Too fab for this shit. ft nuo :shy:
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Too fab for this shit. ft nuo :shy: | Dim 2 Oct - 19:21 Citer EditerSupprimer
i'm so fancy
ft. Nuo ♥︎
On est à l'audition et pour la première fois depuis mes débuts je ne fais pas quelque chose en solo, du moins dans le domaine de la danse. J'ai tout de suite songé à Nuo quand le gars du casting m'a dit qu'il avait besoin d'un duo pour son court-métrage et j'ai bien fait. On a une symbiose naturelle qui nous a permis d'avancé rapidement. Tout ce qu'on a eu à faire c'est de concevoir une chorégraphie de cinq minutes pour la présenter. Vu que je suis un control freak, je nous ai fait répéter jusqu'à la dernière minute. Je crois qu'elle est contente qu'on en vienne à bout parce qu'elle doit commencer à me détester. Mais elle me remerciera quand on décrochera le rôle alors que tous les autres péquenots pleureront leur médiocrité. Tiens en parlant de ça ! « Alors... ça va avec Wei ? » Avec ce sale fou qui m'a mis à dos tous mes potes du bled ( oui je sais on dirait pas en me voyant comme ça mais moi aussi fut un temps où j'ai côtoyé la pauvreté, la misère et les déos lacostes. ) J'ai rien contre Nawei, mis à part le fait qu'il mette en danger 99% des gens qu'il fréquente. Y'a juste à regarder Cha' avec sa gueule plus déformée que celle de Ribéry... Nuo elle, a l'air d'allé bien mais je ne la connais pas assez pour dire si oui ou non elle est douée pour cacher ce qu'elle ressent, du moins assez pour ne pas qu'on ne vienne lui demander ce qui ne va pas. J'ai vécu avec son mec pendant un peu plus de trois ans et c'était à une période de sa vie où il faisait pas son gars comme maintenant. Je n'étais pas dans la même école qu'eux mais dans le même immeuble alors tout ce que je savais de lui m'a été rapporté de sa sœur ou de Niran. Et le peu que j'ai entendu sur son compte aurait suffit à faire chialer une fontaine, ce que je ne suis heureusement pas. Moi le seul effet qu'il me faisait c'était pas rien mais sensiblement un truc qui s'y rapproche. Je l'aimais bien quand il me cassait pas les couilles avec ses crises de « c'est ma sœur casse toi » blablabla. Ou encore quand il disait rien dans les moments où moi j'avais besoin d'être écouté. La seule fois où on a eu une réelle discussion rien que lui et moi c'est quand j'ai commencé à faire le con avec mon père. J'avais fugué parce qu'il m'avait grave pris la tête et j'ai atterri dans un sale coin, je ne savais même pas comment j'avais fait pour me retrouver là, tout ce que je voulais c'était fuir et comme par miracle je suis tombé sur Wei. Je ne lui ai pas demandé pourquoi il trainait par-là parce qu'il m'aurait menti et il ne m'a pas demandé pourquoi j'étais aussi loin de chez nous parce qu'il savait que j'allais péter un câble. Il avait peu parlé mais tous les mots dont il m'avait fait grâce ( lol ) c'était loin d'être con, genre entre trois et quatre heures du mat' le gars se métamorphosait en philosophe du ghetto. Je l'ai toujours respecté faut pas croire hein, mais quand j'ai cramé qu'il était pas tout net et que j'ai voulu amortir la bombe bah notre relation elle s'est grave pris un mur. Je m'en veux par rapport à ça, comme si j'avais eu un rôle décisif dans cette histoire mais que j'avais pas su assez bien le joué et le résultat de mon échec est assez flagrant malheureusement. Aujourd'hui j'essaie de réparer ce que j'aurais dû régler dans le passé même si c'est trop tard mais pour Cha, je veux essayer. « Y paraît que le Epsilon marche bien... » Et que sa petite affaire de chippeur le renard aussi mais on va éviter d'en parler.
OH PUTAIN ! C'est lui, le connard de fils de pute. Mon rival de toujours ( trois mois exactement ) qui se croit meilleur que moi en tout alors que le seul contrat qu'il a réussi à dégoter c'est pour une marque de sport où on a même pas vu sa sale tronche. Il s'assoit en face de moi, en rabattant sa mèche brushinguée en mode poils de cul roussis sur son crâne plat ( et j'imagine, vide. ) Je lui tape le hairflip de sa vie, avec mes cheveux soyeux qui sentent le parfum d'une grande parfumerie de luxe française. Je fais genre qu'il n'existe pas en jetant un œil à ma montre très cher qui vient tout droit de Suisse avec un bracelet en cuir importé d'Italie ( pour qu'il la voit bien je remonte ma manche. ) Puis je tousse dans mon poing en marmonnant un « c'est lui » à Nuo. Je lui ai déjà parlé de ce mec là parce qu'il ne peut pas s'empêcher de me descendre auprès de ceux qui nous auditionnent et ça dans tous les castings où on est rivaux.
Il fait tomber un truc par terre, un stylo mont blanc ( surement une imitation chinoise qu'il a acheté sur un marché ) puis il zieute mes chaussures en articulant comme un débilos de niveau 100. « Très belles baskets. » Merci je sais connard, vu que c'est les miennes. Maintenant je suis obligé de lui faire un compliment à cette fausse blonde peroxydée. « Très beau... » Ah c'est difficile putain. « la même chose. » Il se tape un fou rire de Louis 14, comme si y'avait toute sa cour pour l'applaudir dès que sa glotte se met à vibrer ( alors que le seul pélo dans la pièce à bien vouloir l'écouter c'est la nana qui est venue avec lui et qui a l'air de se demander ce qu'elle fout là. ) « Non mais c'est toi qui a les plus belles chaussures. » Il me gave je vous jure... Je lui offre un sourire angélique. « Non c'est les tiennes, j'insiste. » Il se penche vers moi avec son sourire de Joker en s'évertuant à me complimenter. « Non non, les tiennes. » C'est avec je ne sais quelle force intérieure que j'arrive à ne pas rouler des yeux. Je m'apprêtais à lui rendre la politesse ( juste histoire d'avoir le dernier mot ) mais on l'appelle pour l'audition. BON DÉBARRAS ! J'ESPÈRE QUE TU TE CASSERAS LA GUEULE DEVANT LE MEC ET QUE TU TE BRISERAS UN PIED AU PASSAGE !!!!
OH PUTAIN ! C'est lui, le connard de fils de pute. Mon rival de toujours ( trois mois exactement ) qui se croit meilleur que moi en tout alors que le seul contrat qu'il a réussi à dégoter c'est pour une marque de sport où on a même pas vu sa sale tronche. Il s'assoit en face de moi, en rabattant sa mèche brushinguée en mode poils de cul roussis sur son crâne plat ( et j'imagine, vide. ) Je lui tape le hairflip de sa vie, avec mes cheveux soyeux qui sentent le parfum d'une grande parfumerie de luxe française. Je fais genre qu'il n'existe pas en jetant un œil à ma montre très cher qui vient tout droit de Suisse avec un bracelet en cuir importé d'Italie ( pour qu'il la voit bien je remonte ma manche. ) Puis je tousse dans mon poing en marmonnant un « c'est lui » à Nuo. Je lui ai déjà parlé de ce mec là parce qu'il ne peut pas s'empêcher de me descendre auprès de ceux qui nous auditionnent et ça dans tous les castings où on est rivaux.
Il fait tomber un truc par terre, un stylo mont blanc ( surement une imitation chinoise qu'il a acheté sur un marché ) puis il zieute mes chaussures en articulant comme un débilos de niveau 100. « Très belles baskets. » Merci je sais connard, vu que c'est les miennes. Maintenant je suis obligé de lui faire un compliment à cette fausse blonde peroxydée. « Très beau... » Ah c'est difficile putain. « la même chose. » Il se tape un fou rire de Louis 14, comme si y'avait toute sa cour pour l'applaudir dès que sa glotte se met à vibrer ( alors que le seul pélo dans la pièce à bien vouloir l'écouter c'est la nana qui est venue avec lui et qui a l'air de se demander ce qu'elle fout là. ) « Non mais c'est toi qui a les plus belles chaussures. » Il me gave je vous jure... Je lui offre un sourire angélique. « Non c'est les tiennes, j'insiste. » Il se penche vers moi avec son sourire de Joker en s'évertuant à me complimenter. « Non non, les tiennes. » C'est avec je ne sais quelle force intérieure que j'arrive à ne pas rouler des yeux. Je m'apprêtais à lui rendre la politesse ( juste histoire d'avoir le dernier mot ) mais on l'appelle pour l'audition. BON DÉBARRAS ! J'ESPÈRE QUE TU TE CASSERAS LA GUEULE DEVANT LE MEC ET QUE TU TE BRISERAS UN PIED AU PASSAGE !!!!
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Re: Too fab for this shit. ft nuo :shy: | Jeu 2 Fév - 16:19 Citer EditerSupprimer
too fab
ft. il su le magnifique ♥︎
« Encore » J’ai entendu ça environ toutes les cinq minutes, toutes les heures, tous les jours, pendant une bonne semaine. On avait des vacances et j’pensais naïvement pouvoir les passer avec Na Wei la nuit, avec le matelas le jour. Mais Il Su est venu contrecarrer mes plans avec une proposition du genre qui se refuse pas. J’le suis dans quasiment tout ce qu’il me propose, tout ce qu’il me demande, tout ce qu’il m’impose. C’est pas qu’il me fait flipper (bien que j’admets, au début il me terrorisait et maintenant parfois il m’intimide toujours un peu), c’est juste que j’ai compris que c’était dans mon intérêt de l’écouter. J’ai jamais progressé aussi vite que cette année, et du reste j’crois que j’ai eu moins de mal que certains à m’adapter à sa rigueur, son obsession pour la perfection, ses horaires extensibles à l’infini (« encore une heure pour finir d’apprendre la chorée. Encore une heure de plus, Nuo y’a un mouvement que t’as mal fait. Encore une heure, Na Wei vient te chercher ce soir non ? Bin c’est l’heure que t’aurais passé dans le bus s’il avait pas été là alors mets-la à profit ! »). Bref j’suis l’une des seules qui râle pas dans son dos (personne râle en face de lui alors la question se pose pas), et je dois avoir l’air carrément trop ambitieuse à ses yeux mais ça m’est égal (j’ai les dents qui rayent le parquet tmtc). J’avoue que j’ai failli exploser quelques fois et lui jeter à la figure que j’allais tout arrêter parce qu’il était qu’un tyran effrayé par les microbes mais heureusement j’me suis retenue à chaque fois et maintenant on en est là, assis sur un banc à attendre notre tour.
L’angoisse me tord tellement le ventre que j’peux à peine respirer. J’ai fais l’effort de manger ce matin parce que j’voulais pas que mes carences (j’en suis maladroitement consciente) risquent d’empiéter sur la performance. Alors non seulement j’ai envie de vomir de stress, mais en plus j’ai envie de vomir de culpabilité parce que j’ai des trucs dans le ventre. Est-ce que j’ai mentionné que j’voulais surtout pas décevoir Il Su ? Non ? Bin voilà, vous pouvez ajouter à tout ça le fait que j’ai vraiment pas envie de décevoir Il Su. « Alors… ça va avec Wei ? — Hein ? » Il me tire de mes pensées, j’relève la tête subitement et quitte mes mains du regard (trois longues minutes que j’les fixais pour garder une contenance). « Ah… » J’reprends contact avec la réalité et hoche vigoureusement la tête pour lui dire que oui, c’est toujours mieux que d’essayer de parler et de risquer de sortir un borborygme indistinct. « Y parait que le Epsilon marche bien. » Cette fois j’prends une inspiration pour lui répondre : « Ouais, il parait. » Puis j’me justifie : « J’me mêle pas trop de ses affaires, c’est… source de conflits. » C’est joliment dit. Source de questions que j’pose et qui restent désespérément sans réponses. Source de nuits qu’il passe dehors et de nuits que j’passe à me ronger les ongles.
Heureusement le malaise concernant Na Wei ne tarde pas à s’estomper, ou plutôt à se transférer sur un autre gars : le danseur qui vient d’arriver. Il Su se met à agir bizarrement, du genre vas-y que j’exhibe ma montre qui coute un bras sous tes yeux ébahis. Puis il tousse dans son poing (c’est pas très discret mais on fera comme si) pour me dire : « c'est lui. » De là, ils s’engagent tous les deux dans une joute verbale que je suis avec attention, tout comme la nana en face de moi. On se lance des regards qui veulent tout dire, elle manque d’exploser de rire et moi aussi. Quand le duo rival se lève enfin et qu’une porte nous sépare d’eux, j’me retiens pas : « c’est le connard ? » Il Su hoche la tête, je hoche les épaules : « Ses pompes étaient laides. » Mais j’sais que tu le sais. Quelques secondes passent avant que je demande : « On parie combien qu’il échoue ? » Il me regarde comme si j’étais tarée, j’me justifie : « Ok c’est pas sympa de souhaiter sa défaite mais présentement, c’est le seul truc qui peut me détendre. Si j’gagne, tu m’payes un verre en sortant. Si j’perds, j’le paye. Deal ? » On se met d’accord là dessus, cinq minutes plus tard le gars sort, j’entends dire comme quoi il a failli se failer à un moment parce qu’il a marché sur ses lacets (j’le raconterai à Na Wei ce soir pour lui prouver que mes conseils sont vraiment utiles).
Comme il sort, nous on rentre. J’garde peu de souvenirs de notre passage, en tout cas rien de très précis. Tellement concentrée, tellement dans un autre monde que j’ai tendance à annihiler ce genre de moment à cause du stress. Mais à notre sortie, Il Su a l’air hyper satisfait (bien qu’il trouve toujours le moyen de se plaindre sur un ou deux détails même lorsque tout m’a semblé parfaitement exécuté). J’fais craquer ma nuque tout en constatant sur le ton de la conversation : « J’crois que c’est toi qui va devoir raquer. » Navrée.
L’angoisse me tord tellement le ventre que j’peux à peine respirer. J’ai fais l’effort de manger ce matin parce que j’voulais pas que mes carences (j’en suis maladroitement consciente) risquent d’empiéter sur la performance. Alors non seulement j’ai envie de vomir de stress, mais en plus j’ai envie de vomir de culpabilité parce que j’ai des trucs dans le ventre. Est-ce que j’ai mentionné que j’voulais surtout pas décevoir Il Su ? Non ? Bin voilà, vous pouvez ajouter à tout ça le fait que j’ai vraiment pas envie de décevoir Il Su. « Alors… ça va avec Wei ? — Hein ? » Il me tire de mes pensées, j’relève la tête subitement et quitte mes mains du regard (trois longues minutes que j’les fixais pour garder une contenance). « Ah… » J’reprends contact avec la réalité et hoche vigoureusement la tête pour lui dire que oui, c’est toujours mieux que d’essayer de parler et de risquer de sortir un borborygme indistinct. « Y parait que le Epsilon marche bien. » Cette fois j’prends une inspiration pour lui répondre : « Ouais, il parait. » Puis j’me justifie : « J’me mêle pas trop de ses affaires, c’est… source de conflits. » C’est joliment dit. Source de questions que j’pose et qui restent désespérément sans réponses. Source de nuits qu’il passe dehors et de nuits que j’passe à me ronger les ongles.
Heureusement le malaise concernant Na Wei ne tarde pas à s’estomper, ou plutôt à se transférer sur un autre gars : le danseur qui vient d’arriver. Il Su se met à agir bizarrement, du genre vas-y que j’exhibe ma montre qui coute un bras sous tes yeux ébahis. Puis il tousse dans son poing (c’est pas très discret mais on fera comme si) pour me dire : « c'est lui. » De là, ils s’engagent tous les deux dans une joute verbale que je suis avec attention, tout comme la nana en face de moi. On se lance des regards qui veulent tout dire, elle manque d’exploser de rire et moi aussi. Quand le duo rival se lève enfin et qu’une porte nous sépare d’eux, j’me retiens pas : « c’est le connard ? » Il Su hoche la tête, je hoche les épaules : « Ses pompes étaient laides. » Mais j’sais que tu le sais. Quelques secondes passent avant que je demande : « On parie combien qu’il échoue ? » Il me regarde comme si j’étais tarée, j’me justifie : « Ok c’est pas sympa de souhaiter sa défaite mais présentement, c’est le seul truc qui peut me détendre. Si j’gagne, tu m’payes un verre en sortant. Si j’perds, j’le paye. Deal ? » On se met d’accord là dessus, cinq minutes plus tard le gars sort, j’entends dire comme quoi il a failli se failer à un moment parce qu’il a marché sur ses lacets (j’le raconterai à Na Wei ce soir pour lui prouver que mes conseils sont vraiment utiles).
Comme il sort, nous on rentre. J’garde peu de souvenirs de notre passage, en tout cas rien de très précis. Tellement concentrée, tellement dans un autre monde que j’ai tendance à annihiler ce genre de moment à cause du stress. Mais à notre sortie, Il Su a l’air hyper satisfait (bien qu’il trouve toujours le moyen de se plaindre sur un ou deux détails même lorsque tout m’a semblé parfaitement exécuté). J’fais craquer ma nuque tout en constatant sur le ton de la conversation : « J’crois que c’est toi qui va devoir raquer. » Navrée.
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Re: Too fab for this shit. ft nuo :shy: | Lun 17 Avr - 16:32 Citer EditerSupprimer
i'm so fancy
ft. Nuo ♥︎
« J'me mêle pas trop de ses affaires, c'est... source de conflits. » Tu m'étonnes que ça l'est, j'ignore ce qu'il trafique exactement mais je suis assez futé pour avoir deviné tout seul comme un grand qu'il s'agit que d'un business secondaire. Les premiers mois où Nawei a été embauché dans son « garage » les sirènes de police le statufiaient complètement ( j'aurais pu dire « raidir » mais il l'est déjà toutes les heures de sa vie. Un jour je me suis amusé à l'observer, quand il respirait son torse se relevait même pas. Lorsque Nuo va exiger des explications au lieu d'entendre « wesh meuf, j'suis un p'tit brigand de la zone. Daegu RPZ. » elle va entendre « i'm a vampire. » Petit remake sympa de Twilight mais dans l'habitat naturel de Wei soit un bar, soit un bar à putes. En conclusion, je trouve le verbe « statufier » plus significatif. ) C'était clairement le signe qu'il était pas net ( même si on avait pas besoin de ça pour en être certain, du moins pour ma part. )
J'aurais pu relancer le sujet mais c'est l'un des rares que Nuo blacklist et je respecte, c'est sa vie puis Nawei n'est pas si mauvais dans le fond. Naguère il m'a filé son dernier oréo, je m'en souviens comme si c'était jeudi dernier.
On regarde ( je précise pour le lecteur que mes yeux contemplaient le mur. Ils ne se fatigueraient pas à se poser sur cette silhouette disgracieuse qu'est celle de mon ennemi juré, après Hansoo. Mais pour rendre ça dramatique on va dire que je le « regardais » ( avec de grosses guillemets, d'où le rouge ) moi, monsieur Moon Il Su, j'observais de loin > ) le paysan s'en aller avec sa potiche, dès que la porte se ferme sur eux Nuo commente un : « Ses pompes étaient laides. » J'aime beaucoup cette fille, en général j'aime les gens qui sont de mon avis mais elle c'est tout particulier. « M'en parle pas, heureusement qu'il y'a une fenêtre pas loin. On a besoin de faire tourner l'air dans la pièce après qu'il l'ait pollué. » ; « On parie combien qu’il échoue ? » Elle me laisse pas le temps de répondre que j'parierai mon hypothétique maison et enfant(s) ( je compte en avoir plus d'un ) qu'ils vont sortir de là où ils sont entrés dans moins de cinq de minutes. La médiocrité est une perte de temps que ces casteurs n'ont pas envie de perdre. Ils n'attendent que nous, seulement ils l'ignorent encore. « Pas sympa ? Tu ne fais qu'énoncer un fait, un fait réel de surcroit, il n'est juste pas encore arrivé. Tu vas gagner mais vu que je comptais t'offrir de toute façon un verre pour notre réussite, je joue. »
Comme prévu, les incompétents sortent de leur trou la tête basse. Je fais mine d'ignorer complètement l'existence bas-de-gamme de ce type pour ensuite prendre sa place avec Nuo. Juste avant de passer l'audition je l'encourage, en la prenant doucement par les épaules. « Décompresse, si quelque chose ne se passe pas comme prévu on improvise mais on ne s'arrête surtout pas. Si on ne réussit pas aujourd'hui, ce n'est pas grave. Ils ne savent pas ce qu'ils perdent. Nous on sait ce qu'on vaut, on a bossé dur pour ce moment. Si c'est pas cette audition, on sera armé pour la prochaine. Respire. Prête ? » Elle hoche la tête, on se sourit mutuellement comme pour s'encourager et on y va avec la rage de vaincre.
« Y'a un mouvement sur lequel on était pas synchro, j'espère qu'ils ne nous en tiendront pas rigueur. En plus je crois que le mec aux lunettes a baissé la tête à ce moment là. » Je grimace au disgracieux son que fait sa nuque. « ... » Écoeuré, c'est vraiment dégueulasse. Je la regarde comme j'aurais dévisagé une barre de métro.
On se rend dans un bar de son choix, je regrette aussitôt. « Excusez-moi, oui vous. Le garçon de salle. » Je décolle mes globes oculaires de mes orbites tellement je regarde haut vers le ciel. Le type est surpris que je fasse appel à lui alors qu'il est en service ???!! Encore un génie. « Pourrais-je avoir un autre verre, il y'a une tache sur celui-ci. » Il commence à regarder, comme s'il pouvait remettre MA parole en doute. « Vous voulez que je fasse une photo du rouge à lèvres juste ici. » Je désigne l'endroit. « Ou vous arriverez à la voir tout seul ? » Il se saisit de l'objet du délit pour aller aussitôt le remplacer, non sans me tirer une gueule de Hansoo aka une gueule de con. J'allais reprendre notre discussion au sujet d'un cours qu'on avait en commun mais un type qui sort de nulle part, tire une chaise pour s'assoir à notre table. Je suis incapable de cacher à quel point je suis S.C.A.N.D.A.L.I.S.É par un tel comportement. En plus, il a pris la chaise de façon à avoir le dossier contre le torse, il s'est mis bien et tout cet enculé comme s'il était chez lui. « Bonjour, on s'est déjà vu au Epsilon nous deux non ? » Je sais qu'il s'adresse à elle, mais je peux pas m'empêcher de répliquer. « Désolé je n'ai pas l'amer souvenir de cette rencontre, tu es ? » Il rit, mais le genre de rire que tu pousses juste pour pas briser le coup avec la meuf que t'essaies de pécho, pathétique. « Je suis enchanté. » Il a de la répartie ce petit con, en plus il est habillé comme un plouc. À chaque fois que je pose un œil sur lui, ma vision est agressée. C'est donc lui qui propage les cancers ophtalmiques ?! On vient de rencontrer une légende. « Je suis excédé pour ma part. » Il se tourne vers Nuo en lâchant un rire "très vrai", qu'il conclut en posant un coude au centre la table pour faire barrage entre nous.
Haha,
il nous connaît mal.
J'aurais pu relancer le sujet mais c'est l'un des rares que Nuo blacklist et je respecte, c'est sa vie puis Nawei n'est pas si mauvais dans le fond. Naguère il m'a filé son dernier oréo, je m'en souviens comme si c'était jeudi dernier.
On regarde ( je précise pour le lecteur que mes yeux contemplaient le mur. Ils ne se fatigueraient pas à se poser sur cette silhouette disgracieuse qu'est celle de mon ennemi juré, après Hansoo. Mais pour rendre ça dramatique on va dire que je le « regardais » ( avec de grosses guillemets, d'où le rouge ) moi, monsieur Moon Il Su, j'observais de loin > ) le paysan s'en aller avec sa potiche, dès que la porte se ferme sur eux Nuo commente un : « Ses pompes étaient laides. » J'aime beaucoup cette fille, en général j'aime les gens qui sont de mon avis mais elle c'est tout particulier. « M'en parle pas, heureusement qu'il y'a une fenêtre pas loin. On a besoin de faire tourner l'air dans la pièce après qu'il l'ait pollué. » ; « On parie combien qu’il échoue ? » Elle me laisse pas le temps de répondre que j'parierai mon hypothétique maison et enfant(s) ( je compte en avoir plus d'un ) qu'ils vont sortir de là où ils sont entrés dans moins de cinq de minutes. La médiocrité est une perte de temps que ces casteurs n'ont pas envie de perdre. Ils n'attendent que nous, seulement ils l'ignorent encore. « Pas sympa ? Tu ne fais qu'énoncer un fait, un fait réel de surcroit, il n'est juste pas encore arrivé. Tu vas gagner mais vu que je comptais t'offrir de toute façon un verre pour notre réussite, je joue. »
Comme prévu, les incompétents sortent de leur trou la tête basse. Je fais mine d'ignorer complètement l'existence bas-de-gamme de ce type pour ensuite prendre sa place avec Nuo. Juste avant de passer l'audition je l'encourage, en la prenant doucement par les épaules. « Décompresse, si quelque chose ne se passe pas comme prévu on improvise mais on ne s'arrête surtout pas. Si on ne réussit pas aujourd'hui, ce n'est pas grave. Ils ne savent pas ce qu'ils perdent. Nous on sait ce qu'on vaut, on a bossé dur pour ce moment. Si c'est pas cette audition, on sera armé pour la prochaine. Respire. Prête ? » Elle hoche la tête, on se sourit mutuellement comme pour s'encourager et on y va avec la rage de vaincre.
« Y'a un mouvement sur lequel on était pas synchro, j'espère qu'ils ne nous en tiendront pas rigueur. En plus je crois que le mec aux lunettes a baissé la tête à ce moment là. » Je grimace au disgracieux son que fait sa nuque. « ... » Écoeuré, c'est vraiment dégueulasse. Je la regarde comme j'aurais dévisagé une barre de métro.
On se rend dans un bar de son choix, je regrette aussitôt. « Excusez-moi, oui vous. Le garçon de salle. » Je décolle mes globes oculaires de mes orbites tellement je regarde haut vers le ciel. Le type est surpris que je fasse appel à lui alors qu'il est en service ???!! Encore un génie. « Pourrais-je avoir un autre verre, il y'a une tache sur celui-ci. » Il commence à regarder, comme s'il pouvait remettre MA parole en doute. « Vous voulez que je fasse une photo du rouge à lèvres juste ici. » Je désigne l'endroit. « Ou vous arriverez à la voir tout seul ? » Il se saisit de l'objet du délit pour aller aussitôt le remplacer, non sans me tirer une gueule de Hansoo aka une gueule de con. J'allais reprendre notre discussion au sujet d'un cours qu'on avait en commun mais un type qui sort de nulle part, tire une chaise pour s'assoir à notre table. Je suis incapable de cacher à quel point je suis S.C.A.N.D.A.L.I.S.É par un tel comportement. En plus, il a pris la chaise de façon à avoir le dossier contre le torse, il s'est mis bien et tout cet enculé comme s'il était chez lui. « Bonjour, on s'est déjà vu au Epsilon nous deux non ? » Je sais qu'il s'adresse à elle, mais je peux pas m'empêcher de répliquer. « Désolé je n'ai pas l'amer souvenir de cette rencontre, tu es ? » Il rit, mais le genre de rire que tu pousses juste pour pas briser le coup avec la meuf que t'essaies de pécho, pathétique. « Je suis enchanté. » Il a de la répartie ce petit con, en plus il est habillé comme un plouc. À chaque fois que je pose un œil sur lui, ma vision est agressée. C'est donc lui qui propage les cancers ophtalmiques ?! On vient de rencontrer une légende. « Je suis excédé pour ma part. » Il se tourne vers Nuo en lâchant un rire "très vrai", qu'il conclut en posant un coude au centre la table pour faire barrage entre nous.
Haha,
il nous connaît mal.
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