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Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi
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Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Dim 21 Aoû 2016 - 22:55
Wearing. | La jolie brune venait de s'installer confortablement dans son canapé. Cette fois non plus elle ne l'avait pas prévenu de sa venue mais Rei commençait à s'y habituer. Wen Yi venait souvent trouver refuge chez lui, et comme un accord silencieux, le japonais laissait toujours sa porte ouverte. Il sortit deux bières fraîches du réfrigérateur et vint s'asseoir à côté d'elle. Il lui tendit une des deux canettes, et s'installant plus confortablement, il alluma la télévision. Une émission de musique était en pleine diffusion, à l'écran un groupe faisait son grand comeback de ce que comprenait Rei. Il fît la moue et tendit la télécommande à Wen Yi. « Tiens met ce que tu veux. » Il appuya sa tête sur le dossier de son canapé et ferma les yeux. Il était rentré du travail à peine quelques dizaines de minutes avant l'arrivée de la jeune femme, il n'avait pas vraiment eu le temps de souffler. « Laisse moi récupérer un moment et après je m'occupe de te détendre. » Il frôla le cou de Wen Yi du bout des doigts et affichait un sourire charmeur, s'amusant à titiller les nerfs de la belle. Depuis leur première rencontre les choses avaient changé. Il avait cessé de la repousser avec violence, et se perdait souvent au creux des reins de la magnifique brune pour oublier et juste se sentir être. « Il est encore à l'étranger ou tu as dû inventer un mensonge encore une fois ? » Il n'avait pas besoin de préciser, elle devinerait qu'il parlait de son mari. Il en avait apprit davantage sur cet homme et le trouvait de plus en plus détestable.
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Wearing. | La jolie brune venait de s'installer confortablement dans son canapé. Cette fois non plus elle ne l'avait pas prévenu de sa venue mais Rei commençait à s'y habituer. Wen Yi venait souvent trouver refuge chez lui, et comme un accord silencieux, le japonais laissait toujours sa porte ouverte. Il sortit deux bières fraîches du réfrigérateur et vint s'asseoir à côté d'elle. Il lui tendit une des deux canettes, et s'installant plus confortablement, il alluma la télévision. Une émission de musique était en pleine diffusion, à l'écran un groupe faisait son grand comeback de ce que comprenait Rei. Il fît la moue et tendit la télécommande à Wen Yi. « Tiens met ce que tu veux. » Il appuya sa tête sur le dossier de son canapé et ferma les yeux. Il était rentré du travail à peine quelques dizaines de minutes avant l'arrivée de la jeune femme, il n'avait pas vraiment eu le temps de souffler. « Laisse moi récupérer un moment et après je m'occupe de te détendre. » Il frôla le cou de Wen Yi du bout des doigts et affichait un sourire charmeur, s'amusant à titiller les nerfs de la belle. Depuis leur première rencontre les choses avaient changé. Il avait cessé de la repousser avec violence, et se perdait souvent au creux des reins de la magnifique brune pour oublier et juste se sentir être. « Il est encore à l'étranger ou tu as dû inventer un mensonge encore une fois ? » Il n'avait pas besoin de préciser, elle devinerait qu'il parlait de son mari. Il en avait apprit davantage sur cet homme et le trouvait de plus en plus détestable.© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Lun 29 Aoû 2016 - 20:20
Wearing. | Wen Yi s’était à nouveau faufiler dans l’appartement de Rei avec l’envie pressante de passer une agréable soirée. Son mari venait tout juste de partir de chez eux quand elle avait récupérer ses affaires et qu’elle s’était préparé pour aller chez le jeune homme. A la base, elle avait prétendu devoir se rendre dans sa fraternité mais elle avait préféré se réfugier chez le japonais. Elle s’était d’ailleurs habillé pour l’occasion. Une tenue simple mais qui ne manquerait pas de faire son effet. Elle laisse tomber ses chaussures à talon dans l’entrée et le suit rapidement jusque dans le canapé qu’elle finit par connaitre par cœur. Son appartement n’est pas très grand mais suffisant. Elle sourit en cherchant à mordiller ses doigts comme une féline joueuse. « A l’étranger » dit-elle simplement en se redressant. Elle vient rapidement s’asseoir à califourchon sur ses genoux et sourit en venant lui voler un baiser. « Pourquoi ça ne pourrait pas être moi qui te détends pour une fois … » Féline, joueuse et charmeuse. Wen Yi s’est habitué à ces moments avec Rei, elle ne sait pas quoi en penser, ni même ce qu’elle ressent vraiment, mais elle est bien avec lui, un genre de pause dans sa vie à 200 à l’heure. C’est agréable, comme un cocon dans lequel elle se réfugie régulièrement. Elle lui pique sa bière et en boit une gorgée avec un sourire complice avant de venir l’embrasser passant déjà une once de désir dans son baiser. Elle soupire contre ses lèvres en murmurant « Ça m’aurait presque manqué cette semaine » le taquine-t-elle. Elle passe une main sur le ventre du jeune homme et tire doucement sur la ficelle du décolleté de sa robe. « J’ai une surprise pour toi en plus ~ » Murmure-t-elle dans le creux de son oreille avant de lui mordiller le lobe en collant leur bassin ensemble.
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Ven 2 Sep 2016 - 18:40
Wearing. | Le japonais était habitué à voir Wen Yi débarquer chez lui maintenant. C'était toujours après une dispute avec son mari, enfin c'était plutôt lui qui hurlait et elle qui subissait, ou lorsqu'il partait en voyage, comme c'était actuellement le cas. Dans ces moments là, elle restait parfois plus longtemps qu'elle ne l'avait prévu, mais il s'était habitué à sa présence, il l'appréciait même. Ils avaient un comportement étrange ensemble. Au départ, ils ne faisaient que coucher ensemble, mais leur relation avait évolué sans qu'ils soient pour autant ensemble. C'était une ambiguïté que Rei avait du mal à assumer émotionnellement parlant, surtout vis à vis de Wen Yi. D'autant plus que la relation qu'il avait avec Kyong Hee n'était plus la même non plus. Il chassa le souvenir de leur entrevue quelques jours auparavant pour se concentrer sur la demoiselle qui vint s'asseoir à califourchon sur lui. Il sourit alors qu'elle frôla ses lèvres des siennes, ricanant à sa remarque. Il la laissa prendre sa bière, il la regardait jouer, parce qu'il commençait à la connaître, il savait que c'était ce qu'elle faisait. « Je commence à te manquer, c'est bon à savoir... » Il avait la voix rauque mais rieuse, s'amusant à retourner ses propos contre elle. Mais pour le coup c'était elle qui avait la main, et elle alluma le désir du jeune homme par ses gestes, son attitude et la façon qu'elle avait de le regarder. Il se mit à tirer sur le fil de sa robe à son tour, une fois qu'elle fût assez lâche, il caressa la poitrine blanche de la jeune femme à travers son soutien gorge. « T'es cruelle avec moi, même pas tu me laisses quelques minutes de répit... » Parce qu'il était réellement fatigué, mais elle savait raviver son énergie, ça il ne pouvait le nier. « Et ma surprise c'est ce joli corps que j'ai à déballer ? Je l'ai ouvert tellement de fois déjà... » Il parla entre quelques baisers enfiévrés, il avait une moue boudeuse aux lèvres et un rire dans la voix. Si le cadeau était son corps, il l'avait déballé plus d'une fois...
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Wearing. | Le japonais était habitué à voir Wen Yi débarquer chez lui maintenant. C'était toujours après une dispute avec son mari, enfin c'était plutôt lui qui hurlait et elle qui subissait, ou lorsqu'il partait en voyage, comme c'était actuellement le cas. Dans ces moments là, elle restait parfois plus longtemps qu'elle ne l'avait prévu, mais il s'était habitué à sa présence, il l'appréciait même. Ils avaient un comportement étrange ensemble. Au départ, ils ne faisaient que coucher ensemble, mais leur relation avait évolué sans qu'ils soient pour autant ensemble. C'était une ambiguïté que Rei avait du mal à assumer émotionnellement parlant, surtout vis à vis de Wen Yi. D'autant plus que la relation qu'il avait avec Kyong Hee n'était plus la même non plus. Il chassa le souvenir de leur entrevue quelques jours auparavant pour se concentrer sur la demoiselle qui vint s'asseoir à califourchon sur lui. Il sourit alors qu'elle frôla ses lèvres des siennes, ricanant à sa remarque. Il la laissa prendre sa bière, il la regardait jouer, parce qu'il commençait à la connaître, il savait que c'était ce qu'elle faisait. « Je commence à te manquer, c'est bon à savoir... » Il avait la voix rauque mais rieuse, s'amusant à retourner ses propos contre elle. Mais pour le coup c'était elle qui avait la main, et elle alluma le désir du jeune homme par ses gestes, son attitude et la façon qu'elle avait de le regarder. Il se mit à tirer sur le fil de sa robe à son tour, une fois qu'elle fût assez lâche, il caressa la poitrine blanche de la jeune femme à travers son soutien gorge. « T'es cruelle avec moi, même pas tu me laisses quelques minutes de répit... » Parce qu'il était réellement fatigué, mais elle savait raviver son énergie, ça il ne pouvait le nier. « Et ma surprise c'est ce joli corps que j'ai à déballer ? Je l'ai ouvert tellement de fois déjà... » Il parla entre quelques baisers enfiévrés, il avait une moue boudeuse aux lèvres et un rire dans la voix. Si le cadeau était son corps, il l'avait déballé plus d'une fois... © kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Jeu 22 Sep 2016 - 16:32
Wearing. | Tu ne deviendras pas une de mes faiblesses pense-t-elle en le fixant avec un sourire malin et remplie de mystère. S’il lui manque ? Sûrement un peu beaucoup oui. Surement qu’elle se sent libre ici. Il lui manque, comme lui manque cette sensation dans le creux de son ventre quand elle est avec lui. Elle n’arrive pas encore à vraiment exprimer ce que c’est ni même à le comprendre mais elle sait, plus que n’importe quelle autres choses, qu’elle aime ça. Comme une drogue qu’elle attise pour en devenir accroc consciemment. Elle sait qu’un jour il partira, et si ce n’est pas lui, elle le fera. Parce qu’elle sait très bien au fond d’elle que Rei n’est qu’un secret, un trésor qu’elle pourra convoité aussi longtemps qu’elle le voudra mais qui finira par disparaitre. Un mirage qui vous donne envie de vous accrocher à la vie mais qui finit par se faner. Elle rit à sa remarque et secoue la tête en murmurant « Pas de repos pour les guerriers. » Je l’attire à moi pour l’embrasser avec plus de passion faisant glisser sa bière sur le sol. J’acquiesce quand il parle de mon corps à déballer « Ouais mais tu n’as pas vu ce qu’il y a sous cette robe … » un jolie ensemble qui, elle le savait, lui plairait. Elle rit doucement en caressant sa joue, lui laissant ainsi le temps d’aller à son rythme. Elle caresse son torse sous son t-shirt et pose son regard étiré sur lui « Comment s’est passé ta journée ? » Ce sont des questions si anodines mais pourtant si pleines de sens qui se glissent entre eux sans qu’ils ne réalisent vraiment. C’est devenu comme une habitude. Comme leur souffle qu’ils reprennent après avoir fait l’amour. Mais c’est un accord tacite entre les deux qui les lient au silence, on ne demande pas ce que peuvent bien signifier ces attentions …
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Wearing. | Tu ne deviendras pas une de mes faiblesses pense-t-elle en le fixant avec un sourire malin et remplie de mystère. S’il lui manque ? Sûrement un peu beaucoup oui. Surement qu’elle se sent libre ici. Il lui manque, comme lui manque cette sensation dans le creux de son ventre quand elle est avec lui. Elle n’arrive pas encore à vraiment exprimer ce que c’est ni même à le comprendre mais elle sait, plus que n’importe quelle autres choses, qu’elle aime ça. Comme une drogue qu’elle attise pour en devenir accroc consciemment. Elle sait qu’un jour il partira, et si ce n’est pas lui, elle le fera. Parce qu’elle sait très bien au fond d’elle que Rei n’est qu’un secret, un trésor qu’elle pourra convoité aussi longtemps qu’elle le voudra mais qui finira par disparaitre. Un mirage qui vous donne envie de vous accrocher à la vie mais qui finit par se faner. Elle rit à sa remarque et secoue la tête en murmurant « Pas de repos pour les guerriers. » Je l’attire à moi pour l’embrasser avec plus de passion faisant glisser sa bière sur le sol. J’acquiesce quand il parle de mon corps à déballer « Ouais mais tu n’as pas vu ce qu’il y a sous cette robe … » un jolie ensemble qui, elle le savait, lui plairait. Elle rit doucement en caressant sa joue, lui laissant ainsi le temps d’aller à son rythme. Elle caresse son torse sous son t-shirt et pose son regard étiré sur lui « Comment s’est passé ta journée ? » Ce sont des questions si anodines mais pourtant si pleines de sens qui se glissent entre eux sans qu’ils ne réalisent vraiment. C’est devenu comme une habitude. Comme leur souffle qu’ils reprennent après avoir fait l’amour. Mais c’est un accord tacite entre les deux qui les lient au silence, on ne demande pas ce que peuvent bien signifier ces attentions …© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Dim 25 Sep 2016 - 15:13
Wearing. | C'était le bordel dans la vie de Rei ces derniers mois. Toujours sur le qui vive. Toujours dans l'attente du moment où ses mensonges et les conneries qu'il avait fait le rattraperaient. Wen Yi était son petit havre de paix. Pendant quelques heures, pendant une nuit ou deux, il pouvait relâcher la tension constante qui le nouait. C'était dans ces moments de relâchement qu'il se rendait compte qu'il était épuisé. Pas seulement physiquement, la douleur n'avait pas fait que briser et épuiser son corps. Il y avait une fatigue mentale qu'il ne pourrait jamais mettre en mot tant elle était importante. Son addiction, son chagrin constant, le trou béant que le taekwondo de haut niveau avait laissé dans sa vie, et enfin ses mensonges, ses méfaits et la certitude que son karma le rattraperait mais dont il était impossible de savoir le timing. Il était vidé, complètement épuisé, une coquille vide, un zombie qui n'avance que parce que son corps possède sa propre mémoire. « Un guerrier moi ? » Il eut un rire rauque tant les mots qu'elle avait choisi l'amusaient. Il était tout sauf un guerrier. Malgré sa fatigue, il ne put s'empêcher de la toucher, de parcourir ses courbes alors qu'elle l'embrassait comme elle seule savait le faire. Mais Rei était troublé, il se souvenait de la soirée qu'il avait passé peu de temps auparavant avec Kyong Hee... Il chassa ces pensées en plongeant son regard dans celui de Wen Yi. Un léger sourire étirant ses lèvres, il se laissa aller contre le dossier, y appuyant sa tête tout en emmenant la jeune femme avec lui. Il garda une main sur sa hanche pendant que l'autre caressait sa cuisse, remontant sous sa robe. « Épuisante comme tous les jours. Et toi ? Tu as du temps pour toi quand il n'est pas là... » S'il le pouvait, il l'aiderait à briser ses chaînes. Physiquement il était de taille mais ne pourrait pas assumer les conséquences. Il revint trouver ses lèvres, mais interrompit le baiser en entendant du bruit, comme les pas de personnes en train de courir, dans les entrées de l'immeuble, probablement le niveau supérieur ou inférieur. Il fronça les sourcils, soucieux, ce n'était pas commun ici. Le bruit s'éloigna, et il préféra l'ignorer. Il reprit le baiser qu'il avait interrompu un peu plus tôt, glissant une main sous la robe de la belle, caressant l'intérieur de ses cuisses, balayant l’œil curieux qu'elle lui avait lancé quelques secondes auparavant.
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Wearing. | C'était le bordel dans la vie de Rei ces derniers mois. Toujours sur le qui vive. Toujours dans l'attente du moment où ses mensonges et les conneries qu'il avait fait le rattraperaient. Wen Yi était son petit havre de paix. Pendant quelques heures, pendant une nuit ou deux, il pouvait relâcher la tension constante qui le nouait. C'était dans ces moments de relâchement qu'il se rendait compte qu'il était épuisé. Pas seulement physiquement, la douleur n'avait pas fait que briser et épuiser son corps. Il y avait une fatigue mentale qu'il ne pourrait jamais mettre en mot tant elle était importante. Son addiction, son chagrin constant, le trou béant que le taekwondo de haut niveau avait laissé dans sa vie, et enfin ses mensonges, ses méfaits et la certitude que son karma le rattraperait mais dont il était impossible de savoir le timing. Il était vidé, complètement épuisé, une coquille vide, un zombie qui n'avance que parce que son corps possède sa propre mémoire. « Un guerrier moi ? » Il eut un rire rauque tant les mots qu'elle avait choisi l'amusaient. Il était tout sauf un guerrier. Malgré sa fatigue, il ne put s'empêcher de la toucher, de parcourir ses courbes alors qu'elle l'embrassait comme elle seule savait le faire. Mais Rei était troublé, il se souvenait de la soirée qu'il avait passé peu de temps auparavant avec Kyong Hee... Il chassa ces pensées en plongeant son regard dans celui de Wen Yi. Un léger sourire étirant ses lèvres, il se laissa aller contre le dossier, y appuyant sa tête tout en emmenant la jeune femme avec lui. Il garda une main sur sa hanche pendant que l'autre caressait sa cuisse, remontant sous sa robe. « Épuisante comme tous les jours. Et toi ? Tu as du temps pour toi quand il n'est pas là... » S'il le pouvait, il l'aiderait à briser ses chaînes. Physiquement il était de taille mais ne pourrait pas assumer les conséquences. Il revint trouver ses lèvres, mais interrompit le baiser en entendant du bruit, comme les pas de personnes en train de courir, dans les entrées de l'immeuble, probablement le niveau supérieur ou inférieur. Il fronça les sourcils, soucieux, ce n'était pas commun ici. Le bruit s'éloigna, et il préféra l'ignorer. Il reprit le baiser qu'il avait interrompu un peu plus tôt, glissant une main sous la robe de la belle, caressant l'intérieur de ses cuisses, balayant l’œil curieux qu'elle lui avait lancé quelques secondes auparavant.© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Dim 9 Oct 2016 - 23:49
Wearing. | « Un peu de temps. » dit-elle en haussant les épaules comme si ce n’était jamais suffisant. Elle sourit doucement en venant chercher ses lèvres à nouveau, n’attendant pas avant de se presser contre lui. Elle a pris un cachet avant de venir et il fait enfin effet. Elle ne saurait comment lui avouer qu’elle a, elle aussi, augmenter les doses des antis douleur qu’on lui a prescrit. Qu’on ne cesse de lui prescrire à cause de ses côtes fêlées, à cause de cette blessure à l’abdomen. Elle sourit en caressant sa joue, ne se fiant pas aux bruits de l’immeuble qu’elle ne semble pas remarquer, pas encore assez habituée pour reconnaitre les bruits qui différent de l’ordinaire, c’est surtout l’attitude de Rei qui l’intrigue, elle se redresse légèrement et l’oblige à tourner le visage vers elle pour pouvoir croiser son regard. « Quelque chose ne va pas ? » Elle suit à nouveau son regard en fronçant les sourcils avant d’entendre toquer à la porte. « Tu attends quelqu’un ? » demande-t-elle suspicieuse. L’air se charge en électricité et soudain les choses ne lui disent rien qui vaille. Elle se relève en boutonnant doucement sa robe s’attendant presque à ce que Rei lui dise que ce n’était que le livreur de bouffe … ou un voisin qui devait passer ou … tout mais n’importe quoi d’autre que des emmerdes. Mais elle doit bien avouer que la mine de son ami ne lui dise rien qui vaille … la conséquence de nos actes fini toujours par arriver à l’instant où on s’y attend le moins, comme si on apprenait à vivre sans mais qu’elle nous tombait dessus comme une épée de Damoclès. Elle attrape le bras de Rei « Qu’est-ce qui se passe ? » souffle-t-elle quand les coups à la porte se font plus rudes et forts.
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Wearing. | « Un peu de temps. » dit-elle en haussant les épaules comme si ce n’était jamais suffisant. Elle sourit doucement en venant chercher ses lèvres à nouveau, n’attendant pas avant de se presser contre lui. Elle a pris un cachet avant de venir et il fait enfin effet. Elle ne saurait comment lui avouer qu’elle a, elle aussi, augmenter les doses des antis douleur qu’on lui a prescrit. Qu’on ne cesse de lui prescrire à cause de ses côtes fêlées, à cause de cette blessure à l’abdomen. Elle sourit en caressant sa joue, ne se fiant pas aux bruits de l’immeuble qu’elle ne semble pas remarquer, pas encore assez habituée pour reconnaitre les bruits qui différent de l’ordinaire, c’est surtout l’attitude de Rei qui l’intrigue, elle se redresse légèrement et l’oblige à tourner le visage vers elle pour pouvoir croiser son regard. « Quelque chose ne va pas ? » Elle suit à nouveau son regard en fronçant les sourcils avant d’entendre toquer à la porte. « Tu attends quelqu’un ? » demande-t-elle suspicieuse. L’air se charge en électricité et soudain les choses ne lui disent rien qui vaille. Elle se relève en boutonnant doucement sa robe s’attendant presque à ce que Rei lui dise que ce n’était que le livreur de bouffe … ou un voisin qui devait passer ou … tout mais n’importe quoi d’autre que des emmerdes. Mais elle doit bien avouer que la mine de son ami ne lui dise rien qui vaille … la conséquence de nos actes fini toujours par arriver à l’instant où on s’y attend le moins, comme si on apprenait à vivre sans mais qu’elle nous tombait dessus comme une épée de Damoclès. Elle attrape le bras de Rei « Qu’est-ce qui se passe ? » souffle-t-elle quand les coups à la porte se font plus rudes et forts.© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Mar 18 Oct 2016 - 21:30
Wearing. | Quand on frappa à la porte, Rei n'avait plus aucun doute. Cette agitation inhabituelle dans les couloirs, les voix qui s'élevaient, il avait l'impression d'entendre les sons d'un film à suspense américain. Il avait joué, il avait perdu, maintenant venait l'heure de rendre des comptes. Il aurait juste aimer que Wen Yi ne soit pas là, qu'elle ne voit pas ça, car il doutait que la police coréenne serait tendre avec un criminel étranger. Il la regarda boutonner sa robe, et se leva à son tour. Il fît « non » de la tête, il n'attendait personne, mais il savait qui arrivait. « Dans un instant la police va entrer. Pour m'arrêter. » C'était aussi simple que ça. « Mais n'ai pas peur, j'ai pas peur moi. » Il haussa les épaules, c'était un moment qu'il attendait depuis des mois, il savait qu'il se ferait chopper, parce qu'il avait découvert son visage, tout simplement. « Je suis pas vraiment désolé de ce que j'ai fait. J'ai un seul regret, c'est que tu ais été blessé. » Sinon le reste, il s'en foutait bien Rei, il avait ses raisons pour faire ce qu'il avait fait. Et c'est de cette façon qu'il lui avouait plus ou moins avoir fait cramer l'université. Il s'approcha d'elle et replaça ses longs cheveux bruns derrière son épaule dans un geste affectueux. « Si tu as de quoi payer le loyer, cet appart' est à toi. Tu sais où son les clés. Tu peux venir dès que tu en as besoin... Et faire le ménage un peu. » Il eut un rire rauque alors que les coups à la porte étaient plus forts et plus insistants. Il embrassa doucement les lèvres de Wen Yi avant de s'avancer vers la porte. Bizarrement, il ne tremblait pas. A peine avait-il tourné la poignée qu'elle s'ouvrit en grand et on se jeta sur lui. On le retourna violemment et Rei fût plaqué au sol. Il poussa un profond grognement de douleur lorsque sa hanche droite fût la première à heurter le sol. « On le tient ! » Fût une des rares choses qu'il entendit alors qu'il fixait Wen Yi pour garder la main sur ses émotions.
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Wearing. | Quand on frappa à la porte, Rei n'avait plus aucun doute. Cette agitation inhabituelle dans les couloirs, les voix qui s'élevaient, il avait l'impression d'entendre les sons d'un film à suspense américain. Il avait joué, il avait perdu, maintenant venait l'heure de rendre des comptes. Il aurait juste aimer que Wen Yi ne soit pas là, qu'elle ne voit pas ça, car il doutait que la police coréenne serait tendre avec un criminel étranger. Il la regarda boutonner sa robe, et se leva à son tour. Il fît « non » de la tête, il n'attendait personne, mais il savait qui arrivait. « Dans un instant la police va entrer. Pour m'arrêter. » C'était aussi simple que ça. « Mais n'ai pas peur, j'ai pas peur moi. » Il haussa les épaules, c'était un moment qu'il attendait depuis des mois, il savait qu'il se ferait chopper, parce qu'il avait découvert son visage, tout simplement. « Je suis pas vraiment désolé de ce que j'ai fait. J'ai un seul regret, c'est que tu ais été blessé. » Sinon le reste, il s'en foutait bien Rei, il avait ses raisons pour faire ce qu'il avait fait. Et c'est de cette façon qu'il lui avouait plus ou moins avoir fait cramer l'université. Il s'approcha d'elle et replaça ses longs cheveux bruns derrière son épaule dans un geste affectueux. « Si tu as de quoi payer le loyer, cet appart' est à toi. Tu sais où son les clés. Tu peux venir dès que tu en as besoin... Et faire le ménage un peu. » Il eut un rire rauque alors que les coups à la porte étaient plus forts et plus insistants. Il embrassa doucement les lèvres de Wen Yi avant de s'avancer vers la porte. Bizarrement, il ne tremblait pas. A peine avait-il tourné la poignée qu'elle s'ouvrit en grand et on se jeta sur lui. On le retourna violemment et Rei fût plaqué au sol. Il poussa un profond grognement de douleur lorsque sa hanche droite fût la première à heurter le sol. « On le tient ! » Fût une des rares choses qu'il entendit alors qu'il fixait Wen Yi pour garder la main sur ses émotions.© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Dim 13 Nov 2016 - 22:19
Wearing. | Sur le moment, elle ne comprit pas vraiment ce qu’il se passait. Ce qu’il lui racontait lui paraissait n’être qu’un charabia confus qui n’avait pas de sens à ses yeux. Elle clignait des paupières pour tenter de saisir ses paroles. Le fracas de la porte fut tout aussi brutal que la douceur des lèvres de Rei sur les siennes. Elle sursaute, mets plusieurs secondes avant de réaliser que des hommes armées se sont jetés sur Rei. Elle change d’expression en une seconde. Passe de perdue à horrifiée à furieuse. C’est tout un mélange d’émotion et de sentiments qui se mélangent en elle. Elle repousse un policier qui venait de lui saisir le bras et se jette contre le flic qui semble prendre son pied à serrer les menottes de Rei un peu plus fort qu’il ne le devrait. « Lâchez-le ! Il n’a rien fait ! » Cri-t-elle sans même se fier à la confession du garçon quelques secondes plus tôt. Le regard de Rei lui clou le cœur au sol et sa rage donne à son estomac des airs de grands huit. Elle se débat quand on veut l’empêcher de s’énerver. Elle agite ses jambes comme une féline qu’on voudrait pouvoir dresser. « Lâchez-moi ! Lâchez-moi espèce de pervers ! » Cri-t-elle sans plus réussir à réfléchir. « Je vais te sortir de là Rei ! » dit-elle d’une voix sourde remplie de colère. « Dis-moi qui je dois prévenir ! Et je te promets que je vais te sortir de là ! » Sa voix ne tremble pas et son regard si assurée montre que Wen Yi a appris au moins une chose dans ce monde de requin dans lequel elle vit : qu’on ne peut lui marcher dessus impunément. – en dehors de son mari évidemment …. – Elle refuse de laisser la chance à ses hommes de malmener Rei pour leur bon plaisir. « Tout va bien se passer ! Fait-moi confiance ! » Lui dit-elle à bout de souffle avec assez d’assurance pour donner en Rei le courage de la croire.
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Wearing. | Sur le moment, elle ne comprit pas vraiment ce qu’il se passait. Ce qu’il lui racontait lui paraissait n’être qu’un charabia confus qui n’avait pas de sens à ses yeux. Elle clignait des paupières pour tenter de saisir ses paroles. Le fracas de la porte fut tout aussi brutal que la douceur des lèvres de Rei sur les siennes. Elle sursaute, mets plusieurs secondes avant de réaliser que des hommes armées se sont jetés sur Rei. Elle change d’expression en une seconde. Passe de perdue à horrifiée à furieuse. C’est tout un mélange d’émotion et de sentiments qui se mélangent en elle. Elle repousse un policier qui venait de lui saisir le bras et se jette contre le flic qui semble prendre son pied à serrer les menottes de Rei un peu plus fort qu’il ne le devrait. « Lâchez-le ! Il n’a rien fait ! » Cri-t-elle sans même se fier à la confession du garçon quelques secondes plus tôt. Le regard de Rei lui clou le cœur au sol et sa rage donne à son estomac des airs de grands huit. Elle se débat quand on veut l’empêcher de s’énerver. Elle agite ses jambes comme une féline qu’on voudrait pouvoir dresser. « Lâchez-moi ! Lâchez-moi espèce de pervers ! » Cri-t-elle sans plus réussir à réfléchir. « Je vais te sortir de là Rei ! » dit-elle d’une voix sourde remplie de colère. « Dis-moi qui je dois prévenir ! Et je te promets que je vais te sortir de là ! » Sa voix ne tremble pas et son regard si assurée montre que Wen Yi a appris au moins une chose dans ce monde de requin dans lequel elle vit : qu’on ne peut lui marcher dessus impunément. – en dehors de son mari évidemment …. – Elle refuse de laisser la chance à ses hommes de malmener Rei pour leur bon plaisir. « Tout va bien se passer ! Fait-moi confiance ! » Lui dit-elle à bout de souffle avec assez d’assurance pour donner en Rei le courage de la croire.© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Mar 22 Nov 2016 - 21:55
Wearing. | « Vous êtes en état d'arrestation pour les incendies de l'université de Yonsei ! » Il n'avait pas peur de ce qui allait lui arriver. Il savait que ce moment allait arriver, il l'attendait depuis un moment maintenant. Il le savait, il le sentait. Il n'y avait qu'une chose qui l'effrayait vraiment. Qu'est-ce que sa sœur penserait si elle apprenait où il était et ce qu'il avait fait ? Mais il n'avait pas le temps d'y penser. Il regarda Wen Yi se débattre, lutter contre les policiers qui l'arrêtaient, et lutter contre ceux qui la retenaient. Elle n'en était que plus belle. Elle ressemblait à une chatte en furie, une tigresse avec la rage au ventre. Elle était magnifique. Mais il avait mal de la voir se mettre dans cet état à cause de lui, il ne méritait pas ça. C'était un pauvre type, il ne méritait pas sa colère, sa rage. Rei aussi se battait, et résistait. Il ne luttait pas pour ne pas être arrêté, il luttait contre leur violence, contre la façon dont ils le traitaient. Ils exultaient d'enfin chopper l'étranger qui avait commit ce crime dans leur pays. Finalement après l'avoir plaqué au sol, ils le relevèrent enfin. Il grimaça mais ne leur fit pas le plaisir de grogner de douleur. « Tu sais qui tu dois contacter. » Elle ne l'avait vu qu'avec une personne, et ils s'étaient présentés comme des frères, il était certain qu'elle comprendrait qu'elle devait prévenir Bom Chan. « Une fois que tu l'as contacté rentre chez toi et oublie tout ça. » Sa jambe lui faisait mal, mais il ne le montrait pas, il ne le montrerait pas. « T'en fais pas beauté j'perds pas facilement tu l'sais ça. » Elle savait que c'était un champion. Un flic se mit à rire à sa remarque, et le secoua un peu plus qu'il n'aurait dû. « Mais t'as perdu mon gars, échec et mat ! » Ils étaient tellement contents de le chopper enfin... S'ils savaient, Rei aurait pu en maîtriser une partie s'il l'avait voulu et malgré la douleur dans sa jambe. « Si c'est ça, j'ai le droit à un dernier aurevoir ? » Il n'y croyait pas vraiment mais on le lui autorisa, par quel miracle il ne saurait le dire. Ils le tenaient fermement mais le laissèrent avancer jusque Wen Yi. Il se pencha pour murmurer contre son oreille, qu'elle soit la seule à l'entendre. « Si moi je m'accroche toi aussi tu t'accroches. » Qu'elle résiste à son abruti de mari. Et il se redressa, trouvant ses lèvres dans un rapide baiser qui fit jurer les flics, une coréenne avec un criminel étranger...
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Wearing. | « Vous êtes en état d'arrestation pour les incendies de l'université de Yonsei ! » Il n'avait pas peur de ce qui allait lui arriver. Il savait que ce moment allait arriver, il l'attendait depuis un moment maintenant. Il le savait, il le sentait. Il n'y avait qu'une chose qui l'effrayait vraiment. Qu'est-ce que sa sœur penserait si elle apprenait où il était et ce qu'il avait fait ? Mais il n'avait pas le temps d'y penser. Il regarda Wen Yi se débattre, lutter contre les policiers qui l'arrêtaient, et lutter contre ceux qui la retenaient. Elle n'en était que plus belle. Elle ressemblait à une chatte en furie, une tigresse avec la rage au ventre. Elle était magnifique. Mais il avait mal de la voir se mettre dans cet état à cause de lui, il ne méritait pas ça. C'était un pauvre type, il ne méritait pas sa colère, sa rage. Rei aussi se battait, et résistait. Il ne luttait pas pour ne pas être arrêté, il luttait contre leur violence, contre la façon dont ils le traitaient. Ils exultaient d'enfin chopper l'étranger qui avait commit ce crime dans leur pays. Finalement après l'avoir plaqué au sol, ils le relevèrent enfin. Il grimaça mais ne leur fit pas le plaisir de grogner de douleur. « Tu sais qui tu dois contacter. » Elle ne l'avait vu qu'avec une personne, et ils s'étaient présentés comme des frères, il était certain qu'elle comprendrait qu'elle devait prévenir Bom Chan. « Une fois que tu l'as contacté rentre chez toi et oublie tout ça. » Sa jambe lui faisait mal, mais il ne le montrait pas, il ne le montrerait pas. « T'en fais pas beauté j'perds pas facilement tu l'sais ça. » Elle savait que c'était un champion. Un flic se mit à rire à sa remarque, et le secoua un peu plus qu'il n'aurait dû. « Mais t'as perdu mon gars, échec et mat ! » Ils étaient tellement contents de le chopper enfin... S'ils savaient, Rei aurait pu en maîtriser une partie s'il l'avait voulu et malgré la douleur dans sa jambe. « Si c'est ça, j'ai le droit à un dernier aurevoir ? » Il n'y croyait pas vraiment mais on le lui autorisa, par quel miracle il ne saurait le dire. Ils le tenaient fermement mais le laissèrent avancer jusque Wen Yi. Il se pencha pour murmurer contre son oreille, qu'elle soit la seule à l'entendre. « Si moi je m'accroche toi aussi tu t'accroches. » Qu'elle résiste à son abruti de mari. Et il se redressa, trouvant ses lèvres dans un rapide baiser qui fit jurer les flics, une coréenne avec un criminel étranger...© kerushirei
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Re: Follow the cops back home feat. Bang Wen Yi | Dim 4 Déc 2016 - 20:50
Wearing. |« Oublie tout ça … ? » répète-t-elle totalement sonnée et enragée de voir qu’on le maltraite ainsi. Elle comprend, elle réalise que l’incendie c’était lui, que sa blessure c’était lui – indirectement – que les morts c’était lui aussi … mais à cet instant elle était incapable de voir le mal en lui. Ni même le mal de ses actions. Elle ne connaissait que l’homme et ses faiblesses il les lui avait murmurés comme un secret. Elle ne voulait pas voir les conséquences de ses actes, elle voulait juste qu’il reste. Ils étaient à l’abri dans leur bulle. C’était ce qu’elle croyait avant de voir ces menottes sur son poignet. Elle supplierait presque les agents du regard pour qu’ils lui laissent rien qu’une seconde pour qu’il puisse dire au revoir. Et ça la déchire de voir cette scène qu’elle n’aurait jamais soupçonné. Elle ferme les yeux et agrippe ses faibles poings sur le col de Rei pour le retenir rien qu’une seconde de plus. Sa voix qui se perd dans le creux de son oreille lui arrache un faible gémissement qu’il est le seul à pouvoir entendre. Si je m’accroche c’est parce que t’es là. A-t-elle envie de lui murmurer mais pour une fois, ce n’est pas une pensée égoïste qui la traverse, ce n’est pas ça qu’elle veut lui crier. Elle sent ses lèvres brulantes lui voler un baiser et le froid glaciale les remplacer bien trop vite à son goût. « Reste … » souffle-t-elle tout bas. « Reste ! » dit-elle plus fort, forçant sur sa voix. « Reste Rei ! » gémit-elle en se précipitant vers elle, retenu par un policier qui ne comprend pas l’engouement de Wen Yi pour ce criminel. Une faiblesse féminine à ne pas en douter pour ce macho en uniforme. Et elle se rend compte qu’elle ne veut pas le voir partir, pas pour elle, pas pour qu’il la protège, mais pour lui. Ne me l’abîmez pas, je vous en supplie. Prenez soin de lui. Il le mérite. Il en a besoin. Reviens Rei, laisse-moi te protéger … Mais elle sait que ce soir, la seul protection qu’elle pourra lui offrir c’est en appelant son meilleur ami … elle se saisit rapidement du téléphone de Rei avant qu’on ne le prenne comme pièce à conviction, mais les flics présent sont trop novice pour se rendre compte de son larcin. Elle jette des regards paniqués vers cette porte. Rei … Ses médicaments, sa dope … Sa jambe. Tout se bouscule dans sa tête et dans un élan impulsif elle le suit dans les escaliers et sort dehors en courant pour le voir entrer dans la voiture malmené par ces policiers. S’il doit partir ainsi, elle veut au moins que la dernière chose qu’il voit d’elle soit son visage qui lui promet silencieusement de tout faire pour l’aider. Sans afficher une once de peur.
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Wearing. |« Oublie tout ça … ? » répète-t-elle totalement sonnée et enragée de voir qu’on le maltraite ainsi. Elle comprend, elle réalise que l’incendie c’était lui, que sa blessure c’était lui – indirectement – que les morts c’était lui aussi … mais à cet instant elle était incapable de voir le mal en lui. Ni même le mal de ses actions. Elle ne connaissait que l’homme et ses faiblesses il les lui avait murmurés comme un secret. Elle ne voulait pas voir les conséquences de ses actes, elle voulait juste qu’il reste. Ils étaient à l’abri dans leur bulle. C’était ce qu’elle croyait avant de voir ces menottes sur son poignet. Elle supplierait presque les agents du regard pour qu’ils lui laissent rien qu’une seconde pour qu’il puisse dire au revoir. Et ça la déchire de voir cette scène qu’elle n’aurait jamais soupçonné. Elle ferme les yeux et agrippe ses faibles poings sur le col de Rei pour le retenir rien qu’une seconde de plus. Sa voix qui se perd dans le creux de son oreille lui arrache un faible gémissement qu’il est le seul à pouvoir entendre. Si je m’accroche c’est parce que t’es là. A-t-elle envie de lui murmurer mais pour une fois, ce n’est pas une pensée égoïste qui la traverse, ce n’est pas ça qu’elle veut lui crier. Elle sent ses lèvres brulantes lui voler un baiser et le froid glaciale les remplacer bien trop vite à son goût. « Reste … » souffle-t-elle tout bas. « Reste ! » dit-elle plus fort, forçant sur sa voix. « Reste Rei ! » gémit-elle en se précipitant vers elle, retenu par un policier qui ne comprend pas l’engouement de Wen Yi pour ce criminel. Une faiblesse féminine à ne pas en douter pour ce macho en uniforme. Et elle se rend compte qu’elle ne veut pas le voir partir, pas pour elle, pas pour qu’il la protège, mais pour lui. Ne me l’abîmez pas, je vous en supplie. Prenez soin de lui. Il le mérite. Il en a besoin. Reviens Rei, laisse-moi te protéger … Mais elle sait que ce soir, la seul protection qu’elle pourra lui offrir c’est en appelant son meilleur ami … elle se saisit rapidement du téléphone de Rei avant qu’on ne le prenne comme pièce à conviction, mais les flics présent sont trop novice pour se rendre compte de son larcin. Elle jette des regards paniqués vers cette porte. Rei … Ses médicaments, sa dope … Sa jambe. Tout se bouscule dans sa tête et dans un élan impulsif elle le suit dans les escaliers et sort dehors en courant pour le voir entrer dans la voiture malmené par ces policiers. S’il doit partir ainsi, elle veut au moins que la dernière chose qu’il voit d’elle soit son visage qui lui promet silencieusement de tout faire pour l’aider. Sans afficher une once de peur.© kerushirei
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