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Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles
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Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Ven 2 Sep - 23:54 Citer EditerSupprimer
nom : Endo. prénom : Rin. âge : 22 ans. date et lieu de naissance : Tokyo, japon. origines : japonaises. nationalité : japonaises cursus universitaire : art du spectacle. métier : fille d'une famille de yakuza - garde du corps - tueuse à gage à l'occassion - et dealeuse pendant son temps libre orientation sexuelle : Elle ne s'est jamais vraiment posé la question. classe sociale : aisée par de l'argent sale. code du règlement : ok (neir.) tu veux t'investir ? mes jéongals ♥
Endo Rin
Restes calme, et n'hésites pas le moment venu
Violente (★★★✰✰) | Vulgaire (★★★✰✰) | Gourmande (★★★✰✰) | Indiciplinée (★★★✰✰) | Séductrice (★★★✰✰) |
Autoritaire (★★★★✰) | Possessive (★★★✰✰) | Loyale (★★★✰✰) | Bordélique (★★★✰✰) | Hyperactive (★★★✰✰) |
Rumour has it... Elle a peur de l'orage (V. Et elle a également une peur bleue des armes automatiques, ou plutôt, des coups en rafale. Elle ne sait pas d'où cette phobie lui vient. plutôt ironique pour une fille de yakuza qui a grandit au milieu des armes, qu'elle manie d'ailleurs avec aisance, et dont elle préférera équiper d'un silencieux. elle a néanmoins une adoration pour les armes blanches. Elle en possède toute une collection dans son appartement et une partie qu'elle a du laissé dans la maison familiale suite à sa fuite prématurée. Elle porte toujours sur elle, une petite dague japonaise avec une fleur de cerisier gravée sur le manche.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Aux premiers abords, je suis une femme joviale, sociable et tactile. Je serais toujours la première à aller vers les autres pour leur parler ou pour les aider. Mais je fais rarement cela sans arrière-pensée. Je ne joue qu’un rôle pour mieux manipuler les protagonistes assignés à mes missions. Je suis également séductrice. Un trait de caractère qui m’a été assigné pour mieux accomplir mes missions encore une fois. Bien qu’il m’arrive de pratiquer pour mon seul plaisir. Ma véritable nature est bien plus sombre. Je suis assez froide et méfiante de l’intérieur, ne laissant apparaitre cette partie de moi que quand je suis sur le point de tuer. Mes yeux deviennent alors le reflet de mon âme : calme et sans chaleur. Vous l’aurez sans doute déjà compris, j’obéis difficilement à ceux qui n’arrivent pas à me brosser dans le sens du poil. Et contrairement à mon côté de femme fatale, quand je suis moi-même, je me comporte tel un garçon manqué, jurant dès que l’occasion se présente. Le bordel est le mot d’ordre dans mon appartement. A part mes lames qui sont soigneusement rangées et astiquées, le reste n’est que secondaire dans ma vie. Je leur porte bien moins d’importance qu’à mes petits bébés. J’ai un tempérament de feu, qui est parfois difficile à gérer. Alors si vous n’êtes pas certain de pouvoir me dompter, abstenez-vous ! Il en va de votre propre vie ! |
This is my story
citation de ton choix
On pourrait dire que ma vie débute à l’âge de huit ans. Pour une quelconque raison, je n’ai aucun souvenir de mon enfance. Et quand je me mets à poser des questions aux parents, ils restent évasifs parlant d’une certaine chute, sans beaucoup d’autres détails. Et étonnamment, ils ont toujours quelques choses à faire dans ces moments-là. Je sais que les Yakuzas sont toujours overbookés, mais il y avait des limites. Cependant, j’avais arrêté de poser des questions depuis longtemps, me faisait une raison. Je n’aurais jamais de réponse de toute manière, alors pourquoi se borner. Même mon frère, s’arrangeait toujours pour détourner le sujet et parler d’autre chose avec un naturel déconcertant. Avec le temps, je m’y étais faite à l’idée, préférant vivre l’instant présent plutôt que dans le passé.
Je suis le deuxième enfant de la famille yakuza la plus puissante du pays. Mon frère, mon ainé, en est le légitime héritier. Et en tant que les enfants d’une telle famille, on a subit une éducation particulière. Alors que les enfants de notre âge allaient jouer au parc ou aux jeux vidéo, on suivait des entrainements spéciaux tels qu’apprendre à se cacher et rester cacher pendant des heures sans qu’on puisse nous trouver, à piéger, à affronter l’ennemi sans jamais prendre la fuite, à se battre, à manipuler, mais aussi à manier les armes à feu et les armes blanches pour lesquels j’ai un certain don. Depuis toute petite, j’ai une peur bleue inexpliquée pour les armes automatiques. Suite à cela, j’ai développé une adoration pour les lames, beaucoup plus dangereuse, beaucoup plus discrètes et silencieuses. Vous avez déjà remarqué les dégâts que peuvent faire une lame bien aiguisée sur la peau juste en la frôlant ? Ces effets me fascinaient. Une fascination qui pourrait sembler étrange pour quelqu’un du commun des mortels, mais dans notre monde, on avait tous quelque chose de particulier. Le summum de notre éducation était d'apprendre à tuer sans aucune hésitation. Ce fut la partie la plus difficile pour moi. Je me souviens encore mon premier meurtre. J'avais 15 ans. J'avais reçu l'ordre de tuer la fille d'un politicien qui avait trahi notre famille. J'avais d'abord tout bonnement refusée. Entre tuer une colombe et un de ses semblables, il y avait une grande différence, mais je n'arrivais pas à me mettre cela en tête. J'enviais quelque peu mon frère qui lui, avait réussi sa première mission de ce genre avec succès, recevant les félicitations de notre père. Moi aussi, je voulais que père soit fier de moi. Je n'avais jamais reçue une parole gentille de sa part. tout ce que j'avais le droit de recevoir, c'était ses corrections. Punitions que je recevais suite à mes désobéissances. C'était donc avec l'aide de mon ainé que je tuais pour la première fois. ce fut un vrai massacre. rien avoir avec ce dont j'étais capable aujourd'hui. C'était un véritable échec. On avait du passé derrière moi pour nettoyer la pagaille que j'avais laissé. Ce meurtre que j'avais commis avait laissé une profonde blessure en moi et ce fut à partir de ce moment-là que je changeais peu à peu. Je devins plus froide de l'intérieur, même si extérieurement, j'allais vers les autres facilement et que je restais toujours aussi joviale, je me gardais bien de m'attacher à quiconque, devenant bien plus méfiante. Je comprenais enfin ce que père essayait de nous inculquer depuis longtemps. Aimer, c'était pour les faibles. Aimer, c'était laissé une faille pour que l'ennemi puisse nous toucher. Et pourtant...
Je n’étais encore qu’une enfant. Mon frère et moi grandissions sans recevoir l’amour parental que n’importe quel gamin aurait besoin. Mon père me traitait de faible quand je réclamais un calin, ma mère feignait de m’ignorer quand je voulais qu’elle me lise une histoire pour m’endormir. C’était plus fort que moi, j’étais d’un nature tactile et j’avais besoin de ma dose de tendresse. Alors je me tournais vers le seul qui me donnait l’attention dont j’avais besoin : mon ainé. Aussi loin que je me souvienne, c’était le seul qui acceptait de me donner un peu de douceur dans ce monde de brut. C’était lui qui me faisait à manger quand j’étais encore trop petite pour me le préparer moi-même. C’était lui qui me racontait une histoire pour m’endormir, comme c’était lui qui chassait les monstres de mes cauchemars. C’était lui qui dormait avec moi, alors que c’était interdit, quand j’avais besoin d’être rassuré. C’était même lui qui m’enseignait la plupart des arts martiaux quand j’avais du mal sur certains gestes. Pour toutes ces raisons, j’étais toujours collé à lui, passant la plupart de mon temps avec lui, que ce soit la journée lors de nos entrainements, comme la nuit, quand je me glissais dans son lit pour dormir avec lui. Je me sentais en sécurité avec lui, quel que soit l’endroit. Tant que j’étais avec lui, tout allait bien. On avait développé une complicité sincère et profonde. Il était mon meilleur ami, mon confident. De ce fait, il devint vite le seul à qui j’obéis aux ordres sans broncher. Si notre père me demandait quelque chose, j’étais bien capable de lui désobéir et de l’envoyer chier. Par contre, si c’était lui qui m’ordonnait de réaliser l’ordre qui venait de m’être donné, je l’exécutais sans discuter. C’était lui et non plus mon père, dont j’avais envie qu’il soit fier de moi et pour cela, je redoublais d’effort. Ca avait le don d’agacer père, mais il disait qu’au moins, je serais loyale au prochain héritier du clan, lui obéissant aveuglement, telle une machine de guerre bien rodée. En grandissant, on nous assaillait des missions communes, à réaliser en duo. Un duo parfait au point qu’on nous réclamait assez souvent.
Pourtant, plus les missions s’accumulaient et défilaient, plus on grandissait, plus j’avais envie d’être auprès de mon frère, au point de le garder uniquement pour moi. J’avais ce drôle de truc qui me lacerait de l’intérieur quand une des cousines s’approchaient trop prêt de lui, battant de ses grands cils. Plus tard, j’apprendrais qu’il s’agissait de jalousie, mais en attendant, j’apprenais à vivre avec. Alors, j’avais décidé de m’habiller comme ces cousines qui n’avaient pas du apprendre à se battre. Je m’asseyais aux robes et aux talons aiguilles, me pavanant devant lui, cherchant à attirer son attention, en demandant toujours plus. Ca n’avait pourtant pas vraiment l’effet escompté. Au contraire, il devenait plus froid, plus distant avec moi. Alors que je m’accrochais d’autant plus, redoublant d’effort. Je pensais que je m’y prenais mal pour attirer les faveurs d’un homme. Alors j’avais décidé de tester ce petit jeu lors d’un pari qu’il m’avait lancé de trouver quelqu’un avec qui passer la soirée avant lui. C’était sans aucune difficulté que ma première proie m’était tombée dans mes bras, me volant ma première fois. Ce qui semblait bizarre était que je ne ressentais pas la même attirance que j’avais pour mon frère. Au départ, je pensais que c’était une chose que toute femme ressentait pour le sexe opposé, mais pas du tout. Mon frère était le seul pour qui j’avais ce genre de sentiment. Je compris que ce n’était pas normal, et même malsain d’avoir une telle attirance pour quelqu’un du même sang que le mien. Pour cette raison, j’enfermais ces sentiments à double tour quelque part loin dans mon inconscient, faisant comme si ca n’avait jamais existé.
Je pensais que nous resterions ainsi pour le reste de nos jours, et pourtant, le destin frappa lors d’une mission en Corée. Suite à la visite d’un oncle qui avait déclaré vouloir parler seule à mon frangin, tout changea. Et cela, dés le lendemain. Alors que nous allions commencer notre mission, le jeune decida de m’attaquer par surprise comme il le faisait souvent pour tester mes reflexes. Et comme toujours, c’était lui qui avait le dessus. Apres plusieurs échanges au couteau, il finit par me plaquer au sol, m’immobilisant, la lame sur ma gorge. J’avais éclaté de rire, le félicitant encore une fois d’avoir gagné, malgré les coupures qui marquaient mon corps. Mais contrairement à d’habitude, il ne me lâcha pas, pressant même un peu plus la lame m’entaillant légèrement la peau. Je garde d’ailleurs une minuscule cicatrice de ce jour, comme pour ne jamais oublier sa trahison. Je n’oublierais jamais la façon dont il m’avait regardé. Une telle haine s’en dégageait. Il m’avait déjà regardé froidement, mais ici, c’était diffèrent. C’était comme si il était prêt à me tuer. Une boule se forma dans mon ventre, ne comprenant pas ce que j’avais pu faire de mal pour mériter un tel comportement de sa part. Mais une chose était certaine : quelque chose n’allait pas. Je profitais d’un moment d’inattention de sa part pour m’échapper loin de lui, sans avoir aucune explication de sa part.
Aujourd’hui, cela fait 8 mois que je me cache dans Seoul pour le fuir. Je fuis la mort. Je fuis mon frère qui est devenu le symbole de la faucheuse à mes yeux. Je suis certaine que si j’avais le malheur de le revoir, il n’hésitera pas cette fois à me tuer … pourtant il me manque. Il me manque à en crever. J’ai trouvé refuge auprès de la mafia local, pour qui je joue les gardes du corps en contrepartie de ma protection. Une nouvelle ville, une nouvelle famille, une nouvelle vie, un nouveau départ…
Je suis le deuxième enfant de la famille yakuza la plus puissante du pays. Mon frère, mon ainé, en est le légitime héritier. Et en tant que les enfants d’une telle famille, on a subit une éducation particulière. Alors que les enfants de notre âge allaient jouer au parc ou aux jeux vidéo, on suivait des entrainements spéciaux tels qu’apprendre à se cacher et rester cacher pendant des heures sans qu’on puisse nous trouver, à piéger, à affronter l’ennemi sans jamais prendre la fuite, à se battre, à manipuler, mais aussi à manier les armes à feu et les armes blanches pour lesquels j’ai un certain don. Depuis toute petite, j’ai une peur bleue inexpliquée pour les armes automatiques. Suite à cela, j’ai développé une adoration pour les lames, beaucoup plus dangereuse, beaucoup plus discrètes et silencieuses. Vous avez déjà remarqué les dégâts que peuvent faire une lame bien aiguisée sur la peau juste en la frôlant ? Ces effets me fascinaient. Une fascination qui pourrait sembler étrange pour quelqu’un du commun des mortels, mais dans notre monde, on avait tous quelque chose de particulier. Le summum de notre éducation était d'apprendre à tuer sans aucune hésitation. Ce fut la partie la plus difficile pour moi. Je me souviens encore mon premier meurtre. J'avais 15 ans. J'avais reçu l'ordre de tuer la fille d'un politicien qui avait trahi notre famille. J'avais d'abord tout bonnement refusée. Entre tuer une colombe et un de ses semblables, il y avait une grande différence, mais je n'arrivais pas à me mettre cela en tête. J'enviais quelque peu mon frère qui lui, avait réussi sa première mission de ce genre avec succès, recevant les félicitations de notre père. Moi aussi, je voulais que père soit fier de moi. Je n'avais jamais reçue une parole gentille de sa part. tout ce que j'avais le droit de recevoir, c'était ses corrections. Punitions que je recevais suite à mes désobéissances. C'était donc avec l'aide de mon ainé que je tuais pour la première fois. ce fut un vrai massacre. rien avoir avec ce dont j'étais capable aujourd'hui. C'était un véritable échec. On avait du passé derrière moi pour nettoyer la pagaille que j'avais laissé. Ce meurtre que j'avais commis avait laissé une profonde blessure en moi et ce fut à partir de ce moment-là que je changeais peu à peu. Je devins plus froide de l'intérieur, même si extérieurement, j'allais vers les autres facilement et que je restais toujours aussi joviale, je me gardais bien de m'attacher à quiconque, devenant bien plus méfiante. Je comprenais enfin ce que père essayait de nous inculquer depuis longtemps. Aimer, c'était pour les faibles. Aimer, c'était laissé une faille pour que l'ennemi puisse nous toucher. Et pourtant...
Je n’étais encore qu’une enfant. Mon frère et moi grandissions sans recevoir l’amour parental que n’importe quel gamin aurait besoin. Mon père me traitait de faible quand je réclamais un calin, ma mère feignait de m’ignorer quand je voulais qu’elle me lise une histoire pour m’endormir. C’était plus fort que moi, j’étais d’un nature tactile et j’avais besoin de ma dose de tendresse. Alors je me tournais vers le seul qui me donnait l’attention dont j’avais besoin : mon ainé. Aussi loin que je me souvienne, c’était le seul qui acceptait de me donner un peu de douceur dans ce monde de brut. C’était lui qui me faisait à manger quand j’étais encore trop petite pour me le préparer moi-même. C’était lui qui me racontait une histoire pour m’endormir, comme c’était lui qui chassait les monstres de mes cauchemars. C’était lui qui dormait avec moi, alors que c’était interdit, quand j’avais besoin d’être rassuré. C’était même lui qui m’enseignait la plupart des arts martiaux quand j’avais du mal sur certains gestes. Pour toutes ces raisons, j’étais toujours collé à lui, passant la plupart de mon temps avec lui, que ce soit la journée lors de nos entrainements, comme la nuit, quand je me glissais dans son lit pour dormir avec lui. Je me sentais en sécurité avec lui, quel que soit l’endroit. Tant que j’étais avec lui, tout allait bien. On avait développé une complicité sincère et profonde. Il était mon meilleur ami, mon confident. De ce fait, il devint vite le seul à qui j’obéis aux ordres sans broncher. Si notre père me demandait quelque chose, j’étais bien capable de lui désobéir et de l’envoyer chier. Par contre, si c’était lui qui m’ordonnait de réaliser l’ordre qui venait de m’être donné, je l’exécutais sans discuter. C’était lui et non plus mon père, dont j’avais envie qu’il soit fier de moi et pour cela, je redoublais d’effort. Ca avait le don d’agacer père, mais il disait qu’au moins, je serais loyale au prochain héritier du clan, lui obéissant aveuglement, telle une machine de guerre bien rodée. En grandissant, on nous assaillait des missions communes, à réaliser en duo. Un duo parfait au point qu’on nous réclamait assez souvent.
Pourtant, plus les missions s’accumulaient et défilaient, plus on grandissait, plus j’avais envie d’être auprès de mon frère, au point de le garder uniquement pour moi. J’avais ce drôle de truc qui me lacerait de l’intérieur quand une des cousines s’approchaient trop prêt de lui, battant de ses grands cils. Plus tard, j’apprendrais qu’il s’agissait de jalousie, mais en attendant, j’apprenais à vivre avec. Alors, j’avais décidé de m’habiller comme ces cousines qui n’avaient pas du apprendre à se battre. Je m’asseyais aux robes et aux talons aiguilles, me pavanant devant lui, cherchant à attirer son attention, en demandant toujours plus. Ca n’avait pourtant pas vraiment l’effet escompté. Au contraire, il devenait plus froid, plus distant avec moi. Alors que je m’accrochais d’autant plus, redoublant d’effort. Je pensais que je m’y prenais mal pour attirer les faveurs d’un homme. Alors j’avais décidé de tester ce petit jeu lors d’un pari qu’il m’avait lancé de trouver quelqu’un avec qui passer la soirée avant lui. C’était sans aucune difficulté que ma première proie m’était tombée dans mes bras, me volant ma première fois. Ce qui semblait bizarre était que je ne ressentais pas la même attirance que j’avais pour mon frère. Au départ, je pensais que c’était une chose que toute femme ressentait pour le sexe opposé, mais pas du tout. Mon frère était le seul pour qui j’avais ce genre de sentiment. Je compris que ce n’était pas normal, et même malsain d’avoir une telle attirance pour quelqu’un du même sang que le mien. Pour cette raison, j’enfermais ces sentiments à double tour quelque part loin dans mon inconscient, faisant comme si ca n’avait jamais existé.
Je pensais que nous resterions ainsi pour le reste de nos jours, et pourtant, le destin frappa lors d’une mission en Corée. Suite à la visite d’un oncle qui avait déclaré vouloir parler seule à mon frangin, tout changea. Et cela, dés le lendemain. Alors que nous allions commencer notre mission, le jeune decida de m’attaquer par surprise comme il le faisait souvent pour tester mes reflexes. Et comme toujours, c’était lui qui avait le dessus. Apres plusieurs échanges au couteau, il finit par me plaquer au sol, m’immobilisant, la lame sur ma gorge. J’avais éclaté de rire, le félicitant encore une fois d’avoir gagné, malgré les coupures qui marquaient mon corps. Mais contrairement à d’habitude, il ne me lâcha pas, pressant même un peu plus la lame m’entaillant légèrement la peau. Je garde d’ailleurs une minuscule cicatrice de ce jour, comme pour ne jamais oublier sa trahison. Je n’oublierais jamais la façon dont il m’avait regardé. Une telle haine s’en dégageait. Il m’avait déjà regardé froidement, mais ici, c’était diffèrent. C’était comme si il était prêt à me tuer. Une boule se forma dans mon ventre, ne comprenant pas ce que j’avais pu faire de mal pour mériter un tel comportement de sa part. Mais une chose était certaine : quelque chose n’allait pas. Je profitais d’un moment d’inattention de sa part pour m’échapper loin de lui, sans avoir aucune explication de sa part.
Aujourd’hui, cela fait 8 mois que je me cache dans Seoul pour le fuir. Je fuis la mort. Je fuis mon frère qui est devenu le symbole de la faucheuse à mes yeux. Je suis certaine que si j’avais le malheur de le revoir, il n’hésitera pas cette fois à me tuer … pourtant il me manque. Il me manque à en crever. J’ai trouvé refuge auprès de la mafia local, pour qui je joue les gardes du corps en contrepartie de ma protection. Une nouvelle ville, une nouvelle famille, une nouvelle vie, un nouveau départ…
About me
Je suis...
Inu
Vous me connaissez, plus besoin que je me présente :D
Célébrité prise
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>AKIMOTO KOZUE ( MANNEQUIN)</upper></taken> ✎ <lower>endo rin</lower>
Supprimez le code inutile ♥
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Ven 2 Sep - 23:55 Citer EditerSupprimer
La place des meilleurs
JE SUIS TOUTE CHOSE EN VOYANT CETTE SAUVAGEONNE PRENDRE FORME :bang: :bago: :bago: :bago: MEME SI ELLE VA MANQUER DE TUER MON JUNSOO PLUS D'UNE FOIS :bago: :bago: J'AI VRAIMENT HATE QU'ON RP TOGETHER, FACE TO FACE PIS TOUT Hate de te faire découvrir les vrais valeurs de la vie et le goût de la vie
BON COURAGE POUR TA FICHE, JE SAIS QU'ELLE VA DECHIRER MAIS DEPECHE TOI QUAND MEME
JE SUIS TOUTE CHOSE EN VOYANT CETTE SAUVAGEONNE PRENDRE FORME :bang: :bago: :bago: :bago: MEME SI ELLE VA MANQUER DE TUER MON JUNSOO PLUS D'UNE FOIS :bago: :bago: J'AI VRAIMENT HATE QU'ON RP TOGETHER, FACE TO FACE PIS TOUT Hate de te faire découvrir les vrais valeurs de la vie et le goût de la vie
BON COURAGE POUR TA FICHE, JE SAIS QU'ELLE VA DECHIRER MAIS DEPECHE TOI QUAND MEME
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Ven 2 Sep - 23:55 Citer EditerSupprimer
coucou toi
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Ven 2 Sep - 23:58 Citer EditerSupprimer
Salut
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Sam 3 Sep - 0:41 Citer EditerSupprimer
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOH TU LAS ENFIN Je l'attendais cette petite
J'espère que tu m'as pas oublié sous Tae Oh, ce qu'on avait dit, sinon je sors le fouet #sors#
m'enfin j'adore son visage, elle fait poupée de porcelaine j'adhère j'adopte !
REBIENVENUE poussin et HAVE FUN avec ce nouveau perso :D
j'ai hâte de la voir à l'oeuvre !
J'espère que tu m'as pas oublié sous Tae Oh, ce qu'on avait dit, sinon je sors le fouet #sors#
m'enfin j'adore son visage, elle fait poupée de porcelaine j'adhère j'adopte !
REBIENVENUE poussin et HAVE FUN avec ce nouveau perso :D
j'ai hâte de la voir à l'oeuvre !
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Sam 3 Sep - 1:01 Citer EditerSupprimer
tu m'aurais presque fait attendre
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Sam 3 Sep - 1:43 Citer EditerSupprimer
Jun soo : Junsoo de mon coeur Je suis enfin là, t'as vu ? je m'excuse déjà pour les tortures qu'elle va te faire subir, et les peurs qu'elle va te donner ou pas j'ai trop hate de rp ces deux là aussi j'arrive, je vole, je saute, je fais vite
Jay : Coucou toi
Jihoon : salut
Momo : Tkt, j'ai pas oublié ce qu'on avait prévu mais tu peux quand meme sortir le fouet, je pourrais en avoir besoin je suis contente qu'elle te plaise et felicitation pour ta présidence, j'avais pas encore vu je viens te harceler sur skype
Rai : j'aime me faire désirer
Jay : Coucou toi
Jihoon : salut
Momo : Tkt, j'ai pas oublié ce qu'on avait prévu mais tu peux quand meme sortir le fouet, je pourrais en avoir besoin je suis contente qu'elle te plaise et felicitation pour ta présidence, j'avais pas encore vu je viens te harceler sur skype
Rai : j'aime me faire désirer
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Sam 3 Sep - 11:29 Citer EditerSupprimer
re bienvenue inu
Wonderland is straight right
Ta fiche est validée !
Tu l'as fait ! Tu as réussi ! Bravo
Coucou ! Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide :04:
Bienvenue surTa première mission, si tu l'acceptes, c'est de POSTER TON ACTIVITÉ RP pour qu'on puisse bien s'assurer que tu bootyshakes avec nous suffisamment régulièrement pour pas qu'on se sente trop paro sans toi... Ensuite t'auras le droit d'aller te chercher quelques potos ICI mais n'attends pas que les gens viennent te proposer de faire boum boum boum. Si tu viens à eux c'est encore mieux ! Vaut mieux que tu passes PAR LÀ aussi, c'est pour ton bien ! Et tu peux aussi nous montrer ta vie sur ton GNS avec les photos que t'as prises sur ton TÉLÉPHONE trop stylé. Et si t'es trop timide pour demander le numéro du canon qui était juste en face de toi en cours, tu peux le faire anonymement sur TWITTER ! Maintenant que t'es en règle, tu peux aller FLOODER comme le fifou que tu es.SHAKE THE WORLD et plus précisément chez lesjeongal !
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Re: Endo Rin - n'oublies pas de regarder les étoiles | Sam 3 Sep - 18:04 Citer EditerSupprimer
ELLE DEGAGE UN TRUC DE FOUUUUUUUU *______*
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