Yu Chaemi (+) d.o.y.o.u.l.o.v.e.m.e ?

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Yu Chaemi (+) d.o.y.o.u.l.o.v.e.m.e ? | Dim 4 Sep - 11:38

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Yu Chae Mi

sweet kitten burning in red hot fire

ATTENTIONEE (★★★★✰)	COMPLEXEE (★★★★★)	DOUCE (★★★★✰)	TIMIDE (★★★★★)	STUDIEUSE (★★★★★)
PEUREUSE (★★★★✰)	AMBITIEUSE (★★★✰✰)	INTROVERTIE (★★★★★)	ALTRUISTE (★★★★★)	SECRETE (★★★✰✰)

nom : Rock jusqu'à l'aube d'un jour funeste, les robes noires et les cierges ont embrasé les anges et tentèrent d'envoyer à l'enfant le renouveau de ce qui lui avait alors été arraché. Les papiers parlèrent soudain au nom des Yu sous les cris muets arrachés par le stylo tortionnaire. prénom : Chae Mi, la douceur sur les pétales de rose qui s'étirent en un sourire ; un nom pour héritage d'une arrière grand-mère défunte et pourtant intemporellement aimée avec candeur. âge : Les mots revêtissent leurs manteaux de maux, les peines sont drames, l'amour est cristallin, les rougeurs diaprent les joues de rubis et toutefois, tout est surfait. Rien n'est jamais sérieux quand on a dix sept ans. date et lieu de naissance : l'enfant-chasteté refuse d'ouvrir les paupières sur une mère impure et se plaît à rêver voyages océaniques. Poupon-douceur que la cigogne a déposé d'un battement d'ailes un deux avril à Busan . origines : sa mère, coréenne, s'entiche quelques années d'un homme orphelin aux origines méconnues. Elle dessine la courbe d'un sourire lorsqu'elle s'imagine une famille de l'autre côté des océans. nationalité : coréenne. cursus universitaire : Le blanc hurle sous les rayons de lune, la mine qui l'écorche est criminelle entre les doigts d'une étudiante en arts appliqués (stylisme) qui rêve robes et arlequins. métier : le complexe ronge son corps avec la ferveur du désir de destruction ; toutes les petites annonces sont propices à l'économie du rêve d'une poitrine plus généreuse. orientation sexuelle : les hommes font rosir ses joues et dévier ses orbes honteuses. Seuls les complexes et le manque d'expérience l'empêchent de les rejoindre. classe sociale : elle saisit entre ses doigts le tissus de sa robe qu'elle tourne comme une reine ; les rires fusent et ses pas dansent sur le plancher vieillit. Le bois craque et le fantôme du placard récite les contes de cette maison qui a vu grandir l'univers. La poussière s'accumule, mais de la poussiere d'or et d'argent . code du règlement : ok (neir.) tu veux t'investir ? les renards sont la meilleure famille du monde !

Rumour has it...

Complexée par son corps pourtant gracieux, elle ne voit chez elle que ses défauts et travaille dans l'espoir d'économiser pour une chirurgie plastique. + Préméditant la mort de sa mère, elle s'est arrangée pour faire partie des Yu dans le but de pouvoir continuer à manigancer ses sombres affaires en comptant désormais sur le soutient de nombreux grands-frères.+ Elle aurait été traînée en justice pour harcèlement et aurait l'interdiction d'approcher ce garçon de moins de quinze mètres. Une stalkeuse folle dont le portable a été retrouvé empli de photos de ce bellâtre. + Elle joue l'enfant pour amadouer et parvenir à ses fins les plus vicieuses : une vraie Esther. + Elle se fait martyriser par sa nouvelle famille qui a trouvé en elle l'âme d'une bonne. Vaisselle, cuisine, ménage... Un mot plus haut que l'autre résulte en un bleu comme celui qu'elle arborait à la joue ce matin. + Elle pense que n'importe qui peut changer avec de la persévérance et de l'envie sincère : aussi elle s'attache toujours aux mauvais garçons pour cette raison. + Ou bien pour vivre sur leur dos et celui de leur consommation : on est jamais trop jeune pour être junkie. + Elle aurait volé son chat dans un concours de beauté, ce qui explique à la fois le physique de l'animal, et pourquoi de nombreux objets de valeur disparaisse autour d'elle.

Survole l'avatar, petit coquin.

My character

Immobilisés dans l'air, simulacre de cette vision hors du temps, ses doigts fendent pourtant l'air de leurs tremblements. Elle doute, une fois de plus, remet en question son savoir d'enfant et ses acquis-néants ; ce doute qui l’effraie et la dévore en commençant par la poitrine, y laissant un trou béant. Ses dents mâchent sa lèvre rose, le palpitant sonne le tocsin, le glas glace ses artères de son chant morbide : elle livre bataille aux multiples front intérieurs, noie frénétiquement les voix alors que d'autres naissent, et abandonne la lutte. Chaemi est faible, tous le savent et elle en est la première à le subir, elle qui aimerait tant changer, briser sa chrysalide et enfin s'envoler. Battre des ailes vers l'infinité.

Sous cette terreur qui la paralyse se cache, cette fois-ci, les planches en bois d'un dressing. Demain viendront d'autres fauteurs de trouble, hier ils étaient concepts. Ses peurs sont métamorphes et l'accompagnent à chaque instant. Enfin, la gamine ouvre les portes, détaille ses vêtements. Que peut-elle porter pour s'oublier ? Peut-elle seulement noyer son corps sous les tissus et endosser alors le rôle d'une autre ; oublier ses complexes et ses défauts ?

Chaemi est une jeune fille pétillante qui dévore la vie à pleine dents, ses rêves sont des astres, ses passions sont multiples, son altruisme n'a pas d'égal. Des mots qui résonnent sans fin sous sa tignasse brune pure, pour se redonner courage. Ils ne sont pas mensonges, seulement altérés par des complexes si nombreux qu'ils l'ont plongée dans la spirale infernale de la timidité. Une douceur à l'état pure, une friandise de la vie, ravagée par le dénigrement incessant de sa propre image. Oubliés, ces rires à outrances, décédés, ces éclats pétillants. Elle ne dit mot, mais s'exécute sous les ordres, dans l'espoir d'un jour devenir celle sur qui les yeux se poseront avec tendresse et admiration. Incapable d'esquisser le premier pas, de dessiner le premier sourire, elle observe de loin les autres et leur vie qui s'écoule, consciente que ses petites histoires la font passer à côté de la grande.

This is my story

MISS ME MISS ME NOW YOU WANNA KISS ME

Un jour on est venu au monde...

Chaemi, la douceur sur les traits, la candeur dans le rire, la malice dans les yeux, la bêtise au bout des doigts. Gamine instable sur ses deux jambes, les joues barbouillées de pâte à tartiner ; éclatée la vaisselle, sur le sol jusqu'alors immaculé, et ravagés les coussins déchirés trônant sur le canapé. La nourrice pose ses poings sur les hanches, alors elle lève ses yeux dans l'espoir de l'amadouer, et elle devine déjà sa victoire sur le sourire mal-contenu de la femme, laisse un éclat joyeux percer l'atmosphère. Une étreinte chaleureuse pour confiner leur secret, elle bredouille des mots mal assurés, demande innocemment l'heure où sa mère va rentrer. Deux trois dessins animés une fois l'enfant débarbouillée, la porte d'entrée qui s'ouvre, et ses cris qui pour exprimer son ravissement. Chaemi se jette dans les bras de sa mère qui la couvre de baisers, et encore trop innocente pour les véritables secrets, elle pose face aux yeux de tous son index sur sa petite bouche.

* * *

« Papou ! » Elle dévale les escaliers pour se jeter dans les bras de l'homme en costard qu'elle étreint tendrement, les joues dévorées par ses baisers, leurs oreilles comblées de leurs rires. Pourtant, elle se refuse à l'appeler « papa ». Elle n'est pas sotte, elle a compris qu'il n'est pas son géniteur, mais elle s'en moque. Chaemi l'aime tout comme, et profite de la présence de celui qui n'est presque jamais-là, pris par ses déplacements professionnels. Elle ne lui en veut pas : elle est la première à recevoir une lettre, un appel, un cadeau. Elle comprend. Elle pense comprendre.

* * *

Les deux mois précédents, elle se vantait d'être grande, d'être enfin respectable. Fanfaronnant jusqu'au soleil couchant, attisant rires et fierté, elle tournoie sur elle-même et sa jupe se soulève. Aujourd'hui, ses pleurs s'étouffent sur l'oreiller ou contre son poing fermé. Le drap jusque sur ses cheveux, elle cache au monde sa détresse. Une main douce frictionne son dos dans le but d'annihiler ses craintes. « Je veux pas y aller maman... » La main la quitte, elle échappe un nouveau sanglot. On redresse cependant son corps, et sous ses yeux se présente un sac à dos de marque aux jolies couleurs pastelles. Le présent d'un couple non pas fortuné mais travailleur, et bien qu'elle soit jeune, Chaemi sait combien cet achat leur est coûteux. Elle renifle péniblement. « Je plaisantais, j'ai vraiment très hâte d'aller au collège. »

* * *

« Et toi Chaemi, c'est qui ton amoureux ? » Les confidences d'une cour de récréation. Elle se sent si grandes, assise sur ce muret qui fait sa taille, et avec cette boisson énergisante interdite par papou et maman dans la main. Elle balance ses jambes dans le vide, les rougeurs logeant sur ses joues pour ne plus les quitter. « Bah... Ok. Qing Shan, le chinois de 4B » Elle mâche sa lèvre, repousse une mèche derrière ses cheveux, et adresse enfin le sourire-soleil à ses amies qui gloussent. Elle aime ces discussions féminines, elle se sent intégrée, aimée, normale. Elle ne remarque pas celle qui, derrière elle, a perdu le sourire.

* * *

Elle est enfin prête, le palpitant emballé, l'âme en pâmoison. Sa plus jolie robe revêtue, ses cheveux finement tressés, et même les règles brisées pour apposer sur ses lèvres la brillance d'un gloss. « Qing Shan, est-ce que je peux te pa- » Interrompue par un cri presque hystérique, ses pupilles se dilatent lorsque son amie se jette dans les bras du garçon. Spectatrice de leur baiser goulu, pas très beau, presque moche, un des premiers, elle triture ses doigts en réprimant l'eau qui menace d’entacher ses joues. Ce qu'elle aurait aimé partager avec lui les mêmes baisers goulus, pas très beaux, presque moches ; juste avec lui. « Désolée, j'avais oublié de te dire que c'était mon copain ! Il aime bien les filles un peu plus... moins... Pas plus jolies, mais moins enfants, tu vois ? T'es un peu trop ronde... De partout. Hein Shanning ? C'est trop pour Chaemi qui, encore enfant, se fait porter pâle cette après-midi là, et se réfugie en sanglotant dans les bras de sa maman.

* * *

Papou s'est tiré. Il a claqué la porte après une énième dispute. Il s'est tiré dans son carrosse en citrouille, lui et les pantoufles de vair qu'elle ne pourra jamais plus porter. Il a détruit Cendrillon, et les images du couple qu'elle se faisait. Elle les pensait indestructibles, immortels. Papou s'est tiré, mais elle ne lui en veut pas : elle comprend bien que ces cris et ces pleurs n'y étaient pas pour rien. A sa place, elle aurait aussi eu besoin d'air. L'aime-t-il toujours, elle ?

* * *

La lame dans sa main survole le poignet de l'autre. Elle ferme les yeux et les rapproche, avant de laisser tomber l'ustensile dangereux, plaquer sa paume contre ses lèvres pour étouffer le cri désespéré de ses pleurs. Elle n'a pas le courage de se faire du mal, et s'en sent presque anormale. N'est-ce pas ce que font toutes les filles mal dans leur peau, à la télévision et dans les journaux ? Jae Na lui a ouvert les yeux sur ce qu'elle n'avait pas vu, et même les miroirs ne peuvent la duper maintenant. Elle et ses rondeurs (inexistantes). Elle et ses joues d'hamster (d'enfant). Elle et ses cuisses trop épaisses (foutaises), sa poitrine aussi plate que l'on pensait le monde. Comment a-t-elle seulement pu offrir ce spectacle à la vue de tous, jusqu'à présent ? Elle hoquette de nouveau, leur implorant silencieusement le pardon. La laideur en Corée est aussi mal perçue que les crimes de braconnage, de génocides, ...

* * *

Le nez dans ses cahiers, les cheveux attachés haut, elle tapote son menton du bout du crayon. Elle vient de sauter une classe, mais est-ce seulement étonnant. Solitaire, désemparée, elle trouve refuge dans ses leçons et ses compositions. Élève excellente, elle s'évertue à rattraper un retard imaginaire, les narines chatouillées par l'agréable fumet du repas dont elle s'occupe en parallèle. Une fille presque modèle. Quinze ans seulement. Elle lève les yeux vers sa mère-tendre qui rentre du travail, lui adresse un sourire franc avant de se lever pour l'enlacer : elle est bien la seule personne à qui elle tienne autant. Mais elle le voit, dans ses yeux, que les choses ne vont pas. La discussion s'entame, tourne autour du pot, et la sanction tombe. « Chae... Mimi, j'ai un cancer, tu vas devoir beaucoup m'aider maintenant, tu comprends ? »

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Depuis, on attend que le monde vienne à nous...

Les valises roulent sur les pavés, son chapeau de paille cache son visage pour l'épargner des premières chaleurs du mois d'avril. Elle s'acclimate au cancer de sa mère, parvient à vivre avec, parce qu'elle ne sait pas tout. Ces vacances à Seoul, si belle capitale , sont son cadeau d'anniversaire. Elle ne sait où donner de la tête. Chaemi oublie sa timidité, sa réserve, ne tient pas en place, sourit à tout va, photographie chaque endroit. C'est beau, Seoul. Elle veut voir le fleuve Han.

* * *

« Chaemi... Je ne sais pas exactement comment te dire ça. Tu te souviens de ces deux garçons en photo, dans le grenier ? » Elle acquiesce avec honnêteté. Elle se souvient de ses nombreuses expéditions, enfant, dans le grenier. De ses rires et de ses découvertes, avant qu'elle ne découvre le paranormal, qu'elle ne craigne alors d'y mettre les pieds. Elle se souvient de cette photo poussiéreuse, de ses deux cousins disparus. Les fils d'un oncle qu'elle n'a pas connu. Elle aurait aimé les rencontrer, pourtant, connaître un peu mieux sa famille, mais la vie est ainsi faite, et les disparitions font parties du cercle. « Mimi, je t'ais menti. Ce ne sont pas tes cousins, ce sont tes frères. Je les ais eu avant toi, mais les choses ne se sont pas passées comme je l'aurais voulu. Pardonne moi, Chaemi. » Avant même la fin de sa tirade, la gamine à la bouche entrouverte laisse échapper ses larmes. Elle comprend bien moins qu'avant, et pourtant elle n'est plus tout à fait une enfant. Elle s'enfonce dans son propre malaise, les mains dans ses cheveux, et porte pour la première fois un regard courroucé à celle qui a perdu ses cheveux.

* * *

Elle claque la porte de sa chambre et s'effondre dans son lit, donnant raison aux clichés des feuilletons. Inconsolable, elle hoquette à en perdre la voix, à défaut d'avoir d'ores et déjà perdu la raison. Elle les a vu, elle a appris leurs noms. Elle a rencontré ses frères qu'elle pensait jusqu'alors cousins, et s'est enfuie : le choc était trop rude.

* * *

Chaemi essuie le dessous de ses yeux, et se maudit. Elle réalise que depuis peu, sa vie se résume aux larmes et aux cris. L'émotionnel confus. Sa mère, allongée dans ce lit d'hôpital, brise son cœur qu'elle pensait avoir déjà volé en éclats. Ils sourient tous, sans doute trop gênés pour laisser leurs mots s'évader face à l'évidence. Elle s'apprête à les quitter, elle que le cancer aura vaincue ; alors elle saisit la main de Jasun avant de plonger son visage dans son cou pour sangloter. Il est le seul qu'elle a dompté, en qui elle a foi. Yongsun l'intimide trop pour qu'elle ne puisse aligner deux mots. Maman va mourir.

* * *

Noir, les oiseaux aux sommets des cimes. Noires, les robes qui dansent sur le macadam. Noirs, les regards qui se perdent sur les pavés, trop honteux pour s'élever. Noirs, les rires-amertumes qui fusent sous les plaisanteries malvenues. Noirs, les pleurs incessants d'une gamine. Noir, le cercueil désormais refermé. Elle les a quittés. Elle est désormais seule, sans amis, sans concrète famille ; seule dans l'immensité du monde dont elle prend à peine conscience.

* * *

Les papiers sont signés, elle attend en silence que la sentence soit énoncée de vive voix. Elle renonce à son nom d'origine pour en adopter un nouveau dont elle ne sait rien. On lui annonce une famille nombreuse, elle découvre sa nouvelle mère mais ne peut se résoudre à lui donner pareille appellation. Sa mère véritable subsiste encore dans son esprit ; et pourtant, elle est aujourd'hui une Yu, adoptée par le père de ses demi-frères alors qu'ils n'ont pas le moindre sang en commun. Papou lui manque. Elle aurait aimé qu'il revienne.

* * *

Plusieurs mois se sont écoulés. Elle s'est appropriée sa chambre, mais pas seulement. Chaemi aime se sentir choyée par sa fratrie qu'elle a adoptée, bien que leurs débuts soient difficiles. Elle ne se sent pas à sa place, peut-être ne le sera-t-elle jamais ; mais elle cherche à se faire aimer. Elle s'occupe des corvées de bon cœur, pour peu que l'on l'en remercie avec sincérité. Aime ces nuits passées auprès de Naru, quand la lune observe leurs conversations futiles. Aime les bras de Jasun qui la protègent des cauchemars. Aime même ces autres, Yong ce frère véritable qui lui tire bien trop de larmes, Soonae et sa jalousie, Meina et sa féminité Sana et ses sombres histoires.
Yu Chaemi.

Tant mieux si la route est longue, on pourra faire un peu plus de détours...

About me

Je suis...

Luan

c'est encore moi :bago: j'avais promi de plus céder mais cette petite est née dans ma tête et on m'a dit " wesh vient dans la famille avec nous " alors comme j'avais grave la pression, que j'osais pas dire non et qu'on m'a foutu le canon sur la tempe, je suis là :oo:

c'est pas ma faute à moiiiiii

Célébrité prise

Code:: [url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>KIM JI SOO (BLACKPINK)</upper></taken> ✎ <lower>yu chae mi</lower>

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Re: Yu Chaemi (+) d.o.y.o.u.l.o.v.e.m.e ? | Dim 4 Sep - 11:38

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FIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRST BRAAAAAAAAAAAAAAAA MÊME SI C'EST PAS AVEC NARU BALEKOUILLES J'SUIS LA BEST 4 ZE WORLD BOUM BITCH I'M HEEEEEEEEEEEERE :oo:

jtm un peu bien :heart:

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Re: Yu Chaemi (+) d.o.y.o.u.l.o.v.e.m.e ? | Dim 4 Sep - 11:39

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Yu Chaemi (+) d.o.y.o.u.l.o.v.e.m.e ? Giphy

ENFIIIIIIIIIIIN ENFIN ELLE EST LA, LA P'TITE DERNIERE, LA P'TITE SOEUR DE MON KOKORO LA PRESQUE MEILLEURE (srry la meilleure c sana) LA TOUTE JOLIE LA PLUSSE MIGNONNE :shy:

tu sais que j't'aime même si bah moi j'arrive pas à trouver les mots pour te faire follow follow mon coeur tu vois j'suis pas très doué avec tout ça mais figure-toi que mon silence est en coeur donc ça rattrape tout non? :plz:

toi et moi on va faire de trop grandes choses j'te jure tellement que tout le monde il sera trop jaloux de la mort qui tue :bago: j'ai grave hâte qu'on rp ce lien, avec les glouglous dans le ventre etout tmtc (on finit vraiment par devenir accroc à ça) (sur nos 6 rps y en a quand même 4 feelsants) (est-ce qu'on est pas un peu en train d'abuser là????) (jsp) (mais moi j'aime bien) (psq #alianpassionfeels tmtc 4ever) (ilu :heart:

)

comment j'suis trop contente que tu viennes compléter la famille wallah :plz:

même si y a les autres qui sont pas toujours gentils bah moi direct j't'ai aimée fort de l'amour vrai véritable et même que j'serai toujours là pour venir sécher tes larmes le soir quand les autres sont endormis, que y a plus que toi et moi et la lune et surtout personne pour juger :plz:

trop de feels dans mon coeur jpp

bref bienvenue dans la famille
rebienvenue sur le forum
je t'aime
autant que nemo aime dory
autant que moi aime toi
le bisou :tentate:

Yu Chaemi (+) d.o.y.o.u.l.o.v.e.m.e ? Large

(ps, trop hâte de nos futurs rps feelsants #naruemi #narmi (ça me fait penser à army j'aime bien psq dans mon coeur tu prends autant de place qu'une ARMY) #chaeru #chaerubin #love)
(ps, viens jouir avec moi, je ne te mang'rai pas, PEUT-ÊTRE PAS CETTEUH FOIS) (mais j'ai un peu la dalle donc ça risque pas de trop tarder) (quoique t'es fabuleux pancakes de la mort qui tue ils risquent de grave me caler wsh) (dis, j'ai quasi plus de tee-shirts ça te dérange de faire la lessive? :plz: