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Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO.
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Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mar 30 Aoû - 15:57 Citer EditerSupprimer
Koo Soonyoung
hello, can you hear me ?
IDENTITY CARD |
Il parait que... Soon Young serait sourd depuis ses seize ans (Vrai, suite à un traumatisme crânien lors d'un accident ) | Dis nous qui tu es ! Autrefois, Soon Young était comme tout le monde, il était, comme la société l'aurait décrit, normal. Un jeune homme plein de vie, au sourire rayonnant, charmeur. Il était toujours heureux, rien ni personne ne pouvait entâcher sa joie de vivre, son optimiste à toutes épreuves. Et comme presque tous les garçons de son âge, Soon Young était un fêtard connu pour ça, qui profitait simplement de la vie, il veut tout tenter tout voir tout essayer, pouvoir se dire plus tard que sa vie aura valu la peine d'être vécue, qu'il aura savouré chaque instant. Depuis son accident et donc l'arrivée de son handicap dans sa vie, tout a changé pour lui. Les premiers mois l'ont détruit, il n'arrivait pas à accepter son statut de sourd, il était plongé dans un profond déni, refusant tout simplement d'accepter un tel sort. Plus aucune musique n'apaiserait ses maux, plus aucune parole ne réchaufferait son coeur, Soon Young devait apprendre le bruit du silence. Durant cette période, il est devenu froid, presque même agressif, il s'est énormément renfermé sur lui-même, alimentant inconsciemment sa différence qu'il détestait tant. Il en a même perdu l'envie de parler, et plus jamais depuis quelqu'un n'a eu la chance d'entendre sa voix. Et maintenant il n'est plus sourd, ou du moins lorsqu'il porte son appareil il entend partiellement. Les médecins ont été clair, vu sa condition il ne retrouvera jamais plus de 60% de son audition, mais ça suffit à le faire sourire de nouveau. Ça suffit à le rendre heureux. Il retrouve son assurance naturelle, redevient le gamin extraverti qu'il était avant, celui qui n'a honte de rien, qui assume ses goûts, ses choix, ses passions. Soonyoung il a l'impression qu'il a encore tout à découvrir de ce monde, et qu'il en est le maitre. . |
clumsoo Je vous aime moyennement, bande de pouilleux
. |
It's my life...
once upon a time
Maman dit : « Mon chéri, tu sais tout ce qui compte dans la vie c'est d'être heureux. »
Es-tu heureuse, maman ? Je sais que je suis qu'un enfant et que je comprend pas tout, je sais que tout me dépasse et que je ne sais rien du monde et de ce qui le constitue. Je n'ai que dix ans après tout, un rien me fait sourire, et je pleure pour des choses futiles, mais je sais qu'au fond je suis heureux. J'ai des jouets, des amis, une chambre bien fournie; j'ai de l'amour, des câlins, une maman attentionnée qui s'occupe bien de moi. Et parfois je me demande ce qu'il en est d'elle, je me demande si elle est heureuse, je me demande pourquoi mon papa est pas resté avec elle, pourquoi il est parti avant que j'arrive, je me demande si c'est pour ça que parfois je l'entend pleurer dans sa chambre. Maman a souvent les yeux rouges, et le dessous violet, et quand elle me tire les joues je ne peux pas lui faire la même chose, les siennes sont trop fines pour ça. Elle dit que c'est la fatigue, que c'est le travail, elle sourit quand je lui offre des dessins, quand j'ai de bonnes notes, alors je sais pas, peut-être que c'est vrai.
Maman dit : « Ne rentre pas trop tard, et fais attention trésor ! »
Car maman ne dit jamais non. Elle dit qu'il faut profiter de la vie, et quand je sors le soir, elle ne dit rien. Parce que seize ans, c'est l'âge des découvertes, l'âge où on se fait une place dans le monde, c'est le moment où on déploie nos ailes, celui où on se lance. Elle sait que je suis prudent, que je profite des bonnes choses sans jamais en abuser. Elle sait qu'au fond, malgré ma réputation de fêtard assez populaire, que malgré mon temps passé dehors la nuit, je ne fais jamais d'excès, je suis prudent et ne fais de mal à personne. Parce que profiter de la vie ne nous donne en aucun cas le droit de faire du mal à celles des autres. Parce que c'est vrai je veux tout essayer, tout voir, tout connaître, mais ça ne fait pas de moi un gamin insouciant, ou du moins pas que. Parce que je sais à quelle heure je dois rentrer et que je m'y tiens, que mes sourires ne sont jamais malsains, que je sais que maman m'attend le lendemain.
Maman dit : « T'es beau quand tu souris, t'es beau quand t'es heureux. »
Et quand je souris, comme un miroir, elle fait pareil. Alors je me suis promis de toujours sourire, pour elle. Et pour lui aussi. Pour Sangjae, grâce à Sangjae. Et qu'importe si on nous juge, qu'importe les regards en biais, les chuchotements indiscrets, rien ni personne ne peut m'empêcher de l'aimer, et tant mieux si ça les dégoûte qu'il m'embrasse dans la rue, contre un mur ou dans un restaurant, tant mieux si notre bonheur les fait siffler comme des serpents, ils peuvent cracher tout ce qu'ils veulent, je continuerai de l'aimer, de me coller à lui dans les soirées, de boire dans son verre, de boire dans sa bouche, de boire parce que tant qu'il est là, je ne crains rien. Ou du moins, je crois. Mais ce soir là je suis peut-être allé trop loin, j'étais peut-être un peu trop imbibé pour empêcher un ami de prendre le volant, et sans doute trop ivre pour refuser de monter. Mais j'ai au moins eu le temps de l'embrasser encore avant de monter, j'ai pu dévorer ses lèvres alcoolisées une dernière fois, sans même le savoir.
Maman écrit : « Ça va aller trésor, je suis là. »
Elle est là, mais c'est la seule. On a eu un accident ce soir là, et maintenant que je suis réveillé, plusieurs semaines plus tard, tout a changé, comme si dix ans s'étaient écoulés. Je ne me rappelle plus de rien, pas même de qui était au volant. Ils disent qu'ils m'ont trouvé sur le bord de la route, que le conducteur m'a laissé là, à moitié mort et qu'il est parti. J'ai tant besoin de Sangjae, pourtant il n'est pas là, il n'est pas venu une seule fois. Qui voudrait d'un infirme après tout ? Pas lui, alors il est parti. Et on m'a privé du droit d'entendre les paroles réconfortantes de maman. Ils disent qu'avec un tel traumatisme crânien, c'est un miracle que je m'en sorte avec seulement ça. Seulement ça qu'ils disent. Je ne pourrais seulement plus jamais rien entendre. Seulement ça. Mais ils se trompent, ils ont tout faux. Parce que pendant des semaines, je n'ai rien dit, c'est à peine si je communiquais par écrit. Je voulais lui parler. Mais il n'est pas venu, jamais. Alors je n'ai plus parlé. Je ne sais même plus comment faire. Alors non, je ne suis pas seulement sourd, je suis aussi muet. Et même si j'ai toujours cru aux mots de maman, cette fois ce n'est pas le cas. Non ça n'ira pas.
Maman signe : « Dépêche-toi, tu vas être en retard. »
Et je soupire pour seule réponse avant de me décider à sortir de mon lit. Depuis peu, je vis à Seoul, j'ai réussi à intégrer Yonsei alors je ne pouvais pas rester à Busan, et je ne voulais pas partir sans elle alors elle m'a accompagné. J'aime cette ville, c'est un tout nouveau départ, l'occasion pour moi de sortir un peu plus, de rencontrer de nouvelles personnes, des personnes qui n'auront pas d'à priori sur moi à cause de mon ancienne réputation infondée. Mais ici aussi, personne n'a eu la chance d'entendre ma voix. Personne ne sait même que je peux, physiquement parlant, parler, ils n'ont pas besoin de savoir. Je réapprend à être heureux, de simplement pouvoir être dans une université normale, au milieu de gens normaux. Je ne veux plus être en marge, être différent. Et je fais d'ailleurs de mon mieux pour trouver un travail qui me permettra, si je parviens à économiser assez, à me payer une intervention chirurgicale qui me permettra un jour de retrouver l'ouïe.
Maman signe : « Tout va s'arranger, tout ira mieux maintenant »
UC.
Maman parle : « Rapprochez-vous les garçons ! »
UC.
Sangjae dit : « UC »
UC.
Es-tu heureuse, maman ? Je sais que je suis qu'un enfant et que je comprend pas tout, je sais que tout me dépasse et que je ne sais rien du monde et de ce qui le constitue. Je n'ai que dix ans après tout, un rien me fait sourire, et je pleure pour des choses futiles, mais je sais qu'au fond je suis heureux. J'ai des jouets, des amis, une chambre bien fournie; j'ai de l'amour, des câlins, une maman attentionnée qui s'occupe bien de moi. Et parfois je me demande ce qu'il en est d'elle, je me demande si elle est heureuse, je me demande pourquoi mon papa est pas resté avec elle, pourquoi il est parti avant que j'arrive, je me demande si c'est pour ça que parfois je l'entend pleurer dans sa chambre. Maman a souvent les yeux rouges, et le dessous violet, et quand elle me tire les joues je ne peux pas lui faire la même chose, les siennes sont trop fines pour ça. Elle dit que c'est la fatigue, que c'est le travail, elle sourit quand je lui offre des dessins, quand j'ai de bonnes notes, alors je sais pas, peut-être que c'est vrai.
Maman dit : « Ne rentre pas trop tard, et fais attention trésor ! »
Car maman ne dit jamais non. Elle dit qu'il faut profiter de la vie, et quand je sors le soir, elle ne dit rien. Parce que seize ans, c'est l'âge des découvertes, l'âge où on se fait une place dans le monde, c'est le moment où on déploie nos ailes, celui où on se lance. Elle sait que je suis prudent, que je profite des bonnes choses sans jamais en abuser. Elle sait qu'au fond, malgré ma réputation de fêtard assez populaire, que malgré mon temps passé dehors la nuit, je ne fais jamais d'excès, je suis prudent et ne fais de mal à personne. Parce que profiter de la vie ne nous donne en aucun cas le droit de faire du mal à celles des autres. Parce que c'est vrai je veux tout essayer, tout voir, tout connaître, mais ça ne fait pas de moi un gamin insouciant, ou du moins pas que. Parce que je sais à quelle heure je dois rentrer et que je m'y tiens, que mes sourires ne sont jamais malsains, que je sais que maman m'attend le lendemain.
Maman dit : « T'es beau quand tu souris, t'es beau quand t'es heureux. »
Et quand je souris, comme un miroir, elle fait pareil. Alors je me suis promis de toujours sourire, pour elle. Et pour lui aussi. Pour Sangjae, grâce à Sangjae. Et qu'importe si on nous juge, qu'importe les regards en biais, les chuchotements indiscrets, rien ni personne ne peut m'empêcher de l'aimer, et tant mieux si ça les dégoûte qu'il m'embrasse dans la rue, contre un mur ou dans un restaurant, tant mieux si notre bonheur les fait siffler comme des serpents, ils peuvent cracher tout ce qu'ils veulent, je continuerai de l'aimer, de me coller à lui dans les soirées, de boire dans son verre, de boire dans sa bouche, de boire parce que tant qu'il est là, je ne crains rien. Ou du moins, je crois. Mais ce soir là je suis peut-être allé trop loin, j'étais peut-être un peu trop imbibé pour empêcher un ami de prendre le volant, et sans doute trop ivre pour refuser de monter. Mais j'ai au moins eu le temps de l'embrasser encore avant de monter, j'ai pu dévorer ses lèvres alcoolisées une dernière fois, sans même le savoir.
Maman écrit : « Ça va aller trésor, je suis là. »
Elle est là, mais c'est la seule. On a eu un accident ce soir là, et maintenant que je suis réveillé, plusieurs semaines plus tard, tout a changé, comme si dix ans s'étaient écoulés. Je ne me rappelle plus de rien, pas même de qui était au volant. Ils disent qu'ils m'ont trouvé sur le bord de la route, que le conducteur m'a laissé là, à moitié mort et qu'il est parti. J'ai tant besoin de Sangjae, pourtant il n'est pas là, il n'est pas venu une seule fois. Qui voudrait d'un infirme après tout ? Pas lui, alors il est parti. Et on m'a privé du droit d'entendre les paroles réconfortantes de maman. Ils disent qu'avec un tel traumatisme crânien, c'est un miracle que je m'en sorte avec seulement ça. Seulement ça qu'ils disent. Je ne pourrais seulement plus jamais rien entendre. Seulement ça. Mais ils se trompent, ils ont tout faux. Parce que pendant des semaines, je n'ai rien dit, c'est à peine si je communiquais par écrit. Je voulais lui parler. Mais il n'est pas venu, jamais. Alors je n'ai plus parlé. Je ne sais même plus comment faire. Alors non, je ne suis pas seulement sourd, je suis aussi muet. Et même si j'ai toujours cru aux mots de maman, cette fois ce n'est pas le cas. Non ça n'ira pas.
Maman signe : « Dépêche-toi, tu vas être en retard. »
Et je soupire pour seule réponse avant de me décider à sortir de mon lit. Depuis peu, je vis à Seoul, j'ai réussi à intégrer Yonsei alors je ne pouvais pas rester à Busan, et je ne voulais pas partir sans elle alors elle m'a accompagné. J'aime cette ville, c'est un tout nouveau départ, l'occasion pour moi de sortir un peu plus, de rencontrer de nouvelles personnes, des personnes qui n'auront pas d'à priori sur moi à cause de mon ancienne réputation infondée. Mais ici aussi, personne n'a eu la chance d'entendre ma voix. Personne ne sait même que je peux, physiquement parlant, parler, ils n'ont pas besoin de savoir. Je réapprend à être heureux, de simplement pouvoir être dans une université normale, au milieu de gens normaux. Je ne veux plus être en marge, être différent. Et je fais d'ailleurs de mon mieux pour trouver un travail qui me permettra, si je parviens à économiser assez, à me payer une intervention chirurgicale qui me permettra un jour de retrouver l'ouïe.
Maman signe : « Tout va s'arranger, tout ira mieux maintenant »
UC.
Maman parle : « Rapprochez-vous les garçons ! »
UC.
Sangjae dit : « UC »
UC.
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mar 30 Aoû - 15:58 Citer EditerSupprimer LBFEMKB MZE
PUTAIN MON BRO ENFIN, ENFIN ON EST DU MEME SANG MEME SI C'EST QU'A 50% ON S'EN TAPE PARCE QU'ON S'AIME COMME DES VRAIS FRANGINS JE SUIS TELLEMENT LA JOIE PUTAIN T'AS PAS IDEE A QUEL POINT LE SOONKYUNG C'EST TELLEMENT TROP PARFAIT
JE T'AIME D'AMOUR MON BRO, ET CE QU'ON VA FAIRE LA, CA VA ETRE DU BIBOO PRODUCTION DE TOUTE BOWTEY, COMME LE RESTE
:bang: :bang2: :05: :fransouag: :sex: :2su: :sunmi: :dewei: :tentate: :ymj: :jihoon: :chaton: :wii: :crazy: :pinpou: :coo: :bang: :bang2: :05: :fransouag: :sex: :2su: :sunmi: :dewei: :tentate: :ymj: :jihoon: :chaton: :wii: :crazy: :pinpou: :coo: :bang: :bang2: :05: :fransouag: :sex: :2su: :sunmi: :dewei: :tentate: :ymj: :jihoon: :chaton: :wii: :crazy: :pinpou: :coo: :bang: :bang2: :05: :fransouag: :sex: :2su: :sunmi: :dewei: :tentate: :ymj: :jihoon: :chaton: :wii: :crazy: :pinpou: :coo: :bang: :bang2: :05: :fransouag: :sex: :2su: :sunmi: :dewei: :tentate: :ymj: :jihoon: :chaton: :wii: :crazy: :pinpou: :coo: :bang: :bang2: :05: :fransouag: :sex: :2su: :sunmi: :dewei: :tentate: :ymj: :jihoon: :chaton: :wii: :crazy: :pinpou: :coo:
PUTAIN MON BRO ENFIN, ENFIN ON EST DU MEME SANG MEME SI C'EST QU'A 50% ON S'EN TAPE PARCE QU'ON S'AIME COMME DES VRAIS FRANGINS JE SUIS TELLEMENT LA JOIE PUTAIN T'AS PAS IDEE A QUEL POINT LE SOONKYUNG C'EST TELLEMENT TROP PARFAIT
JE T'AIME D'AMOUR MON BRO, ET CE QU'ON VA FAIRE LA, CA VA ETRE DU BIBOO PRODUCTION DE TOUTE BOWTEY, COMME LE RESTE
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mar 30 Aoû - 16:02 Citer EditerSupprimer
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mar 30 Aoû - 16:20 Citer EditerSupprimer
Oh Dino
Bon courage pour ton Soony 2.0
Bon courage pour ton Soony 2.0
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mar 30 Aoû - 17:22 Citer EditerSupprimer
faible.
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mar 30 Aoû - 20:37 Citer EditerSupprimer
je vais enfin pouvoir ressortir le carnet des horreurs quelle émotion :nabilla:
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mer 31 Aoû - 12:13 Citer EditerSupprimer
soony omg
c'coup ci je te rate pas c'est mort viens on met lua et soon dans la même pièce et on regarde combien de temps ils vont mettre pour communiquer.
c'coup ci je te rate pas c'est mort viens on met lua et soon dans la même pièce et on regarde combien de temps ils vont mettre pour communiquer.
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Re: Koo Soon Young ▲ Hello, can you hear me ? NO. | Mer 31 Aoû - 14:17 Citer EditerSupprimer
rebienvenue à toi amuses toi bien avec ce nouveau perso
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