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SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine
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SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 16:19 Citer EditerSupprimer
nom : Seo prénom : Na Young âge : 21 ans date et lieu de naissance : le 27 novembre 1994, à Séoul origine : coréenne nationalité : sud coréenne cursus universitaire : quatrième année d'économie, B4 métier : serveuse dans le restaurant de son père et traductrice de dramas orientation sexuelle : hétérosexuelle classe sociale : moyenne, plutôt dans la tranche basse code du règlement : ok (neir.) tu veux t'investir ? jamais sans mes bb sharks
Seo Na Young
We didn't realize we were making memories
we just knew we were having fun
we just knew we were having fun
DYNAMIQUE (★★★★✰) | CAPRICIEUSE (★★★✰✰) | SPONTANÉE (★★★★✰) | IMPRUDENTE (★★★★✰) | PASSIONNÉE (★★★★★) |
DÉSINVOLTE (★★★✰✰) | LOYALE (★★★★★) | TÊTE EN L'AIR (★★★★✰) | FONCEUSE (★★★★✰) | BORNÉE (★★★★✰) |
Rumour has it... Paraît que son père c’était le bras droit du CEO-Samsung Que si son père a été viré il y a 15 ans, c’est pour avoir trahi la firme coréenne Que c’est une vraie sauvage, on l’aurait vu enchaîner des prises dignes des plus grands maîtres Qu’elle est super douée aux fourneaux Que sa mère s’est barrée avec un riche homme d’affaire japonais sans donner de nouvelles Qu’elle a triché au Suneung, tu parles c’est impossible qu’elle l’ait eu avec des notes pareilles Que c'est un vrai panier percé Survole l'avatar, petit coquin. | My character |
This is my story
citation de ton choix
Née à Séoul au sein d’une famille haut placée dans l’économie coréenne, Na Young était promise à une vie résolument élitiste dès son plus jeune âge – si seulement le destin n’en avait pas décidé autrement.
A cette époque, la petite ne voyait quasiment jamais son père et sa mère s’occupait si rarement d’elle. A la maison, c’était papa qui ramenait l’argent et maman qui le dépensait. Un système franchement archaïque mais qui s’était imposé de lui-même tant monsieur était un perfectionniste dans l’âme et travailleur acharné, alors que madame se plaisait uniquement à montrer son statut social à ses amies. Pourtant la famille fonctionnait très bien sur ce modèle et donnait tant l’image que le véritable contenu d’une petite famille bien dans ses baskets. A peine cinq ans et la petite Na Young avait un emploi du temps aussi chargé que celui de son père. Entre les cours de piano pour l’éveil musical, les après-midi poney pour prendre le grand air et la danse pour travailler la grâce, elle n’avait pas une seule seconde à elle ; le culte de l’enfant prodige était l’obsession démesurée de sa mère qui ne cessait de rivaliser en compétitivité avec les autres parents. Mais voilà sa fille avait beau vivre dans un milieu où la perfection est de rigueur, elle n’avait justement pas la rigueur, l’automatisme et la placidité des autres gamins. C’était une véritable tornade qui ne répondait qu’à l’appel du vent, un esprit libre, une âme sauvage dans son pur jus. C’est cette attitude qui exaspérait beaucoup sa mère mais qui faisait tant rire son père, car même si elle ne le voyait pas beaucoup, Na Young se sentait déjà très proche de lui. Et dès qu’il rentrait à la maison, elle glissait hors de son lit, échappait aux bras ravisseurs du personnel de maison et lui sautait dessus pour aller toucher très haut le plafond.
Le père de Na Young n’avait rien du riche héritier, issu d’un milieu plus que modeste il s’était rapidement illustré dans le top de sa promotion et ayant fait de bonnes rencontres à l’université, rapidement après ses études il avait intégré le réseau professionnel de la fierté nationale, l’entreprise Samsung. Et lié d’une forte amitié avec le successeur au titre de CEO, il en devint rapidement le bras droit. Un homme droit, intègre, loyal et impliqué dans son travail comme on en fait peu. Il épousa rapidement une sublime créature qui devint quelques années plus tard la mère de sa fille. Il bossait si dur pour ne pas décevoir sa famille et pour offrir à sa femme et sa fille le meilleur. Et il ne loupait jamais une occasion de passer du temps avec sa petite Na Young, lui trouvant toujours un instant dans son planning pour l’emmener déjeuner, la regarder jouer au parc ou assister à ses spectacles de fin d’année.
Mais l’ambiance au travail était de plus en plus tendu et poussé à un surplus d’effort, le père de Na Young éleva rapidement la voix contre quelques désagréments qui le contrariaient dans la politique de l’entreprise. Et voyant que rien ne changeait, que son avis n’était plus pris en compte et que les méthodes de travail ne lui convenaient plus après avoir frôlé un burn-out qui aurait pu être catastrophique, il remit sa lettre de démission à la société. A partir de là, tout s’enchaîna rapidement car la direction de Samsung craignait que son ancien allié ne devienne une menace pour sa réputation, ses secrets et son business. Il n’avait pourtant l’intention de rien dévoiler, tout ce qu’il voulait c’était recommencer une nouvelle vie en se trouvant un nouvel emploi. Mais la firme s’arrangea pour le discréditer aux yeux de tous, lui faisant porter le chapeau pour de nombreuses zones d’ombre et allant même jusqu’à clamer son licenciement pour trahison. C’est à partir de cet instant que la vie de la famille Seo bascula dans une toute autre dimension ; ils n’avaient plus rien.
L’heure était à la crise dans la famille et ce n’était pas seulement une crise de moyen, c’était aussi une crise de couple. La mère de Na Young se plaignait d’être la risée de son groupe, elle disait se sentir humiliée et blâmait sans cesse son mari d’avoir quitté l’entreprise et de s’en être attiré les foudres. Elle estimait qu’il aurait du faire ce qu’il avait toujours su faire, travailler sans poser de problèmes. Et elle vivait très mal cette baisse de revenus, ce quasi trou dans les dépenses et la nouvelle lubie de son époux d’ouvrir son propre restaurant. Les crises de couple étaient fréquentes et Na Young y assistait souvent car sa mère ne prenait même pas la peine de faire attention à elle lorsqu’elle criblait son mari de reproches. Elle se souciait plus de l’argent et de son standing de vie que du reste ; du moins c’est ce que les gens dans le quartier racontaient. Alors un matin, personne ne s’étonna d’apprendre qu’elle avait plié bagage pour une nouvelle vie, laissant derrière elle son couple, sa famille. Elle ne répondit à aucun message et ne donna aucune nouvelle. La rumeur courait partout qu’elle s’était entichée d’un riche homme d’affaire japonais qu’elle avait décidé de suivre mais Na Young ne voulait pas y croire. Elle était bien la seule personne sur cette Terre qui criait à l’innocence de sa mère, à son retour, à son amour. Mais elle ne revint jamais.
Les années passèrent et le restaurant familial rapportait enfin ses premiers profits. Seo Dae Jung y avait investi toutes ses économies et si le chemin à parcourir ne fut pas facile, il était fier d’avoir pu réaliser son rêve de gosse. Lui qui n’avait plus cuisiné depuis la fac se faisait une joie de reprendre une activité derrière les fourneaux, certains disaient même qu’il faisait les meilleures jjajangmyeon du quartier. Et Na Young qui avait toujours soutenu son père jusqu’ici ne rechignait jamais à l’aider en cuisine et en salle – enfin bien sûr qu’elle se plaignait mais en fait elle n’avait pas vraiment le choix. Combien de fois est-ce qu’elle avait refusé de l’aide à son père en prétextant un test super important le lendemain, et quand son père passait pour lui déposer un bol de soupe dans sa chambre, il la trouvait scotchée devant un drama ou pleurant toutes les larmes de son corps devant le DVD d’un live de ses oppas ! Elle se les ait tellement fait tiré ses oreilles, Na Young, que c’est étonnant qu’elles aient encore une taille et une forme normale ! Mais elle est comme ça Na Young : un esprit fort et un kokoro tout faible.
Na Young n’a jamais été une fille très responsable même si elle a toujours eu suffisamment de ressources et d’acharnement pour se sortir de toutes les situations dans lesquelles elle a le talent pour se fourrer. Mais depuis qu’elle est à l’université, elle s’est imposée un rythme de travail afin de ne pas engendrer de dépenses supplémentaires à son père, qui a tenu à financer l’intégralité de ses études à la Yonsei. Faut dire que c’était pas gagné l’avenir universitaire pour Na Young et vu ses résultats scolaires son père n’y croyait plus. Heureusement grâce à de nombreux et d’intensifs cours du soir – elle en pleure encore – ses résultats au Suneung étaient raisonnablement bons pour prétendre à intégrer un dortoir à Digital City.
Mais Na Young reste Na Young, et les priorités elle connaît toujours pas trop
A cette époque, la petite ne voyait quasiment jamais son père et sa mère s’occupait si rarement d’elle. A la maison, c’était papa qui ramenait l’argent et maman qui le dépensait. Un système franchement archaïque mais qui s’était imposé de lui-même tant monsieur était un perfectionniste dans l’âme et travailleur acharné, alors que madame se plaisait uniquement à montrer son statut social à ses amies. Pourtant la famille fonctionnait très bien sur ce modèle et donnait tant l’image que le véritable contenu d’une petite famille bien dans ses baskets. A peine cinq ans et la petite Na Young avait un emploi du temps aussi chargé que celui de son père. Entre les cours de piano pour l’éveil musical, les après-midi poney pour prendre le grand air et la danse pour travailler la grâce, elle n’avait pas une seule seconde à elle ; le culte de l’enfant prodige était l’obsession démesurée de sa mère qui ne cessait de rivaliser en compétitivité avec les autres parents. Mais voilà sa fille avait beau vivre dans un milieu où la perfection est de rigueur, elle n’avait justement pas la rigueur, l’automatisme et la placidité des autres gamins. C’était une véritable tornade qui ne répondait qu’à l’appel du vent, un esprit libre, une âme sauvage dans son pur jus. C’est cette attitude qui exaspérait beaucoup sa mère mais qui faisait tant rire son père, car même si elle ne le voyait pas beaucoup, Na Young se sentait déjà très proche de lui. Et dès qu’il rentrait à la maison, elle glissait hors de son lit, échappait aux bras ravisseurs du personnel de maison et lui sautait dessus pour aller toucher très haut le plafond.
Le père de Na Young n’avait rien du riche héritier, issu d’un milieu plus que modeste il s’était rapidement illustré dans le top de sa promotion et ayant fait de bonnes rencontres à l’université, rapidement après ses études il avait intégré le réseau professionnel de la fierté nationale, l’entreprise Samsung. Et lié d’une forte amitié avec le successeur au titre de CEO, il en devint rapidement le bras droit. Un homme droit, intègre, loyal et impliqué dans son travail comme on en fait peu. Il épousa rapidement une sublime créature qui devint quelques années plus tard la mère de sa fille. Il bossait si dur pour ne pas décevoir sa famille et pour offrir à sa femme et sa fille le meilleur. Et il ne loupait jamais une occasion de passer du temps avec sa petite Na Young, lui trouvant toujours un instant dans son planning pour l’emmener déjeuner, la regarder jouer au parc ou assister à ses spectacles de fin d’année.
Mais l’ambiance au travail était de plus en plus tendu et poussé à un surplus d’effort, le père de Na Young éleva rapidement la voix contre quelques désagréments qui le contrariaient dans la politique de l’entreprise. Et voyant que rien ne changeait, que son avis n’était plus pris en compte et que les méthodes de travail ne lui convenaient plus après avoir frôlé un burn-out qui aurait pu être catastrophique, il remit sa lettre de démission à la société. A partir de là, tout s’enchaîna rapidement car la direction de Samsung craignait que son ancien allié ne devienne une menace pour sa réputation, ses secrets et son business. Il n’avait pourtant l’intention de rien dévoiler, tout ce qu’il voulait c’était recommencer une nouvelle vie en se trouvant un nouvel emploi. Mais la firme s’arrangea pour le discréditer aux yeux de tous, lui faisant porter le chapeau pour de nombreuses zones d’ombre et allant même jusqu’à clamer son licenciement pour trahison. C’est à partir de cet instant que la vie de la famille Seo bascula dans une toute autre dimension ; ils n’avaient plus rien.
L’heure était à la crise dans la famille et ce n’était pas seulement une crise de moyen, c’était aussi une crise de couple. La mère de Na Young se plaignait d’être la risée de son groupe, elle disait se sentir humiliée et blâmait sans cesse son mari d’avoir quitté l’entreprise et de s’en être attiré les foudres. Elle estimait qu’il aurait du faire ce qu’il avait toujours su faire, travailler sans poser de problèmes. Et elle vivait très mal cette baisse de revenus, ce quasi trou dans les dépenses et la nouvelle lubie de son époux d’ouvrir son propre restaurant. Les crises de couple étaient fréquentes et Na Young y assistait souvent car sa mère ne prenait même pas la peine de faire attention à elle lorsqu’elle criblait son mari de reproches. Elle se souciait plus de l’argent et de son standing de vie que du reste ; du moins c’est ce que les gens dans le quartier racontaient. Alors un matin, personne ne s’étonna d’apprendre qu’elle avait plié bagage pour une nouvelle vie, laissant derrière elle son couple, sa famille. Elle ne répondit à aucun message et ne donna aucune nouvelle. La rumeur courait partout qu’elle s’était entichée d’un riche homme d’affaire japonais qu’elle avait décidé de suivre mais Na Young ne voulait pas y croire. Elle était bien la seule personne sur cette Terre qui criait à l’innocence de sa mère, à son retour, à son amour. Mais elle ne revint jamais.
Les années passèrent et le restaurant familial rapportait enfin ses premiers profits. Seo Dae Jung y avait investi toutes ses économies et si le chemin à parcourir ne fut pas facile, il était fier d’avoir pu réaliser son rêve de gosse. Lui qui n’avait plus cuisiné depuis la fac se faisait une joie de reprendre une activité derrière les fourneaux, certains disaient même qu’il faisait les meilleures jjajangmyeon du quartier. Et Na Young qui avait toujours soutenu son père jusqu’ici ne rechignait jamais à l’aider en cuisine et en salle – enfin bien sûr qu’elle se plaignait mais en fait elle n’avait pas vraiment le choix. Combien de fois est-ce qu’elle avait refusé de l’aide à son père en prétextant un test super important le lendemain, et quand son père passait pour lui déposer un bol de soupe dans sa chambre, il la trouvait scotchée devant un drama ou pleurant toutes les larmes de son corps devant le DVD d’un live de ses oppas ! Elle se les ait tellement fait tiré ses oreilles, Na Young, que c’est étonnant qu’elles aient encore une taille et une forme normale ! Mais elle est comme ça Na Young : un esprit fort et un kokoro tout faible.
Na Young n’a jamais été une fille très responsable même si elle a toujours eu suffisamment de ressources et d’acharnement pour se sortir de toutes les situations dans lesquelles elle a le talent pour se fourrer. Mais depuis qu’elle est à l’université, elle s’est imposée un rythme de travail afin de ne pas engendrer de dépenses supplémentaires à son père, qui a tenu à financer l’intégralité de ses études à la Yonsei. Faut dire que c’était pas gagné l’avenir universitaire pour Na Young et vu ses résultats scolaires son père n’y croyait plus. Heureusement grâce à de nombreux et d’intensifs cours du soir – elle en pleure encore – ses résultats au Suneung étaient raisonnablement bons pour prétendre à intégrer un dortoir à Digital City.
Mais Na Young reste Na Young, et les priorités elle connaît toujours pas trop
About me
Je suis...
Fluttershy
Je suis pas faible, c'est juste Eunji qui est trop belle et qui m'appelait depuis un petit moment déjà
RE LES COPAINS
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Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u889][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>JUNG EUN JI (A-PINK)</upper></taken> ✎ <lower>seo na young</lower>
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 16:20 Citer EditerSupprimer
RE JOLIE COEUR
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 16:48 Citer EditerSupprimer
Comme t'es belle ma poulette
Ravie de te revoir avec cette jolie frimousse
(http://onehallyu.com/topic/315785-eunji-mimi-look-a-like-apink-oh-my-girl/
Tu trouves pas qu'on se ressemble d'ailleurs ? )
Bon courage pour la suite de ta fiche
Ravie de te revoir avec cette jolie frimousse
(http://onehallyu.com/topic/315785-eunji-mimi-look-a-like-apink-oh-my-girl/
Tu trouves pas qu'on se ressemble d'ailleurs ? )
Bon courage pour la suite de ta fiche
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 17:14 Citer EditerSupprimer
rebienvenue avec la jolie eunji ♥
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 18:37 Citer EditerSupprimer
Re-bienvenue, courage pour ta fiche !
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 18:46 Citer EditerSupprimer
omg fuuko ton lien m'a trop perturbée, la ressemblance stp :bago:
sinon rebienvenue, bon courage pour ta fiche
sinon rebienvenue, bon courage pour ta fiche
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 19:34 Citer EditerSupprimer
MERCI A TOUS
Ohlala Fufuu, c'est vrai qu'elles ont un petit air de ressemblance avec la frange
On ira jouer de mauvais tours, prépare-toi
Ohlala Fufuu, c'est vrai qu'elles ont un petit air de ressemblance avec la frange
On ira jouer de mauvais tours, prépare-toi
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 20:11 Citer EditerSupprimer
TU SAIS CE QUE JE PENSE AUSSI
T'es PERFECTION avec EUNJI quoi, you know all about my love for her !
jetepréfèresouscetteforme
sur ce REBIENVENUE copine de dramas (tmtc)
T'es PERFECTION avec EUNJI quoi, you know all about my love for her !
sur ce REBIENVENUE copine de dramas (tmtc)
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Sam 2 Juil - 21:10 Citer EditerSupprimer
Eunji chérie
Recoucou par ici
Bon courage pour ta fiche
Recoucou par ici
Bon courage pour ta fiche
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Re: SEO NA YOUNG ☆ i can give a headache to an aspirine | Dim 3 Juil - 13:17 Citer EditerSupprimer
COME ON, I DON'T EVEN KNOW
T'AS PRIS EUNJI ! C'est trop l'amour qui déborde soudainement là
C'est officiel, toi et moi, on va s'aimer (Sur une étoile ou sur un oreiller, au fond d'un train ou dans un vieux grenier )
Re-bienvenue bella donna Et courage pour la suite !
COME ON, I DON'T EVEN KNOW
T'AS PRIS EUNJI ! C'est trop l'amour qui déborde soudainement là
C'est officiel, toi et moi, on va s'aimer (Sur une étoile ou sur un oreiller, au fond d'un train ou dans un vieux grenier )
Re-bienvenue bella donna Et courage pour la suite !
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