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kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end
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kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Dim 24 Aoû - 3:09 Citer EditerSupprimer
▲▼LEE CHAERIN ( CL, 2NE1 ) ✎ kyôdo perséphone
Kyôdo Perséphone
i fade to black
#ATTACHANTE | #INSENSIBLE | #DISCRÈTE | #FRANCHE | #SILENCIEUSE |
#CURIEUSE | #EGOISTE | #DÉTACHÉE | #DÉPENDANTE | #RÊVEUSE |
NOM : son vrai nom est Katô. PRÉNOM : Perséphone depuis trois ans, mais, en réalité, Sora, comme le ciel. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 20 ans, 022694. ORIGINES : Japonaise. NATIONALITÉ : Japonaise. CLASSE SOCIALE : aisée. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. CURSUS UNIVERSITAIRE : 3e année arts du spectacle mention audiovisuel. MÉTIER : égérie de Heartless Diva. Code du règlement : auto validation.
TU VEUX T'INVESTIR? : DC - Gumiho
“ Rumour has it : il paraît que c'est une trainée (f) + on dit qu'elle a déjà tué à sang froid (v) + on dit qu'elle est bègue (f) + on dit que c'est l'ex à Shûji (v) + paraît que c'est une ancienne hostess (v) + paraît qu'elle a aucun sens de la mode, enfin, maintenant si, à force d'avoir Shûji sur le dos (v) + il paraît qu'elle a tué sa mère (f) + on dit que sa famille l'a foutue à la porte (f)
TU VEUX T'INVESTIR? : DC - Gumiho
“ Rumour has it : il paraît que c'est une trainée (f) + on dit qu'elle a déjà tué à sang froid (v) + on dit qu'elle est bègue (f) + on dit que c'est l'ex à Shûji (v) + paraît que c'est une ancienne hostess (v) + paraît qu'elle a aucun sens de la mode, enfin, maintenant si, à force d'avoir Shûji sur le dos (v) + il paraît qu'elle a tué sa mère (f) + on dit que sa famille l'a foutue à la porte (f)
“ Caractère :
La blonde rentra dans sa chambre, se regardant dans l’énorme miroir du dressing, Sora voyait une jeune femme, d'un peu plus d'un mètre soixante, peut-être un mètre soixante trois précisément, oui, à peu près ça. Elle en tirait les grands traits de son anatomie, brune, les racines la trahissaient, aux cheveux longs et teints, une peau fine et sans imperfections, pâle, mais qui bronzait vite. Elle remarquait de jolies rondeurs, elle n'était pas grosse, mais pas non plus maigre. Ensuite elle prit le temps de détailler son visage. Des lèvres pulpeuses, un nez adorable, des yeux d'un noir troublant. Mais très bridés, elle se disait qu’ils étaient peut-être trop petits aussi…
Elle ôta ses habits devant son miroir, les rangeant dans son armoire où pas une seule jupe s'y trouvait; passant ses doigts sur le tatouage se trouvant le long de ses côtes gauches. Il était noir, prenant source sous son sein et finissant à sa hanche. Il était symbole de sa vie sous-terraine. Perséphone en avait un autre, sur le milieu de sa cuisse droite, toute une phrase écrite autour de son membre, dont on pouvait voir son nom écrit en kanji, et celui de son frère. C'était tout ce qui était visible de son corps, les cicatrices physiques étaient désormais disparues, mais celles de l'âme disparaîtraient-elles un jour?
Perséphone est la méfiance incarnée, une femme aux mille visages, que l'on ne finit jamais de découvrir. Elle n'a pas de coeur, pas de pitié, mais pas de haine non plus. Enfin, peut-être son état de haine est constant, indissociable de sa personne, à tel point que c'est une partie intégrale d'elle-même. Elle n'a jamais connu l'amour, alors comment pourrait-elle tomber amoureuse? Quand elle s'habille, se réveille, marche ou respire, Sephie n'est qu'un bloc de glace, incapable de se libérer de cette carapace qu'elle a forgé. Entre formatage et souffrance, la brune ne sait jamais si faire confiance ou pas. Elle a peur du contact avec hommes ou femmes, même si elle travaillait dans un Host Club. Enfin, ce n'est pas réellement de la peur, plus maintenant; c'est une sorte de méfiance, de fascination, d’incompréhension envers ses semblables. La jeune cherche à comprendre l'être humain plus qu'à le connaître, et ainsi, même si elle n'est pas surdouée, elle a acquis une capacité extraordinaire à les contrôler, à les manipuler, et les amadouer.
Peu sont les personnes qui font partie de sa liste d'amis pour ainsi dire, pour ceux-là Kyôdo fait des efforts, ou du moins essaye. Leur parler, se confier à eux est pour elle une tâche difficile vu qu'elle parle peu. Perséphone est quelqu'un qui évite de parler pour ne rien dire, à moins d'être réellement à l'aise. En cas contraire, elle n'ouvrira sa gueule que pour être franche, pour dire les choses comme elles sont. C'est une jeune femme aussi hypocrite que franche. Bizarre n'est-ce pas?
En somme, Perséphone est très difficile à cerner, encore plus à dompter. Qui sait, peut-être que l'amour la sauvera de cette vie de misère? Enfin, encore faudrait-il qu'on lui achète, qu'on lui offre, ou on lui forge un coeur.
Elle ôta ses habits devant son miroir, les rangeant dans son armoire où pas une seule jupe s'y trouvait; passant ses doigts sur le tatouage se trouvant le long de ses côtes gauches. Il était noir, prenant source sous son sein et finissant à sa hanche. Il était symbole de sa vie sous-terraine. Perséphone en avait un autre, sur le milieu de sa cuisse droite, toute une phrase écrite autour de son membre, dont on pouvait voir son nom écrit en kanji, et celui de son frère. C'était tout ce qui était visible de son corps, les cicatrices physiques étaient désormais disparues, mais celles de l'âme disparaîtraient-elles un jour?
Perséphone est la méfiance incarnée, une femme aux mille visages, que l'on ne finit jamais de découvrir. Elle n'a pas de coeur, pas de pitié, mais pas de haine non plus. Enfin, peut-être son état de haine est constant, indissociable de sa personne, à tel point que c'est une partie intégrale d'elle-même. Elle n'a jamais connu l'amour, alors comment pourrait-elle tomber amoureuse? Quand elle s'habille, se réveille, marche ou respire, Sephie n'est qu'un bloc de glace, incapable de se libérer de cette carapace qu'elle a forgé. Entre formatage et souffrance, la brune ne sait jamais si faire confiance ou pas. Elle a peur du contact avec hommes ou femmes, même si elle travaillait dans un Host Club. Enfin, ce n'est pas réellement de la peur, plus maintenant; c'est une sorte de méfiance, de fascination, d’incompréhension envers ses semblables. La jeune cherche à comprendre l'être humain plus qu'à le connaître, et ainsi, même si elle n'est pas surdouée, elle a acquis une capacité extraordinaire à les contrôler, à les manipuler, et les amadouer.
Peu sont les personnes qui font partie de sa liste d'amis pour ainsi dire, pour ceux-là Kyôdo fait des efforts, ou du moins essaye. Leur parler, se confier à eux est pour elle une tâche difficile vu qu'elle parle peu. Perséphone est quelqu'un qui évite de parler pour ne rien dire, à moins d'être réellement à l'aise. En cas contraire, elle n'ouvrira sa gueule que pour être franche, pour dire les choses comme elles sont. C'est une jeune femme aussi hypocrite que franche. Bizarre n'est-ce pas?
En somme, Perséphone est très difficile à cerner, encore plus à dompter. Qui sait, peut-être que l'amour la sauvera de cette vie de misère? Enfin, encore faudrait-il qu'on lui achète, qu'on lui offre, ou on lui forge un coeur.
“ Once upon a time :
Lorsque Persephone essaie de revivre son passé, tout devient noir, et flou, et étrange, et à trous. Il lui manque des morceaux, des visages sont manquants, des paroles aussi : ses repères ont disparus.
Katô Shôtaro et sa femme Kanna ne peuvent être plus heureux. Heureux, au plus pur style de la mafia Japonaise. Tokyo est leur terrain de jeu, de bataille, de conquête. Leur fils Sôji sera un jour héritier de tout ce que le clan Katô possède, et le pouvoir qu’il a gagné jusque là, commence à leur poser problème. Sôji est un enfant heureux aussi, il est conscient de son statut, de ce qu’il se passe autour de lui, mais surtout, il est au courant qu’il va avoir une petite sœur, dont il a choisi le prénom : il va avoir une sœur qui s’appellera comme la chose la plus pure qu’il voit au quotidien, le ciel, Sora.
Seulement, venir au monde au milieu de l’apocalypse n’est peut-être pas le meilleur des choix. Une nuit de dure lutte entre clans, Kanna sent sa fille arriver. Les voies jusque l’hôpital sont barrées, les éventuelles échappatoires surveillées. Katô Kanna entend Sora pleurer, elle prononce ce doux prénom une seule fois. Sora est enfant de la mort. Sôji et Sora n’ont désormais plus de mère.
La vie des deux enfants ne devient que plus dure. Le chef de clan a trouvé coupable à la mort de sa tendre épouse, et, pour que ledit coupable ne soit pas Sora, il évite de lui parler, il évite d’être trop proche de sa fille, parce qu’elle ressemble beaucoup trop à sa défunte mère. La petite fille est alors entraînée comme tout autre garçon, elle suit le même formatage à la tradition yakuza que n’importe quelle autre petite recrue. Comme un garçon. Petite, Sora est quelqu’un de peureux, de maladroit, qui n’est jamais à la hauteur des tâches qu’on lui demande. Elle a tendance à se cacher derrière Sôji, à se laisser câliner par lui, à être protégée par lui. Dans un monde de brutes et d’armes, rares sont les femmes qui y ont une réelle place.
Adolescence. Sora commence à devenir une belle jeune femme, et soudainement, son entrainement change. On ne lui apprend plus l’auto défense mais plutôt le maniement d’armes blanches et à feu. On ne la fait plus sortir récupérer l’argent que l’on doit au clan mais on lui apprend à servir, danser, et séduire. Sora sera une hostess, Sora deviendra quelqu’un de grand dans ce domaine là, c’était décidé, les aînés l’avaient décidé. Sora est quelqu’un de cultivé et intelligent, mais, c’est aussi quelqu’un sans âme qui obéit sans réfléchir. Tant d’années à subir des cris et des obligations ont eu raison d’elle, elle est un automate, un pantin que l’on transforme pour qu’elle ne ressemble pas à la femme qui l’a mise au monde. L’amour peut rendre fou paraît-il, à tel point qu’il peut tuer.
Sora vit au jour le jour. Elle ne connaît plus son hier, mais, Sôji lui rappelle toujours qu’il y a un sens au lendemain. La jeune femme vient tout juste de fêter quinze ans. Sôji en a dix neuf. Sôji a réussi à libérer sa petite sœur pour une nuit, pour qu’ils passent du temps tous les deux. Sora devient humaine quand elle est avec lui, elle sourit, elle rit, elle respire. Il paraît que dans le monde de la mafia il faut toujours être sur ses gardes, surtout quand on est l’héritier d’un clan si envié. Entre deux bières et quelques coups de feu, Sora sera enlevée, retenue prisonière, et Sôji disparu.
Kyôdo Persephone est l’identité que Katô Shôtaro a façonnée à sa fille lorsqu’il réussit à la retrouver, dix mois, une semaine et trois jours plus tard. Sora est meurtrie, Sora a vu des atrocités, Sora a subi et encaissé un calvaire inimaginable. Le père est pris de remords. Le père aimerait tout recommencer. Il garde sa fille à ses côtés jusqu’à ce que celle-ci puisse vivre seule. Elle réapprend à parler, à manger, à supporter le regard d'autrui. Sôji lui manque, terriblement, elle en rêve, elle a parfois l'impression de le voir, de l'entendre... Elle a l'impression de devenir folle. Elle le pense mort, son père le pense mort. Le clan Katô le pense mort.
Persephone est une façade, un personnage, une personne créée de toute pièce pour que Sora puisse continuer de vivre. Persephone est forte, elle garde le contact avec son père, elle réalise les envies et les rêves que Sora imagine. Persephone est une étudiante pas comme les autres, une étudiante asociale mais qui excelle tant en classe comme sur scène, parce qu'elle y joue un rôle, et qui aime prendre des clichés d'un univers sombre. Une étudiante qui préfère avoir ses cours l'après midi car dort le matin, et pleure la nuit, se déplace en moto, passant son temps libre collée à des gens qu'elle ne connaît guère, accrochée à son appareil photo. Une étudiante qui vend sa voix à tout celui qui veut l'entendre, une voix fantastique et hypnotisante d'une nature rare , qui amuse ses "frères" . Une étudiante tatouée avec des symboles qu'elle respecte, mais qui ne doivent pas être vus.
Sora recommence à vivre, un jour peut-être se montrera-t-elle aux yeux de tous, telle qu’elle est. Mais en attendant, Persephone prend très bien les commandes, et les gère très bien. Combien de fois l’a-t-on qualifiée d’étrange, de surhumaine, de monstre de par cette reconstruction ? Une multitude. Cela dit, est-ce que l’on naît monstre, ou est-ce qu’on le devient ?
Katô Shôtaro et sa femme Kanna ne peuvent être plus heureux. Heureux, au plus pur style de la mafia Japonaise. Tokyo est leur terrain de jeu, de bataille, de conquête. Leur fils Sôji sera un jour héritier de tout ce que le clan Katô possède, et le pouvoir qu’il a gagné jusque là, commence à leur poser problème. Sôji est un enfant heureux aussi, il est conscient de son statut, de ce qu’il se passe autour de lui, mais surtout, il est au courant qu’il va avoir une petite sœur, dont il a choisi le prénom : il va avoir une sœur qui s’appellera comme la chose la plus pure qu’il voit au quotidien, le ciel, Sora.
Seulement, venir au monde au milieu de l’apocalypse n’est peut-être pas le meilleur des choix. Une nuit de dure lutte entre clans, Kanna sent sa fille arriver. Les voies jusque l’hôpital sont barrées, les éventuelles échappatoires surveillées. Katô Kanna entend Sora pleurer, elle prononce ce doux prénom une seule fois. Sora est enfant de la mort. Sôji et Sora n’ont désormais plus de mère.
La vie des deux enfants ne devient que plus dure. Le chef de clan a trouvé coupable à la mort de sa tendre épouse, et, pour que ledit coupable ne soit pas Sora, il évite de lui parler, il évite d’être trop proche de sa fille, parce qu’elle ressemble beaucoup trop à sa défunte mère. La petite fille est alors entraînée comme tout autre garçon, elle suit le même formatage à la tradition yakuza que n’importe quelle autre petite recrue. Comme un garçon. Petite, Sora est quelqu’un de peureux, de maladroit, qui n’est jamais à la hauteur des tâches qu’on lui demande. Elle a tendance à se cacher derrière Sôji, à se laisser câliner par lui, à être protégée par lui. Dans un monde de brutes et d’armes, rares sont les femmes qui y ont une réelle place.
Adolescence. Sora commence à devenir une belle jeune femme, et soudainement, son entrainement change. On ne lui apprend plus l’auto défense mais plutôt le maniement d’armes blanches et à feu. On ne la fait plus sortir récupérer l’argent que l’on doit au clan mais on lui apprend à servir, danser, et séduire. Sora sera une hostess, Sora deviendra quelqu’un de grand dans ce domaine là, c’était décidé, les aînés l’avaient décidé. Sora est quelqu’un de cultivé et intelligent, mais, c’est aussi quelqu’un sans âme qui obéit sans réfléchir. Tant d’années à subir des cris et des obligations ont eu raison d’elle, elle est un automate, un pantin que l’on transforme pour qu’elle ne ressemble pas à la femme qui l’a mise au monde. L’amour peut rendre fou paraît-il, à tel point qu’il peut tuer.
Sora vit au jour le jour. Elle ne connaît plus son hier, mais, Sôji lui rappelle toujours qu’il y a un sens au lendemain. La jeune femme vient tout juste de fêter quinze ans. Sôji en a dix neuf. Sôji a réussi à libérer sa petite sœur pour une nuit, pour qu’ils passent du temps tous les deux. Sora devient humaine quand elle est avec lui, elle sourit, elle rit, elle respire. Il paraît que dans le monde de la mafia il faut toujours être sur ses gardes, surtout quand on est l’héritier d’un clan si envié. Entre deux bières et quelques coups de feu, Sora sera enlevée, retenue prisonière, et Sôji disparu.
Kyôdo Persephone est l’identité que Katô Shôtaro a façonnée à sa fille lorsqu’il réussit à la retrouver, dix mois, une semaine et trois jours plus tard. Sora est meurtrie, Sora a vu des atrocités, Sora a subi et encaissé un calvaire inimaginable. Le père est pris de remords. Le père aimerait tout recommencer. Il garde sa fille à ses côtés jusqu’à ce que celle-ci puisse vivre seule. Elle réapprend à parler, à manger, à supporter le regard d'autrui. Sôji lui manque, terriblement, elle en rêve, elle a parfois l'impression de le voir, de l'entendre... Elle a l'impression de devenir folle. Elle le pense mort, son père le pense mort. Le clan Katô le pense mort.
Persephone est une façade, un personnage, une personne créée de toute pièce pour que Sora puisse continuer de vivre. Persephone est forte, elle garde le contact avec son père, elle réalise les envies et les rêves que Sora imagine. Persephone est une étudiante pas comme les autres, une étudiante asociale mais qui excelle tant en classe comme sur scène, parce qu'elle y joue un rôle, et qui aime prendre des clichés d'un univers sombre. Une étudiante qui préfère avoir ses cours l'après midi car dort le matin, et pleure la nuit, se déplace en moto, passant son temps libre collée à des gens qu'elle ne connaît guère, accrochée à son appareil photo. Une étudiante qui vend sa voix à tout celui qui veut l'entendre, une voix fantastique et hypnotisante d'une nature rare , qui amuse ses "frères" . Une étudiante tatouée avec des symboles qu'elle respecte, mais qui ne doivent pas être vus.
Sora recommence à vivre, un jour peut-être se montrera-t-elle aux yeux de tous, telle qu’elle est. Mais en attendant, Persephone prend très bien les commandes, et les gère très bien. Combien de fois l’a-t-on qualifiée d’étrange, de surhumaine, de monstre de par cette reconstruction ? Une multitude. Cela dit, est-ce que l’on naît monstre, ou est-ce qu’on le devient ?
HENKA
that's no no
cf. Syuhei. Flemme.
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Re: kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Dim 24 Aoû - 3:33 Citer EditerSupprimer
Il y a toutes ces choses que je pourrais te dire et puis toutes ces choses que je vais faire au lieu de parler, parce que tu n'aimes pas mes longs discours. Encore et toujours, j'honorerais ma promesse. Bienvenue Princesse, désormais je ne te laisserais plus jamais.
Je t'aime.
Il y a toutes ces choses que je pourrais te dire et puis toutes ces choses que je vais faire au lieu de parler, parce que tu n'aimes pas mes longs discours. Encore et toujours, j'honorerais ma promesse. Bienvenue Princesse, désormais je ne te laisserais plus jamais.
Je t'aime.
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Re: kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Dim 24 Aoû - 13:31 Citer EditerSupprimer
Persé d'amour ♥
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Re: kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Dim 24 Aoû - 22:27 Citer EditerSupprimer
du love jolie persé ❤
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Re: kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Lun 25 Aoû - 11:29 Citer EditerSupprimer
Shûkkun, je t'aime aussi.
Kaninos, t'as de la chance, je ne serai plus aussi raciste des blancs
Tas, mon doudou d'amour
Ari, ma mienne :syu:
Dédé, du love aussi
Bok, dégage tiens
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Re: kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Lun 25 Aoû - 11:47 Citer EditerSupprimer
de toute façon j'étais l'exception
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Re: kyôdo perséphone ▬ tell me this is the end | Lun 25 Aoû - 11:53 Citer EditerSupprimer
PRENDS SOIN DE MA MIKA-NEE-CHAN TOI
fallait que je te menace au moins une fois!
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