraternité se seraient doutés que tout ça n'est qu'une mascarade et auraient repris leur chahut, nous énervant respectivement l'une et l'autre. Je fais de grands yeux et les roule quand elle me dit qu'elle aurait pris une toute autre personne en tant que sujet, si sujet elle parvient un jour à en avoir. Je tente vraiment de me mettre en condition de la dispute, bloquant mes pensées pour ne pas les faire dériver, et me mettant totalement dans le bain de la querelle. De toute manière il est clair que personne ne peut me prendre en tant que sujet étant trop indépendante pour dépendre de quelqu'un et pour lécher les baskets d'un autre individu. Ce n'est franchement pas dans ma personnalité que d'agir de la sorte. Je ne suis ni reine, ni sujet, je suis un électron libre. « Sérieusement ? T'as pas mieux comme réplique ? Et ''ça'' comme tu le dis est une personne à part entière, je ne suis pas un déchet ». Ma gorge se serre malgré moi car au fond c'est tout le contraire de ce que je pense. Je ne suis qu'un pauvre déchet de la société, une exclue de celle-ci mais qu'importe, c'est de ma propre volonté. Je reste de marbre quand elle frappe violemment la table, continuant à la fixer tandis que les autres commencent à prendre peur face à cette tension, palpable.
Droguée ? Je lui lance des éclairs et plante ma fourchette brutalement dans mon assiette, avec un air colérique. « Et alors ? Qu'est-ce que ça peut te faire que je sois droguée ? T'as un problème contre ça ? On ne suit pas tous la même voie et moi je ne suis pas une petite princesse qui se la joue grandeur nature ». Je serre les poings, serre les dents et finis par lever la tête en haut, l'air désespéré. « T'es qu'une pauvre conne. J'arrête de gaspiller ma salive pour une fille comme toi, ça n'en vaut pas la peine » dis-je en lui lançant un dernier regard noir et en quittant la table, ne manquant pas de la bousculer au passage. Ce n'est pas que cela m'ait touché car j'assume totalement le fait d'être une droguée mais je pense que ça ne sert à rien de continuer la dispute, je pense qu'ils en ont suffisamment eu pour se calmer quelques temps encore. Et puis il faut avouer que ce n'est pas toujours facile de simuler une dispute, je risque de la prendre trop à cœur. Je m'en vais donc dehors, inspirant profondément. Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour faire régner le calme et la discipline dans ce dortoir.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
J'espère que ma partenaire ne prend pas mes mots comme une véritable attaque et qu'elle parvient à s'en éloigner, le plus possible, car je dois avouer qu'il est souvent difficile de s'extirper de ce genre de conversation, enfin d'altercation plutôt, et je crains toujours que cela n'affecte notre véritable relation même si je sais pertinemment que chacun parvient à surmonter ça, quelques temps après. En même temps, si mes mots n'étaient pas aussi durs qu'ils le sont actuellement je pense que les membres de la fraternité se seraient doutés que tout ça n'est qu'une mascarade et auraient repris leur chahut, nous énervant respectivement l'une et l'autre. Je fais de grands yeux et les roule quand elle me dit qu'elle aurait pris une toute autre personne en tant que sujet, si sujet elle parvient un jour à en avoir. Je tente vraiment de me mettre en condition de la dispute, bloquant mes pensées pour ne pas les faire dériver, et me mettant totalement dans le bain de la querelle. De toute manière il est clair que personne ne peut me prendre en tant que sujet étant trop indépendante pour dépendre de quelqu'un et pour lécher les baskets d'un autre individu. Ce n'est franchement pas dans ma personnalité que d'agir de la sorte. Je ne suis ni reine, ni sujet, je suis un électron libre. « Sérieusement ? T'as pas mieux comme réplique ? Et ''ça'' comme tu le dis est une personne à part entière, je ne suis pas un déchet ». Ma gorge se serre malgré moi car au fond c'est tout le contraire de ce que je pense. Je ne suis qu'un pauvre déchet de la société, une exclue de celle-ci mais qu'importe, c'est de ma propre volonté. Je reste de marbre quand elle frappe violemment la table, continuant à la fixer tandis que les autres commencent à prendre peur face à cette tension, palpable.
Droguée ? Je lui lance des éclairs et plante ma fourchette brutalement dans mon assiette, avec un air colérique. « Et alors ? Qu'est-ce que ça peut te faire que je sois droguée ? T'as un problème contre ça ? On ne suit pas tous la même voie et moi je ne suis pas une petite princesse qui se la joue grandeur nature ». Je serre les poings, serre les dents et finis par lever la tête en haut, l'air désespéré. « T'es qu'une pauvre conne. J'arrête de gaspiller ma salive pour une fille comme toi, ça n'en vaut pas la peine » dis-je en lui lançant un dernier regard noir et en quittant la table, ne manquant pas de la bousculer au passage. Ce n'est pas que cela m'ait touché car j'assume totalement le fait d'être une droguée mais je pense que ça ne sert à rien de continuer la dispute, je pense qu'ils en ont suffisamment eu pour se calmer quelques temps encore. Et puis il faut avouer que ce n'est pas toujours facile de simuler une dispute, je risque de la prendre trop à cœur. Je m'en vais donc dehors, inspirant profondément. Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour faire régner le calme et la discipline dans ce dortoir.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Mar 28 Juin 2016 - 17:06 Citer EditerSupprimer
Je rigole. Un rire jaune. Un rire noir. Un rire méchant. « Nan, j’ai pas mieux que ça. Je trouve des répliques à ta hauteur, pour bien que tu comprennes. Je peux être sympa, tu vois ? ». Je suis vraiment une salope avec elle. Pas que je sois tellement plus polie et courtoise en général… Non, pas vraiment. J’insulte, je suis mal polie. Tout le monde. Mais si ça sonne vrai, c’est que tu le mérites ou que je le pense. Si tu ne le mérites pas et que je ne le pense pas, ça s’entend dans ma voix. Et les personnes qui ont les droits à ce genre d’insultes, affectives, commencent à me connaître. Parfois, je taquine. D’autres fois, je suis à deux doigts du pétage de câble. Souvent, je suis lunatique. Rien de bien étrange pour mes amis de se faire insulter une fois de temps en temps, on s’y fait et on s’en amuse. Mais avec Moyeon c’est particulier : je ne le pense pas, elle ne le mérite pas et pourtant, on y croit dur comme fer. C’est la particularité de notre jeu. Soyons honnêtes, ça n’a rien de sain. On ne s’arrête pas pour tant. C’est aussi drôle que c’est dangereux. Drôle, parce que on est les maîtres du jeu et qu’on est les deux seules détentrices de la vérité. Dangereux, parce qu’on se blesse en surface, inconsciemment, et que l’on risque un jour de se blesser plus profondément. En espérant que la vérité soit relevée avant que ce jour arrive. J’arrête de manger, parce que oui m’engueuler avec Moyeon ne m’empêche pas de manger, ça donne l’impression que je la trouve insignifiante, indigne de mon intérêt, quand elle m’insulte de princesse. Je ne me crois pas supérieur aux autres, j’en ai connu des mecs qui pensaient ça, je les ai vus tué pour le montrer, et je ne suis pas prête de faire la même erreur. On est tous égaux, la situation syrienne me l’a gravé au fond du cœur. Je n’aime pas ce qu’elle insinue en disant ça, même si je le mérite après mon insulte. Alors pas question de la laisser se tirer de table comme un voleuse. « Je peux savoir où tu vas ? Je crois qu’on n’a pas fini toi et moi. En fait, on n’aura pas fini tant que t’auras pas retiré tes paroles. ». Je lève violement de ma chaise manquant de la faire basculer en arrière, mon camarade de droite a le réflexe de la rattraper. Puis je rejoins rapidement Moyeon dehors d’un air énervé. Quand je ferme la porte derrière moi, je manque d’exploser de rire en croisant le regard de ma camarade de jeu. Mais je me retiens, faut pas qu’ils m’entendent. « Bien joué, on y a été très fort cette fois ! » je chuchote très bas, histoire d’être sûre que personne ne m’entende à l’intérieur. Puis je me rapproche d’elle pour que les autres à l’intérieur nous tous les deux aient en visuel à travers la fenêtre, bien que je sois dos à eux. Et oui, trente secondes de pause à peine. « Alors qui gueule en premier ? Toi ou moi ? » je lui demande tout bas avec un sourire en coin.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
Je rigole. Un rire jaune. Un rire noir. Un rire méchant. « Nan, j’ai pas mieux que ça. Je trouve des répliques à ta hauteur, pour bien que tu comprennes. Je peux être sympa, tu vois ? ». Je suis vraiment une salope avec elle. Pas que je sois tellement plus polie et courtoise en général… Non, pas vraiment. J’insulte, je suis mal polie. Tout le monde. Mais si ça sonne vrai, c’est que tu le mérites ou que je le pense. Si tu ne le mérites pas et que je ne le pense pas, ça s’entend dans ma voix. Et les personnes qui ont les droits à ce genre d’insultes, affectives, commencent à me connaître. Parfois, je taquine. D’autres fois, je suis à deux doigts du pétage de câble. Souvent, je suis lunatique. Rien de bien étrange pour mes amis de se faire insulter une fois de temps en temps, on s’y fait et on s’en amuse. Mais avec Moyeon c’est particulier : je ne le pense pas, elle ne le mérite pas et pourtant, on y croit dur comme fer. C’est la particularité de notre jeu. Soyons honnêtes, ça n’a rien de sain. On ne s’arrête pas pour tant. C’est aussi drôle que c’est dangereux. Drôle, parce que on est les maîtres du jeu et qu’on est les deux seules détentrices de la vérité. Dangereux, parce qu’on se blesse en surface, inconsciemment, et que l’on risque un jour de se blesser plus profondément. En espérant que la vérité soit relevée avant que ce jour arrive. J’arrête de manger, parce que oui m’engueuler avec Moyeon ne m’empêche pas de manger, ça donne l’impression que je la trouve insignifiante, indigne de mon intérêt, quand elle m’insulte de princesse. Je ne me crois pas supérieur aux autres, j’en ai connu des mecs qui pensaient ça, je les ai vus tué pour le montrer, et je ne suis pas prête de faire la même erreur. On est tous égaux, la situation syrienne me l’a gravé au fond du cœur. Je n’aime pas ce qu’elle insinue en disant ça, même si je le mérite après mon insulte. Alors pas question de la laisser se tirer de table comme un voleuse. « Je peux savoir où tu vas ? Je crois qu’on n’a pas fini toi et moi. En fait, on n’aura pas fini tant que t’auras pas retiré tes paroles. ». Je lève violement de ma chaise manquant de la faire basculer en arrière, mon camarade de droite a le réflexe de la rattraper. Puis je rejoins rapidement Moyeon dehors d’un air énervé. Quand je ferme la porte derrière moi, je manque d’exploser de rire en croisant le regard de ma camarade de jeu. Mais je me retiens, faut pas qu’ils m’entendent. « Bien joué, on y a été très fort cette fois ! » je chuchote très bas, histoire d’être sûre que personne ne m’entende à l’intérieur. Puis je me rapproche d’elle pour que les autres à l’intérieur nous tous les deux aient en visuel à travers la fenêtre, bien que je sois dos à eux. Et oui, trente secondes de pause à peine. « Alors qui gueule en premier ? Toi ou moi ? » je lui demande tout bas avec un sourire en coin.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Dim 3 Juil 2016 - 12:07 Citer EditerSupprimer
Je pousse un long soupir, semblant être dégoûtée par la personne qui se trouve face à moi, ne pouvant en entendre plus venant d'elle. Je fais mine d'être particulièrement énervée par son comportement et de ne pas pouvoir en supporter davantage. « Je ne crois pas que ma hauteur soit accessible pour ta petitesse ». Je ne mâche aucun mot, mais à vrai dire, je commence à fatiguer, à ne plus pouvoir en entendre plus. Ce n'est pas que je le prends mal mais je pense que la dispute a assez perduré, en tout cas face à eux, et qu'il est temps pour moi de tirer ma révérence en m'en allant, quittant spontanément la table, d'un air impatient. Je tente de montrer que cela m'atteint, profondément, mais j'avoue qu'en me retournant je n'ai qu'une envie, c'est d'esquisser un sourire satisfait, heureuse d'avoir joué de nouveau ce jeu si dangereux mais si passionnant. Bien sûr, Ali ne se laisse pas faire et ne semble pas vouloir en rester là, elle propose donc de sortir à ma suite, me coursant presque jusqu'à dehors, pour continuer la dispute, même si je sais au fond de moi que ce n'est qu'un moyen de noyer le poisson dans l'eau et que l'on va surtout discuter ensemble, tout en haussant parfois le ton. Elle ne tarde pas à arriver et lorsque mon regard croise le sien, je souris discrètement, et rigole un peu à ses côtés. « J'avoue que l'on a pas été très sympathiques aujourd'hui. Mais au moins ça a eu le don de les calmer immédiatement ». Là encore, je n'entends plus une seule mouche volée, cela montre bien que notre scénario a encore fait effet. Je me demande si un jour ils vont comprendre que ce n'est qu'un stratagème, pour mieux les piéger et les faire taire. Je regarde moi aussi les alentours, pour être certaine de ne pas se faire prendre, ce qui serait regrettable et baisse ma voix pour que seule Ali puisse entendre mes paroles. « Je pense que je vais crier, parce que tu m'as suivi jusqu'ici ». Je lui fais un clin d'oeil et reprends le jeu, de manière moins soutenue, cette fois-ci. « Non mais pourquoi tu me suis ? Arrête de me coller comme ça, tu peux plus te passer de moi ou quoi ? Retourne à table, j'en peux plus de voir ton visage en face du mien, il m'horripile ». Je lance quelques regards derrière son épaule pour m'assurer qu'ils aient pu entendre mes paroles. « ça va ? Je ne t'ai pas trop blessé j'espère ? Je t'avoue que les mots sont sortis seuls et que j'ai eu quelques difficultés à les contrôler, donc j'espère que tu ne les as pas pris pour toi personnellement », je préfère m'assurer qu'elle n'ait pas pris trop mes mots à cœur, malgré ma froideur de tout à l'heure.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
Je pousse un long soupir, semblant être dégoûtée par la personne qui se trouve face à moi, ne pouvant en entendre plus venant d'elle. Je fais mine d'être particulièrement énervée par son comportement et de ne pas pouvoir en supporter davantage. « Je ne crois pas que ma hauteur soit accessible pour ta petitesse ». Je ne mâche aucun mot, mais à vrai dire, je commence à fatiguer, à ne plus pouvoir en entendre plus. Ce n'est pas que je le prends mal mais je pense que la dispute a assez perduré, en tout cas face à eux, et qu'il est temps pour moi de tirer ma révérence en m'en allant, quittant spontanément la table, d'un air impatient. Je tente de montrer que cela m'atteint, profondément, mais j'avoue qu'en me retournant je n'ai qu'une envie, c'est d'esquisser un sourire satisfait, heureuse d'avoir joué de nouveau ce jeu si dangereux mais si passionnant. Bien sûr, Ali ne se laisse pas faire et ne semble pas vouloir en rester là, elle propose donc de sortir à ma suite, me coursant presque jusqu'à dehors, pour continuer la dispute, même si je sais au fond de moi que ce n'est qu'un moyen de noyer le poisson dans l'eau et que l'on va surtout discuter ensemble, tout en haussant parfois le ton. Elle ne tarde pas à arriver et lorsque mon regard croise le sien, je souris discrètement, et rigole un peu à ses côtés. « J'avoue que l'on a pas été très sympathiques aujourd'hui. Mais au moins ça a eu le don de les calmer immédiatement ». Là encore, je n'entends plus une seule mouche volée, cela montre bien que notre scénario a encore fait effet. Je me demande si un jour ils vont comprendre que ce n'est qu'un stratagème, pour mieux les piéger et les faire taire. Je regarde moi aussi les alentours, pour être certaine de ne pas se faire prendre, ce qui serait regrettable et baisse ma voix pour que seule Ali puisse entendre mes paroles. « Je pense que je vais crier, parce que tu m'as suivi jusqu'ici ». Je lui fais un clin d'oeil et reprends le jeu, de manière moins soutenue, cette fois-ci. « Non mais pourquoi tu me suis ? Arrête de me coller comme ça, tu peux plus te passer de moi ou quoi ? Retourne à table, j'en peux plus de voir ton visage en face du mien, il m'horripile ». Je lance quelques regards derrière son épaule pour m'assurer qu'ils aient pu entendre mes paroles. « ça va ? Je ne t'ai pas trop blessé j'espère ? Je t'avoue que les mots sont sortis seuls et que j'ai eu quelques difficultés à les contrôler, donc j'espère que tu ne les as pas pris pour toi personnellement », je préfère m'assurer qu'elle n'ait pas pris trop mes mots à cœur, malgré ma froideur de tout à l'heure.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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Re: The battle for the peace [Feat. Aliyyah] | Mar 2 Aoû 2016 - 21:09 Citer EditerSupprimer
Je suis contente qu’on soit sortie. Il y a un stade dans nos disputes où ça devient compliqué de rester sérieux, surtout quand on voit la gueule que tirent les autres, ou bien de ne pas vraiment s’emporter, parce que nos paroles sont d’une telle violence que ça peut facilement arriver. Alors sortir me permet de prendre l’air, de reprendre le plein contrôle sur mes émotions, sur ma colère comme sur l’amusement qui m’anime. C’est fou qu’avec Moyeon, ces deux sentiments presque parfaitement opposés arrivent à exister ensemble. C’est la particularité de notre relation. Une fois dehors, je prends le temps de respirer pour me calmer et je tends l’oreille. Rien, c’est le silence le plus total dans la salle à manger. Moyeon a raison, nos propos ont eu le don de les calmer immédiatement. Mais on sait aussi que ce n’est pas suffisant pour les calmer jusqu’à la fin du repas, on sait qu’ils vont commencer à chuchoter entre eux pour parler de notre dispute puis que le ton va de nouveau monter jusqu’à ce que ce ne soit plus supportable pour nous deux. On les connait par cœur à force. Mieux qu’eux ils nous connaissent en tout cas, parce que si c’était le cas, ils auraient compris depuis longtemps ce qui se passe réellement entre ma camarade et moi. C’est presque décevant de la part de certains de savoir qu’ils n’ont rien vu, qu’ils n’ont rien compris. Mais ça rend le jeu encore plus excitant. Puis faut croire que nous sommes vraiment de bonnes actrices. Je capte le clin d’œil de Moyeon et je lui réponds par un petit sourire en coin, avant de reprendre mon visage colérique en me décalant légèrement pour que les sangos m’aient en visio de l’intérieur. « Tout le monde peut se passer de toi. En fait, le monde pourrait se passer de toi tout court. » je rigole méchamment. « Tu supportes plus ma beauté ? C’est pas beau la jalousie, mais bon, quand je vois le tien… Je ne peux que comprendre. » je rigole encore plus fort en venant lui mettre une petit tape sur la joue de façon totalement arrogante. C’est le genre de truc que je ne dis jamais, c’est même le genre de truc que je ne pense jamais. Ça doit en étonner plus d’un à l’intérieur de m’entendre dire ça. Et d’autres vont se faire de fausses idées sur moi, mais quelque part, je m’en fiche et ça m’arrange. « Ça fait mal à l’orgueil mais je m’en remettrai. » je pose ma main dramatiquement sur mon cœur avant de lui faire un plein d’œil. « Ah et désolée, j’ai dit des trucs vraiment pas sympas. Et comme faut pas qu’on s’arrête si on veut avoir la paix jusqu’à ce soir, je vais devoir continuer. Accroches-toi bien ! ». Bientôt, mon main vient pousser son épaule. Je le cherche, je la cherche et je vais vite la trouver.
ft. Aliyyah & Mo Yeon
The battle for the peace
Je suis contente qu’on soit sortie. Il y a un stade dans nos disputes où ça devient compliqué de rester sérieux, surtout quand on voit la gueule que tirent les autres, ou bien de ne pas vraiment s’emporter, parce que nos paroles sont d’une telle violence que ça peut facilement arriver. Alors sortir me permet de prendre l’air, de reprendre le plein contrôle sur mes émotions, sur ma colère comme sur l’amusement qui m’anime. C’est fou qu’avec Moyeon, ces deux sentiments presque parfaitement opposés arrivent à exister ensemble. C’est la particularité de notre relation. Une fois dehors, je prends le temps de respirer pour me calmer et je tends l’oreille. Rien, c’est le silence le plus total dans la salle à manger. Moyeon a raison, nos propos ont eu le don de les calmer immédiatement. Mais on sait aussi que ce n’est pas suffisant pour les calmer jusqu’à la fin du repas, on sait qu’ils vont commencer à chuchoter entre eux pour parler de notre dispute puis que le ton va de nouveau monter jusqu’à ce que ce ne soit plus supportable pour nous deux. On les connait par cœur à force. Mieux qu’eux ils nous connaissent en tout cas, parce que si c’était le cas, ils auraient compris depuis longtemps ce qui se passe réellement entre ma camarade et moi. C’est presque décevant de la part de certains de savoir qu’ils n’ont rien vu, qu’ils n’ont rien compris. Mais ça rend le jeu encore plus excitant. Puis faut croire que nous sommes vraiment de bonnes actrices. Je capte le clin d’œil de Moyeon et je lui réponds par un petit sourire en coin, avant de reprendre mon visage colérique en me décalant légèrement pour que les sangos m’aient en visio de l’intérieur. « Tout le monde peut se passer de toi. En fait, le monde pourrait se passer de toi tout court. » je rigole méchamment. « Tu supportes plus ma beauté ? C’est pas beau la jalousie, mais bon, quand je vois le tien… Je ne peux que comprendre. » je rigole encore plus fort en venant lui mettre une petit tape sur la joue de façon totalement arrogante. C’est le genre de truc que je ne dis jamais, c’est même le genre de truc que je ne pense jamais. Ça doit en étonner plus d’un à l’intérieur de m’entendre dire ça. Et d’autres vont se faire de fausses idées sur moi, mais quelque part, je m’en fiche et ça m’arrange. « Ça fait mal à l’orgueil mais je m’en remettrai. » je pose ma main dramatiquement sur mon cœur avant de lui faire un plein d’œil. « Ah et désolée, j’ai dit des trucs vraiment pas sympas. Et comme faut pas qu’on s’arrête si on veut avoir la paix jusqu’à ce soir, je vais devoir continuer. Accroches-toi bien ! ». Bientôt, mon main vient pousser son épaule. Je le cherche, je la cherche et je vais vite la trouver.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
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