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1, 2Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa]
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Re: Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa] | Jeu 1 Déc - 18:48
J'ai l'impression de parler dans le vide depuis quelques minutes et qu'il n'y a plus personne derrière la porte. J'ai comme l'impression que Jung Hwa s'est un peu moqué de moi et qu'il s'en est allé, autre part, certainement dans son lit, bien au chaud. Je m'apprête à le critiquer, à l'injurier, mais juste à temps, j'entends une voix, venant de nul part, qui semble être celle de mon partenaire. Je fronce légèrement des sourcils me demandant si je n'ai pas quelques hallucinations mais, après quelques secondes d'hésitation, je finis par lever les yeux au ciel, constatant que Jung Hwa me regarde de la fenêtre. J'espère qu'il n'était pas ici depuis le début, il ne se serait quand même pas amusé à me voir attendre ? Quoique . . . venant de lui ça ne doit pas m'étonner, pas tant que ça. Il a l'air de s'amuser, lui. « Oui j'ai réfléchi », dis-je en croisant les bras, semblant mécontente, « mais je n'ai toujours pas trouvé la raison », et je doute que cela ait un rapport avec Roméo et Juliette. Ce n'est pas facile de deviner les pensées de Jung Hwa et surtout de comprendre les raisons d'un tel agissement. Je ne suis pas experte dans les comportements humains et surtout pas ceux de Jung Hwa. Je regarde avec une attention particulière la bouteille d'eau qu'il tient en main. Il ne compte pas, en plus de me laisser dehors, verser cette bouteille d'eau sur moi, quand même ? Ai-je fait quelque chose de si grave que ça pour mériter un tel sort ou joue t-il simplement avec mes nerfs ? Cet homme . . . toujours présent pour faire des sottises. J'espère en tout cas qu'il ne va pas utiliser cette bouteille d'eau sur moi. De toute manière si je garde le regard fixer sur celle-ci, je ne risque pas de me faire avoir, ou juste quelques gouttes. J'arque un sourcil lorsqu'il me donne enfin un indice en précisant que j'ai été méchante avec lui. « Moi ? Méchante ? », j'ai presque envie de rire. Ce n'est pas une grande nouvelle. Je suis souvent méchante avec les autres, enfin, pas consciemment, mais mon comportement me fait paraître méchante. Je n'ai pas un mauvais fond. Pas tout le temps. Je réfléchis longuement, essayant de voir quel événement a pu entraîner un ressenti vis à vis de ma personne. « Mais . . . j'ai été méchante quand ? », je doute avoir été agressive ou même froide avec lui, je n'en ai aucun souvenir. Je tente de fouiller au plus profond de mes souvenirs, cherchant une solution à cette énigme. « Oh ! », dis-je soudainement, en m'exclamant, trouvant peut-être la solution à mon problème, « tu parles de ce matin ? ». Je me souviens maintenant. Je suis certainement méchante parce que je n'ai pas accepté ses bras qui souhaitaient m'offrir un câlin. Je l'ai repoussé car je suis très loin d'être tactile, « c'est parce que je n'ai pas voulu de ton câlin ce matin, c'est ça ? ». J'espère que c'est ça, sinon, je ne vois pas d'autres possibilités et connaissant Jung Hwa, c'est fort possible que cela soit la raison de son comportement.
Pas de câlin, pas de dortoir.
Feat Jimmy-chou ♥
J'ai l'impression de parler dans le vide depuis quelques minutes et qu'il n'y a plus personne derrière la porte. J'ai comme l'impression que Jung Hwa s'est un peu moqué de moi et qu'il s'en est allé, autre part, certainement dans son lit, bien au chaud. Je m'apprête à le critiquer, à l'injurier, mais juste à temps, j'entends une voix, venant de nul part, qui semble être celle de mon partenaire. Je fronce légèrement des sourcils me demandant si je n'ai pas quelques hallucinations mais, après quelques secondes d'hésitation, je finis par lever les yeux au ciel, constatant que Jung Hwa me regarde de la fenêtre. J'espère qu'il n'était pas ici depuis le début, il ne se serait quand même pas amusé à me voir attendre ? Quoique . . . venant de lui ça ne doit pas m'étonner, pas tant que ça. Il a l'air de s'amuser, lui. « Oui j'ai réfléchi », dis-je en croisant les bras, semblant mécontente, « mais je n'ai toujours pas trouvé la raison », et je doute que cela ait un rapport avec Roméo et Juliette. Ce n'est pas facile de deviner les pensées de Jung Hwa et surtout de comprendre les raisons d'un tel agissement. Je ne suis pas experte dans les comportements humains et surtout pas ceux de Jung Hwa. Je regarde avec une attention particulière la bouteille d'eau qu'il tient en main. Il ne compte pas, en plus de me laisser dehors, verser cette bouteille d'eau sur moi, quand même ? Ai-je fait quelque chose de si grave que ça pour mériter un tel sort ou joue t-il simplement avec mes nerfs ? Cet homme . . . toujours présent pour faire des sottises. J'espère en tout cas qu'il ne va pas utiliser cette bouteille d'eau sur moi. De toute manière si je garde le regard fixer sur celle-ci, je ne risque pas de me faire avoir, ou juste quelques gouttes. J'arque un sourcil lorsqu'il me donne enfin un indice en précisant que j'ai été méchante avec lui. « Moi ? Méchante ? », j'ai presque envie de rire. Ce n'est pas une grande nouvelle. Je suis souvent méchante avec les autres, enfin, pas consciemment, mais mon comportement me fait paraître méchante. Je n'ai pas un mauvais fond. Pas tout le temps. Je réfléchis longuement, essayant de voir quel événement a pu entraîner un ressenti vis à vis de ma personne. « Mais . . . j'ai été méchante quand ? », je doute avoir été agressive ou même froide avec lui, je n'en ai aucun souvenir. Je tente de fouiller au plus profond de mes souvenirs, cherchant une solution à cette énigme. « Oh ! », dis-je soudainement, en m'exclamant, trouvant peut-être la solution à mon problème, « tu parles de ce matin ? ». Je me souviens maintenant. Je suis certainement méchante parce que je n'ai pas accepté ses bras qui souhaitaient m'offrir un câlin. Je l'ai repoussé car je suis très loin d'être tactile, « c'est parce que je n'ai pas voulu de ton câlin ce matin, c'est ça ? ». J'espère que c'est ça, sinon, je ne vois pas d'autres possibilités et connaissant Jung Hwa, c'est fort possible que cela soit la raison de son comportement. Invité
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Re: Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa] | Ven 6 Jan - 23:19
Prenant de la hauteur, je rêve pourtant de faire redescendre la jeune femme. Celle-ci a définitivement trop pris la confiance quand elle a décidé de me rejeter. Je ne dis pas que je suis un homme à qui on doit toujours répondre par la positive. Je serais même plutôt l'inverse vu le nombre de refus que j'ai eu de la part des filles ou du moins ma capacité à rester qu'un pauvre ami à leurs yeux. Contrairement à aujourd'hui, il me manque toujours d'audace pour me lancer, pour dévoiler mes sentiments à une personne bien trop importante à mes yeux depuis plusieurs mois : Ji Soo. Alors, je devrais considérer cette histoire comme une nouvelle expérience. Si Mo Yeon comprend à quel point je me suis senti abandonné, peut-être qu'elle fera plus attention à moi et qu'elle ne fera pas la même erreur une nouvelle fois. Bien sûr, je ne suis pas non plus ce petit garçon qui avait le droit uniquement à l'amour de sa mère – je devrais être plutôt soulagé, certains de mes connaissances n'ayant pu connaître l'amour maternel, ni paternel – mais tout de même, j'aimerais juste qu'on me prenne un peu plus en considération. Ainsi, quand je remets en cause la gentillesse de la jeune femme, je sais que je ne la touche pas vraiment. Au fond, nous avons tous une certaine réputation. Elle, c'est une femme froide pas très agréable tandis que je suis cet homme qu'on ne peut ou ne veut pas prendre au sérieux. Je sais que je suis idiot, que je rigole pour un rien et que mon optimiste à toute épreuve est mal vécu pour la plupart des gens mais est-ce qu'on doit se contenter de cela ? Je ne vois pas en quoi être heureux pose problème. Enfin, je suppose que mes concitoyens ne savent pas ce qu'ils veulent et je crois que j'ai compris à quel point je dois me laisser vivre. La seule chose que je pourrais réellement reprocher, c'est que mes amis aient toujours cette vision de moi. Nous sommes tellement plus que ça, tellement plus que deux trois mots perdus au fil d'une conversation de personnes frustrées et commères. On a tous une âme critique, nous sommes tous libre de penser, quand bien même si certaines paroles sont plus blessantes que d'autres. Et je l'avoue. Mo Yeon m'a blessé ou devrais-je dire vexé. Mais au lieu de la laisser tourner en bourrique – bon ce qui est un peu contradictoire avec mes agissements depuis tout à l'heure -, j'ai quand même décide de prendre le taureau par les cornes en la laissant réfléchir sur les comportements qu'elle a adopté avec moi, précédemment. Du coup, je suis satisfait d'entendre la bonne réponse venant de sa part Toutefois, je ne veux pas me réjouir très vite. Je penche la tête vers elle et lui réponds sérieusement. « Ah... A cause de ce matin, tu penses que c'est normal d'être vexé pour ça ? » Il faut bien une raison légitime. Pour moi, elle l'est mais je me demande ce qu'il en est de son côté. « Qu'est ce que tu en penses ? C'est ta dernière réponse ? »
Pas de câlin, pas de dortoir !
Moyeon & Junghwa
Prenant de la hauteur, je rêve pourtant de faire redescendre la jeune femme. Celle-ci a définitivement trop pris la confiance quand elle a décidé de me rejeter. Je ne dis pas que je suis un homme à qui on doit toujours répondre par la positive. Je serais même plutôt l'inverse vu le nombre de refus que j'ai eu de la part des filles ou du moins ma capacité à rester qu'un pauvre ami à leurs yeux. Contrairement à aujourd'hui, il me manque toujours d'audace pour me lancer, pour dévoiler mes sentiments à une personne bien trop importante à mes yeux depuis plusieurs mois : Ji Soo. Alors, je devrais considérer cette histoire comme une nouvelle expérience. Si Mo Yeon comprend à quel point je me suis senti abandonné, peut-être qu'elle fera plus attention à moi et qu'elle ne fera pas la même erreur une nouvelle fois. Bien sûr, je ne suis pas non plus ce petit garçon qui avait le droit uniquement à l'amour de sa mère – je devrais être plutôt soulagé, certains de mes connaissances n'ayant pu connaître l'amour maternel, ni paternel – mais tout de même, j'aimerais juste qu'on me prenne un peu plus en considération. Ainsi, quand je remets en cause la gentillesse de la jeune femme, je sais que je ne la touche pas vraiment. Au fond, nous avons tous une certaine réputation. Elle, c'est une femme froide pas très agréable tandis que je suis cet homme qu'on ne peut ou ne veut pas prendre au sérieux. Je sais que je suis idiot, que je rigole pour un rien et que mon optimiste à toute épreuve est mal vécu pour la plupart des gens mais est-ce qu'on doit se contenter de cela ? Je ne vois pas en quoi être heureux pose problème. Enfin, je suppose que mes concitoyens ne savent pas ce qu'ils veulent et je crois que j'ai compris à quel point je dois me laisser vivre. La seule chose que je pourrais réellement reprocher, c'est que mes amis aient toujours cette vision de moi. Nous sommes tellement plus que ça, tellement plus que deux trois mots perdus au fil d'une conversation de personnes frustrées et commères. On a tous une âme critique, nous sommes tous libre de penser, quand bien même si certaines paroles sont plus blessantes que d'autres. Et je l'avoue. Mo Yeon m'a blessé ou devrais-je dire vexé. Mais au lieu de la laisser tourner en bourrique – bon ce qui est un peu contradictoire avec mes agissements depuis tout à l'heure -, j'ai quand même décide de prendre le taureau par les cornes en la laissant réfléchir sur les comportements qu'elle a adopté avec moi, précédemment. Du coup, je suis satisfait d'entendre la bonne réponse venant de sa part Toutefois, je ne veux pas me réjouir très vite. Je penche la tête vers elle et lui réponds sérieusement. « Ah... A cause de ce matin, tu penses que c'est normal d'être vexé pour ça ? » Il faut bien une raison légitime. Pour moi, elle l'est mais je me demande ce qu'il en est de son côté. « Qu'est ce que tu en penses ? C'est ta dernière réponse ? » Invité
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Re: Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa] | Dim 8 Jan - 9:02
Je suis heureuse d'enfin comprendre la raison de la réaction soudaine de Jung Hwa. Il faut dire que sur le moment je n'ai pas compris pourquoi est-ce qu'il était devenu si froid, si distant, m'en voulant pour une chose que je pensais ne pas avoir fait, mais je réalise maintenant ma faute. Il est vrai que j'ai du mal à comprendre sa réaction car je suis bien loin d'être une fille tactile et préfère m'en écarter alors pour moi, un câlin en moins ce n'est que bénéfique, mais je sais pertinemment que pour une personne avec la personnalité de Jung Hwa c'est sûrement mal vécu, d'où son ressenti. Alors je peux comprendre, à sa place, mais à ma place je ne sais pas si je trouve cela enfantin ou si je trouve cela déboussolant dans le mauvais sens du terme. Ce n'est qu'un câlin après tout. Un stupide câlin. Il peut en faire des câlins à d'autres alors pourquoi moi ? Est-ce parce que justement je ne suis pas tactile qu'il a envie de me faire succomber ? Est-il comme un chat qui va faire les personnes qui ont des chats ou qui n'en veulent pas ? Je grimace légèrement lorsqu'il me demande si c'est normal qu'il soit vexé. C'est quoi cette question piège ? Je ne sais même pas ce qu'il faut répondre et je sais que si je donne la mauvaise réponse je risque de dire adieu à mon entrée dans la fraternité. Je n'ai quand même pas fait tout ça pour rien. « Sincèrement Jung Hwa ? », j'inspire profondément. En même temps je ne peux pas lui mentir. « De mon point de vue, tu sais que je n'aime pas les câlins et que je peux très bien m'en passer, alors de ma place, je ne comprends pas forcément, mais . . . », je laisse quelques secondes de blanc pour reprendre rapidement, « quand je pense que c'est toi, alors . . .je pense que je comprends que tu sois vexé. Tu as eu le sentiment d'être rejeté et certainement tu n'aimes pas être rejeté ». J'inspire profondément, comprenant totalement sa situation. Je suis une personne qui rejette en permanence mais parce que je ne veux pas être rejetée avant. J'ai assez souffert dans mon enfance pour souffrir encore avec d'autres personnes. M'enfin je ne vais certainement pas parler de tout ça ni même l'évoquer. « Alors je comprends que tu sois vexé. De par ta personnalité, ça se comprend. Mais moi je ne suis pas tactile, par rapport à toi. Je peux essayer de faire un . . .effort », si ça peut lui faire plaisir. Un câlin ce n'est rien après tout, juste des bras qui s'entourent. « Je te fais une grande faveur là,sache-le, ça ne risque pas de se reproduire une seconde fois » et je ne risque pas de le répéter non plus.
Pas de câlin, pas de dortoir.
Feat Jimmy-chou ♥
Je suis heureuse d'enfin comprendre la raison de la réaction soudaine de Jung Hwa. Il faut dire que sur le moment je n'ai pas compris pourquoi est-ce qu'il était devenu si froid, si distant, m'en voulant pour une chose que je pensais ne pas avoir fait, mais je réalise maintenant ma faute. Il est vrai que j'ai du mal à comprendre sa réaction car je suis bien loin d'être une fille tactile et préfère m'en écarter alors pour moi, un câlin en moins ce n'est que bénéfique, mais je sais pertinemment que pour une personne avec la personnalité de Jung Hwa c'est sûrement mal vécu, d'où son ressenti. Alors je peux comprendre, à sa place, mais à ma place je ne sais pas si je trouve cela enfantin ou si je trouve cela déboussolant dans le mauvais sens du terme. Ce n'est qu'un câlin après tout. Un stupide câlin. Il peut en faire des câlins à d'autres alors pourquoi moi ? Est-ce parce que justement je ne suis pas tactile qu'il a envie de me faire succomber ? Est-il comme un chat qui va faire les personnes qui ont des chats ou qui n'en veulent pas ? Je grimace légèrement lorsqu'il me demande si c'est normal qu'il soit vexé. C'est quoi cette question piège ? Je ne sais même pas ce qu'il faut répondre et je sais que si je donne la mauvaise réponse je risque de dire adieu à mon entrée dans la fraternité. Je n'ai quand même pas fait tout ça pour rien. « Sincèrement Jung Hwa ? », j'inspire profondément. En même temps je ne peux pas lui mentir. « De mon point de vue, tu sais que je n'aime pas les câlins et que je peux très bien m'en passer, alors de ma place, je ne comprends pas forcément, mais . . . », je laisse quelques secondes de blanc pour reprendre rapidement, « quand je pense que c'est toi, alors . . .je pense que je comprends que tu sois vexé. Tu as eu le sentiment d'être rejeté et certainement tu n'aimes pas être rejeté ». J'inspire profondément, comprenant totalement sa situation. Je suis une personne qui rejette en permanence mais parce que je ne veux pas être rejetée avant. J'ai assez souffert dans mon enfance pour souffrir encore avec d'autres personnes. M'enfin je ne vais certainement pas parler de tout ça ni même l'évoquer. « Alors je comprends que tu sois vexé. De par ta personnalité, ça se comprend. Mais moi je ne suis pas tactile, par rapport à toi. Je peux essayer de faire un . . .effort », si ça peut lui faire plaisir. Un câlin ce n'est rien après tout, juste des bras qui s'entourent. « Je te fais une grande faveur là,sache-le, ça ne risque pas de se reproduire une seconde fois » et je ne risque pas de le répéter non plus. Invité
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Re: Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa] | Dim 8 Jan - 22:50
Cette histoire me fait bien marrer. En réalité, je sais très bien pourquoi elle m’a rejeté. Je ne suis pas idiot à ce point mais je voulais lui faire comprendre que son comportement assez froid peut blesser les personnes qui l’entourent, surtout que nous vivions tous ensemble. Notre dortoir est peut-être grand mais on se croise assez souvent pour qu’on puisse tous se connaître. Chacun est libre de faire ce qu’il veut, je l’entends. Nous ne sommes pas obligés de nous aimer ou de montrer des preuves d’amour tous les jours mais c’est également un moyen de la taquiner, pour savoir ce qu’elle pensait de tout ça au fond. D’ailleurs, cela me fait penser que j’aurais dû m’orienter vers des études de psychologie vu mon besoin actuel d’analyser et de comprendre son comportement. Toutefois, je pense sincèrement que les arts du spectacle manqueraient à ma vie, si j’avais fait un tel choix en m’inscrivant ici. Esquissant un sourire, Mo Yeon se montre honnête mais cela ne me surprend pas. En fait, j’aurais tendance à croire qu’elle se protège des autres mais je ne vais pas non plus la forcer. De toute façon, je ne la connais pas vraiment. J’ai juste passé une soirée assez mouvementée avec elle. Pris au piège dehors, on a dû former une équipe et je suis certain qu’elle a bien aimé ce petit moment passé ensemble. Alors, j’ai pris le risque de la traiter comme mes autres amies, pour la taquiner ou non. Son caractère de cochon se voit à des kilomètres mais un homme comme moi commence à être habitué aux échecs et aux rejets. J’ai trop d’amour à donner aux gens. « Qui aime être rejeté au fond ? » Maintenant, place à la philosophie ? Je lâche un léger rire à cette pensée tandis que ma camarade semble finalement faire un énorme sacrifice à l’autel où elle se trouve en ce moment. C’est vrai que je sens surpuissant en haut du dortoir, jugeant la demoiselle comme si j’étais un roi et elle une traîtresse. C’est un peu ce qu’elle était au fond. Esquissant un sourire, je prends finalement un air sérieux quand il est temps pour moi de m’adresser de nouveau à l’étudiante. « Ce marché me plaît. Attends-moi devant la porte, j’arrive. » Je referme la fenêtre derrière moi et prends mon temps pour rejoindre l’entrée du dortoir. Je cogne à la porte : « Le mot de passe. » Mo Yeon va me tuer ? De toute façon, elle le connaît maintenant… Mais soit, je mets ma main sur la poignée et ouvre finalement la porte. Une fois terminé, j’écarte les bras, prêt à obtenir mon dû.
Pas de câlin, pas de dortoir !
Moyeon & Junghwa
Cette histoire me fait bien marrer. En réalité, je sais très bien pourquoi elle m’a rejeté. Je ne suis pas idiot à ce point mais je voulais lui faire comprendre que son comportement assez froid peut blesser les personnes qui l’entourent, surtout que nous vivions tous ensemble. Notre dortoir est peut-être grand mais on se croise assez souvent pour qu’on puisse tous se connaître. Chacun est libre de faire ce qu’il veut, je l’entends. Nous ne sommes pas obligés de nous aimer ou de montrer des preuves d’amour tous les jours mais c’est également un moyen de la taquiner, pour savoir ce qu’elle pensait de tout ça au fond. D’ailleurs, cela me fait penser que j’aurais dû m’orienter vers des études de psychologie vu mon besoin actuel d’analyser et de comprendre son comportement. Toutefois, je pense sincèrement que les arts du spectacle manqueraient à ma vie, si j’avais fait un tel choix en m’inscrivant ici. Esquissant un sourire, Mo Yeon se montre honnête mais cela ne me surprend pas. En fait, j’aurais tendance à croire qu’elle se protège des autres mais je ne vais pas non plus la forcer. De toute façon, je ne la connais pas vraiment. J’ai juste passé une soirée assez mouvementée avec elle. Pris au piège dehors, on a dû former une équipe et je suis certain qu’elle a bien aimé ce petit moment passé ensemble. Alors, j’ai pris le risque de la traiter comme mes autres amies, pour la taquiner ou non. Son caractère de cochon se voit à des kilomètres mais un homme comme moi commence à être habitué aux échecs et aux rejets. J’ai trop d’amour à donner aux gens. « Qui aime être rejeté au fond ? » Maintenant, place à la philosophie ? Je lâche un léger rire à cette pensée tandis que ma camarade semble finalement faire un énorme sacrifice à l’autel où elle se trouve en ce moment. C’est vrai que je sens surpuissant en haut du dortoir, jugeant la demoiselle comme si j’étais un roi et elle une traîtresse. C’est un peu ce qu’elle était au fond. Esquissant un sourire, je prends finalement un air sérieux quand il est temps pour moi de m’adresser de nouveau à l’étudiante. « Ce marché me plaît. Attends-moi devant la porte, j’arrive. » Je referme la fenêtre derrière moi et prends mon temps pour rejoindre l’entrée du dortoir. Je cogne à la porte : « Le mot de passe. » Mo Yeon va me tuer ? De toute façon, elle le connaît maintenant… Mais soit, je mets ma main sur la poignée et ouvre finalement la porte. Une fois terminé, j’écarte les bras, prêt à obtenir mon dû. Invité
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Re: Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa] | Mer 11 Jan - 15:42
Je pousse un long soupir, le regardant de haut, mais réellement de haut puisque Monsieur se trouve touche percher tout en haut, tandis que moi je reste en bas. « Ce n'est sûrement pas toi. Toi tu n'aimes pas être rejeté, tandis que moi je préfère être rejetée », et c'est mieux ainsi. Je ne comprends pas comment les personnes peuvent autant être attachées à d'autres personnes, tout au long de leur vie, réclamant de l'amour de leur part, désireux d'avoir des câlins mais aussi des bisous. Je ne suis pas ce genre de personne. Certes, il m'arrive de m'attacher à des personnes comme mon meilleur ami ou encore ma meilleure amie, mais ce n'est pas pour autant que je vais l'être avec tout le monde. Pas comme lui. Je ne suis pas aussi ouverte que lui. Je finis quand même par le céder, le froid me tétanisant de plus en plus le corps. C'est décidé, je vais essayer d'éviter d'oublier mes clés, surtout pas alors que le froid est terrible. Je crois que je vais finir par mourir de froid, seule, dehors, à force de les oublier à chaque retour. Jung Hwa finit quand même par, lui aussi, céder, me faisant sourire légèrement. Je ne dis pas que j'ai réussi un grand exploit, je suis juste heureuse d'être enfin sauvée et surtout d'avoir trouvé la solution au problème. Je ne me savais pas si intelligente. « Où tu veux que j'aille et t'attende, il fait super froid ici, et je commence sérieusement à me les peler ». Qu'il se dépêche sinon il va finir par recevoir un glaçon. J'attends quelques secondes et l'entends arriver en bas de la porte, me faisant ainsi bouger d'excitation. Jusqu'à ce qu'il me demande de nouveau le mot de passe, « mais . . . je viens pas de te donner la réponse ? ». Je grimace et commence à prononcer le mot de passe, désespérée, « s'il te plaît Jung Hwa, ouvre moi, et tu auras un câ . . . ». Je ne finis pas ma phrase qu'il finit par l'ouvrir, me laissant une chance d'y entrer, mais ouvrant les bras, en grand, pour que je puisse lui faire, réellement, un câlin. Mince! Moi qui pensais pouvoir y échapper tout en entrant, surtout qu'il me bloque le passage et que si je tente et me rate, je suis finie. Je m'approche un peu de lui, juste un peu, doucement, et tends mes bras, juste un peu, vers lui. « Ok . . .ok, tu auras ton dû ». J'avance un peu plus m'assurant d'être à l'intérieur. Est-ce que je peux me faufiler ou pas ? Je regarde discrètement autour de lui, et pousse un long soupir. « Aish ! Qu'est-ce que je ne ferai pas ». Je finis par lui faire un câlin, observant bien les alentours, m'assurant qu'il n'y a personne d'autre que nous dans cette pièce. « Content ? ». J'espère pour lui parce que je suis très, très gênée d'avoir dû faire un tel acte.
Pas de câlin, pas de dortoir.
Feat Jimmy-chou ♥
Je pousse un long soupir, le regardant de haut, mais réellement de haut puisque Monsieur se trouve touche percher tout en haut, tandis que moi je reste en bas. « Ce n'est sûrement pas toi. Toi tu n'aimes pas être rejeté, tandis que moi je préfère être rejetée », et c'est mieux ainsi. Je ne comprends pas comment les personnes peuvent autant être attachées à d'autres personnes, tout au long de leur vie, réclamant de l'amour de leur part, désireux d'avoir des câlins mais aussi des bisous. Je ne suis pas ce genre de personne. Certes, il m'arrive de m'attacher à des personnes comme mon meilleur ami ou encore ma meilleure amie, mais ce n'est pas pour autant que je vais l'être avec tout le monde. Pas comme lui. Je ne suis pas aussi ouverte que lui. Je finis quand même par le céder, le froid me tétanisant de plus en plus le corps. C'est décidé, je vais essayer d'éviter d'oublier mes clés, surtout pas alors que le froid est terrible. Je crois que je vais finir par mourir de froid, seule, dehors, à force de les oublier à chaque retour. Jung Hwa finit quand même par, lui aussi, céder, me faisant sourire légèrement. Je ne dis pas que j'ai réussi un grand exploit, je suis juste heureuse d'être enfin sauvée et surtout d'avoir trouvé la solution au problème. Je ne me savais pas si intelligente. « Où tu veux que j'aille et t'attende, il fait super froid ici, et je commence sérieusement à me les peler ». Qu'il se dépêche sinon il va finir par recevoir un glaçon. J'attends quelques secondes et l'entends arriver en bas de la porte, me faisant ainsi bouger d'excitation. Jusqu'à ce qu'il me demande de nouveau le mot de passe, « mais . . . je viens pas de te donner la réponse ? ». Je grimace et commence à prononcer le mot de passe, désespérée, « s'il te plaît Jung Hwa, ouvre moi, et tu auras un câ . . . ». Je ne finis pas ma phrase qu'il finit par l'ouvrir, me laissant une chance d'y entrer, mais ouvrant les bras, en grand, pour que je puisse lui faire, réellement, un câlin. Mince! Moi qui pensais pouvoir y échapper tout en entrant, surtout qu'il me bloque le passage et que si je tente et me rate, je suis finie. Je m'approche un peu de lui, juste un peu, doucement, et tends mes bras, juste un peu, vers lui. « Ok . . .ok, tu auras ton dû ». J'avance un peu plus m'assurant d'être à l'intérieur. Est-ce que je peux me faufiler ou pas ? Je regarde discrètement autour de lui, et pousse un long soupir. « Aish ! Qu'est-ce que je ne ferai pas ». Je finis par lui faire un câlin, observant bien les alentours, m'assurant qu'il n'y a personne d'autre que nous dans cette pièce. « Content ? ». J'espère pour lui parce que je suis très, très gênée d'avoir dû faire un tel acte. Invité
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Re: Pas de câlin, pas de dortoir [Feat Jung Hwa] | Ven 13 Jan - 14:57
Ce soir, avant d’aller me coucher, je devrais envisager de changer mes petites habitudes. Une telle journée est forcément marquante et je ne veux pas l’oublier. Ainsi, me munir d’une feuille et d’un feutre serait parfait pour m’en souvenir… Enfin, je ne suis pas non plus à ce point. Je veux bien croire que j’ai tendance à avoir des réactions excessives, d’en faire trop mais honnêtement rares sont les fois où j’obtiens ce que je veux. Bon, un câlin ne signifie pas grand-chose surtout si on pousse autrui à le faire mais tout de même. La sango a fini par dire oui et franchement, j’ai du mal à être satisfait par les personnes qui m’entourent. Ainsi, éclatant de rire, je l’invite à répéter une nouvelle fois le mot de passe mais la jeune femme n’est pas prête de recommencer. Je crois qu’elle a perdu patience avec moi. Ça fera une de plus dans ma liste, n’est-ce pas ? Retenant la porte, je finis par écarter suffisamment les bras pour la prendre au piège tel un aigle. Mo Yeon ne pourra pas m’éviter et d’ailleurs, la blonde le comprend très vite quand je vois l’expression qui prend possession de son visage. J’aurais bien aimé hurler un petit « Vous êtes cernée. » des plus grands films d’action ou policiers mais je préfère agir comme un gamin, heureux d’avoir son cadeau avant l’heure. Ainsi, je la regarde se faufiler discrètement vers moi après qu’elle ait jeté un coup d’œil autour de nous afin de ne pas avoir un témoin de cette scène. Je ferme les yeux, mimant un amoureux transit qui a le droit d’avoir un contact physique avec la femme de sa vie. Toutefois, je ne peux pas m’empêcher de rire quand je nous imagine tous les deux, en train de nous câliner. Je lui fais faire n’importe quoi. J’en prends conscience encore et encore. « Je suis on ne peut plus fier. » Quelle connerie ! Je referme la porte derrière nous. Il est temps pour nous de vaquer à nos occupations personnelles. « Maintenant que cette histoire est réglée, je te laisse te réchauffer. » Je lui fais un clin d’œil et m’éloigne finalement de Mo Yeon. « Je vais me couler un bain chaud, salut ! »
Pas de câlin, pas de dortoir !
Moyeon & Junghwa
Ce soir, avant d’aller me coucher, je devrais envisager de changer mes petites habitudes. Une telle journée est forcément marquante et je ne veux pas l’oublier. Ainsi, me munir d’une feuille et d’un feutre serait parfait pour m’en souvenir… Enfin, je ne suis pas non plus à ce point. Je veux bien croire que j’ai tendance à avoir des réactions excessives, d’en faire trop mais honnêtement rares sont les fois où j’obtiens ce que je veux. Bon, un câlin ne signifie pas grand-chose surtout si on pousse autrui à le faire mais tout de même. La sango a fini par dire oui et franchement, j’ai du mal à être satisfait par les personnes qui m’entourent. Ainsi, éclatant de rire, je l’invite à répéter une nouvelle fois le mot de passe mais la jeune femme n’est pas prête de recommencer. Je crois qu’elle a perdu patience avec moi. Ça fera une de plus dans ma liste, n’est-ce pas ? Retenant la porte, je finis par écarter suffisamment les bras pour la prendre au piège tel un aigle. Mo Yeon ne pourra pas m’éviter et d’ailleurs, la blonde le comprend très vite quand je vois l’expression qui prend possession de son visage. J’aurais bien aimé hurler un petit « Vous êtes cernée. » des plus grands films d’action ou policiers mais je préfère agir comme un gamin, heureux d’avoir son cadeau avant l’heure. Ainsi, je la regarde se faufiler discrètement vers moi après qu’elle ait jeté un coup d’œil autour de nous afin de ne pas avoir un témoin de cette scène. Je ferme les yeux, mimant un amoureux transit qui a le droit d’avoir un contact physique avec la femme de sa vie. Toutefois, je ne peux pas m’empêcher de rire quand je nous imagine tous les deux, en train de nous câliner. Je lui fais faire n’importe quoi. J’en prends conscience encore et encore. « Je suis on ne peut plus fier. » Quelle connerie ! Je referme la porte derrière nous. Il est temps pour nous de vaquer à nos occupations personnelles. « Maintenant que cette histoire est réglée, je te laisse te réchauffer. » Je lui fais un clin d’œil et m’éloigne finalement de Mo Yeon. « Je vais me couler un bain chaud, salut ! » Contenu sponsorisé
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